/ 13
1 (1907) [Poème sans titre (incipit : « Trente ans debout à la frontière »)] « Poème sans titre (incipit : « Trente ans debout à la frontière ») »
ageant avec un permis Je tâtai les gibbosités postérieures. O temps lointains  ! lointaines gares Que le gaz éclairait bien mal 
un permis Je tâtai les gibbosités postérieures. O temps lointains ! lointaines gares Que le gaz éclairait bien mal ! Le monsieur
2 (1911) La Porte « La Porte »
ébarqués à Marseille hier matin J’entends mourir et remourir un chant lointain Humble comme je suis qui ne suis rien qui vaille
3 (1917) Fusée-signal « Fusée-signal »
’à l’horizon décroît Un régiment de jours plus bleus que les collines lointaines et plus doux que ne sont les coussins de l’auto
4 (1901) Passion « Passion »
mon âme Le grand soleil payen fait mourir en mourant Avec les bourgs lointains , le Christ indifférent. Neu Glück, 1901 Guillau
5 (1912) Passion « Passion »
n âme, Le grand soleil païen fait mourir, en mourant, Avec les bourgs lointains , le christ indifférent. Neu Glück, 1901.
6 (1911) Marie « Marie »
  Les masques sont silencieux                    Et la musique est si lointaine                    Qu’elle semble venir des cieux
7 (1902) Mai « Mai »
n âne, Tandis que s’éloignait, dans les vignes rhénanes, Sur un fifre lointain , un air de régiment. Le mai, le joli mai a paré
8 (1912) Marie « Marie »
       Les masques sont silencieux               Et la musique est si lointaine               Qu’elle semble venir des cieux. Oui
9 (1917) [Page 1] « [Page 1] »
J’ai senti, pour ma part, un tel accord entre les détails proches et lointains , les précisions anciennes ou futures que l’avenir
10 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
aussi sur les bords de la Seine La plainte d’autres voix limpides et lointaines Et j’écoutai longtemps tous ces chants et ces cri
reflète en dormant nul feu dans ses deux eaux Dont quelque sifflement lointain parfois s’élance Troublant dans leur sommeil les
ndaient maintenant par centaines Je ne distinguais plus leurs paroles lointaines Et Trèves la ville ancienne A leur voix mêlait la
11 (1902) La Loreley « La Loreley »
c mourir et que Dieu vous protège. Mon amant est parti pour un pays lointain , Faites-moi donc mourir puisque je n’aime rien.
12 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
i ma douleur et mon attente vaine J’entends mourir le son d’une flûte lointaine Guillaume Apollinaire
13 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
mourèrent, D’amour que nous aimons les dernières venues. Les villages lointains sont comme leurs paupières, Et parmi les citrons
/ 13