lettre, autour d’une croix] Bonjour mon poète Je me souviens de votre
voix
de votre voix Votre petite Fée Photographie tan
d’une croix] Bonjour mon poète Je me souviens de votre voix de votre
voix
Votre petite Fée Photographie tant attendue [
lettre, autour d’une croix] Bonjour mon poète Je me souviens de votre
voix
de votre voix Votre petite Fée Photographie tan
d’une croix] Bonjour mon poète Je me souviens de votre voix de votre
voix
Votre petite Fée Photographie tant attendue [
lacs nègres ») II Bouche ouverte sur une harmonium C’était une
voix
faite d’yeux Tandis qu’il traîne de petites gens
lignes nègres ») II Bouche ouverte sur un harmonium C’était une
voix
faite d’yeux Tandis qu’il est de petites gens
ouvoir insigne Et la noblesse de la ligne : Elle est la
voix
que la lumière fit entendre Et dont parle Hermès
jailli de ma fable Plus de femme stérile et non plus d’avortons Votre
voix
a changé l’avenir de la France Et les ventres par
en chantant sourira à Abraham. Ils déchanteront sans mesure et les
voix
graves des hommes Feront gémir un Léviathan au fo
graves des hommes Feront gémir un Léviathan au fond du Rhin comme une
voix
d’automne Et dans la synagogue pleine de chapeaux
Il pleut Il pleut des
voix
de femmes comme si elles étaient mortes même dans
Ta langue Le poisson rouge dans le bocal De ta
voix
Mais ce regret A peine une infirmière plus blanch
se mirent. Tout l’or des nuits tombe, en tremblant, s’y refléter. La
voix
chante toujours, à en râle-mourir, Ces fées aux c
, industrie, agriculture, métal, feu, cristal, vitesse,
voix
, regard, .. et plus encore au delà de cette terre
O menteuse forêt qui surgis à ma
voix
’un marchand de coco d’autrefois J’entends déjà le son aigre de cette
voix
à venir Du camarade qui se promènera avec toi en
ois Tous les dieux terrestres vieillissent L’univers se plaint par ta
voix
Et des êtres nouveaux surgissent Trois par trois
d’un marchand de coco autrefois J’entends déjà le son aigre de cette
voix
à venir Du camarade qui se promènera avec toi en
ois Tous les dieux terrestres vieillissent L’univers se plaint par ta
voix
Et des êtres nouveaux surgissent Trois par trois
d’un marchant de coco Autrefois J’entends déjà le son aigre de cette
voix
à venir Du camarade qui se promène avec toi en Eu
is Tous les dieux terrestres vieillissent L’Univers se plaint part ta
voix
Et des êtres nouveaux surgissent Trois par trois
fruits Possesseurs de fruits mûrs que dirai-je aux insultes Ouïr ta
voix
ligure en nénie ô maman Puisqu’ils n’eurent enfin
solaire et nocturne dans les nues Assieds-toi là pour mieux ouïr les
voix
ligures Au son des cinyres des Lydiennes nues O
le ou le taureau Ah Ah nous secouerons toute la nuit les sistres La
voix
ligure était-ce donc un talisman Et si tu n’es pa
récits Il brillait et attirait comme la pantaure Que n’avait-il la
voix
et les jupes d’Orphée Et les femmes la nuit feign
et Il était pâle il était beau comme un roi ladre Que n’avait-il la
voix
et les jupes d’Orphée La pierre prise au foie d’u
— « Possesseurs de fruits mûrs, que dirai-je aux insultes ? Ouir ta
voix
ligure en nénie, ô maman ! Puisqu’ils n’eurent en
ire et nocturne dans les nues : « Assieds-toi là, pour mieux ouïr les
voix
ligures Au son des cinyres des Lydiennes nues. »
reau. » — « Ah ! Ah ! nous secouerons toute la nuit les sistres, La
voix
ligure était-ce donc un talisman. Et si tu n’es p
écits. Il brillait et attirait comme la pantaure. Que n’avait-il la
voix
et les jupes d’Orphée Et les femmes, la nuit, fei
Il était pâle, il était beau comme un roi ladre. Que n’avait-il la
voix
et les jupes d’Orphée, La pierre prise au foie d’
ut notre or Morte pendue à l’hameçon… c’est la danse bleue L’humide
voix
des acrobates des maisons Grimace parmi les ass
nos yeux diamants enfermer le reflet du ciel vert et J’entendis sa
voix
qui dorait les forêts tandis que vous pleuriez
n Un phonographe énamouré pour dix pfenings Chanta l’amour à quatre
voix
de chanteurs morts Des châtrés enrhumés en métal
ong des quais déserts et sombres En rentrant à Auteuil j’entendis une
voix
Qui chantait gravement se taisant quelquefois Pou
Pour que parvînt aussi sur les bords de la Seine La plainte d’autres
voix
limpides et lointaines Et j’écoutai longtemps tou
là Il ne tournera plus sur l’écueil de Scylla Où chantaient les trois
voix
suaves et sereines Le détroit tout-à-coup avait c
Errer au site où l’hydre a sifflé et hiver Et j’entendis soudain ta
voix
impérieuse O Rome Maudire d’un seul coup mes anci
uais plus leurs paroles lointaines Et Trèves la ville ancienne A leur
voix
mêlait la sienne L’univers tout entier concentré
e. O Flandres, je revois Vos chefs-d’œuvre debout, et d’eux monte une
voix
Qui dit : Nous renaîtrons, nous les pierres brisé
eau navire S’est en allé Les tessons de ta
voix
que l’amour a brisée Nègres mélodieux Et je t’ava
n beau navire S’est en allé Les tessons de ta
voix
que l’amour a brisée Nègres mélodieux Et je t’ava
tole Pour la fête du curé. » La forêt là-bas Grâce au vent chantait à
voix
grave de grand orgue. Le songe, Herr Traum survin
e d’un jour d’avril. J’ai chanté ma joie bien-aimée, Chanté l’amour à
voix
virile Au moment d’amour de l’année :
coupe en 2 J’étais au bord du Rhin quand tu partis pour le Mexique Ta
voix
me parvient malgré l’énorme distance Gens de mauv
l’avenir En tournant machinalement un orgue de Barbarie Dont la lente
voix
se lamentait merveilleusement Les glouglous les c
tez la mer La mer peiner au loin et crier toute seule Ma
voix
fidèle comme l’ombre Veut être enfin
l’avenir En tournant machinalement un orgue de Barbarie Dont la lente
voix
se lamentait merveilleusement, Les glouglous, les
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