n bal La mitrailleuse joue un air à triples-croches Mais avez-vous le
mot
? Eh ! oui le mot fatal Aux créneaux. Aux créneau
use joue un air à triples-croches Mais avez-vous le mot ? Eh ! oui le
mot
fatal Aux créneaux. Aux créneaux. Laissez là les
n bal La mitrailleuse joue un air à triples-croches Mais avez-vous le
mot
? Eh ! oui le mot fatal Aux créneaux. Aux créneau
use joue un air à triples-croches Mais avez-vous le mot ? Eh ! oui le
mot
fatal Aux créneaux. Aux créneaux. Laissez là les
n bal La mitrailleuse joue un air à triples croches Mais avez-vous le
mot
eh oui le mot fatal Aux créneaux aux créneaux lai
illeuse joue un air à triples croches Mais avez-vous le mot eh oui le
mot
fatal Aux créneaux aux créneaux laissez-là les pi
bal, La mitrailleuse joue un air à triples croches Mais avez-vous le
mot
? eh ! oui, le mot fatal : « Aux créneaux, aux cr
se joue un air à triples croches Mais avez-vous le mot ? eh ! oui, le
mot
fatal : « Aux créneaux, aux créneaux ! Laissez-là
nt au soleil Et l’avenir secret que la fusée élucide Entends nager le
Mot
, poisson subtil Les villes tour à tour deviennent
nt au soleil Et l’avenir secret que la fusée élucide Entends nager le
Mot
, poisson subtil Les villes tour à tour deviennent
Qui vive France [portée] Avance au ralliement Halte là [ficelle] Le
mot
Claire-Ville-Neuve en cristal Eternel [portée] fo
Qui vive France [portée] Avance au ralliement Halte là [ficelle] Le
mot
Claire-Ville-Neuve en cristal Eternel [portée] fo
Là-bas [à gauche, un
mot
par ligne] c’est pour toi seule que le sang coule
ette lyre accorde et mon cœur et ses yeux ; Lyre, trop vieille image,
mot
délicieux. Le paysage fuit et sans qu’il m’en sou
je l’imagine en vain Je ne la connais par aucun sens Ni même par les
mots
Et mon goût de la beauté est-il donc aussi vain E
à 2h. du matin et j’ai déjà bu un mouton le câblogramme comportait 2
mots
en sûreté allons circulez Mes ture les voyageurs
qui plume les patates Tu aimes un peu plus que nous les gestes et les
mots
sonores Tu as à ta disposition les sortilèges étr
peut-être y mourir pour ma virginité, Parmi les mains, les peaux, les
mots
et les promesses. Malgré les autans bleus, je m
e pitié de moi, Et ne puis exprimer mon tourment de silence. Tous les
mots
que j’avais à dire se sont changés en étoiles. U
▲