t lorsque les sanglots Secouaient le monarque ainsi que la carène Qui tremble à l’horizon sur l’écume des flots La chanson de

Avenir Quand trembleront d’effroi les puissants. les ricombres, Quand en s

vieilles, Les nuages du ciel Sont comme les barbes de biques. L’air tremble de flammes et de prières Le cimetière est un be

attristaient ensemble Sur leurs tombeaux ce sont les mêmes fleurs qui tremblent Tu as raison elle est belle Mais je n’ai pas le d

attristaient ensemble Sur leurs tombeaux ce sont les mêmes fleurs qui tremblent Tu as raison elle est belle Mais je n’ai pas le

barcarols chantants, Sur un lac blanc et sous l’haleine Des vents qui tremblent au printemps Voguait, cygne mourant, sirène. Un

 » Le rossignol aveugle essaya de chanter Mais l’effraie ululant il trembla dans sa cage : « Ce cyprès là-bas a l’air du pape

egarda longtemps les rives qui moururent. Seuls, des bateaux d’enfant tremblaient à l’horizon. Un tout petit bouquet, flottant à l’

egarda longtemps les rives qui moururent. Seuls, des bateaux d’enfant tremblaient à l’horizon. Un tout petit bouquet, flottant à l’

t amour défendu, Je suis mariée. Voyez l’anneau qui brille, Mes mains tremblent , Je pleure et je voudrais mourir. Les barques é

nsemble ! Sur nous l’eau se refermera, Mais vous pleurez et vos mains tremblent , Aucun de nous ne reviendra. — On reprit terre et

t amour défendu. Je suis mariée. Voyez l’anneau qui brille, Mes mains tremblent , Je pleure et je voudrais mourir. Les barques é

nsemble ! Sur nous l’eau se refermera, Mais vous pleurez et vos mains tremblent , Aucun de nous ne reviendra. On reprit terre et

eaux les ailes éployées La parole est soudaine et c’est un dieu qui tremble Avance et soutiens-moi je regrette les mains De c