mme celui d’un tel que folie lèse N’exprime plus qu’injuste et très
vaine
fureur Je t’avais crue si blanche et tu es noir
, L’humble rotondité sans sexe de la terre, La lune, chaque mois, si
vaine
de son cul, Et de tes yeux jaillit, même quand tu
, L’humble rotondité sans sexe de la terre, La lune, chaque mois, si
vaine
de son cul, Et de tes yeux jaillit, même quand tu
ours je suis assis dans un fauteuil. Ma tête, mes genoux, mes coudes,
vain
pentacle Les flammes ont poussé sur moi comme des
sens Ni même par les mots Et mon goût de la beauté est-il donc aussi
vain
Existes-tu mon amour Où n’es-tu qu’une entité que
toi Colette et toi la belle Geneviève Elles ont passé tremblantes et
vaines
Et leurs pas légers et prestes se mouvaient selon
de regards langoureux des femmes O nuit toi ma douleur et mon attente
vaine
J’entends mourir le son d’une flûte lointaine G
jours je suis assis dans un fauteuil Ma tête, mes genoux, mes coudes,
vain
pentacle Les flammes ont poussé sur moi comme des
jours je suis assis dans un fauteuil Ma tête, mes genoux, mes coudes,
vain
pentacle. Les flammes ont poussé sur moi comme de
mme des lobes. Des corbeaux éployés comme des tildes font Une ombre
vaine
aux pauvres champs de seigle mûr, Non loin des bo