’amour de jadis Le bruit des baisers éperdus des amants illustres Les
cris
d’amour des mortelles violées par les dieux Les v
soleil ont fait chanter à Memnon l’immobile Il y a le
cri
des Sabines au moment de l’enlèvement Il y a auss
Il y a le cri des Sabines au moment de l’enlèvement Il y a aussi les
cris
d’amour des félins dans les jon
H NADIR et les grands
cris
de l’EST l’océan a l’OUEST
t : « Au nord au sud ») Au nord au sud Zénith nadir Et les grands
cris
de l’est L’Océan à l’ouest se goufle La tour à l
en vont à l’heure où doit passer le guet Avec ses vingt lueurs et son
cri
fatigué Elles ont peur de l’ombre et de l’heure p
a-ce pas l’heure enfin d’avoir sommeil Quand passera le guet avec son
cri
pareil Aux plaintes de l’amour qui vous rendit in
rs étaient-ils ces jardins sans limite Où le crapaud module un tendre
cri
d’azur La biche du silence éperdu passait vite Un
rs étaient-ils ces jardins sans limite Où le crapaud module un tendre
cri
d’azur La biche du silence éperdu passait vite Un
Ces jardins sans limite Où le crapaud module un tendre
cri
d’azur La biche du silence éperdu passe vite
Liens Cordes faites de
cris
Sons de cloches à travers l’Europe Siècles pend
ptembre 1915 Demain l’assaut Nuit violente ô nuit dont l’épouvantable
cri
profond devenait plus intense de minute en minute
Demain l’assaut Nuit violente ô nuit dont l’épouvantable
cri
profond devenait plus intense de minute en minute
ire Avec de la fourrure aux poignets et aux chevilles Il poussait des
cris
brefs Et saluait en écartant gentiment les avant-
e son destin Fœtus minuscules qui lui sortaient de la barbe Nouveau
cri
de Peau-Rouge Musique angélique des arbres Dispar
d défleuri Pour écarter l’haleine tiède Qu’exhalent contre mes grands
cris
Vos terribles bouches muettes. * Il y a là-bas
d défleuri Pour écarter l’haleine tiède Qu’exhalent contre mes grands
cris
Vos terribles bouches muettes. Il y a là-bas la
e, Avec de la fourrure aux poignets et aux chevilles. Il poussait des
cris
brefs, Et saluait en écartant gentiment les avant
son destin, Fœtus minuscules qui lui sortaient de la barbe, Nouveaux
cris
de Peau Rouge. Musique angélique des arbres. Disp
Nos salves nos rafales sont ses
cris
de joie Ses f
rant. Bleu flamme légère argent des ondes bleues après le grand
cri
Tout en restant elles touchent cette sirène
esse, interrogent, Il se maria comme un doge, Aux
cris
d’une sirène moderne, sans époux. Gonfle-toi ve
cesse, interrogent, Il se maria comme un doge, Aux
cris
d’une sirène moderne, sans époux. Gonfle-toi ve
ette guerre avec toute ma compagnie au long des longs boyaux Quelques
cris
de flamme annoncent sans cesse ma présence J’ai c
oi La mer qui a trahi des matelots sans nombre Engloutit mes grands
cris
comme des dieux noyés Et la mer au soleil ne supp
limpides et lointaines Et j’écoutai longtemps tous ces chants et ces
cris
Qu’éveillait dans la nuit la chanson de Paris J
tous les cerveaux les cimetières les murailles Ces berceaux pleins de
cris
que tu n’entendras pas Et d’amont en aval nos pen
SUS AUX TUDESQUES Nous l’armée invisible aux
cris
éblouissants Plus doux que n’est le miel et plus
vieil ivoire ! Orbites ! Trous Des narines rongées ! J’ai faim ! Mes
cris
s’enrouent. Voici donc pour mon jeûne un morceau
’Adam la première tête L’aigle fond de l’horizon en poussant un grand
cri
Et d’Amérique vient le petit colibri De Chine son
’Adam la première tête L’aigle fond de l’horizon en poussant un grand
cri
Et d’Amérique vient le petit colibri De Chine son
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