Les Fenêtres Du rouge au vert tout le jaune se
meurt
Quand chantent les aras dans les forêts natales A
qui abritent les Câpresses vagabondes Les Chabins chantent des airs à
mourir
Aux Chabines marronnes Et l’oie Oua-oua trompette
feux nocturnes fuit l’hiver O Paris Du rouge au vert tout le jaune se
meurt
Paris, Vancouver, Hyère, Maintenon, New-York et l
Les Fenêtres A Robert Delaunay Du rouge au vert tout le jaune se
meurt
Quand chantent les aras dans les forêts natales A
qui enlacent les Capresses vagabondes Les Chabins chantent des airs à
mourir
Aux Chabines marronnes Et l’oie Oua-Oua trompette
feux nocturnes fuit l’hiver O Paris Du rouge au vert tout le jaune se
meurt
Paris Vancouver Lyon Maintenon New-York et les An
a Loreley A Bacharach, il y avait une sorcière blonde Qui laissait
mourir
d’amour tous les hommes à la ronde Devant son t
— Evêque vous riez, priez plutôt pour moi la Vierge. Faites-moi donc
mourir
et que Dieu vous protège. Mon amant est parti p
protège. Mon amant est parti pour un pays lointain, Faites-moi donc
mourir
puisque je n’aime rien. Mon cœur me fait si mal
uisque je n’aime rien. Mon cœur me fait si mal, il faut bien que je
meure
Si je me regardais Il faudrait que j’en meure.
al, il faut bien que je meure Si je me regardais Il faudrait que j’en
meure
. Mon cœur me fait si mal depuis qu’il n’est plu
L’Adieu J’ai cueilli ce brin de bruyère L’automne est
morte
souviens-t’en Nous ne nous verrons plus sur terre
x d’un cargo Je suis à Villequier au milieu des pilotes C’est ici que
mourut
la fille de Hugo Guillaume Apollinaire.
oupirs Adieu ! voici le boute-selle Il disparut dans un tournant Et
mourut
là-bas tandis qu’elle Riait au Destin surprenant
ur] Mon Cœur semblable à une flamme renversée [couronne] Les rois qui
meurent
tour à tour renaissent au cœur des poètes [miroir
O Vie et nous vous agaçons Les obus miaulaient un amour à
mourir
Un amour qui se meurt est plus doux que les au
ous agaçons Les obus miaulaient un amour à mourir Un amour qui se
meurt
est plus doux que les autres Mon souffle nage au
O Vie et nous vous agaçons * * * Les obus miaulaient un amour à
mourir
Un amour qui se meurt est plus doux que les au
ns * * * Les obus miaulaient un amour à mourir Un amour qui se
meurt
est plus doux que les autres Mon souffle nage au
s ô Vie et nous nous agaçons * * * Les obus miaulaient un amour à
mourir
Un amour qui se meurt est plus doux que les autre
açons * * * Les obus miaulaient un amour à mourir Un amour qui se
meurt
est plus doux que les autres Mon souffle nage au
nde eau triste Anges frais débarqués à Marseille hier matin J’entends
mourir
et remourir un chant lointain Humble comme je sui
e, un ciel d’hiver neigeant ; Son destin sanglant, gibeline ; Vulcain
mourut
en la forgeant. La seconde, nommée Noubosse, Es
uisaient en fanfares. Et la septième s’exténue, Une femme, une rose
morte
: « Merci, que le dernier venu « Sur mon amour fe
belle Mais parce qu’elle est rare et j’aime ô rareté Cette fille qui
meurt
quand veut sa sœur formelle J’adore de Linda ce
ment moderne comme elle est La dame du miroir est si miraculeuse Je
meurs
pour ce fantôme au magique visage Et la glace où
ô vie et nous vous agaçons [trait] Les obus miaulaient un amour à
mourir
— Un amour qui se meurt est plus doux que les aut
ons [trait] Les obus miaulaient un amour à mourir — Un amour qui se
meurt
est plus doux que les autres — mon souffle nage a
, Je me retournerai souvent. Les souvenirs sont cors de chasse Dont
meurt
le bruit parmi le vent. GUILLAUME APOLLINAIRE.
antan, non d’avenir, Ainsi se prolongeait l’ascèse Qui les exerçait à
mourir
. Guillaume APOLLINAIRE.
bague et d’un cœur que l’on brise. Oh ! l’automne, l’automne a fait
mourir
l’été. Dans le brouillard s’en vont deux silhouet
L’Anguille Jeanne Houhou la très gentille Est
morte
entre des draps très blancs Pas seule Bébert dit
u qui laisse tomber ses ailes partout [train] où va donc ce train qui
meurt
au loin dans les vals et les beaux bois frais du
u qui laisse tomber ses ailes partout [train] où va donc ce train qui
meurt
au loin dans les vals et les beaux bois frais du
Tu foules les dieux sous tes pas Au vert bâton que tu coupas Un dieu
meurt
— tu ne le sais pas ! — Ah ! marche l’homme sa
t. Tout rouges de ton sang et froids, Les dieux narquois partout se
meurent
Et s’émeuvent les enchanteurs, Les fleurs se fane
e saurai plus où me mettre. Tu seras loin. Je pleurerai Et même, j’en
mourrai
peut-être. Oberpleis, mai 1902.
à Yeta Daesslé Étiez-vous bien à Zanzibar Monsieur Lacouf Qui
mourûtes
et remourûtes sans dire ouf ? Kiosque remuant q
ouchant, où sanglant et rond comme mon âme Le grand soleil payen fait
mourir
en mourant Avec les bourgs lointains, le Christ i
e, accouchant avant terme, Mit au monde deux beaux jumeaux, dont l’un
mourut
. L’autre juif aussitôt à la poste courut Pour env
uchant où, sanglant et rond comme mon âme, Le grand soleil païen fait
mourir
, en mourant, Avec les bourgs lointains, le christ
n fiévreux que seul apaise Le poison qui nourrit son mal et dont il
meurt
Mon sens comme celui d’un tel que folie lèse
ien [bord droit de la montre] la beauté de la vie passe la douleur de
mourir
[heures] Mon cœur les yeux l’enfant Agla la main
orêt Regarde avec indifférence Son révolver au cran d’arrêt Des roses
mourir
d’espérance — Il songe aux roses de Saadi Et so
orêt Regarde avec indifférence Son révolver au cran d’arrêt Des roses
mourir
d’espérance — Il songe aux roses de Saadi Et so
e ce monde et des astres Je chante la joie d’errer et le plaisir d’en
mourir
Le 21 du mois de mai 1913 Passeur des morts et
ne avez-vous extrait un peu de graisse de leur misère Mais nous qui
mourons
de vivre loin l’un de l’autre Tendons nos bras et
à Paris Quand le maigre Suger se hâtait vers la Seine Quand l’émeute
mourait
autour de Saint-Merry Cortèges ô cortèges Les f
ureux des femmes O nuit toi ma douleur et mon attente vaine J’entends
mourir
le son d’une flûte lointaine Guillaume Apollina
sang, mais que voulez-vous que ça foute ? Tant d’hommes sur le front
meurent
à tout moment Que c’est un vrai plaisir de saigne
regarde avec indifférence — son revolver au cran d’arrêt — des roses
mourir
d’espérance. Il songe aux roses de Saadi… Et so
loche Annonçait qu’un nouveau tonneau Allait être mis en perce. Une
morte
, assise sur un banc, Près d’un buisson d’épine-vi
é sera la mienne. — — Je vous attendrai Toute votre vie… Répondait la
morte
. Des enfants De ce monde ou bien de l’autre Chant
De l’humanité. L’étudiant passa une bague A l’annulaire de la jeune
morte
: — Voici le gage de mon amour, De nos fiançaille
ez l’anneau qui brille, Mes mains tremblent, Je pleure et je voudrais
mourir
. Les barques étaient arrivées A un endroit où l
ravagantes Et des réponses tellement pleines d’à-propos Que c’était à
mourir
de rire, Et le mort disait à la vivante : — Nou
Car, y a-t-il rien qui vous élève Comme d’avoir aimé un mort ou une
morte
? On devient si pur qu’on en arrive Dans les glac
loche Annonçait qu’un nouveau tonneau Allait être mis en perce. Une
morte
, assise sur un banc, Près d’un buisson d’épine-vi
nté sera la mienne. ‒ Je vous attendrai Toute votre vie… Répondait la
morte
. Des enfants De ce monde ou bien de l’autre Chant
De l’humanité. L’étudiant passa une bague A l’annulaire de la jeune
morte
: Voici le gage de mon amour, De nos fiançailles.
ez l’anneau qui brille, Mes mains tremblent, Je pleure et je voudrais
mourir
. Les barques étaient arrivées A un endroit où l
ravagantes Et des réponses tellement pleines d’à-propos Que c’était à
mourir
de rire, Et le mort disait à la vivante : ‒ Nous
Car, y a-t-il rien qui vous élève Comme d’avoir aimé un mort ou une
morte
? On devient si pur qu’on en arrive Dans les glac
fleuri l’hiver. Merlin guettait la vie et l’éternelle cause Qui fait
mourir
et puis renaître l’univers. Une vieille, sur un
maient leurs rapines « D’agneaux mort nés et d’enfants-dieux qui vont
mourir
. « Et j’ai vieilli, vois-tu, pendant ta vie, je
ur « Cet avril aurait eu la pauvre confidence « D’un corps de vieille
morte
en mimant la douleur. » ……………………………………………………………….
hies. Trop d’étoiles s’enfuient quand je dis mes prières. O chef de
morte
! O vieil ivoire ! Orbites ! Trous Des narines ro
pesses, Des saintes sans tétons. J’irai vers les cités Et peut-être y
mourir
pour ma virginité, Parmi les mains, les peaux, le
fil d’étoile en désespoir sévère. La nuit, les bois sont noirs et se
meurt
l’espoir vert Quand meurt le jour avec un râle in
sévère. La nuit, les bois sont noirs et se meurt l’espoir vert Quand
meurt
le jour avec un râle inattendu. Et je marche, j
mins La ville m’apparut, très grave, au son des cloches, Et ma luxure
meurt
à présent que j’approche. En entrant j’ai béni le
l’amour qui vous rendit ingrates Alors sur les perrons en écoutant
mourir
La source qui languit les Pisanes penchées Comme
mense la main verte L’argent sera vite remplacé par tout notre or
Morte
pendue à l’hameçon… c’est la danse bleue L’humi
e Ton pauvre étincellement pâle L’ombre agile d’un soir d’été qui
meurt
Immense désir et l’aube émerge des eaux si lumi
aces Elles accouchent brusquement d’enfants qui n’ont que le temps de
mourir
Comme c’est beau toutes ces fusées Mais ce serait
sut être partout Dans les villes heureuses de l’arrière Dans ceux qui
meurent
en piétinant dans le barbelé Dans les femmes dans
s étoilant ce pâle automne d’Allemagne, La nuit, pleurant des lueurs,
mourait
à nos pieds Et notre amour ainsi se mêlait à la
eux Trop enfoncés sous terre déjà enterrés Ca ta clac des coups qui
meurent
en s’éloignant En y veillant tard dans la nuit
eux Trop enfoncés sous terre déjà enterrés Ca ta clac des coups qui
meurent
en s’éloignant En y veillant tard dans la nuit
m’apprit les détours du labyrinthe Et la science de la terre et puis
mourut
Et depuis j’ai scruté longtemps la vieille craint
Memnon. Après, sous le soleil pourriront les cadavres Et les hommes
mourront
, nombreux, en liberté. — Le soleil et les morts a
ncieux délire, J’erre à travers mon beau Paris Sans avoir le cœur d’y
mourir
. Les dimanches s’y éternisent Et les orgues de
os péchés Voici que vient l’été la saison violente Et ma jeunesse est
morte
ainsi que le printemps O Soleil c’est le temps de
s de moi Je vivais à l’époque où finissaient les rois Tour à tour ils
mouraient
silencieux et tristes Et trois fois courageux dev
illards repoussés sur l’arbre de la croix Et même la fleur de lys qui
meurt
au Vatican Macèrent dans le vin que je t’offre et
ent Les feux rouges des ponts s’éteignaient dans la Seine Les étoiles
mouraient
le jour naissait à peine GUILLAUME APOLLINAIRE
pleurant, s’étaient agenouillés. Il regarda longtemps les rives qui
moururent
. Seuls, des bateaux d’enfant tremblaient à l’hori
pleurant, s’étaient agenouillés. Il regarda longtemps les rives qui
moururent
. Seuls, des bateaux d’enfant tremblaient à l’hori
e n’aura rien à dire Et ces vieilles langues sont tellement près de
mourir
Que c’est vraiment par habitude et manque d’audac
n nougat On voit à gauche et à droite fuir l’humide couloir désert Où
meurt
étendue une pelle à la face effrayante à deux yeu
honneur et de l’éternité c’est l’étoile à six branches C’est Dieu qui
meurt
le vendredi et ressuscite le dimanche C’est le Ch
nté tu te vois dessiné dans les agates de Saint-Vit Tu étais triste à
mourir
le jour où tu t’y vis Tu ressembles au Lazare a
honneur et de l’éternité c’est l’étoile à six branches C’est Dieu qui
meurt
le vendredi et ressuscite le dimanche C’est le Ch
nté tu te vois dessiné dans les agates de Saint-Vit Tu étais triste à
mourir
le jour où tu t’y vis Tu ressembles au Lazare a
Les fleurs sont nos enfants et non les leurs Même la fleur de lys qui
meurt
au Vatican La plaine est infinie et les tranché
En même temps et en toute saison. D’autres jours ont pleuré avant de
mourir
dans des tavernes, Où d’ardents bouquets rouaient
Cet insecte jaseur ô poète barbare Regagnait chastement à l’heure d’y
mourir
La forêt précieuse aux oiseaux gemmipares Aux cra
ardés, les poètes barbares, Troupe lâche, cherchaient, pour y chastes
mourir
, La forêt précieuse aux oiseaux gemmipares Où des