u transmettes mon nom aux hommes en retard Toi, la vie et l’amour, ma
gloire
et mon emblème ; Et je suis soucieux de ta gran
r — ce pendu jaune et vert — Je voulais que brûlât l’horrible main de
gloire
. Le pendu, le beau masque et cet homme altéré D
transmettes mon nom aux hommes en retard, Toi, la vie et l’amour, ma
gloire
et mon emblème ; Et je suis soucieux de ta grand
dite celle-là qui ayant renoncé A n’être qu’une amante aime la chaste
Gloire
; Le surnom de sa Vie sera le Désespoir Et le rir
genouillent, Et chaque nuit c’est un flambeau. La sixième, métal de
gloire
, C’est l’ami aux si douces mains Dont chaque mati
J’ai tiré même sur le boyau Nietzche Décidément je ne respecte aucune
gloire
Nuit violente et violette et sombre et pleine d
’ai tiré même sur le boyau Nietzsche Décidément je ne respecte aucune
gloire
Nuit violente et violette et sombre et pleine d
ableaux, enfants de ton esprit. Nous sommes réunis pour célébrer ta
gloire
, Ces vins qu’en ton honneur nous verse Picasso, B
e des grands gars, les gestes des larrons, Et la mort des héros et la
gloire
des torches Qui font une auréole autour de chaque
céan, d’une immense floraison. Il aurait voulu ce bouquet, comme la
gloire
, Jouer dans d’autres mers parmi tous les dauphins
céan, d’une immense floraison. Il aurait voulu ce bouquet, comme la
gloire
, Jouer dans d’autres mers parmi tous les dauphins
la ville et là-haut Astres mûrs becquetés par les ivres oiseaux De ma
gloire
attendaient la vendange de l’aube Un soir passa
ement blanches et noires Sans savoir que tu es la réalité chantent ta
gloire
Mais nous liquides mains jointes pour la prière N
e mon souffle éteindra, ô morts, à quarantaine. Je mire de ma mort la
gloire
et le malheur. Comme si je visais l’oiseau de la
nelle et adorable profondeur améthyste Tourne à jamais la flamboyante
gloire
du Christ C’est le beau lys que malgré tout nou
nelle et adorable profondeur améthyste Tourne à jamais la flamboyante
gloire
du Christ C’est le beau lys que malgré tout nou