[Page de titre] Guillaume Apollinaire Case d’Armons Aux Armées de la République [signau

[Page de titre]   Guillaume Apollinaire Case d’Armons Aux Armées de la République [signau

ncre noire] Au maréchal des logis Lucien Bodard Son compagnon d’armes Guillaume Apollinaire Brigadier le 20 juin 1915 [signal optique d’artil

is de l’est L’Océan à l’ouest se goufle La tour à la roue S’adresse Guillaume Apollinaire

e Rousseau gagnait à pas lents, Bien fol, bien fol est qui s’y fie. Guillaume Apollinaire .

  bel   entrefilet Planton, je l’apprécie Et   je    te   remercie. Guillaume Apollinaire . 28 juin 1918.

de toquer à sa porte » — « Et je suis veuve, aux pieds meurtris. » Guillaume Apollinaire .

ant et vrai comme on imagine les anges et non comme sont les reflets Guillaume Apollinaire

’attendant Le superbe navire où clame Le chœur de ton regard ardent Guillaume Apollinaire

re Et qui serait le ministère Des Embusqués et des Froussards Signé : Guillaume Apollinaire

erto Magnelli dont le goût est sûr comme l’amitié Cordial Souvenir de Guillaume Apollinaire maréchal des logis à la 45e Batterie du 38e Régi

’heure d’être sensible à la poésie car elle domine tout terriblement Guillaume Apollinaire

mon Ombre fatale, Les Colombes, ce soir, prennent leur dernier vol… Guillaume Apollinaire .

ches Si vous saviez si vous saviez Tout ce que nous ferons dimanche Guillaume Apollinaire

mament. J’étais guidé par la chouette Et n’ai fait aucun mouvement. Guillaume Apollinaire

pleine d’étoiles c’est ton visage que je ne vois plus   Idéogramme Guillaume Apollinaire

s du regret Ennemis des larmes Ennemis de tout ce que j’aime encore. Guillaume Apollinaire .

t Avec les bourgs lointains, le Christ indifférent. Neu Glück, 1901 Guillaume Apollinaire

fois boutonné tout bleu confondu dans le ciel je deviens invisible Guillaume Apollinaire .

s ; Le nain regarde d’un air triste Grandir l’Arlequin trismégiste. Guillaume Apollinaire .

violet d’effroi. Tant de gemmes tombaient du manteau du vieux roi. Guillaume Apollinaire .

r la montre j’attends la minute prescrite pour l’assaut Mars 1916 Guillaume Apollinaire .

illaume Peignit par piété de chrétien ou d’amant. Cologne , 1901. Guillaume Apollinaire .

ont lire. Riez poilus ! On les aura Par le courage et le sourire ! Guillaume Apollinaire .

     Dormons                                                  Dormez Guillaume Apollinaire

angue aux attentives. J’attends que passe Thanatos et son troupeau. [ Guillaume Apollinaire .]

* *   * Douilles éclatantes des obus de 75 carillonnez pieusement Guillaume Apollinaire

Salomé par Guillaume Apollinaire Pour que sourie encore une fois Jean-Baptiste, S

te, son rosaire ;                            Le curé, son bréviaire. Guillaume Apollinaire .

mpa plus d’un amant Qui crut aimer sa belle et n’aima qu’un mirage. Guillaume Apollinaire .

le dîner, Puis s’attendrit à l’allemande Avant d’aller assassiner. Guillaume Apollinaire

mme le trolley A travers l’Europe vêtue de petits feux multicolores Guillaume Apollinaire

’émeuvent les enchanteurs, Les fleurs se fanent, les fées pleurent. Guillaume Apollinaire

mes pentecôtes, Pour mes pensées de tous pays, de tous les temps ? Guillaume Apollinaire .

L’Honneur tient souvent à l’heure que marque la pendule La quinte major Guillaume Apollinaire

euses   [obus] j’entends chanter l’oiseau le bel oiseau rapace Guillaume Apollinaire .

, style communiqué : « Duel d’artillerie, à minuit, en Champagne… » Guillaume Apollinaire Le ier juin 1915 . »

ar les lacs et les mers, Suffiront bien à effacer le sang des mains. Guillaume Apollinaire .

                  Mon navire                          S’est en allé Guillaume Apollinaire

                Mon beau navire                       S’est en allé Guillaume Apollinaire

s, La romance du mal-aimé. Et des chansons pour les sirènes. 1903. Guillaume Apollinaire .

Tant de choses que vous ne me laisseriez pas dire Ayez pitié de moi Guillaume Apollinaire

mes se signaient dans la nuit indécise. Honnef, Décembre 1901>. Guillaume Apollinaire

r dans les sphingeries Vouloir savoir pour qu’enfin on m’y dévorât. Guillaume Apollinaire .

onde Allons ouvrez les écluses que je me précipite et renverse tout Guillaume Apollinaire . Aux armées, septembre-octobre 1915.

ne et les pas d’ânes, « Je m’éterniserai sous l’aubépine en fleurs. Guillaume Apollinaire .

erchait en soi l’enfant miraculeux Siècle ô siècle des nuages     Guillaume Apollinaire .

cherchait en soi l’enfant miraculeux. Siècle, ô siècle des nuages. Guillaume Apollinaire .

et mon attente vaine J’entends mourir le son d’une flûte lointaine Guillaume Apollinaire

      ITALIE Chantons et rigolons                 Durant des années Guillaume Apollinaire . 18 Août 1915.

des groseillers sanglants Et de la sainte cruauté des passiflores. » Guillaume Apollinaire

s, bien ou mal habillés, Ont bâti ce bûcher, le nid de mon courage. Guillaume Apollinaire .

à cause des convives Qui se fiant au Bègue ont peur d’être brûlés. » Guillaume Apollinaire .

eurs des obscures espérances Adieu adieu Soleil levant cou tranché Guillaume Apollinaire