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1 (1908) La Marchande (incipit : « Admirez le pouvoir insigne ») « La Marchande (incipit : « Admirez le pouvoir insigne ») »
ne               Et la noblesse de la ligne : Elle est la voix que la lumière fit entendre Et dont parle Hermès Trismégiste en
2 (1914) Anvers « Anvers »
s à la dérive Maigre comme un cou de vautour Maisons deviennent des lumières Des corps marchent sans intellect On dira beaucou
3 (1913) Inscription pour le tombeau du peintre Henri Rousseau douanier « Inscription pour le tombeau du peintre Henri Rousseau douanier »
pinceaux des couleurs des toiles Afin que tes loisirs sacrés dans la lumière réelle Tu les consacres à peindre comme tu tiras
4 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
t voilà que s’ouvre la fenêtre Araignées quand les mains tissaient la lumière Beauté, pâleur, insondables violets Nous tenteron
les Antilles La fenêtre s’ouvre comme une orange Le beau fruit de la lumière
5 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
t voilà que s’ouvre la fenêtre Araignées quand les mains tissaient la lumière Beauté Pâleur d’insondables violets Nous tenteron
les Antilles La fenêtre s’ouvre comme une orange Le beau fruit de la lumière Guillaume APOLLINAIRE
6 (1914) Poème sans titre (incipit : « Gentil Rousseau, tu nous entends ») « Poème sans titre (incipit : « Gentil Rousseau, tu nous entends ») »
                                  Afin que tes loisirs sacrés dans la lumière réelle                                           
7 (1913) Liens « Liens »
x qu’un seul lien a liés D’autres liens plus ténus Blancs rayons de lumière Cordes et Concorde J’écris seulement pour vous
8 (1917) Ombre « Ombre »
u soleil sans faire de poussière Ombre encre du soleil Ecriture de ma lumière Caisson de regrets Un dieu qui s’humilie GUILLAU
9 (1917) Le Voyage du Kabyle « Le Voyage du Kabyle »
auche] Ordres de Bourse                Dans l’Ombre ou bien dans la lumière                Jusqu’au faux pas pis qu’au trépas
10 (1917) Le Vigneron champenois « Le Vigneron champenois »
ampenois Le régiment arrive Le village est presque endormi dans la lumière parfumée Un prêtre a le casque en tête La bouteil
11 (1913) Ispahan « Ispahan »
s morceaux de ciel et de terre En laissant au milieu Un grand trou de lumière Cette place carrée Meïdan Schah trop Grande pour
12 (1913) Le Brasier - III « Le Brasier »
Le Brasier III Descendant des hauteurs où pense la lumière Jardins rouant plus haut que tous les ciels mobil
13 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
ait comme un ventre Maternel, qui saignait lentement sur le ciel ; La lumière est ma mère, ô lumière sanglante ! Les nuages cou
ernel, qui saignait lentement sur le ciel ; La lumière est ma mère, ô lumière sanglante ! Les nuages coulaient comme un flux me
14 (1911) Cortège « Cortège »
t à coup, se pose devant les yeux, Une voûte entre vous et toutes les lumières Et je m’éloignerai, m’illuminant au milieu d’ombr
’intensité ira s’augmentant Au point qu’il deviendra un jour l’unique lumière . Un jour, Un jour je m’attendais moi-même, Je m
15 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
morts se réjouissaient De voir leurs corps trépassés entre eux et la lumière . Ils riaient de leur ombre et l’observaient Comme
plus clairs, plus clairs encore, Que les astres du firmament, Que la lumière de l’aurore, Que vos regards mon fiancé, Auront m
il, Comme le pigeon aime la colombe, Comme l’insecte nocturne Aime la lumière . — — Trop tard, répondait la vivante. Repoussez,
16 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
morts se réjouissaient De voir leurs corps trépassés entre eux et la lumière . Ils riaient de leur ombre et l’observaient Comme
plus clairs, plus clairs encore, Que les astres du firmament, Que la lumière de l’aurore, Que vos regards mon fiancé, Auront m
il, Comme le pigeon aime la colombe, Comme l’insecte nocturne Aime la lumière . ‒ Trop tard, répondait la vivante. Repoussez,
17 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
i se traînaient par terre Et des mains, vers le ciel plein de lacs de lumière , S’envolaient quelquefois comme des oiseaux blanc
18 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
i se traînaient par terre Et des mains, vers le ciel plein de lacs de lumière , S’envolaient quelquefois comme des oiseaux blanc
19 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
aîgnent les brûlures. III Descendant des hauteurs où pense la lumière Jardins rouant plus haut que tous les ciels mobil
20 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
que, Directeur du feu et des poètes, L’amour qui emplit ainsi que la lumière Tout le solide espace entre les étoiles et les pl
21 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
aignent les brûlures. III Descendant des hauteurs où pense la lumière , Jardins rouant plus haut que tous les ciels mobi
22 (1917) La Victoire « La Victoire »
leurissaient en l’air pendant ces nuits où rien ne dort Jardins de la lumière où j’ai cueilli des bouquets Tu dois en avoir a
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