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1 (1914) Le son du Cor « Le son du Cor »
mme celui d’un tel que folie lèse N’exprime plus qu’injuste et très vaine fureur Je t’avais crue si blanche et tu es noir
2 (1910) Sonnet « Sonnet »
, L’humble rotondité sans sexe de la terre, La lune, chaque mois, si vaine de son cul, Et de tes yeux jaillit, même quand tu
3 (1910) Sonnet « Sonnet »
, L’humble rotondité sans sexe de la terre, La lune, chaque mois, si vaine de son cul, Et de tes yeux jaillit, même quand tu
4 (1913) Le Brasier - III « Le Brasier »
ours je suis assis dans un fauteuil. Ma tête, mes genoux, mes coudes, vain pentacle Les flammes ont poussé sur moi comme des
5 (1917) Dans l'abri caverne « Dans l’abri caverne »
sens Ni même par les mots Et mon goût de la beauté est-il donc aussi vain Existes-tu mon amour Où n’es-tu qu’une entité que
6 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
toi Colette et toi la belle Geneviève Elles ont passé tremblantes et vaines Et leurs pas légers et prestes se mouvaient selon
de regards langoureux des femmes O nuit toi ma douleur et mon attente vaine J’entends mourir le son d’une flûte lointaine G
7 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
jours je suis assis dans un fauteuil Ma tête, mes genoux, mes coudes, vain pentacle Les flammes ont poussé sur moi comme des
8 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
jours je suis assis dans un fauteuil Ma tête, mes genoux, mes coudes, vain pentacle. Les flammes ont poussé sur moi comme de
9 (1902) L'Ermite « L’Ermite »
mme des lobes. Des corbeaux éployés comme des tildes font Une ombre vaine aux pauvres champs de seigle mûr, Non loin des bo
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