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1 (1908) La Puce « >La Puce »
antes même, Qu’ils sont cruels ceux qui nous aiment ! Tout notre sang coule pour eux. Les bien-aimés sont malheureux.
2 (1912) Le pont Mirabeau « Le Pont Mirabeau »
Le Pont Mirabeau Sous le pont Mirabeau coule la Seine. Et nos amours, faut-il qu’il m’en souvi
nes, Ni temps passé, ni les amours reviennent ; Sous le pont Mirabeau coule la Seine.                Vienne la nuit, sonne
3 (1914) Un soir d'Eté « Un soir d’Eté »
Un soir d’Eté Le Rhin Qui coule Un train Qui roule Des nixes blanches Sont en p
4 (1912) Clotilde « Clotilde »
sombres Avec elles disparaîtra. Les déités des eaux vives Laissent couler leurs cheveux… Passe ! Il faut que tu poursuives
5 (1917) Le Pont « Le Pont »
à-bas [à gauche, un mot par ligne] c’est pour toi seule que le sang coule      Tous les enfants savent pourquoi      
6 (1902) La Fuite « La Fuite »
des matelots. Horreur ! Horreur de nous des joyaux, des squelettes Coulés au fond des mers où surnagèrent tant De fleurs, d
7 (1917) Sanglots « Sanglots »
              Et du retour joyeux des heureux émigrants De ce cœur il coulait du sang Et le rêveur allait pensant A sa blessure
8 (1917) Merveille de la guerre « Merveille de la guerre »
rrir Et se contente de jongler avec des feux versicolores Mais j’ai coulé dans la douceur de cette guerre avec toute ma com
s de flamme annoncent sans cesse ma présence J’ai creusé le lit où je coule en me ramifiant en mille petits fleuves qui vont
9 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
le Nous l’enverrons en message téléphonique Traumatisme géant Il fait couler les yeux Voilà une jolie jeune feuille parmi les
10 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
le Nous l’enverrons en message téléphonique Traumatisme géant Il fait couler les yeux Voilà une jolie jeune fille parmi les je
11 (1913) Lundi rue Christine « Lundi rue Christine »
noir traverse la brasserie Ces crêpes étaient exquises La fontaine coule Robe noire comme ses ongles C’est complètement im
12 (1917) Chevaux de frise « Chevaux de frise »
e une pluie de larmes amoureuses De larmes heureuses que la joie fait couler                      Et je t’aime comme tu m’aime
13 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
ur le ciel ; La lumière est ma mère, ô lumière sanglante ! Les nuages coulaient comme un flux menstruel. Au carrefour où nulle
14 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
ris J’ai soif villes de France et d’Europe et du monde Venez toutes couler dans ma gorge profonde Je vis alors que déjà iv
suis ivre d’avoir bu tout l’univers Sur le quai d’où je voyais l’onde couler et dormir les bélandres Ecoutez mes chants d’un
15 (1911) Cortège « Cortège »
es étaient des îles. Et cette mer avec les clartés de ses profondeurs Coulait , sang de mes veines et fait battre mon cœur. Puis
16 (1911) Le Larron « Le Larron »
Une femme lui dit Tu n’invoques personne Crois-tu donc au hasard qui coule au sablier Voleur connais-tu mieux les lois malgr
17 (1903) Le Larron « Le Larron »
femme lui dit : « Tu n’invoques personne, Crois-tu donc au hasard qui coule au sablier ? Voleur, connais-tu mieux les lois ma
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