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1 (1916) Voyage (incipit : « Du joli bateau de Port-Vendres ») « Voyage (incipit : « Du joli bateau de Port-Vendres ») »
iguent et vont l’attendant Le superbe navire où clame Le chœur de ton regard ardent Guillaume Apollinaire
2 (1913) Hy de Park [Hyde Park] « Hy de Park [Hyde Park] »
gardez venir les cyclopes Les pipes s’envolaient Mais envolez-vous en Regards impénitents Et l’Europe l’Europe Regards sacrés
3 (1915) Vers le Sud « Vers le Sud »
pendaient ensemble au même grenadier Et les fleurs de grenade en nos regards écloses En tombant tour à tour ont jonché le sent
4 (1915) Vers le Sud « Vers le Sud »
pendaient ensemble au même grenadier Et les fleurs de grenade en nos regards écloses En tombant tour à tour ont jonché le sent
5 (1914) Etoile « Etoile »
La nuit car naturellement il ne marche Que la nuit attire souvent ses regards           Mais Gaspard Sait bien qu’il ne faut pa
6 (1918) Vers le Sud « Vers le Sud »
pendent ensemble au même grenadier Et les fleurs de grenade en nos regards écloses En tombant tour à tour ont jonché le se
7 (1917) Le Pont « Le Pont »
mains                                   le bouquet de demain Et leurs regards s’écoulent           Dans ce fleuve à tous étrang
8 (1912) Nuit rhénane « Nuit rhénane »
chant du batelier, Et mettez près de moi toutes les filles blondes Au regard immobile, aux nattes repliées. Le Rhin, le Rhin
9 (1916) Guerre « Guerre »
   industrie, agriculture, métal,        feu, cristal, vitesse, voix, regard , .. et plus encore au delà de cette terre
10 (1917) Chef de section « Chef de section »
s yeux seront alors chargés de tout l’amour qui s’est amassé dans les regards de l’humanité depuis qu’elle existe Ma bouche ser
11 (1912) Per te præsentit aruspex « Per te præsentit aruspex »
amour, toi, mon œuvre et que j’aime, A jamais j’allumai le feu de ton regard , Je t’aime comme j’aime une belle œuvre d’art, Un
12 (1912) Immortalité « Immortalité »
mour, toi, mon œuvre, et que j’aime, A jamais j’allumai le feu de ton regard , Je t’aime comme j’aime une belle œuvre d’art, Un
13 (1912) Le pont Mirabeau « Le Pont Mirabeau »
ns face à face Tandis que sous le pont de nos bras passe Des éternels regards l’onde si lasse.                Vienne la nuit,
14 (1909) Le Départ « Le Départ ») »
on départ, Puisque, vous le savez, je ne vous aime pas. Rayons d’un regard d’homme, ô cordes de ma lyre, C’est vous qui réso
15 (1909) [« Un soir de demi-brume, à Londres »] « [« Un soir de demi-brume, à Londres »] »
es, Un voyou, qui ressemblait à Mon amour, vint à ma rencontre, Et le regard qu’il me jeta Me fit baisser les yeux de honte.
se lamentaient les façades, Une femme lui ressemblant — C’était son regard d’inhumaine, La cicatrice à son cou nu, — Sortit
16 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
ombre Mais tandis que, mourants, roulaient vers l’estuaire Tous les regards , tous les regards de tous les yeux Les bords étai
s que, mourants, roulaient vers l’estuaire Tous les regards, tous les regards de tous les yeux Les bords étaient déserts, herbu
17 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
able et les deux verres devinrent un mourant qui nous jeta le dernier regard d’Orphée. Les verres tombèrent, se brisèrent Et n
s espèrent, Ni : parce que nos verres nous jettent encore une fois le regard d’Orphée mourant, Ni : parce que nous avons tant
18 (1917) Merveille de la guerre « Merveille de la guerre »
et se penchent pour regarder Ce sont des dames qui dansent avec leurs regards pour yeux bras et cœurs J’ai reconnu ton sourire
19 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
inattendu. Et je marche, je fuis. O jour, l’émoi de l’aube Ferma le regard fixe et doux de vieux rubis Des hiboux et voici l
be Ferma le regard fixe et doux de vieux rubis Des hiboux et voici le regard des brebis Et des truies aux tétins roses comme d
20 (1917) La Victoire « La Victoire »
es chez toi tout t’appartient Mon lit ma lampe et mon casque troué Regards précieux saphirs taillés aux environs de Saint-Cl
21 (1917) Le palais du tonnerre « Le palais du tonnerre »
où il passe blanchâtre Et là-haut le toit est bleu et couvre bien le regard fermé par quelques lignes droites Mais en deçà de
22 (1909) [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] « [« Beaucoup de ces dieux ont péri »] »
s florentins Avaient une saveur amère Qui a rebuté nos destins. Ses regards laissaient une traîne D’étoiles dans les soirs tr
23 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
nanes Il vint des soldats de la garde républicaine O nuit troupeau de regards langoureux des femmes O nuit toi ma douleur et mo
24 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
ore, Que les astres du firmament, Que la lumière de l’aurore, Que vos regards mon fiancé, Auront meilleure odeur encore, Hélas 
25 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
ore, Que les astres du firmament, Que la lumière de l’aurore, Que vos regards mon fiancé, Auront meilleure odeur encore, Hélas 
26 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
ille L’avenir et la vie dans ces treilles s’ennuyent Mais où est le regard lumineux des sirènes Il trompa les marins qu’aima
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