iguent et vont l’attendant Le superbe navire où clame Le chœur de ton
regard
ardent Guillaume Apollinaire
gardez venir les cyclopes Les pipes s’envolaient Mais envolez-vous en
Regards
impénitents Et l’Europe l’Europe Regards sacrés
pendaient ensemble au même grenadier Et les fleurs de grenade en nos
regards
écloses En tombant tour à tour ont jonché le sent
pendaient ensemble au même grenadier Et les fleurs de grenade en nos
regards
écloses En tombant tour à tour ont jonché le sent
La nuit car naturellement il ne marche Que la nuit attire souvent ses
regards
Mais Gaspard Sait bien qu’il ne faut pa
pendent ensemble au même grenadier Et les fleurs de grenade en nos
regards
écloses En tombant tour à tour ont jonché le se
chant du batelier, Et mettez près de moi toutes les filles blondes Au
regard
immobile, aux nattes repliées. Le Rhin, le Rhin
industrie, agriculture, métal, feu, cristal, vitesse, voix,
regard
, .. et plus encore au delà de cette terre
s yeux seront alors chargés de tout l’amour qui s’est amassé dans les
regards
de l’humanité depuis qu’elle existe Ma bouche ser
amour, toi, mon œuvre et que j’aime, A jamais j’allumai le feu de ton
regard
, Je t’aime comme j’aime une belle œuvre d’art, Un
mour, toi, mon œuvre, et que j’aime, A jamais j’allumai le feu de ton
regard
, Je t’aime comme j’aime une belle œuvre d’art, Un
ns face à face Tandis que sous le pont de nos bras passe Des éternels
regards
l’onde si lasse. Vienne la nuit,
on départ, Puisque, vous le savez, je ne vous aime pas. Rayons d’un
regard
d’homme, ô cordes de ma lyre, C’est vous qui réso
es, Un voyou, qui ressemblait à Mon amour, vint à ma rencontre, Et le
regard
qu’il me jeta Me fit baisser les yeux de honte.
se lamentaient les façades, Une femme lui ressemblant — C’était son
regard
d’inhumaine, La cicatrice à son cou nu, — Sortit
ombre Mais tandis que, mourants, roulaient vers l’estuaire Tous les
regards
, tous les regards de tous les yeux Les bords étai
s que, mourants, roulaient vers l’estuaire Tous les regards, tous les
regards
de tous les yeux Les bords étaient déserts, herbu
able et les deux verres devinrent un mourant qui nous jeta le dernier
regard
d’Orphée. Les verres tombèrent, se brisèrent Et n
s espèrent, Ni : parce que nos verres nous jettent encore une fois le
regard
d’Orphée mourant, Ni : parce que nous avons tant
et se penchent pour regarder Ce sont des dames qui dansent avec leurs
regards
pour yeux bras et cœurs J’ai reconnu ton sourire
inattendu. Et je marche, je fuis. O jour, l’émoi de l’aube Ferma le
regard
fixe et doux de vieux rubis Des hiboux et voici l
be Ferma le regard fixe et doux de vieux rubis Des hiboux et voici le
regard
des brebis Et des truies aux tétins roses comme d
es chez toi tout t’appartient Mon lit ma lampe et mon casque troué
Regards
précieux saphirs taillés aux environs de Saint-Cl
où il passe blanchâtre Et là-haut le toit est bleu et couvre bien le
regard
fermé par quelques lignes droites Mais en deçà de
s florentins Avaient une saveur amère Qui a rebuté nos destins. Ses
regards
laissaient une traîne D’étoiles dans les soirs tr
nanes Il vint des soldats de la garde républicaine O nuit troupeau de
regards
langoureux des femmes O nuit toi ma douleur et mo
ore, Que les astres du firmament, Que la lumière de l’aurore, Que vos
regards
mon fiancé, Auront meilleure odeur encore, Hélas
ore, Que les astres du firmament, Que la lumière de l’aurore, Que vos
regards
mon fiancé, Auront meilleure odeur encore, Hélas
ille L’avenir et la vie dans ces treilles s’ennuyent Mais où est le
regard
lumineux des sirènes Il trompa les marins qu’aima