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1 (1914) La Phoque [Le Phoque] « La Phoque [Le Phoque] »
état Et comme il faut qu’on se marie Un beau jour j’épouserai Lota Du matin au soir l’Otarie                Papa Mamman Pipe
2 (1911) La Porte « La Porte »
nt dans la profonde eau triste Anges frais débarqués à Marseille hier matin J’entends mourir et remourir un chant lointain Hu
3 (1917) [Calligramme (jet d'eau)] « [Calligramme (jet d’eau)] »
la queue d’un paon un soir de neige ciel constellé un bombardement un matin à New York les lucioles et tous les souvenirs O q
4 (1916) 4 heures « 4 heures »
4 heures C’est 4 heures du matin Je me lève tout habillé Je tiens une savonnette Q
5 (1913) Ispahan « Ispahan »
es arts Plastiques et toi-même Visage adoré Ispahan aux musiques du matin Réveille l’odeur des roses de ses jardins J’ai
6 (1912) Zône « Zône »
ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin Tu en as assez de vivre dans l’antiquité grecqu
t la honte te retient D’entrer dans une église et de t’y confesser ce matin Tu lis les prospectus les catalogues les affich
les catalogues les affiches qui chantent tout haut Voilà la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux Il y a les l
res O portraits des grands hommes et mille titres divers J’ai vu ce matin une jolie rue dont j’ai oublié le nom Neuve et pr
s Directeurs les Ouvriers et les belles sténo-dactylographes Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y passent Le
aphes Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y passent Le matin par trois fois la sirène y gémit Une cloche rageu
7 (1913) Zône « Zône »
ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin Tu en as assez de vivre dans l’antiquité grecqu
t la honte te retient D’entrer dans une église et de t’y confesser ce matin Tu lis les prospectus les catalogues les affich
les catalogues les affiches qui chantent tout haut Voilà la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux Il y a les l
ières O portraits des grands hommes et mille titres divers J’ai vu ce matin une jolie rue dont j’ai oublié le nom Neuve et pr
es Directeurs les Ouvriers et les belles sténodactylographes Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y passent Le
aphes Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y passent Le matin par trois fois la sirène y gémit Une cloche rageu
8 (1904) La Synagogue « La Synagogue »
e Ottomar Scholem et Abraham Loeweren Coiffés de feutres verts, le matin du sabbat Vont à la synagogue en longeant le Rhin
9 (1905) Le Mendiant « Le Mendiant »
iendrai demain avec mon infortune Voir flamber l’aurore, l’électre du matin . Tu méprises ma peine et la tienne peut-être ;
10 (1909) Les Sept Épées « Les Sept Épées »
sixième, métal de gloire, C’est l’ami aux si douces mains Dont chaque matin nous sépare : « Adieu, voilà votre chemin. » Les
11 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
C’était un temps béni nous étions sur les plages Va-t’en de bon matin pieds nus et sans chapeau Et vite comme va la lan
12 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
C’était un temps béni nous étions sur les plages Va-t’en de bon matin pieds nus et sans chapeau Et vite comme va la lan
13 (1917) Les Saisons « Les Saisons »
ns C’était un temps béni nous étions sur les plages Va-t-en de bon matin pieds nus et sans chapeau Et vite comme va la lan
14 (1918) Souvenir des Flandres « Souvenir des Flandres »
aussi, nous fêtes populaires Kermesses, Carrousels. — O fraîcheur des matins . Tendresse des longs soirs alanguis dans les F
15 (1915) Table « Table »
son amertume et sa brûlure me plaisent. J’aurais voulu travailler ce matin mais je n’ai fait que fouiller de vieux brouillon
16 (1914) Souvenir du Douanier « Souvenir du Douanier »
us prenions un quinquina Au bar des Iles Marquises rue de la Gaîté Un matin doux de verduresse                    Les matel
17 (1914) Le los du Douanier « Le los du Douanier »
us prenions un quinquina Au bar des Iles Marquises rue de la Gaîté Un matin doux de verduresse              Les matelots l’
18 (1914) Lettre-Océan « Lettre-Océan »
en Hijo de la Cingada priétaire de 5 ou 6 im je me suis levé à 2h. du matin et j’ai déjà bu un mouton le câblogramme comporta
19 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
age d’André Salmon le 13 juillet 1909 En voyant des drapeaux, ce matin , je ne me suis pas dit : Voilà les riches vêtemen
20 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
rtain — Te fuient, ô bûcher divin qu’ornent Des astres, des fleurs du matin  ! Malheur, dieu pâle aux yeux d’ivoire, Tes prê
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