s Et l’oiseau bleu perdit ses plumes Et les mendiants leurs Ave. On
sait
très bien que l’on se damne, Mais l’espoir d’aime
; Et l’oiseau bleu perdit ses plumes Et les mendiants leurs Ave. On
sait
très bien que l’on se damne, Mais l’espoir d’aime
riait elle riait Les yeux très bleus les dents très blanches Si vous
saviez
si vous saviez Tout ce que nous ferons dimanche
it Les yeux très bleus les dents très blanches Si vous saviez si vous
saviez
Tout ce que nous ferons dimanche Guillaume Apol
pour passer le temps/ pardonne à celui qui connaît la source neuve et
sait
encore l’heure où elle tarira
e [transversalement] Tu as vu la mort en face plus de cent fois tu ne
sais
pas ce que c’est que la vie [à gauche] Transmets
ntagnes aux pentes tendres les petites villes maritimes l’attirent il
sait
qu’il y a encore bien des felouques et son souven
chemise Se rase près de la fenêtre En chantant un petit air qu’il ne
sait
pas très bien Ça fait tout un opéra.
chemise Se rase près de la fenêtre En chantant un petit air qu’il ne
sait
pas très bien Et ça fait tout un opéra.
l’alcyon ») La femelle de l’alcyon, L’amour, les volantes sirènes,
Savent
de mortelles chansons Dangereuses et inhumaines.
ô Pacifique ô douce ô belle France Amaro vous
savez
que je vous aime bien Et nous aimons tous deux la
n Un vigneron qui était lui-même la bouteille vivante Un vigneron qui
sait
ce qu’est la guerre Un vigneron champenois qui es
eilles crèmantes Allons Adieu messieurs tâchez de revenir Mais nul ne
sait
ce qui peut advenir GUILLAUME APOLLINAIRE
egret confine au Dédain Il y a des chiens singuliers qui ont l’air de
savoir
faire un chapeau ce n’est pas un métier moderne i
-dix ans Joues fraîches de petits enfants Venez venez Éléonore Et que
sais
-je encore Regardez venir les cyclopes Les pipes
i malgré les masques les sacs de sable les rondins nous tombions Nous
savons
qu’un autre prendrait notre place Et que LES ARME
x des 75 Comme toi je n’ai pas cet orgueil sans joie des Boches et je
sais
rigoler Je ne suis pas sentimental à l’excès comm
e le sont ces gens sans mesure que leurs actions dépassent sans qu’il
sachent
s’amuser Notre civilisation a plus de finesse que
charmante l’ardeur vient quand il faut Nous sommes narquois car nous
savons
faire la part des choses Et il n’y a pas plus de
ne nous dit pas nous sommes démerdards et même ceux qui se dégonflent
sauraient
à l’occasion faire preuve de l’esprit de sacrific
un et l’autre si on les laissait faire serait vite remplacé par je ne
sais
quelles commodités dont je n’ai que faire Et surt
s commodités dont je n’ai que faire Et surtout parce que comme toi je
sais
je veux choisir et qu’eux voudraient nous forcer
signal optique d’artillerie, avant le titre] 5 Au p’tit Lou Et vous
savez
pourquoi Pourquoi la chère couleuvre se love de l
signal optique d’artillerie, avant le titre] 5 Au p’tit Lou Et vous
savez
pourquoi Pourquoi la chère couleuvre se love de l
nc un poème Puisque j’aime et que nous aimons les poètes Mais si vous
saviez
comme j’aime les prophètes Et cependant comme j’a
le temps donne de l’originalité à ses sensations il est sûr de lui il
sait
donner une ordonnance à la fois pompeuse et famil
ut connaître Ayant éprouvé les douleurs et les joies de l’amour Ayant
su
quelquefois imposer ses idées Connaissant plusieu
chloroforme Ayant perdu ses meilleurs amis dans l’effroyable lutte Je
sais
d’ancien et de nouveau autant qu’un homme seul po
sais d’ancien et de nouveau autant qu’un homme seul pourrait des deux
savoir
Et sans m’inquiéter aujourd’hui de cette guerre E
ndo, compuesto por Gomez de Santistevan, uno de los doce que llevo en
su
compania el infante. Valencia (s.d.) in-4º. Voir
tant d’univers s’oublient Quels sont les grands oublieurs Qui donc
saura
nous faire oublier telle ou telle partie du monde
s’oublient * * * Quels sont les grands oublieurs ? Qui donc
saura
nous faire oublier telle ou telle partie du monde
s’oublient Quels sont les grands oublieurs Qui donc
saura
nous faire oublier telle ou telle partie du monde
ari Et puis Gertrude, ma cousine Souriront quand je passerai. Je ne
saurai
plus où me mettre. Tu seras loin. Je pleurerai Et
n cerveau pour toutes les cervelles Des pauvres spectateurs qui ne le
savaient
pas Qu’il leur faut des enfants ou passer au trép
l repos risquez tout votre avoir Apprenez du nouveau car il faut tout
savoir
Lorsque crie un prophète il faut que l’alliez voi
ces arcanes seraient plus sombres Mais j’ai peur de les sonder ; Qui
sait
si là n’est pas l’éternité, Par delà la mort camu
Comme deux seins que l’on dégrafe Tendent leurs bouts insolemment IL
SUT
AIMER. Quelle épitaphe — Un poète dans la forêt
Comme deux seins que l’on dégrafe Tendent leurs bouts insolemment IL
SUT
AIMER. Quelle épitaphe — Un poète dans la forêt
tre toi une armée pleine de disparates Variée comme un enchanteur qui
sait
varier ses métamorphoses L’orchestre et les chœur
ravailleront demain pour nous tous ; Ni même : on a pendu ceux qui ne
savaient
pas profiter de la vie ; Ni même : on renouvelle
a vie ; Ni même : on renouvelle le monde en reprenant la Bastille. Je
sais
que seuls le renouvellent ceux qui sont fondés en
nivers, Ni : parce que nous pouvons pleurer sans ridicule et que nous
savons
rire, Ni : parce que nous fumons et buvons comme
i d’été Les bergers comprenaient ce qu’ils croyaient entendre Car ils
savaient
déjà tout ce qu’ils écoutaient Sur cette assiet
comme deux seins que l’on dégrafe tendent leurs bouts insolemment. Il
sut
aimer… Quelle épitaphe ! Un poète dans la forêt
e à mon gré Sinon l’amour, du moins une mort aussi belle. Dis-moi, le
savais
-tu, que mon âme est mortelle ? GUILLAUME APOLLI
tard Suivit un tirailleur Mort à Arras Si je voulais
savoir
mon âge Il faudrait le demander à l’évêque Si
tard Suivit un tirailleur Mort à Arras Si je voulais
savoir
mon âge Il faudrait le demander à l’évêque Si
s Par les vieux sapins, leurs aînés Qui sont de grands poètes, Ils se
savent
prédestinés A briller plus que des planètes A b
rop Grande pour le trop petit nombre De petits ânes trottinant Et qui
savent
si joliment Braire en regardant La barbe rougie a
gare Attendre, les yeux secs, l’heure de mon départ, Puisque, vous le
savez
, je ne vous aime pas. Rayons d’un regard d’homm
eprisée. J’aimerais mieux nuit et jour dans les sphingeries, Vouloir
savoir
pour qu’enfin on m’y dévorât. Guillaume APOLLIN
osent Et les souris dans l’ombre incantent le plancher. Les humains
savent
tant de jeux : l’amour, la mourre. L’amour, jeu d
u des amantes Zélotide et Lorie, Louise et Diamante Ont dit ; Tu peux
savoir
, ô toi, l’effarouché. Ermite, absous nos fautes
fautes jamais vénielles, O toi, le pur et le contrit que nous aimons,
Sache
nos cœurs, sache les jeux que nous aimons Et nos
ielles, O toi, le pur et le contrit que nous aimons, Sache nos cœurs,
sache
les jeux que nous aimons Et nos baisers quintesse
eux sous tes pas Au vert bâton que tu coupas Un dieu meurt — tu ne le
sais
pas ! — Ah ! marche l’homme sans déesses Ni tu
ssu du Pentélique, On sculptera ta face, orgueil de notre temps. Or
sus
! que l’on se lève et qu’on choque les verres Et
ne se trompait jamais Une cartomancienne céretane Marguerite je ne
sais
plus quoi Est également habile Mais Mada
u sang pur de celui qui connaît Une autre liberté végétale dont tu Ne
sais
pas que c’est elle la suprême vertu Une couronne
s deux eaux Dans ces belles maisons nettement blanches et noires Sans
savoir
que tu es la réalité chantent ta gloire Mais nous
s un à un Des kilos de papier tordus comme des flammes Et ceux-là qui
sauront
blanchir nos ossements Les bons vers immortels qu
me tant Les fleurs qui s’écrient hors de bouches Et tout ce que je ne
sais
pas dire Tout ce que je ne connaitrai jamais Tout
’est une sorte d’êtres laids qui me font mal et qui viennent de je ne
sais
où Oui je crois qu’ils viennent de la vie d’une s
plicité des fruits, des fleurs et des feuilles. Nul avant Survage n’a
su
mettre dans une seule toile, une ville entière av
rçons vêtus d’un pagne, Vers toi, toi que j’ai tant aimée, Moi, qui
sais
des lais pour les reines, Les complaintes de mes
à l’avenir l’histoire de Guillaume Apollinaire Qui fut à la guerre et
sut
être partout Dans les villes heureuses de l’arriè
doux des fruits mûrs Mais ce n’est pas l’exil que je viens simuler Et
sachez
que j’attends de moyennes tortures Injustes si je
récédaient en égrenant des grappes Les évêques noirs révérant sans le
savoir
Au triangle isocèle ouvert au mors des chapes Pal
eprisée. J’aimerais mieux nuit et jour dans les sphingeries Vouloir
savoir
pour qu’enfin on m’y dévorât. Guillaume Apollin
eprisée. J’aimerais mieux nuit et jour dans les sphingeries Vouloir
savoir
pour qu’enfin on m’y dévorât.
ux, des fruits mûrs, Mais ce n’est pas l’exil que je viens simuler Et
sachez
que j’attends de moyennes tortures, Injustes si j
récédaient en égrenant des grappes Les évêques noirs révérant sans le
savoir
, Au triangle isocèle ouvert au mors des chapes, P
ême, Je me disais, Guillaume, il est temps que tu viennes Pour que je
sache
enfin celui-là que je suis, Moi qui connais les a
la hauteur Pupille Christ de l’œil Vingtième pupille des siècles il
sait
y faire Et changé en oiseau ce siècle comme Jésus
e regarder Ils disent qu’il imite Simon Mage en Judée Ils crient s’il
sait
voler qu’on l’appelle voleur Les anges voltigent
la hauteur Pupille Christ de l’œil Vingtième pupille des siècles il
sait
y faire Et changé en oiseau ce siècle comme Jésus
e regarder Ils disent qu’il imite Simon Mage en Judée Ils crient s’il
sait
voler qu’on l’appelle voleur Les anges voltigent
rts et les chats miaulent Dans la cour ; je pleure à Paris, Moi qui
sais
des lais pour les reines, Les complaintes de mes
nce ; Pardonnez-moi de ne plus connaître l’ancien jeu des vers. Je ne
sais
plus rien et j’aime uniquement ; Mais les fleurs,
rir. Les barques étaient arrivées A un endroit où les chevau-légers
Savaient
qu’un écho répondait de la rive. On ne se lassait
rir. Les barques étaient arrivées A un endroit où les chevau-légers
Savaient
qu’un écho répondait de la rive. On ne se lassait