suivie pendant deux Bonnes heures à Amsterdam Mes doigts jeterent des
baisers
Mais le canal était désert Le quai aussi et nul
Mais le canal était désert Le quai aussi et nul ne vit Comment mes
baisers
retrouvèrent Celle à qui j’ai donné ma vie Un jou
ient brisés Après la neige aux purs pétales Comme ses mains sur tes
baisers
Tombaient les feuilles automnales GUILLAUME APO
tonné Et fraternellement je lui donne l’accolade Et offre à son
baiser
de paix La Margelle du Puits Capital GUI
dans votre ombre. Les mariniers qui voient de loin, Nous envoient des
baisers
sans nombre. La nuit arrive tout à coup Comme l
nt, j’aime les fruits, je déteste les fleurs ; Je regrette chacun des
baisers
que je donne, Tel un noyer gaulé dit au vent ses
ant, j’aime les fruits, je déteste les fleurs, Je regrette chacun des
baisers
que je donne, Tel un noyer gaulé dit au vent ses
Les Jumeaux Deux juifs
baisaient
la même dame D
mphonique de l’amour Il y a le chant de l’amour de jadis Le bruit des
baisers
éperdus des amants illustres Les cris d’amour des
. Pourtant tout à l’heure dans la synagogue, l’un après l’autre Ils
baiseront
la thora en soulevant leur beau chapeau. Parmi le
e vent tiède enlaçait presque Comme un couple d’amants à leur dernier
baiser
. La maison, près du Rhin, était si romanesque.
Regret des jeux de la putain Et belle comme une panthère ! Amour, vos
baisers
florentins Avaient une saveur amère Qui a rebuté
ns les soirs tremblants ; Dans ses yeux nageaient les sirènes, Et nos
baisers
mordus, sanglants, Faisaient pleurer nos fées mar
’Océan en soufflant leurs menaces, Laissaient en ses cheveux de longs
baisers
mouillés. Des émigrants tendaient, vers le port,
oi l’enfer se fonde, Qu’un ciel d’oubli s’ouvre à mes vœux ! Pour son
baiser
les rois du monde Seraient morts ; des pauvres fa
céan en soufflant leurs menaces, Laissaient dans ses cheveux de longs
baisers
mouillés. Des émigrants tendaient, vers le port,
t de vache, O crâne dont j’ai peur en mon âme bravache ! O tête, j’ai
baisé
tes dents comme un amant. Entendez-vous, Seigne
e nous aimons, Sache nos cœurs, sache les jeux que nous aimons Et nos
baisers
quintessenciés comme du miel. Or, j’absous les
nir Les alcancies pleines de cendre ou bien de fleurs Nous aurons des
baisers
florentins sans le dire Mais au jardin ce soir tu
ir Les alcancies pleines de cendre ou bien de fleurs, Nous aurons des
baisers
florentins sans le dire, Mais au jardin, ce soir,
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