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1 (1911) Stances (Signe de l’Automne) « Stances (Signe de l’Automne) »
rnel, ô ma Saison mentale, Les mains des Amantes d’antan jonchent ton sol  ; Une Épouse me suit, c’est mon Ombre fatale, Les
2 (1912) Le Signe de l'Automne « Le Signe de l’Automne »
elle, ô ma saison mentale, Les mains des amantes d’antan jonchent ton sol , Une épouse me suit, c’est mon ombre fatale, Les
3 (1915) 2e canonnier conducteur « 2e canonnier conducteur »
suit Fantassins marchantes mottes de terre Vous êtes la puissance Du sol qui vous a faits Et c’est le sol qui va Lors que
s de terre Vous êtes la puissance Du sol qui vous a faits Et c’est le sol qui va Lors que vous avancer   [botte] sacré
4 (1913) Lundi rue Christine « Lundi rue Christine »
C’est complètement impossible Voici monsieur La bague en malachite Le sol est semé de sciure Alors c’est vrai La serveuse r
5 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
pins Ont égaré ma route et mes rêves poupins Souvent et j’ai dormi au sol des sapinières. Enfin, ô soir pâmé, au bout de
ains. Cité, j’ai ri de tes palais tels que des truffes Blanches, au sol fouillé de clairières bleues. Or, mes désirs s’en
6 (1916) Chant de l'horizon en Champagne « Chant de l’horizon en Champagne »
Et voici d’abord la cantilène du brancardier blessé              Le sol est blanc la nuit l’azure              Saigne la
7 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
amère et délicieuse comme ta vie De nombreux tapis usés couvraient le sol Tapis qui ont des plis qu’on ne défera pas Tapis
8 (1911) Cortège « Cortège »
lle au vol inverse, oiseau Qui nidifie en l’air, A la limite où notre sol brille déjà, Baisse ta deuxième paupière, la terr
9 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
ère et délicieuse comme la vie. De nombreux tapis noirs couvraient le sol , Tapis qui ont des plis qu’on ne défera pas, Tapi
10 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
s à des tours Nous allons plus haut maintenant et ne touchons plus le sol Et tandis que le monde vivait et variait Le cor
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