/ 29
1 (1915) Madeleine « Madeleine »
lettre, autour d’une croix] Bonjour mon poète Je me souviens de votre voix de votre voix Votre petite Fée   Photographie tan
d’une croix] Bonjour mon poète Je me souviens de votre voix de votre voix Votre petite Fée   Photographie tant attendue   [
2 (1915) Madeleine « Madeleine »
lettre, autour d’une croix] Bonjour mon poète Je me souviens de votre voix de votre voix Votre petite Fée   Photographie tan
d’une croix] Bonjour mon poète Je me souviens de votre voix de votre voix Votre petite Fée   Photographie tant attendue   [
3 (1916) Poème (incipit : « Deux lacs nègres ») - section II
lacs nègres ») II Bouche ouverte sur une harmonium C’était une voix faite d’yeux Tandis qu’il traîne de petites gens
4 (1916) Poème (incipit : « Deux lignes nègres ») - section II
lignes nègres ») II Bouche ouverte sur un harmonium C’était une voix faite d’yeux Tandis qu’il est de petites gens
5 (1908) La Marchande (incipit : « Admirez le pouvoir insigne ») « La Marchande (incipit : « Admirez le pouvoir insigne ») »
ouvoir insigne               Et la noblesse de la ligne : Elle est la voix que la lumière fit entendre Et dont parle Hermès
6 (1917) à Louise Marion « à Louise Marion »
jailli de ma fable Plus de femme stérile et non plus d’avortons Votre voix a changé l’avenir de la France Et les ventres par
7 (1904) La Synagogue « La Synagogue »
en chantant sourira à Abraham. Ils déchanteront sans mesure et les voix graves des hommes Feront gémir un Léviathan au fo
graves des hommes Feront gémir un Léviathan au fond du Rhin comme une voix d’automne Et dans la synagogue pleine de chapeaux
8 (1916) Tristesse d'une étoile « Il pleut »
Il pleut Il pleut des voix de femmes comme si elles étaient mortes même dans
9 (1917) Fusée-signal « Fusée-signal »
          Ta langue Le poisson rouge dans le bocal              De ta voix Mais ce regret A peine une infirmière plus blanch
10 (1912) Nuit rhénane « Nuit rhénane »
se mirent. Tout l’or des nuits tombe, en tremblant, s’y refléter. La voix chante toujours, à en râle-mourir, Ces fées aux c
11 (1916) Guerre « Guerre »
,        industrie, agriculture, métal,        feu, cristal, vitesse, voix , regard, .. et plus encore au delà de cette terre
12 (1917) Allons plus vite « Allons plus vite »
                                     O menteuse forêt qui surgis à ma voix                                                  
13 (1913) Arbre « Arbre »
’un marchand de coco d’autrefois J’entends déjà le son aigre de cette voix à venir Du camarade qui se promènera avec toi en
ois Tous les dieux terrestres vieillissent L’univers se plaint par ta voix Et des êtres nouveaux surgissent Trois par trois
14 (1916) Arbre « Arbre »
d’un marchand de coco autrefois J’entends déjà le son aigre de cette voix à venir Du camarade qui se promènera avec toi en
ois Tous les dieux terrestres vieillissent L’univers se plaint par ta voix Et des êtres nouveaux surgissent Trois par trois
15 (1917) Arbre « Arbre »
d’un marchant de coco Autrefois J’entends déjà le son aigre de cette voix à venir Du camarade qui se promène avec toi en Eu
is Tous les dieux terrestres vieillissent L’Univers se plaint part ta voix Et des êtres nouveaux surgissent Trois par trois
16 (1911) Le Larron « Le Larron »
fruits Possesseurs de fruits mûrs que dirai-je aux insultes Ouïr ta voix ligure en nénie ô maman Puisqu’ils n’eurent enfin
solaire et nocturne dans les nues Assieds-toi là pour mieux ouïr les voix ligures Au son des cinyres des Lydiennes nues O
le ou le taureau Ah Ah nous secouerons toute la nuit les sistres La voix ligure était-ce donc un talisman Et si tu n’es pa
récits Il brillait et attirait comme la pantaure Que n’avait-il la voix et les jupes d’Orphée Et les femmes la nuit feign
et Il était pâle il était beau comme un roi ladre Que n’avait-il la voix et les jupes d’Orphée La pierre prise au foie d’u
17 (1903) Le Larron « Le Larron »
— « Possesseurs de fruits mûrs, que dirai-je aux insultes ? Ouir ta voix ligure en nénie, ô maman ! Puisqu’ils n’eurent en
ire et nocturne dans les nues : « Assieds-toi là, pour mieux ouïr les voix ligures Au son des cinyres des Lydiennes nues. »
reau. » — « Ah ! Ah ! nous secouerons toute la nuit les sistres, La voix ligure était-ce donc un talisman. Et si tu n’es p
écits. Il brillait et attirait comme la pantaure. Que n’avait-il la voix et les jupes d’Orphée Et les femmes, la nuit, fei
Il était pâle, il était beau comme un roi ladre. Que n’avait-il la voix et les jupes d’Orphée, La pierre prise au foie d’
18 (1917) Pablo Picasso « Pablo Picasso »
ut notre or Morte pendue à l’hameçon… c’est   la danse bleue L’humide voix des acrobates   des maisons Grimace parmi les ass
nos yeux   diamants enfermer le reflet du ciel vert et J’entendis sa voix   qui dorait les forêts tandis que vous pleuriez
19 (1914) Mille regrets « Mille regrets »
n Un phonographe énamouré pour dix pfenings Chanta l’amour à quatre voix de chanteurs morts Des châtrés enrhumés en métal
20 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
ong des quais déserts et sombres En rentrant à Auteuil j’entendis une voix Qui chantait gravement se taisant quelquefois Pou
Pour que parvînt aussi sur les bords de la Seine La plainte d’autres voix limpides et lointaines Et j’écoutai longtemps tou
là Il ne tournera plus sur l’écueil de Scylla Où chantaient les trois voix suaves et sereines Le détroit tout-à-coup avait c
Errer au site où l’hydre a sifflé et hiver Et j’entendis soudain ta voix impérieuse O Rome Maudire d’un seul coup mes anci
uais plus leurs paroles lointaines Et Trèves la ville ancienne A leur voix mêlait la sienne L’univers tout entier concentré
21 (1918) Souvenir des Flandres « Souvenir des Flandres »
e. O Flandres, je revois Vos chefs-d’œuvre debout, et d’eux monte une voix Qui dit : Nous renaîtrons, nous les pierres brisé
22 (1914) Souvenir du Douanier « Souvenir du Douanier »
eau navire                          S’est en allé Les tessons de ta voix que l’amour a brisée Nègres mélodieux Et je t’ava
23 (1914) Le los du Douanier « Le los du Douanier »
n beau navire                       S’est en allé Les tessons de ta voix que l’amour a brisée Nègres mélodieux Et je t’ava
24 (1901) Les Femmes « Les Femmes »
tole Pour la fête du curé. » La forêt là-bas Grâce au vent chantait à voix grave de grand orgue. Le songe, Herr Traum survin
25 (1909) [« Un soir de demi-brume, à Londres »] « [« Un soir de demi-brume, à Londres »] »
e d’un jour d’avril. J’ai chanté ma joie bien-aimée, Chanté l’amour à voix virile Au moment d’amour de l’année :
26 (1914) Lettre-Océan « Lettre-Océan »
coupe en 2 J’étais au bord du Rhin quand tu partis pour le Mexique Ta voix me parvient malgré l’énorme distance Gens de mauv
27 (1914) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
l’avenir En tournant machinalement un orgue de Barbarie Dont la lente voix se lamentait merveilleusement Les glouglous les c
28 (1917) La Victoire « La Victoire »
tez la mer La mer peiner au loin et crier toute seule              Ma voix fidèle comme l’ombre              Veut être enfin
29 (1913) Un fantôme de nuées « Un fantôme de nuées »
l’avenir En tournant machinalement un orgue de Barbarie Dont la lente voix se lamentait merveilleusement, Les glouglous, les
/ 29