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1 (1916) L'Adieu du cavalier « L’Adieu du cavalier »
du cavalier Ah Dieu ! que la guerre est jolie Avec ses chants ses longs loisirs Cette bague je l’ai polie Le vent se mêle
2 (1914) La Chaste Lise « La Chaste Lise »
La Chaste Lise La journée a été longue Elle est passée enfin Demain sera ce que fut aujo
3 (1909) Les Sapins « Les Sapins »
Les Sapins Les sapins en bonnets pointus De longues robes revêtus Comme des astrologues Saluent leurs
es et enneigés. Aux Noëls bienheureuses Fêtes des sapins ensongés Aux longues branches langoureuses. Les sapins, beaux musici
4 (1914) Mille regrets « Mille regrets »
revient à en vomir le revenant Ils ont demandé tant de ces bouteilles longues Comme les longs cyprès d’un grand jardin rhénan
le revenant Ils ont demandé tant de ces bouteilles longues Comme les longs cyprès d’un grand jardin rhénan Un phonographe
5 (1917) Merveille de la guerre « Merveille de la guerre »
giorno C’est un banquet que s’offre la terre Elle a faim et ouvre de longues bouches pâles La terre a faim et voici son festin
j’ai coulé dans la douceur de cette guerre avec toute ma compagnie au long des longs boyaux Quelques cris de flamme annoncen
é dans la douceur de cette guerre avec toute ma compagnie au long des longs boyaux Quelques cris de flamme annoncent sans ces
t C’est moi qui commence cette chose des siècles à venir Ce sera plus long à réaliser que non la fable d’Icare volant Je lèg
6 (1909) Saltimbanques « I. Saltimbanques »
I. Saltimbanques Dans la plaine les baladins S’éloignent au long des jardins, Devant l’huis des auberges grises, P
7 (1917) Fusée-signal « Fusée-signal »
ins tu feras bien de tenir la porte ouverte Et puis le vent scieur de long Suscitera en toi la terreur des fantômes         
8 (1917) Le Pont « Le Pont »
Le Pont Deux dames le long le long du fleuve Elles se parlent par-dessus l’e
9 (1912) Nuit rhénane « Nuit rhénane »
nte avoir vu, sous la lune, sept femmes Tordre leurs cheveux verts et longs jusqu’à leurs pieds. Debout, chantez plus haut
10 (1913) Montparnasse (incipit : « O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes ») « Montparnasse (incipit : « O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes ») »
r votre Dimanche à Garches Il fait un peu lourd et vos cheveux sont longs O bon petit poète un peu bête et trop blond Vos y
11 (1913) Ispahan « Ispahan »
Ispahan Pour tes roses J’aurais fait Un voyage plus long encore Ton soleil n’est pas celui Qui luit Part
12 (1917) Les Saisons « Les Saisons »
it un temps béni La guerre continue Les Servants ont limé la bague au long des mois Le Conducteur écoute abrité dans les boi
13 (1913) Dans le jardin d’Anna « Dans le jardin d’Anna »
et langoureuses J’aurais dégusté lentement et tout seul Pendant de longues soirées Le tokay épais ou la malvoisie J’aurais m
14 (1918) Souvenir des Flandres « Souvenir des Flandres »
res Kermesses, Carrousels. — O fraîcheur des matins. Tendresse des longs soirs alanguis dans les Flandres, Grands ports qu
15 (1917) Dans l'abri caverne « Dans l’abri caverne »
oir En face de moi la paroi de craie s’effrite Il y a des cassures De longues traces d’outils traces lisses et qui semblent êtr
16 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
vivre loin l’un de l’autre Tendons nos bras et sur ces rails roule un long train de marchandises Tu pleurais assise près d
sol Et tandis que le monde vivait et variait Le cortège des femmes long comme un jour sans pain Suivait dans la rue de la
17 (1909) [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] « [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] »
e l’électricité. Les tramways, feux verts sur l’échine, Musiquent, au long des portées De rails, leur folie de machines. L
18 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
ansait où l’on chantait       Où l’on faisait l’amour           Et de longs discours              Nobles et joyeux Je revoi
19 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
ansait où l’on chantait       Où l’on faisait l’amour           Et de longs discours              Nobles et joyeux Je revoi
20 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
ujourd’hui de cette guerre Entre nous et pour vous amis Je juge cette longue querelle de la tradition et de l’invention       
21 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
tre place Et que LES ARMEES ne périront jamais Les mois ne sont pas longs ni les jours ni les nuits C’est la guerre qui est
s ne sont pas longs ni les jours ni les nuits C’est la guerre qui est longue ITALIE Toi notre mère et notre fille quelque ch
22 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
s de l’Océan en soufflant leurs menaces, Laissaient en ses cheveux de longs baisers mouillés. Des émigrants tendaient, vers l
23 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
’on jouait aux cartes, Et toi, tu m’avais oublié. Te souviens-tu du long orphelinat des gares ? Nous trouvâmes des villes
24 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
de l’Océan en soufflant leurs menaces, Laissaient dans ses cheveux de longs baisers mouillés. Des émigrants tendaient, vers l
25 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
splendides pilules. Un squelette de reine innocente est pendu À un long fil d’étoile en désespoir sévère. La nuit, les bo
ures D’avoir des hiboux morts cloués à leur plafond. Mes kilomètres longs , mes tristesses plénières, Les squelettes de doig
26 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
te A nos vêtements et dans vos cheveux, Un beau sermon à l’église, De longs discours après le banquet Et de la musique, De la
27 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
te A nos vêtements et dans vos cheveux. Un beau sermon à l’église, De longs discours après le banquet Et de la musique, De la
28 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
ible Mes grappes d’hommes forts saignent dans le pressoir Tu boiras à longs traits tout le sang de l’Europe Parce que tu es b
29 (1912) Zône « Zône »
i Et d’Amérique vient le petit colibri De Chine sont venus les pi-his longs et souples Qui n’ont qu’une seule aile et qui vol
30 (1913) Zône « Zône »
i Et d’Amérique vient le petit colibri De Chine sont venus les pi-his longs et souples Qui n’ont qu’une seule aile et qui vol
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