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1 (1908) Le Boeuf « Le Bœuf »
it la louange Du paradis où près des anges, Nous revivrons, mes chers amis , Quand le bon Dieu l’aura permis. GUILLAUME APO
2 (1908) La Puce « >La Puce »
>La Puce Puces, amies , amantes même, Qu’ils sont cruels ceux qui nous a
3 (1908) Le Chat « Le Chat »
on : Une femme ayant sa raison, Un chat passant parmi les livres, Des amis en toute saison Sans lesquels je ne peux pas vivr
4 (1915) [Envoie autographe] « [Envoi autographe] »
[Envoi autographe] [à l’encre rouge] A mon cher ami le Florentin Alberto Magnelli dont le goût est sû
5 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
lent ceux qui sont fondés en poésie. On a pavoisé Paris parce que mon ami André Salmon s’y marie. Nous nous sommes rencon
nfants et je dis toutes ces choses, Souvenir et avenir, parce que mon ami André Salmon se marie. Réjouissons-nous non pas
ce entre les étoiles et les planètes, L’amour veut qu’aujourd’hui mon ami André Salmon se marie. GUILLAUME APOLLINAIRE
6 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
lessé à la tête trépané sous le chloroforme Ayant perdu ses meilleurs amis dans l’effroyable lutte Je sais d’ancien et de no
sans m’inquiéter aujourd’hui de cette guerre Entre nous et pour vous amis Je juge cette longue querelle de la tradition et
7 (1913) Le Brasier - I « Le Brasier »
Le Brasier A mon ami , le grand poète P.-N. Roinard. I J’ai jeté
8 (1909) Les Sept Épées « Les Sept Épées »
chaque nuit c’est un flambeau. La sixième, métal de gloire, C’est l’ ami aux si douces mains Dont chaque matin nous sépare
9 (1913) Le Brasier - III « Le Brasier »
flambe en traversant les cieux. Nous attendons ton bon plaisir, ô mon amie , J’ose à peine regarder la divine mascarade — Qua
10 (1909) Le jour des morts « Le jour des morts »
jardin Plein de saules gris et de romarins Il vous vient souvent des amis qu’on enterre Ah ! que vous êtes bien dans le bea
11 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
s, Et parmi les citrons leurs cœurs sont suspendus. * *  * [« Mes amis m’ont enfin avoué leur mépris »] Mes amis m’o
ndus. * *  * [« Mes amis m’ont enfin avoué leur mépris »] Mes amis m’ont enfin avoué leur mépris. Je buvais à pleins
12 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
flambe en traversant les cieux. Nous attendons ton bon plaisir, ô mon amie . J’ose à peine regarder la divine mascarade — Qua
13 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
mbe en traversant les cieux ‒ Nous attendons ton bon plaisir, ô mon amie . ‒ J’ose à peine regarder la divine mascarade.
14 (1917) La Victoire « La Victoire »
ons pas assez la joie De voir de belles choses neuves           O mon amie hâte-toi,           Crains qu’un jour un train ne
15 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
Nous traversâmes la ville Et rencontrions souvent Des parents, des amis qui se joignaient A la petite troupe des morts ré
16 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
Nous traversâmes la ville Et rencontrions souvent Des parents, des amis qui se joignaient A la petite troupe des morts ré
17 (1912) Zône « Zône »
erranée Sous les citronniers qui sont en fleur toute l’année Avec tes amis tu te promènes en barque L’un est Nissard il y a
18 (1913) Zône « Zône »
erranée Sous les citronniers qui sont en fleur toute l’année Avec tes amis tu te promènes en barque L’un est Nissard il y a
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