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1 (1916) Le Désir « Désir »
lac des coups qui meurent en s’éloignant En y veillant tard dans la nuit Le Decauville qui toussote La tole ondulée sous l
même sur le boyau Nietzche Décidément je ne respecte aucune gloire Nuit violente et violette et sombre et pleine d’or par
oire Nuit violente et violette et sombre et pleine d’or par moments Nuit des hommes seulement Nuit du 24 septembre 1915 De
olette et sombre et pleine d’or par moments Nuit des hommes seulement Nuit du 24 septembre 1915 Demain l’assaut Nuit violent
s Nuit des hommes seulement Nuit du 24 septembre 1915 Demain l’assaut Nuit violente ô nuit dont l’épouvantable cri profond d
s seulement Nuit du 24 septembre 1915 Demain l’assaut Nuit violente ô nuit dont l’épouvantable cri profond devenait plus int
l’épouvantable cri profond devenait plus intense de minute en minute Nuit des hommes seulement Nuit qui criait comme une fe
d devenait plus intense de minute en minute Nuit des hommes seulement Nuit qui criait comme une femme qui accouche
2 (1917) Désir « Désir »
lac des coups qui meurent en s’éloignant En y veillant tard dans la nuit Le Décauville qui toussote La tôle ondulée sous
même sur le boyau Nietzsche Décidément je ne respecte aucune gloire Nuit violente et violette et sombre et pleine d’or par
te et violette et sombre et pleine d’or par moments                    Nuit des hommes seulement                   Nuit du 24
moments                   Nuit des hommes seulement                    Nuit du 24 septembre                   Demain l’assaut
               Nuit du 24 septembre                   Demain l’assaut Nuit violente ô nuit dont l’épouvantable cri profond d
uit du 24 septembre                   Demain l’assaut Nuit violente ô nuit dont l’épouvantable cri profond devenait plus int
l’épouvantable cri profond devenait plus intense de minute en minute Nuit qui criait comme une femme qui accouche          
minute Nuit qui criait comme une femme qui accouche                    Nuit des hommes seulement 24 Septembre 1915
3 (1912) Veille (incipit : « Pipes de nuit pipes du jour ») « Veille (incipit : « Pipes de nuit pipes du jour ») »
Veille (incipit : « Pipes de nuit pipes du jour ») Pipes de nuit pipes du jour T
Veille (incipit : « Pipes de nuit pipes du jour ») Pipes de nuit pipes du jour Tout l’opium ô chevelures Les cheve
4 (1912) Le pont Mirabeau « Le Pont Mirabeau »
 ? La joie venait toujours après la peine.                Vienne la nuit . sonne l’heure,                Les jours s’en von
asse Des éternels regards l’onde si lasse.                Vienne la nuit , sonne l’heure,                Les jours s’en von
lente Et comme l’Espérance est violente !                Vienne la nuit , sonne l’heure,                Les jours s’en von
nt ; Sous le pont Mirabeau coule la Seine.                Vienne la nuit , sonne l’heure,                Les jours s’en von
5 (1914) Etoile « Etoile »
rd marche et regrette et le riz et le thè           La voie lactée La nuit car naturellement il ne marche Que la nuit attire
         La voie lactée La nuit car naturellement il ne marche Que la nuit attire souvent ses regards           Mais Gaspard
6 (1912) Nuit rhénane « Nuit rhénane »
Nuit rhénane Mon verre est plein d’un vin trembleur
. Le Rhin, le Rhin est ivre, où les vignes se mirent. Tout l’or des nuits tombe, en tremblant, s’y refléter. La voix chante
7 (1912) Clotilde « Clotilde »
olie Entre l’Amour et le Dédain. Il y vient aussi nos ombres Que la nuit dissipera, Le soleil qui les rend sombres Avec el
8 (1917) De la batterie de tir « De la batterie de tir »
forts et d’obus dont l’orient chatoie        Diamants qui éclosent la nuit                      O Roses O France        Nous
9 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
  Te souviens-tu ? Vagues, poissons arqués, fleurs surmarines ! Une nuit , c’était la mer Et les fleuves s’y répandaient.
us trouvâmes des villes qui tout le jour tournaient Et vomissaient la nuit le soleil des journées. O matelots, ô femmes so
neau d’un boucher, régiment des rues sans nombre Cavalerie des ponts, nuits livides de l’alcool, Les villes que j’ai vues viv
Les cyprès projetaient sous la lune leurs ombres ; J’écoutais cette nuit , au déclin de l’été, Un oiseau langoureux et touj
10 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
autobus Et des astres passaient que singeaient les obus Quand dans la nuit survint la batterie équestre                As-
                 A la guerre C’était un temps béni. Jours vagues et nuits vagues Les marmites donnaient aux rondins des cag
11 (1915) Les Saisons « Les Saisons »
autobus Et des astres passaient que singeaient les obus Quand dans la nuit survint la batterie équestre                As-
                 A la guerre C’était un temps béni. Jours vagues et nuits vagues Les marmites donnaient aux rondins des cag
12 (1917) Les Saisons « Les Saisons »
autobus Et des astres passaient que singeaient les obus Quand dans la nuit survint la batterie équestre                     
                  A la guerre C’était un temps béni Jours vagues et nuits vagues Les marmites donnaient aux rondins des cag
13 (1909) Crépuscule « Crépuscule »
niers qui voient de loin, Nous envoient des baisers sans nombre. La nuit arrive tout à coup Comme l’amour dans ces ruines.
14 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
l’ombre j’étais invisible      C’était donc une tête de nègre dans la nuit profonde    Similitudes pâleurs Et ma sœur plus t
lliques           Je me souviens d’un lac affreux               Une nuit folle           Une nuit de sorcellerie Et de cou
souviens d’un lac affreux               Une nuit folle           Une nuit de sorcellerie Et de couples enchaînés par un atr
15 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
l’ombre j’étais invisible      C’était donc une tête de nègre dans la nuit profonde    Similitudes pâleurs Et ma sœur plus t
alliques           Je me souviens d’un lac affreux               Une nuit folle           Une nuit de sorcellerie Et de cou
souviens d’un lac affreux               Une nuit folle           Une nuit de sorcellerie Et de couples enchaînés par un atr
16 (1902) La Tzigane « La Tzigane »
a Tzigane La tzigane savait d’avance Nos deux vies barrées par les nuits . Nous lui dîmes adieu et puis… De ce puits sortit
17 (1912) La Tsigane « La Tsigane »
a Tsigane La Tsigane savait d’avance Nos deux vies barrées par les nuits . Nous lui dîmes adieu, et puis… De ce puits sorti
18 (1915) De la Batterie de Tir « De la Batterie de Tir »
hommes forts et d’obus dont l’orient chatoie Diamants qui éclosent la nuit         O Roses Nous nous pâmons de volupté A ton
19 (1915) De la Batterie de Tir « De la Batterie de Tir »
hommes forts et d’obus dont l’orient chatoie Diamants qui éclosent la nuit               O Roses Nous nous pâmons de volupté
20 (1914) Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») « Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») »
es vals et les beaux bois frais du tendre été si pâle [ciel] la douce nuit lunaire et pleine d’étoiles c’est ton visage que
21 (1915) Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») « Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») »
es vals et les beaux bois frais du tendre été si pâle [ciel] la douce nuit lunaire et pleine d’étoiles c’est ton visage que
22 (1917) Fusée-signal « Fusée-signal »
Fusée-signal Des villages flambaient dans la nuit intérieure Une fermière conduit son auto sur une
23 (1901) Lunaire « Lunaire »
mellifluente aux lèvres des déments, Les vergers et les bourgs cette nuit sont gourmands. Les astres assez bien figurent le
24 (1914) L'Ignorance « L’Ignorance »
ons qu’il tombe ailleurs que dans notre vallée Icare Pour éviter la Nuit ta mère incestueuse Dieu circulaire et bon je flo
flotte entre les nues Loin de la terre où luit ta fille ténébreuse La Nuit cette inconnue parmi les inconnus Et je vivrai
25 (1916) 4 heures « 4 heures »
e raser Ensuite bleu de ciel je me confonds avec l’horizon jusqu’à la nuit et c’est un plaisir trés doux De ne rien dire de
26 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
S ne périront jamais Les mois ne sont pas longs ni les jours ni les nuits C’est la guerre qui est longue ITALIE Toi notre
nsi que des abeilles Sur les roses momentanées des éclatements Et les nuits sont parées de guirlandes d’éblouissements De bul
on appelle la bravoure Et nous fumons du gros avec volupté C’est la nuit je suis dans mon blockaus éclairé par l’électrici
après avoir fait leurs besoins Notre armée invisible est une belle nuit constellée Et chacun de nos hommes est un astre m
ée Et chacun de nos hommes est un astre merveilleux               O nuit , o nuit éblouissante Les morts sont avec nos so
acun de nos hommes est un astre merveilleux               O nuit, o nuit éblouissante Les morts sont avec nos soldats Le
27 (1909) Vent nocturne « Vent nocturne »
ales Attys, Attys, Attys charmant et débraillé C’est ton nom qu’en la nuit les elfes ont raillé Parce qu’un de tes pins s’ab
28 (1914) Le son du Cor « Le son du Cor »
crue si blanche et tu es noire hélas ! O toi géhenn e sombre ô toi nuit sans étoile L’amour a incanté mes yeux tristes
29 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
orts, La couleuvre se love en la paille où je dors Quand s’éveille la nuit la Champagne Tonnante, La nuit quand les convois
a paille où je dors Quand s’éveille la nuit la Champagne Tonnante, La nuit quand les convois traînent leur rumeur lente A tr
30 (1916) Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne « Epître à Léo Larguier, caporal-brancardier, en réponse à la sienne »
orts, La couleuvre se love en la paille où je dors Quand s’éveille la nuit la Champagne Tonnante, La nuit quand les convois
a paille où je dors Quand s’éveille la nuit la Champagne Tonnante, La nuit quand les convois traînent leur rumeur lente A tr
31 (1912) Le Vent nocturne « Le Vent nocturne »
s. Attys, Attys, Attys, charmant et débraillé, C’est ton nom qu’en la nuit les elfes ont raillé Parce qu’un de tes pins s’ab
32 (1917) Allons plus vite « Allons plus vite »
r beau ciel qui me l’envoyes                                      une nuit de mélancolie                                  
33 (1912) L'Enfer « L’Enfer »
nfer Un homme a traversé le désert sans rien boire Et parvient une nuit sur les bords de la mer Il a plus soif encore à v
34 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
ient trismégistes Que Paris était beau à la fin de septembre Chaque nuit devenait une vigne où les pampres Répandaient leu
j’écoutai longtemps tous ces chants et ces cris Qu’éveillait dans la nuit la chanson de Paris J’ai soif villes de France
soleil Les suivirent dans l’onde où s’enfoncent les astres Lorsque la nuit revint couverte d’yeux ouverts Errer au site où l
lent sous leurs sandales O splendeur démocratique qui pâlit Vienne la nuit royale où l’on tuera les bêtes La louve avec l’ag
La Moselle et le Rhin se joignent en silence C’est l’Europe qui prie nuit et jour à Coblence Et moi qui m’attardais sur le
ir les bélandres Ecoutez mes chants d’universelle ivrognerie Et la nuit de septembre s’achevait lentement Les feux rouges
35 (1914) Tour de Pise « Tour de Pise »
es d’un regret ardent comme une flamme Tandis que vous sentez dans la nuit de votre âme Des violes d’amour vibrer le dernier
36 (1917) Le Vigneron champenois « Le Vigneron champenois »
e mes bouteilles partout comme les obus d’une charmante artillerie La nuit est blonde ô vin blond Un vigneron chantait courb
37 (1901) Les Femmes « Les Femmes »
s. « Lotte, l’amour rend triste. » — « Ilse, la vie est douce. » La nuit tombait. Les vignobles aux ceps tordus Devenaient
faut attiser le poêle qui s’éteint. » Les femmes se signaient dans la nuit indécise. Honnef, Décembre 1901>. Guillaume
38 (1914) Mille regrets « Mille regrets »
compagnie Bonsoir la compagnie j’entends un bruit de rames Dans la nuit sur le Rhin et le coucou chanter Puis j’ai jasé d
39 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
La Nuit d’Avril 1915 A L de C C Le ciel est étoilé
40 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
La Nuit d’Avril 1915 A L de C C Le ciel est étoilé
41 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
La Nuit d’Avril 1915 A L de S S Le ciel est étoil
42 (1916) Fusée « Fusée »
e Ton souvenir est la lanterne de repérage qui nous sert à pointer la nuit * *   * En voyant la large croupe de mon cheval
43 (1909) Les Sept Épées « Les Sept Épées »
n cyprès sur un tombeau Où les quatre vents s’agenouillent, Et chaque nuit c’est un flambeau. La sixième, métal de gloire,
44 (1909) Élégie « Élégie »
t comme les groseillers Puis étoilant ce pâle automne d’Allemagne, La nuit , pleurant des lueurs, mourait à nos pieds Et no
45 (1913) Le Brasier - III « Le Brasier »
pprivoisés O Déchirée que les fleuves ont reprisée. J’aimerais mieux nuit et jour dans les sphingeries, Vouloir savoir pour
46 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « Nuit d’avril : 1915 »
Nuit d’avril : 1915 Le ciel est étoilé par les o
47 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
isochrones, choient des gouttes d’eau de pluie. J’ai veillé trente nuits sous les lauriers-roses. As-tu sué du sang, Chris
n n’a consacré mes doux pains sans levain. Et je marche, je fuis, ô nuit , Lilith ulule Et clame vainement et je vois de gr
Et clame vainement et je vois de grands yeux S’ouvrir tragiquement. O nuit , je vois tes cieux L’étoiler calmement de splendi
ne innocente est pendu À un long fil d’étoile en désespoir sévère. La nuit , les bois sont noirs et se meurt l’espoir vert Qu
48 (1917) Le Dépôt « Le Dépôt »
e à Paris Mais ce pâle blessé m’a dit à la cantine Des obus dans la nuit la splendeur argentine Je mâche lentement ma po
49 (1918) Souvenir des Flandres « Souvenir des Flandres »
e des longs soirs alanguis dans les Flandres, Grands ports que chaque nuit colorent les fanaux, Je me souviens de vous, eaux
50 (1917) La Victoire « La Victoire »
iens de toi ville des météores Ils fleurissaient en l’air pendant ces nuits où rien ne dort Jardins de la lumière où j’ai cue
             O Voix, je parle le langage de la mer Et dans le port la nuit les dernières tavernes Moi qui suis plus têtu q
51 (1907) Lul de Faltenin « Lul de Faltenin »
orte, ma sagesse égale Celle des constellations, Car, c’est moi seul, nuit , qui t’étoile. * Sirènes, enfin, je descends Da
52 (1907) Fragment « Fragment »
porte, ma sagesse égale Celle des constellations, Car c’est moi seul, nuit , qui t’étoile. Sirènes, enfin, je descends Dans
53 (1911) Le Larron « Le Larron »
ur étranger malhabile et malade Ton père fut un sphinx et ta mère une nuit Qui charma de lueurs Zacinthe et les Cyclades As-
dauphin la vipère mâle ou le taureau Ah Ah nous secouerons toute la nuit les sistres La voix ligure était-ce donc un talis
antaure Que n’avait-il la voix et les jupes d’Orphée Et les femmes la nuit feignant d’être des taures L’eussent aimé comme o
54 (1915) 2e canonnier conducteur « 2e canonnier conducteur »
nom de Dieu quelle allure nom de Dieu quelle allure cependant que la nuit descend [Notre-Dame] souvenirs de Paris avant la
55 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
s marchands de bananes Il vint des soldats de la garde républicaine O nuit troupeau de regards langoureux des femmes O nuit
garde républicaine O nuit troupeau de regards langoureux des femmes O nuit toi ma douleur et mon attente vaine J’entends mou
56 (1903) Avenir « Avenir »
ous aurons bien soin de garder nos mains pures Et nous admirerons, la nuit , comme Néron, L’incendie des cités, l’écroulement
57 (1913) Arbre « Arbre »
l ne faudrait pas oublier les légendes Dame-Aboude dans un tramway la nuit au fond d’un quartier désert Je voyais une chasse
58 (1916) Arbre « Arbre »
l ne faudrait pas oublier les légendes Dame-Aboude dans un tramway ln nuit au fond d’un quartier désert Je voyais une chasse
59 (1917) Arbre « Arbre »
e faudrait pas oublier les légendes Dame il bonde dans une tramway la nuit au fond d’un quartier désert Je voyais une chasse
60 (1903) Le Larron « Le Larron »
étranger, malhabile et malade, Ton père fut un sphinx et ta mère une nuit Qui charma de lueurs Zacinthe et les Cyclades, As
vipère mâle ou le taureau. » — « Ah ! Ah ! nous secouerons toute la nuit les sistres, La voix ligure était-ce donc un tali
taure. Que n’avait-il la voix et les jupes d’Orphée Et les femmes, la nuit , feignant d’être des taures L’eussent aimé comme
61 (1912) Zône « Zône »
issé tout bleu vous sortez du dortoir en cachette Vous priez toute la nuit dans la chapelle du collège Et dans l’éternelle e
apuleux Tu prends un café à deux sous parmi les malheureux Tu es la nuit dans un grand restaurant On chante on danse on bo
humilie maintenant à une pauvre fille au rire horrible ma bouche La nuit s’éloigne ainsi qu’une belle métive C’est Ferdine
62 (1913) Zône « Zône »
issé tout bleu vous sortez du dortoir en cachette Vous priez toute la nuit dans la chapelle du collège Et dans l’éternelle e
apuleux Tu prends un café à deux sous parmi les malheureux Tu es la nuit dans un grand restaurant On chante on danse on bo
humilie maintenant à une pauvre fille au rire horrible ma bouche La nuit s’éloigne ainsi qu’une belle métive C’est Ferdine
63 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
doge, Aux cris d’une sirène moderne, sans époux. Gonfle-toi vers la nuit , ô mer ! Les yeux des squales Jusqu’à l’aube ont
64 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
doge, Aux cris d’une sirène moderne, sans époux. Gonfle-toi vers la nuit , ô mer ! Les yeux des squales Jusqu’à l’aube ont
65 (1917) Merveille de la guerre « Merveille de la guerre »
Merveille de la guerre Que c’est beau ces fusées qui illuminent la nuit Elles montent sur leur propre cime et se penchent
66 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
, Des accouchées masquées fêtaient leurs relevailles. La ville, cette nuit , semblait un archipel, Des femmes demandaient l’
e feu qui pour vous se dévoue, Et la girande tourne, ô belle, ô belle nuit . Liens déliés par une libre flamme, ardeur Que
67 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
privoisés O Déchirée que les fleuves ont reprisée. J’aimerais mieux nuit et jour dans les sphingeries Vouloir savoir pour
68 (1916) Chant de l'horizon en Champagne « Chant de l’horizon en Champagne »
la cantilène du brancardier blessé              Le sol est blanc la nuit l’azure              Saigne la crucifixion       
69 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
 O Terre, O Déchirée que les fleuves ont reprisée. J’aimerais mieux nuit et jour dans les sphingeries Vouloir savoir pour
70 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
t leurs mains s’élevaient comme un vol de colombes, Clarté sur qui la nuit fondit comme un vautour. Puis, Merlin s’en alla v
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