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1 (1911) Stances (Signe de l’Automne) « Stances (Signe de l’Automne) »
je donne, Tel un noyer gaulé dit au vent ses douleurs. Mon Automne éternel , ô ma Saison mentale, Les mains des Amantes d’ant
2 (1912) Le Signe de l'Automne « Le Signe de l’Automne »
je donne, Tel un noyer gaulé dit au vent ses douleurs. Mon Automne éternelle , ô ma saison mentale, Les mains des amantes d’ant
3 (1909) Enfance « Enfance »
Et mon jardin, un monde où je vivais exprès Pour y filer un jour les éternels cyprès. Louise Lalanne.
4 (1915) Venu de Dieuze « Venu de Dieuze »
u ralliement Halte là [ficelle]  Le mot Claire-Ville-Neuve en cristal Eternel [portée] forte s’allantanado                 Ah !
5 (1915) Venu de Dieuze « Venu de Dieuze »
ralliement Halte là [ficelle]   Le mot Claire-Ville-Neuve en cristal Eternel [portée] forte s’allantanado                 Ah !
6 (1918) A Luigi Amaro « À Luigi Amaro »
      et l’ennemi lui-même               Amaro écoutez Le fracas éternel de nos artilleries Erige un monument de rumeurs
7 (1912) Le pont Mirabeau « Le Pont Mirabeau »
ns, restons face à face Tandis que sous le pont de nos bras passe Des éternels regards l’onde si lasse.                Vienne
8 (1917) à Luigi Amaro « A Luigi Amaro »
                                   Amaro écoutez           Le fracas éternel de nos artilleries                     Erige un t
9 (1918) Souvenir des Flandres « Souvenir des Flandres »
s, nous joyaux, et nous L’AGNEAU MYSTIQUE Nous Châsse de Memlinc, cet éternel cantique, Et nous ces fins d’été qui saignent dan
10 (1903) Avenir « Avenir »
qui va poindre et la fraîcheur des ondes, Le bonheur des enfants et l’ éternelle vie. Mais nous ne dirons plus ni le mythe des v
11 (1912) Le Voyageur « Le Voyageur »
déclin de l’été, Un oiseau langoureux et toujours irrité Et le bruit éternel d’un fleuve large et sombre Mais tandis que, mo
12 (1916) Chant de l'horizon en Champagne « Chant de l’horizon en Champagne »
             Mais quel fou rire sous le masque              Blancheur éternelle d’ici              Où la colombe porte un casque
13 (1912) Merlin et la vieille femme « Merlin et la vieille femme »
ents, mais sans épine n’a fleuri l’hiver. Merlin guettait la vie et l’ éternelle cause Qui fait mourir et puis renaître l’univers.
14 (1912) Vendémiaire « Vendémiaire »
ne foule de rois ennemis et cruels Ayant soif comme toi dans la vigne éternelle Sortiront de la terre et viendront dans les airs
belles journées sommeils terribles Végétation accouplements musiques éternelles Mouvements adorations douleur divine Mondes qui v
15 (1912) Zône « Zône »
chette Vous priez toute la nuit dans la chapelle du collège Et dans l’ éternelle et adorable profondeur améthyste Tourne à jamais
16 (1913) Zône « Zône »
chette Vous priez toute la nuit dans la chapelle du collège Et dans l’ éternelle et adorable profondeur améthyste Tourne à jamais
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