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1 (1913) Inscription pour le tombeau du peintre Henri Rousseau douanier « Inscription pour le tombeau du peintre Henri Rousseau douanier »
re Henri Rousseau douanier Gentil Rousseau tu nous entends Nous te saluons Delaunay sa femme Monsieur Queval et moi Laisse p
2 (1914) Poème sans titre (incipit : « Gentil Rousseau, tu nous entends ») « Poème sans titre (incipit : « Gentil Rousseau, tu nous entends ») »
                                                              Nous te saluons                                           Delauna
3 (1915) 2e canonnier conducteur « 2e canonnier conducteur »
fier parmi mes compagnons Le Réveil a sonné et dans le petit jour je salue La fameuse Nancéenne que je n’ai pas connue  
èvre détale et voici un russieau que j’aime Et cette jeune femme nous salue charretiers                                     
4 (1909) Crépuscule « II. Crépuscule »
llé D’astres pâles comme du lait. Sur les tréteaux l’Arlequin blême Salue d’abord les spectateurs : Des sorciers venus de B
5 (1911) Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») « Crépuscule (incipit : « Frôlée par les ombres des morts ») »
ellé D’astres pâles comme du lait Sur les tréteaux l’Arlequin blême Salue d’abord les spectateurs Des sorciers venus de Boh
6 (1909) Les Sapins « Les Sapins »
ins en bonnets pointus De longues robes revêtus Comme des astrologues Saluent leurs frères abattus, Les bateaux qui sur le Rhin
7 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
a tarir Les obus miaulaient. Entends chanter les nôtres Pourpre amour salué par ceux qui vont périr Le printemps tout mouil
8 (1915) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
a tarir Les obus miaulaient. Entends chanter les nôtres Pourpre amour salué par ceux qui vont périr * *   * Le printemps to
9 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
va tarir Les obus miaulaient entends chanter les nôtres Pourpre Amour salué par ceux qui vont périr * *   * Le printemps to
10 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « Nuit d’avril : 1915 »
tarir, Les obus miaulaient… entends chanter les nôtres. Pourpre amour salué par ceux qui vont périr ! Le printemps tout mou
11 (1913) Dans le jardin d’Anna « Dans le jardin d’Anna »
ne-vinette et les pampres couronnent Et brusquement parfois j’eusse salué très bas De nobles dames grasses et langoureuses
12 (1917) Le Dépôt « Le Dépôt »
le soir de 5 à 9 Je selle mon cheval nous battons la campagne Je te salue au loin belle rose ô tour Magne Décembre 1914
13 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
fourrure aux poignets et aux chevilles Il poussait des cris brefs Et saluait en écartant gentiment les avant-bras Mains ouvert
nt-bras Mains ouvertes Une jambe en arrière prête à la génuflexion Il salua ainsi aux quatre points cardinaux Et quand il mar
14 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
lairé par l’électricité en bâton Je pense à toi pays des 2 volcans Je salue le souvenir des sirènes et des scylles mortes au
le souvenir des sirènes et des scylles mortes au moment de Messine Je salue le Colleoni équestre de Venise Je salue la chemis
ortes au moment de Messine Je salue le Colleoni équestre de Venise Je salue la chemise rouge Je t’envoie mes amitiés ITALIE e
15 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
ourrure aux poignets et aux chevilles. Il poussait des cris brefs, Et saluait en écartant gentiment les avant-bras Mains ouvert
as Mains ouvertes, Une jambe en arrière, prête à la génuflexion. Il salua ainsi aux quatre points cardinaux, Et quand il ma
16 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
Le Musicien de Saint-Merry J’ai enfin le droit de saluer des êtres que je ne connais pas Ils passent devan
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