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1 (1917) [Calligramme (lunettes)] « [Calligramme (lunettes)] »
par le moyen de quelques ombres humaines il n’attend pas que le temps donne de l’originalité à ses sensations il est sûr de l
mps donne de l’originalité à ses sensations il est sûr de lui il sait donner une ordonnance à la fois pompeuse et familière à
2 (1917) Poèmepréfaceprophétie - 5
ans              D’avoir pu en être étonné Et fraternellement je lui donne l’accolade       Et offre à son baiser de paix   
3 (1911) La Porte « La Porte »
ain Humble comme je suis qui ne suis rien qui vaille Enfant je t’ai donné ce que j’avais travaille
4 (1912) Rosemonde « Rosemonde »
aussi et nul ne vit Comment mes baisers retrouvèrent Celle à qui j’ai donné ma vie Un jour pendant plus de deux heures. Je
5 (1911) Stances (Signe de l’Automne) « Stances (Signe de l’Automne) »
fruits, je déteste les fleurs ; Je regrette chacun des baisers que je donne , Tel un noyer gaulé dit au vent ses douleurs. M
6 (1912) Le Signe de l'Automne « Le Signe de l’Automne »
fruits, je déteste les fleurs, Je regrette chacun des baisers que je donne , Tel un noyer gaulé dit au vent ses douleurs. M
7 (1917) [Calligramme (oiseau)] « [Calligramme (oiseau)] »
oiseau] Retenez son nom elle porte en elle des millions d’oiseaux qui donnent une couleur inconnue au ciel de la région où vive
8 (1913) Liens « Liens »
ations Nous ne sommes que deux ou trois hommes libres de tous liens Donnons -nous la main Violente pluie qui peigne les fumé
9 (1910) La Vaseline « La Vaseline »
ra, Un monsieur fort bien mis en coup de vent entra : « Vite, dit-il, donnez -moi de la vaseline ! » Le potard, empressé, deman
10 (1910) La Vaseline « La Vaseline »
ra, Un monsieur fort bien mis en coup de vent entra : « Vite, dit-il, donnez -moi de la vaseline ! » Le potard, empressé, deman
11 (1913) Montparnasse (incipit : « O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes ») « Montparnasse (incipit : « O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes ») »
toi Distribuant des prospectus On n’a jamais si bien défendu la vertu Donnez -moi pour toujours une chambre à la semaine Ange b
12 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
partout l’aventure Nous ne sommes pas vos ennemis Nous voulons vous donner de vastes et d’étranges domaines Où le mystère en
couleurs jamais vues Mille phantasmes impondérables Auxquels il faut donner de la réalité Nous voulons explorer la Bonté cont
13 (1909) Le Départ « Le Départ ») »
c’est vous, La cause de l’impossible amour que j’avoue Et qui m’avez donné la force de le dire. Et cette lyre accorde et m
14 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
el est étoilé par les obus des Boches La forêt merveilleuse où je vis donne un bal La mitrailleuse joue un air à triples-croc
15 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
el est étoilé par les obus des Boches La forêt merveilleuse où je vis donne un bal La mitrailleuse joue un air à triples-croc
16 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
el est étoilé par les obus des Boches La forêt merveilleuse où je vis donne un bal La mitrailleuse joue un air à triples croc
17 (1913) Le Brasier - III « Le Brasier »
comme des feuilles. Les acteurs inhumains, claires bêtes nouvelles, Donnent des ordres aux hommes apprivoisés O Déchirée que
18 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
re C’était un temps béni. Jours vagues et nuits vagues Les marmites donnaient aux rondins des cagnats Quelque alluminium où tu
19 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
re C’était un temps béni. Jours vagues et nuits vagues Les marmites donnaient aux rondins des cagnats Quelque aluminium où tu t
20 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « Nuit d’avril : 1915 »
l est étoilé par les obus des boches, La forêt merveilleuse où je vis donne un bal, La mitrailleuse joue un air à triples cro
21 (1917) Les Saisons « Les Saisons »
rre C’était un temps béni Jours vagues et nuits vagues Les marmites donnaient aux rondins des cagnats Quelque aluminium où tu t
22 (1913) Lundi rue Christine « Lundi rue Christine »
ma probloque Je préférerais me couper le parfaitement que de les lui donner Je partirai à 20 h. 27 Six glaces s’y dévisagen
23 (1903) Avenir « Avenir »
mbreux, en liberté. — Le soleil et les morts aux terres qu’on emblave Donnent la beauté blonde et la fécondité. — Puis quand
24 (1917) [Page 1] « [Page 1] »
s essais picturaux de Léopold Survage. Les efforts qu’il a faits pour donner une vie à la nuance pure l’ont mis à même d’abord
25 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
aris    Je ne sais pas mon âge       Mais au recrutement       On m’a donné vingt ans    Je suis soldat français on m’a bla
26 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
aris    Je ne sais pas mon âge       Mais au recrutement       On m’a donné vingt ans    Je suis soldat français on m’a bla
27 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
comme des feuilles. Des acteurs inhumains, claires bêtes nouvelles, Donnent des ordres aux hommes apprivoisés O Déchirée que
28 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
Je le revis qui regardait un ours faire l’agile en s’enivrant Pour me donner un signe de la liberté. Je le revis, près d’un mo
29 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
comme des feuilles. Les acteurs inhumains, claires bêtes nouvelles, Donnent des ordres aux hommes apprivoisés,               
30 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
ait fixé comme prix des tours Mais quand il fut clair que personne ne donnerait plus rien On se décida à commencer la séance De
31 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
xés comme le prix des tours. Mais, quand il fut clair que personne ne donnerait plus rien, On se décida à commencer la séance. De
32 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
ts en automne, Tu mesures combien d’empans J’ai droit que la terre me donne , O mon ombre, ô mon vieux serpent ! Au soleil,
33 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
s matelots Qui dansaient, le cou nu, au son d’un accordéon. J’ai tout donné au soleil, Tout, sauf mon ombre. Les dragues, l
34 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
s semblables à nos doigts Fabriquent du réel à tant par heure Nous te donnons tout cela Et Lyon répondit tandis que les anges
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