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1 (1912) Per te præsentit aruspex « Per te præsentit aruspex »
u transmettes mon nom aux hommes en retard Toi, la vie et l’amour, ma gloire et mon emblème ; Et je suis soucieux de ta gran
2 (1912) L'Enfer « L’Enfer »
r — ce pendu jaune et vert — Je voulais que brûlât l’horrible main de gloire . Le pendu, le beau masque et cet homme altéré D
3 (1912) Immortalité « Immortalité »
transmettes mon nom aux hommes en retard, Toi, la vie et l’amour, ma gloire et mon emblème ; Et je suis soucieux de ta grand
4 (1909) Le Départ « Le Départ ») »
dite celle-là qui ayant renoncé A n’être qu’une amante aime la chaste Gloire  ; Le surnom de sa Vie sera le Désespoir Et le rir
5 (1909) Les Sept Épées « Les Sept Épées »
genouillent, Et chaque nuit c’est un flambeau. La sixième, métal de gloire , C’est l’ami aux si douces mains Dont chaque mati
6 (1916) Le Désir « Désir »
J’ai tiré même sur le boyau Nietzche Décidément je ne respecte aucune gloire Nuit violente et violette et sombre et pleine d
7 (1917) Désir « Désir »
’ai tiré même sur le boyau Nietzsche Décidément je ne respecte aucune gloire Nuit violente et violette et sombre et pleine d
8 (1914) Poème sans titre (incipit : « Tu te souviens, Rousseau, du paysage astèque ») « Poème sans titre (incipit : « Tu te souviens, Rousseau, du paysage astèque ») »
ableaux, enfants de ton esprit. Nous sommes réunis pour célébrer ta gloire , Ces vins qu’en ton honneur nous verse Picasso, B
9 (1903) Avenir « Avenir »
e des grands gars, les gestes des larrons, Et la mort des héros et la gloire des torches Qui font une auréole autour de chaque
10 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
céan, d’une immense floraison. Il aurait voulu ce bouquet, comme la gloire , Jouer dans d’autres mers parmi tous les dauphins
11 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
céan, d’une immense floraison. Il aurait voulu ce bouquet, comme la gloire , Jouer dans d’autres mers parmi tous les dauphins
12 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
la ville et là-haut Astres mûrs becquetés par les ivres oiseaux De ma gloire attendaient la vendange de l’aube Un soir passa
ement blanches et noires Sans savoir que tu es la réalité chantent ta gloire Mais nous liquides mains jointes pour la prière N
13 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
e mon souffle éteindra, ô morts, à quarantaine. Je mire de ma mort la gloire et le malheur. Comme si je visais l’oiseau de la
14 (1912) Zône « Zône »
nelle et adorable profondeur améthyste Tourne à jamais la flamboyante gloire du Christ C’est le beau lys que malgré tout nou
15 (1913) Zône « Zône »
nelle et adorable profondeur améthyste Tourne à jamais la flamboyante gloire du Christ C’est le beau lys que malgré tout nou
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