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1 (1916) Voyage (incipit : « Du joli bateau de Port-Vendres ») « Voyage (incipit : « Du joli bateau de Port-Vendres ») »
res ») A M. P. Du joli bateau de Port-Vendres Tes yeux étaient les matelots Et comme les flots étaient tendres Dans les parag
2 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
le jour tournaient Et vomissaient la nuit le soleil des journées. O matelots , ô femmes sombres, et vous, mes compagnons       
mes compagnons                              Souvenez-vous-en. Deux matelots qui ne s’étaient jamais quittés, Deux matelots qu
uvenez-vous-en. Deux matelots qui ne s’étaient jamais quittés, Deux matelots qui ne s’étaient jamais parlé, Le plus jeune en m
dans le feu ? C’était, tu t’en souviens, à la fin de l’été. Deux matelots qui ne s’étaient jamais quittés : L’aîné portait
3 (1918) L'enfant d'or « L’enfant d’or »
fente évoquait la grenade qu’égrène Aux échos des récifs le chœur des matelots Belles chairs de cristal, les joyaux les squele
4 (1902) La Fuite « La Fuite »
récif ni d’un chant de sirène Qui s’incantent peut-être au chœur des matelots . Horreur ! Horreur de nous des joyaux, des sque
5 (1907) Lul de Faltenin « Lul de Faltenin »
ise J’ai vu feuilloler nos forêts. Mer, le soleil se gargarise Où les matelots désiraient Que vergues et mâts reverdissent. *
6 (1907) Fragment « Fragment »
ise J’ai vu feuilloler nos forêts. Mer, le soleil se gargarise Où les matelots désiraient Que vergues et mâts reverdissent. Je
7 (1914) Souvenir du Douanier « Souvenir du Douanier »
rue de la Gaîté Un matin doux de verduresse                    Les matelots l’attendent                    Et fixent l’horizo
8 (1914) Le los du Douanier « Le los du Douanier »
quises rue de la Gaîté Un matin doux de verduresse              Les matelots l’attendent              Et fixent l’horizon     
9 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
éloigner en chantant. * *  * [« Au tournant d’une rue, je vis des matelots  »] Au tournant d’une rue, je vis des matelots
une rue, je vis des matelots »] Au tournant d’une rue, je vis des matelots Qui dansaient, le cou nu, au son d’un accordéon.
10 (1917) La Victoire « La Victoire »
e Veut être ô mer vivante infidèle comme toi La mer qui a trahi des matelots sans nombre Engloutit mes grands cris comme des d
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