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1 (1917) [Calligramme (oiseau)] « [Calligramme (oiseau)] »
[Calligramme ( oiseau )] [oiseau] Retenez son nom elle porte en el
[Calligramme (oiseau)] [ oiseau ] Retenez son nom elle porte en elle des millions
au)] [oiseau] Retenez son nom elle porte en elle des millions d’ oiseaux qui donnent une couleur inconnue au ciel de la ré
amiliers, une mouche sur un morceau de sucre, un bouledogue blanc, un oiseau dans une cage une écuyère dans un cirque ouvert à
2 (1914) Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») « Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») »
hu pluie fécondante refais le voyage de Dante [poteau télégraphique] [ oiseau ] télégraphe oiseau qui laisse tomber ses ailes pa
refais le voyage de Dante [poteau télégraphique] [oiseau] télégraphe oiseau qui laisse tomber ses ailes partout [train] où va
3 (1915) Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») « Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») »
e qui fuis et n’a pas chu pluie fécondante refais le voyage de Dante [ oiseau ] télégraphe oiseau qui laisse tomber ses ailes pa
as chu pluie fécondante refais le voyage de Dante [oiseau] télégraphe oiseau qui laisse tomber ses ailes partout [train] où va
4 (1908) Le Paon « Le Paon »
Le Paon En faisant la roue cet oiseau Dont le pennage traîne à terre, Apparaît encore p
5 (1911) Le Paon « Le Paon »
Le Paon En faisant la roue, cet oiseau , Dont le pennage traîne à terre, Apparaît encore
6 (1908) Ibis « Ibis »
O mort certaine, ainsi soit-il ! Latin mortel, parole affreuse, Ibis, oiseau des bords du Nil."
7 (1908) La Marchande (incipit : « La femelle de l’alcyon ») « La Marchande (incipit : « La femelle de l’alcyon ») »
avent de mortelles chansons Dangereuses et inhumaines. N’oyez pas ces oiseaux maudits, Mais, les anges du paradis.
8 (1902) La Tzigane « La Tzigane »
amour lourd comme un ours privé Dansa debout quand nous voulûmes Et l’ oiseau bleu perdit ses plumes Et les mendiants leurs Ave
9 (1912) La Tsigane « La Tsigane »
r, lourd comme un ours privé, Dansa debout quand nous voulûmes ; Et l’ oiseau bleu perdit ses plumes Et les mendiants leurs Ave
10 (1911) Cortège « Cortège »
Cortège Oiseau tranquille au vol inverse, oiseau Qui nidifie en
Cortège Oiseau tranquille au vol inverse, oiseau Qui nidifie en l’air, A la limite où notre sol br
t au milieu d’ombres Et d’alignements d’yeux des astres bien-aimés. Oiseau tranquille, au vol inverse, oiseau Qui nidifie en
ts d’yeux des astres bien-aimés. Oiseau tranquille, au vol inverse, oiseau Qui nidifie en l’air, A la limite où brille déjà
11 (1915) 2e canonnier conducteur « 2e canonnier conducteur »
recueille aux trauchées glorieuses   [obus] j’entends chanter l’ oiseau le bel oiseau rapace Guillaume Apollinaire.
trauchées glorieuses   [obus] j’entends chanter l’oiseau le bel oiseau rapace Guillaume Apollinaire.
12 (1914) Souvenir du Douanier « Souvenir du Douanier »
Souvenir du Douanier                     Un tout petit oiseau                     Sur l’épaule d’un ange       
                      Tu es cet ange                           Et cet oiseau                           De ta louange Ils se
13 (1914) Le los du Douanier « Le los du Douanier »
Le los du Douanier              Un tout petit oiseau              Sur l’épaule d’un ange              
eau                       Tu es cet ange                       Et cet oiseau                       De ta louange Ils se donn
14 (1913) Le Brasier - II « Le Brasier »
, Je suffis pour l’éternité à entretenir le feu de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs ailes ma face et le soleil.
15 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
uilloler longtemps les plumes bleues, Que secoue le cyprès où niche l’ oiseau bleu. Une Madone, à l’aube, a pris les églantine
Le tonnerre te sert de chevelure Et tes griffes répètent le chant des oiseaux . Le toucher monstrueux m’a pénétré, m’empoisonne,
ine. Je mire de ma mort la gloire et le malheur. Comme si je visais l’ oiseau de la quintaine. * *  * [« Incertitude, oisea
mme si je visais l’oiseau de la quintaine. * *  * [« Incertitude, oiseau feint, peint, quand vous tombiez »] Incertitu
ertitude, oiseau feint, peint, quand vous tombiez »] Incertitude, oiseau feint, peint, quand vous tombiez, Le soleil et l’
16 (1905) Le Mendiant « Le Mendiant »
e tenant au bord du fleuve sur qui volent Les obscures migrations des oiseaux blancs Je me lamenterai faute de ton obole Au pas
17 (1909) Le Départ « Le Départ ») »
que je rebute Tendresse du Printemps qui me fait défaillir, Un vol d’ oiseaux divins monte comme un soupir Dans le firmament cl
18 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
le ciel plein de lacs de lumière, S’envolaient quelquefois comme des oiseaux blancs : « Mon bateau partira demain pour l’Amé
Mais, habillé de neuf, je veux dormir enfin Sous des arbres pleins d’ oiseaux muets et de singes. » Les mannequins, pour lui,
19 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
le ciel plein de lacs de lumière, S’envolaient quelquefois comme des oiseaux blancs : « Mon bateau partira demain pour l’Amé
Mais, habillé de neuf, je veux dormir enfin Sous des arbres pleins d’ oiseaux muets et de singes. » Les mannequins, pour lui,
20 (1909) Élégie « Élégie »
Élégie Le ciel et les oiseaux venaient se reposer Sur deux cyprès que le vent t
21 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
dans les forêts natales Abatis de pihis Il y a un poème à faire sur l’ oiseau qui n’a qu’une aile Nous l’enverrons en message t
22 (1913) Les Fenêtres « Les Fenêtres »
ans les forêts natales Abatis de pi-his Il y a un poème à faire sur l’ oiseau qui n’a qu’une aile Nous l’enverrons en message t
23 (1915) Le Repas « Le Repas »
cristal et des verres Par la fenêtre ouverte viennent les chants des oiseaux              Dans les citronniers              Et
24 (1907) Lul de Faltenin « Lul de Faltenin »
e mes bras seuls sont les excuses Et les torches de mon tourment. * Oiseaux , tiriez aux mers la langue. Le soleil d’hier m’a
25 (1907) Fragment « Fragment »
Que mes bras seuls sont les excuses Et les torches de mon tourment. Oiseaux , tiriez aux mers la langue. Le soleil d’hier m’a
26 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
tandis que vous pleuriez L’acrobate à cheval le poète à moustaches un oiseau mort et tant d’enfants sans larmes Choses cassées
27 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
la lune leurs ombres ; J’écoutais cette nuit, au déclin de l’été, Un oiseau langoureux et toujours irrité Et le bruit éternel
28 (1911) Le Larron « Le Larron »
ur d’eau froide Pendaient parmi les fleurs des citronniers tordus Les oiseaux de leur bec ont blessé vos grenades Et presque to
bare Regagnait chastement à l’heure d’y mourir La forêt précieuse aux oiseaux gemmipares Aux crapauds que l’azur et les sources
29 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
s Je suffis pour l’éternité à entretenir le feu de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs ailes ma face et le soleil.
30 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
, Je suffis pour l’éternité à entretenir le feu de mes délices Et des oiseaux protègent de leurs ailes ma face et le soleil.
31 (1903) Le Larron « Le Larron »
r d’eau froide Pendaient parmi les fleurs des citronniers tordus, Les oiseaux de leur bec ont blessé vos grenades Et presque to
upe lâche, cherchaient, pour y chastes mourir, La forêt précieuse aux oiseaux gemmipares Où des fruits doux et vénéneux pour eu
32 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
pine, « Aux printemps finissants qui voulaient défleurir, « Quand les oiseaux de proie proclamaient leurs rapines « D’agneaux m
33 (1917) La Victoire « La Victoire »
eux noyés Et la mer au soleil ne supporte que l’ombre Que jettent des oiseaux les ailes éployées La parole est soudaine et c’
34 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
ur clarté sur la ville et là-haut Astres mûrs becquetés par les ivres oiseaux De ma gloire attendaient la vendange de l’aube
nfant regarde les fenêtres s’ouvrir Et des grappes de têtes à d’ivres oiseaux s’offrir Les villes du Midi répondirent alors
35 (1912) Zône « Zône »
t de l’œil Vingtième pupille des siècles il sait y faire Et changé en oiseau ce siècle comme Jésus monte dans l’air Les diab
s les hiboux D’Afrique arrivent les ibis les flamants les marabouts L’ oiseau Roc célébré par les conteurs et les poètes Plane
36 (1913) Zône « Zône »
t de l’œil Vingtième pupille des siècles il sait y faire Et changé en oiseau ce siècle comme Jésus monte dans l’air Les diab
s les hiboux D’Afrique arrivent les ibis les flamants les marabouts L’ oiseau Roc célébré par les conteurs et les poètes Plane
37 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
; On a brûlé les ruches blanches. Dans les jardins et les vergers Les oiseaux chantent sur les branches, Le printemps clair, l’
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