rnel, ô ma Saison mentale, Les mains des Amantes d’antan jonchent ton
sol
; Une Épouse me suit, c’est mon Ombre fatale, Les
elle, ô ma saison mentale, Les mains des amantes d’antan jonchent ton
sol
, Une épouse me suit, c’est mon ombre fatale, Les
suit Fantassins marchantes mottes de terre Vous êtes la puissance Du
sol
qui vous a faits Et c’est le sol qui va Lors que
s de terre Vous êtes la puissance Du sol qui vous a faits Et c’est le
sol
qui va Lors que vous avancer [botte] sacré
C’est complètement impossible Voici monsieur La bague en malachite Le
sol
est semé de sciure Alors c’est vrai La serveuse r
pins Ont égaré ma route et mes rêves poupins Souvent et j’ai dormi au
sol
des sapinières. Enfin, ô soir pâmé, au bout de
ains. Cité, j’ai ri de tes palais tels que des truffes Blanches, au
sol
fouillé de clairières bleues. Or, mes désirs s’en
amère et délicieuse comme ta vie De nombreux tapis usés couvraient le
sol
Tapis qui ont des plis qu’on ne défera pas Tapis
lle au vol inverse, oiseau Qui nidifie en l’air, A la limite où notre
sol
brille déjà, Baisse ta deuxième paupière, la terr
ère et délicieuse comme la vie. De nombreux tapis noirs couvraient le
sol
, Tapis qui ont des plis qu’on ne défera pas, Tapi
s à des tours Nous allons plus haut maintenant et ne touchons plus le
sol
Et tandis que le monde vivait et variait Le cor