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1 (1915) Mutation « Mutation »
Mutation Une femme qui pleurait Eh     Oh     Ha Des soldats qui passaient Eh    
2 (1915) Mutation « Mutation »
Mutation Une femme qui pleurait Eh        Oh        Ha Des soldats qui passaient
3 (1916) Les Grenadines repentantes « Les Grenadines repentantes »
Les Grenadines repentantes En est-il donc deux dans Grenade Qui pleurent sur ton seul péché Ici l’on jette la grenade Qui
4 (1913) Rencontre « Rencontre »
ise-le par amour au moment de ta perte Et méprise ceci Jouir sans en pleurer La vigne sans ivresse et le champ sans ivraie GU
5 (1916) Tristesse d'une étoile « Il pleut »
lles auriculaires écoute s’il pleut tandis que le regret et le dédain pleurent une ancienne musique écoute tomber les liens qui
6 (1917) [Calligramme (bouquet)] « [Calligramme (bouquet)] »
bouquet)] [bouquet] Il y a aussi des fleurs vénéneuses pourquoi pleurer revenez demain et des fleurs toujours ouvertes le
7 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
sur les routes Tant d’yeux sont clos au bord des routes Le vent fait pleurer les saussaies Ouvre ouvre ouvre ouvre ouvre Regar
ns la cuvette Una volta ho inteso dire Ach du lieber Gott Je me mis à pleurer en me souvenant de vos enfances Et toi tu me mo
8 (1901) Épousailles « Épousailles »
ux bords océaniques, Où le ciel serait grec si toutes étaient nues, Y pleure d’être dieu encore et inconnu, Ce dieu jaloux com
9 (1914) Rotsoge « Rotsoge »
sur les routes Tant d’yeux sont clos au bord des routes Le vent fait pleurer les saussaies Ouvre ouvre ouvre ouvre ouvre Regar
a cuvette Una volta ho inteso dire Ach du lieber Jott Et je me pris à pleurer en me souvenant de nos enfances Et toi tu me mont
10 (1909) Enfance « Enfance »
t à ma quenouille, ou bien par les allées Jusqu’au bassin mourant que pleurent les saulaies Je marchais à pas lents, m’arrêtant
11 (1902) Élégie du voyageur aux pieds blessés « Élégie du voyageur aux pieds blessés »
ste de l’eau. L’eau pure deviendra l’eau sale, La source enfante et pleure ou râle, Déplorée par les saules pâles. Roule d
meurent Et s’émeuvent les enchanteurs, Les fleurs se fanent, les fées pleurent . Guillaume Apollinaire
12 (1902) Les Cloches « [1] »
quand je passerai. Je ne saurai plus où me mettre. Tu seras loin. Je pleurerai Et même, j’en mourrai peut-être. Oberpleis, mai
13 (1915) Guerre « Guerre »
        Les jeunes de la classe 1915 Et ces fils de fer électrisés Ne pleurez donc pas sur les horreurs de la guerre Avant elle
14 (1915) Guerre « Guerre »
        Les jeunes de la classe 1915 Et ces fils de fer électrisés Ne pleurez donc pas sur les horreurs de la guerre Avant elle
15 (1916) Guerre « Guerre »
                 [étoile]       & ces fils de fer électrisés ? Ne pleurez donc pas sur les horreurs de la guerre !     Avan
16 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
eux ont péri »] Beaucoup de ces dieux ont péri ; C’est sur eux que pleurent les saules. Le grand Pan, l’amour, Jésus-Christ S
Jésus-Christ Sont bien morts et les chats miaulent Dans la cour ; je pleure à Paris, Moi qui sais des lais pour les reines,
ux nageaient les sirènes, Et nos baisers mordus, sanglants, Faisaient pleurer nos fées marraines. Mais, en vérité, je t’atten
fous t’ont-ils paré ? Tes victimes en robe noire Ont-elles vainement pleuré  ? Malheur, dieu qu’il ne faut pas croire ! Et t
17 (1917) Orphée « Orphée »
e que c’était avant la guerre                        Le vieux monde pleure encore             Il était si doux si joli  
18 (1902) Mai « Mai »
agne. Vous êtes si jolies ! Mais la barque s’éloigne. Qui donc a fait pleurer les saules riverains ? Or, des vergers fleuris
19 (1905) Salomé « Salomé »
ns mon jardin. Venez tous avec moi, là-bas, sous les quinconces. Ne pleure pas, ô joli fou du roi ; Prends cette tête au lie
20 (2019) Salomé « Salomé »
ns mon jardin. Venez tous avec moi, là-bas, sous les quinconces. Ne pleure pas, ô joli fou du roi ; Prends cette tête au lie
21 (1911) Salomé « Salomé »
ns mon jardin. Venez tous avec moi, là-bas, sous les quinconces. Ne pleure pas, ô joli fou du roi ; Prends cette tête au lie
22 (1917) Le Dépôt « Le Dépôt »
ult nous chante après 9 heures Un grand air d’opéra toi l’écoutant tu pleures Je flatte de la main le petit canon gris Gris c
23 (1908) Fiançailles « Fiançailles »
rder en arrière Les cadavres de mes jours Marquent ma route et je les pleure . Les uns pourrissent dans les églises italiennes,
et fructifient En même temps et en toute saison. D’autres jours ont pleuré avant de mourir dans des tavernes, Où d’ardents b
rais éprouver une ardeur infinie. Monstre de mon ouïe, tu rugis et tu pleures  ; Le tonnerre te sert de chevelure Et tes griffes
24 (1909) Le jour des morts « Le jour des morts »
mains des chères mortes Ce sont tes mains coupées. Nous avons tant pleuré aujourd’hui Avec ces morts, leurs enfants et les
25 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
el vert et J’entendis sa voix   qui dorait les forêts tandis que vous pleuriez L’acrobate à cheval le poète à moustaches un oise
26 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
dissaient ou parfois s’abaissaient brusquement, Et ces ombres barbues pleuraient humainement En glissant pas à pas sur la montagne
27 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
paroles qui forment et défont l’univers, Ni : parce que nous pouvons pleurer sans ridicule et que nous savons rire, Ni : parce
28 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
u, Je suis mariée. Voyez l’anneau qui brille, Mes mains tremblent, Je pleure et je voudrais mourir. Les barques étaient arri
serions si heureux ensemble ! Sur nous l’eau se refermera, Mais vous pleurez et vos mains tremblent, Aucun de nous ne reviendr
29 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
u. Je suis mariée. Voyez l’anneau qui brille, Mes mains tremblent, Je pleure et je voudrais mourir. Les barques étaient arri
serions si heureux ensemble ! Sur nous l’eau se refermera, Mais vous pleurez et vos mains tremblent, Aucun de nous ne reviendr
30 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
ns nos bras et sur ces rails roule un long train de marchandises Tu pleurais assise près de moi au fond d’un fiacre Et maint
31 (1911) Le Larron « Le Larron »
demandais-tu ces fruits Mais puisque tu as faim que tu es en exil Il pleure il est barbare et bon pardonnez-lui Je confesse
32 (1903) Le Larron « Le Larron »
mandais-tu ces fruits ? Mais puisque tu as faim que tu es en exil, Il pleure , il est barbare et bon, pardonnez-lui ! » — « J
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