Les Plaideurs
, comédie.
Théâtre Classiquepublié par Paul FIEVRE, Mai 2002, revu avril 2014, revu septembre 2015
Comédiemoeurs françaisesTrois actesvers1661-1670750-1000http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k701689Aristophane, Les GuêpesMénandrePlauteTérenceComédieM. DC. LXIX. AVEC PRIVILÈGE DU ROI.
Extrait du Privilège du Roi.
Par grâce et privilège du Roi, donné à Paris le 5ème jour de décembre 1668. Signé, par le Roi en son conseil, COUPEAU, et scellé en cire, une : il est permis à Claude Barbin Marchand Libraire à Paris, d’imprimer, ou faire imprimer, vendre et débiter, une comédie intitulée Les Plaideurs, durant le temps de cinq années, à commencer du jour qu’elle sera achevée d’imprimer la première fois : Et défenses sont faites à tous les libraires ou imprimeurs, et autres personnes de quelque qualité et condition qu’elles soient, d’imprimer, ou faire imprimer, vendre et débiter ladite Comédie, sans le consentement de l’Exposant, ou de ceux qui auront droit de lui, à peine aux contrevenants de trois mille livres d’amende, confiscation des exemplaires contrefaits, et de tous dépens dommages et intérêts, ainsi que plus au long il est porté par le dit privilège.
Registré sur le livre de la communauté des libraires et Imprimeurs, suivant l’arrêt de la cour de Parlement. Signé, A. SOUBRON, Syndic.
Ledit Barbin a associé audit Privilège Gabriel Quinet, aussi Marchand Libraire, pour en jouir ensemblement, suivant l’accord fait entre eux.
AU LECTEUR.
Quand je lus les Guêpes d’Aristophane, je ne songeais guère que j’en dusse faire les Plaideurs. J’avoue qu’elles me divertirent beaucoup, et que j’y trouvai quantité de plaisanteries qui me tentèrent d’en faire part au public ; mais c’était en les mettant dans la bouche des Italiens, à qui je les avais destinées, comme une chose qui leur appartenait de plein droit. Le juge qui saute par les fenêtres, le chien criminel et les larmes de sa famille me semblaient autant d’incidents dignes de la gravité de Scaramouche. Le départ de cet acteur interrompit mon dessein, et fit naître l’envie à quelques-uns de mes amis de voir sur notre théâtre un échantillon d’Aristophane. Je ne me rendis pas à la première proposition qu’ils m’en firent. Je leur dis que quelque esprit que je trouvasse dans cet auteur, mon inclination ne me porterait pas à le prendre pour modèle si j’avais à faire une comédie, et que j’aimerais beaucoup mieux imiter la régularité de Ménandre et de Térence, que la liberté de Plaute et d’Aristophane. On me répondit que ce n’était pas une comédie qu’on me demandait, et qu’on voulait seulement voir si les bons mots d’Aristophane auraient quelque grâce dans notre langue. Ainsi, moitié en m’encourageant, moitié en mettant eux-mêmes la main à l’oeuvre, mes amis me firent commencer une pièce qui ne tarda guère à être achevée.
Cependant la plupart du monde ne se soucie point de l’intention ni de la diligence des auteurs. On examina d’abord mon amusement comme on aurait fait une tragédie. Ceux mêmes qui s’y étaient le plus divertis eurent peur de n’avoir pas ri dans les règles et trouvèrent mauvais que je n’eusse pas songé plus sérieusement à les faire rire. Quelques autres s’imaginèrent qu’il était bienséant à eux de s’y ennuyer et que les matières de palais ne pouvaient pas être un sujet de divertissement pour les gens de cour. La pièce fut bientôt jouée à Versailles. On ne fit point de scrupule de s’y réjouir ; et ceux qui avaient cru se déshonorer de rire à Paris furent peut-être obligés de rire à Versailles pour se faire honneur.
Ils auraient tort, à la vérité, s’ils me reprochaient d’avoir fatigué leurs oreilles de trop de chicane. C’est une langue qui m’est plus étrangère qu’à personne, et je n’en ai employé que quelques mots barbares que je puis avoir appris dans le cours d’un procès que ni mes juges ni moi n’avons jamais bien entendu.
Si j’appréhende quelque chose, c’est que des personnes un peu sérieuses ne traitent de badineries le procès du chien et les extravagances du juge. Mais enfin je traduis Aristophane, et l’on doit se souvenir qu’il avait affaire à des spectateurs assez difficiles. Les Athéniens savaient apparemment ce que c’était que le sel attique ; et ils étaient bien sûrs, quand ils avaient ri d’une chose, qu’ils n’avaient pas ri d’une sottise.
Pour moi, je trouve qu’Aristophane a eu raison de pousser les choses au-delà du vraisemblable. Les juges de l’Aréopage n’auraient pas peut-être trouvé bon qu’il eût marqué au naturel leur avidité de gagner, les bons tours de leurs secrétaires et les forfanteries de leurs avocats. Il était à propos d’outrer un peu les personnages pour les empêcher de se reconnaître. Le public ne laissait pas de discerner le vrai au travers du ridicule ; et je m’assure qu’il vaut mieux avoir occupé l’impertinente éloquence de deux orateurs autour d’un chien accusé, que si l’on avait mis sur la sellette un véritable criminel et qu’on eût intéressé les spectateurs à la vie d’un homme.
Quoi qu’il en soit, je puis dire que notre siècle n’a pas été de plus mauvaise humeur que le sien, et que si le but de ma comédie était de faire rire, jamais comédie n’a mieux attrapé son but. Ce n’est pas que j’attende un grand honneur d’avoir assez longtemps réjoui le monde ; mais je me sais quelque gré de l’avoir fait sans qu’il m’en ait coûté une seule de ces sales équivoques et de ces malhonnêtes plaisanteries qui coûtent maintenant si peu à la plupart de nos écrivains, et qui font retomber le théâtre dans la turpitude d’où quelques auteurs plus modestes l’avaient tiré.
ACTEURS
- DANDIN, juge.
- LÉANDRE, fils de Dandin.
- CHICANNEAU, bourgeois.
- ISABELLE, fille de Chicanneau.
- LA COMTESSE.
- PETIT-JEAN, portier.
- L’INTIMÉ, secrétaire.
- LE SOUFFLEUR.
ACTE I
SCÈNE PREMIÈRE.
PETIT-JEAN, traînant un gros sac de procès.
SCÈNE II. L’Intimé, Petit-Jean.
L’INTIMÉ.
PETIT-JEAN.
L’INTIMÉ.
PETIT-JEAN.
L’INTIMÉ.
PETIT-JEAN.
L’INTIMÉ.
SCÈNE III. Dandin, L’intimé, Petit-Jean.
DANDIN, à la fenêtre.
L’INTIMÉ, à Petit-Jean.
DANDIN.
L’INTIMÉ.
PETIT-JEAN.
DANDIN.
PETIT-JEAN.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
SCÈNE IV. Léandre, Dandin, L’Intimé, Petit-Jean.
LÉANDRE.
DANDIN.
LÉANDRE.
PETIT-JEAN.
LÉANDRE.
DANDIN.
LÉANDRE.
DANDIN.
LÉANDRE.
DANDIN.
LÉANDRE.
DANDIN.
LÉANDRE.
DANDIN.
LÉANDRE.
PETIT-JEAN.
DANDIN.
LÉANDRE.
DANDIN.
LÉANDRE.
SCÈNE V. Léandre, L’Intimé.
LÉANDRE.
L’INTIMÉ.
LÉANDRE.
L’INTIMÉ.
LÉANDRE.
L’INTIMÉ.
LÉANDRE.
L’INTIMÉ.
LÉANDRE.
L’INTIMÉ.
LÉANDRE.
L’INTIMÉ.
LÉANDRE.
L’INTIMÉ.
LÉANDRE.
L’INTIMÉ.
LÉANDRE.
L’INTIMÉ.
LÉANDRE.
SCÈNE VI. Chicanneau, Petit-Jean.
CHICANNEAU, allant et revenant.
PETIT-JEAN, entr’ouvrant la porte.
CHICANNEAU.
PETIT-JEAN, refermant la porte.
CHICANNEAU.
PETIT-JEAN.
CHICANNEAU.
PETIT-JEAN.
CHICANNEAU.
PETIT-JEAN.
CHICANNEAU.
SCÈNE VII. Chicanneau, La Comtesse.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
SCÈNE VIII. Petit-Jean, La Comtesse, Chicanneau.
PETIT-JEAN.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
PETIT-JEAN.
LA COMTESSE.
PETIT-JEAN.
CHICANNEAU.
PETIT-JEAN.
LA COMTESSE.
PETIT-JEAN.
CHICANNEAU.
PETIT-JEAN.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
PETIT-JEAN.
LA COMTESSE.
PETIT-JEAN.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
PETIT-JEAN.
ACTE II
SCÈNE PREMIÈRE. Léandre, L’Intimé.
L’INTIMÉ.
LÉANDRE.
L’INTIMÉ.
LÉANDRE.
L’INTIMÉ.
SCÈNE II. L’Intimé, Isabelle.
ISABELLE.
L’INTIMÉ.
ISABELLE.
L’INTIMÉ.
ISABELLE.
L’INTIMÉ.
ISABELLE.
L’INTIMÉ.
ISABELLE.
L’INTIMÉ.
ISABELLE.
L’INTIMÉ.
ISABELLE.
L’INTIMÉ.
ISABELLE.
L’INTIMÉ.
ISABELLE.
L’INTIMÉ.
ISABELLE.
L’INTIMÉ.
ISABELLE.
L’INTIMÉ.
ISABELLE.
L’INTIMÉ.
ISABELLE.
L’INTIMÉ.
ISABELLE.
L’INTIMÉ.
ISABELLE.
L’INTIMÉ.
SCÈNE III. Chicanneau, Isabelle, L’Intimé.
CHICANNEAU.
ISABELLE.
L’INTIMÉ.
ISABELLE.
CHICANNEAU.
ISABELLE.
CHICANNEAU.
ISABELLE.
SCÈNE IV. Chicanneau, L’Intimé.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ, en posture d’écrire.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
SCÈNE V. Léandre, Chicanneau, L’Intimé.
L’INTIMÉ.
LÉANDRE.
L’INTIMÉ.
LÉANDRE.
L’INTIMÉ.
LÉANDRE.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
LÉANDRE.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
SCÈNE VI. Léandre, Isabelle, Chicanneau, L’Intimé.
L’INTIMÉ, à Isabelle.
LÉANDRE.
ISABELLE.
LÉANDRE, à l’Intimé.
ISABELLE.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
ISABELLE.
LÉANDRE.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
ISABELLE.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
ISABELLE.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
ISABELLE.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
ISABELLE.
LÉANDRE.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
ISABELLE.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
ISABELLE.
L’INTIMÉ.
LÉANDRE.
ISABELLE.
LÉANDRE.
CHICANNEAU.
LÉANDRE, à Isabelle.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
CHICANNEAU.
SCÈNE VII. Petit-Jean, Léandre, Chicanneau.
PETIT-JEAN.
LÉANDRE.
PETIT-JEAN.
SCÈNE VIII. Dandin, Léandre, Chicanneau, L’Intimé, Petit-Jean.
DANDIN.
LÉANDRE.
PETIT-JEAN.
DANDIN.
PETIT-JEAN.
DANDIN.
LÉANDRE.
PETIT-JEAN.
LÉANDRE.
SCÈNE IX. Dandin, Chicanneau, La Comtesse, L’Intimé.
DANDIN.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU, LA COMTESSE.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU, LA COMTESSE et L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
DANDIN.
CHICANNEAU, L’INTIMÉ et LA COMTESSE.
L’INTIMÉ, continuant.
CHICANNEAU.
LA COMTESSE.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
LA COMTESSE.
L’INTIMÉ.
CHICANNEAU.
DANDIN.
CHICANNEAU.
L’INTIMÉ.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
SCÈNE X. Chicanneau, Léandre sans robe, etc.
LÉANDRE.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
LA COMTESSE.
LÉANDRE.
LA COMTESSE.
LÉANDRE.
LA COMTESSE.
LÉANDRE.
LA COMTESSE.
LÉANDRE.
CHICANNEAU.
SCÈNE XI. Petit-Jean, Léandre, Chicanneau, etc.
PETIT-JEAN, à Léandre.
LÉANDRE.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
PETIT-JEAN.
CHICANNEAU.
DANDIN.
CHICANNEAU.
DANDIN.
CHICANNEAU.
DANDIN.
CHICANNEAU.
DANDIN.
CHICANNEAU.
DANDIN.
CHICANNEAU.
DANDIN.
CHICANNEAU.
DANDIN.
LÉANDRE, à l’Intimé.
LA COMTESSE.
CHICANNEAU.
DANDIN.
LA COMTESSE.
DANDIN.
CHICANNEAU.
DANDIN.
LA COMTESSE.
DANDIN.
CHICANNEAU.
PETIT-JEAN.
LÉANDRE.
L’INTIMÉ.
LÉANDRE.
SCÈNE XII. La Comtesse, Léandre.
LA COMTESSE.
LÉANDRE.
LA COMTESSE.
LÉANDRE.
LA COMTESSE.
LÉANDRE.
SCÈNE XIII. Dandin, L’Intimé, Léandre.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
LÉANDRE.
DANDIN.
LÉANDRE.
DANDIN.
LÉANDRE.
DANDIN.
LÉANDRE.
DANDIN.
LÉANDRE.
DANDIN.
LÉANDRE.
SCÈNE XIV. Dandin, Léandre, L’Intimé, Petit-Jean.
PETIT-JEAN.
LÉANDRE.
L’INTIMÉ.
PETIT-JEAN.
LÉANDRE.
DANDIN.
LÉANDRE.
DANDIN.
LÉANDRE.
L’INTIMÉ.
PETIT-JEAN.
LÉANDRE.
PETIT-JEAN.
LÉANDRE.
PETIT-JEAN.
LÉANDRE.
DANDIN.
ACTE III
SCÈNE PREMIÈRE. Chicanneau, Léandre, Le Souffleur.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
LE SOUFFLEUR.
SCÈNE II. Léandre, Le Souffleur.
LÉANDRE.
SCÈNE III. Dandin, Léandre, L’Intimé, Petit-Jean, Le Souffleur
DANDIN.
LÉANDRE.
DANDIN.
LE SOUFFLEUR.
DANDIN.
LÉANDRE.
DANDIN.
LE SOUFFLEUR.
PETIT-JEAN.
DANDIN.
PETIT-JEAN.
DANDIN.
PETIT-JEAN.
DANDIN.
PETIT-JEAN, se couvrant.
L’INTIMÉ.
PETIT-JEAN.
DANDIN.
PETIT-JEAN.
LÉANDRE.
PETIT-JEAN, remuant les bras.
LÉANDRE.
PETIT-JEAN.
LE SOUFFLEUR.
PETIT-JEAN.
LE SOUFFLEUR.
PETIT-JEAN.
LE SOUFFLEUR.
PETIT-JEAN.
LE SOUFFLEUR.
PETIT-JEAN.
LE SOUFFLEUR.
PETIT-JEAN.
LE SOUFFLEUR.
PETIT-JEAN.
LE SOUFFLEUR.
PETIT-JEAN.
LE SOUFFLEUR.
PETIT-JEAN.
LE SOUFFLEUR.
PETIT-JEAN.
LE SOUFFLEUR.
PETIT-JEAN.
DANDIN.
PETIT-JEAN.
LÉANDRE.
PETIT-JEAN.
DANDIN.
LÉANDRE.
PETIT-JEAN.
DANDIN.
PETIT-JEAN.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
L’INTIMÉ, d’un ton finissant en fausset.
DANDIN.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
LÉANDRE.
L’INTIMÉ, d’un ton véhément.
PETIT-JEAN.
L’INTIMÉ.
PETIT-JEAN.
L’INTIMÉ.
PETIT-JEAN.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
L’INTIMÉ, d’un ton pesant.
DANDIN.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
L’INTIMÉ.
DANDIN, bâillant.
L’INTIMÉ.
LÉANDRE.
PETIT-JEAN.
LÉANDRE.
PETIT-JEAN.
LÉANDRE.
DANDIN.
LÉANDRE.
DANDIN.
LÉANDRE.
DANDIN.
L’INTIMÉ, lui présentant de petits chiens.
DANDIN.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
L’INTIMÉ.
DANDIN.
SCÈNE DERNIÈRE. Chicanneau, Isabelle, etc.
CHICANNEAU.
DANDIN.
CHICANNEAU.
DANDIN.
ISABELLE.
DANDIN.
CHICANNEAU.
DANDIN.
ISABELLE.
DANDIN.
ISABELLE.
DANDIN.
ISABELLE.
DANDIN.
ISABELLE.
DANDIN.
ISABELLE.
DANDIN.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
DANDIN, se rasseyant.
LÉANDRE.
CHICANNEAU.
DANDIN.
LÉANDRE.
DANDIN.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
CHICANNEAU.
ISABELLE.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
CHICANNEAU.
DANDIN.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
CHICANNEAU.
LÉANDRE.
DANDIN.
LÉANDRE.
DANDIN.