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1 (1917) Bleuet « Bleuet »
la mort en face plus de cent fois tu ne sais pas ce que c’est que la vie [à gauche] Transmets ton intrépidité A ceux qui v
                 De joie                             Tu as absorbé la vie de ceux qui sont morts près de toi               
                                  car tu connais mieux la mort que la vie                                                  
2 (1915) Fagues [Fagnes] « Fagues [Fagnes] »
et les airelles Savamment mariées            Nord            Nord La vie s’y tord En arbres forts            Et tors La vi
           Nord La vie s’y tord En arbres forts            Et tors La vie y mord            La mort A belles dents Quand br
3 (1917) Fagnes de Wallonie « Fagnes de Wallonie »
s Tendrement mariée                    Nord                   Nord La vie s’y tord En arbres forts                Et tors L
       Nord La vie s’y tord En arbres forts                Et tors La vie y mord              La mort A belles dents Quand
4 (1913) Le Brasier - II « Le Brasier »
des cygnes Qui étaient immortels et n’étaient pas chanteurs. Voici ma vie renouvelée, De grands vaisseaux passent et repass
mpe une fois encore mes mains dans l’Océan. Voici le paquebot et ma vie renouvelée Ses flammes sont immenses. Il n’y a pl
5 (1913) Rencontre « Rencontre »
Rencontre Passant mêle à ta vie l’orgueil et la bonté Surmonte l’ennemi et bois à
6 (1917) [Calligramme (maison)] « [Calligramme (maison)] »
du à retrouver le moyen de se rattacher au grand art pour absorber la vie et la tuer définitivement
7 (1909) Le Départ « Le Départ ») »
enoncé A n’être qu’une amante aime la chaste Gloire ; Le surnom de sa Vie sera le Désespoir Et le rire de tous l’écho de sa
e sera le Désespoir Et le rire de tous l’écho de sa Pensée. O douce Vie , ô doux Amour que je rebute Tendresse du Printemp
8 (1901) Ville et cœur « Ville et cœur »
a ville et du cœur : de la ville imprenable Et de mon cœur surpris de vie , énormément. Wilhelm Kostrowitzky.
9 (1916) Tristesse d'une étoile « Il pleut »
souvenir c’est vous aussi qu’il pleur merveilleuses rencontres de ma vie ô gouttelettes et ces nuages cabrés se prennent à
10 (1912) Rosemonde « Rosemonde »
nul ne vit Comment mes baisers retrouvèrent Celle à qui j’ai donné ma vie Un jour pendant plus de deux heures. Je la surn
11 (1917) [Calligramme (lunettes)] « [Calligramme (lunettes)] »
es)] [lunettes] il a contemplé les foules et il en a exprimé la vie par le moyen de quelques ombres humaines il n’att
12 (1902) La Tzigane « La Tzigane »
La Tzigane La tzigane savait d’avance Nos deux vies barrées par les nuits. Nous lui dîmes adieu et pu
13 (1912) La Tsigane « La Tsigane »
La Tsigane La Tsigane savait d’avance Nos deux vies barrées par les nuits. Nous lui dîmes adieu, et p
14 (1917) L'Horloge de demain « L’Horloge de demain »
r et le malheur marchent de compagnie/ Ecoutez-moi bien il y va de la vie et tant de nouvelles Ecoutez-moi tous
15 (1917) Toujours « Toujours »
                                          Perdre                  La vie pour trouver la Victoire Mai 1915
16 (1914) La Cravate et la montre « La Cravate et la montre »
ir] comme l’on s’amuse bien [bord droit de la montre] la beauté de la vie passe la douleur de mourir [heures] Mon cœur les
17 (1917) Dans l'abri caverne « Dans l’abri caverne »
l et qui viennent de je ne sais où Oui je crois qu’ils viennent de la vie d’une sorte de vie qui est dans l’avenir dans l’a
e je ne sais où Oui je crois qu’ils viennent de la vie d’une sorte de vie qui est dans l’avenir dans l’avenir brut qu’on n’
18 (1902) Les Colchiques « Les Colchiques »
cette fleur-là, Violâtres comme leur cerne et comme cet automne Et ma vie pour tes yeux lentement s’empoisonne. Les enfan
19 (1907) Le Pyrée « Le Pyrée »
es cygnes Qui étaient immortels et n’étaient pas chanteurs Voici ma vie renouvelée De grands vaisseaux passent et repasse
empe une fois encore mes mains dans l’Océan Voici le paquebot et ma vie renouvelée Ses flammes sont immenses. Il n’y a pl
egagne la sphingerie A petits pas. Il orra le chant du pâtre toute la vie , Là haut, le théâtre est bâti avec le feu solide
20 (1912) Les Colchiques « Les Colchiques »
ette fleur-là, Violâtres comme leur cerne et comme cet automne, Et ma vie pour tes yeux lentement s’empoisonne. Les enfants
21 (1912) Le Brasier « Le Brasier »
cygnes Qui étaient immortels et n’étaient pas chanteurs ! Voici ma vie renouvelée, De grands vaisseaux passent et repass
empe une fois encore mes mains dans l’Océan, Voici le paquebot et ma vie renouvelée, Ses flammes sont immenses. Il n’y a p
ne la sphingerie A petits pas. Il écoulera le chant du pâtre toute la vie , Là haut, le théâtre est bâti avec le feu solide
22 (1903) Avenir « Avenir »
es gibets les mandragores Sans songer aux blessés, sans regretter les vies . Il y aura du sang et sur les rouges mares Penc
ndre et la fraîcheur des ondes, Le bonheur des enfants et l’éternelle vie . Mais nous ne dirons plus ni le mythe des veuve
23 (1917) Chant d'amour « Chant d’amour »
terrible amour            des peuples Les vagues de la mer où naît la vie et la beauté Il y a là le chant de tout l’amour d
24 (1912) Per te præsentit aruspex « Per te præsentit aruspex »
après mon départ, Tu transmettes mon nom aux hommes en retard Toi, la vie et l’amour, ma gloire et mon emblème ; Et je su
25 (1912) Immortalité « Immortalité »
après mon départ Tu transmettes mon nom aux hommes en retard, Toi, la vie et l’amour, ma gloire et mon emblème ; Et je sui
26 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
ose Des vents, mais sans épine n’a fleuri l’hiver. Merlin guettait la vie et l’éternelle cause Qui fait mourir et puis rena
, Criant : « Depuis cent ans j’espérais ton appel. « Les astres de ta vie influaient sur ma danse ; « Morgane regardait du
fants-dieux qui vont mourir. « Et j’ai vieilli, vois-tu, pendant ta vie , je danse, « Mais, j’eusse été tôt lasse et l’aub
27 (1912) Le pont Mirabeau « Le Pont Mirabeau »
L’amour s’en va comme cette eau courante, L’amour s’en va ; comme la vie est lente Et comme l’Espérance est violente !  
28 (1913) Ispahan « Ispahan »
eur des roses de ses jardins J’ai parfumé mon âme A la rose Pour ma vie entière Ispahan grise et aux faïences bleues Co
29 (1917) Sanglots « Sanglots »
tous les hommes                         Voici voici nos mains que la vie fit esclaves Est mort d’amour ou c’est tout comme
30 (1914) Mille regrets « Mille regrets »
ts Des châtrés enrhumés en métal ces ténors Qui n’ont jamais connu la vie ce féminin La noce de la ville en face à l’autr
31 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « La Nuit d’Avril 1915 »
s Que les dieux de mes yeux remplissent en silence Nous nous aimons ô Vie et nous nous agaçons * *   * Les obus miaulaien
32 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
Le Voyageur Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant ! La vie est variable aussi bien que l’Euripe. Tu regard
s en tresse. Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant ! La vie est variable aussi bien que l’Euripe.
33 (1913) Le Brasier - III « Le Brasier »
egagne la sphingerie A petits pas. Il orra le chant du pâtre toute la vie . Là-haut, le théâtre est bâti avec le feu solide
34 (1915) Le Repas « Le Repas »
  Terminent le repas              Tous se lèvent joyeux et adorent la vie              Sans dégoût de ce qui est matériel S
35 (1916) La Nuit d'Avril 1915 « Nuit d’avril : 1915 »
ta romance [étoiles]                       Nous vous aimons,        ô vie et nous vous agaçons [trait] Les obus miaulaien
36 (1913) Dans le jardin d’Anna « Dans le jardin d’Anna »
emand J’aurais écrit des vers pleins de mythologie Sur vos seins la vie champêtre et sur les dames Des alentours J’aura
37 (1911) Poème lu au mariage d’André Salmon « Poème lu au mariage d’André Salmon »
s tous ; Ni même : on a pendu ceux qui ne savaient pas profiter de la vie  ; Ni même : on renouvelle le monde en reprenant l
ux fenêtres des citoyens qui sont contents depuis cent ans d’avoir la vie et de menues choses à défendre, Ni : parce que fo
38 (1917) La Victoire « La Victoire »
e pour toi Ces chemins de fer qui circulent Sortiront bientôt de la vie Ils seront beaux et ridicules Deux lampes brûle
voix fidèle comme l’ombre              Veut être enfin l’ombre de la vie Veut être ô mer vivante infidèle comme toi La m
39 (1915) A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») « A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») »
A l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie  ») L’amour a remué ma vie comme on remue la te
l’Italie (incipit : « L’amour a remué ma vie ») L’amour a remué ma vie comme on remue la terre dans la zône des armées J
lus de finesse que les choses qu’ils emploient Elle est au delà de la vie confortable Et de ce qui est l’extérieur dans l’a
40 (1912) Zône « Zône »
nfer ton rire pétille Les étincelles de ton rire dorent le fond de ta vie C’est un tableau pendu dans un sombre musée Et qu
l’horloge du quartier juif vont à rebours Et tu recules aussi dans ta vie lentement En montant au Hradchin et le soir en éc
e la fausse ou Léa l’attentive Et tu bois cet alcool brûlant comme ta vie Ta vie que tu bois comme une eau-de-vie Tu marc
usse ou Léa l’attentive Et tu bois cet alcool brûlant comme ta vie Ta vie que tu bois comme une eau-de-vie Tu marches ver
41 (1913) Zône « Zône »
nfer ton rire pétille Les étincelles de ton rire dorent le fond de ta vie C’est un tableau pendu dans un sombre musée Et qu
l’horloge du quartier juif vont à rebours Et tu recules aussi dans ta vie lentement En montant au Hradchin et le soir en éc
e la fausse ou Léa l’attentive Et tu bois cet alcool brûlant comme ta vie Ta vie que tu bois comme une eau-de-vie Tu marc
usse ou Léa l’attentive Et tu bois cet alcool brûlant comme ta vie Ta vie que tu bois comme une eau-de-vie Tu marches ver
42 (1909) Le jour des morts « Le jour des morts »
t vous, conseillers de régence, Vous aussi, tsiganes sans papiers, La vie vous pourrit dans la panse, La croix nous pousse
43 (1917) [Page 1] « [Page 1] »
cturaux de Léopold Survage. Les efforts qu’il a faits pour donner une vie à la nuance pure l’ont mis à même d’aborder la pe
44 (1909) L'Obituaire « L’Obituaire »
de leur ombre et l’observaient Comme si véritablement C’eût été leur vie passée. Alors, je les dénombrai. Ils étaient qu
faut. Votre volonté sera la mienne. — — Je vous attendrai Toute votre vie … Répondait la morte. Des enfants De ce monde ou b
e la mémoire A se confondre avec le souvenir. On est fortifié pour la vie Et l’on n’a plus besoin de personne. GUILLAUME
45 (1912) La Maison des morts « La Maison des Morts »
de leur ombre et l’observaient Comme si véritablement C’eût été leur vie passée. Alors, je les dénombrai. Ils étaient qu
e faut. Votre volonté sera la mienne. ‒ Je vous attendrai Toute votre vie … Répondait la morte. Des enfants De ce monde ou b
e la mémoire A se confondre avec le souvenir. On est fortifié pour la vie Et l’on n’a plus besoin de personne.
46 (1918) La Jolie Rousse « La Jolie Rousse »
usse Me voici devant tous un homme plein de sens Connaissant de la vie et de la mort ce qu’un vivant peut connaître Ayan
47 (1901) Les Femmes « Les Femmes »
en rond tous les sapins. « Lotte, l’amour rend triste. » — « Ilse, la vie est douce. » La nuit tombait. Les vignobles aux
48 (1909) [« Un soir de demi-brume, à Londres »] « [« Un soir de demi-brume, à Londres »] »
chauffer un cœur plus glacé Que les quarante de Sébaste Moins que ma vie , martyrisés… Mon beau navire, ô ma mémoire, Avo
49 (1917) Merveille de la guerre « Merveille de la guerre »
atif comme les lettres d’un livre Pourtant c’est aussi beau que si la vie même sortait des mourants Mais ce serait plus bea
50 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
leuve figé Doigts roulants une cigarette amère et délicieuse comme ta vie De nombreux tapis usés couvraient le sol Tapis qu
51 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
mystère courtois de la galanterie Ce mystère fatal fatal d’une autre vie Double raison qui est au delà de la beauté Et que
x d’Afrique O raisins et ces yeux ternes et en famille L’avenir et la vie dans ces treilles s’ennuyent Mais où est le reg
52 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
uve figé, Doigts roulant une cigarette amère et délicieuse comme la vie . De nombreux tapis noirs couvraient le sol, Tapis
53 (1914) Le Musicien de Saint-Merry « Le Musicien de Saint-Merry »
regretter ce qu’elles ont laissé abandonné Sans regretter le jour la vie et la mémoire Il ne resta bientôt plus personne d
54 (1903) Le Larron « Le Larron »
, tu vins, sage et voleur. * *    * Ceux de ta secte adorent-ils la vie obscène : Belphégor, le soleil, le silence ou le
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