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1 (1917) Reconnaissance « Reconnaissance »
Reconnaissance Un seul bouleau crépusculaire Pâlit au seuil de l’horizon
2 (1916) Les Grenadines repentantes « Les Grenadines repentantes »
repentantes En est-il donc deux dans Grenade Qui pleurent sur ton seul péché Ici l’on jette la grenade Qui se change en
3 (1915) Reconnaissance « Reconnaissance »
Reconnaissance à Mlle Pagès Un seul Bouleau crépusculaire Pâlit au seuil de l’horizon
4 (1917) Poèmepréfaceprophétie - 4
pour ce qu’il aime        Non pour lui-même Et avant toute chose cela seul prouve qu’il y a ainsi en lui cet esprit moderne
5 (1915) Reconnaissance « Reconnaissance »
Reconnaissance à Mlle Pagès Un seul Bouleau crépusculaire Pâlit au seuil de l’horizon
6 (1911) La Porte « La Porte »
’est-ce que cela peut me faire ô ma maman D’être cet employé pour qui seul rien n’existe Pi-mus couples allant dans la profo
7 (1912) Fanny « Fanny »
une grande rose. Une femme se promène souvent Dans le jardin toute seule , Et quand je passe sur la route, bordée de tilleu
8 (1914) L'Anguille « L’Anguille »
nne Houhou la très gentille Est morte entre des draps très blancs Pas seule Bébert dit l’Anguille Narcisse et Hubert le merla
9 (1913) Liens « Liens »
de Babel changées en ponts Araignées Pontifes Tous les amoureux qu’un seul lien a liés D’autres liens plus ténus Blancs ra
10 (1917) à Howard « à Howard »
des enfants c’est le but de mon conte L’enfant est la richesse et la seule qui compte. GUILLAUME APOLLINAIRE.
11 (1907) Lul de Faltenin « Lul de Faltenin »
Qu’importe, ma sagesse égale Celle des constellations, Car, c’est moi seul , nuit, qui t’étoile. * Sirènes, enfin, je desce
hangé très vite en méduse, Puisque je flambe atrocement, Que mes bras seuls sont les excuses Et les torches de mon tourment.
12 (1907) Fragment « Fragment »
Qu’importe, ma sagesse égale Celle des constellations, Car c’est moi seul , nuit, qui t’étoile. Sirènes, enfin, je descend
changé très vite en méduse Puisque je flambe atrocement, Que mes bras seuls sont les excuses Et les torches de mon tourment.
13 (1914) Le son du Cor « Le son du Cor »
Le son du Cor Mon amour est comme un fiévreux que seul apaise Le poison qui nourrit son mal et dont il
14 (1917) Le Pont « Le Pont »
                 Là-bas [à gauche, un mot par ligne] c’est pour toi seule que le sang coule      Tous les enfants saven
15 (1909) Le Départ « Le Départ ») »
sputes. Adieu, adieu ! vous qui m’aimiez, oubliez-moi ! Laissez-moi seule , triste et noire, dans la gare Attendre, les yeux
16 (1916) Fusée « Fusée »
pensée te rejoint et la tienne la croise * *   * Tes seins sont les seuls obus que j’aime Ton souvenir est la lanterne de r
17 (1913) Dans le jardin d’Anna « Dans le jardin d’Anna »
es dames grasses et langoureuses J’aurais dégusté lentement et tout seul Pendant de longues soirées Le tokay épais ou la m
18 (1917) Le Dépôt « Le Dépôt »
ndeur argentine Je mâche lentement ma portion de bœuf Je me promène seul le soir de 5 à 9 Je selle mon cheval nous batto
19 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
nneur fait qu’on imite maintenant Les feuilles, ô liberté végétale, ô seule liberté terrestre ! Ni : les maisons flambent, pa
i même : on renouvelle le monde en reprenant la Bastille. Je sais que seuls le renouvellent ceux qui sont fondés en poésie. O
20 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
s joignant leurs mains démentes L’entrelaces de leurs doigts fut leur seul laps d’amour. Elle balla, mimant un rythme d’ex
tel « Le front nimbé de feu, sur le chemin de Rome « Il marchera tout seul en regardant le ciel. « La dame qui m’attend se
21 (1914) L'Ignorance « L’Ignorance »
’ai jetée Pardon je ne fais pas plus d’ombre qu’une étoile Je suis le seul qui pense dans l’immensité Mon père m’apprit le
22 (1911) Cortège « Cortège »
pouvoir refaire ces gens à milliers. De voir leurs pieds paniques, un seul de leurs cheveux, Ou leur langue quand il me plaî
uverts d’algues passaient dans leurs villes Sous-marines où les tours seules étaient des îles. Et cette mer avec les clartés d
23 (1912) Zône « Zône »
ine Ici même les automobiles ont l’air d’être anciennes La Religion seule est restée toute neuve la Religion Est restée sim
euve la Religion Est restée simple comme les hangars de Port Aviation Seul en Europe tu n’es pas antique ô Christianisme L’E
ibri De Chine sont venus les pi-his longs et souples Qui n’ont qu’une seule aile et qui volent par couples Puis s’en vient la
isent avec la volante machine Maintenant tu marches dans Paris tout seul parmi la foule Des troupeaux d’autobus mugissants
24 (1913) Zône « Zône »
maine Ici même les automobiles ont l’air d’être anciennes La Religion seule est restée toute neuve la Religion Est restée sim
euve la Religion Est restée simple comme les hangars de Port Aviation Seul en Europe tu n’es pas antique ô Christianisme L’E
ibri De Chine sont venus les pi-his longs et souples Qui n’ont qu’une seule aile et qui volent par couples Puis s’en vient la
isent avec la volante machine Maintenant tu marches dans Paris tout seul parmi la foule Des troupeaux d’autobus mugissants
25 (1913) Arbre « Arbre »
phonographes galopent Où sont les aveugles où s’en sont-ils allés La seule feuille que j’aie cueillie s’est changée en plusi
26 (1916) Arbre « Arbre »
phonographes galopent Où sont les aveugles où s’en sont-ils allés La seule feuille que j’aie cueillie s’est changée en plusi
27 (1917) [Page 1] « [Page 1] »
des fleurs et des feuilles. Nul avant Survage n’a su mettre dans une seule toile, une ville entière avec l’intérieur de ses
28 (1917) Arbre « Arbre »
phonographes galopent Où sont les aveugles où s’en sont-ils allés La seule feuille que j’aie cueillie s’est changée en plusi
29 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
au rire en folie             Et je revois    Ma mère la sorcière qui seule du village         Méprisait le sel    Piler le m
30 (1915) Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] « Le Servant des Dakar [Le Servant de Dakar] »
au rire en folie             Et je revois    Ma mère la sorcière qui seule du village         Méprisait le sel    Piler le m
31 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
l’effroyable lutte Je sais d’ancien et de nouveau autant qu’un homme seul pourrait des deux savoir Et sans m’inquiéter aujo
32 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
perles   monstres qui palpitent Lys   cerclés d’or,   je n’étais pas seul  !   fais onduler les remords   Nouveau monde trè
33 (1905) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
’étaient agenouillés. Il regarda longtemps les rives qui moururent. Seuls , des bateaux d’enfant tremblaient à l’horizon. Un
34 (1912) L’Émigrant de Landor Road « L’Émigrant de Landor Road »
’étaient agenouillés. Il regarda longtemps les rives qui moururent. Seuls , des bateaux d’enfant tremblaient à l’horizon. Un
35 (1916) Chant de l'horizon en Champagne « Chant de l’horizon en Champagne »
ombe porte un casque              Et l’acier s’envole aussi Je suis seul sur le chant de bataille Tranchée blanche bois ve
36 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
un corsage noir Avec des rubans bleus et d’un chapeau gris Orné d’une seule petite plume défrisée. — Je vous aime, disait-il,
cherie canine Pour y acheter leur repas du soir. Bientôt, je restai seul avec ces morts Qui s’en allaient tout droit Au ci
37 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
un corsage noir Avec des rubans bleus et d’un chapeau gris Orné d’une seule plume défrisée. ‒ Je vous aime, disait-il, Comm
ucherie canine Pour y acheter leur repas du soir. Bientôt, je restai seul avec ces morts Qui s’en allaient tout droit Au ci
38 (1917) La Victoire « La Victoire »
                  Ecoutez la mer La mer peiner au loin et crier toute seule              Ma voix fidèle comme l’ombre        
39 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
oiseaux s’offrir Les villes du Midi répondirent alors Noble Paris seule raison qui vis encore Qui fixes notre humeur selo
s à longs traits tout le sang de l’Europe Parce que tu es beau et que seul tu es noble Parce que c’est dans toi que Dieu peu
40 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
ur ou de malheur en ce monde Mais parce que comme toi j’aime à penser seul et que les Boches m’en empêcheraient Mais parce q
41 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
piscent, Comme un poupon chéri, mon sexe est innocent D’être anxieux, seul et debout, comme une borne. Seigneur, le Christ
42 (1911) Le Larron « Le Larron »
té Nous avouons que les grossesses nous émeuvent Les ventres pourront seuls nier l’aséité Vois les vases sont pleins d’humi
43 (1903) Le Larron « Le Larron »
Nous avouons que les grossesses nous émeuvent ; Les ventres pourront seuls nier l’aséité. Vois, les vases sont pleins d’hu
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