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1 (1908) Le Lièvre « Le Lièvre »
le lièvre et l’amoureux. Mais, que toujours ton cerveau soit La hase pleine qui conçoit1. 1. [NdA] Chez la femelle du lièv
2 (1917) Poèmepréfaceprophétie - 3
e 3 Ce que fait Pierre Albert-Birot est si dépouillé         Ou plein d’une telle simplicité Qu’à l’abord il surprend d
3 (1909) Le jour des morts « Le jour des morts »
ir tremble de flammes et de prières Le cimetière est un beau jardin Plein de saules gris et de romarins Il vous vient souve
aient bien revenir. Oh ! je ne veux pas que tu sortes L’automne est plein de mains coupées Non, non, ce sont des feuilles m
enfants et les vieilles femmes Sous le ciel sans soleil Au cimetière plein de flammes, Puis, dans le vent, nous nous en reto
4 (1914) Plongeon « Plongeon »
rle Chois tout nu jambes ouvertes y grec ou pairle Et des vapeurs pleins de mouchoirs descendent le Rhin Sur l’autre riv
5 (1917) Photographie « Photographie »
           Un clair de lune                  Dans un jardin pacifique Plein d’eaux vives et de jardiniers endiablés   Photogr
6 (1913) Dans le jardin d’Anna « Dans le jardin d’Anna »
’mère qui se refuse à comprendre l’allemand J’aurais écrit des vers pleins de mythologie Sur vos seins la vie champêtre et s
n allemand je vous le jure Lorsque vous m’auriez surpris embrassant à pleine bouche Cette servante rousse Vous m’auriez pard
7 (1916) Le Désir « Désir »
Et tel obus siffler de la démence Ou le tac tac tac monotone et bref plein de dégoût Je te vois main de Massiges Si décharn
je ne respecte aucune gloire Nuit violente et violette et sombre et pleine d’or par moments Nuit des hommes seulement Nuit d
8 (1917) Désir « Désir »
Et tel obus siffler de la démence Ou le tac tac tac monotone et bref plein de dégoût Je désire te serrer dans ma main Main
je ne respecte aucune gloire Nuit violente et violette et sombre et pleine d’or par moments                   Nuit des homme
9 (1912) Fanny « Fanny »
côte du Texas, Entre Mobile et Galveston, il y a Un grand jardin tout plein de roses ; Il contient aussi une villa Qui est un
10 (1917) L'Horloge de demain « L’Horloge de demain »
faire un enfer artificiel ne sois pas fragile surtout [cœur] un cœur plein de tous les printemps [hors motifs] le bonheur et
11 (1914) Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») « Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») »
eaux bois frais du tendre été si pâle [ciel] la douce nuit lunaire et pleine d’étoiles c’est ton visage que je ne vois plus
12 (1915) Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») « Voyage (incipit : « Adieu amour nuage qui ») »
eaux bois frais du tendre été si pâle [ciel] la douce nuit lunaire et pleine d’étoiles c’est ton visage que je ne vois plus  
13 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
che   Car une rose lui redit La molle courbe d’une hanche L’air est plein d’un terrible alcool Filtré des étoiles mi-closes
14 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
che    Car une rose lui redit La molle courbe d’une hanche L’air est plein d’un terrible alcool Filtré des étoiles mi-closes
15 (1912) Nuit rhénane « Nuit rhénane »
Nuit rhénane Mon verre est plein d’un vin trembleur comme une flamme. Ecoutez la c
16 (1917) Chef de section « Chef de section »
é depuis qu’elle existe Ma bouche sera une armée contre toi une armée pleine de disparates Variée comme un enchanteur qui sait
17 (1916) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
che, car une rose lui redit la molle courbe d’une hanche. L’air est plein d’un terrible alcool filtré des étoiles mi-closes
18 (1904) La Synagogue « La Synagogue »
viathan au fond du Rhin comme une voix d’automne Et dans la synagogue pleine de chapeaux, on agitera les loulabim, Hanoten ne
19 (1916) Fusée « Fusée »
qui grimpent dans la vallée * *   * O vieux monde du XIX e  siècle plein de hautes cheminées si belles et si pures * *   
20 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
res sans amour qui se traînaient par terre Et des mains, vers le ciel plein de lacs de lumière, S’envolaient quelquefois comm
’or fin ; Mais, habillé de neuf, je veux dormir enfin Sous des arbres pleins d’oiseaux muets et de singes. » Les mannequins,
21 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
res sans amour qui se traînaient par terre Et des mains, vers le ciel plein de lacs de lumière, S’envolaient quelquefois comm
’or fin ; Mais, habillé de neuf, je veux dormir enfin Sous des arbres pleins d’oiseaux muets et de singes. » Les mannequins,
22 (1915) Le Repas « Le Repas »
chanson vive du beurre sur le feu Un rayon traverse un verre presque plein de vin mélangé d’eau Oh ! le beau rubis que font
23 (1904) Schinderhannes « Schinderhannes »
ent portant un baquet. Hannes crie en versant des larmes : « Baquet plein de vin parfumé ! Viennent aujourd’hui les gendarm
24 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
La Jolie Rousse Me voici devant tous un homme plein de sens Connaissant de la vie et de la mort ce qu
25 (1902) La Loreley « La Loreley »
ce il l’absolvit à cause de sa beauté : — O belle Loreley, aux yeux pleins de pierreries De quel magicien tiens-tu ta sorcel
26 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
au-ciel   Ce souvenir revit les rêves   et les actives mains   Orient plein de glaciers   L’hiver est rigoureux Lustres   or
27 (1911) Le Larron « Le Larron »
is noire Les chevaucheurs nous jetèrent dans l’avenir Les alcancies pleines de cendre ou bien de fleurs Nous aurons des baise
euvent Les ventres pourront seuls nier l’aséité Vois les vases sont pleins d’humides fleurs morales Va-t’en mais dénudé puis
28 (1903) Le Larron « Le Larron »
s noire. Les chevaucheurs nous jetèrent dans l’avenir Les alcancies pleines de cendre ou bien de fleurs, Nous aurons des bais
nt ; Les ventres pourront seuls nier l’aséité. Vois, les vases sont pleins d’humides fleurs morales. Va-t’en mais dénudé, pu
29 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
is qu’entourent souvent leur bouche Ou près des narines C’est un rose plein de traitrise Cet homme portait-il ainsi sur le do
30 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
i entourent souvent leur bouche, Ou près des narines. C’est un rose plein de traîtrise. Cet homme portait-il ainsi sur le d
31 (1912) Zône « Zône »
pour la prose il y a les journaux Il y a les livraisons à 25 centimes pleines d’aventures policières O portraits des grands hom
celle que j’aime sur tout ce qui m’a épouvanté Tu regardes les yeux pleins de larmes ces pauvres émigrants Ils croient en Di
32 (1913) Zône « Zône »
pour la prose il y a les journaux Il y a les livraisons à 25 centimes pleines d’aventures policières O portraits des grands hom
celle que j’aime sur tout ce qui m’a épouvanté Tu regardes les yeux pleins de larmes ces pauvres émigrants Ils croient en Di
33 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
bataves               Entre toi et nous ITALIE Il y a des patelins pleins de femmes Et près de toi m’attend celle que j’a
34 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
n, sinon laisser se clore Mes yeux, couple lassé, au verger pantelant Plein du râle pompeux des groseillers sanglants Et de l
35 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
eur mépris »] Mes amis m’ont enfin avoué leur mépris. Je buvais à pleins verres les étoiles, Un ange a exterminé, pendant
36 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
er. Il y eut des questions si extravagantes Et des réponses tellement pleines d’à-propos Que c’était à mourir de rire, Et le mo
37 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
er. Il y eut des questions si extravagantes Et des réponses tellement pleines d’à-propos Que c’était à mourir de rire, Et le mo
38 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
apportons tous les cerveaux les cimetières les murailles Ces berceaux pleins de cris que tu n’entendras pas Et d’amont en aval
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