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1 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre i. sur les fêtes nationales. » pp. 109-115
Lettre i. sur les fêtes nationales. Vous me parlez, dans votre lettre,
. sur les fêtes nationales. Vous me parlez, dans votre lettre, de fêtes publiques ; vous êtes bien bon, Monsieur, d’honor
ns ordre, sans caractère, sans goût, sans imagination. Ces prétendues fêtes n’offroient que de grossières caricatures, et pro
louvre ornées de magots. J’aurois quelques questions à faire sur les fêtes en général. Je demanderois dabord si les fêtes pu
stions à faire sur les fêtes en général. Je demanderois dabord si les fêtes publiques doivent être exécutées par le peuple ou
is acteur et spectateur ? Si l’on s’est formé une idée bien juste des fêtes nationales ? si elles ne doivent pas, sous l’enve
de l’immoralité, de la perversité, de la licence et de l’égoïsme, des fêtes morales seroient goutées, ou plutôt si elles ne p
elles de Nicolet, gouteroient peu les chefs-d’œuvre de Corneille. Les fêtes publiques ont eu jusqu’ici différens objets, tant
it plus profondément sentir sa misère ; mais je n’ai pas encore vu de fêtes en France, où la moralité fut unie au plaisir, où
et le bon goût fussent joints à la gaieté : le résultat de toutes les fêtes est, beaucoup de gens ivres, beaucoup de bourses
sir qui doit tourner au profit des mœurs, du goût et de l’esprit. Les fêtes , telles qu’on les donne au peuple, ne sont ni bon
, ne sont ni bonnes ni utiles ; elles sont ruineuses pour l’état. Les fêtes qui conviennent à un grand peuple, doivent plus c
ation, au goût et au génie, qu’au revenu public. Colbert donnoit des fêtes qui, en attirant des spectateurs de toutes les pa
mais l’orgueil national étoit seul satisfait. Robespierre donnoit des fêtes qui ruinoient le trésor public, faisoient fuir le
, l’esprit et le goût, n’a pu imagnier, depuis cent ans, un projet de fête digne d’elle. On doit attrtibuer cette pénurie à
u’ils auraient dû mépriser. Ne pourroit-on pas, à là paix, donner une fête qui interessat toutes les nations ? les Ambassade
t-ils pas être invités à remplir les personnages intéressans de cette fête auguste ? Si, à cet époque, un homme oublié, res
, à cet époque, un homme oublié, respiroit encore, il traceroit cette fête mémorable et unique, qui enchaînerait à la France
me connoissez assez pour être persuadé que mes idées sur cette grande fête , ne rouleroient point sur un feu d’artifice et un
s jettées au hazard et sans suite, on ne manquera pas de dire que des fêtes de ce genre, seraient très dispendieuses ; je rép
aisir, le concours des étrangers. Le temps propre à donner une grande fête n’est point arrivé. Celui qu’on avoit choisi pour
rassasier le peuple, n’étoit rien moins que propice ; d’ailleurs ces fêtes n’offroient par leur mesquinerie, que l’emblème d
reviendrai sur cet objet dans un autre moment, et je prouverai qu’une fête , (comme je l’entends), est, ou doit être un poème
donner un corps à mes idées, en mettant au jour le plan d’une grande fête  ; mais il faut attendre un grand événement. Daill
2 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre ii. sur le même sujet. » pp. 116-121
Lettre ii. sur le même sujet. Oui, Monsieur, je l’ai vue cette fête des victoires, qui n’étoit point celle du goût et
te. Je me contenterai d’observer que le local étoit trop grand, et la fête trop petite ; que le temps, pour la concevoir et
et l’exécuter, étoit trop court, et la dépense trop mince ; que cette fête allégorique qui devoit retracer majestueusement t
incohérentes, nullement propres à inspirer l’enthousiasme. Lorsqu’une fête , de quelque genre qu’elle soit, ne parle ni à l’œ
les yeux et révoltent le bon goût. Au reste les accessoires de cette fête affichoient l’inconséquence et la misère ; les dr
urdonnement affreux qui retentissoient à mes oreilles ; je quittai la fête , car lorsque le parterre à de l’humeur, les plus
rterre à de l’humeur, les plus excellentes pièces sont siffilées. Les fêtes , en général, sont filles du génie et de la paix.
erai, cependant, que si les artistes n’ont pas brillé dans toutes nos fêtes , avec l’éclat et la splendeur que leurs talens le
u centre de la place, et qui étoit le point principal et unique de la fête , étoit écrasé et à peine apperçu. Il eut fallu en
toit sur ce pâté, ou cette éminence, que le directoire se donnoit une fête . Je dis se donnait, car, assurément la fête n’éto
directoire se donnoit une fête. Je dis se donnait, car, assurément la fête n’étoit point pour le peuple, qui méritoit, au mo
e présente que des caricatures ou monstrueuses ou grimacières. Le mot fête annonce quelque chose de grand et de magnifique.
l’éveil de la curiosité, parce qu’il fait espérer du merveilleux. Une fête , je le repete, est ou doit être un poème. Elle n’
on exposition, son nœud et son dénouement. D’après ces principes, une fête telle que je la conçois, doit avoir des parties d
e génie, et de chant en chant, on arrive au dénouement : hé bien, une fête est un poëme héroïque ; elle doit réunir le même
3 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre II. De la Danse Sacrée des Hébreux, des Chrétiens dans la primitive Eglise, & des Payens, depuis son origine jusqu’à présent. » pp. 33-58
éneration chez les Juifs ou les Hébreux, pour la célébration de leurs fêtes , suivant la loi qu’ils en avoient reçue de Dieu :
t fait en leur faveur. Depuis ce tems-là ils instituerent quantité de fêtes pieuses où la danse étoit admise, entre autres ce
it tous les ans, sous des feuillées dressées dans la campagne : cette fête étoit en grande vénération parmi eux, comme il pa
ablira non seulement Jérusalem, mais qu’il lui remettra ses anciennes fêtes , ses chants, ses cérémonies, & ses danses. Le
érémonies, & ses danses. Les Juifs célébroient entre autres trois fêtes dans l’année, où la danse Sacrée faisoit le princ
it donnez, dont ils lui offroient les prémices dès le lendemain de la fête de Pâques. La seconde, à la fin de Juillet, après
de Lancenie, c’est-à-dire de dédicace ou restauration, qui étoit une fête célébre chez les Juifs ; elle fut instituée par J
nt du Temple de Jérusalem, suivant Joseph, Liv. 12, qui dit que cette fête fut célébrée pendant huit jours comme une réjouis
publics, & autres plaisirs honnêtes, pour l’accomplissement d’une fête si solemnelle. Les Juifs l’ont célébrée tous les
x publics chez les Grecs, ceux qui menoient le branle de la danse aux fêtes de cérémonies. L’Histoire des Ordres Monastiques
ers Chrétiens s’assembloient dans les hameaux les Dimanches & les Fêtes , pour danser en rond en chantant des Pseaumes, de
eunesse chez toutes les Nations, pour perfectionner la vie civile. La fête des Agapes ou festins de charité, fut encore inst
Carthage, au grand regret des pauvres Chrétiens qui regardoient cette fête comme une consolation dans leurs miseres : l’on n
s zélez avoient coutume de s’assembler la nuit, la veille des grandes fêtes , au-devant des Eglises, pour danser en rond au ch
hant des Hymnes & des Cantiques du Saint dont l’on solemnisoit la fête , & particulierement aux quatre fêtes solemnel
aint dont l’on solemnisoit la fête, & particulierement aux quatre fêtes solemnelles de l’année : mais dans la suite des t
oyera les calendes dudit mois de Janvier, à cause du nouvel an, ou la fête du premier Mai à cause du renouvellement du Print
la défense des danses Baladoires qui se faisoient par les peuples les Fêtes & Dimanches dans les places publiques, aussi-
l’on voyoit encore vers le milieu du siecle précedent à Limoges, à la fête de S. Martial Apôtre du Limousin, le peuple danse
anéanti en France les danses qui se faisoient les Dimanches & les Fêtes devant les Eglises ; joint à l’Arrest de la Cour
e ici pour faire voir l’attention de nos Rois pour la suppression des fêtes & des danses Baladoires en France. ARREST d
des grands jours le 14 Décembre 1665, les danses publiques appellées fêtes baladoires, & autres semblables, demeureront
s permettre, ni souffrir que les Foires & Marchez soient tenus ès Fêtes solemnelles. A Paris l’an 1667. Extrait des Regis
Cour des grands jours le 14 Décembre 1665, les danses publiques & fêtes appelées baladoires introduites par quelques Seig
dans l’étendue du ressort desdits grands Jours ès jours du Dimanche, Fêtes du Patron, & autres Fêtes annuelles & sol
dits grands Jours ès jours du Dimanche, Fêtes du Patron, & autres Fêtes annuelles & solemnelles : & comme la qual
nuelles & solemnelles : & comme la qualité des jours desdites Fêtes annuelles & solemnelles n’auroit été reglé pa
x Ordonnances, seront & demeureront les danses publiques appelées Fêtes Baladoires & autres semblables, supprimées :
ermettre, ni de souffrir que les Foires & Marchez soient tenus ès Fêtes Solemnelles de Pâques, Pentecôte, de tous les Sai
la Vierge, de l’Ascension, Circoncision, Epiphanie, Dimanches, & Fête du Patron, à peine de cent livres d’amende, tant
age qui subsiste en Espagne & en Portugal, toutes les veilles des Fêtes de la Vierge ; les filles s’assemblent le soir de
4 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre v. sur le mème sujet. » pp. 137-140
Lettre v. sur le mème sujet. De toutes les fêtes , Monsieur, qui se sont données à Paris pendant le
le, que celle qui fut donnée à St. Cloud le 18. Brumaire, an 8. Cette fête étoit allégorique, et elle fera époque dans notre
oque dans notre histoire. On la nomma l’impromtu de la sagesse. Cette fête unique dans son espèce, ne coûta rien au trésor p
oleil. Personne n’y fut invité ; personne n’eût de billets ; et cette fête donnée aux Demosthènes et aux Cicérons modernes,
e majestueusement et se perd dans les nues. Il n’est point, de bonne fête sans lendemain ; c’est l’antique proverbe des Par
Mars en donna un à Paris qui n’étoit que le dénouement heureux de la fête de la veille. Elle est assez connue par ses détai
e vous en faire la description. Ce qui est à remarquer, c’est que, la fête entièrement terminée, l’horison commença à s’écla
ngtems elle avait cessé de régner. Cet événement fut célébré par des fêtes brillantes, dont la partie intéressante fut confi
ions et les artifices furent toujours en France le fond principal des fêtes que l’on y donna. Il est temps de s’appercevoir q
t les échafauds multipliés absorbent toutes les autres parties de ces fêtes , où les talens et les arts devroient se montrer a
ttoit des entraves à son imagination. Cependant il a déployé dans ces fêtes , du goût, de l’intelligence, de la variété ; et e
5 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IV. Jugement des Conciles contre les danses. » pp. 44-50
t entièrement abolir la coutume irréligieuse qui s’est introduite aux fêtes des saints, que les peuples, au lieu d’assister à
a, et surtout des femmes qui font en sorte qu’on vienne aux jours de fêtes , non dans des vues droites et saintes qu’on doit
ulte à celui de Dieu et des saints. » Il en donne pour preuves qu’aux fêtes solennelles des apôtres et des autres saints, « o
généralement tout ce qui n’est qu’une profanation des saints jours de fêtes . » Le concile de Reims, tenu en 1583, au titre d
, tenu l’année 1583, fait le même réglement sur la sanctification des fêtes par rapport à la fuite des danses, que celui du c
neries et des excès de bouche qu’on doit éviter, surtout les jours de fêtes , comme en étant une profanation manifeste : Comm
ilée, tenu en 1596, porte en termes formels : « Le temps des jours de fêtes doit être employé à écouter les prédications, et
e, tenu en 1609, défendant comme les conciles précédens, aux jours de fêtes , tous les divertissemens capables de porter à l’i
de peur que Dieu ne se plaigne de la manière dont nous célébrons les fêtes , comme il se plaignoit autrefois des Juifs au suj
st en abomination, je ne puis plus souffrir vos sabbats et vos autres fêtes où il n’y a qu’iniquité et fainéantise… (v. 14) E
cile de Bordeaux, tenu ensuite en 1624, parlant de la célébration des fêtes , commence par remarquer que le cœur de l’homme es
différens excès. Après quoi il ajoute : « Afin donc que les jours de fêtes établis pour vaquer à la contemplation des choses
s contre les danses, sous prétexte qu’il ne s’y agit que des jours de fêtes et de dimanches, et du temps des saints offices ;
donc ces conciles insistent particulièrement sur la circonstance des fêtes , c’est parce que ces misérables divertissemens n’
6 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre II. Des Danses des Anciens dans les Fêtes publiques »
Chapitre II. Des Danses des Anciens dans les Fêtes publiques Toutes les actions publiques des Anci
ns avaient quelque Analogie avec leurs superstitions. Leurs premières Fêtes n’eurent pour objet que leurs Dieux, et les Danse
it les idées primitives dans les airs qu’elle composa, et chacune des Fêtes qu’on célébrait, devint un spectacle animé, dont
de rameaux naissants. Se montrer sans cette marque distinctive de la Fête , aurait paru une sorte d’infamie : les Sénateurs
nateurs mettaient une espèce d’honneur à en avoir les premiers. Cette Fête commencée dès l’Aurore et continuée tout le jour,
bère lui-même en rougit, et il fit rendre un Décret pour abolir cette Fête , mais les racines de la corruption étaient déjà t
rofondes. Après les premiers moments de la promulgation de la Loi, la Fête et les Danses du premier jour de Mai furent renou
devant des maisons des Gens en Place, sont un reste de cette ancienne Fête . Ce n’est pas la seule occasion où l’orgueil a us
7 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iv. sur le même sujet. » pp. 129-136
nfortune générale, que les législateurs doivent s’amuser à donner des fêtes qui n’amusent personne. Ce n’est pas, dis-je, dan
la vue est si affligeante, il est aisé de se persuader que toutes les fêtes immorales et insignifiantes que l’on donnoit au p
s souverains, qui avoient le plus de bon sens, regardoient toutes ces fêtes comme des épigrammes, d’autant plus sanglantes, q
et leur misère présente. Je reviens à mon sujet. Le but de toutes les fêtes qui fûrent données en France, depuis la mort de L
socier à ces compositions monotones. Aussi, le résultat de toutes ces fêtes maladroitement combinées, n’offrit que du bruit e
bler sept à huit cens mille âmes dans le même emplacement ; une telle fête n’offriroit que désordre et confusion ; des accid
qu’en divisant cette masse énorme, et en donnant au peuple autant de fêtes particulières, qu’il y a de faubourgs et de secti
différentes. Lorsque le gouvernement s’occupera de donner une grande fête , pour célébrer un événement qui fixera le bonheur
ties de l’Europe en payent les frais en s’amusant ; il faut que cette fête soit grande, parce que c’est une grande nation en
espèce. Je veux dire que, deux jours avant celui destiné à donner la fête , il n’y aura pas un clou à mettre, un coup de pin
nsi que l’artifice, est réservé pour la veille, ou le jour même de la fête . Pour venir au devant de toutes les objections, s
dirai que le peuple après avoir vû tous les grands préparatifs de la fête , jouiroit encore du spectacle le plus pompeux et
laine à l’imagination. C’est là où je placerai le dénouement de cette fête auguste. Le Champ de Mars présenteroit à l’œil t
n ensemble vraiment miraculeux, un spectacle unique et ravissant, une fête absolument neuve, où tout brilleroit sans se heur
8 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre X. De la Danse sacrée des Chrétiens »
à les remplir, en même temps d’une joie pure dans la célébration des Fêtes qu’elle avait établies, pour leur rappeler les bi
ment à l’esprit des premiers Chrétiens, comme un moyen d’animer leurs Fêtes , d’embellir leurs cérémonies, de rendre leur Cult
déserts. Ils se rassemblaient dans les hameaux, les Dimanches et les Fêtes  ; et ils y dansaient pieusement, en chantant les
ses sacrées à l’honneur du Dieu des Chrétiens. Chaque Mystère, chaque fête avait ses Hymnes, son Office et ses Danses. Les P
e Latine, que parce qu’ils commençaient et menaient la Danse dans les Fêtes solennelles. Les Chrétiens d’ailleurs les plus zé
ous vous livrez à la danse ; si votre penchant vous entraîne dans ces Fêtes que vous paraissez aimer avec fureur ; dansez : j
arité30. Comme la dissolution et la débauche se glissèrent dans cette Fête établie, pour réunir par des liens de paix et les
tus Martyrum ; Chori sanctarum Virginum, etc. 30. On la nommait la fête des Agapes. 31. Préface du Traité des Ballets. É
9 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
Chapitre II. Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe
que le génie et l’art mettaient en état d’imaginer et de conduire ces Fêtes continuelles, qu’on avait véritablement envie de
e leur temps, influent peu cependant sur l’avenir des Artistes. [Voir Fête (Beaux-Arts)] Ce Durand, Courtisan sans talents d
Ministre sans goût, avait imaginé et conduit le plus grand nombre des Fêtes de la Cour de Louis XIII. Les Français qui avaien
t sur elle ; et il est flatteur encore pour nous aujourd’hui, que les Fêtes les plus magnifiques et les plus galantes qu’on a
ngleterre, et par des présents magnifiques qu’elles lui firent. [Voir Fête (Beaux-Arts)] Qu’on compare cette Fête remplie d’
ues qu’elles lui firent. [Voir Fête (Beaux-Arts)] Qu’on compare cette Fête remplie d’esprit et de variété avec l’assemblage
auvais goût des gens en place. 114. Cette partie était imitée de la fête de Bergonce de Botta. 115. En opposition à cet a
10 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114
s danses sont particulièrement défendues les jours de Dimanches et de Fêtes , pendant le service divin, qu’elles soient innoce
aux temporels, obligent de les suspendre les jours de dimanches et de fêtes pour vaquer plus librement à Dieu ; combien est-o
qu’on doit s’appliquer à retirer de la célébration du dimanche et des fêtes , c’est de réveiller et d’enflammer davantage en s
la charité. Une des intentions que l’Eglise a eues en instituant les fêtes en l’honneur des saints, a été qu’en nous réjouis
runt. Comment donc prétend-on honorer les saints aux jours de leurs fêtes par des danses et des excès de boisson, et d’autr
arce qu’on s’y livre plus pleinement à lui ? N’est-ce pas changer les fêtes de la Religion en des fêtes toutes profanes et to
einement à lui ? N’est-ce pas changer les fêtes de la Religion en des fêtes toutes profanes et toutes païennes ? Et cette pro
ailleurs profession d’une grande piété ? Les jours de dimanches et de fêtes étant consacrés à Dieu, comme une église, un aute
de mal à travailler à la terre les jours entiers des dimanches et des fêtes , qu’à y danser : Meliùs totâ die foderent, quàm
éfendue en tout temps, l’est encore plus les jours de dimanches et de fêtes . Et comme ce qu’il dit sur les spectacles est éga
ns de Dieu, et en particulier celui qui regarde la sanctification des fêtes , sont trop oubliés ; et bientôt le jour du Seigne
t réfute, disoit en permettant d’aller à la comédie les jours même de fêtes , qu’elle ne commence qu’après l’office, le savant
our défendre les danses publiques les saints jours de dimanches et de fêtes , et surtout les fêtes patronales. Nous avons déjà
s publiques les saints jours de dimanches et de fêtes, et surtout les fêtes patronales. Nous avons déjà vu ce qu’en rapporte
ui défendent les danses publiques les saints jours de dimanches et de fêtes , il ne reste plus qu’à désirer que tous ceux entr
11 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VII. Témoignage d’un célèbre Jurisconsulte contre les Danses. » pp. 94-98
dre naturel. (Voici comme il parle dans la chapitre 10 qui traite des fêtes , des reliques, etc. art. 8. pag. 348. Il s’agit à
la vérité, dans cet article, des danses aux jours de dimanches et de fêtes , mais j’ai déjà observé, qu’outre la profanation
oit recommander par rapport à elles pour les jours de dimanches et de fêtes , ce seroit de n’y pas donner trop de temps en ces
s Fidèles, dit-il, doivent consacrer au Seigneur les dimanches et les fêtes , et assister au service divin : c’est pourquoi il
« Défendons à tous juges de permettre qu’aux jours de dimanches et de fêtes annuelles et solennelles, aucunes foires et march
r des foires et des marchés, et des danses publiques les dimanches et fêtes , d’ouvrir les jeux de paumes et les cabarets ; et
emporelle réunies à pourvoir à la sanctification des dimanches et des fêtes , en défendant en ces jours-là les danses publique
12 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Préface. » pp. -
ont imitez, en faisant entrer les danses dans la célébration de leurs Fêtes & dans leurs Sacrifices. Les Juifs, à en juge
mme Dieu des Festins, desquels le Bal faisoit l’accomplissement de la fête chez les Grecs Diodore l’attribue aussi à Terpsic
à ce que dit Hérodote, Livre second, les Bacchanales, qui étoient des Fêtes où les Danses Lascives prirent leur origine. Les
bourg de laquelle ils s’établirent, les cérémonies prophanes de cette Fête . Tite-Live nous apprend qu’on la célebroit la nui
u tems des désordres qui se commettoient dans la célébration de cette fête , l’abolit sous peine de mort l’an 668 de la Fonda
fais voir que les Romains, pour se dédommager des suppressions de ces fêtes , inventerent sous l’empire de Néron, des Mascarad
des honneurs divins, & pour les délasser de leurs travaux par des fêtes innocentes après les sémailles & la moisson :
te & des chalumeaux, qui firent depuis partie de la cérémonie des fêtes célébrées en l’honneur de ces Dieux. Je rapelle c
l’Eglise ne s’est récriée, que parce qu’elles occupoient les jours de Fêtes la populace dans les places publiques, à passer u
13 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur les fêtes nationales] — Lettre iii. sur le même sujet. » pp. 122-128
sur le même sujet. Je ne cesse, Monsieur, de vous bercer dans les fêtes  ; lorsqu’elles vous endormiront, vous me le ferez
le ferez savoir. La musique, en tout genre, est partie intégrale des fêtes  ; n’ayant pour souverain juge que l’oreille, elle
ous font éprouver bientôt le dégoût. Les artistes ont oublié, dans la fête des victoires, que c’étoit à ces deux sens qu’ils
sses et la majesté imposante de l’architecture. Il en est de même des fêtes , si le sujet en est pauvre et décousu, s’il n’off
xemple, cette petite butte, ou pâté, qui étoit le point central de la fête des victoires, est une imagination d’une insigne
re, à qui dieu fasse paix et miséricorde, ne monta pas, le jour d’une fête auguste et majestueuse, sur un petit plateau. Il
islateur des Juifs, et celui des Français, L. R. L. P. Je reviens aux fêtes . Pour donner celle des victoires, il étoit inutil
t au goût, à l’imagination et à l’invention, que le plan d’une grande fête . Ce genre de spectacle offre au génie un champ va
14 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre III. Suite du Précédent »
les recevait en grand Roi. On lui annonça un jour, pendant une de ces Fêtes , la prise d’Amiens par l’armée Espagnole. Ce coup
côté de la belle Gabrielle, qui, comme lui, portait les habits de la Fête , et qui fondait en larmes, il lui dit : Ma Maître
Français ont le plus dansé, et qu’ils se sont le mieux battus. [Voir Fêtes de la Cour de France] 97. Mém. de Sully. Liv.
en de plus grands divertissements encore que les autres, et dans des Fêtes préparées, avec beaucoup de magnificence… l’Arsen
15 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les fêtes modernes »
Sur les fêtes modernes Branle Branle de Saint-Elme, (Hi
les fêtes modernes Branle Branle de Saint-Elme, (Hist. mod.) fête qui se célébrait autrefois à Marseille la veille
de trophées et attributs convenables à la fontaine et à l’objet de la fête . Dans l’intérieur de cette fontaine était placée
ais peuples aussi n’ont été si tendrement attachés à leur roi. (B) Fête (Beaux-Arts) Fête, (Beaux-Arts) solennité ou
t été si tendrement attachés à leur roi. (B) Fête (Beaux-Arts) Fête , (Beaux-Arts) solennité ou réjouissance, et quelq
e mot a été nécessaire à toutes les nations : elles ont toutes eu des fêtes . On lit dans tous les historiens, que les Juifs,
les : elles indiquent seulement l’antiquité de la chose que notre mot fête nous désigne. Nous passerons rapidement sur les f
se que notre mot fête nous désigne. Nous passerons rapidement sur les fêtes de solennité et de réjouissance des Juifs, des Pa
rt], etc. et les articles précédents : Fête-Dieu [Article de Mallet], Fête des Anes [Article de Mallet], Fête des Fous [Arti
s : Fête-Dieu [Article de Mallet], Fête des Anes [Article de Mallet], Fête des Fous [Article de Jaucourt], Fête des Innocent
te des Anes [Article de Mallet], Fête des Fous [Article de Jaucourt], Fête des Innocents [Article de Mallet], et Fêtes des H
ous [Article de Jaucourt], Fête des Innocents [Article de Mallet], et Fêtes des Hébreux [Article de Mallet], Fêtes des Païens
ocents [Article de Mallet], et Fêtes des Hébreux [Article de Mallet], Fêtes des Païens [Article de Mallet], Fêtes des Mahomét
es Hébreux [Article de Mallet], Fêtes des Païens [Article de Mallet], Fêtes des Mahométans [non signé], Fêtes des Chinois [Ar
tes des Païens [Article de Mallet], Fêtes des Mahométans [non signé], Fêtes des Chinois [Article de Mallet], Fêtes des Chréti
es des Mahométans [non signé], Fêtes des Chinois [Article de Mallet], Fêtes des Chrétiens [Article de Faiguet]. Il ne sera po
hrétiens [Article de Faiguet]. Il ne sera point question non plus des fêtes de notre sainte religion, dont les plus considéra
. Les bornes qui me sont prescrites m’empêcheront aussi de parler des fêtes des siècles trop reculés : les triomphes d’Alexan
our. Je prends pour époque en ce genre des premiers jets du génie, la fête de Bergonce de Botta, gentilhomme de Lombardie ;
ne et les Egipans, qui venaient célébrer une noce si illustre ; et la fête fut ainsi terminée d’une manière aussi gaie qu’in
rrousels réguliers, des opéras, des grands ballets à machines, et des fêtes ingénieuses avec lesquelles on a célébré en Europ
sur ce développement que les cours d’Italie imitèrent tour-à-tour la fête de Bergonce de Botta ; et Catherine de Médicis en
ts qu’elle avait vu renaître à Florence, y porta aussi le goût de ces fêtes brillantes, qui depuis y fut poussé jusqu’à la pl
t la plus glorieuse perfection. On ne parlera ici que d’une seule des fêtes de cette reine, qui avait toujours des desseins,
administration, donna le bal deux fois le jour, festins sur festins, fête sur fête. Voici celle où je trouve le plus de var
ration, donna le bal deux fois le jour, festins sur festins, fête sur fête . Voici celle où je trouve le plus de variété, de
a pompe, à la magnificence, gagnait les esprits de l’Europe depuis la fête ingénieuse de Bergonce de Botta. Les tableaux mer
uve un exemple qui fera connaître l’état des mœurs du temps, dans une fête publique préparée avec toute la dépense possible,
ses ouvrages sur cette matière. C’est à Lisbonne que fut célébrée la fête qu’il va décrire. « Le 31 Janvier (1610)2, après
la richesse des habits ne faisaient pas le moindre ornement de cette fête , quelques-uns ayant pour plus de deux cents mille
partie, livre II, chap. 1, « Des ballets ambulatoires »] Les trois fêtes qu’on a mis sous les yeux des lecteurs, doivent l
uffisante sur cette matière, on croit qu’une relation succincte d’une fête plus générale, qui fit dans son temps l’admiratio
érité. [voir Traité historique, IIe partie, livre III, chap. 2, « Des Fêtes du même genre dans les autres Cours de l’Europe »
elui de son siècle, avait imaginé et conduit le plus grand nombre des fêtes de la cour de Louis XIII. Quelques Français qui a
t sur elle ; et il est flatteur encore pour nous aujourd’hui, que les fêtes les plus magnifiques et les plus galantes qu’on a
ous les cas de réjouissance générale. On a démêlé sans peine dans les fêtes de Londres, que les préparatifs des spectacles qu
été l’instrument secret des avantages glorieux qui les causent. Voyez Fêtes de la Cour, de la Ville, des Princes de France, e
oyaux, Illuminations [Article non rédigé], etc. Feu d’Artifice.(B) Fêtes de la Cour de France Fêtes de la Cour de Fran
on rédigé], etc. Feu d’Artifice.(B) Fêtes de la Cour de France Fêtes de la Cour de France. Les tournois et les carrous
e Fêtes de la Cour de France. Les tournois et les carrousels, ces fêtes guerrières et magnifiques, avaient produit à la c
el l’adresse, les ressources, la politique de la reine : elle imagina fêtes sur fêtes pour lui faire perdre de vue sans cesse
se, les ressources, la politique de la reine : elle imagina fêtes sur fêtes pour lui faire perdre de vue sans cesse le seul o
e je me propose ici, je crois devoir choisir parmi le grand nombre de fêtes qui furent imaginées durant ce règne, celles qu’o
phes ». [voir Traité historique, IIe partie, livre II, chap. 2, « Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’anné
sonnes, sans qu’aucun en fût offensé ». La partie éclatante de cette fête , qui a été saisie par l’historien que j’ai copié,
nt le ton de celui-ci. Henri IV aimait les plaisirs, la danse, et les fêtes . Malgré l’agitation de son administration pénible
eut l’intendance des ballets, des bals, des mascarades, de toutes les fêtes , en un mot, d’un roi aussi aimable que grand, et
stres. [voir Traité historique, IIe partie, livre III, chap. 1, « Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France,
rs chargé en France des négociations de sa cour, de donner au roi une fête de ce genre. La nouvelle s’en répandit, et les co
nards. [voir Traité historique, IIe partie, livre III, chap. 1, « Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France,
ront toujours un amusement instructif ; soit qu’à force de donner des fêtes à la cour, l’imagination s’y fût peu-à-peu échauf
i la grossièreté, ni l’enflure, qui furent le caractère de toutes les fêtes d’éclat du règne précédent. Le cardinal Mazarin a
terie. On trouve les traces de ce qu’on vient de dire dans toutes les fêtes qui furent données sous ses yeux. Benserade fut c
e son discernement a su lui suggérer le choix qu’il fallait faire. La fête brillante que ce ministre donna dans son palais a
de Flore. [voir Traité historique, IIe partie, livre III, chap. 3, «  Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année
me en spectacle aux Romains. On ne s’attachera point à rapporter les fêtes si connues de ce règne éclatant ; on sait dans le
e talent de la représentation, eut la bonté constante dans toutes les fêtes superbes, qui charmèrent sa cour et qui étonnèren
jouissons! Voyez les mémoires du temps, et les diverses relations des fêtes de Louis XIV, surtout de celle de 1668. La minori
de celle de 1668. La minorité de Louis XV fournit peu d’occasions de fêtes  : mais la cérémonie auguste de son sacre à Reims,
vue dans tout son éclat, sous le règne florissant de Louis XIV. Voyez Fêtes des Princes de la Cour de France, etc. Elle s’es
hal de Richelieu. Une salle de théâtre une fois élevée le suppose. La fête du moment n’était qu’un prétexte respectable, pou
de goût et de génie détermina d’abord l’illustre ordonnateur de cette fête , à rassembler, par un enchaînement théâtral, tous
ments, ne furent pas les seuls plaisirs qui animèrent le cours de ces fêtes . Le théâtre du manège fournit encore à M. le duc
es, et il fit représenter deux grands ballets nouveaux, relatifs à la fête auguste qu’on célébrait, avec toute la dépense, l
ux ouvrages étaient susceptibles. L’Année galante fit l’ouverture des fêtes et du théâtre ; les Fêtes de l’hymen et de l’amou
tibles. L’Année galante fit l’ouverture des fêtes et du théâtre ; les Fêtes de l’hymen et de l’amour furent choisies pour en
point aux ouvrages choisis pour annoncer par de nobles allégories les fêtes qu’on voulait célébrer ; on prit tous ceux qu’on
’année 1747. Les machines nouvelles qui, pendant le long cours de ces fêtes magnifiques, parurent les plus dignes de louange,
ue par M. de Blamont surintendant de celle du Roi, auteur célèbre des Fêtes grecques et romaines : 3°. les cataractes du Nil
uguste de l’univers. Cette machine formait le nœud du second acte des Fêtes de l’Hymen et de l’Amour, opéra de MM. de Cahusac
de l’Amour, opéra de MM. de Cahusac et Rameau, qui fit la clôture des fêtes de cette année. Elles furent suspendues dans l’at
itraves, corniches, et plusieurs groupes de figures allégoriques à la fête . Tous les ornements en fleurs étaient peints en c
ées à l’infini, offraient une allégorie ingénieuse et saillante de la fête qu’on célébrait, et de l’abondance des biens qui
deux parties des jardins qui y répondent, aurait servi de clôture aux fêtes surprenantes de ce jour tant désiré. L’attente de
nues lièrent sans doute les mains zélées des ordonnateurs. Sans autre fête qu’un grand feu d’artifice, ils laissèrent la cou
n prince avait fait passer dans les cœurs de tous les Français. Voyez Fêtes de la Ville de Paris. Les douceurs de la paix et
igneur le duc de Berry ; on en avait chargé les auteurs du ballet des Fêtes de l’hymen et de l’amour, qui avaient fait la clô
t des Fêtes de l’hymen et de l’amour, qui avaient fait la clôture des fêtes du mariage : ainsi les talents modernes furent ap
encouragés par mille attentions, récompensés avec libéralité. (B) Fêtes de la Ville de Paris Fêtes de la Ville de Par
s, récompensés avec libéralité. (B) Fêtes de la Ville de Paris Fêtes de la Ville de Paris. On a vu dans tous les temps
elque heureuse circonstance que leurs magistrats ont célébrée par des fêtes . Notre objet nous borne à ne parler que de celles
ire. Le Roi, toute la famille royale lui firent espérer d’honorer ses fêtes de leur présence ; il crut devoir ne leur offrir
s, pendant le cours de ses brillantes prévôtés. Il pensa qu’une belle fête ne pouvait être placée sur un terrain trop beau,
es en arcades et pilastres, avec des figures relatives au sujet de la fête . Il formait un salon à huit pans, du milieu desqu
que le Roi parut sur son balcon ; il se fit entendre tant que dura la fête , et ne fut interrompu que par les acclamations ré
amides et des gerbes de feu, des soleils, etc. Une joute commença la fête . Il y avait deux troupes de jouteurs, l’une à la
transparent, paraissait comme au centre de cette brillante et galante fête , et semblait sortir du sein des feux et des eaux.
s, partirent, et une dernière salve de canon termina cette magnifique fête . Tout l’artifice était de la composition de M. El
u parut en 1745 avoir hérité du secret de ce magistrat célèbre. Voyez Fêtes de la Cour de France. Bal de la ville de Paris, d
is encore par des positions et des attributs relatifs à l’objet de la fête . Au fond de cette cour changée en salle de bal, o
soir, que le bal commença, jusqu’à huit heures du matin. Toute cette fête se passa avec tout l’amusement, l’ordre et la tra
pour prévenir les accidents. Toutes les dispositions de cette grande fête ont été conservées dans leur état parfait pendant
berté de les voir. Les grands effets que produisit cette merveilleuse fête , sur plus de 600000 spectateurs, sont restés grav
les deux mariages de Monseigneur le Dauphin, ont été célébrés par des fêtes , des illuminations, des bals, des feux d’artifice
dans les fastes de l’Europe, est l’action généreuse qui tint lieu de fête à la naissance de monseigneur le duc de Bourgogne
ue le projet fut proposé à la ville, les préparatifs de la plus belle fête étaient au point de l’exécution. C’est à l’hôtel
ne foule d’hommes nés pour l’aimer, le servir, et le défendre. (B) Fêtes des grandes Villes du Royaume de France Fêtes
le défendre. (B) Fêtes des grandes Villes du Royaume de France Fêtes des grandes Villes du Royaume de France. C’est ic
ational, qui fait le caractère distinctif de ses citoyens. A côté des fêtes brillantes, qui ont illustré cette ville opulente
bon esprit la fécondité des talents et des arts. Telles seraient les fêtes de Toulouse, de Rennes, de Rouen, de Dijon, de Me
Espagne accompagnées de plusieurs trophées et attributs relatifs à la fête . Ce bâtiment, dont le portique ou arcade faisait
e, que des réjouissances et des acclamations de joie ; ce n’était que fêtes continuelles dans la plupart des maisons. Le prem
imable, dont le goût sait embellir les efforts de la richesse. (B) Fêtes des Princes de France Fêtes des Princes de Fr
ir les efforts de la richesse. (B) Fêtes des Princes de France Fêtes des Princes de France. Nos princes, dans les circ
Bourbons sont animés, qui produisit lors du sacre du Roi en 1725, ces fêtes éclatantes à Villers-Cotterêts, et à Chantilly, d
l’avenue, et formaient une architecture rustique plus convenable à la fête , que le marbre et les lambris dorés. Cette union
esgu et la Frenaye, et tira lui-même une loterie qui, en terminant la fête , surpassa toute la magnificence qu’elle avait éta
our contenter tous les curieux. Ce serait ici le lieu de parler de la fête de Chantilly, donnée dans le même temps ; et de c
terminera donc celui-ci, déjà peut-être trop long, par le récit d’une fête d’un genre aussi neuf qu’élégant, dont on n’a par
et ce chœur comique, finit d’une manière plaisante cette partie de la fête . La reine et la cour arrivèrent dans la grande al
ultiplier, comme la multitude des plaisirs dont on avait joui dans la fête . Croirait-on que tous ces apprêts, l’idée, la con
ts, l’idée, la conduite, l’enchaînement des diverses parties de cette fête , furent l’ouvrage de trois jours? C’est un fait c
sans louèrent beaucoup l’invention, la conduite, l’exécution de cette fête ingénieuse, et toute la cour s’intrigua pour en d
musique de S. M. composa toutes les symphonies et les chants de cette fête . Il était déjà depuis longtemps en possession de
ifférents articles de l’Encyclopédie qui y ont quelque rapport. Voyez Fêtes , Fêtes de la Ville de Paris, etc. Les Chinois on
ts articles de l’Encyclopédie qui y ont quelque rapport. Voyez Fêtes, Fêtes de la Ville de Paris, etc. Les Chinois ont pouss
-aider et à s’unir ensemble ? On vit à Paris, le 24 Janvier 1730, une fête aussi belle que toutes celles qu’on y avait donné
et aux principes que je propose plus haut sur leur composition. Voyez Fêtes de la Cour. La naissance de Monseigneur le Dauphi
la Cour. La naissance de Monseigneur le Dauphin fut le sujet de cette fête . MM. de Santa-Crux et de Barenechea, ambassadeurs
it d’emplacement à la scène principale ; il fut comme le centre de la fête et du spectacle. Le 24 Janvier 1730, à 6 heures d
nistres étrangers, et les seigneurs et dames de la cour, invités à la fête , furent arrivés à l’hôtel de Bouillon. On vit par
ur a été donné du lieu où elles furent inventées pendant le cours des fêtes que l’électeur de Bavière donna à Suresnes [1713]
ts, du Père Ménestrier, Jésuite. 3. Cette partie était imitée de la fête de Bergonce de Botta. 4. En opposition à cet anc
16 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VIII. De la Danse sacrée des Égyptiens »
s ingénieuse ; et celles qu’ils instituèrent dans les suites, pour la fête d’Apis, furent les plus solennelles. Les Prêtres
et le deuil, jusqu’à l’apparition du nouvel Apis. Dans ce moment, les fêtes , les festins, les danses recommençaient, comme si
liques duraient ainsi pendant sept jours. C’est en se rappelant cette fête , que le Peuple de Dieu imagina dans le désert, la
mément à la Physique connue des Égyptiens. 19. On avait institué une Fête particulière pour célébrer ce grand événement : e
particulière pour célébrer ce grand événement : elle était nommée, la Fête Pamilie.
17 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’année 1610 »
Chapitre II. Des Fêtes de la Cour de France, depuis 1560 jusqu’en l’anné
uis 1560 jusqu’en l’année 1610 Les Tournois, et les Carrousels, ces Fêtes guerrières et magnifiques avaient causé à la cour
uel l’adresse, les ressources, la politique de la Reine. Elle imagina Fêtes sur Fêtes, pour lui faire perdre de vue sans cess
sse, les ressources, la politique de la Reine. Elle imagina Fêtes sur Fêtes , pour lui faire perdre de vue sans cesse le seul
je me propose ici, je crois devoir choisir, parmi le grand nombre de Fêtes qui furent imaginées durant ce règne, celles qu’o
r d’un Historien92 contemporain les détails que je vais écrire. [Voir Fêtes de la Cour de France] « Le Lundi dix-huit Septem
rsonnes sans qu’aucun en fût offensé. » La partie éclatante de cette fête qui a été saisie par l’Historien que j’ai copié,
e pour les courtisans, et une contagion funeste pour le Peuple. [Voir Fête (Beaux-Arts)] 91. Depuis 1559 qui fut l’époque
18 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre III. Des Danses des Anciens dans les Fêtes des Particuliers »
Chapitre III. Des Danses des Anciens dans les Fêtes des Particuliers Nous n’aurions qu’une idée bie
’il connaît qui est le seul nécessaire à l’homme. Cependant outre les Fêtes publiques, qui mettaient quelque variété dans cet
Famille dans les premiers temps fournit elle-même les Acteurs de ces Fêtes particulières. Le luxe ensuite fit imaginer de jo
traits légers, ce badinage élégant, qui sont l’âme aujourd’hui de nos Fêtes de tous les jours, furent constamment inconnus au
19 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre IV. De quelques Danses des Grecs »
nt d’une action plus compliquée qu’on retraçait tous les ans dans les Fêtes Hyménées, qu’un trait héroïque d’amour avait fait
hènes les plus illustres devaient célébrer sur les bords de la Mer la fête de Cérès, de laquelle les Lois avaient exclu tous
donnait l’amour, le firent recevoir sans examen et sans obstacle. La Fête commence. Un saint zèle dicte les Chants, et anim
s Magistrats pour exciter la vertu par des exemples, instituèrent les Fêtes hyménées, dans lesquelles on retraçait tous les a
riages, étaient à peu près les mêmes que celles qui terminaient cette Fête solennelle. On ne doit point les confondre avec c
20 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »
Danse sacrée, c’est la danse que le peuple Juif pratiquait dans les fêtes solennelles établies par la loi, ou dans des occa
danses qu’on pratiquait dans les premiers temps de l’église dans les fêtes solennelles, et en un mot toutes les danses qui d
uité reculée de leur origine. Les Juifs instituèrent depuis plusieurs fêtes solennelles, dont la danse faisait une partie pri
la danse, qu’on y exécutait avec la plus grande pompe dans toutes les fêtes solennelles. [voir Traité historique, Ire partie,
ls exécutaient dans leurs marches pendant les sacrifices, et dans les fêtes solennelles. Voyez Danse des Saliens. Toutes les
nels, cherchait à les remplir d’une joie pure dans la célébration des fêtes qu’elle avait établies, pour leur rappeler les bi
serts : là ils se rassemblaient dans les hameaux les dimanches et les fêtes , et ils y dansaient pieusement en chantant les pr
ur consommer le mystère de la rédemption, etc. Chaque mystère, chaque fête avait ses hymnes et ses danses ; les prêtres, les
ssemblaient la nuit devant la porte des églises la veille des grandes fêtes  ; et la pleins d’un zèle saint, ils dansaient en
ent en chantant les cantiques, les psaumes, et les hymnes du jour. La fête des agapes ou festins de charité, instituée dans
de la cène de Jésus-Christ, avait ses danses comme les autres. Cette fête avait été établie, afin de cimenter entre les Chr
et de charité. Malgré les abus qui s’étaient déjà glissés dans cette fête du temps de saint Paul, elle subsistait encore lo
de nos mystères et de nos plus grands saints. Toutes les veilles des fêtes de la Vierge, les jeunes filles s’assemblent deva
donna dans les suites l’idée de celles que l’allégresse publique, les fêtes des particuliers, les mariages des rois, les vict
ent grand soin de les rendre très solennelles dans la célébration des fêtes du dieu qu’ils en croyaient l’inventeur. Elles ét
’est aux bacchanales que les danses lascives durent leur origine. Les fêtes instituées par les bacchantes pour honorer Bacchu
parés de rameaux naissants : être sans cette marque distinctive de la fête , aurait été une espèce d’infamie. Il y avait une
e en usage encore de nos jours, on ne me prend point sans vert. Cette fête commencée dès l’aurore et continuée pendant tout
ans une débauche si honteuse, que Tibère lui-même en rougit, et cette fête fut solennellement abolie. Mais elle avait fait d
toutes celles qui furent instituées dans les suites pour célébrer les fêtes des dieux. (B) [voir Traité historique, Ire parti
21 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre I. Des Ballets Ambulatoires »
nt au Théâtre, que la Danse a formé le fond d’un grand Spectacle. Des Fêtes consacrées par la piété, autorisées par l’usage,
s les espèces étaient répandus sur des échafauds. On étala dans cette Fête , des richesses immenses. L’image seule du nouveau
nouveau Saint fut enrichie de plus d’un million de pierreries. [Voir Fête (Beaux-Arts)] La Béatification d’Ignace de Loyola
des habits ne faisaient pas le moindre ornement du ballet et de cette Fête , quelques-uns ayant pour plus de deux cent mille
es-uns ayant pour plus de deux cent mille écus de pierreries. » [Voir Fête (Beaux-Arts)] 88. Chorus erat Citharistorum e
22 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145
rémonie, qui se font à l’occasion des réjouissances publiques, ou des fêtes particulieres, si ce n’est à Bacchus pour celébre
si ancien que celui des festins, dont le bal termine ordinairement la fête  : comme il est dit dans l’Exode, que le peuple s’
us grands Héros se faisoient un honneur de bien danser en public, aux fêtes solemnelles, entre autres Bacchus, Osiris, Cadmus
les Chefs du Concile par délibération convinrent de donner au Roi une fête galante, & digne de la magnificence d’une ass
ine de Médicis. Outre que cette Reine avoit beaucoup de goût pour les fêtes de réjouissance, elle sçavoit encore s’en servir
jour, & en spectacles ; elle leur donna entre autres une superbe fête , dans une petite Isle située sur le bord de la Ri
s dans le milieu d’un beau Bois de Futaye, pour la célébrité de cette fête  : la Reine y fit couper & étayer des arbres,
tout ce qui convenoit pour le service ; desorte qu’il sembloit que la fête étoit ordonnée par quelque Divinité champêtre, &a
es des Provinces voisines, qui étoient venus à Bayonne au bruit de la fête , y danserent à la maniere de leur pays : les Poit
, &c. Mais par malheur, avant la fin du bal, le Ciel jaloux d’une fête si complette, envoya un orage si soudain & si
ent endommagées. Le Lecteur pourra juger, par la description de cette fête , du goût de Catherine de Médicis, pour engager le
’intelligence avec elle, pour favoriser ses desseins, dans toutes les fêtes qu’elle imaginoit. C’est un usage en France, qu’à
ions des réjouissances publiques, l’Hôtel de Ville de Paris donne une fête qui consiste en festins, en bals, & en grands
en voir la bonté que ce Roy avoit pour son peuple. J’ai vu en 1664 la fête qu’on leur donna à l’Hôtel de Ville en pareille o
IV. Comme mon pere étoit Capitaine de son Quartier, il fut prié de la fête , & m’y mena : j’y dansai une Entrée à la Suis
icence de l’assemblée ne laissa pas de le rendre très-éclatant. Cette fête est une époque immortelle à l’honneur de l’Hôtel
23 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »
plaisir ; mais l’Assemblée en devenant plus nombreuse, prit un air de Fête , dont les égards, la bienséance et l’orgueil s’ét
ans la nature, que les Bals de cérémonie une fois trouvés fussent les Fêtes de tous les temps. Ils se multiplièrent en Grèce,
e de dignité. La décence, l’honnêteté, la convenance de ces sortes de Fêtes étaient au reste, dans ce temps, si solennellemen
is qui avait des desseins et qui n’eut jamais de scrupules, égaya ces Fêtes , et leur donna même une tournure d’esprit qui y r
t intérêt de distraire de l’objet principal qui l’avoir amenée. [Voir Fête (Beaux-Arts)] Les Ducs de Savoie et de Lorraine,
n administration donna le Bal deux fois le jour, Festins sur Festins, Fête sur Fête. Voici celle où je trouve le plus de var
tration donna le Bal deux fois le jour, Festins sur Festins, Fête sur Fête . Voici celle où je trouve le plus de variété, de
, qui étaient alors le fond unique de ces pompeuses Assemblées. [Voir Fête (Beaux-Arts)] Ces sortes d’embellissements aux Ba
24 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203
La Rosière de Salency. Ballet pastoral. Avant-propos. La fête de la Rose, n’est point une fiction. Depuis douze
alency, à une demi-lieue de Noyon. On attribue l’institution de cette fête à St. Médard, seigneur de ce village, qui vivoit
r le Marquis de Segur, seigneur de Romainville, y vient d’établir une fête annuelle, à l’imitation de la Rose de Salency, po
er au prix de la vertu, se charge de l’habillement de l’épouse. Cette fête a eu son commencement le 21. Juin jour de Dimanch
aison. L’idée du bonheur, dont sa cousine va jouir, les apprêts de la fête , tout l’engage à se livrer aux jeux des paysans ;
artent dans cette confiance, et sont remplacées par les garçons de la fête . Scène V. A l’aspect du Bailli, Julie court
x vertus de Julie. Le Seigneur pardonne au Bailli ; il ordonne que la fête commence ; il veut couronner l’innocence et jouir
donne la bourse et la bague ; on l’unit à ce qu’elle aime ; et cette fête , champêtre est terminée par des danses analogues
25 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre III. Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année 1643 jusqu’en l’année 1672 »
Chapitre III. Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année
le la plus instructive de la multitude, fait qu’à force de donner des Fêtes à la Cour, l’imagination s’y fut peu à peu échauf
ni la grossièreté, ni l’enflure qui furent le caractère de toutes les Fêtes d’éclat du Règne précédent. Le Cardinal Mazarin a
cle aux Romains, À venir prodiguer sa voix sur un théâtre, etc. [Voir Fêtes de la Cour de France] Je ne m’étendrai point sur
tc. [Voir Fêtes de la Cour de France] Je ne m’étendrai point sur les Fêtes trop connues de ce Règne éclatant. On sait, dans
te, en répondant à l’injure de Benserade par une autre. [Voir Ballet, Fêtes de la Cour de France] Les Poètes, les gens de Let
26 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Catalogue. Des Danses dont je fais mention dans cette Histoire. » p. 212
danse des festins, pour les réjouissances publiques. De la danse des Fêtes Saturnales. De la danse des Fêtes Baccanales. De
issances publiques. De la danse des Fêtes Saturnales. De la danse des Fêtes Baccanales. De la danse des Orgies. De la danse P
27 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VIII. Des Moralités »
t divers ballets ; ce qui fut la fin de cette belle Moralité. » [Voir Fête (Beaux-Arts)] Quel monstre qu’une pareille compo
la manière dont le dénouement est tourné vers l’objet principal de la Fête  ; mais quelle barbarie dans le dessein ! quelle b
verain qui sait bien choisir, pour imaginer, arranger et conduire une Fête d’éclat, diminue quelquefois de moitié sa dépense
28 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Approbation. De M. l’Abbé Richard, Doyen des Chanoines de l’Eglise Royale & Collégiale de Ste Opportune à Paris, Prieur-Seigneur de l’Hôpital, &c. Censeur Royal. » pp. -
alem. L’usage en a passé dans la Loi de grace ; l’on a dansé dans les Fêtes des Agapes & dans l’Eglise Grecque & Lati
Portugal, dans les Eglises & aux Processions les jours de grandes Fêtes & de réjouissances publiques ordonnées par le
ner aussi l’Histoire de la Danse prophane, de la Danse Théâtrale, des Fêtes Baladoires, & généralement de tous les différ
29 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XII. Des Danses des Lacédémoniens »
s Danses : ce culte journalier devenait encore plus éclatant dans les Fêtes solennelles. Celles de Diane, avant la réforme de
vue l’un et l’autre étaler ses charmes dans les Danses de deux de ces Fêtes . Les soins de Lycurgue changèrent cette Instituti
e était dansée à l’honneur de Saturne. 43. « Y ayant, dit Amyot, ès fêtes solennelles et publiques toujours trois Danses :
me que Lycurgue avait introduite, que les filles, à certains jours de Fête , allassent par la Ville toutes nues, et lui en de
30 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la poétique du ballet et de l’opéra »
tte règle aussi scrupuleusement que tous les autres ; ce n’est qu’une fête , un mariage, un couronnement, etc. qui ne doit av
s séparées de ces poèmes. Ainsi on dit : l’entrée de Tibulle dans les Fêtes grecques et romaines est fort ingénieuse, c’est u
des Sylphes. Cet ouvrage qui fut représenté à la cour, fit partie des fêtes qui y furent données après la victoire de Fonteno
e des fêtes qui y furent données après la victoire de Fontenoy. Voyez Fêtes de la Cour. MM. Rebel et Francœur qui en ont fait
a que celle-là qui prouve le talent, et qui mérite des éloges. (B) Fête Fête, est le nom à l’opéra de presque tous le
le-là qui prouve le talent, et qui mérite des éloges. (B) Fête Fête , est le nom à l’opéra de presque tous les diverti
Fête, est le nom à l’opéra de presque tous les divertissements. La fête que Neptune donne à Thétis ; dans le premier acte
ds défauts de l’opéra de Thétis, est d’avoir deux actes de suite sans fêtes  ; il était peut-être moins sensible autrefois, ma
rappant de nos jours, parce que le goût du public est décidé pour les fêtes . L’art d’amener les fêtes, de les animer, de les
e que le goût du public est décidé pour les fêtes. L’art d’amener les fêtes , de les animer, de les faire servir à l’action pr
principale, est fort rare : cependant, sans cet art, les plus belles fêtes ne sont qu’un ornement postiche. Voyez Ballet, Co
Divertissement. Il semble qu’on se serve plus communément du terme de fête pour les divertissements des tragédies en musique
31 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre III. Témoignages des SS. Pères et Docteurs de l’Eglise contre les Danses. » pp. 23-43
lesquels tout le monde prononce condamnation ? Dans un sermon sur la fête du grand saint Cyprien, en parlant du désordre qu
rlant du désordre qui avoit long-temps régné, de passer la nuit de la fête de ce Saint à chanter et à danser, il dit que « c
aux corps ? Saint Augustin avoit eu la douleur de voir à Hypone, aux fêtes des martyrs, ces profanes divertissemens, qu’il a
excès de bouche et de danses aient eu lieu pour la célébration d’une fête  : « et il en conclut que cette manière de célébre
ion d’une fête : « et il en conclut que cette manière de célébrer les fêtes , n’est digne que des fêtes des idolâtres », et es
conclut que cette manière de célébrer les fêtes, n’est digne que des fêtes des idolâtres », et est par conséquent indigne de
de détruire, exhortant son peuple à ne plus célébrer, à l’avenir, les fêtes des martyrs par des chansons, des danses et des e
is, où il y a des danses et des instrumens pour y exciter, là, est la fête du diable, et les saints anges sont dans la trist
art.1. des actes, p.69) où il est parlé de la manière de célébrer les fêtes des saints, les danses y sont expressément défend
semblables, il nomme « ceux qui ont coutume de profaner les jours de fêtes par des œuvres serviles, par des danses, et autre
e trois ans à ceux qui auront dansé devant les églises, ou un jour de fête , après avoir promis de ne le plus faire. (act. pa
s’agit dans le canon des danses faites devant l’église, ou un jour de fête  ; mais nous avons vu avec quelle force saint Char
constance particulière d’avoir dansé devant une église, ou un jour de fête , exige qu’on impose, pour être allé dans cette da
32 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241
plette, que je crois aux choeurs des anciens à l’institution de leurs fêtes et de leurs jeux ; mais que je ne crois nullement
et de temps variés à l’infini, et que je ne vois autre chose dans les fêtes de l’antiquité fabuleuse, que des marches, des co
a donc été employé a contre-sens, et la dénomination qui convient aux fêtes , aux jeux et aux cérémonies de l’antiquité est ce
plus grand intérêt, et qu’il ne soit borné qu’à la représentation des fêtes villageoises, des fêtes marines, des camps, des f
u’il ne soit borné qu’à la représentation des fêtes villageoises, des fêtes marines, des camps, des foires et de tous les tab
cène dans un village quelconque d’une province de l’Espagne. C’est la fête de ce village ; le Bailli et sa femme, son fils,
res plaisans. Que l’on suppose tout ce que peut offrir de riant cette fête , jeux de toutes les espèces, escrime, prix distri
que d’amour et de tendresse pour leur petit-fils qui étale dans cette fête les graces naîves et touchantes de son âge : Tell
château du seigneur, et qui est située sur la place où se donnoit la fête  ; on le suit en foule, on s’y rassemble pour se d
au seigneur et à son épouse. Les femmes des Miquelets arrivent, et la fête courte et variée qui suit, essuye les larmes, rét
tout parle enfin en faveur de la gloire, qui embellit elle-même cette fête . Du côté opposé, la Déesse des Plaisirs entourée
x, les Ris et les Plaisirs. Des Nymphes charmantes embellissent cette fête  ; l’Amour et la Volupté en règlent les danses, en
Cypris ; le son des haubois, des flûtes et des chalumeaux anime cette fête , danses vives et voluptueuses, courses légères, j
it des ballets allégoriques pour les mariages des Princes, pour leurs fêtes , pour leur naissance, pour leur convalescence ; o
des teins et du costume, il répandoit beaucoup de variété dans cette fête magique qui, à mon sens, est historique et allégo
ette union leur inspiroit ; Roger et Bradamante s’associoient à cette fête noble et peignoient dans un pas de deux en action
ent dans un pas de deux en action, leur amour et leur félicité. Cette fête préparatoire de l’union qui alloit se former étoi
aux Sybarites peuple voluptueux. On cite pour modèle de ces sortes de fêtes , le fameux Carrousel de Louis treize en 1662, mai
33 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France, depuis l’année 1610 jusqu’en l’année 1643 »
Chapitre I. Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France,
débarrasse, ce n’est qu’en lui substituant un défaut contraire. [Voir Fêtes de la Cour de France] Aussi ne cessa-t-on d’être
rs chargé en France des négociations de sa Cour, de donner au Roi une fête de ce genre. La nouvelle s’en répandit, et les Co
depuis longtemps dans un genre, que les Français avaient gâté. [Voir Fêtes de la Cour de France] Le Cardinal de Richelieu po
les pas d’un comique grossier qui occupaient les Courtisans dans les Fêtes d’éclat, devaient nécessairement lui déplaire ; m
des réjouissances publiques. C’est ainsi que l’on célèbre les grandes Fêtes . Une partie du jour s’emploie à louer Dieu, et l’
, et l’autre aux passe-temps honnêtes. Cet hiver doit être une longue Fête après de longs travaux. Non seulement le Roi et s
34 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre II. Origine des Ballets »
rgonzio di Botta], Gentilhomme de Lombardie, signala son goût par une fête éclatante qu’il prépara dans Tortone, pour Galeas
ne et les Egipans, qui venaient célébrer une Noce si illustre ; et la Fête fut ainsi terminée d’une manière aussi gaie qu’in
e des Carrousels, des Opéras, et des grands Ballets à machines. [Voir Fête (Beaux-Arts)] Le premier de ces Spectacles est ét
35 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre VII. Des Bals publics »
s prirent le ton qu’ils trouvèrent établi. L’un donna les plus belles Fêtes à Suresnes, l’autre à l’Hôtel de Brétonvilliers.
ayés de la somptuosité que tous ces Princes avaient répandue dans ces Fêtes superbes, n’osèrent plus se procurer dans leurs m
devient admirable sous la main vivifiante d’un homme de génie. [Voir Fêtes de la Ville de Paris] 106. Elle fut inventée pa
36 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse et le ballet »
eur de Madame Chrétienne de France, duchesse de Savoie, à laquelle la fête était donnée. Au lever de la toile l’Amour déchir
t ce qu’on vient d’expliquer, les princes qui donnaient ces sortes de fêtes ajoutaient des présents magnifiques pour toutes l
is XIV [voir Traité historique, IIe partie, livre III, chap. 1, « Des Fêtes dont la Danse a été le fond à la Cour de France,
conduite. [voir Traité historique, IIe partie, livre III, chap. 3, «  Fêtes de Louis XIV relatives à la Danse, depuis l’année
t plus qu’en sous-ordre. Ce fut en 1671, qu’on représenta à Paris les Fêtes de Bacchus et de l’Amour, cette nouveauté plût ;
trées comiques ; c’est à lui qu’on doit ce genre, si c’en est un. Les Fêtes Vénitiennes ont ouvert une carrière nouvelle aux
plus fort de génie, décidera sans doute la question au préjudice des Fêtes Vénitiennes et des Fêtes de Thalie, peu goûtées d
dera sans doute la question au préjudice des Fêtes Vénitiennes et des Fêtes de Thalie, peu goûtées dans leurs dernières repri
est une des premières beautés : mais il faut attendre la reprise des Fêtes de l’Hymen et de l’Amour, pour décider si ce genr
danse, des actions courtes qui ne sauraient fatiguer l’attention, des fêtes galantes qui se succèdent avec rapidité, une foul
’Europe galante, les Eléments, les Amours des Dieux, et peut-être les Fêtes Grecques et Romaines. D’où vient donc la rareté d
une fort agréable invention. La danse de Terpsichore, du prologue des Fêtes Grecques et Romaines, doit être rangée aussi dans
lie dans le quinzième siècle ; l’on vit renaître les ballets dans une fête magnifique qu’un gentilhomme de Lombardie nommé B
37 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre XI. Des danses Baladoires, des Brandons, etc. »
ait le temps marqué pour la célébration de presque toutes les grandes Fêtes , plus que tout cela, peut-être le refroidissement
seconde autour des feux qu’on allumait dans les rues la veille de la Fête de Saint Jean. On trouvera dans la suite33, la de
38 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VII. » pp. 110-128
ue du nom de divertissement ; on prodigua jadis ce titre à toutes les fêtes éclatantes qui se donnerent dans les différentes
s différentes Cours de l’Europe. L’examen que j’ai fait de toutes ces fêtes me persuade que l’on a eu tort de le leur accorde
’est à tort que l’on a donné ce nom à des Spectacles somptueux, à des Fêtes éclatantes qui réunissoient tout à la fois la mag
mêmes parties réunies en composent un digne des plus grands Rois. Ces Fêtes étoient d’autant plus agréables qu’elles étoient
ra prise dans la nature. Si je refuse le titre de Ballet à toutes ces Fêtes  ; si la plupart des Danses de l’Opéra, quelques a
es Fleurs ; l’Acte d’Eglé dans les Talents Lyriques ; le Prologue des Fêtes Grecques & Romaines ; l’Acte Turc de l’Europe
39 (1845) Notice sur La Sylphide pp. 3-23
Les parents sont d’accord, les jeunes filles sont parées ; il y aura fête et gala sur la montagne, et déjà les danses comme
t confiante. Allons, que rien ne trouble ces noces heureuses ! que la fête recommence de plus belle ! Gurn est un méchant qu
nent à leur horrible joie tant qu’elle peut aller. « Telles sont les fêtes que se donnent les sorcières à certaines époques
me une trame d’or tissée par les fées du lac pour l’ornement de leurs fêtes . C’étaient de petits nuages humides où l’orangé,
s regards ! »Ainsi parle le poète, ainsi danse la fille de l’air ! La fête est grande dans la forêt enchantée ; les sylphide
ailes traversent l’espace comme autant de colombes amoureuses ; c’est fête partout, dans les arbres, sous les arbres, dans l
— elle meurt pleurante et pleurée ! Elle quitte à regret cette double fête de la terre et du ciel. Elle renonce, non pas san
tit récit que mademoiselle Taglioni racontait si bien, nous était une fête toujours nouvelle, la fête des yeux plus que des
Taglioni racontait si bien, nous était une fête toujours nouvelle, la fête des yeux plus que des sens, la fête heureuse et r
it une fête toujours nouvelle, la fête des yeux plus que des sens, la fête heureuse et riante, qui ne laisse après elle ni u
40 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre IX. De la Danse sacrée des Grecs et des Romains »
ertile. Bientôt la Grèce surpassa l’Égypte par la magnificence de ses fêtes , et par le nombre de ses superstitions. La Danse
’ils exécutaient dans leurs marches, dans les sacrifices, et dans les fêtes solennelles. Elle fut nommée la Danse des Saliens
41 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « appendix » pp. 257-258
terme. id. 16. et la securité, lises : de la sécurité. 136. 5. celle fête , lisés : cette fête. 140. 9. es les échafauds, li
a securité, lises : de la sécurité. 136. 5. celle fête, lisés : cette fête . 140. 9. es les échafauds, lisés : et les échafau
42 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre IX. Du Ballet Moderne »
n’y fut qu’en sous-ordre. Ce fut en 1671 qu’on représenta à Paris les Fêtes de Bacchus et de l’Amour 137. Cette nouveauté plu
deux ou quatre Danseurs qui figuraient sous cette mascarade dans les Fêtes de ce Spectacle. Le Triomphe de l’Amour 138 fut l
aucun Spectacle qui puisse en avoir donné l’idée. Peut-être quelques Fêtes épisodiques qui m’ont frappé dans Quinault l’ont-
43 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre XI. Des Actions Épisodiques en Danse »
ent. Si, jusqu’au dernier divertissement, qui seul peut n’être qu’une Fête générale, il y a une entrée de Danse, qu’on puiss
aux principes fondamentaux de l’Art du Théâtre. [Voir Divertissement, Fête ] Si quelque Danseur entre ou sort sans nécessité,
iqu’elle fût évidemment déplacée. Dans l’Acte des Jeux Olympiques des Fêtes Grecques et Romaines 147, lorsque l’action commen
44 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VI. Objection : Il faut se récréer quelquefois. » pp. 179-187
particulièrement aux gens de la campagne les jours de dimanches et de fêtes , où, interrompant leurs travaux ordinaires, ils n
surtout ceux de la campagne, s’occupent les jours de dimanches et de fêtes  ? On nous dit que le mal de l’oisiveté est en ces
oit. Mais que feront donc ceux à qui l’on interdira, les dimanches et fêtes , les danses aussi bien que le travail ? D’abord,
verra qu’ils sauront bien trouver le moyen de passer les dimanches et fêtes sans s’ennuyer, et cependant sans faire ni se per
 Les Juifs, dit-il, n’avoient de spectacles pour se réjouir que leurs fêtes , leurs sacrifices, leurs saintes cérémonies. Gens
45 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VII. » pp. 56-64
ue du nom de divertissement ; on prodigua jadis ce titre à toutes les fêtes éclatantes, qui se donnèrent dans les différentes
s différentes cours de l’Europe. L’examen que j’ai fait de toutes ces fêtes , me persuade que l’on a eu tort de le leur accord
’est à tort que l’on a donné ce nom à des spectacles somptueux, à des fêtes éclatantes qui réunissoient tout à la fois la mag
êmes parties réunies en composent un, digne des plus grands Rois. Ces fêtes étoient d’autant plus agréables qu’elles étoient
e des Fleurs, l’acte d’Eglé dans les talens lyriques, le prologue des fêtes Grecques et Romaines, l’acte Turc de l’Europe gal
46 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre IV. De la Danse des Balets des Anciens & des Modernes, avec quelques descriptions des plus singulieres, & de l’origine de la danse Théâtrale. » pp. 70-111
onomie & à l’art de la Guerre, plutôt qu’aux spectacles & aux fêtes publiques ; mais elle doit sa perfection aux dans
des réjouissances publiques : C’est ainsi que l’on célebre de grandes Fêtes  ; une partie du jour s’emploie à louer Dieu, &
l’autre aux passe-tems honnêtes. Cet hyver doit être comme une longue fête , après de longs travaux : non seulement le Roi &a
à l’invention des Balets ; mais encore la coutume introduite dans les Fêtes & dans les festins, où des Musiciens chantoie
emple d’honneur. La sortie d’Achille du Palais de Licomede. Téthis en Fête . La félicité des sens. Balet de nuit. Balet à che
dansé par le Roi. Pomone. Les peines & les plaisirs d’amour. Les Fêtes de l’Amour & de Bacchus. Cadmus. Alceste. Th
éduse. Venus & Adonis. Aricie. L’Europe galante, Balet. Issé. Les Fêtes galantes, Balet. Le Carnaval de Venise, Balet. Ma
e. Arion. Thalie, Balet. Les plaisirs de la Paix, Balet. Théonoé. Les Fêtes de l’Eté. Ariane. Le jugement de Paris. Les Ages,
Eté. Ariane. Le jugement de Paris. Les Ages, Balet. Hypermeneste. Les Fêtes Venitiennes. Les plaisirs de la Campagne, Balet.
lidor. Prothée, Balet. Les Elémens, Balet. La Provençale, Balet. Les Fêtes de Villercoterets, Balet. Balet de Chantilly. Ren
de Villercoterets, Balet. Balet de Chantilly. Renauld. Pirithoüs. Les Fêtes Grecques & Romaines. Mais outre ces Balets,
es, qui se jouent de place en place dans les Villes, à l’occasion des Fêtes publiques. A qui Appien Aléxandrin donne encore l
47 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1668 — 18 juillet : Le Grand Divertissement royal ou les Fêtes de Versailles — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 30 juin 1668 »
ILLE, où l’on fait flores, On travaille à de grands Apprêts, Pour une Fête magnifique, Que LOUIS, quoique si Bellique, Consa
48 (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre VII » pp. 90-105
e Gustave Claudin. — Causerie intime. — Rigolo, terme espagnol. — Les fêtes à l’eau de Cologne. — Le soleil. — Transformation
i reçoivent un cachet de deux francs par nuit pour « ornementer » ces fêtes . Markouski était sombre. — Les entrées de faveur
 — joua ses danses les plus entraînantes. — C’est une des plus jolies fêtes que j’aie données, s’exclama Markouski dans un mo
nouveau bal ? — Samedi prochain. — Les mardis et les samedis grandes fêtes à l’eau de Cologne… Vous avez vu comme c’était bi
49 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1665 — 14 septembre : L’Amour médecin — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre en vers du 20 septembre 1665 »
obinet, lettre en vers du 20 septembre 1665 […]  Achevons. Pour la Fête entière, L’admirable & plaisant MOLIÈRE, Le M
50 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1670 — 14 octobre : Le Bourgeois Gentilhomme — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 1er novembre 1670 »
belle Cour, De Chambord, vers nous, de retour, Se prépare à diverses Fêtes Qu'on doit, pour l’Hiver, tenir prêtes, Tant en m
51 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre V. Témoignages des Évêques dans leurs Instructions pastorales, des Catéchismes, et des Théologiens contre les Danses. » pp. 51-71
de son diocèse en l’année 1661, (article 3, sur la sanctification des fêtes , n.° 4.) M. Vialart parle ainsi : « Désirant appo
abus et scandales qui se commettent fort souvent les dimanches et les fêtes , et autres jours de l’année, à l’occasion des dan
peine d’excommunication, toutes les danses publiques aux principales fêtes de l’année, (ces fêtes sont nommées tout de suite
n, toutes les danses publiques aux principales fêtes de l’année, (ces fêtes sont nommées tout de suite…) comme aussi de danse
s tout de suite…) comme aussi de danser publiquement les dimanches et fêtes commandées, durant le service divin, ou proche de
lus tard, elle soit encore publiée tous les ans, le dimanche avant la fête de tous les saints, et celui d’après pâques. Exho
on diocèse, pour empêcher la profanation des jours de dimanches et de fêtes , M. Vialart, après s’être plaint que ces saints j
ps des noces, dont la sainteté est si recommandable, et aux jours des fêtes de patrons, qui devroient être honorés par une dé
ennemis des saints que Dieu glorifie dans le ciel, en profanant leurs fêtes par les danses qui se font en ces jours-là plutôt
52 (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Titre complet] »
la première fois sur ce Théâtre le 31 Janvier 1765. À l’occasion des Fêtes pour le mariage de sa majesté Le Roi des Romainsa
53 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VII. Objection : On a toujours dansé. » pp. 188-201
’on avoit coutume de faire en Afrique dans les églises, les jours des fêtes des saints, et particulièrement des martyrs. Nous
s’étoit introduite parmi le peuple, de déshonorer par des danses, les fêtes des saints. Le concile ne pensoit donc point que
leurs ennemis. Cette injuste accusation étoit fondée sur ce qu’en ces fêtes publiques ils ne se livroient pas aux mêmes excès
et téméraires ; et que professant la vraie religion, ils célèbrent la fête de leur naissance ou de leurs triomphes, plutôt p
lique qu’en se déshonorant publiquement ? Et convient-il de faire aux fêtes des empereurs, des choses qu’on regarderoit comme
t la régularité de notre conduite, paroissons-nous vouloir abolir les fêtes et les réjouissances qui se font pour les empereu
54 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre troisième — Chapitre I. Naissance du Théâtre »
s dans l’arrangement de leurs plaisirs, et dans l’ordonnance de leurs Fêtes , on a pu remarquer, que leurs Danses eurent toute
phonies, les habits, la composition entière répondaient toujours à la Fête qu’on célébrait, à l’événement, à la circonstance
55 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32
Lucien assure que parmi les Egyptiens & les Grecs, il n’étoit ni fête ni cérémonie complette où la Danse ne fût admise.
es plus dominantes. Il ajoûte que les Législateurs introduisirent des fêtes , des festins, des spectacles, des feux de joie, &
ore que c’est pour cela que les Dieux mêmes instituerent des jours de fêtes , afin que les peuples pussent joindre des diverti
lle. Ces peuples avoient encore des danses particulieres en certaines fêtes , & d’autres solemnitez instituées par des Lég
ple : on appeloit aussi Dessauteur celui qui les revéloit. Toutes les fêtes de Bacchus commençoient par des danses & des
composées de postures lascives & indécentes, que l’on dansoit aux fêtes Saturnales & Baccanales, & telles que les
t une danse particuliere pour ce jour-là, au dire de Virgile : chaque fête avoit la sienne. Elles étoient accompagnées de fe
fleur ou quelque branche de verdure sur soi. Mais comme ces sortes de fêtes causerent quelque désordre dans Rome, elles furen
56 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 13 février : Le Ballet de Flore — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
élons coups Le susdit Sexe aimant le doux, Et (dont il n’était pas en fête ) Le jetait tout franc à la tête, Si qu’un Huissie
57 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 3 mars : Mascarade — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 9 mars 1669 »
bienheureux Destin, Et leurs admirable DAUPHIN Vinrent à cette belle Fête , Étant, des pieds jusqu’à la Tête, Vêtus en Perse
58 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Amours de Vénus, ou les Filets de Vulcain. Petit ballet en action. » pp. 169-175
présente un sallon du palais de Vénus. Scène I. Vénus donne une fête à Mars. L’Amour, les Graces et les Nymphes y répa
est dans le moment le plus intéressant et le plus voluptueux de cette fête qu’un bruit de guerre se fait entendre. Scène
59 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Réponse de Voltaire » pp. 8-9
lesse trés-imfirme m’a seule empêché d’être témoin de ces magnifiques fêtes , que vous embellissez si singulièrement. Vous fai
60 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97
qu’au sujet même ; cependant, on y est insensiblement ramené par les fêtes que l’Amour institue, et par la présence de Vénus
t point abandonner l’heureux séjour de l’Arcadie sans y instituer des fêtes et des jeux qui perpétuent à jamais le jour fortu
du printems. Un ancien Roi d’Arcadie avoit ordonné qu’on célébrât une fête annuelle, mêlée de jeux et de danses, dans la que
es se rangent sur la colline. L’Amour et les Graces président à cette fête .   Les jeux commencent ; on tire de l’arc ; on se
r et l’enjouement. Scène XI. Un prodige inattendu interrompt la fête  : Vénus paroît sur un nuage doré porté par les Zé
visiblement parmi eux, de se mêler à leurs danses et d’embéllir leurs fêtes .   Elles leur recommandent de célébrer tous les a
s danses, qui caractérisent l’expression naïve d’une joie pure. Cette fête Anacréontique est terminée par un grouppe général
61 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VI. Définition, et Division de la Danse sacrée »
e La Danse sacrée est celle que le Peuple Juif pratiquait dans les fêtes solennelles établies par la Loi, ou dans les occa
62 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. » pp. 146-160
Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. Les Fêtes Saturnales chez les Romains, avoient tant de rapp
là que le bal masqué tire son origine. Tite-Live nous apprend que les Fêtes Saturnales furent célébrées à Rome pour la premie
tems tous les peuples vivoient dans une indépendance absolue : cette fête se célébroit encore sous le régne d’Auguste, dans
uguste, l’Empereur Tibere voulant réformer le luxe de Rome, & les fêtes licentieuses qu’on y célébroit de son tems, aboli
63 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre III. Des différentes espèces de Ballets »
entes espèces de Ballets On peut juger du succès éclatant qu’eut la Fête magnifique de Bergonce Botta, et du bruit qu’elle
ées de la Danse des Anciens, et par les idées que fit naître la belle fête de Bergonce Botta, ce genre de Spectacle parut su
64 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Conclusion » pp. 414-418
verne ses muscles, devenue tout entière une harmonie, alors c’est une fête absolue, c’est l’enivrante vision dionysiaque. Le
quises réjouirent leurs yeux par d’harmonieux spectacles. Ce sont ces fêtes qu’il nous faut envier à la génération de 1830. F
65 (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Introduction. » pp. -
ivrance des Hébreux et après le passage de la Mer Rouge, institua des fêtes et des danses ; David dansa devant l’Arche sainte
joie, et surtout de danses : toute la nature semblait sourire à leurs fêtes publiques. Ils avaient trois sortes de danses : l
66 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1671 — 3 novembre : Les Amours de Diane et d’Endimion — Lettres en vers à Monsieur de Robinet — Robinet, lettre du 14 novembre 1671 »
Robinet, lettre du 14 novembre 1671 […] Mais en cette Fête Royale, Le meilleur de tout le Régale, Fut certai
le Bois, De son Destin, suivant les Loix, Qui jusques-là, bornent ses Fêtes , À vaincre et massacrer des Bêtes. Mais un des
67 (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — IV, comment je vins a paris » pp. 40-
e pensant pas qu’il pût me refuser l’autorisation de participer à une fête de bienfaisance. Peu de temps auparavant s’était
lui être agréable, j’acceptai. Lorsque je lui demandai la date de la fête , il me dit de ne pas m’en préoccuper. C’est alors
yeux. Aucun journaliste, disait-on, n’avait été autorisé à venir à la fête . C’était un avocat, très petit de taille, mais d’
68 (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Préface. » pp. -
e plaisir. Je crois bien que la joye des Festins, que la vivacité des Fêtes lui ont donné la naissance ; mais il en est de mê
epresenter des Triomphes, des Sacrifices, des Enchantemens, & des Fêtes galantes qui exigeoient des Airs caracterisez pou
Theatre le plus grand nombre de beaux ouvrages, avoit mis au jour les Fêtes Venitiennes. Il y avoit dans ce Ballet une Scene
69 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre XII. De la Danse sacrée des Turcs »
plus singulière est celle que les Dervis exécutent, pour célébrer la fête de Menelaüs [Mevlâna] leur Fondateur. La traditio
70 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre I. De la Danse profane »
t donc dans les premiers temps une expression simple de joie dans les Fêtes publiques ou particulières et successivement les
71 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »
Les Italiens eurent pour guides dans l’établissement de leur Opéra la Fête de Bergonce de Botta, et les belles compositions
ui pouvait donner un feu plus vif à l’ensemble de sa composition, des Fêtes aussi aimables que galantes, et des tableaux vari
lantes, et des tableaux variés à l’infini, des usages, des mœurs, des Fêtes des Anciens. [Voir Fête] Ce grand dessein fut bal
ariés à l’infini, des usages, des mœurs, des Fêtes des Anciens. [Voir Fête ] Ce grand dessein fut balancé sans doute dans l’e
72 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Enée et Didon. Ballet tragique. » pp. 135-147
nce offensante qu’on lui oppose. Cette scène d’action est suivie d’un fête générale de trois quadrilles ; les Carthaginois,
ifférents. La musique doit l’être à son tour. Vers le milieu de cette fête , Didon, Enée, Jarbe et Ascagne s’y réunissent ; c
qui représente la halte de la chasse.   Jarbe s’empresse à donner une fête à Didon. Ses Maures et ses Gétuliens, au son des
tour-à-tour ce que la volupté à de plus tendre ; insensiblement cette fête devient générale. Didon, Enée et Jarbe veulent en
73 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VII. Des Spectacles des Danseurs de corde, & de l’Art Gymnastique, & des sauts périlleux. » pp. 161-182
ent dans la tirelire, comme je l’ai vû pratiquer dans ma jeunesse les Fêtes & Dimanches à la Place de Nesles, où l’on a b
omme un Supplément. Il dit entre autres que les Juifs célébrerent une fête de réjouissance publique, qui consistoit en festi
ble, les Magistrats de la Ville menerent Judith en pompe au bal où la fête étoit préparée ; elle y dansa la premiere comme l
 ; mais les Juifs pour célébrer sa mémoire, ont depuis continué cette fête tous les ans, jusqu’à la destruction de Jérusalem
alem. C’étoit un usage établi parmi les Juifs, de danser à toutes les fêtes de réjouissance & aux noces : les conviez se
74 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1669 — 6 octobre : Monsieur de Pourceaugnac — Lettres en vers à Madame de Robinet — Robinet, lettre du 12 octobre 1669 »
écrire Se tait des Décorations Dans ses belles Narrations ; Mais, aux Fêtes du grand MONARQUE, Pour l’ordinaire l’on remarque
75 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Médée. Ballet tragique. » pp. 65-74
décoration représente le péristile du palais de Créon, orné pour une fête . Créon qui craint les prétentions de Médée au tr
’unir avec elle. Pour réussir dans ce projet, il donne à ce héros les fêtes les plus brillantes, afin de procurer plus d’occa
et l’agitation de son ame. Le départ précipité de Médée interrompt la fête  ; et termine la première partie de ce ballet.
76 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Alceste. Ballet tragique. » pp. 207-218
magnificence et la générosité, peuvent y ajouter ; il leur donna des fêtes brillantes ; Hercule à l’exemple d’Apollon devien
La décoration représente un vaste péristile superbement orné pour une fête  ; les entre-colonnes forment des balustrades couv
bués ; des danses suivent, ces jeux : les Princes s’associent à cette fête et l’embellissent. Lycomède, toujours occupé de s
77 (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Table des matières » pp. 419-423
es années d’apprentissage Vienne en 1815. — La cour et la société. —  Fête générale. — La musique ; les concerts ; les théât
trait de Fanny par Th. Gautier. — Fanny Elssler et Marie Taglioni aux fêtes du couronnement à Londres. — Fanny dans la Sylphi
78 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Hyménée et Cryséïs. Ballet anacréontique. » pp. 149-155
Athéniennes se rassemblent sur le bord de la mer, pour y célébrer une fête en l’honneur de Cérés. Un jeune homme d’Athènes,
scure, mais éperduement amoureux de la belle Cryséïs, se mêle à cette fête  ; sa jeunesse, la beauté de la taille et celle de
79 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre V. Des Bals Masqués »
e dans les Bals de cérémonie, et on s’amusait dans la célébration des Fêtes Saturnales sous mille déguisements différents. Le
80 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIV. » pp. 197-215
Chinoises, des réjouissances Flamandes, de la Mariée du Village, des Fêtes du Vauxhall, des Recrues Prussiennes, du Bal paré
es le sont quelquefois à la peinture, lorsqu’on en abuse. Passons aux Fêtes , ou aux Jalousies du Serrail. Ce ballet et celui
Sérail, et le Grand-Seigneur permet alors aux Eunuques de donner une fête à Zaïre ; la danse devient générale. Dans un pas-
le quel il marque toujours une préférence décidée pour Zaïre. Cette fête est terminée par une contredanse noble. La derniè
attitudes et aux positions leurs graces et leur verité. Le ballet des Fêtes ou des Jalousies du Serail, diront peut-être les
èslors est excellent et produit son effet. Je crois, Monsieur, qu’une fête Turque ou Chinoise ne plairoit point à notre nati
81 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XIV. » pp. 396-434
Chinoises, des Réjouissances Flamandes, de la Mariée de Village, des Fêtes de Vauxhall, des Recrues Prussiennes, du Bal paré
es le sont quelquefois à la Peinture, lorsqu’on en abuse. Passons aux Fêtes ou aux Jalousies du Serrail ; ce Ballet & cel
rail, & le Grand Seigneur permet alors aux Eunuques de donner une Fête à Zaïre ; la Danse devient générale. Dans un pas
ns lequel il marque toujours une préférence décidée pour Zaïre. Cette Fête est terminée par une Contre-danse noble. La derni
des & aux positions leurs graces & leur vérité. Le Ballet des Fêtes ou des Jalousies du Serrail, diront peut-être les
llent & mérite les plus grands éloges. Je crois, Monsieur, qu’une Fête Turque ou Chinoise ne plaîroit point à notre Nati
82 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Le jugement de Pâris. Ballet héroïque. » pp. 171-182
corde, irritée de l’oubli que l’on fit d’elle, à venir troubler cette fête en y jettant la pomme fatale. Cette pomme fut pré
Ris et aux Plaisirs ; l’Amour, Vénus et les Graces embellissent cette fête  ; Thétis et Pélée y expriment leur félicité ; l’O
fureur. Scène v. et derniere. Ce spectacle se termine par une fête générale ; Vénus, Paris, l’Amour et les Graces ex
83 (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « A, son altesse royale. Monseigneur. le duc d'Orléans, petit-fils de France. » pp. -
l’Antiquité, à signaler leur joye dans les plus grandes occasions de Fêtes & de réjouissances publiques. Il est vrai q
84 (1671) Témoignages des gazettes en vers sur les spectacles dansés entre 1660 et 1671 «  1664 — 7 au 12 mai : Les Plaisirs de l’Isle enchantée — La Muse Historique de Loret — Loret, lettre du 10 mai 1664 »
De nouvelles je suis à sec, Cela me clôt quasi le bec : Car de la fête de Versaille[s] Je ne puis rien dire qui vaille.
85 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre première. » pp. 8-13
ai même à ce sujet, que dernièrement j’avois fait une chanson pour la fête d’un père de famille qui a cinq filles très-aimab
ms, un opéra. On en donne encore à Vénise dans trois théâtres pour la fête de l’Ascension. Il est bon de savoir qu’à Alexand
86 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre XI. » pp. 67-69
er, tel que Roland ou Armide, et un d’été, tel que les Elémens ou les Fêtes Vénitiennes. Vous voyez, Madame, que l’ordinaire
87 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre XI. Des Usages de quelques Peuples, et de certaines Lois de Lacédémone. »
sur les modes de Philoxène et de Timothée, et tous les ans pendant la fête des Orgies, ils exécutaient sur des théâtres publ
88 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre VI. Des Ballets Moraux »
iversaire de la Naissance du Cardinal de Savoie, fut l’occasion d’une Fête brillante qui occupa en 1634 la Cour de Turin. On
89 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre premier — Chapitre VII. De la Danse sacrée des Juifs »
ent de l’exécution. Les Juifs instituèrent dans les suites, plusieurs Fêtes solennelles : la Danse en fit toujours une partie
90 (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE PREMIERE. » pp. 2-14
t vrai, sont toujours fort suspectes. Il en est des Ballets comme des Fêtes en général ; rien de si beau, de si élégant sur l
tion. Elles peuvent avoir lieu dans un Ballet général qui termine une Fête  ; elles peuvent encore passer dans des pas d’exéc
91 (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les artistes de l’opéra »
res de la Musique de la chambre du Roi. Lorsque Louis XIV donnait des fêtes sur l’eau, il disait, avant qu’on commençât le co
sulté des actions qu’on leur a fait faire dans l’entrée d’Osiris, des fêtes de l’Hymen et de l’Amour, doit faire sentir quell
92 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre première. » pp. 2-8
t vrai, sont toujours fort suspectes. Il en est des ballets comme des fêtes en général ; rien de si beau, de si séduisant sur
ion, elles peuvent avoir lieu dans un ballet général, qui termine une fête  ; elles peuvent encore passer dans des pas d’exéc
93 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Descente d’Orphée aux Enfers. Ballet héroï-pantomime. » pp. 215-224
ntéressant aux jours d’un mortel qui fait le plus bel ornement de ses fêtes , paroît, et descend du Mont Rhodope : ce Dieu est
anses vives et voluptueuses. L’Amour et Bacchus prennent part à cette fête qui est l’ouvrage de leur bonté. Orphée et Euridi
94 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — L’épouse persanne. Ballet héroï-pantomime. » pp. 197-206
eux amans expriment leur commun bonheur ; et Usbeck le partage. Cette fête variée termine la première partie de ce spectacle
acun exprime la gaieté suivant le costume de ces climats. Après cette fête variée à la quelle le Sophi ne dédaigne point de
95 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre premier — Chapitre IV. Des Ballets poétiques »
ait fallu au Cardinal Riari un Léon X ; et à Baïf un Louis XIV. [Voir Fête de la Cour de France] Pour qu’un bel établissemen
96 (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55
us précieux de l’Italie. Ce Ministre étant chargé de la direction des fêtes destinées à signaler cette circonstance, n’épargn
es opéras de Quinault. Ce fut enfin lui qui composa toutes celles des fêtes , et des grands spectacles que l’on donna pour le
t et défraya pendant plus de deux mois, il machina son théatre. Cette fête extraordinaire étoit destinée à célèbrer le maria
les poëtes de l’antiquité ; ne sera-t-on pas étonné de voir dans les fêtes , et les spectacles pompeux de la cour, le costume
97 (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Avant-propos » pp. 5-17
nt dans leurs rites religieux, et ensuite les introduisirent dans les fêtes et les divertissements publics. Peu à peu on dans
es, Bergonce de Botta (Voir la note 23 du chapitre premier), dans une fête magnifique, fit renaître les ballets, et il trouv
98 (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre quatrième — Chapitre II. Division de la Danse Théâtrale »
ux différentes parties de son action, les triomphes de ses héros, les fêtes générales introduites avec goût dans ses dénoueme
99 (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Plan. du ballet d’alexandre. » pp. 219-222
, l’éloignement de Roxane rétablit le calme et la félicité ; et cette fête pompeuse se termine par des danses nobles, dans l
100 (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147
eut avis, mais le danger ne l’empêcha pas d’y retourner à la première fête , doutant si Dieu ne lui avoit pas réservé cette o
nes et leurs humiliations durèrent un an entier, et ce ne fut qu’à la fête suivante, que le saint évêque, ayant reçu leurs s
œuvres serviles qui sont une profanation des jours de dimanches et de fêtes . Si ceux qui sont revêtus d’une autorité temporel
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