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1 (1917) Allons plus vite « Allons plus vite »
                                                      Les flammes qui brûlent les âmes                                     Su
2 (1912) L'Enfer « L’Enfer »
d l’air Comme si de l’amour — ce pendu jaune et vert — Je voulais que brûlât l’horrible main de gloire. Le pendu, le beau ma
3 (1916) Fusée « Fusée »
usse * *   * Notre amour est un sous les étoiles * *   * Le riz a brûlé dans la marmite du campement Ça signifie qu’il fa
4 (1914) L'Ignorance « L’Ignorance »
us Et je vivrai par ta chaleur et d’espérance Mais ton amour soleil brûle divinement Mon corps qu’être divin voulut mon ign
5 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
nte de s’élever jusqu’à chacun de mes yeux, Et porteur de soleils, je brûle au centre de deux nébuleuses. Qu’ai-je fait aux
signe pur du troisième mois. * *  * [« Templiers flamboyants, je brûle parmi vous »] Templiers flamboyants, je brûle
ers flamboyants, je brûle parmi vous »] Templiers flamboyants, je brûle parmi vous. Prophétisons ensemble, ô grands maîtr
6 (1909) [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] « [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] »
, Face tournée au ciel changeant… … Juin, ton soleil, ardente lyre, Brûle mes doigts endoloris. Triste et silencieux délire
7 (1914) Lettre-Océan « Lettre-Océan »
ré cré cré cré cré cré cré [motif circulaire, rayons] et comment j’ai brûlé le dur avec ma gerce rue St-Isidore à La Havane ç
8 (1916) Chant de l'horizon en Champagne « Chant de l’horizon en Champagne »
ou bien flottaison blanche dans les cieux J’étais content pourtant ça brûlait la paupière Les officiers captifs voulaient cache
9 (1917) La Victoire « La Victoire »
rtiront bientôt de la vie Ils seront beaux et ridicules Deux lampes brûlent devant moi Comme deux femmes qui rient Je courbe
10 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
énéralement aux emballages Il y a un trou qui sert d’âtre et ce qui y brûle est un feu semblable à l’âme Tant il tourbillonne
11 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
ombre en deuil de moi-même… … L’hiver est mort tout enneigé ; On a brûlé les ruches blanches. Dans les jardins et les verg
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