res à Amsterdam Mes doigts jeterent des baisers Mais le canal était
désert
Le quai aussi et nul ne vit Comment mes baisers r
sor vers ta face splendide Les horizons terrestres se sont étalés Des
déserts
de Lybie aux palus méotides Et des sources du Nil
es légendes Dame-Aboude dans un tramway la nuit au fond d’un quartier
désert
Je voyais une chasse tandis que je montais Et l’a
es légendes Dame-Aboude dans un tramway ln nuit au fond d’un quartier
désert
Je voyais une chasse tandis que je montais Et l’a
légendes Dame il bonde dans une tramway la nuit au fond d’un quartier
désert
Je voyais une chasse tandis que je montais Et l’a
lie… Et ces grelottantes étoiles… De fausses femmes dans vos lits Aux
déserts
que l’histoire accable. Luitpold, le vieux prin
Tous les regards, tous les regards de tous les yeux Les bords étaient
déserts
, herbus, silencieux Et la montagne à l’autre rive
ivant la berge du fleuve, en aval, Et l’antique Merlin dans la plaine
déserte
Se frappait la poitrine en s’écriant : « Rival !
i semble en nougat On voit à gauche et à droite fuir l’humide couloir
désert
Où meurt étendue une pelle à la face effrayante à
entré pour la première fois, Et par hasard, Dans ce cimetière presque
désert
, Et je claquais des dents Devant toute cette bour
entré pour la première fois, Et par hasard, Dans ce cimetière presque
désert
, Et je claquais des dents Devant toute cette bour
attendaient la vendange de l’aube Un soir passant le long des quais
déserts
et sombres En rentrant à Auteuil j’entendis une v