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1 (1912) Rosemonde « Rosemonde »
suivie pendant deux Bonnes heures à Amsterdam Mes doigts jeterent des baisers Mais le canal était désert Le quai aussi et nul
Mais le canal était désert Le quai aussi et nul ne vit Comment mes baisers retrouvèrent Celle à qui j’ai donné ma vie Un jou
2 (1917) Départ « Départ »
ient brisés Après la neige aux purs pétales Comme ses mains sur tes baisers Tombaient les feuilles automnales GUILLAUME APO
3 (1917) Poèmepréfaceprophétie - 5
tonné Et fraternellement je lui donne l’accolade       Et offre à son baiser de paix        La Margelle du Puits Capital GUI
4 (1909) Crépuscule « Crépuscule »
dans votre ombre. Les mariniers qui voient de loin, Nous envoient des baisers sans nombre. La nuit arrive tout à coup Comme l
5 (1911) Stances (Signe de l’Automne) « Stances (Signe de l’Automne) »
nt, j’aime les fruits, je déteste les fleurs ; Je regrette chacun des baisers que je donne, Tel un noyer gaulé dit au vent ses
6 (1912) Le Signe de l'Automne « Le Signe de l’Automne »
ant, j’aime les fruits, je déteste les fleurs, Je regrette chacun des baisers que je donne, Tel un noyer gaulé dit au vent ses
7 (1910) Les Jumeaux « Les Jumeaux »
Les Jumeaux                   Deux juifs baisaient la même dame                                    D
8 (1917) Chant d'amour « Chant d’amour »
mphonique de l’amour Il y a le chant de l’amour de jadis Le bruit des baisers éperdus des amants illustres Les cris d’amour des
9 (1904) La Synagogue « La Synagogue »
. Pourtant tout à l’heure dans la synagogue, l’un après l’autre Ils baiseront la thora en soulevant leur beau chapeau. Parmi le
10 (1909) Élégie « Élégie »
e vent tiède enlaçait presque Comme un couple d’amants à leur dernier baiser . La maison, près du Rhin, était si romanesque.
11 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
Regret des jeux de la putain Et belle comme une panthère ! Amour, vos baisers florentins Avaient une saveur amère Qui a rebuté
ns les soirs tremblants ; Dans ses yeux nageaient les sirènes, Et nos baisers mordus, sanglants, Faisaient pleurer nos fées mar
12 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
’Océan en soufflant leurs menaces, Laissaient en ses cheveux de longs baisers mouillés. Des émigrants tendaient, vers le port,
13 (1909) [« Un soir de demi-brume, à Londres »] « [« Un soir de demi-brume, à Londres »] »
oi l’enfer se fonde, Qu’un ciel d’oubli s’ouvre à mes vœux ! Pour son baiser les rois du monde Seraient morts ; des pauvres fa
14 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
céan en soufflant leurs menaces, Laissaient dans ses cheveux de longs baisers mouillés. Des émigrants tendaient, vers le port,
15 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
t de vache, O crâne dont j’ai peur en mon âme bravache ! O tête, j’ai baisé tes dents comme un amant. Entendez-vous, Seigne
e nous aimons, Sache nos cœurs, sache les jeux que nous aimons Et nos baisers quintessenciés comme du miel. Or, j’absous les
16 (1911) Le Larron « Le Larron »
nir Les alcancies pleines de cendre ou bien de fleurs Nous aurons des baisers florentins sans le dire Mais au jardin ce soir tu
17 (1903) Le Larron « Le Larron »
ir Les alcancies pleines de cendre ou bien de fleurs, Nous aurons des baisers florentins sans le dire, Mais au jardin, ce soir,
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