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1 (1908) Poème (incipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») « Poème (incipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») »
Poème (incipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») Le chemin qui mène aux
Poème (incipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») Le chemin qui mène aux étoiles Est pur, sans ombre et sans
2 (1902) La Tzigane « La Tzigane »
Ave. On sait très bien que l’on se damne, Mais l’espoir d’aimer en chemin Nous fait penser main dans la main A ce qu’a préd
3 (1912) La Tsigane « La Tsigane »
Ave. On sait très bien que l’on se damne, Mais l’espoir d’aimer en chemin Nous fait penser, main dans la main, A ce qu’a pr
4 (1902) Mai « Mai »
i tant aimée ; Les pétales flétris sont comme ses paupières. Sur le chemin du bord du fleuve, lentement, Un ours, un singe,
5 (1909) Les Sept Épées « Les Sept Épées »
si douces mains Dont chaque matin nous sépare : « Adieu, voilà votre chemin . » Les coqs s’épuisaient en fanfares. Et la sep
6 (1903) Avenir « Avenir »
, les maisons qui s’effondrent, Les cadavres tout nus couchés par les chemins , Nous irons contempler le sourire des morts. No
7 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
a bien mon fils, mon ouvrage immortel « Le front nimbé de feu, sur le chemin de Rome « Il marchera tout seul en regardant le c
8 (1917) La Victoire « La Victoire »
       La rue devenait immobile                Qui sait où serait mon chemin                Songe que les chemins de fer      
9 (1911) Cortège « Cortège »
e homme tenait une rose à la main Et le langage qu’ils inventaient en chemin Je l’appris de leur bouche et je le parle encore.
10 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
’ai dormi au sol des sapinières. Enfin, ô soir pâmé, au bout de mes chemins La ville m’apparut, très grave, au son des cloche
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