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1 (1905) Le Mendiant « Le Mendiant »
s feront Gémir les femmes grâce aux grimaces flébiles. Je n’ai que ma douleur pour émouvoir Caron Et vivant je mendie de chaq
’électre du matin. Tu méprises ma peine et la tienne peut-être ; Ta douleur de toujours, mon malheur de jamais. Nous pleurâme
yeux secs j’attends. Si Thanatos m’aimait ! Puisque tu veux nier la douleur positive Adapte un masque hilare et drape l’oripe
2 (1911) Stances (Signe de l’Automne) « Stances (Signe de l’Automne) »
e chacun des baisers que je donne, Tel un noyer gaulé dit au vent ses douleurs . Mon Automne éternel, ô ma Saison mentale, Les
3 (1912) Le Signe de l'Automne « Le Signe de l’Automne »
e chacun des baisers que je donne, Tel un noyer gaulé dit au vent ses douleurs . Mon Automne éternelle, ô ma saison mentale, Le
4 (1914) La Cravate et la montre « La Cravate et la montre »
n s’amuse bien [bord droit de la montre] la beauté de la vie passe la douleur de mourir [heures] Mon cœur les yeux l’enfant Agl
5 (1917) Allons plus vite « Allons plus vite »
  Et le soir vient et les lys meurent                      Regarde ma douleur beau ciel qui me l’envoyes                       
6 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
les destins damnés ou faustes, La corde au cou comme à Calais, Sur ma douleur quel holocauste ! Douleur qui doubles les desti
s, La corde au cou comme à Calais, Sur ma douleur quel holocauste ! Douleur qui doubles les destins, La licorne et le caprico
hors du fourreau !… Sept épées de mélancolie Sans morfil, ô claires douleurs , Sont dans mon cœur et la folie Veut raisonner po
7 (1909) Élégie « Élégie »
nte                      « Ici fut assassiné, « Sa fiancée en eut une douleur touchante « Requiem aeternam dona ei, Domine. »
8 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
it eu la pauvre confidence « D’un corps de vieille morte en mimant la douleur . » ………………………………………………………………. Et leurs mains s’é
qui m’attend se nomme Viviane « Et vienne le printemps des nouvelles douleurs . « Couché parmi la marjolaine et les pas d’ânes,
9 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
la vie et de la mort ce qu’un vivant peut connaître Ayant éprouvé les douleurs et les joies de l’amour Ayant su quelquefois impo
10 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
vêtements des pauvres ; Ni : la pudeur démocratique veut me voiler sa douleur  ; Ni : la liberté en honneur fait qu’on imite mai
11 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
les saints et fait pleuvoir le sang Heureuse pluie ô gouttes tièdes ô douleur Un enfant regarde les fenêtres s’ouvrir Et des gr
es Végétation accouplements musiques éternelles Mouvements adorations douleur divine Mondes qui vous ressemblez et qui nous res
12 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
icaine O nuit troupeau de regards langoureux des femmes O nuit toi ma douleur et mon attente vaine J’entends mourir le son d’un
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