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1 (1908) Le Boeuf « Le Bœuf »
vivrons, mes chers amis, Quand le bon Dieu l’aura permis. GUILLAUME APOLLINAIRE
2 (1917) Départ « Départ »
s mains sur tes baisers Tombaient les feuilles automnales GUILLAUME APOLLINAIRE
3 (1914) Chapeau-tombeau « Chapeau-tombeau »
it cul      Or nithologique      Or J’en ai assez Je vais pisser. APOLLINAIRE
4 (1916) Poème (incipit : « Deux lacs nègres ») - section V
tournes vers le roi Est-ce que Dieu voudrait mourir encore GUILLAUME APOLLINAIRE
5 (1911) La Dame « La Dame »
                 Et trotte trotte Trotte la petite souris GUILLAUME APOLLINAIRE
6 (1914) Hôtel « Hôtel »
au feu du jour ma cigarette Je ne veux pas travailler je veux fumer APOLLINAIRE
7 (1913) Rencontre « Rencontre »
s en pleurer La vigne sans ivresse et le champ sans ivraie GUILLAUME APOLLINAIRE
8 (1913) Hy de Park [Hyde Park] « Hy de Park [Hyde Park] »
es Et les amants s’aimèrent Tant que prêcheurs prêchèrent GUILLAUME APOLLINAIRE
9 (1917) Poèmepréfaceprophétie - 5
à son baiser de paix        La Margelle du Puits Capital GUILLAUME APOLLINAIRE
10 (1913) Inscription pour le tombeau du peintre Henri Rousseau douanier « Inscription pour le tombeau du peintre Henri Rousseau douanier »
peindre comme tu tiras mon portrait La face des étoiles. GUILLAUME APOLLINAIRE .
11 (1912) Clotilde « Clotilde »
Il faut que tu poursuives Cette belle ombre que tu veux. GUILLAUME APOLLINAIRE .
12 (1916) L'Avenir « L’Avenir »
Qui sont la neige La rose et l’abeille Ainsi que l’avenir GUILLAUME APOLLINAIRE
13 (1916) Tristesse d'une étoile « Il pleut »
oute tomber les liens qui te retiennent en haut et en bas GUILLAUME APOLLINAIRE
14 (1918) Vers le Sud « Vers le Sud »
n tombant tour à tour ont jonché le sentier 3 Avril 1915 GUILLAUME APOLLINAIRE
15 (1912) Cors de chasse « Cors de chasse »
rs sont cors de chasse Dont meurt le bruit parmi le vent. GUILLAUME APOLLINAIRE .
16 (1917) A l’Italie (incipit : « Italie des temps passés de tous les temps ») « A l’Italie (incipit : « Italie des temps passés de tous les temps ») »
ublime                     Italie  o divine o française GUILLAUME APOLLINAIRE
17 (1917) Fusée-signal « Fusée-signal »
ointaines et plus doux que ne sont les coussins de l’auto GUILLAUME APOLLINAIRE .
18 (1914) Petit balai « Petit balai »
        Je répète encore un coup         Oh ! Monsieur Aïe ! Aïe ! APOLLINAIRE
19 (1917) à Howard « à Howard »
mon conte L’enfant est la richesse et la seule qui compte. GUILLAUME APOLLINAIRE .
20 (1917) Fagnes de Wallonie « Fagnes de Wallonie »
d              La mort A belles dents Quand bruit le vent GUILLAUME APOLLINAIRE
21 (1918) L'enfant d'or « L’enfant d’or »
fuite ou floraison d’effroi Lorsque cet enfant d’or souriait au vieux roi Guillaume APOLLINAIRE .
22 (1917) Le Pont « Le Pont »
e                    O Bavardes o folles le long du fleuve GUILLAUME APOLLINAIRE
23 (1918) Océan de terre « Océan de terre »
connais        Et qui ne se repose jamais Décembre 1915 GUILLAUME APOLLINAIRE
24 (1916) Guerre « Guerre »
Guerre par GUILLAUME APOLLINAIRE officier d’infanterie en campagne            Ram
25 (1917) Allons plus vite « Allons plus vite »
                                         Allons plus vite GUILLAUME APOLLINAIRE
26 (1917) Bleuet « Bleuet »
                                       lenteur immémoriale GUILLAUME APOLLINAIRE
27 (1916) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
m nocturne où tu reposes,       Mortification des roses ! GUILLAUME APOLLINAIRE .
28 (1917) Ombre « Ombre »
ure de ma lumière Caisson de regrets Un dieu qui s’humilie GUILLAUME APOLLINAIRE
29 (1917) Chant d'amour « Chant d’amour »
et la beauté Il y a là le chant de tout l’amour du monde GUILLAUME APOLLINAIRE
30 (1912) L'Enfer « L’Enfer »
belle. Dis-moi, le savais-tu, que mon âme est mortelle ? GUILLAUME APOLLINAIRE .
31 (1902) Mai « Mai »
eurs et les fleurs nues des vignes. Leutesdorf, mai 1902. GUILLAUME APOLLINAIRE
32 (1912) Le pont Mirabeau « Le Pont Mirabeau »
l’heure,                Les jours s’en vont, je demeure. GUILLAUME APOLLINAIRE .
33 (1912) Marie « Marie »
ne tarit pas               Quand donc finira la semaine ! GUILLAUME APOLLINAIRE .
34 (1917) Le Vigneron champenois « Le Vigneron champenois »
rs tâchez de revenir Mais nul ne sait ce qui peut advenir GUILLAUME APOLLINAIRE
35 (1917) Sanglots « Sanglots »
aux morts                         Et cachons nos sanglots GUILLAUME APOLLINAIRE
36 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « Nuit d’avril : 1915 »
tu dors, — L’hymne de l’avenir est paradisiaque [étoiles] GUILLAUME APOLLINAIRE          lieutenant français d’infanterie en campa
37 (1915) Table « Table »
que l’obscurité étant complète je me léverai pour allumer ma lampe. APOLLINAIRE
38 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
ommuniqué : « Duel d’artillerie, à minuit, en Champagne… » GUILLAUME APOLLINAIRE . Le i er juin 1915. »
39 (1913) Arbre « Arbre »
ta voix Et des êtres nouveaux surgissent Trois par trois GUILLAUME APOLLINAIRE .
40 (1916) Arbre « Arbre »
r ta voix Et des êtres nouveaux surgissent Trois par trois GUILLAUME APOLLINAIRE
41 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
’amour veut qu’aujourd’hui mon ami André Salmon se marie. GUILLAUME APOLLINAIRE
42 (1911) Cortège « Cortège »
ui parfait Présente tout ensemble et l’effort et l’effet. GUILLAUME APOLLINAIRE
43 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
fortifié pour la vie Et l’on n’a plus besoin de personne. GUILLAUME APOLLINAIRE
44 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
s la Seine Les étoiles mouraient le jour naissait à peine GUILLAUME APOLLINAIRE
45 (1912) Zône « Zône »
bscures espérances Adieu Adieu Soleil levant cou tranché GUILLAUME APOLLINAIRE .
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