tifice d’artificier Mêler quelque grâce au Courage — Deux fusants —
rose
éclatement Comme deux seins que l’on dégrafe Tend
s la forêt Regarde avec indifférence Son révolver au cran d’arrêt Des
roses
mourir d’espérance — Il songe aux roses de Saad
évolver au cran d’arrêt Des roses mourir d’espérance — Il songe aux
roses
de Saadi Et soudain sa tête se penche Car une r
— Il songe aux roses de Saadi Et soudain sa tête se penche Car une
rose
lui redit La molle courbe d’une hanche L’air es
caressent le mol Parfum nocturne où tu reposes Mortification des
roses
tifice d’artificier Mêler quelque grâce au Courage — Deux fusants —
rose
éclatement Comme deux seins que l’on dégrafe Tend
s la forêt Regarde avec indifférence Son révolver au cran d’arrêt Des
roses
mourir d’espérance — Il songe aux roses de Saad
évolver au cran d’arrêt Des roses mourir d’espérance — Il songe aux
roses
de Saadi Et soudain sa tête se penche Car une
Il songe aux roses de Saadi Et soudain sa tête se penche Car une
rose
lui redit La molle courbe d’une hanche L’air est
essent le mol Parfum nocturne où tu reposes Mortification des
roses
ifice d’artificier : mêler quelque grâce au courage. Deux fusants —
rose
éclatement, comme deux seins que l’on dégrafe ten
forêt regarde avec indifférence — son revolver au cran d’arrêt — des
roses
mourir d’espérance. Il songe aux roses de Saadi
volver au cran d’arrêt — des roses mourir d’espérance. Il songe aux
roses
de Saadi… Et soudain sa tête se penche, car une r
Il songe aux roses de Saadi… Et soudain sa tête se penche, car une
rose
lui redit la molle courbe d’une hanche. L’air e
ressent le mol parfum nocturne où tu reposes, Mortification des
roses
! GUILLAUME APOLLINAIRE.
osa dans mes mains des rayons décevants Et prit son miel lunaire à la
rose
des vents. O rose à peine rose en des livres sava
des rayons décevants Et prit son miel lunaire à la rose des vents. O
rose
à peine rose en des livres savants.
écevants Et prit son miel lunaire à la rose des vents. O rose à peine
rose
en des livres savants.
bois joli. Les poules dans la cour caquètent, L’aube au ciel fait de
roses
plis, L’amour chemine à ta conquête. Mars et Vé
ls s’embrassent à bouches folles Devant des sites ingénus Où sous les
roses
qui feuillolent De beaux dieux roses dansent nus.
nt des sites ingénus Où sous les roses qui feuillolent De beaux dieux
roses
dansent nus. Viens, ma tendresse est la régente
ons la pipe En songeant à l’amour Les deux tours sont là Regardons la
rose
La fontaine n’a pas tari Pas plus que l’or de l
ne songeons pas à l’avenir Regardons nos mains Qui sont la neige La
rose
et l’abeille Ainsi que l’avenir GUILLAUME APOLLI
exas, Entre Mobile et Galveston, il y a Un grand jardin tout plein de
roses
; Il contient aussi une villa Qui est une grande
tout plein de roses ; Il contient aussi une villa Qui est une grande
rose
. Une femme se promène souvent Dans le jardin to
e (chimère)] [chimère] Adieu ! à peine la nécessité l’œillet la
rose
Ispahan Pour tes
roses
J’aurais fait Un voyage plus long encore Ton so
ême Visage adoré Ispahan aux musiques du matin Réveille l’odeur des
roses
de ses jardins J’ai parfumé mon âme A la rose P
Réveille l’odeur des roses de ses jardins J’ai parfumé mon âme A la
rose
Pour ma vie entière Ispahan grise et aux faïenc
ue de théâtre La Kellnerine rousse avait Mis sur sa tête un chapeau
rose
Comme Hébé que les dieux servait N’en eut jamais
ue les dieux servait N’en eut jamais ô belles choses Carnaval chapeau
rose
Ave ! A Rome à Nice et à Cologne Dans les fleur
e à Mytilène Le fil de fer est là qui luit Comme ils cueillaient la
rose
ardente Leurs yeux tout à coup ont fleuri Et quel
Fée Photographie tant attendue [bombe et canons croisés] Far tiz
rose
Fée Photographie tant attendue [bombe et canons croisés] Far tiz
rose
i par l’amour chantait sur Le rosier de ton corps où j’ai cueilli les
roses
Nos cœurs pendaient ensemble au même grenadier Et
i par l’amour chantait sur Le rosier de ton corps où j’ai cueilli les
roses
Nos cœurs pendaient ensemble au même grenadier Et
au)] [jet d’eau] la lune ardente et toujours neuve un bouton de
rose
doux comme un papillon comme une fleur mourant en
par l’amour chante sur Le rosier de ton corps dont j’ai cueilli les
roses
Nos cœurs pendent ensemble au même grenadier
es borgnes. Elle se mettait sur la paille Pour un maquereau roux et
rose
, C’était un Juif, il sentait l’ail Et l’avait, ve
fleuve Trois dames au parler hanovrien Effeuillaient sans raison des
roses
dans le Rhin Qui semble une veine de Ton Corps si
sible ascèse solitude métaphysique Enfant aux mains coupées parmi les
roses
oriflammes
sible ascèse solitude métaphysique Enfant aux mains coupées parmi les
roses
oriflammes
mon drame Grâce à vous deviendront de bons petits français Blancs et
roses
ainsi que vous êtes Madame Ce
saltimbanques ne bougeaient pas Le plus vieux avait un maillot de ce
rose
violâtre qu’ont aux joues certaines jeunes filles
t aux joues certaines jeunes filles actives mais près de la mort Ce
rose
là se niche surtout dans les plis qu’entourent so
es plis qu’entourent souvent leur bouche Ou près des narines C’est un
rose
plein de traitrise Cet homme portait-il ainsi sur
De dessous de l’orgue sortit un tout petit saltimbanque habillé de
rose
pulmonaire Avec de la fourrure aux poignets et au
c des papiers buvards non montés, c’est ce qu’il y a de mieux. Il est
rose
comme un visage fardé, peu à peu il noircit au ce
y a aussi une boîte d’allumettes suédoises à l’envers, elle est vieux
rose
avec un cercle rouge où il y [a] un A un M et un
nques ne bougeaient pas. Le plus vieux avait un maillot couleur de ce
rose
violâtre qu’ont aux joues certaines jeunes filles
t aux joues certaines jeunes filles actives, mais près de la mort. Ce
rose
-là se niche surtout dans les plis qui entourent s
is qui entourent souvent leur bouche, Ou près des narines. C’est un
rose
plein de traîtrise. Cet homme portait-il ainsi su
ance. De dessous l’orgue sortit un tout petit saltimbanque habillé de
rose
pulmonaire, Avec de la fourrure aux poignets et a
On a pendu la mort Et ses beaux seins dorés Se montrent tour à tour O
rose
toujours vive O France [à droite, verticalement]
On a pendu la mort Et ses beaux seins dorés Se montrent tour à tour O
rose
toujours vive O France [à droite, verticalement]
Le palais don du roi comme un roi nu s’élève Des chairs fouettées des
roses
de la roseraie On voit venir au fond du jardin
lles ont envie des cyprès grandes quenouilles Et le soleil miroir des
roses
s’est brisé Le stigmate sanglant des mains cont
pirer tel l’orgue que j’aime entendre Des Arlequines jouent dans le
rose
et bleus d’un beau-ciel Ce souvenir revit les r
u milieu des regrets dans une vaste grotte. Prends les araignées
roses
à la nage Regrets d’invisibles pièges l’ai
s’épuisaient en fanfares. Et la septième s’exténue, Une femme, une
rose
morte : « Merci, que le dernier venu « Sur mon am
e selle mon cheval nous battons la campagne Je te salue au loin belle
rose
ô tour Magne Décembre 1914
ont envie des cyprès, grandes quenouilles, Et, le soleil, miroir des
roses
, s’est brisé.. Toc toc… « Entrez dans l’anticha
à tes yeux je songe aux sources fraîches Si je pense à ta bouche les
roses
m’apparaissent Si je songe à tes seins le Paracle
agellez les nuées du coucher Qui tendent sans espoir de si jolis culs
roses
. Et, c’est le soir, les fleurs de jour déjà se cl
bis Des hiboux et voici le regard des brebis Et des truies aux tétins
roses
comme des lobes. Des corbeaux éployés comme des
horizon en Champagne à Monsieur le substitut Granié Voici le tétin
rose
de l’euphorbe verruquée Voici les nez des soldats
ient comme un flux menstruel. Au carrefour où nulle fleur si non la
rose
Des vents, mais sans épine n’a fleuri l’hiver. Me
terre il venait mille peuplades blanches Dont chaque homme tenait une
rose
à la main Et le langage qu’ils inventaient en che
rdin d’une auberge aux environs de Prague Tu te sens tout heureux une
rose
est sur la table Et tu observes au lieu d’écrire
eu d’écrire ton conte en prose La cétoine qui dort dans le cœur de la
rose
Epouvanté tu te vois dessiné dans les agates de
rdin d’une auberge aux environs de Prague Tu te sens tout heureux une
rose
est sur la table Et tu observes au lieu d’écrire
eu d’écrire ton conte en prose La cétoine qui dort dans le cœur de la
rose
Epouvanté tu te vois dessiné dans les agates de
blanche rade, O marguerite exfoliée Mon île au loin, ma Désirade, Ma
rose
, mon giroflier… Les satyres et les pyraustes, L
s sont blanches Les avions bourdonnent ainsi que des abeilles Sur les
roses
momentanées des éclatements Et les nuits sont par
s rouaient, Aux yeux d’une mûlatresse qui inventait la poésie, Et les
roses
de l’électricité s’ouvrent encore Dans le jardin
bague était brisée, Que le lilas qui vient d’éclore, Que le thym, la
rose
ou qu’un brin De lavande ou de romarin. Les mus
bague était brisée, Que le lilas qui vient d’éclore, Que le thym, la
rose
ou qu’un brin De lavande ou de romarin. Les mus
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