Les Noces de Vaugirard, ou Les Naifvetez champestres. Pastorale
Georges ForestierLuca FalconeÉdition critique établie par Luca Falcone dans le cadre d'un mémoire de master 1 sous la direction de Georges Forestier (2012-2013)Autres contributions
LES
NOPCES
DE
VAvGIRARD,
OU LES
NAIFVETEZ CHAMPESTRES.
PASTORALLE
Dediée à ceux qui veulent rire.
EPISTRE SERVANT D’ADVERTISSEMENT à ceux qui veulent rire.
[p. III a ij]MESSIEvRS,
Je ne suis point de ces sçavans personnages dont les siecles ont si curieusement* conservé les precieuses reliques pour nous donner lumiere des sciences qui les ont faict estimer vrais Orateurs, & parfaictement bons Poëtes : mon sçavoir est aussi peu cogneu que ma personne, [p. IV] mais mon humeur indifferente ne se soucie de la probation* des doctes, ny du mépris des ignorans : mes escrits en petit nombre, & en peu de volumes n’ont d’authorité que les divers sentimens de ceux qui prennent la peine de les lire. Vous ne verrez point d’Apologiste qui me dise confidemment à l’oreille que j’ay parfaictement bien reüssy, que j’ay grandement obligé* le public luy donnant des œuvres si plaines de moralitez, & de subtiles pointes, que j’attribuë des richesses aux rithmes capables de me faire passer pour divin, que j’attraperay la gloire où tous les autres veulent atteindre, & qu’en fin il seroit aussi difficile de trouver mon second, comme de rencontrer deux Rois de France en l’Europe. Tous ces discours de vanité, & de flatterie n’auroient autre remerciment de moy, que celuy que l’on peut faire à des gens [p. V a iiij] que l’on recognoist se moquer honnestement d’un amy, je leur donnerois l’epithete d’esprits foibles plustot que celle d’esprits forts, comme n’ayans pas assez de force pour me persuader une mécognoissance de moy-mesme : les deffaux de mes ouvrages ne trouveront ny de loüanges, ny d’excuses dans les plumes d’autruy. Vous n’y trouverez point dans l’Advertissement au Lecteur ce que les Autheurs du temps ont coustume d’y mettre : Qu’ils sçavent faire une piece en quinze jours, qu’ils n’avoient que quinze ans lors qu’ils l’ont faite, que leurs amis les ont forcez à la faire mettre soubs la presse, & soubs l’asseurance qu’on leur a donnee, qu’elle seroit bien receuë ; que c’est un premier essay, & qu’on doit esperer que quelque jour ils feront mieux : les autres diront que leur absence a causé le desordre, [p. VI] & les fautes qui se rencontrent dans leurs livres, qu’ils ont este imprimez à leur insceu sur des copies mal polies qui leur avoient esté dérobées, ou qu’ils avoient données à l’un de leurs amis, mais qu’à la seconde edition ils seront vestus des robbes de la merveille, & qu’on ne les recognoistra plus. Toutes ces raisons si anciennes, & tant de fois repetées pour faire trouver bonne une mauvaise chose, ne peuvent estre appellées autrement que les honnestes excuses de l’ignorance, le manteau de l’incapacité, la couverture de l’imperfection, le voile [p. VII] des petites imaginations, la sterilité des bonnes parolles, le bandeau des Rimeurs, & la folie des Poëtes; & pour moy, afin qu’ils sçachent mon sentiment je conseillerois volontiers à ces esprits de donner plus de temps à la composition de leurs ouvrages, & de ne les entreprendre si jeunes, veu que leurs poinctes, qui, pour proprement parler, ne sont que metaphores hyperboliques forment des espines si piquantes, que leur honneur s’y escorche le plus souvent : il n’y a pas un pied de vers qui n’en preste deux aux Lecteurs pour marcher sur la teste de leur vanité, il n’y a pas un vers qui n’en fournisse quatre pour ronger ce qu’il y a de mal digeré dans leur travail ; de sorte que comme la chauve-souris à cause de sa difformité n’ose paroistre devant le jour, ces ouvrages devroient demeurer enfermez, ou n’estre mis en lumiere que par le feu; car pour moy je ne sçaurois flatter, je dis librement mes pensées ; on ne sçauroit donner trop de soin à un ouvrage qui paroist en public. Voicy (Messieurs) une Pastoralle que j’ay faicte, où j’ay fait parler les personnages selon que la naïfveté* des champs les a representez à mon imagination : j’ay beaucoup de fois repassé par dessus, j’y ay corrigé quantité de choses, j’ay faict mon possible pour la polir, & empescher qu’il n’y eust point de fautes remarquables, & si je puis vous asseurer qu’elle n’est pas trop bien, que les [p. IX] oreilles delicates n’y trouveront point leur satisfaction, que les chercheurs de poinctes en trouveront plus chez les vitriers que dans mon livre, & que les belles pensées, & les bons mots y sont clairs semez*, & neantmoins pour m’instruire sur les divers jugemens sans chercher la protection des grands, ainsi que beaucoup font, & qui s’imaginent que le nom de ceux à qui leurs livres sont dediez excusent leurs fautes, & deffendent leurs œuvres de la médisance. Je vous faits present (Messieurs) de cette Pastoralle, recevez la telle qu’elle est, acheptez la, ne l’acheptez pas, lisez la, ne la lisez pas, riez en, n’en riez pas : Il y a long-temps que je faits profession de ne me soucier des loüanges du monde, & que j’ay perdu [p. X] la volonté de paroistre habile homme, puisque j’ay recogneu avoir esté né pour ne l’estre pas. Tout le contentement que j’espere donnant cette Pastoralle au public, est de vous faire voir par le compliment ordinaire que je suis veritablement
MESSIEURS,
Vostre tres-humbe, &
Obeïssant serviteur
L. C. D.
ARGUMENT.
[p. XI ij]Amarille est jointe par mariage à Floridon qu’elle n’ayme point sous promesse faite de l’advis de ses parens, & pour la contenter que Floridon ne cueillera le fruict de son amour, que six mois apres le jour de leurs nopces, pendant lequel temps Polydas fils d’une des Illustres maisons de Paris déguisé en Berger, & qui cherissoit grandement Amarille, promettoit de l’enlever secrettement, mais estant mandé* à la nopce avec une jeune Bergere nommée Lidiane, qui estoit venuë avec sa mere demeurer à Vaugirard à cause des guerres qui estoient dans la Province de leur naissance. Polydas devient amoureux de Lidiane, oublie la promesse qu’il avoit faicte à Amarille, & continuë ses amours avec elle, nonobstant les jalousies d’Amarille.
Pendant que Polydas, Lidiane, Pysandre, Cleanide, & Amarille Bergers, & Bergeres passent le temps à mille gentillesses, & tromperies amoureuses : Luciane mere de Lidiane ayant veu au travers d’une vitre Polydas qui baisoit sa fille. Cette action luy donne subject de l’enfermer, Polydas desesperé de ne plus voir sa maistresse, prend resolution de l’enlever, & pour cet effect* luy ayant faict sçavoir par un mot de lettre que Pysandre luy porte (sans sçavoir ce qui estoit [p. XII] dedans) qu’elle se tint preste* pour la nuict suivante de son dessein, il met la nuict le feu dans une grange, pendant que les villageois sont empeschez à l’éteindre, il l’enleve, & la meine au bord de l’eau, où s’estant trouvé un basteau, Lidiane sautant dedans, pendant que Polydas le veut lascher, la corde rompt, le basteau enmeine* Lidiane, & laisse Polydas à la rive dans des fascheries étranges : elle cependant que l’eau entrainoit tousjours voyant une Isle proche d’elle, s’eslance du basteau sur le sable, mais le pied luy glissant elle tombe en la riviere où à l’instant enveloppée des ondes à la veuë de son Berger, elle eust esté noyée si deux pescheurs qui de grand matin avoient tendus leurs filets, ne l’eussent repeschée.
Polydas qui croit qu’elle est morte se precipite dans la grotte des Demons, Amarille qui se doute qu’elle est trompée, voyant que Polydas estoit precipité, s’y jette pareillement, laissans tous leurs parents dans une confusion épouventable, & en fin Lidiane repeschée, & ramenée par les Pescheurs au lieu où elle pensoit retrouver Polydas, est à l’instant prise par les Deputez de Vaugirard qui faisoient la recherche d’eux, par le soupçon qu’ils avoient que Polydas avoit efté le boutte-feu*, elle est ménée devant les Juges qui luy font son procez, & quelques prieres, [p. XIII iij] & supplications que leur puissent faire les habitans du village, elle est par eux condamnée à estre precipitée dans la mesme grotte des Demons, où estoient Polydas, & Amarille ; mais comme on vient pour executer cette sentence, l’ombre* de Castrape Magicien, qui avoit basty cette grotte, sort tenant Polydas d’une main, & Amarille de l’autre sains & sauves, arreste l’execution de cette condamnation, & faisant le recit de toutes leurs advantures, ordonne des mariages du bon homme Pancrace avec la vieille Luciane, dont les crotesques amours sont naïfuement traictées, redonne Amarille à son Floridon Polydas à sa Lidiane, & Pyfandre à Cleanide, & par ces mariages inesperez calment les differents de tout le village, & leur cause une réjoüissance publique.
A. D. D. L. R. D. L. P.
[p. XIV]Aux Lecteurs.
Extraict du Privilege du Roy.
Par grace & Privilege du Roy, il est permis à Jean Guignard, Marchand Libraire, d’imprimer ou faire imprimer, vendre & debiter un livre intitulé, Les Nopces de Vaugirard : avec deffences à tous [p. XV] Libraires, Imprimeurs, & autres de quelque qualité ou condition qu’ils soient, de faire imprimer, vendre ny distribuer ledit livre, durant le temps & espace de six ans, comme plus amplement est porté par ledict Privilege. Donnè à Paris le vingt-deuxiesme May mil six cens trente-huict, & de nostre regne le vingt-huictiesme.
Errata
Page 13, vers 4 lisez baise pour baiser p. 40. v.7. 1. sans vous veoir p.49.v.13. l. d’Orphee. p.53 v.18 & 19 l. affection au premier, & affliction au second. p.57.v.8. l. qu’un pour qu’en. p.58.v.10. l. faicts pour faictes. p.63.v.9. l. me parleront. p.101.v.15 l. seile pour sicle. p.107.v.10. l. qu’un pour qu’en.
Les Acteurs.
[p. XVI]- PANCRACE,vieil Berger, pere d’Amarille.
- FLORIDON,mary d’Amarille.
- POLYDAS,Berger.
- PYSANDRE,Berger.
- LIDIANE,Bergere.
- CLEANIDE,Bergere.
- AMARILLE,Bergere.
- LUCIANE,vieille, mere de Lidiane.
- LES DEUX PESCHEURS.
- LE JUGE.
- LE PROCUREUR FISCAL.
- LE GREFFIER DE VAUGIRARD.
- LES DEPUTEZ DE VAUGIRARD.Un en trouppe.
- L’OMBRE DU GRAND CASTRAPPEMagicien.
ACTE PREMIER.
SCENE PREMIERE.
PANCRACE.
SCENE DEUXIESME.
FLORIDON.
SCENE TROISIESME.
POLYDAS.
SCENE QVATRIESME.
PANCRACE.
POLYDAS.
PANCRACE.
POLYDAS.
PANCRACE.
POLYDAS.
PANCRACE.
POLYDAS.
LIDIANE.
POLYDAS.
LIDIANE.
POLYDAS.
LIDIANE.
PANCRACE.
POLYDAS remenant Lidiane à sa place.
LIDIANE.
PANCRACE.
FLORIDON
AMARILLE.
PYSANDRE à CLEANIDE.
CLEANIDE.
POLYDAS à Lidiane.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
LIDIANE.
POLYDAS.
SCENE CINQVIESME.
AMARILLE.
POLYDAS.
AMARILLE.
POLYDAS.
AMARILLE.
POLYDAS.
N’as tu point peur que dedans unAMARILLE.
POLYDAS.
POLYDAS.
AMARILLE.
POLYDAS.
AMARILLE.
POLYDAS.
AMARILLE.
POLYDAS.
AMARILLE.
POLYDAS.
AMARILLE.
POLYDAS.
AMARILLE.
POLYDAS.
AMARILLE.
POLYDAS.
AMARILLE.
POLYDAS seul.
ACTE II.
SCENE PREMIERE.
LIDIANE.
POLYDAS.
LIDIANE
POLYDAS.
LIDIANE.
POLYDAS.
LIDIANE.
POLYDAS.
LIDIANE.
POLYDAS.
LIDIANE,
POLYDAS.
LIDIANE.
POLYDAS.
LIDIANE.
POLYDAS.
LIDIANE.
POLYDAS.
LIDIANE.
POLYDAS.
LIDIANE.
POLYDAS.
LIDIANE.
LIDIANE.
POLYDAS.
SCENE DEVXIESME.
PYSANDRE.
Echo, viste
tost
haste
tien
garde
ouy
meure.
par tout
menace.
bien.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
CLEANIDE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
POLYDAS.
PYSANDRE.
LIDIANE.
CLEANIDE.
POLYDAS.
CLEANIDE.
POLYDAS.
PYSANDRE.
POLYDAS.
PYSANDRE.
POLYDAS,
LIDIANE.
POLYDAS.
LIDIANE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
Dançons,LIDIANE.
POLYDAS.
Il fait bien chaudAMARILLE.
POLYDAS.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
AMARILLE.
PYSANDRE.
LIDIANE.
POLYDAS.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
La Fortune à Amarille.
POLYDAS.
PYSANDRE.
AMARILLE.
La Fortune à Lidiane.
CLEANIDE.
LIDIANE.
POLYDAS.
CLEANIDE.
La Fortune à Cleanide.
AMARILLE.
CLEANIDE.
PYSANDRE,
LIDIANE.
La Fortune à Polydas.
POLYDAS.
CLEANIDE.
AMARILLE.
La Fortune à Pysandre.
POLYDAS.
AMARILLE.
POLYDAS.
FLORIDON.
PYSANDRE.
FLORIDON.
POLYDAS.
FLORIDON.
AMARILLE.
LIDIANE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
POLYDAS.
CLEANIDE.
AMARILLE.
POLYDAS.
AMARILLE.
FLORIDON.
POLYDAS.
FLORIDON.
voire.
ouy
sauve.
Icy
cherche
adieu
veille
bon-soir
passe
coucou
donne
& tant
elle
SCENE TROISIESME.
PANCRACE.
LUCIANE
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
ACTE III.
SCENE PREMIERE.
POLYDAS.
PYSANDRE.
POLYDAS.
PYSANDRE.
POLYDAS.
PYSANDRE.
POLYDAS.
PYSANDRE.
POLYDAS.
PYSANDRE.
POLYDAS.
PYSANDRE.
POLYDAS,
PYSANDRE.
POLYDAS.
PYSANDRE.
POLYDAS.
PYSANDRE.
POLYDAS.
PYSANDRE.
POLYDAS.
POLYDAS.
PYSANDRE.
POLYDAS.
SCENE DEUXIESME.
[p. 59 Hij]AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
FLORIDON.
AMARILLE.
SCENE TROISIESME.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
C’est Pysandre,LUCIANE.
PANCRACE.
SCENE QUATRIESME.
[p. 73 K]PYSANDRE.
LIDIANE à la fenestre.
PYSANDRE.
LIDIANE.
PYSANDRE.
LIDIANE.
PYSANDRE.
LIDIANE.
LIDIANE.
PYSANDRE.
LIDIANE lit la lettre tout bas puis dit,
PYSANDRE.
LIDIANE
SCENE CINQUIESME.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
POLYDAS.
PYSANDRE.
POLYDAS.
PANCRACE.
POLYDAS.
LUCIANE.
POLYDAS.
LUCIANE.
PANCRACE.
POLYDAS.
PANCRACE.
POLYDAS.
POLYDAS.
PANCRACE.
POLYDAS.
PANCRACE.
POLYDAS.
PANCRACE.
POLYDAS.
LUCIANE.
POLYDAS.
PANCRACE.
POLYDAS.
PANCRACE.
POLYDAS.
PANCRACE.
LUCIANE.
POLYDAS.
PANCRACE.
POLYDAS.
PANCRACE.
POLYDAS.
PYSANDRE.
LUCIANE.
POLYDAS.
LUCIANE.
PANCRACE.
POLYDAS.
PYSANDRE.
SCENE SIXIESME.
PANCRACE seul une halebarde à la main.
ACTE IV.
[p. 85 Liij]SCENE PREMIERE.
POLYDAS tenant un flambeau allumé.
SCENE DEUXSIEME.
[p. 88]LUCIANE à la fenestre.
PANCRACE nud en chemife avec une lanterne.
PYSANDRE.
PANCRACE.
PYSANDRE.
LUCIANE.
PANCRACE.
SCENE TROISIESME.
POLYDAS.
LIDIANE.
POLYDAS.
LIDIANE.
POLYDAS.
SCENE QUATRIESME.
[p. 95]LUCIANE.
SCENE CINQVIESME.
AMARILLE.
AMARILLE lit le tombeau de Polydas.
SCENE SIXIESME.
[p. 102]PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE
CLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
Cela c’estCLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
SCENE SEPTIESME.
FLORIDON.
PANCRACE.
FLORIDON.
PANCRACE.
FLORIDON.
PANCRACE.
FLORIDON.
PANCRACE.
FLORIDON.
PANCRACE.
FLORIDON.
PANCRACE.
FLORIDON.
PANCRACE.
FLORIDON.
PANCRACE.
FLORIDON.
PANCRACE.
FLORIDON.
PANCRACE.
FLORIDON
PANCRACE.
ACTE V
SCENE PREMIERE.
LIDIANE.
Premier pescheur.
Second pescheur.
Premier pescheur.
LIDIANE
Second pescheur.
Que tout vous soit prospere.LIDIANE.
Second pescheur.
Premier pescheur.
Second pescheur.
LIDIANE. seule.
FLORIDON parlant à sa trouppe de deputez.
LIDIANE.
FLORIDON.
LIDIANE.
FLORIDON.
LIDIANE.
FLORIDON.
LIDIANE.
FLORIDON.
SCENE DEUXIESME.
LE JUGE.
LE PROCUREUR.
LE JUGE.
LE PROCUREUR.
LE JUGE.
LE PROCUREUR.
LE JUGE.
LE JUGE.
LE PROCUREUR.
LE JUGE.
LE PROCUREUR.
LE JUGE.
LE PROCUREUR.
LE JUGE.
LE PROCUREUR.
LE JUGE.
LE PROCUREUR.
LE JUGE.
LE PROCUREUR.
LE JUGE.
LE PROCUREUR.
LE JUGE.
FLORIDON & les deputez amenant Lidiane.
LE JUGE.
LIDIANE à genoux.
LE JUGE.
LIDIANE.
LE PROCUREUR.
LE JUGE.
LIDIANE.
LE JUGE.
LIDIANE.
FLORIDON.
Messieurs elle deguiseLE JUGE.
LE GREFFIER.
LE JUGE prononce le Jugement contre Lidiane.
LIDIANE.
LE JUGE.
LE PROCUREUR.
SCENE TROISIESME.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
LUCIANE.
PYSANDRE.
LUCIANE.
PYSANDRE.
LUCIANE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
SCENE DERNIERE.
LE JUGE.
LIDIANE ayant leu le tombeau de Polydas.
LE JUGE.
LUCIANE.
PANCRACE.
LUCIANE.
FLORIDON.
LUCIANE.
LIDIANE.
LUCIANE.
PANCRACE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
FLORIDON.
LUCIANE.
LE JUGE.
LUCIANE.
LE JUGE.
LUCIANE.
LIDIANE.
PANCRACE.
LE JUGE.
L’ombre* de Caftrape, sortant de la grotte, tenant Polydas d’une main,
& Amarille de l’autre.
LE JUGE.
PANCRACE.
LUCIANE.
PANCRACE.
POLYDAS.
LIDIANE.
PYSANDRE.
CLEANIDE.
FLORIDON.
AMARILLE.
POLYDAS.
LE JUGE.
PANCRACE.
FIN.