Montparnasse (incipit : « O porte de l’hôtel avec deux plantes
vertes
») O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes
l avec deux plantes vertes ») O porte de l’hôtel avec deux plantes
vertes
Vertes qui jamais Ne porteront de fleurs Où sont
deux plantes vertes ») O porte de l’hôtel avec deux plantes vertes
Vertes
qui jamais Ne porteront de fleurs Où sont mes fru
Qui raconte avoir vu, sous la lune, sept femmes Tordre leurs cheveux
verts
et longs jusqu’à leurs pieds. Debout, chantez p
éter. La voix chante toujours, à en râle-mourir, Ces fées aux cheveux
verts
qui incantent l’été. Mon verre s’est brisé comm
Plongeon Pique une tête pour pêcher les perles du fleuve Dit
vert
, qui est bleu et jaunit qu’il neige ou pleuve D
Les Fenêtres Du rouge au
vert
tout le jaune se meurt Quand chantent les aras da
blanc de neige et de feux nocturnes fuit l’hiver O Paris Du rouge au
vert
tout le jaune se meurt Paris, Vancouver, Hyère, M
Les Fenêtres A Robert Delaunay Du rouge au
vert
tout le jaune se meurt Quand chantent les aras da
blanc de neige et de feux nocturnes fuit l’hiver O Paris Du rouge au
vert
tout le jaune se meurt Paris Vancouver Lyon Maint
Rolandseck A Rolandseck je rêvais sur la rive
verte
La nonne de Roland dans l’île Nonnenwerth Semblai
ce un beau masque prend l’air Comme si de l’amour — ce pendu jaune et
vert
— Je voulais que brûlât l’horrible main de gloire
t auprès du ciel de notre drapeau AMARO Le
vert
qui est la végétation ÉCOUTEZ
Agitant auprès du ciel de notre drapeau AMARO LE
VERT
QUI EST LA VÉGÉTATION
out de l’an des dieux Regarde la tête géante et immense la main
verte
L’argent sera vite remplacé par tout notre or M
x si lumineuses Je vis nos yeux diamants enfermer le reflet du ciel
vert
et J’entendis sa voix qui dorait les forêts tan
a Synagogue Ottomar Scholem et Abraham Loeweren Coiffés de feutres
verts
, le matin du sabbat Vont à la synagogue en longea
ux ternes gueule de petit chat et pattes de chat * * * Une souris
verte
file parmi la mousse * * * Notre amour est un
vant l’antipapesse, un nain. La quatrième, Malourène, Est un fleuve
vert
et doré ; C’est le soir quand les riveraines Y ba
ture m’a rappelé le jour Un jour fait de morceaux mauves jaunes bleus
verts
et rouges Où je m’en allais à la campagne avec un
rts que chaque nuit colorent les fanaux, Je me souviens de vous, eaux
vertes
des canaux Où glissent lentement les pensives bél
ture m’a rappelé le jour Un jour fait de morceaux mauves jaunes bleus
verts
et rouges Où je m’en allais à la campagne avec un
’un iris bleu, d’un iris jaune. Tu foules les dieux sous tes pas Au
vert
bâton que tu coupas Un dieu meurt — tu ne le sais
ourir et puis renaître l’univers. Une vieille, sur une mule à chape
verte
, S’en vînt, suivant la berge du fleuve, en aval,
, de destinées et de fleurs, De monuments tremblants, et de charognes
vertes
, Quand les vents apportaient des joies et des mal
de Paris, ivres du gin Flambant de l’électricité. Les tramways, feux
verts
sur l’échine, Musiquent, au long des portées De r
e aussi Je suis seul sur le chant de bataille Tranchée blanche bois
vert
et roux L’obus miaule Je te tuerai
e entièrement couleur de la poussière Et où quelques taches jaunes ou
vertes
ont persisté Comme un air de musique qui vous pou
e entièrement couleur de la poussière Et où quelques taches jaunes ou
vertes
ont persisté Comme un air de musique qui vous pou
n désespoir sévère. La nuit, les bois sont noirs et se meurt l’espoir
vert
Quand meurt le jour avec un râle inattendu. Et
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