/ 25
1 (1917) Chant d'amour « Chant d’amour »
’amour de jadis Le bruit des baisers éperdus des amants illustres Les cris d’amour des mortelles violées par les dieux Les v
soleil                ont fait chanter à Memnon l’immobile Il y a le cri des Sabines au moment de l’enlèvement Il y a auss
Il y a le cri des Sabines au moment de l’enlèvement Il y a aussi les cris d’amour des félins dans                   les jon
2 (1917) A la Tour - 1910 « A la Tour — 1910 »
H      NADIR                                            et les grands cris de l’EST l’océan a l’OUEST                      
3 (1913) Poème sans titre (incipit : « Au nord au sud ») « Poème sans titre (incipit : « Au nord au sud ») »
t : « Au nord au sud ») Au nord au sud Zénith nadir Et les grands cris de l’est L’Océan à l’ouest se goufle La tour à l
4 (1914) Tour de Pise « Tour de Pise »
en vont à l’heure où doit passer le guet Avec ses vingt lueurs et son cri fatigué Elles ont peur de l’ombre et de l’heure p
a-ce pas l’heure enfin d’avoir sommeil Quand passera le guet avec son cri pareil Aux plaintes de l’amour qui vous rendit in
5 (1915) Vers le Sud « Vers le Sud »
rs étaient-ils ces jardins sans limite Où le crapaud module un tendre cri d’azur La biche du silence éperdu passait vite Un
6 (1915) Vers le Sud « Vers le Sud »
rs étaient-ils ces jardins sans limite Où le crapaud module un tendre cri d’azur La biche du silence éperdu passait vite Un
7 (1918) Vers le Sud « Vers le Sud »
             Ces jardins sans limite Où le crapaud module un tendre cri d’azur La biche du silence éperdu passe vite
8 (1913) Liens « Liens »
Liens Cordes faites de cris Sons de cloches à travers l’Europe Siècles pend
9 (1916) Le Désir « Désir »
ptembre 1915 Demain l’assaut Nuit violente ô nuit dont l’épouvantable cri profond devenait plus intense de minute en minute
10 (1917) Désir « Désir »
             Demain l’assaut Nuit violente ô nuit dont l’épouvantable cri profond devenait plus intense de minute en minute
11 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
ire Avec de la fourrure aux poignets et aux chevilles Il poussait des cris brefs Et saluait en écartant gentiment les avant-
e son destin Fœtus minuscules qui lui sortaient de la barbe Nouveau cri de Peau-Rouge Musique angélique des arbres Dispar
12 (1907) Lul de Faltenin « Lul de Faltenin »
d défleuri Pour écarter l’haleine tiède Qu’exhalent contre mes grands cris Vos terribles bouches muettes. * Il y a là-bas
13 (1907) Fragment « Fragment »
d défleuri Pour écarter l’haleine tiède Qu’exhalent contre mes grands cris Vos terribles bouches muettes. Il y a là-bas la
14 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
e, Avec de la fourrure aux poignets et aux chevilles. Il poussait des cris brefs, Et saluait en écartant gentiment les avant
son destin, Fœtus minuscules qui lui sortaient de la barbe, Nouveaux cris de Peau Rouge. Musique angélique des arbres. Disp
15 (1915) 2e canonnier conducteur « 2e canonnier conducteur »
                                    Nos salves nos rafales sont ses cris de joie                                     Ses f
16 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
rant. Bleu   flamme légère   argent des ondes   bleues après le grand cri Tout   en restant   elles touchent   cette sirène
17 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
esse, interrogent,                     Il se maria comme un doge, Aux cris d’une sirène moderne, sans époux. Gonfle-toi ve
18 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
cesse, interrogent,                    Il se maria comme un doge, Aux cris d’une sirène moderne, sans époux. Gonfle-toi ve
19 (1917) Merveille de la guerre « Merveille de la guerre »
ette guerre avec toute ma compagnie au long des longs boyaux Quelques cris de flamme annoncent sans cesse ma présence J’ai c
20 (1917) La Victoire « La Victoire »
oi La mer qui a trahi des matelots sans nombre Engloutit mes grands cris comme des dieux noyés Et la mer au soleil ne supp
21 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
limpides et lointaines Et j’écoutai longtemps tous ces chants et ces cris Qu’éveillait dans la nuit la chanson de Paris J
tous les cerveaux les cimetières les murailles Ces berceaux pleins de cris que tu n’entendras pas Et d’amont en aval nos pen
22 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
                       SUS AUX TUDESQUES Nous l’armée invisible aux cris éblouissants Plus doux que n’est le miel et plus
23 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
vieil ivoire ! Orbites ! Trous Des narines rongées ! J’ai faim ! Mes cris s’enrouent. Voici donc pour mon jeûne un morceau
24 (1912) Zône « Zône »
’Adam la première tête L’aigle fond de l’horizon en poussant un grand cri Et d’Amérique vient le petit colibri De Chine son
25 (1913) Zône « Zône »
’Adam la première tête L’aigle fond de l’horizon en poussant un grand cri Et d’Amérique vient le petit colibri De Chine son
/ 25