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1 (1917) Un poème « Un poème »
Un poème Il est entré Il s’est assis Il ne regarde pas le pyrogène à cheveux rouges L’
2 (1914) 1904 « 1904 »
904 A Strasbourg en 1904 J’arrivai pour le lundi gras A l’hôtel m’ assis devant l’âtre Près d’un chanteur de l’Opéra Qui n
3 (1909) Élégie « Élégie »
souvenir d’un meurtre et sur Laquelle bien souvent tu t’es longtemps assise  : « Gottfried apprenti de Brühl, l’an seize cen
4 (1913) Le Brasier - III « Le Brasier »
se nourrit le vide. Et voici le spectacle Et pour toujours je suis assis dans un fauteuil. Ma tête, mes genoux, mes coudes
5 (1915) Le Repas « Le Repas »
t est ensoleillé           La table est ronde Dérrière la chaise où s’ assied la mère           Il y a la fenêtre           Bri
6 (1917) Le Dépôt « Le Dépôt »
n aille Vers le nord glorieux l’intrépide bleusaille Les 3 servants assis dodelinent leurs fronts Où brillent leurs yeux cl
7 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
du vaisseau, il posa sa valise,                                  Et s’ assit . Les vents de l’Océan en soufflant leurs menace
8 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
au, il posa sa valise,                                           Et s’ assit . Les vents de l’Océan en soufflant leurs menace
9 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
se nourrit le vide. Et voici le spectacle Et pour toujours je suis assis dans un fauteuil Ma tête, mes genoux, mes coudes,
10 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
se nourrit le vide. Et voici le spectacle Et pour toujours je suis assis dans un fauteuil Ma tête, mes genoux, mes coudes,
11 (1912) Zône « Zône »
des pastèques Te voici à Coblence à l’hôtel du Géant Te voici à Rome assis sous un néflier du Japon Te voici à Amsterdam a
Il y a surtout des juifs leurs femmes portent perruque Elles restent assises exsangues au fond des boutiques Tu es debout de
12 (1913) Zône « Zône »
es pastèques Te voici à Coblence à l’hôtel du Géant Te voici à Rome assis sous un néflier du Japon Te voici à Amsterdam a
Il y a surtout des juifs leurs femmes portent perruque Elles restent assises exsangues au fond des boutiques Tu es debout deva
13 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
as et sur ces rails roule un long train de marchandises Tu pleurais assise près de moi au fond d’un fiacre Et maintenant T
14 (1911) Le Larron « Le Larron »
aux fresques qui figurent L’inceste solaire et nocturne dans les nues Assieds -toi là pour mieux ouïr les voix ligures Au son de
15 (1903) Le Larron « Le Larron »
fresques qui figurent L’inceste solaire et nocturne dans les nues : «  Assieds -toi là, pour mieux ouïr les voix ligures Au son d
16 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
nnonçait qu’un nouveau tonneau Allait être mis en perce. Une morte, assise sur un banc, Près d’un buisson d’épine-vinette, L
17 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
nnonçait qu’un nouveau tonneau Allait être mis en perce. Une morte, assise sur un banc, Près d’un buisson d’épine-vinette, L
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