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1 (1908) La Chenille « La Chenille »
La Chenille Le travail mène à la richesse, Pauvres poètes , travaillons ! La chenille en peinant sans cesse
2 (1910) Épigramme (Sur une Poétesse normande) « Épigramme (Sur une Poétesse normande) »
Épigramme (Sur une Poétesse normande) Plus belle que la belle Hélène, Elle
3 (1913) Montparnasse (incipit : « O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes ») « Montparnasse (incipit : « O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes ») »
toujours une chambre à la semaine Ange barbu vous êtes en réalité Un poète lyrique d’Allemagne Qui voulez connaître Paris Vo
Garches Il fait un peu lourd et vos cheveux sont longs O bon petit poète un peu bête et trop blond Vos yeux ressemblent ta
4 (1914) Cœur couronne et miroir « Cœur couronne et miroir »
ée [couronne] Les rois qui meurent tour à tour renaissent au cœur des poètes [miroir] Dans ce miroir je suis enclos vivant et
5 (1915) Madeleine « Madeleine »
autres chansons moins douces [lettre, autour d’une croix] Bonjour mon poète Je me souviens de votre voix de votre voix Votre
6 (1915) Madeleine « Madeleine »
autres chansons moins douces [lettre, autour d’une croix] Bonjour mon poète Je me souviens de votre voix de votre voix Votre
7 (1917) Poèmepréfaceprophétie - 2
            Voici donc un poème Puisque j’aime et que nous aimons les poètes Mais si vous saviez comme j’aime les prophètes Et
8 (1901) Ville et cœur « Ville et cœur »
s figé du toit de ses maisons Ressemble au cœur figé, mais divers, du poète Avec les tournoiements stridents des déraisons.
9 (1908) Poème (incipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») « Poème (incipit : « Le chemin qui mène aux étoiles ») »
hyrogénètes S’agenouillaient ingénument : C’étaient des saints et des poètes Egarés dans le firmament. J’étais guidé par la
10 (1909) Vent nocturne « Vent nocturne »
éteints méditent maintenant Comme des vierges, des vieillards et des poètes Et ne s’éveilleront au pas de nul venant Ni quand
11 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
Tendent leurs bouts insolemment IL SUT AIMER. Quelle épitaphe — Un poète dans la forêt Regarde avec indifférence Son révol
12 (1915) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
Tendent leurs bouts insolemment IL SUT AIMER. Quelle épitaphe — Un poète dans la forêt Regarde avec indifférence Son révol
13 (1912) Le Vent nocturne « Le Vent nocturne »
éteints méditent maintenant, Comme les vierges, les vieillards et les poètes , Et ne s’éveilleront aux pas de nul venant, Ni qu
14 (1916) Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») « Fête (incipit : « Feu d’artifice en acier ») »
tendent leurs bouts insolemment. Il sut aimer… Quelle épitaphe ! Un poète dans la forêt regarde avec indifférence — son rev
15 (1909) Les Sapins « Les Sapins »
arts endoctrinés Par les vieux sapins, leurs aînés Qui sont de grands poètes , Ils se savent prédestinés A briller plus que des
16 (1913) Le Brasier - I « Le Brasier »
Le Brasier A mon ami, le grand poète P.-N. Roinard. I J’ai jeté dans le noble fe
17 (1914) Poème sans titre (incipit : « Tu te souviens, Rousseau, du paysage astèque ») « Poème sans titre (incipit : « Tu te souviens, Rousseau, du paysage astèque ») »
mon Rousseau, je bois à sa santé ! 1. [Note de Maurice Raynal] Le poète croyait alors que Rousseau avait perdu ses enfant
18 (1917) Chevaux de frise « Chevaux de frise »
         O double colombe de ta poitrine Et vient délier ma langue de poète                  Pour te redire je t’aime Ton vis
19 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
qui dorait les forêts tandis que vous pleuriez L’acrobate à cheval le poète à moustaches un oiseau mort et tant d’enfants san
20 (1914) Lettre-Océan « Lettre-Océan »
o o de vos jardins fleuris fermez les portes Les chaussures neuves du poète cré cré cré cré cré cré cré cré cré cré cré cré c
21 (1911) Le Larron « Le Larron »
tiraient quelquefois les chercheurs de trésors Cet insecte jaseur ô poète barbare Regagnait chastement à l’heure d’y mourir
et magique il eût scruté le firmament Pâle et magique il eût aimé des poétesses Juste et magique il eût épargné les démons Va-t
22 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
comme autrefois. Réjouissons-nous parce que, Directeur du feu et des poètes , L’amour qui emplit ainsi que la lumière Tout le
23 (1903) Le Larron « Le Larron »
nt quelquefois les chercheurs de trésors. Effrayants et fardés, les poètes barbares, Troupe lâche, cherchaient, pour y chast
magique, il eût scruté le firmament, Pâle et magique, il eût aimé des poétesses , Juste et magique, il eût épargné les démons. V
24 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
jeune fille amoureuse du maire Dans un autre quartier Rivalise donc poète avec les étiquettes des parfumeurs En somme rie
25 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
comme du miel. Or, j’absous les aveux pourpres comme leur sang Des poétesses nues, des fées, des fornarines. Aucun pauvre dési
26 (1912) Zône « Zône »
s flamants les marabouts L’oiseau Roc célébré par les conteurs et les poètes Plane tenant dans les serres le crâne d’Adam la p
27 (1913) Zône « Zône »
s flamants les marabouts L’oiseau Roc célébré par les conteurs et les poètes Plane tenant dans les serres le crâne d’Adam la p
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