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1 (1902) Les Colchiques « Les Colchiques »
automne. Les vaches y paissant lentement s’empoisonnent. Le colchique couleur de cerne et de lilas Y fleurit. Tes yeux sont com
es colchiques qui sont comme des mères Filles de leurs filles et sont couleur de tes paupières Qui battent comme les fleurs bat
2 (1916) La Grâce exilée « La Grâce exilée »
La Grâce exilée Va-t’en va-t’en mon arc-en-ciel Allez-vous-en couleurs charmantes Cet exil t’est essentiel Infante aux é
3 (1913) Inscription pour le tombeau du peintre Henri Rousseau douanier « Inscription pour le tombeau du peintre Henri Rousseau douanier »
s en franchise à la porte du ciel Nous t’apporterons des pinceaux des couleurs des toiles Afin que tes loisirs sacrés dans la lu
4 (1917) De la batterie de tir « De la batterie de tir »
es profondes                 Etincelles        O nous les très belles couleurs Mai 1915
5 (1914) Poème sans titre (incipit : « Gentil Rousseau, tu nous entends ») « Poème sans titre (incipit : « Gentil Rousseau, tu nous entends ») »
                                 Nous t’apporterons des pinceaux, des couleurs ,                                                 
6 (1915) De la Batterie de Tir « De la Batterie de Tir »
gne de nos origines profondes       Etincelles O nous les très belles couleurs    1914           1915 [ronde]           [drape
7 (1915) De la Batterie de Tir « De la Batterie de Tir »
e nos origines profondes            Etincelles O nous les très belles couleurs    1914           1915 [ronde]           [drape
8 (1917) [Calligramme (oiseau)] « [Calligramme (oiseau)] »
nez son nom elle porte en elle des millions d’oiseaux qui donnent une couleur inconnue au ciel de la région où vivent ses perso
9 (1915) Visée « Visée »
Visée À MlleCarrubba [signal optique d’artillerie] 8 Chevaux couleur cerise limite de Zélande Des mitrailleuses d’or c
10 (1915) Visée « Visée »
Visée À Mlle Carrubba [signal optique d’artillerie] 8 Chevaux couleur cerise limite de Zélande Des mitrailleuses d’or c
11 (1912) Les Colchiques « Les Colchiques »
automne. Les vaches y paissant lentement s’empoisonnent. Le colchique couleur de cerne et de lilas Y fleurit. Tes yeux sont com
12 (1917) Le Voyage du Kabyle « Le Voyage du Kabyle »
Le Voyage du Kabyle Belle couleur du Pobiron [à droite, verticalement de gauche à
13 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
ont des plis qu’on ne défera pas, Tapis qui sont presque entièrement couleur de la poussière Et où quelques taches jaunes ou v
Les saltimbanques ne bougeaient pas. Le plus vieux avait un maillot couleur de ce rose violâtre qu’ont aux joues certaines je
14 (1905) Dans le palais de Rosemonde « Dans le Palais de Rosemonde »
une odeur de graisse et de graillon. On eut vingt potages, dont trois couleurs d’urine, Et, le roi prit deux œufs pochés dans du
15 (1909) Le jour des morts « Le jour des morts »
t Comme le cœur blessé de la madone Dont on doute si elle eut la peau Couleur des châtaignes d’automne… Honnef , novembre 19
16 (1911) Dans le palais de Rosemonde « Dans le palais de Rosemonde »
t une odeur de graisse et de graillon On eut vingt potages dont trois couleur d’urine Et le roi prit deux œufs pochés dans du b
17 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
fleur s’offre à qui veut le cueillir Il y a là des feux nouveaux des couleurs jamais vues Mille phantasmes impondérables Auxque
18 (1902) La Loreley « La Loreley »
dans le Rhin. Pour avoir vu dans l’eau, la belle Loreley, Ses yeux couleur du Rhin, ses cheveux, de soleil. Bacharach, Mai
19 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
i ont des plis qu’on ne défera pas Tapis qui sont presque entièrement couleur de la poussière Et où quelques taches jaunes ou v
20 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
o entra dans la rue Aubry-le-Boucher Jeune l’homme était brun et ce couleur de fraise sur les joues Homme Ah! Ariane Il jouai
21 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
sont parées de guirlandes d’éblouissements De bulles de globules aux couleurs insoupçonnées Nous jouissons de tout même de no
22 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
e sentais l’aorte avare éperdument. Une goutte tomba. Sueur ? et sa couleur  ? Lueur ! le sang est rouge ! et j’ai ri des damn
23 (1911) Le Larron « Le Larron »
é mes rames Et mon couteau punique au pied de ce pêcher Les citrons couleur d’huile et à saveur d’eau froide Pendaient parmi
24 (1903) Le Larron « Le Larron »
mes rames Et mon couteau punique au pied de ce pêcher. Les citrons couleur d’huile et à saveur d’eau froide Pendaient parmi
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