[Calligramme (
oiseau
)] [oiseau] Retenez son nom elle porte en el
[Calligramme (oiseau)] [
oiseau
] Retenez son nom elle porte en elle des millions
au)] [oiseau] Retenez son nom elle porte en elle des millions d’
oiseaux
qui donnent une couleur inconnue au ciel de la ré
amiliers, une mouche sur un morceau de sucre, un bouledogue blanc, un
oiseau
dans une cage une écuyère dans un cirque ouvert à
hu pluie fécondante refais le voyage de Dante [poteau télégraphique] [
oiseau
] télégraphe oiseau qui laisse tomber ses ailes pa
refais le voyage de Dante [poteau télégraphique] [oiseau] télégraphe
oiseau
qui laisse tomber ses ailes partout [train] où va
e qui fuis et n’a pas chu pluie fécondante refais le voyage de Dante [
oiseau
] télégraphe oiseau qui laisse tomber ses ailes pa
as chu pluie fécondante refais le voyage de Dante [oiseau] télégraphe
oiseau
qui laisse tomber ses ailes partout [train] où va
Le Paon En faisant la roue cet
oiseau
Dont le pennage traîne à terre, Apparaît encore p
Le Paon En faisant la roue, cet
oiseau
, Dont le pennage traîne à terre, Apparaît encore
O mort certaine, ainsi soit-il ! Latin mortel, parole affreuse, Ibis,
oiseau
des bords du Nil."
avent de mortelles chansons Dangereuses et inhumaines. N’oyez pas ces
oiseaux
maudits, Mais, les anges du paradis.
amour lourd comme un ours privé Dansa debout quand nous voulûmes Et l’
oiseau
bleu perdit ses plumes Et les mendiants leurs Ave
r, lourd comme un ours privé, Dansa debout quand nous voulûmes ; Et l’
oiseau
bleu perdit ses plumes Et les mendiants leurs Ave
Cortège
Oiseau
tranquille au vol inverse, oiseau Qui nidifie en
Cortège Oiseau tranquille au vol inverse,
oiseau
Qui nidifie en l’air, A la limite où notre sol br
t au milieu d’ombres Et d’alignements d’yeux des astres bien-aimés.
Oiseau
tranquille, au vol inverse, oiseau Qui nidifie en
ts d’yeux des astres bien-aimés. Oiseau tranquille, au vol inverse,
oiseau
Qui nidifie en l’air, A la limite où brille déjà
recueille aux trauchées glorieuses [obus] j’entends chanter l’
oiseau
le bel oiseau rapace Guillaume Apollinaire.
trauchées glorieuses [obus] j’entends chanter l’oiseau le bel
oiseau
rapace Guillaume Apollinaire.
Souvenir du Douanier Un tout petit
oiseau
Sur l’épaule d’un ange
Tu es cet ange Et cet
oiseau
De ta louange Ils se
Le los du Douanier Un tout petit
oiseau
Sur l’épaule d’un ange
eau Tu es cet ange Et cet
oiseau
De ta louange Ils se donn
, Je suffis pour l’éternité à entretenir le feu de mes délices Et des
oiseaux
protègent de leurs ailes ma face et le soleil.
uilloler longtemps les plumes bleues, Que secoue le cyprès où niche l’
oiseau
bleu. Une Madone, à l’aube, a pris les églantine
Le tonnerre te sert de chevelure Et tes griffes répètent le chant des
oiseaux
. Le toucher monstrueux m’a pénétré, m’empoisonne,
ine. Je mire de ma mort la gloire et le malheur. Comme si je visais l’
oiseau
de la quintaine. * * * [« Incertitude, oisea
mme si je visais l’oiseau de la quintaine. * * * [« Incertitude,
oiseau
feint, peint, quand vous tombiez »] Incertitu
ertitude, oiseau feint, peint, quand vous tombiez »] Incertitude,
oiseau
feint, peint, quand vous tombiez, Le soleil et l’
e tenant au bord du fleuve sur qui volent Les obscures migrations des
oiseaux
blancs Je me lamenterai faute de ton obole Au pas
que je rebute Tendresse du Printemps qui me fait défaillir, Un vol d’
oiseaux
divins monte comme un soupir Dans le firmament cl
le ciel plein de lacs de lumière, S’envolaient quelquefois comme des
oiseaux
blancs : « Mon bateau partira demain pour l’Amé
Mais, habillé de neuf, je veux dormir enfin Sous des arbres pleins d’
oiseaux
muets et de singes. » Les mannequins, pour lui,
le ciel plein de lacs de lumière, S’envolaient quelquefois comme des
oiseaux
blancs : « Mon bateau partira demain pour l’Amé
Mais, habillé de neuf, je veux dormir enfin Sous des arbres pleins d’
oiseaux
muets et de singes. » Les mannequins, pour lui,
Élégie Le ciel et les
oiseaux
venaient se reposer Sur deux cyprès que le vent t
dans les forêts natales Abatis de pihis Il y a un poème à faire sur l’
oiseau
qui n’a qu’une aile Nous l’enverrons en message t
ans les forêts natales Abatis de pi-his Il y a un poème à faire sur l’
oiseau
qui n’a qu’une aile Nous l’enverrons en message t
cristal et des verres Par la fenêtre ouverte viennent les chants des
oiseaux
Dans les citronniers Et
e mes bras seuls sont les excuses Et les torches de mon tourment. *
Oiseaux
, tiriez aux mers la langue. Le soleil d’hier m’a
Que mes bras seuls sont les excuses Et les torches de mon tourment.
Oiseaux
, tiriez aux mers la langue. Le soleil d’hier m’a
tandis que vous pleuriez L’acrobate à cheval le poète à moustaches un
oiseau
mort et tant d’enfants sans larmes Choses cassées
la lune leurs ombres ; J’écoutais cette nuit, au déclin de l’été, Un
oiseau
langoureux et toujours irrité Et le bruit éternel
ur d’eau froide Pendaient parmi les fleurs des citronniers tordus Les
oiseaux
de leur bec ont blessé vos grenades Et presque to
bare Regagnait chastement à l’heure d’y mourir La forêt précieuse aux
oiseaux
gemmipares Aux crapauds que l’azur et les sources
s Je suffis pour l’éternité à entretenir le feu de mes délices Et des
oiseaux
protègent de leurs ailes ma face et le soleil.
, Je suffis pour l’éternité à entretenir le feu de mes délices Et des
oiseaux
protègent de leurs ailes ma face et le soleil.
r d’eau froide Pendaient parmi les fleurs des citronniers tordus, Les
oiseaux
de leur bec ont blessé vos grenades Et presque to
upe lâche, cherchaient, pour y chastes mourir, La forêt précieuse aux
oiseaux
gemmipares Où des fruits doux et vénéneux pour eu
pine, « Aux printemps finissants qui voulaient défleurir, « Quand les
oiseaux
de proie proclamaient leurs rapines « D’agneaux m
eux noyés Et la mer au soleil ne supporte que l’ombre Que jettent des
oiseaux
les ailes éployées La parole est soudaine et c’
ur clarté sur la ville et là-haut Astres mûrs becquetés par les ivres
oiseaux
De ma gloire attendaient la vendange de l’aube
nfant regarde les fenêtres s’ouvrir Et des grappes de têtes à d’ivres
oiseaux
s’offrir Les villes du Midi répondirent alors
t de l’œil Vingtième pupille des siècles il sait y faire Et changé en
oiseau
ce siècle comme Jésus monte dans l’air Les diab
s les hiboux D’Afrique arrivent les ibis les flamants les marabouts L’
oiseau
Roc célébré par les conteurs et les poètes Plane
t de l’œil Vingtième pupille des siècles il sait y faire Et changé en
oiseau
ce siècle comme Jésus monte dans l’air Les diab
s les hiboux D’Afrique arrivent les ibis les flamants les marabouts L’
oiseau
Roc célébré par les conteurs et les poètes Plane
; On a brûlé les ruches blanches. Dans les jardins et les vergers Les
oiseaux
chantent sur les branches, Le printemps clair, l’
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