r étranger malheureux malhabile Voleur voleur que ne demandais-tu ces
fruits
Mais puisque tu as faim que tu es en exil Il pleu
l pleure il est barbare et bon pardonnez-lui Je confesse le vol des
fruits
doux des fruits mûrs Mais ce n’est pas l’exil que
barbare et bon pardonnez-lui Je confesse le vol des fruits doux des
fruits
mûrs Mais ce n’est pas l’exil que je viens simule
Zacinthe et les Cyclades As-tu feint d’avoir faim quand tu volas les
fruits
Possesseurs de fruits mûrs que dirai-je aux ins
s As-tu feint d’avoir faim quand tu volas les fruits Possesseurs de
fruits
mûrs que dirai-je aux insultes Ouïr ta voix ligur
et l’adulte De prétexte sinon que s’aimer nuitamment Il y avait des
fruits
tout ronds comme des âmes Et des amandes de pomme
ré les hommes Veux-tu le talisman heureux de mon collier Larron des
fruits
tourne vers moi tes yeux lyriques Emplissez de no
Cette furtive ardeur des serpents qui s’entr’aiment Et le larron des
fruits
cria Je suis chrétien Ah Ah les colliers tinter
s la bourrasque Rira de toi comme hennissent les chevaux Larron des
fruits
tourne vers moi tes yeux lyriques Emplissez de no
anger, malheureux, malhabile, Voleur, voleur, que ne demandais-tu ces
fruits
? Mais puisque tu as faim que tu es en exil, Il p
il est barbare et bon, pardonnez-lui ! » — « Je confesse le vol des
fruits
doux, des fruits mûrs, Mais ce n’est pas l’exil q
bon, pardonnez-lui ! » — « Je confesse le vol des fruits doux, des
fruits
mûrs, Mais ce n’est pas l’exil que je viens simul
Zacinthe et les Cyclades, As-tu feint d’avoir faim quand tu volas les
fruits
? » — « Possesseurs de fruits mûrs, que dirai-j
feint d’avoir faim quand tu volas les fruits ? » — « Possesseurs de
fruits
mûrs, que dirai-je aux insultes ? Ouir ta voix li
t l’adulte, De prétexte sinon de s’aimer nuitamment. Il y avait des
fruits
tout ronds comme des âmes Et des amandes de pomme
es hommes ? Veux-tu le talisman heureux de mon collier ? Larron des
fruits
tourne vers moi tes yeux lyriques. Emplissez de n
ur y chastes mourir, La forêt précieuse aux oiseaux gemmipares Où des
fruits
doux et vénéneux pour eux mûrirent. Un triomphe
ce qu’il est bien d’êre obscènes quand on s’aime ? » Et le larron des
fruits
cria : « Je suis chrétien ! » — « Ah ! Ah ! les
urrasque Rira de toi comme hennissent les chevaux. » — « Larron des
fruits
tourne vers moi tes yeux lyriques. Emplissez de n
arfums souvenez-vous-en laisse s’ouvrir la fleur et laisse pourrir le
fruit
et laisse germer la graine tandis que soufflent l
Je suis soumis au Chef du Signe de l’Automne, Partant, j’aime les
fruits
, je déteste les fleurs ; Je regrette chacun des b
Je suis soumis au Chef du Signe de l’Automne, Partant, j’aime les
fruits
, je déteste les fleurs, Je regrette chacun des ba
x plantes vertes Vertes qui jamais Ne porteront de fleurs Où sont mes
fruits
Où me planté-je O porte de l’hôtel un ange est de
les sluices1. O ma tendre putain ! tes fesses ont vaincu De tous les
fruits
pulpeux le savoureux mystère, L’humble rotondité
es sluices1. O ma tendre putain ! tes fesses ont vaincu De tous les
fruits
pulpeux le savoureux mystère, L’humble rotondité
New-York et les Antilles La fenêtre s’ouvre comme une orange Le beau
fruit
de la lumière
New-York et les Antilles La fenêtre s’ouvre comme une orange Le beau
fruit
de la lumière Guillaume APOLLINAIRE
e et du soleil Quand la faim est calmée Les
fruits
gais et parfumés Terminent le repas
hant de ses ouvrages, la fraîcheur de ses bouquets, la simplicité des
fruits
, des fleurs et des feuilles. Nul avant Survage n’
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