sé le désert sans rien boire Et parvient une nuit sur les bords de la
mer
Il a plus soif encore à voir le flot amer Cet hom
Il a plus soif encore à voir le flot amer Cet homme est mon désir, la
mer
est ta victoire. Tout habillé de bleu quand il
larmes Je suis le ciel de la cité Ecoutez la
mer
La mer peiner au loin et crier toute seule
Je suis le ciel de la cité Ecoutez la mer La
mer
peiner au loin et crier toute seule
me l’ombre Veut être enfin l’ombre de la vie Veut être ô
mer
vivante infidèle comme toi La mer qui a trahi d
fin l’ombre de la vie Veut être ô mer vivante infidèle comme toi La
mer
qui a trahi des matelots sans nombre Engloutit me
ots sans nombre Engloutit mes grands cris comme des dieux noyés Et la
mer
au soleil ne supporte que l’ombre Que jettent des
des choses neuves O Voix, je parle le langage de la
mer
Et dans le port la nuit les dernières tavernes
de Gonzague Frick. Sirènes, j’ai campé vers vos Grottes, tiriez aux
mers
la langue En dansant devant leurs chevaux, Puis,
. * Dans l’attentive et bien-apprise J’ai vu feuilloler nos forêts.
Mer
, le soleil se gargarise Où les matelots désiraien
t les excuses Et les torches de mon tourment. * Oiseaux, tiriez aux
mers
la langue. Le soleil d’hier m’a rejoint. Les otel
illaume Apollinaire Sirènes, j’ai rampé vers vos Grottes, tiriez aux
mers
la langue En dansant devant leurs chevaux ; Puis,
nt. Dans l’attentive et bien-apprise J’ai vu feuilloler nos forêts.
Mer
, le soleil se gargarise Où les matelots désiraien
ont les excuses Et les torches de mon tourment. Oiseaux, tiriez aux
mers
la langue. Le soleil d’hier m’a rejoint. Les otel
Lou Et vous savez pourquoi Pourquoi la chère couleuvre se love de la
mer
jusqu’à l’espoir attendrissant de l’Est Hexaèdres
Lou Et vous savez pourquoi Pourquoi la chère couleuvre se love de la
mer
jusqu’à l’espoir attendrissant de l’Est Hexaèdres
la guerre Avant elle nous n’avions que la surface De la terre et des
mers
après elle nous les abîmes Le sous-sol et l’espac
la guerre Avant elle nous n’avions que la surface De la terre et des
mers
après elle nous aurons les abîmes Le sous-sol et
les chairs de cristal, les joyaux les squelettes Cherront au fond des
mers
où surnagèrent tant De fleurs de cheveux roux et
rreur ! Horreur de nous des joyaux, des squelettes Coulés au fond des
mers
où surnagèrent tant De fleurs, de cheveux roux et
e ! Avant elle nous n’avions que la surface de la terre & des
mers
; après elle nous aurons les abîmes, le sous-sol
complissent le terrible amour des peuples Les vagues de la
mer
où naît la vie et la beauté Il y a là le chant de
Sais-je où s’en iront tes cheveux Crêpus comme
mer
qui moutonne Sais-je où s’en i
Sais-je où s’en iront tes cheveux Crépus comme
mer
qui montonne ? Sais-je où s’en iron
n. Il aurait voulu ce bouquet, comme la gloire, Jouer dans d’autres
mers
parmi tous les dauphins, Et l
x cris d’une sirène moderne, sans époux. Gonfle-toi vers la nuit, ô
mer
! Les yeux des squales Jusqu’à l’aube ont guetté,
n. Il aurait voulu ce bouquet, comme la gloire, Jouer dans d’autres
mers
parmi tous les dauphins,
x cris d’une sirène moderne, sans époux. Gonfle-toi vers la nuit, ô
mer
! Les yeux des squales Jusqu’à l’aube ont guetté,
umains je tourne en l’éblouissement Bateliers Un dieu choît dans la
mer
un dieu nu les mains vides Au semblant des noyés
ures Injustes si je rends tout ce que j’ai volé Issu de l’écume des
mers
comme Aphrodite Sois docile puisque tu es beau na
nous vins grâce au vent scythe Il en est tant venu par la route ou la
mer
Conquérants égarés qui s’éloignent trop vite Et d
rgueil De manger chaque jour les cailles et la manne Et d’avoir vu la
mer
ouverte comme un œil Les puiseurs d’eau barbus
r les bienheureux humains, Paisibles et très purs car les lacs et les
mers
, Suffiront bien à effacer le sang des mains. Gui
justes si je rends tout ce que j’ai volé. » — « Issu de l’écume des
mers
comme Aphrodite, Sois docile, puisque tu es beau,
us vins grâce au vent scythe ? Il en est tant venu par la route ou la
mer
, Des conquérants fictifs rués pour la vindicte Et
rgueil De manger chaque jour les cailles et la manne Et d’avoir vu la
mer
ouverte comme un œil. Les puiseurs d’eau barbus
duler les remords Nouveau monde très matinal montant de l’énorme
mer
L’aventure de ce vieux cheval en Amérique
ns les poches ; Nous semblions, entre les maisons, Onde ouverte de la
mer
rouge, Lui, les Hébreux, moi, Pharaon. Que tomb
? Vagues, poissons arqués, fleurs surmarines ! Une nuit, c’était la
mer
Et les fleuves s’y répandaient. Je m’en souvien
e Boyaux et rumeur du canon Sur cette
mer
aux blanches vagues Fou stoïque co
améliques Que caresse Ixion le créateur oblique Et où naissent sur la
mer
tous les corbeaux d’Afrique O raisins et ces yeux
sienne L’univers tout entier concentré dans ce vin Qui contenait les
mers
les animaux les plantes Les cités les destins et
rs villes Sous-marines où les tours seules étaient des îles. Et cette
mer
avec les clartés de ses profondeurs Coulait, sang
autans bleus, je me dresse divin Comme un rayon de lune adoré par la
mer
. En vain, j’ai supplié tous les saints aémères, A
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