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1 (1917) à Edmond Vallée « à Edmond Vallée »
                     Merci mon cher Presto                      Qui mourûtes bientôt Vous leur aviez déjà glacé le sang les mo
2 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
Les Fenêtres Du rouge au vert tout le jaune se meurt Quand chantent les aras dans les forêts natales A
qui abritent les Câpresses vagabondes Les Chabins chantent des airs à mourir Aux Chabines marronnes Et l’oie Oua-oua trompette
feux nocturnes fuit l’hiver O Paris Du rouge au vert tout le jaune se meurt Paris, Vancouver, Hyère, Maintenon, New-York et l
3 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
Les Fenêtres A Robert Delaunay Du rouge au vert tout le jaune se meurt Quand chantent les aras dans les forêts natales A
qui enlacent les Capresses vagabondes Les Chabins chantent des airs à mourir Aux Chabines marronnes Et l’oie Oua-Oua trompette
feux nocturnes fuit l’hiver O Paris Du rouge au vert tout le jaune se meurt Paris Vancouver Lyon Maintenon New-York et les An
4 (1902) La Loreley « La Loreley »
a Loreley A Bacharach, il y avait une sorcière blonde Qui laissait mourir d’amour tous les hommes à la ronde Devant son t
— Evêque vous riez, priez plutôt pour moi la Vierge. Faites-moi donc mourir et que Dieu vous protège. Mon amant est parti p
protège. Mon amant est parti pour un pays lointain, Faites-moi donc mourir puisque je n’aime rien. Mon cœur me fait si mal
uisque je n’aime rien. Mon cœur me fait si mal, il faut bien que je meure Si je me regardais Il faudrait que j’en meure.
al, il faut bien que je meure Si je me regardais Il faudrait que j’en meure . Mon cœur me fait si mal depuis qu’il n’est plu
5 (1916) Poème (incipit : « Deux lacs nègres ») - section V
es ») V Toi qui te tournes vers le roi Est-ce que Dieu voudrait mourir encore GUILLAUME APOLLINAIRE
6 (1911) L'Adieu « L’Adieu »
L’Adieu J’ai cueilli ce brin de bruyère L’automne est morte souviens-t’en Nous ne nous verrons plus sur terre
7 (1913) Poème sans titre (incipit : « O Bateaux Souvenirs et vous Nuages Flottes ») « Poème sans titre (incipit : « O Bateaux Souvenirs et vous Nuages Flottes ») »
x d’un cargo Je suis à Villequier au milieu des pilotes C’est ici que mourut la fille de Hugo Guillaume Apollinaire.
8 (1916) L'Adieu du cavalier « L’Adieu du cavalier »
oupirs Adieu ! voici le boute-selle Il disparut dans un tournant Et mourut là-bas tandis qu’elle Riait au Destin surprenant
9 (1914) Cœur couronne et miroir « Cœur couronne et miroir »
ur] Mon Cœur semblable à une flamme renversée [couronne] Les rois qui meurent tour à tour renaissent au cœur des poètes [miroir
10 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
           O Vie et nous vous agaçons Les obus miaulaient un amour à mourir    Un amour qui se meurt est plus doux que les au
ous agaçons Les obus miaulaient un amour à mourir    Un amour qui se meurt est plus doux que les autres Mon souffle nage au
11 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
  O Vie et nous vous agaçons * *   * Les obus miaulaient un amour à mourir    Un amour qui se meurt est plus doux que les au
ns * *   * Les obus miaulaient un amour à mourir    Un amour qui se meurt est plus doux que les autres Mon souffle nage au
12 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
s ô Vie et nous nous agaçons * *   * Les obus miaulaient un amour à mourir Un amour qui se meurt est plus doux que les autre
açons * *   * Les obus miaulaient un amour à mourir Un amour qui se meurt est plus doux que les autres Mon souffle nage au
13 (1911) La Porte « La Porte »
nde eau triste Anges frais débarqués à Marseille hier matin J’entends mourir et remourir un chant lointain Humble comme je sui
14 (1909) Les Sept Épées « Les Sept Épées »
e, un ciel d’hiver neigeant ; Son destin sanglant, gibeline ; Vulcain mourut en la forgeant. La seconde, nommée Noubosse, Es
uisaient en fanfares. Et la septième s’exténue, Une femme, une rose morte  : « Merci, que le dernier venu « Sur mon amour fe
15 (1914) La Farce du Miroir « La Farce du Miroir »
belle Mais parce qu’elle est rare et j’aime ô rareté Cette fille qui meurt quand veut sa sœur formelle J’adore de Linda ce
ment moderne comme elle est La dame du miroir est si miraculeuse Je meurs pour ce fantôme au magique visage Et la glace où
16 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « Nuit d’avril : 1915 »
  ô vie et nous vous agaçons [trait] Les obus miaulaient un amour à mourir — Un amour qui se meurt est plus doux que les aut
ons [trait] Les obus miaulaient un amour à mourir — Un amour qui se meurt est plus doux que les autres — mon souffle nage a
17 (1912) Cors de chasse « Cors de chasse »
, Je me retournerai souvent. Les souvenirs sont cors de chasse Dont meurt le bruit parmi le vent. GUILLAUME APOLLINAIRE.
18 (1916) Exercice « Exercice »
antan, non d’avenir, Ainsi se prolongeait l’ascèse Qui les exerçait à mourir . Guillaume APOLLINAIRE.
19 (1905) Automne « Automne »
bague et d’un cœur que l’on brise. Oh ! l’automne, l’automne a fait mourir l’été. Dans le brouillard s’en vont deux silhouet
20 (1914) L'Anguille « L’Anguille »
L’Anguille Jeanne Houhou la très gentille Est morte entre des draps très blancs Pas seule Bébert dit
21 (1914) Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») « Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») »
u qui laisse tomber ses ailes partout [train] où va donc ce train qui meurt au loin dans les vals et les beaux bois frais du
22 (1915) Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») « Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») »
u qui laisse tomber ses ailes partout [train] où va donc ce train qui meurt au loin dans les vals et les beaux bois frais du
23 (1902) Élégie du voyageur aux pieds blessés « Élégie du voyageur aux pieds blessés »
Tu foules les dieux sous tes pas Au vert bâton que tu coupas Un dieu meurt — tu ne le sais pas ! —  Ah ! marche l’homme sa
t. Tout rouges de ton sang et froids, Les dieux narquois partout se meurent Et s’émeuvent les enchanteurs, Les fleurs se fane
24 (1902) Les Cloches « [1] »
e saurai plus où me mettre. Tu seras loin. Je pleurerai Et même, j’en mourrai peut-être. Oberpleis, mai 1902.
25 (1917) à Yeta Daesslé « à Yeta Daesslé »
à Yeta Daesslé Étiez-vous bien à Zanzibar Monsieur Lacouf Qui mourûtes et remourûtes sans dire ouf ? Kiosque remuant q
26 (1901) Passion « Passion »
ouchant, où sanglant et rond comme mon âme Le grand soleil payen fait mourir en mourant Avec les bourgs lointains, le Christ i
27 (1910) Les Jumeaux « Les Jumeaux »
e, accouchant avant terme, Mit au monde deux beaux jumeaux, dont l’un mourut . L’autre juif aussitôt à la poste courut Pour env
28 (1912) Passion « Passion »
uchant où, sanglant et rond comme mon âme, Le grand soleil païen fait mourir , en mourant, Avec les bourgs lointains, le christ
29 (1914) Le son du Cor « Le son du Cor »
n fiévreux que seul apaise Le poison qui nourrit son mal et dont il meurt Mon sens comme celui d’un tel que folie lèse
30 (1914) La Cravate et la montre « La Cravate et la montre »
ien [bord droit de la montre] la beauté de la vie passe la douleur de mourir [heures] Mon cœur les yeux l’enfant Agla la main
31 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
orêt Regarde avec indifférence Son révolver au cran d’arrêt Des roses mourir d’espérance — Il songe aux roses de Saadi Et so
32 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
orêt Regarde avec indifférence Son révolver au cran d’arrêt Des roses mourir d’espérance — Il songe aux roses de Saadi Et so
33 (1917) Allons plus vite « Allons plus vite »
Allons plus vite              Et le soir vient et les lys meurent                      Regarde ma douleur beau ciel
34 (1917) Bleuet « Bleuet »
heures et tu saurais                                                   mourir                                      Sinon mieux
35 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
e ce monde et des astres Je chante la joie d’errer et le plaisir d’en mourir Le 21 du mois de mai 1913 Passeur des morts et
ne avez-vous extrait un peu de graisse de leur misère Mais nous qui mourons de vivre loin l’un de l’autre Tendons nos bras et
à Paris Quand le maigre Suger se hâtait vers la Seine Quand l’émeute mourait autour de Saint-Merry Cortèges ô cortèges Les f
ureux des femmes O nuit toi ma douleur et mon attente vaine J’entends mourir le son d’une flûte lointaine Guillaume Apollina
36 (1914) Un dernier chapitre « Un dernier chapitre »
quelques hommes mis avec élégance Et hors la place la ville semblait morte ne tressaillant même pas
37 (1915) Poème sans titre (« J’ai tant aimé les arts que je suis artilleur ») « Poème sans titre (« J’ai tant aimé les arts que je suis artilleur ») »
sang, mais que voulez-vous que ça foute ? Tant d’hommes sur le front meurent à tout moment Que c’est un vrai plaisir de saigne
38 (1916) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
regarde avec indifférence — son revolver au cran d’arrêt — des roses mourir d’espérance. Il songe aux roses de Saadi… Et so
39 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
loche Annonçait qu’un nouveau tonneau Allait être mis en perce. Une morte , assise sur un banc, Près d’un buisson d’épine-vi
é sera la mienne. — — Je vous attendrai Toute votre vie… Répondait la morte . Des enfants De ce monde ou bien de l’autre Chant
De l’humanité. L’étudiant passa une bague A l’annulaire de la jeune morte  : — Voici le gage de mon amour, De nos fiançaille
ez l’anneau qui brille, Mes mains tremblent, Je pleure et je voudrais mourir . Les barques étaient arrivées A un endroit où l
ravagantes Et des réponses tellement pleines d’à-propos Que c’était à mourir de rire, Et le mort disait à la vivante : — Nou
Car, y a-t-il rien qui vous élève Comme d’avoir aimé un mort ou une morte  ? On devient si pur qu’on en arrive Dans les glac
40 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
loche Annonçait qu’un nouveau tonneau Allait être mis en perce. Une morte , assise sur un banc, Près d’un buisson d’épine-vi
nté sera la mienne. ‒ Je vous attendrai Toute votre vie… Répondait la morte . Des enfants De ce monde ou bien de l’autre Chant
De l’humanité. L’étudiant passa une bague A l’annulaire de la jeune morte  : Voici le gage de mon amour, De nos fiançailles.
ez l’anneau qui brille, Mes mains tremblent, Je pleure et je voudrais mourir . Les barques étaient arrivées A un endroit où l
ravagantes Et des réponses tellement pleines d’à-propos Que c’était à mourir de rire, Et le mort disait à la vivante : ‒ Nous
Car, y a-t-il rien qui vous élève Comme d’avoir aimé un mort ou une morte  ? On devient si pur qu’on en arrive Dans les glac
41 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
fleuri l’hiver. Merlin guettait la vie et l’éternelle cause Qui fait mourir et puis renaître l’univers. Une vieille, sur un
maient leurs rapines « D’agneaux mort nés et d’enfants-dieux qui vont mourir . « Et j’ai vieilli, vois-tu, pendant ta vie, je
ur « Cet avril aurait eu la pauvre confidence « D’un corps de vieille morte en mimant la douleur. » ……………………………………………………………….
42 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
hies. Trop d’étoiles s’enfuient quand je dis mes prières. O chef de morte  ! O vieil ivoire ! Orbites ! Trous Des narines ro
pesses, Des saintes sans tétons. J’irai vers les cités Et peut-être y mourir pour ma virginité, Parmi les mains, les peaux, le
fil d’étoile en désespoir sévère. La nuit, les bois sont noirs et se meurt l’espoir vert Quand meurt le jour avec un râle in
sévère. La nuit, les bois sont noirs et se meurt l’espoir vert Quand meurt le jour avec un râle inattendu. Et je marche, j
mins La ville m’apparut, très grave, au son des cloches, Et ma luxure meurt à présent que j’approche. En entrant j’ai béni le
43 (1914) Tour de Pise « Tour de Pise »
l’amour qui vous rendit ingrates Alors sur les perrons en écoutant mourir La source qui languit les Pisanes penchées Comme
44 (1917) Le Voyage du Kabyle « Le Voyage du Kabyle »
             Jusqu’au faux pas pis qu’au trépas Des doigts d’ivoire mourir sur des tombes jaunies                      il
45 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
mense   la main verte L’argent sera vite remplacé par   tout notre or Morte pendue à l’hameçon… c’est   la danse bleue L’humi
e Ton pauvre   étincellement pâle L’ombre agile   d’un soir d’été qui meurt Immense désir   et l’aube émerge des eaux si lumi
46 (1917) Merveille de la guerre « Merveille de la guerre »
aces Elles accouchent brusquement d’enfants qui n’ont que le temps de mourir Comme c’est beau toutes ces fusées Mais ce serait
sut être partout Dans les villes heureuses de l’arrière Dans ceux qui meurent en piétinant dans le barbelé Dans les femmes dans
47 (1909) Élégie « Élégie »
s étoilant ce pâle automne d’Allemagne, La nuit, pleurant des lueurs, mourait à nos pieds Et notre amour ainsi se mêlait à la
48 (1916) Le Désir « Désir »
eux Trop enfoncés sous terre déjà enterrés Ca ta clac des coups qui meurent en s’éloignant En y veillant tard dans la nuit
49 (1917) Désir « Désir »
eux Trop enfoncés sous terre déjà enterrés Ca ta clac des coups qui meurent en s’éloignant En y veillant tard dans la nuit
50 (1914) L'Ignorance « L’Ignorance »
m’apprit les détours du labyrinthe Et la science de la terre et puis mourut Et depuis j’ai scruté longtemps la vieille craint
51 (1903) Avenir « Avenir »
Memnon. Après, sous le soleil pourriront les cadavres Et les hommes mourront , nombreux, en liberté. — Le soleil et les morts a
52 (1909) [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] « [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] »
ncieux délire, J’erre à travers mon beau Paris Sans avoir le cœur d’y mourir . Les dimanches s’y éternisent Et les orgues de
53 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
os péchés Voici que vient l’été la saison violente Et ma jeunesse est morte ainsi que le printemps O Soleil c’est le temps de
54 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
s de moi Je vivais à l’époque où finissaient les rois Tour à tour ils mouraient silencieux et tristes Et trois fois courageux dev
illards repoussés sur l’arbre de la croix Et même la fleur de lys qui meurt au Vatican Macèrent dans le vin que je t’offre et
ent Les feux rouges des ponts s’éteignaient dans la Seine Les étoiles mouraient le jour naissait à peine GUILLAUME APOLLINAIRE
55 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
pleurant, s’étaient agenouillés. Il regarda longtemps les rives qui moururent . Seuls, des bateaux d’enfant tremblaient à l’hori
56 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
pleurant, s’étaient agenouillés. Il regarda longtemps les rives qui moururent . Seuls, des bateaux d’enfant tremblaient à l’hori
57 (1917) La Victoire « La Victoire »
e n’aura rien à dire Et ces vieilles langues sont tellement près de mourir Que c’est vraiment par habitude et manque d’audac
58 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
n nougat On voit à gauche et à droite fuir l’humide couloir désert Où meurt étendue une pelle à la face effrayante à deux yeu
59 (1912) Zône « Zône »
honneur et de l’éternité c’est l’étoile à six branches C’est Dieu qui meurt le vendredi et ressuscite le dimanche C’est le Ch
nté tu te vois dessiné dans les agates de Saint-Vit Tu étais triste à mourir le jour où tu t’y vis Tu ressembles au Lazare a
60 (1913) Zône « Zône »
honneur et de l’éternité c’est l’étoile à six branches C’est Dieu qui meurt le vendredi et ressuscite le dimanche C’est le Ch
nté tu te vois dessiné dans les agates de Saint-Vit Tu étais triste à mourir le jour où tu t’y vis Tu ressembles au Lazare a
61 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
Les fleurs sont nos enfants et non les leurs Même la fleur de lys qui meurt au Vatican La plaine est infinie et les tranché
62 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
En même temps et en toute saison. D’autres jours ont pleuré avant de mourir dans des tavernes, Où d’ardents bouquets rouaient
63 (1911) Le Larron « Le Larron »
Cet insecte jaseur ô poète barbare Regagnait chastement à l’heure d’y mourir La forêt précieuse aux oiseaux gemmipares Aux cra
64 (1903) Le Larron « Le Larron »
ardés, les poètes barbares, Troupe lâche, cherchaient, pour y chastes mourir , La forêt précieuse aux oiseaux gemmipares Où des
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