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1 (1917) De la batterie de tir « De la batterie de tir »
 O Roses O France        Nous nous pâmons de volupté        A ton cou penché vers l’Est           Nous sommes l’Arc-en-terre  
2 (1915) De la Batterie de Tir « De la Batterie de Tir »
closent la nuit         O Roses Nous nous pâmons de volupté A ton cou penché vers l’Est Nous sommes l’Arc-en-terre Signe plus
3 (1915) De la Batterie de Tir « De la Batterie de Tir »
t la nuit               O Roses Nous nous pâmons de volupté A ton cou penché vers l’Est Nous sommes l’Arc-en-terre Signe plus
4 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
rir d’espérance — Il songe aux roses de Saadi Et soudain sa tête se penche   Car une rose lui redit La molle courbe d’une ha
5 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
rir d’espérance — Il songe aux roses de Saadi Et soudain sa tête se penche    Car une rose lui redit La molle courbe d’une h
6 (1916) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
rir d’espérance. Il songe aux roses de Saadi… Et soudain sa tête se penche , car une rose lui redit la molle courbe d’une han
7 (1914) Tour de Pise « Tour de Pise »
sur les perrons en écoutant mourir La source qui languit les Pisanes penchées Comme leur Tour et par la mort effarouchées Atten
8 (1903) Avenir « Avenir »
sans regretter les vies. Il y aura du sang et sur les rouges mares Penchés , nous mirerons nos faces calmement Et nous regard
9 (1909) [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] « [« Voie lactée, ô sœur lumineuse »] »
sanglotent dans les cours grises ; Les fleurs, aux balcons de Paris, Penchent comme la tour de Pise. Soirs de Paris, ivres du
10 (1902) La Loreley « La Loreley »
lle. Mon cœur devient si doux. C’est mon amant qui vient. — Elle se penche alors et tombe dans le Rhin. Pour avoir vu dans
11 (1917) Merveille de la guerre « Merveille de la guerre »
usées qui illuminent la nuit Elles montent sur leur propre cime et se penchent pour regarder Ce sont des dames qui dansent avec
12 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
illi de la mélinite Le parc aux fleurs de fulminate jaillit des trous penchés Tas de cloches aux doux sons des douilles rutilan
13 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
journée. Toute la sainte journée, j’ai marché en chantant, Une dame, penchée à sa fenêtre, m’a regardé longtemps, M’éloigner e
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