st donc essentiellement un problème de causalité. De plus, comme il s’
agit
de savoir si et comment je suis cause, moi, de me
e sera l’explication par certaines raisons d’ordre supérieur, qu’il s’
agira
de déterminer. La première définition, outre qu’e
stituer la liberté véritable, il faut que ce soit la lumière même qui
agisse
, il faut que ce soit le moi conscient et réfléchi
formons ainsi l’idée de volonté indépendante. Comme il nous arrive d’
agir
indépendamment des motifs conscients et de tous l
ant, je suis donc inexplicable à moi-même. Il en résulte que, quand j’
agis
sous l’influence de telles pensées, il reste touj
ant que notre nature fournit. Nous exprimons ce fait en disant : j’ai
agi
de telle manière, d’abord pour telle raison, puis
pour nous déterminé, à plus forte raison en est-il de même quand il s’
agit
de l’avenir. De plus, parmi les causes ou conditi
absolument indéterminé à toute volonté, pour que la volonté même pût
agir
. C’est là une exagération. Il est seulement néces
’avenir, d’être déterminée du côté du passé. Aucun de nous ne prétend
agir
sur le cours des astres, parce que ce cours nous
tous les termes du problème en équation. De là résulte le sentiment d’
agir
par soi combiné avec l’impossibilité de donner un
té, à savoir l’idée même de l’indépendance du moi, sous laquelle nous
agissons
toujours. Comme cette idée détermine une indépend
où elle est le moins à sa place. La volonté, dans cette hypothèse, n’
agit
pas sans motifs présents, ni contre les motifs pr
t réelle alors même que l’indétermination ne le serait pas, peut-elle
agir
sur le déterminisme même et conformément aux lois
ts extérieurs, et même aux objets intérieurs ou motifs particuliers d’
agir
. Jusqu’à quel point, pour la science psychologiqu
séparées. Et il en est ainsi dans toute passion. Chaque fois que nous
agissons
en vertu d’une passion quelconque, il s’accomplit
oit passive et ne saurait avoir un sentiment de liberté. Lorsque nous
agissons
, au contraire, sous l’influence d’idées, et surto
mbole ; mais la part de la raison est dominante, et nous pouvons même
agir
sous le sentiment de la rationalité, par amour de
se des différents termes, des motifs et de l’acte. Si nous pouvions n’
agir
qu’en vertu de motifs tous parfaitement éclairés,
pour être libre. Nous allons voir que le seul moyen, c’est que le moi
agisse
sous l’idée de sa causalité même, de sa liberté,
ent dominante, car elle partage la conscience. Si cette idée nouvelle
agit
dans le même sens que l’idée précédente, les deux
que j’amènerai 100 au dynamomètre pour obtenir ce chiffre. Mais il s’
agit
là d’une puissance physique subordonnée à des con
volonté est intérieur ; bien plus, quand il est la volonté même. Il s’
agit
alors d’une puissance sur soi, d’une sorte de réf
oduire des accroissements successifs d’énergie interne. Au fond, il s’
agit
de développer en nous une puissance consciente et
s objet ; mais, d’autre part, il n’est pas vrai que l’idée de l’objet
agisse
seule, par son degré de désirabilité intrinsèque,
par conséquent d’une façon relative. Etre indépendant, c’est pouvoir
agir
et vouloir dans telles circonstances, sans que l’
être affranchis de toute espèce de causes et de raisons ? Comme il s’
agit
alors d’une impossibilité, il est certain que l’i
impossibilité ne la rendra pas possible. Toutefois je pourrai encore
agir
sous cette idée et produire certains effets qui a
ément l’idée de la négation d’un rapport : comment donc pourrait-elle
agir
et surtout se réaliser ? — Certes répondrons-nous
ion, si elle était absolument seule et à l’état d’abstraction pure, n’
agirait
point. On ne peut pas vouloir à vide ; on ne peut
er et concret qu’elle ne veut pas pour lui seul, mais pour elle. Elle
agit
alors sous une certaine idée d’indépendance et en
entièrement dans l’objet, mais se pose au contraire en face de lui et
agit
sous l’idée de son activité personnelle. Plénitud
t alors la conscience claire de mon vrai moi qui détermine ce moi : j’
agis
sous l’idée de moi-même et de ma causalité propre
se, dont se servent ces messieurs, est bonne à la verité, lorsqu’il s’
agit
de trouver les causes qui font qu’un ouvrage plaî
plaît pas, mais cette voïe ne vaut pas celle du sentiment lorsqu’il s’
agit
de décider cette question. L’ouvrage plaît-il ou
peintre, le poëte ou le musicien ont imité. C’est l’oeil lorsqu’il s’
agit
du coloris d’un tableau. C’est l’oreille lorsqu’i
conviennent aux paroles, et si le chant en est mélodieux. Lorsqu’il s’
agit
de connoître si l’imitation qu’on nous présente d
leurer, elles nous attachent avant que notre raison ait eu le temps d’
agir
et d’examiner. On pleure à une tragédie avant que
imées après sa mort dans l’état où il les avoit laissées. Lorsqu’il s’
agit
du mérite d’un ouvrage fait pour nous toucher, ce
quel rang il doit tenir parmi les autres poëmes. Le public dont il s’
agit
ici est donc borné aux personnes qui lisent, qui
nt donc être en possession de donner leur propre suffrage, quand il s’
agit
de décider si les poëmes ou les tableaux font l’e
ou les tableaux font l’effet qu’ils doivent faire. Ainsi lorsqu’il s’
agit
de juger de l’effet general d’un ouvrage, le pein
uleur de chair sont des couleurs tristes. Il est vrai que lorsqu’il s’
agit
du mérite des tableaux, le public n’est pas un ju
ableaux, le public n’est pas un juge aussi compétent, que lorsqu’il s’
agit
du mérite des poëmes. La perfection d’une partie
nisme a toujours un ressort psychique. Aujourd’hui encore, l’animal n’
agit
par instinct que sous l’influence d’un appétit év
de moins en moins faciles à transmettre par hérédité à mesure qu’il s’
agit
d’organismes plus complexes, plus définis, plus f
contraire, y atteignent l’organisation la plus compliquée. Au lieu d’
agir
sous l’influence de sensations et de perceptions,
d’agir sous l’influence de sensations et de perceptions, nous pouvons
agir
sous l’influence de jugements et de raisonnements
s, et il en résulte des actions d’ordre supérieur. Pourquoi un animal
agit
-il semblablement dans des cas semblables ? C’est
tion proprement dite, mais simple impulsion. Nous, au contraire, nous
agissons
semblablement parce que les deux cas sont jugés s
qu’il obscurcit parfois l’intelligence et nous enlève tout pouvoir d’
agir
. — C’est, répondrons-nous, que le désir propremen
gique de la personnalité, puisque c’est l’idée de la personnalité qui
agit
alors, et que vouloir, c’est désirer le triomphe
s. Quel que soit le mode de force ou d’efficacité des idées, qu’elles
agissent
par les seuls mouvements physiques ou aussi par l
élément actif et moteur. Affirmer, nous l’avons vu, c’est commencer à
agir
sous une idée, par exemple celle d’un serpent qui
nt qui refuse de prendre une seconde fois la rose dont il a été piqué
agit
d’abord, — selon la loi que nous avons posée plus
me sens. Puis, prenant mieux conscience de ce qui se passe en lui, il
agit
sous l’idée de cette similitude, en jugeant que l
t d’actes. De ce que tout jugement enveloppe ainsi du vouloir et de l’
agir
, a-t-on le droit de conclure qu’il soit, au moins
e idée qui, par association, peut en éveiller une multitude d’autres.
Agir
avec les yeux de l’intelligence ouverts, c’est êt
’une multitude de relations intellectuelles qui disparaîtraient si on
agissait
les yeux fermés. De plus, la conscience de la vol
moi tout entier qui conditionne mon acte. Quand donc je dis : « j’ai
agi
par tel motif », je désigne la partie la plus sai
onne l’acte. Au reste, il n’y a pas de motif détaché : toute raison d’
agir
, dans les circonstances graves, intéresse la pers
iquer par l’impulsion égoïste de nos passions. Non seulement, avant d’
agir
, nous trouvons de bonnes ou mauvaises raisons pou
raisons pour faire ce qui nous plaît, mais, alors même que nous avons
agi
sans connaître les vraies causes de nos actes, no
sujet trouve ensuite telles raisons déterminées. Il croit alors avoir
agi
spontanément, en vertu de ces raisons mêmes. Au r
ferme. On y suppose, en effet, des forces indépendantes, dont chacune
agit
comme si les autres n’existaient pas. Dans la bal
dans le total. Or, si on entend par motifs toutes les dispositions à
agir
, quelles qu’elles soient et d’où qu’elles tirent
paroles, conseils, ordres, suggestions de toutes sortes, qui encore n’
agissent
qu’en se combinant avec nos dispositions propres
voir des effets dans le monde extérieur, si bien que les idées, ayant
agi
intérieurement, se trouvent avoir du même coup le
en est que le miroir. — Et comment, en effet, une représentation pure
agirait
-elle ? N’est-ce pas aussi absurde que d’attribuer
eflètent ? Tout ce que peut faire une représentation, c’est non pas d’
agir
, mais de ressembler ou de ne pas ressembler : une
st semblable ou dissemblable, comme un portrait à l’original : elle n’
agit
pas plus sur l’objet que le portrait sur l’origin
comme un tableau ressemble çà un autre tableau ou en diffère : elle n’
agit
pas plus sur l’autre représentation que le portra
t pas plus sur l’autre représentation que le portrait de la Joconde n’
agit
sur le portrait de la Fornarina. La ressemblance
e se soucie que de s’adapter les choses ou de s’adapter aux choses, d’
agir
, de pâtir, de réagir. La conception des états men
e sorte de choix spontané. Cette unité indissoluble du penser et de l’
agir
est la loi psychologique d’importance capitale qu
c nullement que Viciée de tirer « un coup de pistolet », par exemple,
agisse
sur le cerveau comme le doigt agit sur la détente
coup de pistolet », par exemple, agisse sur le cerveau comme le doigt
agit
sur la détente. Les effets mécaniques dans l’espa
i l’avenir était un des facteurs du processus interne : l’être vivant
agit
pour causer un certain effet, qui est son bien, a
es ressorts : il supplée à l’un par l’autre, comme si le bien à venir
agissait
sur lui par l’intermédiaire du bien ou du mal pré
problème n’est plus seulement : existe-t-il un sujet ? mais, comment
agit
-il ? Le rapport du sujet aux objets n’est plus un
ouleur parce que tous les deux sont définis états de conscience. Il s’
agit
donc de savoir si, dans l’émotion et l’appétition
nt l’état de conscience particulier ou nous sommes quand nous croyons
agir
, faire effort, peiner, désirer, on transporte alo
e cette forme ou ce sujet soit sans action. On ne peut ni vouloir, ni
agir
à vide, pas plus qu’on ne peut penser sans penser
universelle, de quelque manière qu’on l’interprète ; si quelque chose
agit
dans ce monde, nous aussi nous agissons ; si quel
n l’interprète ; si quelque chose agit dans ce monde, nous aussi nous
agissons
; si quelque chose, après avoir été conditionné,
plique l’attention, l’assentiment, le refus, l’effort, etc. Et s’il s’
agit
d’une perception actuelle de la vue, comment ne s
nt ne sentirait-on pas des mouvements dans le globe oculaire ? S’il s’
agit
même d’un souvenir visuelles mouvements sont rena
e, pour la mettre artificiellement à part de ses manières d’être et d’
agir
, qui en sont réellement inséparables, on se sert
t concevoir par le rappel et la combinaison des souvenirs. Quand il s’
agit
de trouver les lois des choses extérieures, indép
ais beaucoup moindre, et elle a infiniment moins de valeur. Ici, il s’
agit
du monde intérieur, qui est précisément composé d
ne série de choses que nous pourrions voir ou toucher, qui pourraient
agir
sur nous et sur lesquelles nous pourrions agir. P
oucher, qui pourraient agir sur nous et sur lesquelles nous pourrions
agir
. Pour vider l’étendue, nous réduisons à un minimu
peine ou d’un plaisir quelconque. Cela est si vrai que chaque cellule
agit
comme un animal élémentaire, faisant partie d’une
s sur quelques cas. Sur l’ensemble, non. En tout cas, nous ne pouvons
agir
que comme si nous n’en faisions pas. Si nous ne s
à son tour, cherche à passer sous le couvert de l’instinct social. On
agit
pour satisfaire ses désirs et l’on veut convaincr
omme est double, il est lui, il est les autres. Il sent, il pense, il
agit
avec ses deux natures. La logique ordinaire est i
ordinaire est ici outrageusement violée, mais l’homme sent, pense et
agit
contradictoirement, en conformité avec sa nature
s forces qu’elle favorise, lui sont dangereux. Et puis si le « nous »
agit
, le « moi » ne reste pas inactif. De nombreuses d
heur, membre d’une église, bien d’autres choses encore. Et quand il s’
agit
de déterminer les droits et les devoirs qui se ra
ntiments, tous les actes qui se rattachent à ces manières d’être et d’
agir
, sont des faits éminemment sociaux, des forces or
’établir. Mais la société tient à ce que nous sachions obéir, et elle
agit
en conséquence. Dès le plus jeune âge son influen
à l’homme : « Pour que la vie commune soit possible et bonne, il faut
agir
de telle et telle façon ; c’est notre devoir à to
on était faite, vous n’auriez point à me commander de vous aimer et d’
agir
en frère avec vous. Je vous aimerais sans aucun o
et d’agir en frère avec vous. Je vous aimerais sans aucun ordre, et j’
agirais
selon votre désir, dès que votre désir se lèverai
ensée, et assez mal avisé pour les exprimer. Par où l’on voit qu’il s’
agit
d’une fiction. Car l’homme en qui les sentiments
i je n’ai aucune raison d’être cordonnier, il est évident que je dois
agir
autrement. Le devoir est essentiellement hypothét
, puisque nous ne pouvons pas ne pas vouloir en être, nous « devons »
agir
comme il convient à des hommes, et tous les devoi
pris on reconnaît qu’il s’en produit continuellement. Nous ne pouvons
agir
, si peu que ce soit, sans en soulever, implicitem
que, à un moment donné, dans des circonstances données, une manière d’
agir
correspond mieux que les autres à la situation, q
écessaire voie nous menant à une société meilleure. Sans cela il ne s’
agira
plus de « devoir », de « conscience » et de « rév
Le devoir est « impératif ». C’est là sa grande caractéristique. Il n’
agit
point par persuasion. Et ce n’est point par affec
ces contraignantes qui nous viennent du dehors. Sans doute il ne peut
agir
sans que nous acceptions son autorité. Il en est
tenir un trône disloque, c’est leur conscience qui les y pousse ; ils
agissent
par devoir, et s’ils blâment ceux qui l’ont ébran
le de « caractère sacré », ou de « geste auguste », méfiez-vous. Il s’
agit
d’imposer à quelqu’un, à un individu, à un groupe
personne, dans tel ou tel groupe, qui les réalisent en nous, les font
agir
en nous, et nous font agir par eux. Tous ces sent
roupe, qui les réalisent en nous, les font agir en nous, et nous font
agir
par eux. Tous ces sentiments ont leur vie individ
perception qui n’ait été au moins préparée par elle. Aussi quand il n’
agit
pas visiblement et directement en nous, l’esprit
unifié qu’il ne l’est, comme s’il était plus personnifié, comme s’il
agissait
consciemment et logiquement. Il est évident que t
ssion cessera, si l’on réfléchit qu’il n’est pas évident qu’on puisse
agir
sur les corps vivants comme sur les corps bruts,
t une science d’observation ou une science d’expérience, si elle peut
agir
artificiellement sur les phénomènes et se fournir
: « Toutes les parties d’un corps vivant sont liées, elles ne peuvent
agir
qu’autant qu’elles agissent toutes ensemble ; vou
’un corps vivant sont liées, elles ne peuvent agir qu’autant qu’elles
agissent
toutes ensemble ; vouloir en séparer une de la ma
sont en dehors de tout milieu et indépendants de lui, nous ne pouvons
agir
sur eux par aucun moyen : nous ne pouvons que les
immédiatement en fonction. Il est donc possible à l’expérimentateur d’
agir
sur les organes en agissant sur le milieu, et, so
. Il ne suffit pas même d’admettre une cause quelconque, un pouvoir d’
agir
, une faculté occulte ; il faut encore que cette c
matière inerte. Elle est liée à des forces physiques et chimiques qui
agissent
dans l’organisation suivant les mêmes lois que da
celle-là que nous parlons, ce n’est pas de la liberté de Dieu qu’il s’
agit
, c’est de la mienne, de la vôtre, de celle des au
t, c’est de la mienne, de la vôtre, de celle des autres hommes : il s’
agit
en un mot de la liberté d’une cause seconde appel
’homme, et si cette cause seconde est assimilée aux autres causes qui
agissent
dans la nature, on ne voit plus à quels signes et
e passent pas ainsi, qu’il y ait un ordre de causes métaphysiques qui
agissent
d’après d’autres lois, c’est ce que le physiologi
raisonnables se savent assujetties à une loi idéale, loi qui ne peut
agir
physiquement, mécaniquement sur elles, et qui, to
c que ces deux règnes coexistent sans se toucher, sans se mêler, sans
agir
l’un sur l’autre ? Faut-il croire que la nature e
ciproquement, la liberté ne reste pas concentrée en elle-même, elle n’
agit
pas exclusivement dans le monde intérieur ; la vo
, il est un point limite où le conflit peut surgir : c’est quand il s’
agit
des conditions physiologiques de la volonté. Mais
térieurement le processus mental d’où ils résultent. Mais dès qu’il s’
agit
de faits proprement dits, ils sont nécessairement
ême la plus inexacte, les véritables raisons qui nous ont déterminé à
agir
et la nature de notre action. Déjà, alors qu’il s
nt déterminé à agir et la nature de notre action. Déjà, alors qu’il s’
agit
simplement de nos démarches privées, nous savons
les qui nous guident ; nous nous croyons désintéressés alors que nous
agissons
en égoïstes, nous croyons obéir à la haine alors
e vide. Pourtant, ce qu’on juge si facilement inadmissible quand il s’
agit
des faits sociaux, est couramment admis des autre
elque manière puisqu’ils consistent tous en des façons de penser ou d’
agir
. Mais les états de la conscience collective sont
guïté et la ressemblance, les contrastes et les antagonismes logiques
agissent
de la même façon, quelles que soient les choses r
t, inadmissible que la matière dont sont faites les représentations n’
agisse
pas sur leurs modes de combinaisons. Il est vrai
apercevoir là où ils sont et ne les confonde pas avec d’autres. Il s’
agissait
de délimiter le champ de la recherche aussi bien
cilement reconnaissable (voir p. 19). Tout ce qu’il faut, puisqu’il s’
agit
d’une définition initiale, c’est que les caractér
chacun de nous. Au contraire, les croyances et les pratiques sociales
agissent
sur nous du dehors : aussi l’ascendant exercé par
e. Car tout ce qu’elle implique, c’est que les manières collectives d’
agir
ou de penser ont une réalité en dehors des indivi
t pour effet de fixer, d’instituer hors de nous de certaines façons d’
agir
et de certains jugements qui ne dépendent pas de
sion de l’activité son caractère sensitif d’inquiétude et de besoin d’
agir
. C’est seulement par le passage à un degré de con
-même. La sélection naturelle et mécanique a pour premier caractère d’
agir
sur un ensemble d’individus, non dans un seul ind
i s’exerce sans se représenter encore le résultat de son action. Elle
agit
parce qu’elle agit et pour agir. En agissant elle
représenter encore le résultat de son action. Elle agit parce qu’elle
agit
et pour agir. En agissant elle jouit plus ou moin
ncore le résultat de son action. Elle agit parce qu’elle agit et pour
agir
. En agissant elle jouit plus ou moins vaguement d
nt encore représentative. Elle n’enveloppe qu’une sourde conscience d’
agir
, un sourd bien-être attaché à l’action et un sour
té ou difficulté dans cette action. D’autre part, comment et pourquoi
agir
si on ne sent rien et si on n’a pas quelque consc
ait, de ce qu’on produit ? Nous arrivons donc à ce cercle : « Il faut
agir
pour sentir et penser, il faut sentir et penser p
: « Il faut agir pour sentir et penser, il faut sentir et penser pour
agir
. » Il n’y a d’autre moyen d’en sortir que d’admet
rtir que d’admettre, dans l’être primordial, une unité immédiate de l’
agir
, du sentir et du penser. Cette activité dont nous
à ses éléments, de dire que ces éléments « luttent » ensemble, qu’ils
agissent
et réagissent ; il faut donc toujours, sous une f
faculté, c’est l’existence de l’action même, de l’action réelle, de l’
agir
; or, c’est cette action dont, nous avons perpétu
ables. Son mécanisme est essentiellement moteur, c’est-à-dire qu’elle
agit
toujours sur des muscles et par des muscles, prin
t d’insuffisant. Les détails et les preuves viendront plus tard. Il s’
agissait
seulement de préparer à une définition de l’atten
le « se transforme en attention ». Ce n’est pas l’intensité seule qui
agit
, mais avant tout notre adaptation, c’est-à-dire n
exemple, quand on assiste à un spectacle dramatique… Même quand il s’
agit
d’un petit objet matériel, comme une monnaie ou u
d’attention. En face d’un problème scientifique, l’esprit d’un Newton
agit
de même ; c’est une irritation perpétuelle qui le
on. La réflexion s’exprime d’une autre manière, presque inverse. Elle
agit
sur l’orbiculaire supérieur des paupières, abaiss
simples phénomènes mécaniques agissant sur le milieu extérieur ; ils
agissent
aussi, par le sens musculaire, sur le cerveau qui
siste à maintenir l’état de conscience et à le renforcer. Puisqu’il s’
agit
d’un mécanisme, il est préférable de prendre la q
2° Comme organe moteur, le cerveau joue un rôle complexe. D’abord il
agit
comme initiateur des mouvements qui accompagnent
duit, en définitive, à demander si, dans l’attention, c’est l’âme qui
agit
d’abord sur le corps ou le corps sur l’âme. Je n’
s actions d’arrêt en physiologie : faits et théories. — L’attention n’
agit
que sur des muscles et par des muscles. — Élément
du tronc où elle a été implantée. Dans l’attention spontanée, l’objet
agit
par son pouvoir intrinsèque ; dans l’attention vo
t par son pouvoir intrinsèque ; dans l’attention volontaire, le sujet
agit
par des pouvoirs extrinsèques, c’est-à-dire suraj
circonstances ; il est voulu, choisi, accepté ou du moins subi ; il s’
agit
de s’y adapter, de trouver les moyens propres à m
ne dispose que de moyens d’action restreints et de nature simple. Il
agit
par la peur, la privation d’aliments, la violence
telle, le cas était désespéré. Essayait-on par des punitions de faire
agir
un singe inattentif, l’animal devenait rétif. Au
ne fait que reculer la difficulté ; car nos éducateurs n’ont fait qu’
agir
sur nous, comme on avait agi sur eux, et ainsi de
ulté ; car nos éducateurs n’ont fait qu’agir sur nous, comme on avait
agi
sur eux, et ainsi de suite en remontant le cours
positif : c’est que tout acte de volition, impulsif ou inhibitoire, n’
agit
que sur des muscles et par des muscles ; que tout
s musculaires, des mouvements réels ou à l’élut naissant sur lesquels
agit
le pouvoir d’arrêt. Nous n’avons d’action (impuls
action signifie diffusion des mouvements. L’attention volontaire peut
agir
aussi sur l’expression des émotions, si nous avon
dehors et un pouvoir d’arrêt suffisant pour l’empêcher ; mais elle n’
agit
que sur les muscles, sur eux seuls ; tout le rest
égories renferme des éléments moteurs sur lesquels l’attention puisse
agir
. a) La première catégorie comprend les idées géné
èse insoutenable ; il n’en explique que le plus bas degré, ne pouvant
agir
que sur de grosses ressemblances Ces images géné
8. Ce sont les visuels. Chez la plupart des hommes, tous ces éléments
agissent
à doses inégales. Mais partout et toujours le mot
gré, dans les concepts. Toutefois, cela n’établit pas que l’attention
agit
sur eux, et par eux, qu’elle est un mécanisme mot
réfléchissent en marchant à grands pas et en gesticulant ; mais il s’
agit
d’un travail d’invention plutôt que de concentrat
» ; Bain, plus élégamment : « Penser, c’est se retenir de parler ou d’
agir
». Pour conclure, voyons ce qu’il faut entendre p
ement, la charrue devant les boeufs ; car, dans la réflexion, il ne s’
agit
pas, comme on l’admet habituellement, de diriger
d’arrêt, on doit se demander comment s’opère cet arrêt et sur quoi il
agit
. C’est là une question si obscure, qu’on ne peut
qu’il n’y a pas de mouvements isolés et qu’un muscle qui se contracte
agit
sur ses voisins et souvent sur beaucoup d’autres.
a fin ; tout le reste se passe dans le domaine physiologique, qu’il s’
agisse
de faire ou d’empêcher, de produire un mouvement
mû réellement, et alors elle est rapportée localement aux muscles qui
agissent
. Ce n’est que lorsque ce facteur respiratoire, es
xpériences, deux impressions presque simultanées sont produites, il s’
agit
de déterminer laquelle est antérieure dans le tem
’elle est liée à des conditions physiques parfaitement déterminées, n’
agit
que par elles et dépend d’elles. 1. Chapitre
temporaire. Ici le mécanisme de l’association prend sa revanche ; il
agit
seul, de toute sa puissance, sans contrepoids. Te
re, sans constituer pour la conscience un état d’obsession véritable,
agissent
par répétition. Malgré son intermittence, l’idée
e à sa plus haute puissance, ne peut pas la transformer. Elle ne peut
agir
sur un esprit borné et ignorant comme sur un espr
rve, mais on éprouve je ne sais quel trouble, et bien qu’on ne puisse
agir
à l’extérieur, on ne laisse pas que d’entendre. C
a une agitation constante, un besoin continuel de parler, de crier, d’
agir
violemment. L’état de conscience se projette immé
os intellectuel, aucun état ne réussit à durer. « Mais qu’on vienne à
agir
puissamment sur l’esprit d’un maniaque, qu’un évé
elle est suspendue. Pour nous, la question se pose autrement ; il s’
agit
simplement de savoir si, pendant les rêves, cet é
bornés à constater leur rôle, sans rien dire de leur nature. Il ne s’
agit
pas de présenter au lecteur, en courant et sous f
la guette, tout son organisme est à l’état de tension extrême, prêt à
agir
, les mouvements ne sont pas réalisés, mais la plu
omprendre la vraie valeur de l’observation, il faut remarquer qu’il s’
agit
d’un métaphysicien malgré lui. 38. Pour l’expos
à l’autre, à se demander comment l’esprit (qu’on ne connaît pas) peut
agir
sur la matière (qu’on ne connaît pas). « La doct
rps comme de plus en plus intime et à dire « que l’esprit et le corps
agissent
l’un sur l’autre ». Quoique cette doctrine se rap
prit isolé du corps : il ne nous a jamais été donné de voir un esprit
agir
indépendamment de son compagnon matériel, 2° Nous
n vide occupé par une substance immatérielle ; que là cette substance
agisse
seule, puis communique les résultats de cette act
à l’esprit une existence indépendante, une faculté de vivre à part, d’
agir
à volonté avec ou sans un corps. Mais si tous les
e soit impossible, on trouve des faits qui sollicitent l’attention. S’
agit
-il d’un travail intellectuel (l’étude des langues
. L’homme actif, énergique, qui aime l’activité pour elle-même et qui
agit
dans toutes les directions, n’a point la délicate
ement, dans le chapitre précédent, la loi de concurrence vitale. Il s’
agit
maintenant de savoir comment elle agit à l’égard
oi de concurrence vitale. Il s’agit maintenant de savoir comment elle
agit
à l’égard de la variabilité. Si l’on pouvait appl
oducteur, cause ou accroît la variabilité ; or, dans le cas dont il s’
agit
ici, on suppose que les conditions de vie ont sub
ée des différences individuelles, de même la sélection naturelle peut
agir
à l’aide de ces mêmes différences, et d’autant pl
onsciente, que ne peut faire la sélection naturelle ? L’homme ne peut
agir
que sur des caractères visibles et extérieurs ; l
les cas où elles sont de quelque utilité aux êtres vivants. Elle peut
agir
, sur chaque organe interne, sur la moindre différ
tères de peu d’importance. — Quoique la sélection naturelle ne puisse
agir
qu’en vue du bien de chaque être vivant, cependan
la couleur affectée par chaque espèce de Tétras, et n’ait continué d’
agir
pour la rendre permanente une fois acquise. C’est
pourpre ou jaune, l’emportera finalement sur les autres. Lorsqu’il s’
agit
d’évaluer de légères différences entre les espèce
ent organique, de même, à l’état sauvage, la sélection naturelle peut
agir
sur les êtres organisés aux diverses époques de l
ives du plumage sont dues principalement à la sélection sexuelle, qui
agit
surtout lorsque les oiseaux sont arrivés à l’âge
fin de faire comprendre plus clairement de quelle manière, selon moi,
agit
la loi de sélection naturelle, je demande à mes l
es murailles de rochers à pic. De même la sélection naturelle ne peut
agir
que lentement, par la conservation et l’accumulat
pour le plus grand bien de la plante, à ce que je crois. Les Abeilles
agissent
alors comme le pinceau du poil de Chameau avec le
de la même variété la pureté et l’uniformité typiques. Évidemment ils
agissent
avec plus d’efficacité sur les animaux qui s’appa
s d’existence, ne peuvent avoir lieu. Il est probable que l’isolement
agit
encore avec une efficacité plus grande en mettant
variations favorables sur lesquelles la sélection naturelle pourrait
agir
. La seule longueur du temps ne peut rien par elle
nouvelles espèces. VIII. Action lente. — Que la sélection naturelle
agisse
toujours avec une extrême lenteur, je l’admets pl
ive ? Je n’en crois rien ; mais j’admets que la sélection naturelle n’
agit
que très lentement, souvent à de longs intervalle
’elle est en connexion intime avec la sélection naturelle. Celle-ci n’
agit
qu’à l’aide de variations avantageuses accumulées
elles descendent. Mais on peut demander comment une loi analogue peut
agir
à l’état de nature. Je suis convaincu qu’elle peu
analogue peut agir à l’état de nature. Je suis convaincu qu’elle peut
agir
et agit avec toute efficacité. Il est vrai que je
peut agir à l’état de nature. Je suis convaincu qu’elle peut agir et
agit
avec toute efficacité. Il est vrai que je suis de
entends pas dire que le procédé de transformation continue toujours d’
agir
aussi régulièrement que la figure le représente,
ut produire plus d’un descendant modifié ; car la sélection naturelle
agit
toujours d’après la nature des lieux et des lacun
dans toute contrée déjà suffisamment peuplée, la sélection naturelle
agit
nécessairement au moyen des avantages acquis par
ssantes. On aurait pu préjuger cette loi ; car la sélection naturelle
agit
toujours à l’aide d’une forme qui possède déjà, d
Du progrès organique. — Comme nous l’avons vu, la sélection naturelle
agit
exclusivement par la conservation et l’accumulati
s’être jamais présentées, de sorte que la sélection naturelle n’a pu
agir
en les accumulant. Il est probable même que le la
aujourd’hui, et que la sélection naturelle, par conséquent, n’ait pu
agir
avant qu’un grand nombre de formes différentes fu
ombre des espèces ? Je ne prétends pas le décider, mais elles doivent
agir
conjointement pour entraver dans chaque contrée l
les mieux adaptés une postérité plus nombreuse. La sélection sexuelle
agit
en ce cas surtout pour donner aux mâles seuls les
tes contres d’autres mâles. Que la sélection naturelle ait réellement
agi
pendant toute la durée des siècles passés pour mo
élevée, il y a donc double raison pour que la sélection naturelle ait
agi
avec plus d’intensité autrefois qu’aujourd’hui ;
les uns les autres. Or, si tous les corps, organisés ou inorganisés,
agissent
et réagissent ainsi entre eux dans leurs parties
n est pas de même dans le domaine de la vie. Ici la durée semble bien
agir
à la manière d’une cause, et l’idée de remettre l
ette dernière doctrine, comme nous l’annoncions tout d’abord, qu’il s’
agit
d’examiner. Le déterminisme psychologique, sous s
es profondeurs obscures de l’organisme à la surface de la conscience,
agiront
à peu près comme une suggestion hypnotique. A côt
ons qui m’occupent ; peut-être alors ne me déterminerait-elle point à
agir
. Mais le plus souvent cette impression, au lieu d
oûte épaisse qui recouvrira nos sentiments personnels ; nous croirons
agir
librement, et c’est seulement en y réfléchissant
if déterminant. C’est dans les circonstances solennelles, lorsqu’il s’
agit
de l’opinion que nous donnerons de nous aux autre
, par un effort d’abstraction, le moi qui sent ou pense et le moi qui
agit
, il y aurait quelque puérilité à conclure que l’u
ible : « Quand nous supposons, continue Stuart Mill, que nous aurions
agi
autrement que nous n’avons fait, nous supposons t
rs quand ils affirment et les autres quand ils nient la possibilité d’
agir
autrement qu’on a fait. Les premiers raisonnent a
on infaillible. Dire qu’un certain ami, dans certaines circonstances,
agirait
très probablement d’une certaine manière, ce n’es
a prévision infailliblement vraie. Telle est donc l’hypothèse qu’il s’
agit
d’examiner. Pour fixer les idées, imaginons un pe
ant, eût pu, connaissant toutes les conditions dans lesquelles Pierre
agit
, prédire avec certitude le choix que Pierre a fai
tre histoire passée : si Paul connaît toutes les conditions où Pierre
agit
, c’est vraisemblablement qu’aucun détail de la vi
e en exprimait plutôt la nuance, la coloration propre, et que, s’il s’
agit
d’un sentiment par exemple, son intensité consist
age des états psychiques l’indication de leur intensité, puisqu’ils n’
agissent
plus sur la personne chez qui ils se dessinent, e
réalité. La première de ces hypothèses doit être écartée, puisqu’il s’
agit
précisément de savoir si, les antécédents seuls é
l sont une seule et même personne, que vous appelez Pierre quand elle
agit
et Paul quand vous récapitulez son histoire. À me
nt, il ne pouvait plus être question de la prévoir, mais simplement d’
agir
. Ici encore tout essai de reconstitution d’un act
’on se donne, avec la valeur des antécédents, l’action finale qu’il s’
agit
de prévoir ; c’est supposer à tort que l’image sy
, et chargé de se représenter en imagination les conditions où Pierre
agira
. Vous matérialisiez ainsi ces conditions ; vous f
ce qui reviendrait à se donner par avance les éléments mêmes qu’il s’
agit
de déterminer. Vous avez alors modifié votre hypo
ait prévu l’action de Pierre ; vous constatez seulement que Pierre a
agi
comme il a fait, puisque Paul est devenu Pierre.
pas la durée des intervalles égaux qui les séparent. Mais lorsqu’il s’
agit
d’un sentiment, il n’a pas de résultat précis, si
iment sur l’ensemble d’une histoire, et c’est cette influence qu’il s’
agit
de connaître. Toute prévision est en réalité une
ir, qu’on doit assimiler la prévision astronomique. Mais, lorsqu’il s’
agit
de déterminer un fait de conscience à venir, pour
profonds, il n’y a pas de différence sensible entre prévoir, voir et
agir
. Il ne restera plus guère au déterministe qu’un s
déquatement par de l’espace ? » — A quoi nous répondons : oui, s’il s’
agit
du temps écoulé ; non, si vous parlez du temps qu
quelque chose d’assez différent de la fausse reconnaissance. Il ne s’
agit
plus d’une impression brusque et courte, qui surp
rait trop hâté de voir une illusion spécifique de la mémoire 20. Il s’
agirait
en réalité d’un trouble plus général. La « foncti
jours à l’inconscient, d’après Grasset 29. Dans tous les cas, qu’il s’
agisse
du souvenir d’une chose vue ou du souvenir d’une
raits communs avec l’expérience actuelle. Mais le phénomène dont il s’
agit
ici est très différent. Ici les deux expériences
comprendre pourquoi elle prend la forme d’un souvenir ; mais il ne s’
agira
alors que du souvenir d’un certain moment de la p
mêmes qui est insérée dans la réalité présente, qui la perçoit et qui
agit
sur elle. Nos perceptions et nos sensations sont
jet placé devant lui, L’objet se touche aussi bien qu’il se voit ; il
agira
sur nous comme nous agissons sur lui ; il est gro
jet se touche aussi bien qu’il se voit ; il agira sur nous comme nous
agissons
sur lui ; il est gros d’actions possibles, il est
et l’action accomplie, mais au fur et à mesure que nous percevons et
agissons
. Nous verrous alors en même temps notre existence
a déjà aperçu ce qu’on aperçoit, éprouvé ce qu’on éprouve. Mais il s’
agit
de bien autre chose. Ce qui se dédouble à chaque
il sait qu’il continue d’être ce qu’il était, un moi qui pense et qui
agit
conformément à ce que la situation réclame, un mo
hose du même genre. C’est un dédoublement plutôt virtuel que réel. On
agit
et pourtant on « est agi ». On sent qu’on choisit
un dédoublement plutôt virtuel que réel. On agit et pourtant on « est
agi
». On sent qu’on choisit et qu’on veut, mais qu’o
uve un sentiment de dualité, mais accompagné de la conscience qu’il s’
agit
d’une seule et même personne. D’autre part, comme
d on parle de « fausse reconnaissance », ou devrait spécifier qu’il s’
agit
d’un processus qui ne contrefait pas réellement l
lable à celle où l’on se trouve actuellement. Mais remarquons qu’il s’
agit
toujours, en pareil cas, de situations semblables
’un autre, dont celle-ci serait l’exacte contrefaçon. En réalité il s’
agit
d’un phénomène unique en son genre, celui-là même
t notre attention se détourne plus obstinément. L’attention dont il s’
agit
n’est d’ailleurs pas cette attention individuelle
ule sans cesse. Ce sentiment devient d’ailleurs très clair quand il s’
agit
d’un acte déterminé à accomplir. Le terme de l’op
’opération nous apparaît aussitôt, et, pendant tout le temps que nous
agissons
, nous avons moins conscience de nos états success
il ne sert à préparer, encore moins à expliquer une représentation. S’
agit
-il de la perception extérieure ? Il n’y a qu’une
ou préparées, ou suggérées, ce ne sont pas nos perceptions mêmes. — S’
agit
-il du souvenir ? Le corps conserve des habitudes
a perception à l’ordre qui nous réussit dans la science, — ou, s’il s’
agit
plus particulièrement de l’idéalisme kantien, dan
et mémoire sont tournées, c’est cette action que le corps prépare. S’
agit
-il de la perception ? La complexité croissante du
tre que la répercussion intellectuelle. Partons donc de cette force d’
agir
comme du principe véritable ; supposons que le co
que instant elle aurait prise. Les mêmes besoins, la même puissance d’
agir
qui ont découpé notre corps dans la matière vont
s sur les autres corps. Mais notre corps, étant étendu, est capable d’
agir
sur lui-même aussi bien que sur les autres. Dans
ion entrera donc quelque chose de notre corps. Toutefois, lorsqu’il s’
agit
des corps environnants, ils sont, par hypothèse,
u les mêmes appareils que la perception met ordinairement en jeu pour
agir
: sinon, condamnés d’avance à l’impuissance, ils
résent ne doit pas se définir ce qui est plus intense : il est ce qui
agit
sur nous et ce qui nous fait agir, il est sensori
ui est plus intense : il est ce qui agit sur nous et ce qui nous fait
agir
, il est sensoriel et il est moteur ; — notre prés
ant tout l’état de notre corps. Notre passé est au contraire ce qui n’
agit
plus, mais pourrait agir, ce qui agira en s’insér
corps. Notre passé est au contraire ce qui n’agit plus, mais pourrait
agir
, ce qui agira en s’insérant dans une sensation pr
passé est au contraire ce qui n’agit plus, mais pourrait agir, ce qui
agira
en s’insérant dans une sensation présente dont il
us vives, les plus dramatiques et les plus angoissantes. Partout elle
agit
, non seulement sur notre vie personnelle, mais su
é dans l’infini du temps le germe d’où nous devions sortir et qui ont
agi
sur son développement, cette originalité se tradu
n dépit des goûts différents, ou de la paresse, qui le pousseraient à
agir
autrement ou à ne pas agir. En tout cela il s’agi
s, ou de la paresse, qui le pousseraient à agir autrement ou à ne pas
agir
. En tout cela il s’agit de sacrifier quelques dés
le pousseraient à agir autrement ou à ne pas agir. En tout cela il s’
agit
de sacrifier quelques désirs, quelques éléments p
étrange que, du point de vue de l’individu, on me demandât davantage.
Agir
autrement serait pure folie. L’hygiène personnell
sont en nous, et, sur quelques points plus forts que nous, nous font
agir
dans le sens de leurs désirs, et contrairement au
s, en lui, sont devenus lui, et que le monde extérieur, en tant qu’il
agit
sur notre esprit et par notre esprit sur notre co
peuvent nous influencer et nous déterminer à l’action. Qui me ferait
agir
— hors, peut-être, les cas de violence mécanique
l’homme en eût conscience, et parfois même tandis que l’homme croyait
agir
sans elle ou contre elle, elle l’a influencé pour
s en plus les autres en chacun de nous, ou tendaient au moins à faire
agir
chacun comme s’il participait de plus en plus de
out dans l’activité sans repos de l’enfance et du jeune âge ; qu’elle
agit
sur nos membres locomoteurs, et que souvent même
ons sont fort différents de ceux causés par la volonté : les premiers
agissent
sur les muscles souvent exercés, comme ceux de la
scles souvent exercés, comme ceux de la face et la voix ; les seconds
agissent
surtout sur ceux qui peuvent augmenter le plaisir
détermine des mouvements violents des muscles, un contre-courant peut
agir
sur les mêmes muscles. Mais la volonté a-t-elle q
e le plaisir185. C’est là que tendent les divers motifs qui nous font
agir
et que l’on peut classer sous les titres suivants
est la délibération186. Une volonté bien disciplinée est celle qui n’
agit
ni trop tôt ni trop tard ; mais diverses causes,
onnes, établissez la balance ; attendez encore deux ou trois jours et
agissez
. Il avait eu souvent recours à ce procédé et s’en
n’y en a plus, si une personne intervenant, je suis poussé par elle à
agir
d’une certaine manière, comme l’enfant que l’on m
de choix » n’a pas de sens. Divers motifs concourent pour me poussera
agir
; le résultat du conflit montre qu’un groupe est
syllogisme appétitif et actif. Je ne puis penser, raisonner, vouloir,
agir
, qu’à la condition : 1° de ne pas me contredire e
objets de notre expérience » ; les autres ne le deviennent pas : ils
agissent
sans être connus et représentés ; ils sont en deh
es, mais d’écarter la douleur et de retenir le plaisir, de vouloir, d’
agir
et de vivre. La nécessité vitale est mère de l’in
le plaisir de connaître, mais pour le besoin impérieux de vivre et d’
agir
. Toute vie, toute action est une divination consc
ses ou la différence des effets produite par les mêmes causes, et qui
agirait
en conséquence, serait bientôt mort. Et non seule
suivants : 1° l’être est et s’affirme par tous les moyens, 2° l’être
agit
et pâtit de la même manière dans les mêmes circon
pas reconnu ces lois et ne les mettrait pas en pratique, un être qui
agirait
à l’égard des autres comme s’ils pouvaient à la f
impression de la résistance ; c’est parce que les objets externes qui
agissent
sur lui sont impénétrables. Évidemment, l’impénét
r créer, quoique sans yeux pour voir et sans yeux pour la voir : elle
agirait
sans que ses actes fussent soumis aux conditions
en tant que représenté par nous, il est clair que cette abstraction n’
agira
pas, ne sera pas un facteur réel, et que les même
r le temps réalisé dans les choses. Mais alors ce sont les choses qui
agissent
et non le temps seul, qui, comme seul, nous paraî
ies forces capables d’influer sur notre volonté. Le seul fait d’avoir
agi
de telle manière dans telles circonstances crée u
utre moyen que de nous le figurer sur le type de ce que nous appelons
agir
, faire effort, tendre, désirer, vouloir. De tous
marteau quelque chose d’analogue à ce dont il a l’expérience quand il
agit
, dans la pierre quelque chose d’analogue à ce don
alyse psychologique ne peut ni remonter au-delà de cette conscience d’
agir
et de vouloir, ni en donner des définitions ou de
et argument de Hume ne prouve pas que nous n’ayons point conscience d’
agir
, car Hume confond l’effectuation avec l’action, l
être elle-même représentée ; mais elle est une conscience immédiate d’
agir
qui n’a pas besoin d’être représentée pour existe
chose que nous découvrons donc dans notre conscience, c’est tantôt l’
agir
, tantôt le pâtir ; quand nous pâtissons, nous voy
ssons, nous voyons l’effet interne sans l’action externe ; quand nous
agissons
, nous voyons l’action interne sans l’effet extern
déale ou finale ; or, c’est précisément ce qui est en question : il s’
agit
de savoir si la soudure indestructible des partie
ce et, la sensation ; nous ne pouvons affirmer a priori que la nature
agit
comme nous sous une idée, sous l’idée du tout, co
position trop tranchée entre l’attention spontanée, où l’objet semble
agir
par son pouvoir intrinsèque, et l’attention volon
r par son pouvoir intrinsèque, et l’attention volontaire, où le sujet
agit
par des pouvoirs que M. Ribot appelle « extrinsèq
ir. Si elle est parfois un obstacle au lieu d’une aide, toujours elle
agit
. La véritable utilité de la conscience, dans l’in
ence. Les hautes idées qui dirigent les penseurs sont des soleils qui
agissent
par leur lumière même et non pas seulement, comme
ession de nos pensées, est lui-même un instrument d’erreur quand il s’
agit
de retracer l’évolution de nos pensées ; il nous
ifs. S’apercevoir d’un changement, y faire attention et se préparer à
agir
en conséquence, c’est juger. Le jugement n’est do
croyance entière, pas de certitude complète si on n’est pas disposé à
agir
d’après ce qu’on a senti et subi, ou d’après ce q
représentations associées et liées dans notre esprit, nous tendons à
agir
, nous commençons d’agir, nous agissons déjà selon
es et liées dans notre esprit, nous tendons à agir, nous commençons d’
agir
, nous agissons déjà selon ces représentations, pu
dans notre esprit, nous tendons à agir, nous commençons d’agir, nous
agissons
déjà selon ces représentations, puisque toute rep
et tend à se réaliser dans nos muscles. Affirmer n’est autre chose qu’
agir
ou réagir avec conscience ; et réciproquement, ag
st autre chose qu’agir ou réagir avec conscience ; et réciproquement,
agir
ou réagir avec conscience, c’est affirmer, c’est
e eau. Dire que le soleil est chaud, c’est dire que je suis disposé à
agir
et à me mouvoir comme si j’éprouvais telle sensat
l’actualité de sa sensation. Il ne peut y avoir doute que quand il s’
agit
de représentations et d’idées, qui enveloppent de
olitions n’aient point une influence indirecte sur nos croyances. Ils
agissent
en tant que contribuant à déterminer : 1° les con
i faible et aussi vague qu’elle-même. Cette sensation, à vrai dire, n’
agit
pas ou agit aussi peu que possible, elle n’a pas
aussi vague qu’elle-même. Cette sensation, à vrai dire, n’agit pas ou
agit
aussi peu que possible, elle n’a pas de vraie for
ur la même plaque une série de portraits, en ayant soin de ne laisser
agir
la lumière sur chacun d’eux que pendant un temps
à la condition qu’on se fasse une idée exacte de cette forme. Il ne s’
agit
ici ni d’une forme pure, ni d’une catégorie, ni d
dont j’ai conscience comme dépassant l’objet particulier sur lequel j’
agis
. La généralisation semble être l’acte par lequel
processus sensori-moteurs s’engendrant l’un l’autre. Raisonner, c’est
agir
et pâtir d’avance par la pensée, λόγῳ, οὐϰ ἔργῳ.
énéraliser la loi de raison suffisante et d’identité sous laquelle il
agit
. L’identité logique de la pensée a pour contre-pa
on action, diffère-t-il de ce qu’on appelle l’affirmation ? Dès que j’
agis
avec le sentiment ou la conscience de mon acte et
ns sa marche à travers les siècles, la médecine, constamment forcée d’
agir
, a tenté d’innombrables essais dans le domaine de
nes. On a vu, en effet, dans certains cas, des accidents où la nature
agissait
pour lui, et là encore nous serions obligés de di
’il nous a donné à ce sujet3. Dans le premier cas, le physiologiste a
agi
en vertu de l’idée préconçue d’étudier les phénom
ue l’expérimentateur doit pouvoir toucher le corps sur lequel il veut
agir
, soit en le détruisant, soit en le modifiant, afi
C’est même, comme nous le verrons plus loin, sur cette possibilité d’
agir
ou non sur les corps que reposera exclusivement l
il n’y a dans l’une comme dans l’autre que des faits concrets qu’il s’
agit
d’obtenir par des procédés d’investigation exacts
actif ou passif dans la production des phénomènes, mais suivant qu’il
agit
ou non-sur eux pour s’en rendre maître. III. D
ètes. C’est là précisément, dans cette puissance de l’investigateur d’
agir
sur les phénomènes, que se trouve la différence q
Dans les sciences d’expérimentation, l’homme observe, mais de plus il
agit
sur la matière, en analyse les propriétés et prov
yens les mieux appropriés ; ils se comportent absolument comme s’il s’
agissait
de deux observations ordinaires. Ce n’est en effe
ans un sens bien défini au contrôle de l’expérience ; mais quand il s’
agit
d’une science dans l’enfance, comme la médecine,
ètement obscur et inexploré, le physiologiste ne devra pas craindre d’
agir
même un peu au hasard afin d’essayer, qu’on me pe
rition de phénomènes que l’expérimentateur a déterminés, mais qu’il s’
agira
de constater d’abord, afin de savoir ensuite quel
. Dans le premier cas, c’est l’esprit de l’inventeur scientifique qui
agit
; dans le second, ce sont les sens qui observent
se garder de proscrire l’usage des hypothèses et des idées quand il s’
agit
d’instituer l’expérience ou d’imaginer des moyens
ns juger les actes d’un autre homme et savoir les mobiles qui le font
agir
, c’est tout différent. Sans doute nous avons deva
sentons pas en nous, nous n’en avons pas conscience comme quand il s’
agit
de nous-même ; nous sommes donc obligés de l’inte
tes de cet homme les uns par les autres ; nous considérons comment il
agit
dans telle ou telle circonstance, et, en un mot,
réoccupé d’une théorie exclusive. Mais hâtons-nous de dire qu’il ne s’
agit
point ici d’élever l’ignorance en principe. Plus
mêmes l’autorité de leurs prédécesseurs, et ils n’entendent pas qu’on
agisse
autrement envers eux. Cette non-soumission à l’au
ence. Pour les arts et les lettres, la personnalité domine tout. Il s’
agit
là d’une création spontanée de l’esprit, et cela
. De même que dans les autres actes humains, le sentiment détermine à
agir
en manifestant l’idée qui donne le motif de l’act
cipe du raisonnement expérimental sera donc toujours une idée qu’il s’
agit
d’introduire dans un raisonnement expérimental po
pes. Seulement quand la certitude du principe n’est pas absolue, il s’
agit
toujours d’une déduction provisoire qui réclame l
étermine la forme du raisonnement expérimental. Toutefois, quand il s’
agit
de la médecine et des sciences physiologiques, il
idée préconçue, l’expérimentateur doit encore douter ; car comme il s’
agit
d’une vérité inconsciente, sa raison lui demande
sa cause. C’est ce rapport qui est la vérité scientifique et qu’il s’
agit
maintenant de préciser davantage. Rappelons-nous
« Toutes les parties d’un corps vivant sont liées ; elles ne peuvent
agir
qu’autant qu’elles agissent toutes ensemble : vou
un corps vivant sont liées ; elles ne peuvent agir qu’autant qu’elles
agissent
toutes ensemble : vouloir en séparer une de la ma
dont ils ont découvert les lois ; mais pour cela l’expérimentateur n’
agira
pas sur la vie. Seulement, il y a un déterminisme
et d’ailleurs, c’est dans le milieu intérieur qu’il devrait les faire
agir
. En effet c’est le milieu intérieur des êtres viv
ines substances toxiques ou médicamenteuses que la thérapeutique peut
agir
sur les éléments organiques. Pour arriver à résou
onsidèrent la vie comme une influence mystérieuse et surnaturelle qui
agit
arbitrairement en s’affranchissant de tout déterm
orps qui réagit ou qui manifeste le phénomène ; 2º un autre corps qui
agit
et joue relativement au premier le rôle d’un mili
e qu’en reproduisant leurs conditions naturelles d’existence, et nous
agissons
d’autant plus facilement sur ces conditions, qu’e
r et connaître, parce que c’est par son intermédiaire qu’ils pourront
agir
sur les éléments histologiques qui sont les seuls
les phénomènes physico-chimiques, l’effet d’un contact d’un corps qui
agit
, et du milieu dans lequel il agit. En résumé, l’é
l’effet d’un contact d’un corps qui agit, et du milieu dans lequel il
agit
. En résumé, l’étude de la vie comprend deux chose
ivants que pour les phénomènes des corps bruts. Seulement, quand il s’
agit
des organismes élevés et complexes, ce n’est poin
ns sa cause première, mais il en est devenu maître ; l’instrument qui
agit
lui est inconnu, mais il peut s’en servir. Cela e
ra le moyen de produire le sommeil ou de l’empêcher, et nous pourrons
agir
sur le phénomène et le régler à notre gré. Dans l
lois de la nature. Nous avons souvent répété que l’expérimentateur n’
agit
pas sur les phénomènes eux-mêmes, mais seulement
organisé. C’est ce qui fait que probablement jamais l’homme ne pourra
agir
aussi facilement sur les espèces animales ou végé
ions d’existence des phénomènes sur lesquelles l’expérimentateur doit
agir
pour faire varier les phénomènes. Nous regardons
tières identiques, unies dans les mêmes proportions ; mais quand il s’
agit
de faire l’analyse et la synthèse des propriétés
turaliste, on regarde les maladies comme des espèces morbides qu’il s’
agit
de définir et de classer nosologiquement, soit qu
ons en effet que le physiologiste et le médecin ne peuvent réellement
agir
que par l’intermédiaire de la physico-chimie anim
s vitales, ainsi qu’à la complexité des phénomènes de la vie. Il ne s’
agit
en effet pour le physiologiste que de décomposer
surtout sur la connaissance du milieu intérieur dans lequel viennent
agir
les influences normales et morbides ainsi que les
e scientifique de la vivisection est d’ailleurs facile à saisir. Il s’
agit
toujours, en effet, de séparer ou de modifier cer
t, comprend un grand nombre de degrés successifs, car on peut avoir à
agir
soit sur les appareils organiques, soit sur les o
avec tous les autres moyens physico-chimiques d’investigation qu’il s’
agit
de porter dans l’organisme. Réduite à elle-même,
mêmes problèmes que pour l’anatomie comparée normale. Quand il s’est
agi
d’altérations morbides apportant des modification
et du poumon. Mais ce diagnostic n’était plus possible quand il s’est
agi
de maladies dont les altérations étaient impercep
faire l’autopsie immédiatement après la mort, absolument comme s’il s’
agissait
de ces maladies instantanées qu’on appelle des em
tions, car c’est à propos de chaque expérience en particulier qu’il s’
agira
ensuite d’examiner ces conditions, aux trois poin
r instituer ses expériences. On comprendra, en effet, que, quand il s’
agit
de couper un nerf, de lier un conduit ou d’inject
mécanismes variés à l’infini. Un poison ou une condition morbide qui
agiraient
sur un élément histologique déterminé, devrait l’
ible ; tantôt il faut faire l’expérience sur le même animal. Quand on
agit
sur deux animaux, il faut, ainsi que nous venons
e attribuée à une différence tenant à leur organisme même. Quand il s’
agit
d’expérimenter sur des organes ou sur des tissus
r lui successivement et à des reprises différentes, soit qu’il faille
agir
au même moment et simultanément sur des parties s
s40. Je crois qu’il faudrait justifier ces interprétations quand il s’
agit
de préciser des phénomènes aussi complexes. En un
de fonction d’un organe à l’aide de ses nerfs, et que l’on peut même
agir
sur lui localement en se mettant à l’abri du rete
imal, pris en masse, mais par kilo du sang et de l’élément sur lequel
agit
le poison ; sans cela on ne saurait tirer de ces
ibles. Ici les cas paraissaient aussi comparables que possible ; il s’
agissait
de la même opération faite par le même procédé, s
ri ; c’est ce quelque chose qu’il faut déterminer, et alors on pourra
agir
sur ces phénomènes ou les reconnaître et les prév
ni un mémoire de physiologie si l’on n’est pas physiologiste. S’il s’
agit
de décider entre deux opinions scientifiques diff
s naturels ne constituent point la science complète. La vraie science
agit
et explique son action ou sa puissance : c’est là
logie, ni physiologie, ni pathologie ; il n’y a que des corps qu’il s’
agit
de classer et des phénomènes qu’il s’agit de conn
n’y a que des corps qu’il s’agit de classer et des phénomènes qu’il s’
agit
de connaître et de maîtriser. Or la science qui d
ogie est la science vitale active à l’aide de laquelle l’homme pourra
agir
sur les animaux et sur l’homme, soit à l’état sai
desséchés. Un médecin ne connaîtra les maladies que lorsqu’il pourra
agir
rationnellement et expérimentalement sur elles ;
’une science de la vie, il n’y a que des phénomènes de la vie qu’il s’
agit
d’expliquer aussi bien à l’état pathologique qu’à
in doit être le plus complexe de tous les laboratoires, parce qu’il s’
agit
d’y faire l’analyse expérimentale la plus complex
bivores ont alors des urines semblables à celles des carnivores. Il s’
agit
ici d’un fait particulier bien simple qui permet
ine ; alors il se présente à l’esprit une réponse ou une idée qu’il s’
agit
de soumettre à l’expérience. En voyant l’urine ac
is je ne pus déplacer, comme à l’ordinaire, de l’oxygène. J’essayai d’
agir
de même sur le sang artériel, je ne réussis pas d
’une hypothèse qui se déduit d’une théorie. Dans ce cas, bien qu’il s’
agisse
d’un raisonnement déduit logiquement d’une théori
isir pour se tirer d’embarras. Mais je n’approuve pas cette manière d’
agir
par des raisons que j’ai données ailleurs. J’ai d
les nerfs sympathiques qui, dans la lésion d’un tronc nerveux mixte,
agissent
pour produire le ralentissement des phénomènes ch
ées par des idées fausses ou assises sur des faits mal observés. Il s’
agira
ici de rappeler, par des exemples, les principes
ations des phénomènes et les conditions de ces manifestations qu’il s’
agit
de déterminer ; c’est là ce que la critique expér
hoisi dans les travaux des autres. En effet, dans la science, il ne s’
agit
pas seulement de chercher à critiquer les autres,
principes de la critique expérimentale. On ne saurait douter qu’il s’
agisse
dans ce qui précède d’une critique sincère et pur
uis trompé en 1839. Un pareil raisonnement n’est pas admissible. Il s’
agit
en effet, en 1839, à propos de la sensibilité des
est porté par son premier mouvement à contredire, surtout quand il s’
agit
de contredire un homme haut placé dans la science
ait devenir scientifique qu’à la condition de savoir comment ce venin
agit
sur la grenouille et pourquoi ce venin n’agit pas
savoir comment ce venin agit sur la grenouille et pourquoi ce venin n’
agit
pas sur le crapaud. Il fallait nécessairement pou
in de crapaud tue en arrêtant le cœur des grenouilles, tandis qu’il n’
agit
pas sur le cœur du crapaud. Or, pour être logique
utre nature que celles du cœur de la grenouille, puisqu’un poison qui
agit
sur les unes n’agit pas sur les autres. Cela deve
es du cœur de la grenouille, puisqu’un poison qui agit sur les unes n’
agit
pas sur les autres. Cela devenait impossible ; ca
, avant l’injection alimentaire et un autre après. De même quand il s’
agit
aussi de voir l’influence de la contraction sur l
ue, en dehors des vaisseaux la fibrine se coagule, parce que la vie n’
agit
plus sur elle. Il n’en est rien ; il faut certain
d’autres recherches et à entreprendre de nouvelles expériences. Il s’
agira
donc de ne jamais perdre de vue en physiologie le
ale. Il importe donc beaucoup de nous expliquer à ce sujet ; car il s’
agit
ici d’une importante question de méthode, et ce s
pable de prévoir le cours et l’issue des maladies, mais ne devant pas
agir
directement sur la maladie. Il en est d’autres, e
observe et prévoit le cours des maladies, mais sans avoir pour but d’
agir
directement sur leur marche70. Sous ce rapport il
édecine hippocratique, mais de l’empirisme. Le médecin empirique, qui
agit
plus ou moins aveuglément, expérimente en définit
e des phénomènes physiologiques dans des conditions nouvelles qu’il s’
agit
de déterminer ; les actions toxiques et médicamen
es. Or, c’est précisément cette application de la physiologie qu’il s’
agit
ici de bien définir. Nous avons vu plus haut en q
t pris toutes les précautions nécessaires pour bien l’observer ; il s’
agissait
d’une femme qui vivait en bonne santé, sauf quelq
l’idiosyncrasie et l’antagonisme ne sont que des mots vagues qu’il s’
agirait
d’abord de caractériser et de ramener à une signi
us mauvais médecins et qu’ils sont les plus embarrassés quand il faut
agir
au lit du malade. Cela voudrait-il dire que la sc
e me souviens d’avoir fait partie d’une commission dans laquelle il s’
agissait
d’examiner ce qu’il y avait à faire pour prévenir
e les troubler et de les modifier quand elles sont mauvaises. Il ne s’
agissait
donc plus d’être simplement un médecin qui dirige
veut comprendre ce qu’il fait ; il ne lui suffit pas d’observer ou d’
agir
empiriquement, mais il veut expérimenter scientif
ment embarrassé, parce que d’une part sa conviction est que l’on peut
agir
à l’aide de moyens médicamenteux puissants, mais
ue la médecine expérimentale soit constituée scientifiquement avant d’
agir
auprès de ses malades. Loin de là, il doit employ
tituer qu’une méthode incomplète de traitement. Il faut souvent aussi
agir
contrairement aux tendances de la nature ; si par
oriser la nature qui fait sortir le sang et amène la mort ; il faudra
agir
en sens contraire, arrêter l’hémorragie et la vie
De même, quand un malade aura un accès de fièvre pernicieuse, il faut
agir
contrairement à la nature et arrêter la fièvre si
s actions médicamenteuses physico-chimiques ou spécifiques capables d’
agir
dans ce milieu intérieur pour modifier les mécani
erminisme à la cause prochaine ou déterminante des phénomènes. Nous n’
agissons
jamais sur l’essence des phénomènes de la nature,
ture, mais seulement sur leur déterminisme, et par cela seul que nous
agissons
sur lui, le déterminisme diffère du fatalisme sur
ur lui, le déterminisme diffère du fatalisme sur lequel on ne saurait
agir
. Le fatalisme suppose la manifestation nécessaire
méthode expérimentale, l’hypothèse est une idée scientifique qu’il s’
agit
de livrer à l’expérience. L’invention scientifiqu
rêt sur la figure d’un personnage que l’on va voir entrer en scène et
agir
sous vos yeux. C’est donc, selon la logique, le m
nt. On comprend alors, dès qu’il apparaît, dès qu’il parle, dès qu’il
agit
, ses premiers mots et ses moindres actes ; on a l
bien regarder et de bien se figurer le personnage qui doit parler ou
agir
, elle le fait se mouvoir, elle le fait parler ou
doit parler ou agir, elle le fait se mouvoir, elle le fait parler ou
agir
, elle le fait commettre des actes de vertu, de po
tinuels orages politiques. Pendant qu’on délibérait dedans, le peuple
agissait
dehors et frappait aux portes. Ces vingt-six mois
ne remet pas aux vaincus la garde et l’administration des conquêtes.
Agir
comme elle agit, c’était pousser fatalement le ro
x vaincus la garde et l’administration des conquêtes. Agir comme elle
agit
, c’était pousser fatalement le roi ou à la trahis
s : l’instinct de leur conservation et l’instinct de leur croissance.
Agir
ou se reposer, marcher ou s’asseoir, sont deux ac
a aussi repos dans les républiques et action sous les monarchies. « S’
agit
-il de se conserver, de se reproduire, de se dével
lente et insensible que les peuples ont comme les grands végétaux ; s’
agit
-il de se maintenir en harmonie avec le milieu eur
Elle abdique, et elle charge la monarchie de prévoir, de vouloir et d’
agir
pour elle. C’est le plus parfait des gouvernement
« Un peuple, au contraire, est-il à une de ces époques où il faut
agir
dans toute l’intensité de ses forces pour opérer
oint d’appui et le levier. « On ne peut pas demander alors à la loi d’
agir
contre la loi, à la tradition d’agir contre la tr
ut pas demander alors à la loi d’agir contre la loi, à la tradition d’
agir
contre la tradition, à l’ordre établi d’agir cont
la loi, à la tradition d’agir contre la tradition, à l’ordre établi d’
agir
contre l’ordre établi. Ce serait demander la forc
que l’autre de la vertu de ses produits. C’est bien de romans qu’il s’
agit
, et il est admirable qu’on attribue à Maurice Bar
merveille la bravoure critique et la maëstria du peintre. Les livres
agissent
de deux manières sur les mœurs : ou bien ils pose
, c’est-à-dire de combinaison, ce sont les livres des moralistes, qui
agissent
parce qu’ils font voir clair. L’œuvre du comte To
é dans le roman d’Adam, s’explique par ce doute où il s’abîme : ai-je
agi
pour mon plaisir ? Ou ai-je agi pour leur bien ?
ue par ce doute où il s’abîme : ai-je agi pour mon plaisir ? Ou ai-je
agi
pour leur bien ? Dans la seconde hypothèse il ser
Ils sont dramatiques par leurs combats avec la conscience. On ne peut
agir
moralement sur un autre terrain. Solness le Const
nore le monde, mais l’univers le pressent et se tend vers lui : ainsi
agit
-il sans impulsion. Le bénéfice tiré de Jésus-Chri
e Jésus-Christ est le désir de son imitation. L’homme moral de Kant n’
agit
pas de telle sorte que son action soit heureuse a
lez, qu’ils le sont (je le dis sans vouloir les déprécier) quand il s’
agit
de rechercher d’invisibles étoiles, de calculer l
uit, suivant l’auteur, à se demander, non pas si nous sommes libres d’
agir
dans certains cas comme il nous plaît, — car pers
’il y a des causes régulières qui nous mettent en état de « vouloir »
agir
comme nous agissons. Or, c’est là une question de
es régulières qui nous mettent en état de « vouloir » agir comme nous
agissons
. Or, c’est là une question de fait : et les exemp
s, tous les faits de cette nature résultent de causes déterminées qui
agissent
avec régularité. Ainsi lorsqu’on laisse de côté l
ant ces actions, nous n’en faisons pas moins ce qui nous plaît ; nous
agissons
avec une parfaite liberté. Je ne sais, ajoute-t-i
ar pur charlatanisme que les maîtres du curare de certaines tribus en
agiraient
ainsi, afin d’augmenter le prestige de leur puiss
à dire qu’il faut des quantités beaucoup plus grandes de curare pour
agir
par les voies digestives que par une piqûre sous-
es animaux et la rapidité de la circulation qui en est la conséquence
agissent
dans le même sens. C’est ce qui fait que les anim
de cinq minutes, la poule était morte. » Dans un autre exemple, il s’
agit
d’un paresseux dont la vie céda sans le moindre c
eur qualité de corps chimiquement simples que ces substances viennent
agir
ici : elles se sont préalablement combinées et gr
ur s’accomplir. Nous concevons maintenant que le curare puisse ne pas
agir
si, avant d’arriver au système artériel, il renco
onsisterait à le faire respirer artificiellement. Mais, quand on peut
agir
aussitôt après la blessure, il y a d’autres moyen
accessibles à l’action du curare que d’autres. En effet, bien qu’il s’
agisse
d’éléments organiques de même nature, il y a entr
apable d’empoisonner les nerfs moteurs des membres ne suffit pas pour
agir
sur les nerfs moteurs de la tête : la quantité qu
à beaucoup d’autres points de vue. On observe alors, quand le curare
agit
en petite proportion, des sortes d’agitation non
ltérieur pour sa santé. Revenons maintenant à notre blessé, dont il s’
agit
de sauver la vie et de conserver le membre. La li
arier les actions qui en dépendent. Les physiciens et les chimistes n’
agissent
pas autrement quand ils gouvernent les phénomènes
philosophe, à toutes les inspirations du poëte et de l’artiste. Il s’
agira
ici, bien entendu, du cœur anatomique, c’est-à-di
déjà pouvoir y jeter, tout cela me détermine et m’encourage. Il ne s’
agira
pas d’ailleurs de parler ici de la physiologie du
ieurs. Le cœur diffère ainsi de tous les muscles du corps en ce qu’il
agit
dès qu’il apparaît, et avant d’être complétement
re ne se repose jamais. De tous les organes du corps il est celui qui
agit
le plus longtemps ; il préexiste à l’organisme, i
mum moriens). Dans cette extinction de la vie de l’organisme, le cœur
agit
encore quand déjà les autres organes font silence
nerfs peuvent être très-développés et constitués anatomiquement sans
agir
encore sur aucun des organes musculaires qui sont
x conservent leurs propriétés vitales respectives. Si maintenant nous
agissons
par des procédés analogues sur les nerfs du cœur,
umo-gastriques qui vont dans son tissu, on constate que, tant qu’on n’
agit
pas sur ces nerfs, le cœur continue à battre comm
uelques variétés qui dépendent de la sensibilité de l’animal. Si l’on
agit
sur des mammifères très-sensibles, le cœur s’arrê
t ressentir son influence motrice au cœur absolument comme quand nous
agissons
dans nos expériences avec le courant galvanique.
Comme nous savons maintenant que les influences sensitives ne peuvent
agir
sur le cœur qu’en excitant ses nerfs moteurs, nou
t cet état peut-il ensuite traduire nos sentiments ? C’est ce qu’il s’
agit
d’expliquer. Rappelons-nous que le cœur ne cesse
s nerveuses en sont la conséquence. On a donc bien raison, quand il s’
agit
d’apprendre à quelqu’un une de ces nouvelles terr
« Toutes les parties d’un corps vivant sont liées ; elles ne peuvent
agir
qu’autant qu’elles agissent toutes ensemble. Voul
un corps vivant sont liées ; elles ne peuvent agir qu’autant qu’elles
agissent
toutes ensemble. Vouloir en séparer une de la mas
t exerce sur nous son action, ce n’est point dans notre estomac qu’il
agit
, mais seulement dans notre milieu intra-organique
les corps vivants ne se comportent pas comme les corps inanimés. Il s’
agit
seulement de bien caractériser et de bien définir
constituants et sous l’influence des conditions physico-chimiques qui
agissent
sur eux. Pour le physiologiste et le médecin expé
ion que nous devons sans doute trouver fort sage, il ne pourra jamais
agir
sur les corps célestes ; c’est pourquoi l’astrono
mprend, puisque l’expérimentateur n’engendre pas les phénomènes, mais
agit
seulement et exclusivement sur leur état antérieu
mentateur refroidit un corps liquide pour le faire cristalliser, il n’
agit
pas sur la cristallisation, qui est la propriété
vient à la fois une source puissante de mouvement et de chaleur, on n’
agit
pas sur l’explosion elle-même, on ne fait qu’appo
marcher avec une très grande activité. Dans ce cas encore, on n’a pas
agi
sur la propriété de fermentation qui est essentie
ns sa cause première, mais il en est devenu maître ; l’instrument qui
agit
lui reste inconnu dans son essence, mais il conna
es physiologiques ou pathologiques permettra seule au physiologiste d’
agir
rationnellement sur les phénomènes de la vie et d
égissent. L’expérimentateur ne peut changer les lois de la nature. Il
agit
sur les phénomènes, quand il en connaît le déterm
y a là, dit-on, un abîme entre l’organe et la fonction, parce qu’il s’
agit
de phénomènes métaphysiques et non plus de mécani
la science, ou bien si c’est une ignorance absolue en ce sens qu’il s’
agirait
là d’un problème vital qui doit à jamais rester e
t les mêmes dans le cerveau que dans tous les autres organes. Le sang
agit
sur les éléments anatomiques de tous les tissus e
ide à la formation duquel le sang doit plus ou moins concourir ; il s’
agit
là d’un phénomène général qui s’observe dans tous
it qu’un travail mécanique, est dans le même cas que les glandes, qui
agissent
chimiquement. Au moment de la fonction du muscle,
ilité ; si c’est le mouvement qui disparaît, nous en inférons qu’il s’
agit
d’un nerf de mouvement. On a employé la même méth
traire serait admettre un effet sans cause. Quand le poison a cessé d’
agir
, nous voyons les troubles intellectuels disparaît
rce vitale, dit-il, qui sans cesse lutte contre les forces physiques,
agit
avec intelligence, dans un dessein calculé, pour
nité donne la raison de l’harmonie des manifestations vitales, et qui
agit
en dehors des lois de la mécanique, de la physiqu
es ensemble par une force supérieure à ces affinités, qui n’a cessé d’
agir
sur elles qu’à l’instant de la mort. » Ces idées
c’est ce qui mourra, ce qui est mort, c’est ce qui a vécu. Quand il s’
agit
d’un phénomène de la vie comme de tout phénomène
oprement parler, une définition ; c’est une vue, une conception. Il s’
agira
donc pour nous de savoir quelle conception nous d
uid proprium de la vie qui sera irréductible ? C’est le point qu’il s’
agit
d’examiner. En analysant avec soin tous les phéno
dirons avec Descartes : on pense métaphysiquement, mais on vit et on
agit
physiquement. Claude Bernard. 1. Voyez mes
assez fou pour le nier. Ces forces aveugles, le premier venu les fait
agir
ou les laisse agir ; le philosophe doit en parler
ier. Ces forces aveugles, le premier venu les fait agir ou les laisse
agir
; le philosophe doit en parler ; pour en parler,
n connaître le peu qu’on en peut connaître, il doit donc les regarder
agir
. Comment ? avec quels yeux ? sinon avec son intel
ir. Encore est-ce un instrument dont on ne peut se passer, sinon pour
agir
, au moins pour philosopher. C’est pour cela qu’un
insi dire, elle sera intellectualiste ou elle ne sera pas. Ce qu’il s’
agit
précisément de savoir, c’est si elle sera. § 2
ants à rien connaître et pourtant nous sommes embarqués, il nous faut
agir
, et à tout hasard, nous nous sommes fixé des règl
ire n’aurait pas réussi. Si je dis, pour faire de l’hydrogène, faites
agir
un acide sur du zinc, je formule une règle qui ré
du zinc, je formule une règle qui réussit ; j’aurais pu dire, faites
agir
de l’eau distillée sur de l’or ; cela aurait été
Il en est de même, comme je crois l’avoir montré ailleurs, quand il s’
agit
par exemple du postulatum d’Euclide. Quand on me
ien ils pourront dire que la gravitation n’est pas la seule force qui
agisse
sur les astres et qu’il vient s’y ajouter une for
tion suit la loi de Newton, (3) la gravitation est la seule force qui
agisse
sur les astres. Dans ce cas la proposition (2) n’
i est suprême en ces Mémoires, — qui va jusqu’au génie, quand il ne s’
agit
que de peindre, mais qui n’y va pas, quand il s’a
e, quand il ne s’agit que de peindre, mais qui n’y va pas, quand il s’
agit
de juger, — ni le sujet de ce récit, grand, varié
qu’il a su peindre, il ne l’a plus été avec son modèle quand il s’est
agi
de la tête du siècle, de son chef. Pour une raiso
e. Puisqu’il aime la féodalité et ses symboles, il mérite, quand il s’
agit
de Mme de Maintenon, que la Critique lui casse se
on, nous forcerait presque au rabâchage. Delenda est Carthago ! Il s’
agit
, en effet, de Carthage ; il s’agit d’une foi très
hage. Delenda est Carthago ! Il s’agit, en effet, de Carthage ; il s’
agit
d’une foi très punique, de la bonne foi de Saint-
une dernière fois cette profonde et singulière inintelligence. Il s’y
agit
, dans ce volume, à peu près de la fin de tout pou
peu plus haut que son mépris et que sa haine. Cependant Dubois avait
agi
, et il a donné de lui des pressentiments superbes
Aberration aussi étonnante que le talent même qui la voile ! il ne s’
agit
plus ici d’un serviteur de ce grand roi qui le te
le tenait, lui, Saint-Simon, comme non-avenu devant son regard. Il s’
agit
d’un serviteur de ce duc d’Orléans, qu’il aimait,
Chapitre V. Des trois ordres de causes qui peuvent
agir
sur un auteur On pense bien que les causes, que
éterminer les voies où il doit pousser son enquête. Or les causes qui
agissent
sur un individu ne peuvent être cherchées qu’en l
ir se transmettent d’une génération à une autre ; un ancêtre revit et
agit
tout à coup dans quelqu’un de ses descendants. Il
er l’action de ces causes physiologiques. D’autre part, l’esprit peut
agir
sur lui-même, et par suite, il est modifié dans s
des effets différents et même contraires. Il suffit pour cela qu’elle
agisse
sur des êtres différents. Qu’on entre, par exempl
le de découvrir scientifiquement un certain nombre des causes qui ont
agi
sur une œuvre littéraire par l’intermédiaire de s
plus lointain passé du malade, tout cela semble bien indiquer qu’il s’
agit
d’une insuffisance psychique profonde, congénital
? Si la vie n’est pas résoluble en faits physiques et chimiques, elle
agit
à la manière d’une cause spéciale, surajoutée à c
ubsiste autour de l’intelligence, produise le même effet : il ne peut
agir
directement, mais puisque l’intelligence travaill
jacente à celle qui raisonne. Elle avait aperçu le danger. Il fallait
agir
tout de suite. Instantanément elle avait rejeté l
qu’il n’était pas fait appel à l’intelligence individuelle et qu’il s’
agissait
même de la contrecarrer, celle-ci, s’emparant de
ra l’humanité au-dessus d’elle-même et lui donnera plus de force pour
agir
. Mais elle est d’abord déprimante, et elle le ser
er. Mais, sous quelque forme qu’on prenne la représentation dont il s’
agit
, nous ne ferons aucune difficulté pour admettre q
n’empêchera d’y laisser le principe qui imprimait au corps la force d’
agir
. On obtiendra une ombre active, agissante, capabl
, en théorie, cela ne devrait pas être. L’intelligence est faite pour
agir
mécaniquement sur la matière ; elle se représente
mécanique de causes et d’effets avec lequel il prend contact quand il
agit
sur les choses doit s’étendre à la totalité de l’
s ici à un enchaînement mécanique, nous ne le verrions pas, dès qu’il
agit
, faire tout ce qu’il faut pour déclencher mécaniq
ce qu’il faut pour déclencher mécaniquement le résultat. Or, qu’il s’
agisse
de sauvages ou de civilisés, si l’on veut savoir
’un homme. De l’action de l’inanimé sur l’inanimé (à moins qu’il ne s’
agisse
d’un phénomène, météorologique ou autre, dans leq
blance entre la mentalité du civilisé et celle du primitif quand il s’
agit
de faits tels que ceux que nous venons d’envisage
, cependant. Il est rare que le primitif se sente dispensé par elle d’
agir
. Des indigènes du Cameroun s’en prendront uniquem
itié. Entre nous soit dit, cela ne me faisait pas grand mal, car il s’
agissait
de dents qui seraient tombées d’elles-mêmes ; mai
si les deux constatations que l’on peut faire dans des cas où il ne s’
agit
plus de l’avenir, mais du présent, et où l’homme
rait une manifestation particulière. Au contraire, l’entité dont il s’
agit
est le phénomène lui-même, considéré comme perman
dire autre chose quand nous parlons d’instincts intellectuels : il s’
agit
de représentations formées par l’intelligence nat
fin déformer plutôt que transformer radicalement. Que d’ailleurs il s’
agisse
de transformation ou de déformation, la forme ori
mmes arrivés, nous avons particulièrement besoin d’elles. Car il ne s’
agit
de rien de moins que de la réaction de l’homme à
le relèverait du pur mécanisme la zone à l’intérieur de laquelle nous
agissons
mécaniquement. Cette zone s’élargit à mesure que
Celle-là n’est plus traitée physiquement, mais moralement. Ne pouvant
agir
sur elle, nous espérons qu’elle agira pour nous.
ent, mais moralement. Ne pouvant agir sur elle, nous espérons qu’elle
agira
pour nous. La nature s’imprégnera donc ici d’huma
plications de certains principes théoriques tels que : « le semblable
agit
sur le semblable », « la partie vaut pour le tout
on indéfinie. Mais, sous la première, il autorise à croire qu’on peut
agir
sur un objet lointain par l’intermédiaire d’un ob
pour le tout », etc. Mais l’origine psychologique reste la même. Il s’
agit
toujours de répéter à tête reposée, en se persuad
. La magie nous paraît donc se résoudre en deux éléments : le désir d’
agir
sur n’importe quoi, même sur ce qu’on ne peut att
ans la même direction. Elle mesure et calcule, en vue de prévoir et d’
agir
. Elle suppose d’abord, elle constate ensuite que
ur la configuration mathématique de l’univers. Quoique nous n’ayons à
agir
que sur les objets qui nous entourent, et quoique
, que pour nous révéler les objets sur lesquels nous sommes en état d’
agir
; mais de même que la nature n’a pu obtenir le de
science, une zone immense d’imprévisibilité qui pourrait décourager d’
agir
. Il faut pourtant agir quand même. La magie inter
se d’imprévisibilité qui pourrait décourager d’agir. Il faut pourtant
agir
quand même. La magie intervient alors, effet immé
point de vue, la magie fait évidemment partie de la religion. Il ne s’
agit
sans doute que de la religion inférieure, celle d
s ressembler à de la religion. Prenons le cas le plus fréquent : il s’
agit
d’un animal, le rat ou le kangourou, par exemple,
de Nekkeb », on les désignait suffisamment. Mais le plus souvent il s’
agissait
de divinités qui préexistaient au groupe, et que
que a sa physionomie, son caractère, son histoire. Il va et vient, il
agit
en dehors de l’exercice de ses fonctions. On raco
accrue par l’attention et l’intérêt de la société présente. Mais il s’
agit
d’une société juste aussi grande que la salle, et
des velléités de spéculer, la philosophie ne se désintéressera pas d’
agir
; mais la première n’en restera pas moins essenti
ent devenue philosophie chez les anciens, elle a plutôt déconseillé d’
agir
et renoncé à ce qu’elle était venue faire dans le
avons use en parlant de la « religion naturelle ». A vrai dire, il s’
agissait
moins de cette religion elle-même que de l’effet
analyser la mémoire, le mouvement même de la mémoire qui travaille. S’
agit
-il de retrouver un souvenir, d’évoquer une périod
guées, l’instable au stable, c’est-à-dire le commencement à la fin. S’
agit
-il de la perception ? On ne verra en elle que les
n méconnaîtra les images remémorées qui en forment le noyau obscur. S’
agit
-il de l’image remémorée à son tour ? On la prendr
r hypothèse à matérialiser le souvenir et à idéaliser la sensation. S’
agit
-il du souvenir ? Ils ne l’aperçoivent que sous fo
à la sensation naissante. Si le passé, en effet, qui par hypothèse n’
agit
plus, peut subsister à l’état de sensation faible
l’actuellement vécu, c’est-à-dire enfin de l’agissant, alors ce qui n’
agit
pas pourra cesser d’appartenir à la conscience sa
ne existence en dehors de la conscience nous paraît claire quand il s’
agit
des objets, obscure quand nous parlons du sujet ?
u dans l’acte même par lequel nous l’apercevons. Au contraire, s’il s’
agit
des objets extérieurs, c’est la connexion qui est
s mouvements reçus et renvoyés, le trait d’union entre les choses qui
agissent
sur moi et les choses sur lesquelles j’agis, le s
entre les choses qui agissent sur moi et les choses sur lesquelles j’
agis
, le siège, en un mot, des phénomènes sensori-mote
nces au confluent des deux courants apparaît l’idée générale. Il ne s’
agit
pas ici de trancher en bloc la question des idées
ure psychologique qui dégage ici la ressemblance : cette ressemblance
agit
objectivement comme une force, et provoque des ré
e suivent les mêmes causes profondes. Parce que l’acide chlorhydrique
agit
toujours de la même manière sur le carbonate de c
elque trait de ressemblance ou ne se touchent pas par quelque côté. S’
agit
-il de ressemblance ? Si profondes que soient les
sme, une association par ressemblance, puisque la perception présente
agit
en vertu de sa similitude avec les perceptions pa
ses deux limites extrêmes, le plan de l’action et le plan du rêve. S’
agit
-il d’une décision à prendre ? Ramassant, organisa
rtaine position déterminée du corps dans le temps et dans l’espace. S’
agit
-il d’un travail intellectuel, d’une conception à
tres cas, la lésion observée ou supposée, jamais nettement localisée,
agit
par la perturbation qu’elle apporte à l’ensemble
antôt elle plie l’être au milieu, tantôt le milieu à l’être. Ici elle
agit
comme force passive et défensive ; là, comme éner
vidu tel ou tel ordre de considérations, telles, ou telles, raisons d’
agir
et impriment à sa volonté et à son caractère tell
La volonté des voluptueux qu’à des images sensuelles. — Les raisons d’
agir
et de ne pas agir, les raisons de vivre et de mou
uptueux qu’à des images sensuelles. — Les raisons d’agir et de ne pas
agir
, les raisons de vivre et de mourir, les raisons d
lectives. Les volontés ne diffèrent pas seulement par leurs raisons d’
agir
; elles diffèrent encore par la nature des menson
lles-mêmes pour soutenir leur énergie, pour s’encourager à vivre et à
agir
. Tout homme a son mensonge vital ; beaucoup viven
sa réclamation en faveur de l’individu. Mais de quel individualisme s’
agit
-il ? Nous pouvons distinguer ici, comme nous l’av
ourra être répété à propos de chacun d’eux. Voilà donc des manières d’
agir
, de penser et de sentir qui présentent cette rema
arable, ou à me le faire expier s’il ne peut être réparé autrement. S’
agit
-il de maximes purement morales ? La conscience pu
ntent des caractères très spéciaux : ils consistent en des manières d’
agir
, de penser et de sentir, extérieures à l’individu
ue l’assemblée s’est séparée, que ces influences sociales ont cessé d’
agir
sur nous et que nous nous retrouvons seul avec no
continu pour imposer à l’enfant des manières de voir, de sentir et d’
agir
auxquelles il ne serait pas spontanément arrivé.
tent souvent à l’état dissocié. En effet, certaines de ces manières d’
agir
ou de penser acquièrent, par suite de la répétiti
araissent pas, à un premier examen, pouvoir se ramener à des façons d’
agir
ou de sentir ou de penser. Mais, tout d’abord, ce
nsité, durée, détermination volontaire, voilà les trois idées qu’il s’
agissait
d’épurer, en les débarrassant de tout ce qu’elles
ieur, demande un tel effort et excite une telle répugnance quand il s’
agit
des états internes, nous n’avons pas tardé, à en
a quantité,, entre la vraie durée et la pure étendue. Mais quand il s’
agit
de nos états de conscience, nous avons tout intér
e pour nous ; nous parlons plutôt que nous ne pensons ; nous « sommes
agis
» plutôt que nous n’agissons nous-mêmes. Agir lib
s plutôt que nous ne pensons ; nous « sommes agis » plutôt que nous n’
agissons
nous-mêmes. Agir librement, c’est reprendre posse
pensons ; nous « sommes agis » plutôt que nous n’agissons nous-mêmes.
Agir
librement, c’est reprendre possession de soi, c’e
suit pour rentrer en nous-mêmes. La vérité est que si nous vivons et
agissons
le plus souvent extérieurement à notre propre per
our de nous, et ils nous influencent, ils sont en nous aussi et ils y
agissent
. Par là leurs intérêts sont un peu sauvegardés. N
gnorons la portée et les conséquences de nos actes, en sorte que nous
agissons
sans bien savoir ce que nous faisons. La question
e société de vivre et de prospérer, rien ne sera fait si l’individu n’
agit
pas dans le sens voulu. Et, en fait, il n’y agit
fait si l’individu n’agit pas dans le sens voulu. Et, en fait, il n’y
agit
pas toujours. Ce n’est nullement illogique de sa
en os. Lui seul existe réellement pour lui. Et il est ainsi porté à n’
agir
que pour lui. Il sera donc fatalement incohérent
lement incohérent et divers dans sa conduite. Même sans le vouloir il
agira
pour les autres, selon les suggestions qui lui so
, selon les suggestions qui lui sont imposées. Même sans le savoir il
agira
pour lui-même, car il ne peut agir que selon sa p
imposées. Même sans le savoir il agira pour lui-même, car il ne peut
agir
que selon sa propre nature. Et comme les intérêts
oint un procédé pour nous empêcher de sentir, d’aimer, de croire et d’
agir
, mais plutôt pour éprouver nos impressions, nos p
plique et s’amplifie. Pour peu que celui qui l’exerce la comprenne ou
agisse
comme s’il la comprenait, elle redevient une atti
ni à travailler de la même manière qu’eux. Il est des gens faits pour
agir
sans penser, pour croire sans douter, pour jouir
é. L’ironie tend, comme toutes les manières de penser, de sentir et d’
agir
, à devenir automatique, à se figer, et en même te
ne absence à une présence, de l’irréel au réel. L’irréalité dont il s’
agit
ici est d’ailleurs purement relative à la directi
’elle deviendraient des pseudo-problèmes. L’hypothèse d’un absolu qui
agirait
librement, qui durerait éminemment, n’aurait plus
apercevoir, au moins confusément, qu’on l’imagine, c’est-à-dire qu’on
agit
, qu’on pense, et que quelque chose, par conséquen
dis que l’objet, une fois aboli, laisse sa place inoccupée, car il s’
agit
par hypothèse d’une place, c’est-à-dire d’un vide
rrait ou devrait être, entre du plein et du plein. En un mot, qu’il s’
agisse
d’un vide de matière ou d’un vide de conscience,
implique encore, par conséquent, l’évocation d’une image, et qu’il s’
agirait
précisément ici de s’affranchir de l’imagination
t. Disons simplement que nous le pensons « inexistant ». L’abolir est
agir
sur lui dans le temps et peut-être aussi dans l’e
aine s’aventurent hors de leur domaine propre. Nous sommes faits pour
agir
autant et plus que pour penser ; — ou plutôt, qua
u plutôt, quand nous suivons le mouvement de notre nature, c’est pour
agir
que nous pensons. Il ne faut donc pas s’étonner q
où nous avons coutume de nous les figurer quand nous nous proposons d’
agir
sur elles. Or il est incontestable, comme nous le
ne dissatisfaction et, par là même, dans un sentiment d’absence. On n’
agirait
pas si l’on ne se proposait un but, et l’on ne re
nous. Il faut tâcher ici de voir pour voir, et non plus de voir pour
agir
. Alors l’Absolu se révèle très près de nous et, d
olisent notre faculté de percevoir, comme les seconds notre faculté d’
agir
. L’organisme nous révèle ainsi, sous une forme vi
at simple, par un travail de condensation. Plus grande est la force d’
agir
départie à une espèce animale, plus nombreux, san
e des choses ; les autres réagissent, et la tension de leur faculté d’
agir
est sans doute proportionnelle à la concentration
ondes qui s’accomplissent au sein du Tout. Nous disons alors qu’elles
agissent
les unes sur les autres. Cette action nous appara
haut, le dessin immobile du mouvement plutôt que le mouvement même. S’
agit
-il d’un mouvement simple ? nous nous demandons où
de son but provisoire, que nous nous le représentons à tout moment. S’
agit
-il d’un mouvement complexe ? nous voulons savoir,
nt. Il en est donc de ce troisième cas comme des deux autres. Qu’il s’
agisse
de mouvement qualitatif ou de mouvement évolutif
Perception, intellection, langage procèdent en général ainsi. Qu’il s’
agisse
de penser le devenir, ou de l’exprimer, ou même d
aires entre elle et le pur néant. Le principe est évident lorsqu’il s’
agit
du nombre : nous ne pouvons poser le nombre 10 sa
re » aristotélicienne. Mais, après avoir taillé, il faut coudre. Il s’
agit
maintenant, avec des Idées supra-sensibles et un
e l’action elle-même. Or l’action, avons-nous dit, procède par bonds.
Agir
, c’est se réadapter. Savoir, c’est-à-dire prévoir
ar bonds. Agir, c’est se réadapter. Savoir, c’est-à-dire prévoir pour
agir
, sera donc aller d’une situation à une situation,
age, dépourvu d’intérêt en lui-même, d’une forme à une autre forme. S’
agit
-il d’un corps qui tombe ? On croit avoir serré d’
er. Or, comment se posait pour Kepler le problème astronomique ? Il s’
agissait
, connaissant les positions respectives des planèt
n à prendre le temps pour variable indépendante. Mais de quel temps s’
agit
-il ? Nous l’avons dit et nous ne saurions trop le
il n’est pas nécessaire d’aller aussi loin, et, pour l’effet qu’il s’
agit
d’obtenir ici, l’intelligence humaine suffit : te
intelligence humaine, ce n’est ni de la vôtre ni de la mienne qu’il s’
agit
. L’unité de la nature viendrait bien de l’entende
jeu entre les explications qu’elle nous suggère et les objets qu’il s’
agit
d’expliquer. C’est le détail du réel qu’elle prét
aïque, il s’imagine en avoir retracé le dessin et fait la genèse. S’
agit
-il de la matière ? Les éléments diffus qu’il intè
ué avec lui-même qu’on reproduira l’évolution dont il est le terme. S’
agit
-il de l’esprit ? Par la composition du réflexe av
uver le travail graduel de consolidation, qui est l’évolution même. S’
agit
-il enfin de la correspondance entre l’esprit et l
tion ni l’annihilation, par exemple, ne sont inadmissibles quand il s’
agit
des corpuscules constitutifs de l’atome. Par là i
ver, dans le domaine de la vie et de la conscience. Car, tant qu’il s’
agit
de la matière brute, on peut négliger l’écoulemen
ment, on sait que la pointe et les ailes tranchantes sont destinées à
agir
sur des tissus différents qu’il faut traverser su
a lieu, en effet, ainsi que nous le verrons dans ce cours. Quand il s’
agit
de conclure de l’identité de forme ou même de l’i
De même, le foie, qui a la propriété de faire de la bile et du sucre,
agit
encore dans d’autres fonctions générales, telles
conditions de repos et de mouvement du corps vivant. Mais quand il s’
agit
d’une glande agissant chimiquement, par exemple,
s que j’ai été conduit à trouver que cet organe avait pour fonction d’
agir
d’une manière spéciale dans la digestion des corp
ingue, en outre, des autres glandes, par les influences nerveuses qui
agissent
sur elle. La sécrétion parotidienne est remarquab
la sécrétion parotidienne devenir très intense. Il y a deux nerfs qui
agissent
spécialement sur la sécrétion parotidienne, ce so
d’autres portions qui n’influencent pas du tout la parotide, mais qui
agissent
sur d’autres glandes ; ainsi le nerf lingual déte
ilets se rendent en partie dans le ganglion sous-maxillaire. Quand on
agit
directement sur les filets qui se rendent dans le
re après la section du deuxième rameau du nerf lingual. Ensuite, nous
agissons
sur le bout central du nerf lingual, au-dessous d
t l’action réflexe ; tandis qu’en excitant le bout périphérique, nous
agissons
directement sur les filets centrifuges qui vont à
. Mais je n’ai rien produit. Cela prouverait-il qu’il faut absolument
agir
par l’intermédiaire du nerf ? C’est une question
observe que le suc gastrique se sécrète également. De même, quand on
agit
par une excitation mécanique ou galvanique sur le
emps, les dissections qu’on a eu occasion de faire ont prouvé qu’il s’
agissait
le plus ordinairement de tumeurs enkystées, placé
dans le tissu glandulaire même. Pour les autres organes digestifs qui
agissent
chimiquement, nous verrons qu’il en est de même,
mment mort, dont on a coupé les muscles masticateurs, si l’on vient à
agir
sur le nerf facial, bien qu’alors il n’y ait plus
st pour éviter cet inconvénient qu’on a proposé d’autres procédés qui
agissent
sur la sécrétion salivaire mécaniquement ou par l
celui d’être coagulée complétement par le sulfate de magnésie, qui n’
agit
pas sur l’albumine de l’œuf. Nous avons constaté
nes se sont beaucoup préoccupés d’une propriété qu’aurait la salive d’
agir
sur les matières féculentes pour les transformer
t pur chez les chiens, je les ai mélangées, et j’ai trouvé qu’elles n’
agissaient
pas plus après leur mélange qu’auparavant. Ce n’é
évidente ; ce qui prouve que, tandis qu’aucune des salives isolées n’
agit
sur la fécule, la salive mixte au contraire la ch
si chez l’homme on se croyait en droit de supposer que la salive peut
agir
pour transformer la fécule en sucre, au moment de
ales, en se décomposant, peuvent donner naissance à une substance qui
agit
à la manière des ferments pour transformer l’empo
u’il y a une inflammation de la bouche. Or, dans les cas où la salive
agit
avec énergie, elle contient souvent une grande qu
exemple, à la salive, la portion du ferment formée continue encore à
agir
, et l’on a la transformation si l’on emploie la s
en résulte que, le lendemain ou le surlendemain, la salive acidulée n’
agit
plus sur l’amidon. C’est d’après cela que j’ai di
ès cela que j’ai dit, il y a déjà longtemps, que la salive acidulée n’
agit
plus sur l’amidon. Quelques observateurs ont crit
rine et en sucre, et cependant la salive parotidienne de cet animal n’
agit
aucunement sur l’empois d’amidon. Il ne faudrait
luence du pneumogastrique, qui a cependant cela de particulier, qu’il
agit
bien plus énergiquement, chez le chien, sur la gl
les derniers temps, on a trouvé que la salive et le suc pancréatique
agissent
sur l’amidon pour le transformer en sucre à peu p
pas, en effet, pour faire des expériences précises en physiologie, d’
agir
dans les mêmes circonstances physiques extérieure
de pression barométrique, d’hygrométrie, etc. ; mais il faut surtout
agir
dans des conditions organiques identiques : il fa
té avec laquelle elle est troublée par les différentes influences qui
agissent
sur l’économie animale. Ces différentes influence
ndes salivaires auxquelles on a voulu le comparer. On peut, en effet,
agir
sur celles-ci sans que le type physiologique de l
te. Il resterait à décider si cette sécrétion, qui après la naissance
agit
spécialement sur des matières alimentaires déterm
pancréatique, sont beaucoup plus difficiles à préciser que celles qui
agissent
sur les glandes salivaires. Sur un chien qui avai
rande blancheur. La coagulation est entière et complète, comme s’il s’
agissait
du blanc d’œuf ; toute la masse devient solide, e
hant comment il se faisait que les carbonates empêchaient le chlore d’
agir
, et surtout pourquoi l’acide sulfurique faisait a
ides, nous avons été conduit à penser que c’était l’acide azoteux qui
agissait
dans ces circonstances, et nous avons pu rapproch
e essayé l’action de l’acide azotique, et nous avons vu que cet acide
agissait
parfaitement pour manifester la matière colorante
otique au chlore, avec d’autant plus d’avantage, que l’acide azotique
agissait
dans certains cas où le chlore n’agit pas. Ainsi,
ntage, que l’acide azotique agissait dans certains cas où le chlore n’
agit
pas. Ainsi, quand le suc pancréatique est très an
degrés, et probablement de la glycérine. Tandis que la salive n’a pas
agi
sensiblement sur la monobutyrine. Vous voyez donc
, car il y a toujours dans les parois de l’intestin des glandules qui
agissent
à la manière du pancréas. Depuis longtemps, Brunn
unner avait déjà posé la question de savoir si les glandes duodénales
agissaient
comme le pancréas, et il a tenté de la résoudre e
excréments en rapport avec certaines maladies du tube digestif. Il s’
agit
actuellement pour nous de savoir si le symptôme d
te de l’homme ; mais, d’une autre part, il en différait en ce qu’il n’
agissait
pas sur l’eau d’empois d’amidon, pour la transfor
iquide fourni diffère par ses caractères du fluide pancréatique. Il s’
agirait
toutefois de savoir si l’on peut déterminer le si
gne de l’intestin : nous avons dit, en effet, que le suc pancréatique
agit
de deux manières sur les matières grasses : 1° d’
ue nous avons vu que la salive pure des animaux retirée des glandes n’
agissait
pas sur l’amidon : nouvelle différence que nous c
que sur une seule classe d’aliments ; il est destiné, au contraire, à
agir
sur tous les aliments. C’est ce qui vous sera cla
intestinal, peuvent y concourir. Quant à l’opinion que la salive peut
agir
ainsi, l’auteur n’en donne aucune preuve, et vous
erichs conclut que le suc intestinal peut, comme le suc pancréatique,
agir
pour émulsionner les matières grasses. Nous allon
liquide qu’on recueille ensuite, on voit que ce liquide alcalin, s’il
agit
un peu sur les matières grasses pour les émulsion
savait pas qu’il faut que le suc pancréatique soit altéré, et qu’il a
agi
sur ce liquide lorsqu’il était récent. Frerichs p
phénomènes de la digestion, soutient aussi que le suc pancréatique n’
agit
pas dans la digestion. D’après des vues systémati
’opère jamais que sous l’influence de la matière grasse ; car on peut
agir
avec la même teinture de tournesol et le même pan
ère, et qu’il existe déjà un commencement de putréfaction, il cesse d’
agir
sur les matières grasses neutres pour les acidifi
ater le caractère dont nous parlons dans une infusion de pancréas, on
agira
de la manière suivante : On filtrera l’infusion d
manière suivante : On filtrera l’infusion du pancréas altéré et l’on
agira
sur elle directement, ou après l’avoir fait bouil
ncréas à un degré de décomposition moindre, et sur laquelle le chlore
agit
directement, pour y faire paraître la matière col
eutraliser l’alcali, que je suis arrivé à trouver que certains acides
agissent
quelquefois directement pour faire reparaître seu
rouge se propage peu à peu dans le liquide. Cette dernière manière d’
agir
convient généralement mieux quand la matière colo
d’agir convient généralement mieux quand la matière colorante qu’il s’
agit
de déceler est en petite quantité. Cette matière
— e, des glandes de Brunner ; — d, de la glande sublinguale. Il s’
agissait
encore de vérifier si le tissu du pancréas se dis
s qu’avec le pancréas. Chez le lapin, le tissu des glandes salivaires
agit
également sur l’amidon, mais peut-être un peu moi
res, et le rapproche du foie et de la rate. La troisième propriété, d’
agir
sur l’amidon, lui est commune avec beaucoup d’aut
’une manière isolée, mais en contact avec les différents liquides qui
agissent
avec lui. Cette étude qui nous conduira naturelle
des différents sucs gastriques. Avant d’examiner si le suc gastrique
agit
avec la salive d’une manière particulière, il est
ve d’une manière particulière, il est nécessaire de savoir comment il
agit
isolément d’une manière générale. 1° Sur les mati
l’état fluide. Ainsi le suc gastrique fluidifie la graisse, mais il n’
agit
aucunement sur ses qualités physiques et chimique
matières excrémentitielles. On voit que dans ce cas le suc gastrique
agit
tout autrement que l’eau acidulée, qui dissoudrai
ques végétales et animales. Dans toutes ces actions, le suc gastrique
agit
par ses deux éléments, et cette action peut être
comme physiologique. Il peut cependant, dans certaines circonstances,
agir
uniquement par son acide, à la manière de l’eau a
dministrer une substance sur laquelle l’acidité du suc gastrique doit
agir
, il faut l’ingérer pendant la période digestive.
insi que beaucoup d’autres que nous pourrions citer, que, lorsqu’il s’
agit
de conclusions tirées de phénomènes physiologique
d’un certain nombre de matières organiques ; les ferments destinés à
agir
sur les aliments sont ainsi arrêtés ; il en est d
n ne paraît pas jouer un rôle indispensable pour que le suc gastrique
agisse
. En un mot, si une substance est convenablement d
’estomac devait être du suc gastrique pur. Or, le suc gastrique pur a
agi
sur les aliments et les a digérés. De tout cela,
du suc gastrique sur les aliments, nous pourrons dire que ce liquide
agit
en quelque sorte comme la cuisson dans l’eau boui
sse. Le suc gastrique, bien qu’à une température beaucoup plus basse,
agit
exactement de la même manière. Relativement aux m
s digestives. Il suit de ce qui précède que le suc pancréatique devra
agir
dans le duodénum sur deux espèces de produits : 1
de plomb, par le charbon animal ou par tout autre procédé. Mais il s’
agit
ici de savoir si ce caractère est spécial au suc
ardée comme un produit alimentaire sur lequel le gaz gastrique aurait
agi
; nous avons trouvé que la gélatine possède ce ca
tique : il est alcalin, gluant, il transforme l’amidon en sucre, mais
agit
avec peu d’énergie sur les matières grasses, et n
iculièrement sur les matières azotées albuminoïdes que la bile paraît
agir
d’une manière évidente : il y a un précipité des
rive dans l’intestin mélangée avec du suc pancréatique, et alors elle
agit
sur la graisse comme un mélange de deux fluides.
es troubles dans la digestion. On comprend donc que, si la bile seule
agissait
sur les matières qui sortent de l’estomac, la dig
rêter. On constata à plusieurs reprises ce même phénomène. Ensuite on
agit
sur le ganglion thoracique du côté opposé, et l’o
celui-ci a reçu l’imprégnation biliaire. Le suc pancréatique alcalin
agit
sur toutes les matières descendues de l’estomac.
à être absorbées ; 2° Il transforme la fécule en sucre ; 3° Enfin, il
agit
sur les matières azotées, soit sur celles qui n’a
que. Cette dernière expérience prouve que le suc pancréatique ne peut
agir
efficacement sur les matières azotées que lorsque
cacement sur les matières azotées que lorsque la bile a préalablement
agi
; et qu’il doit y avoir nécessairement l’ordre de
créas. Quand on mélange de la bile et du suc pancréatique, ce mélange
agit
à la fois sur tous les principes alimentaires, su
tières grasses et sur les matières azotées ; seulement, quand on fait
agir
ce liquide mixte sur de la fécule seule, il conse
le seule, il conserve sa réaction alcaline, tandis que, si on le fait
agir
sur des matières azotées ou sur des matières gras
tances qu’autant qu’elles ont été préalablement préparées. Pour qu’il
agisse
sur les matières grasses, il faut que celles-ci a
nt été préalablement débarrassées de leur enveloppe cellulaire ; pour
agir
sur les matières féculentes, il faut que celles-c
éculentes, il faut que celles-ci aient été hydratées ; et enfin, pour
agir
sur les matières albumineuses, il faut que celles
nous avons dit, dans une des dernières séances, que le suc gastrique
agissait
sur les matières alimentaires à la manière de la
substance alimentaire unique, nous voyons au contraire un liquide qui
agit
sur toutes les matières alimentaires et qui tend
xion avec les autres liquides, et particulièrement avec la bile, il s’
agit
de savoir si ce fluide existe avant la naissance
nimaux. 2° Le séjour dans l’estomac, au contact du suc gastrique,
agit
à la façon de la cuisson, en dissolvant les parti
très important dans l’accomplissement des phénomènes digestifs. Il s’
agit
actuellement de savoir si dans les autres classes
res du suc pancréatique du chien. Alcalin, coagulable et visqueux, il
agit
de même sur les matières grasses avec une grande
occasion de réitérer l’expérience. Le tissu du pancréas des reptiles
agit
de la même manière que celui des mammifères et de
es animaux à sang chaud, possède des propriétés digestives capables d’
agir
sur les matières grasses, les matières féculentes
dice pylorique. Le pancréas de la raie a également la propriété d’
agir
sur l’amidon pour le changer en sucre et en dextr
état actuel de nos connaissances anatomiques. Je pense plutôt qu’il s’
agit
ici d’un appareil encore inconnu qui existe d’ail
; le liquide intestinal, qui est acide, jouit aussi de la propriété d’
agir
sur l’amidon, la graisse, et de donner en s’altér
ropriétés, on arriverait à des résultats contradictoires. Le pancréas
agit
sur la graisse, mais on ne saurait en conclure qu
vores sont pourvus d’un pancréas très volumineux. Le suc pancréatique
agit
sur l’amidon pour digérer cette substance et la t
s digestifs, et, pour justifier le rôle que nous lui attribuons, il s’
agirait
de prouver son existence partout où des phénomène
moins immédiate. Cependant il n’est pas à dire pour cela que le foie
agisse
directement sur tous les principes du sang pour l
s’applique qu’aux phénomènes de la nutrition chez les animaux ; il s’
agirait
maintenant de savoir si ces généralités peuvent s
ent, c’est Dieu même, et non-seulement Dieu parle, mais c’est lui qui
agit
réellement en nous et par nous. Alors que devienn
té. Or, quelle peut être l’autorité d’une pareille méthode quand il s’
agit
de modifier, sinon de supprimer, le témoignage de
gique ne peut résoudre. Et comment le pourrait-elle ? Tant qu’il ne s’
agit
que du sentiment, on reste dans la sphère intérie
t par conséquent échappent à la science humaine. Cela posé, de quoi s’
agit
-il dans la question qui nous occupe ? Est-ce d’un
sur le libre arbitre. C’est donc bien d’une vérité objective qu’il s’
agit
; par conséquent d’un problème métaphysique et no
il n’y a ni droit ni devoir, à proprement parler, pour un être qui n’
agirait
pas librement ; en un mot, il faut que l’homme so
si bien que l’homme ; car il est évident qu’il ne sent, ne perçoit, n’
agit
pas sans savoir qu’il sent, perçoit et agit. Pour
il ne sent, ne perçoit, n’agit pas sans savoir qu’il sent, perçoit et
agit
. Pourtant on s’accorde à reconnaître que la consc
e moi a conscience de la cause dans l’acte ; et, comme pour une force
agir
c’est être, il s’ensuit que la conscience de son
le petit monde de la réalité humaine, on voit fort bien comment elles
agissent
de concert. Qui donne le branle à la série de mou
de la conscience s’efface devant la loi de Dieu ; mais de quel Dieu s’
agit
-il encore une fois ? Si c’est le Dieu de l’imagin
étaphysique, autant elle doit se confier à la conscience, lorsqu’il s’
agit
de la bonne et saine direction de l’âme religieus
re. Ce mot ne convient point aux phénomènes de l’esprit, soit qu’il s’
agisse
de la conscience, soit qu’il s’agisse de l’histoi
mènes de l’esprit, soit qu’il s’agisse de la conscience, soit qu’il s’
agisse
de l’histoire. Si l’on persiste à s’en servir pou
Faites l’expérience, et vous verrez. À plus forte raison, quand il s’
agit
de textes littéraires, tout gonflés de substance
gence, on en explorera plus ou moins complètement l’étendue ; et il s’
agit
de s’habituer, dans ces deux sens, à aller le plu
ppris à distinguer le sens du livre de l’usage que j’en fais. Il ne s’
agit
pas seulement de reconnaître ce qui a été vraimen
ami d’Amérique l’assimile à une torture. Parfois on s’imagine qu’il s’
agit
de dire n’importe quoi, pourvu qu’on dise quelque
uand ce travail de mot à mot, pour ainsi dire, est achevé, alors il s’
agit
de passer du sens littéral au sens littéraire. Je
e s’imposa partout, et une préparation plus exacte s’établit. Qu’il s’
agît
du brevet supérieur, de la licence, de l’agrégati
t parfaitement possible. 3. Ce sens permanent et commun, quand il s’
agira
des textes fameux que toutes les générations des
n père. Je ferai seulement remarquer à M. Saint-Marc Girardin qu’il s’
agissait
, dans ce que j’ai dit, de l’Académie française, e
profité à aucun des deux Dumas. Je les cite, puisqu’il les cite. Il s’
agissait
uniquement, dans le cas particulier, de savoir si
. Je ne crois pas, n’en déplaise à M. Saint-Marc Girardin, que s’il s’
agissait
de deux hommes de lettres sans nom aristocratique
’Histoire. Après l’homme senti, il doit y avoir l’homme jugé. Il ne s’
agit
plus d’idéal en présence d’une réalité qui parle
gement sera sévère. D’ailleurs, ce n’est pas seulement de lui qu’il s’
agit
ici et d’un livre plus ou moins mauvais. Il s’agi
ent de lui qu’il s’agit ici et d’un livre plus ou moins mauvais. Il s’
agit
de préserver une grande mémoire des irrévérences
irrévérences de l’amour-propre ou des calculs de la spéculation. Il s’
agit
enfin de s’opposer une fois pour toutes à cette i
e plaçant d’elle-même dans le milieu où elle pût le plus spontanément
agir
, sous la main sympathique et ferme d’un grand hom
en apparence. De pareils faits montrent combien les conditions de vie
agissent
indirectement. Tout naturaliste sait encore qu’il
domestique causant la variabilité, et la volonté de l’homme, qu’elle
agisse
, soit consciemment, soit inconsciemment, accumula
ont apparemment dues qu’à la manière dont la sélection naturelle peut
agir
. Ainsi, M. Alph. de Candolle a remarqué que les g
éciale. Or, il ne faut jamais oublier que la sélection naturelle peut
agir
sur chaque organe, mais seulement pour le perfect
autre tendance innée à présenter des variations de toutes sortes, qui
agit
d’une part pour faire dévier la race, et le pouvo
t pour faire dévier la race, et le pouvoir de constante sélection qui
agit
d’autre part pour en maintenir la pureté. Dans la
r la variabilité générative encore présente et actuellement capable d’
agir
avec une certaine puissance ; parce qu’en pareil
fourni à la sélection naturelle, sexuelle et spécifique, l’occasion d’
agir
; de sorte que les diverses espèces auront pu s’a
ir des rapprochements et de comparer, les mêmes lois paraissent avoir
agi
pour produire, soit les moindres différences qui
qu’au fond ils ont l’un et l’autre une cause première identique, qui
agit
seulement d’une manière plus ou moins directe et
e seconde ; et qu’ils sont accumulés par la sélection naturelle qui n’
agit
qu’en troisième rang. Au contraire, les caractère
té, dans ses manifestations régulières ou irrégulières, ne peut guère
agir
que sur des caractères déjà anciennement acquis ;
es conditions de vie, elle n’a pas encore eu le temps ou l’occasion d’
agir
sur l’autre pour lui rendre graduellement la vue
accessible à l’homme, ce fait ne présente aucune difficulté, et il s’
agirait
de savoir s’il a été constaté avant que cette ent
es animaux l’influx vital se porte de préférence vers les organes qui
agissent
beaucoup : cette règle doit s’étendre aux plantes
édité et des croisements entre individus, si la sélection naturelle n’
agissait
pas constamment sur ceux qui ont le plus d’import
écifique, soit à la sélection sexuelle de plus fréquentes occasions d’
agir
. C’est pourquoi les espèces qui présentent de gra
gne du type de ses parents n’est que la résultante des causes qui ont
agi
sur lui à travers les deux lignées généalogiques
ouffroy dit : « À l’exception de la cause que nous sentons penser et
agir
en nous, toutes les autres causes échappent à not
s les autres causes échappent à notre observation. » Et par le fait d’
agir
, il n’entend pas l’action réelle, l’activité qui
e, l’activité qui se produit, mais simplement l’intention, le désir d’
agir
; ce qui mutile encore et appauvrit la cause. Nou
nous connaissons directement, c’est celle que nous sentons penser et
agir
, comprendre et pouvoir en nous, sentir, aimer, vi
er matériellement avec ses semblables ou avec la nature ; à parler, à
agir
, à être industrieuse, créatrice et féconde. Ils l
e intelligence et notre puissance. Ce n’est certes pas à dire qu’il s’
agisse
de ramener les appétits grossiers et rétrogrades,
humaine, dit-il, se manifeste sous trois formes différentes, savoir,
agir
, faire. De là trois sciences : la théorétique qui
cultés ou de groupes d’états de conscience. Il y en a trois : 1. Nous
agissons
: sur l’extérieur par l’intermédiaire de notre co
damment du premier, est attribué le nom de sensibilité. 3. Quand nous
agissons
, nous savons que nous agissons ; quand nous souff
é le nom de sensibilité. 3. Quand nous agissons, nous savons que nous
agissons
; quand nous souffrons, nous savons que nous souf
rons ; quand nous pensons, nous savons que nous pensons. Ce n’est pas
agir
ou sentir : c’est avoir la connaissance de notre
distinguons donc trois facultés principales : l’activité ou faculté d’
agir
; la sensibilité ou faculté d’éprouver du plaisir
il est le point vers lequel convergent toutes les facultés. Celles-ci
agissent
toujours concurremment. On ne peut trouver de fai
r de fait psychologique qui dépende d’une seule d’entre elles. Nous n’
agissons
que d’après les motifs dictés par la raison ou de
amais que des constatations. Elle nous apprend ce qui est ; mais pour
agir
, il faut que nous sachions ce qui doit être — cec
les à celle que nous sommes et qui n’ont pas besoin de l’étendue pour
agir
. Notre volonté peut agir sur notre intelligence.
es et qui n’ont pas besoin de l’étendue pour agir. Notre volonté peut
agir
sur notre intelligence. Cela se passe en dehors d
ne théorie que nous avons déjà examinée à un autre point de vue. Il s’
agit
de savoir si, comme le prétendent certains philos
, c’est là ce qui distingue la personne de la chose. Cette dernière n’
agit
que si un choc vient la mettre en mouvement. La p
st un mot vide de sens. Mais, dès que l’expérience commence, l’esprit
agit
forcément suivant ses lois. Dès qu’il pense, il r
tre elles est ce qu’on nomme l’association des idées. Cette faculté n’
agit
jamais au hasard. Il y a toujours une raison pour
instantané. Ainsi, nous ne voyons pas ici l’affinité propre aux idées
agir
toute seule. Les associations d’idées proprement
ination. Dans ce cas, l’imagination ne forme rien comme matière, mais
agit
sur la disposition de ces matériaux que lui fourn
ement suffit aux mathématiques, sciences abstraites. Mais lorsqu’il s’
agit
de choses concrètes, il faut nécessairement faire
Si donc la pensée disparaît, la conscience disparaît, le moi cesse d’
agir
, cesse d’être. Comment alors se représenter que l
moment où nous cessons de la surveiller, du jour où nous la laissons
agir
seule, produit des maladies de l’esprit. Volonté
r conséquent, que la pensée commence par des idées générales. Il ne s’
agit
pas de savoir si, dès l’origine de l’expérience,
lus, suivant sa force ; quand elle est très puissante, elle nous fait
agir
presque aussi inconsciemment que l’instinct lui-m
tude est bien plus parfaite que l’acte volontaire, car elle nous fait
agir
avec précision, en nous dispensant de l’hésitatio
nd davantage à se reproduire. Au contraire, si le phénomène dont il s’
agit
est passif, l’habitude l’affaiblira ; elle va mêm
. Ici, le mot l’indique, point de place pour la passivité. L’habitude
agit
sur des phénomènes essentiellement actifs : elle
ermine l’action une fois pour toutes, et par la suite nous dispense d’
agir
de nouveau. Ceci explique bien l’exaltation de l’
à atteindre, nous cherchons les raisons qui peuvent nous déterminer à
agir
ou ne pas agir : ce phénomène est la conception d
us cherchons les raisons qui peuvent nous déterminer à agir ou ne pas
agir
: ce phénomène est la conception des motifs. 3. P
un de ces motifs, nous le préférons aux autres, nous nous décidons à
agir
dans un sens déterminé. C’est la décision. 5. La
ine conscience, la pleine intelligence des raisons pour lesquelles on
agit
. En second lieu, nous ne nous attribuons pas la c
ple. Comment pourrions-nous répondre de nous si ce n’est pas nous qui
agissons
? Il en serait de même de la pénalité civile. Si
esprit. L’idée est quelque chose de mort, elle n’a pas la puissance d’
agir
sur la volonté. Si donc il est bien vrai que les
Mais cette doctrine affirme ce qui est contestable, que nous pouvons
agir
rien que sous l’empire d’une idée. L’idée ne soll
’idée n’a pas seulement pour domaine le réel : l’intelligence ne peut
agir
sur la volonté qu’en suscitant des mouvements sen
e est dépourvue elle-même. Kant affirme bien que l’homme doit et peut
agir
uniquement pour accomplir son devoir. On fait son
précédent, cause par rapport au suivant. Supposons que l’homme puisse
agir
librement. Son action, étant libre, devra changer
ns : d’abord, dans l’une comme dans l’autre, c’est de l’homme qu’il s’
agit
. La logique applique à une fin particulière les c
gence n’est pas une faculté isolée dans le moi, agissant seule ; elle
agit
toujours de concours avec les autres facultés. No
complète que possible des considérations purement logiques qui ont pu
agir
sur l’esprit de l’architecte dans ses prévisions,
re éducation, nos habitudes, l’hérédité. Elle provoque la volonté qui
agit
alors sur l’entendement, dirige dans un sens seul
ont les facultés personnelles par excellence. Si l’entendement seul y
agissait
, étant commun à tout le monde, il donnerait à tou
problème important ! C’est la cause qu’il faut connaître pour pouvoir
agir
sur l’effet. En quoi consiste donc précisément la
à la science : elle est à l’esprit ce qu’est l’instrument à la main.
Agir
méthodiquement, c’est agir rationnellement, ce qu
l’esprit ce qu’est l’instrument à la main. Agir méthodiquement, c’est
agir
rationnellement, ce qui est pour l’homme le meill
est agir rationnellement, ce qui est pour l’homme le meilleur moyen d’
agir
. Leçon 49 De la méthode dans les sciences math
s lui-même, le témoignage n’en est pas moins indispensable quand il s’
agit
de faits. En histoire, devant les tribunaux, on n
aut au témoin une compétence spéciale pour l’ordre de faits dont il s’
agit
: un médecin n’a point d’autorité en histoire, pa
bilité. Cela est si vrai qu’on ne rend jamais responsable celui qui a
agi
sous l’empire de la passion ou de la maladie, qui
concilier la responsabilité avec leur système. L’homme, dit Platon, n’
agit
pas librement, mais il ne s’ensuit pas de là qu’i
iste à être récompensé ou puni suivant ses actions). Si l’homme a mal
agi
, dit Platon, il a beau ne pas l’avoir fait librem
elque variables que soient les plaisirs et les peines, ils ne peuvent
agir
sur nous que par un certain nombre de caractères
nt calme, ami de la paix. Moi qui suis fait et qui pense autrement, j’
agirai
autrement si je recherche, comme il me le conseil
ègle universelle de conduite, notre action est bonne ; nous avons mal
agi
dans le cas contraire. Aussi Kant formule-t-il ai
ans le cas contraire. Aussi Kant formule-t-il ainsi la loi morale : «
Agis
d’après une maxime telle que tu puisses toujours
’idée d’universalité : elle est donc mauvaise. Mais comment cette loi
agira-t
-elle sur la volonté ? Pourquoi faire des actions
e doctrine ? Mais d’abord il est manifestement impossible que l’homme
agisse
sans être intéressé à ses actions (mais prenons l
mot intérêt dans son sens le plus large) ; une maxime d’action qui n’
agirait
pas sur l’homme par un mobile quelconque serait n
n qui ne suffira jamais ; il nous faut un intérêt à ne pas la violer.
Agir
comme le veut Kant, c’est agir sans raison. Il fa
us faut un intérêt à ne pas la violer. Agir comme le veut Kant, c’est
agir
sans raison. Il faut que nous sachions pourquoi i
t, c’est agir sans raison. Il faut que nous sachions pourquoi il faut
agir
ainsi, et non autrement : un impératif vraiment e
Kant et le fait passer à l’état d’impératif hypothétique. Nous devons
agir
de telle sorte que la maxime de nos actions puiss
à sa première formule de la loi morale il a substitué la suivante : «
Agir
de telle sorte que tu traites toujours l’humanité
venir dans la loi morale. Il se demande par quel intermédiaire la loi
agira
sur l’activité, et dit que ce sera par le mobile
hénomène de sensibilité, ce qui achève de prouver que l’homme ne peut
agir
sans avoir pour mobile un intérêt plus ou moins é
velopper notre personnalité ; d’où seconde formule de la loi morale :
Agis
toujours dans le but de développer ta personnalit
ement du dehors, mais ne se met pas en mouvement d’elle-même ; elle n’
agit
pas, comme dit Malebranche, elle est agie. La per
vement d’elle-même ; elle n’agit pas, comme dit Malebranche, elle est
agie
. La personne au contraire, étant libre, se peut s
ons substituer à la formule précédente de la loi morale la suivante :
Agis
toujours de manière à traiter ta personne jamais
voir. Nous arrivons ainsi à la formule définitive de la loi morale :
Agis
toujours de manière à traiter la personnalité hum
’il n’a pas assez d’intelligence pour bien comprendre comment il doit
agir
pour suivre la loi morale, c’est-à-dire pour déve
qui en soient spécialement chargés. Le gouvernement a donc le droit d’
agir
sur la société pour la conduire à sa fin, et rema
sécution au contraire leur donne de la vigueur. Bien entendu, il ne s’
agît
ici que de la liberté de penser et de s’exprimer
’agît ici que de la liberté de penser et de s’exprimer ; la liberté d’
agir
par des moyens plus ou moins moraux pour répandre
u concept abstrait d’une morale pure : il suppose que la volonté peut
agir
sans la sensibilité et cherche quelle doit être a
ce d’une loi universelle absolue et obligatoire. Puis, quand il s’est
agi
de donner la formule de cette loi, nous n’avons p
gi de donner la formule de cette loi, nous n’avons pas oublié qu’il s’
agissait
de l’homme, c’est-à-dire, d’un être doué de sensi
açon même dont nous avons posé les problèmes de la métaphysique. Il s’
agit
de voir si les états de conscience se suffisent à
ement. L’esprit au contraire est doué d’activité et de spontanéité. J’
agis
si je veux et parce que je veux. Je me donne à mo
e physiologique et la vie psychologique ? Comment le physique peut-il
agir
sur le moral et réciproquement ? Bien des hypothè
nt hétérogènes. Selon lui, les êtres, les individus sont incapables d’
agir
par eux-mêmes ; tout mouvement doit leur venir d’
e d’attribuer ce pouvoir divin aux individus. L’homme et les choses n’
agissent
pas ; ils pâtissent toujours ; ils ne font rien q
la doctrine du maître, il ne pense pas que l’âme et le corps puissent
agir
directement l’un sur l’autre. D’une manière génér
forces élémentaires, les Monades qui composent les corps, ne peuvent
agir
les unes sur les autres, n’ont pas, comme il dit,
Ce qui fait que ces monades, l’âme et le corps par exemple, semblent
agir
l’une sur l’autre, c’est l’harmonie préétablie en
x principes sont des forces de même nature qui peuvent par conséquent
agir
l’une sur l’autre. On ne pourrait comprendre les
is aussi différentes que le principe vital et l’âme pensante, peuvent
agir
l’une sur l’autre. C’est pourquoi une dernière do
tisme fournissent des exemples analogues de lucidité. En outre, l’âme
agit
directement sur le corps ; les effets des émotion
née qui les trouble sans cesse, qui leur fait dire quand ils ont bien
agi
, qu’ils auraient dû faire mieux encore, et qui le
ce qui engendre fatalement son effet, mais comme une intelligence qui
agit
librement. 4. L’unité de cette cause se conclut d
oute cause extérieure et d’autre part aucune cause extérieure ne peut
agir
sur lui puisqu’il est absolu. Ces attributs morau
e celle-ci conduit à la pratique du bien qui procure le bonheur. S’il
agit
autrement, c’est donc par ignorance, c’est donc p
nsibilité immédiate : mais elle peut résulter aussi bien, car il ne s’
agit
là que d’un rapport, de la faiblesse de celle-ci
giques qui le composent. Il croit alors lui-même à sa liberté et s’il
agit
tantôt bien et tantôt mal, il se juge responsable
erté les différences de sa conduite, il ne voit pas que si ayant bien
agi
hier, il agit mal aujourd’hui, c’est parce qu’auj
érences de sa conduite, il ne voit pas que si ayant bien agi hier, il
agit
mal aujourd’hui, c’est parce qu’aujourd’hui quelq
individu se montre en proie à une manie habituelle, si les causes qui
agissent
sur la plupart des hommes pour les empêcher de co
’efforts, et de tâtonnements, a créée. Cependant, l’illusion qui fait
agir
les amants avec tant de force se dissipe ou s’amo
ie de la Connaissance. *** Le second des mobiles qui pousse l’homme à
agir
, et qui, peut-être, est aussi le plus actuel, c’e
seul moyen, par lequel la médecine pourvoit à sa nécessité. Peut-être
agit
-elle dans le même sens par le seul effet des remè
était visé. De même qu’avec la passion amoureuse, l’homme, croyant n’
agir
qu’en vue de son bonheur, remplit les desseins du
s, le commandement. En d’autres termes, parents et maîtres semblaient
agir
par délégation. Nous ne nous en rendions pas nett
e va saisir l’indice révélateur. Mais regardez de plus près : il ne s’
agit
pas tant pour notre homme d’éviter le châtiment q
nté, n’a pu surgir qu’à l’appel d’une idée. Bref, un être intelligent
agit
sur lui-même par l’intermédiaire de l’intelligenc
lle n’est ni ceci ni cela ; et si elle parlait, alors qu’elle préfère
agir
, elle dirait : « Il faut parce qu’il faut. » Dès
isément ce que nous avons appelé « le tout de l’obligation ». Il ne s’
agira
d’ailleurs que des sociétés humaines telles qu’el
humaines telles qu’elles sont au sortir des mains de la nature. Il s’
agira
de sociétés primitives et élémentaires. Mais la s
choix, et par conséquent la liberté. On alléguera de nouveau qu’il s’
agit
alors de sociétés humaines très simples, primitiv
de l’obligation morale il y a l’exigence sociale. De quelle société s’
agissait
-il ? Était-ce de cette société ouverte que serait
illeurs le langage de la religion ou celui de la philosophie, qu’il s’
agisse
d’amour ou de respect, c’est une autre morale, c’
ur de l’humanité n’est pas un mobile qui se suffise à lui-même et qui
agisse
directement. Les éducateurs de la jeunesse savent
s agirions naturellement, nécessairement, si nous ne nous reposions d’
agir
en écoutant. Que la musique exprime la joie, la t
ue les anciens avaient déjà parlé des illusions de l’amour, mais il s’
agissait
alors d’erreurs apparentées à celles des sens et
de suite, et exclusivement, l’idée d’une supériorité de valeur ; il s’
agit
aussi bien d’une antériorité dans le temps, et de
éveloppement, ce n’est pas l’intelligence, c’est la sensibilité. Il s’
agit
, bien entendu, de la sensibilité profonde, et non
et celle qui invente. Création signifie, avant tout, émotion. Il ne s’
agit
pas seulement de la littérature et de l’art. On s
e, nous ne présentons nullement une « morale de sentiment ». Car il s’
agit
d’une émotion capable de cristalliser en représen
ère d’émotion est là, si je l’ai respirée, si l’émotion me pénètre, j’
agirai
selon elle, soulevé par elle. Non pas contraint o
d’être abstraite, se remplit de signification et acquiert la force d’
agir
, les autres tendent à en faire autant ; finalemen
nant sur elle-même, dans l’espèce humaine une fois constituée, et qui
agit
ensuite indirectement, par l’intermédiaire d’indi
des liens solides à la vie qu’elle avait voulue pour nous. Mais il s’
agit
d’aller plus loin, et les commodités dont on se t
actérise principalement la morale des philosophes grecs. Mais il ne s’
agirait
plus de philosophie grecque ou orientale, nous au
ssence même du devoir, nous avons en effet dégagé les deux forces qui
agissent
sur nous, impulsion d’une part et attraction de l
efficace aux mobiles moraux. Un honnête homme dira par exemple qu’il
agit
par respect de soi, par sentiment de la dignité h
ous inclinons devant la dignité humaine en nous, quand nous déclarons
agir
par respect de nous-mêmes. Il est vrai que l’acti
un message chargé d’amour, qui appelait l’amour. A vrai dire, il ne s’
agissait
plus ici d’une sagesse définie, tout entière form
rce que l’on continuait à employer le même mot, on a trop cru qu’il s’
agissait
de la même chose. Nous ne saurions trop le répéte
nné une société où l’on respire mieux, où l’on éprouve plus de joie à
agir
. Quoi qu’on fasse, il faudra toujours revenir à l
du, de le mettre en harmonie avec eux et par là avec elle ; mais il s’
agissait
toujours d’un système d’habitudes contractées au
ire à la seconde méthode, mais c’est de l’expérience mystique qu’il s’
agit
. Nous voulons parler de l’expérience mystique env
s à l’ivresse dionysiaque. Mais là n’est pas le point important. Il s’
agit
de savoir si cette ivresse peut être considérée r
, jusqu’où la pensée hindoue est-elle allée dans cette voie ? Il ne s’
agit
, bien entendu, que de l’Inde antique, seule avec
connaissance fut toujours à ses yeux un moyen plutôt qu’une fin. Il s’
agissait
pour lui de s’évader de la vie, qui lui était par
ec assez de force, ne s’arrêtera plus net devant des impossibilités d’
agir
; elle ne sera plus refoulée sur des doctrines de
chose d’elle reste en dehors . c’est la volonté : son action, si elle
agissait
, procéderait simplement d’elle. Sa vie n’est donc
à elle-même et la détachait ainsi de Dieu. Maintenant c’est Dieu qui
agit
par elle, en elle : l’union est totale, et par co
s, ils se déploient d’eux-mêmes dans une âme à la fois agissante et «
agie
», dont la liberté coïncide avec l’activité divin
embrasser l’humanité entière dans un seul indivisible amour ? Il ne s’
agit
donc pas ici de la fraternité dont on a construit
ternité dont on a construit l’idée pour en faire un idéal. Et il ne s’
agit
pas non plus de l’intensification d’une sympathie
ficateur de la foi religieuse. Il va au plus pressé. En réalité, il s’
agit
pour les grands mystiques de transformer radicale
ainsi construite. Direz-vous que toute la question est là, et qu’il s’
agit
précisément de savoir si un certain Être ne se di
cisément le cas, en général, quand la philosophie parle de Dieu. Il s’
agit
si peu du Dieu auquel pensent la plupart des homm
obile, Pensée qui se pense elle-même, enfermée en elle-même, et qui n’
agit
que par l’attrait de sa perfection ; 2º pourquoi,
on ait jugé que les Idées en général, et à plus forte raison le Bien,
agissaient
par l’attrait de leur perfection. Tel est précisé
t, et nous ne percevons que des continuités de changement ; mais pour
agir
sur le réel, et en particulier pour mener à bien
t vite réglée, au moins en ce qui concerne les grands mystiques. Il s’
agissait
ensuite de savoir si le mysticisme n’était qu’une
des êtres dignes de son amour. On hésiterait à l’admettre, s’il ne s’
agissait
que des médiocres habitants du coin d’univers qui
on est ce qui compte, comme il est entendu que nous sommes là où nous
agissons
, on a coutume d’enfermer la conscience dans le co
en présence même de l’expérience qu’on leur apporte, croyant qu’il s’
agit
encore de la même chose. Ceux qui affirment n’aur
ne fois qu’elle a commencé à se manifester, ne cesse pas totalement d’
agir
; car de nouvelles variétés se forment encore de
es. Il n’est aucune bonne raison pour que les mêmes principes qui ont
agi
si efficacement à l’état domestique n’agissent pa
les mêmes principes qui ont agi si efficacement à l’état domestique n’
agissent
pas à l’état de nature. La conservation des races
que c’eût été un fait sans valeur, si la sélection naturelle n’avait
agi
. On a souvent affirmé, quoique cette assertion ne
hangeantes ? Quelles limites peut-on supposer à ce pouvoir, lorsqu’il
agit
pendant de longs âges et scrute rigoureusement la
plicable d’après la théorie de création. Comme la sélection naturelle
agit
seulement en accumulant des variations favorables
ne peut produire soudainement de grandes modifications ; elle ne peut
agir
qu’à pas lents et courts. Cette théorie rend aisé
de croître en nombre, si la sélection naturelle est lentement prête à
agir
pour adapter ses descendants lentement variables
ges et même ils auraient pu être prévus. Comme la sélection naturelle
agit
au moyen de la concurrence, elle n’adapte l’organ
s. Mais le défaut d’exercice des organes, de même que la sélection, n’
agit
sur les individus que lorsqu’ils sont parvenus à
n avenir d’une incalculable longueur. Et comme la sélection naturelle
agit
seulement pour le bien de chaque, individu, tout
de rapports si compliqués, ont toutes été produites par des lois qui
agissent
continuellement autour de nous ! Ces lois, prises
vement adaptés à la diversité peu profonde de ces conditions. Il ne s’
agissait
guère alors pour les différents êtres que de s’ac
endants capables de se reproduire à leur tour, et la loi de sélection
agit
probablement avec la même sévérité pendant un gra
s des désirs éloignés en les rendant immédiats. Dès lors, l’être peut
agir
pour l’avenir, à distance ; il peut agir pour la
diats. Dès lors, l’être peut agir pour l’avenir, à distance ; il peut
agir
pour la totalité de sa vie individuelle, et même
l’heure présente et même de l’existence présente : elle nous permet d’
agir
sub specie æterni. La réalisation du moi idéal, d
de la société dans la conscience individuelle. En fait, nous pouvons
agir
et nous agissons sous l’idée dominante de la soci
é dans la conscience individuelle. En fait, nous pouvons agir et nous
agissons
sous l’idée dominante de la société comme si le g
pelé moi. Sans cette intégration, les idées de Patrie ou d’Humanité n’
agiraient
plus en moi comme elles agissent ; elles demeurer
les idées de Patrie ou d’Humanité n’agiraient plus en moi comme elles
agissent
; elles demeureraient des entités abstraites, de
ne le demi-droit de mutation. Il en écrit au président, il le somme d’
agir
comme si le président était convenu avec lui de l
el et terre plutôt que de céder : Il faut se remuer, se trémousser,
agir
, parler et l’emporter (Voilà bien sa devise). J’a
s ronces que d’y être persécuté. Le voilà redevenu Suisse quand il s’
agit
de ne point payer à Tourney, tandis qu’à Genève i
stion plus générale, et qui semblait intéresser l’humanité : Il ne s’
agit
plus ici, monsieur, écrivait-il de Ferney (30 jan
plus ici, monsieur, écrivait-il de Ferney (30 janvier 1761), il ne s’
agit
plus de Charles Baudy et de quatre moules de bois
re le président, il en venait aux menaces : « Qu’il tremble ! il ne s’
agit
plus de le rendre ridicule, il s’agit de le désho
ces : « Qu’il tremble ! il ne s’agit plus de le rendre ridicule, il s’
agit
de le déshonorer. » C’est ainsi qu’il s’apprêtait
résident compte en effet beaucoup de partisans dans l’Académie ; il s’
agit
donc à tout prix de les détacher. Dans toutes les
ne pourriez-vous pas avoir quelque espèce de grand seigneur ? » Il s’
agit
non seulement d’écarter de Brosses, mais de le dé
es choses qui dépendent de nous, si nous sommes réellement capables d’
agir
, ou si l’action est une pure illusion. II. Les
signe = est un signe mathématique, qui limite déjà le rapport qu’il s’
agit
d’établir. Le principe d’identité, ainsi défini,
us est encore permis de nous considérer comme ayant quelque faculté d’
agir
librement. Nous avons, en ce sens, examiné les lo
a matière est, par elle-même, à l’état de repos. Dès lors, ce qu’il s’
agit
d’expliquer, c’est comment elle passe du repos au
distincte, plus ou moins semblable à une âme, et comme telle propre à
agir
sur les corps. Cette vue se relie facilement à la
ification du mouvement, il faut admettre qu’une force vient du dehors
agir
sur le mobile. Cette réapparition de la notion de
ens, la force réside dans une forme supérieure et métaphysique ; elle
agit
d’en haut, à la manière d’une âme c’est Dieu lui-
anètes, et on établit une dépendance régulière entre ces choses. Il s’
agit
donc bien d’un rapport mathématique, mais ce rapp
où nous vivons et sur lequel il nous importe tout d’abord de pouvoir
agir
. La liaison mécanique, il faut le reconnaître, es
res compromet notre liberté, nous posons mal la question. Les corps n’
agissent
pas les uns sur les autres. C’est par abstraction
aux phénomènes mécaniques. Le changement, dans la doctrine dont il s’
agit
, implique une destruction et une production de fo
récision que cette interprétation est superficielle. La loi dont il s’
agit
, loin de prouver la possibilité des transformatio
ce principe transcendant n’a rien de commun avec les forces dont il s’
agit
dans la science, et sa prétendue persistance n’ex
de permanence reste à expliquer. Helmholtz dit à cet égard qu’il ne s’
agit
pas de décider si réellement tous les faits peuve
aison de tout, pourvu qu’il introduise dans l’atome cela même qu’il s’
agit
d’expliquer. Or cette manière de développer l’ato
D’autre part, chacun admet que le déterminisme physico-chimique peut
agir
sur le déterminisme mécanique, sans que pourtant
bienveillant, qui a adapté les choses à nos moyens de connaître et d’
agir
. Et ainsi, à mesure que du phénomène nous voulons
ux principes généraux de sa philosophie. D’une manière générale, il s’
agit
pour lui de rechercher les causes premières de l’
ois de finalité, mais des lois de rapports et de coexistence. Il ne s’
agit
plus de l’origine métaphysique ; il ne s’agit pas
de coexistence. Il ne s’agit plus de l’origine métaphysique ; il ne s’
agit
pas encore de l’origine historique : il s’agit d’
métaphysique ; il ne s’agit pas encore de l’origine historique : il s’
agit
d’analyser l’actuel et de parvenir à le concevoir
arié de mille manières dans ses parties accessoires. Ici encore, il s’
agit
, non de lois de descendance, mais de lois de coex
à son tour engendre une sélection naturelle qui, grâce à l’hérédité,
agit
, avec le temps, comme notre sélection artificiell
des données, non à la nature de la question. Toutes les fois qu’il s’
agit
de faits qui ont pu ou qui auraient pu être obser
it la présence de Dieu. Ainsi pense-t-on en général. Mais lorsqu’il s’
agit
d’histoire naturelle, tout change : la fixité dev
s de la métaphysique et de la religion. Toutefois l’opinion dont il s’
agit
repose aussi sur d’autres fondements. Les Grecs p
st nullement l’identité, serait exclusive des causes finales, il ne s’
agit
ici que d’une continuité très grossière, qui touj
seul diffère dans les éléments et dans les composés. Mais, quand il s’
agit
du monde organique, une petite différence peut êt
l’âme devra être considérée sous le point de vue de l’étendue. S’il s’
agit
de l’essence de l’âme, cette condition est irréal
rbitre ; elle l’ignore, parce qu’il n’est pas de son domaine. Or il s’
agit
de savoir si cette ignorance volontaire est, en p
t les manifestations psychiques de l’homme même, en tant qu’il laisse
agir
, sans les diriger, les forces qui sont en lui. Et
is la loi posée par Darwin s’applique-t-elle intégralement quand il s’
agit
de l’homme ? Est-il juste de dire que la diversit
l’intelligence et la volonté humaines, alors que l’on pense ne faire
agir
que des conditions matérielles ? Ainsi la loi phy
rétation, et qui expriment immédiatement la réalité sociale dont il s’
agit
? Le nombre de personnes sachant lire et écrire e
es. Il en est qui expriment les conditions d’une société où l’homme n’
agit
presque pas comme homme, et ne fait guère que sui
asclépiade latin : [texte en caractères grecs] (Sapho) Si donc il s’
agit
de rénover « essentiellement » l’alexandrin, il s
Si donc il s’agit de rénover « essentiellement » l’alexandrin, il s’
agit
de briser une tradition aussi vieille que la civi
toire du vers libre un rôle trop souvent prépondérant . Jadis il ne s’
agissait
pour un mauvais poète que de couper de la prose t
s ». Ces vers minuscules, M. Kahn les appelle des « unités », et il s’
agit
de les apparenter, de leur donner par des allitér
ns critiqué le principe. Admettons-le, cependant, mais pourvu qu’il s’
agisse
des vers de M. Kahn, et seuls, car il serait malh
’après les règles qui n’ont pas guidé son élaboration. III Il s’
agit
donc de savoir comment M. Kahn groupe les période
vient sans doute de notre ignorance ; mais aujourd’hui même et s’il s’
agit
ne notre littérature, il semble plus facile de se
est Theodoricus ou Teudericus. Dans le passage que nous citons, il s’
agit
d’abord de saint Rémi. NdA 211. Mabillon, Vetera
tant. Dans tous ces cas, j’attribue aux êtres ou aux choses dont il s’
agit
un caractère objectif, tout à fait indépendant de
jugement de valeur ne ferait qu’exprimer la manière dont ce caractère
agit
sur le sujet qui juge. Si cette action est favora
et que l’estimation objective des choses exprime la façon dont elles
agissent
sur l’individu moyen ? Mais l’écart est énorme en
as la manière dont les propriétés physiques du diamant ou de la perle
agissent
sur la généralité de nos contemporains qui peut s
proportionner les dépenses aux réparations. Vivre, c’est, avant tout,
agir
, agir sans compter, pour le plaisir d’agir. Et si
tionner les dépenses aux réparations. Vivre, c’est, avant tout, agir,
agir
sans compter, pour le plaisir d’agir. Et si, de t
Vivre, c’est, avant tout, agir, agir sans compter, pour le plaisir d’
agir
. Et si, de toute évidence, on ne peut se passer d
rester séparées les unes des autres, entrent étroitement en rapports,
agissent
activement les unes sur les autres, il se dégage
pas ; c’est précisément le passage du matériel à l’immatériel qu’il s’
agit
d’expliquer. On a bien raison d’assimiler le rapp
x choses, n’a-t-il devant lui que cette difficulté : comment le corps
agit
-il sur l’esprit et l’esprit sur le corps ? Mais s
, dans son savant examen de la philosophie de Broussais73 : « Il ne s’
agit
point, dit-il, de savoir comment on pense, mais m
la matière, sans que cette âme soit elle-même matière, puisqu’il ne s’
agit
plus que d’un être simple agissant sur d’autres ê
tions que l’âme exerce en dehors d’elle dans le monde extérieur. Pour
agir
sur les choses externes, il faut des instruments
t fournie par le monde extérieur. Il faut donc que ce monde extérieur
agisse
sur l’âme pour qu’elle devienne capable de penser
clair que cette proposition rentrerait dans la précédente. Mais il s’
agit
ici de l’effet représentatif absolu, et à ce titr
ns. C’est donc précisément par ses défauts mêmes que la mise en scène
agit
plus puissamment sur leur organisme. Quoi qu’il e
urs remplissent la seconde condition, au moins chaque fois qu’il ne s’
agit
que d’exagérer la mise en scène. La première cond
’assimilation, tandis que les hommes sont poussés par une puissance d’
agir
, difficile à contenir, à forcer leurs premiers ef
lieu d’être un fait accompli, est instante, et que l’attente tragique
agit
éternellement sur l’âme du spectateur. Il en est
rétexte il n’est permis de s’y soustraire. En peinture, quand il ne s’
agit
pas d’un événement historique, et que la nécessit
. Au surplus, je ferai remarquer que dans tout ce qui précède il ne s’
agit
nullement de conventions esthétiques plus ou moin
u’ils soient peints largement, sans aucune recherche du trompe-l’œil.
Agir
autrement serait une grande faute ; car, puisqu’o
son attention. Ainsi, par le seul effet de cette double loi, le poète
agit
d’une façon certaine sur la direction de nos pens
r agencement pittoresque dans les profondeurs de l’espace. Quand il s’
agit
d’œuvres théâtrales, la mise en scène devra natur
e complaît dans les apparences. Aussi serait-ce une faute, quand il s’
agit
des œuvres de Scribe, de détacher l’action sur un
ité ; et c’est pourquoi nous n’acceptons pas sur la scène, quand il s’
agit
de militaires, la représentation de ces défauts b
e la vue et même de l’ouïe, pour satisfaire un goût plastique, s’il s’
agit
de la beauté des actrices, ou, à un point de vue
qui est celui d’un type nouveau dans l’humanité moderne. Mais qu’il s’
agisse
de monter un drame dont l’action se déroulerait e
s étrangères. Si donc, pour en revenir à l’objet de ce chapitre, il s’
agit
de représenter un milieu éloigné du nôtre par la
r conséquent un caractère incontestable de vérité. Sans doute, s’il s’
agit
du passé de notre propre race, nous posséderons u
us posséderons un ensemble de connaissances plus certaines que s’il s’
agissait
d’un peuple étranger, même contemporain. Un grand
vons traversée, est générale et non particulière, et que, lorsqu’il s’
agit
de mise en scène, nous devons réaliser dans la dé
u varier et, en effet, elle a souvent varié et variera encore. S’il s’
agit
de pièces grecques ou romaines, il est d’ailleurs
utilisant les nouvelles acquisitions du théâtre, est utile s’il ne s’
agit
que de remédier à un accident imprévu ou de favor
ttendre un certain temps avant d’en faire une reprise étudiée. S’il s’
agit
, non plus de pièces grecques ou romaines, mais d’
insignifiant à première vue, prend souvent une valeur considérable et
agit
alors fatalement sur le jeu des acteurs et sur l’
restreint dans la tragédie ; mais quand un état moral est de nature à
agir
sur tout l’être, l’unité absolue de costume peut
tre l’aspect extérieur des personnages et les sentiments qui les font
agir
. Or, au point de vue théâtral, de telles contradi
e une autorité dont il ne faut pas s’affranchir légèrement quand il s’
agit
de régler la mise en scène ; et c’est pourquoi l’
préside à la composition et à la disposition d’un tableau. Quand il s’
agit
d’une scène complexe à plusieurs personnages, aux
proché possible du contre optique. On sent bien d’ailleurs qu’il ne s’
agit
point ici d’équilibre entre des nombres, non plus
la présence du chœur est un élément de l’action dramatique, quand il
agit
sur les personnages du drame et qu’il impose une
n à gauche, l’autre à droite du trône. Cette double poussée imposante
agirait
avec une puissance que doublerait l’ensemble du m
donne à leur attitude cette ressemblance frappante avec la nature qui
agit
sur nous par une sorte d’influence identique. Il
ument comme s’ils étaient des actes. Il n’y a que demi-mal quand il s’
agit
de pièces modernes, où le mot acte et le mot tabl
urée déterminée. D’un autre côté, la même confusion éclate quand il s’
agit
de la représentation des chefs-d’œuvre étrangers.
a représentation de ces mêmes phénomènes. Or comme au théâtre il ne s’
agit
jamais que de la représentation de la vie et de t
dont le théâtre nous doit la plus frappante copie. Autrement, s’il s’
agissait
au théâtre de réalité, comment le public serait-i
nos semblables nous inculquent certaines façons de penser, de dire, d’
agir
, qui varient suivant le milieu où nous avons vécu
spondant aux différents moments de l’action. C’est la variété qu’il s’
agit
dès lors d’introduire dans le rôle sans en détrui
onsultent surtout les auteurs et les directeurs de théâtre quand il s’
agit
de distribuer les rôles d’une pièce ; et l’import
le physique n’est pas sans importance, mais en tout cas il ne peut s’
agir
que du physique tel qu’il est modifié par les con
es rôles du répertoire qu’il est si important de découvrir quand il s’
agit
d’un début. On se trompe souvent, soit que l’acte
oit que la scène modifie complètement son image théâtrale. Quand il s’
agit
de discerner le meilleur emploi qu’il sera possib
ditions et les principes les plus élevés de l’art dramatique, qu’elle
agit
à son tour sur les productions de l’esprit, et qu
oter, elle reste complètement en dehors de l’action. C’est un moyen d’
agir
sur le système nerveux du spectateur, qui ne fait
théâtre, et qu’elle y apparaît avec sa puissance propre. Tantôt elle
agit
directement sur l’esprit d’un personnage, tantôt
ère admis quand l’acteur est en scène. On le tolère encore quand il s’
agit
d’un instrument à cordes, lorsque, par exemple, d
ment tragique. Mais on peut à peine dire que dans ce dernier cas il s’
agisse
d’une intervention musicale, car celle-ci est réd
la musique plus remarquable encore, parce qu’il est plus rare : il s’
agit
de l’émotion produite uniquement par un morceau d
ande soirée chez la reine d’Illyrie ; sous l’apparence d’un bal, il s’
agit
d’une réunion politique où vont se prendre des ré
Étant données des passions humaines, qui sont de tous les temps, il s’
agit
de leur chercher des motifs dans notre monde actu
-t-il, quand nous avons assisté à la représentation d’une pièce ayant
agi
avec quelque force sur notre âme, que nous ne gar
onale. Or, dans les pays dévorés par une lumière ardente, la nature n’
agit
pas sur l’homme avec le charme pénétrant qu’elle
en scène a donc été jusqu’à présent une force émotionnelle destinée à
agir
directement sur le spectateur, absolument comme d
comme dans le mélodrame une longue phrase chantée sur le violoncelle
agit
sur son système nerveux et le dispose à l’attendr
t dans ce cas tout à fait remarquable, en ce que l’illusion théâtrale
agit
directement sur le personnage du drame, à l’émoti
ns de la nature, plus l’on comptera sur la perfection décorative pour
agir
sur l’inclination morale des spectateurs, et plus
la se conçoit ; car c’est là seulement que, lorsque les personnages n’
agissent
pas ou ne prennent pas la parole, un acteur, et l
re le démonstrateur psychologique, est réduit au silence. La nature n’
agit
donc dans la mise en scène que par ses effets sim
i déterminent leur mode de sentir, leur mode de penser et leur mode d’
agir
. Deuxièmement, nulle action dramatique, née du co
logiques et pathologiques des êtres, individuellement déterminés, qui
agissent
sous l’empire d’une passion. Ce qu’elle cherche,
isent la composition et la construction d’une pièce naturaliste. Il s’
agit
de peindre les différents moments de l’action au
ire, est varié dans l'Iliade, tout y respire, tout y est en action. S'
agit
-il d'un Conseil, d'une Bataille ou de quelque aut
illusions qui vous mettent à la place du Personnage qui parle ou qui
agit
; aucuns transports de cet enthousiasme, de cette
l'action, l'idée qu'il a donnée de ses Personnages, pour les laisser
agir
au hasard, sans aucune conformité avec le caracte
sent au premier coup d'œil, qu'ils ont une maniere d'exister & d'
agir
, dans son Poëme, absolument contraire à toute vra
rres, fantastiques ; on ne les voit point, quoique l'Auteur les fasse
agir
& discourir avec ses autres Personnages*. M.
à discourir ; qu'ils raisonnent le plus souvent, lorsqu'ils devroient
agir
; que le Poëte se met indiscrétement à leur place
vi qu'à le mettre un peu au dessus de l'Abbé Pellegrin, quand il ne s'
agira
pas de Jephté. Aussi a-t-il eu la droiture de se
V est écrit dans le même goût, & avec la même infidélité. Il ne s’
agit
pas d’examiner s’il contient quelques chapitres b
mp; rétabliront l'ordre. Nous venons d'examiner l'Ecrivain, il ne s'
agit
plus que d'analyser l'Homme. Nous ne renouvellero
disparates avec l'idée de la Philosophie. La véritable doit également
agir
sur l'esprit & sur le cœur : sur l'esprit, pa
amme universitaire : de sérieux flûtistes excellent à ce jeu. Il ne s’
agit
pas de contester le palmarès de la gloire ni d’en
ir l’utilité des classifications arbitraires de la botanique. Il ne s’
agit
pas de l’amender ; il s’agit de le déchirer. Que
ons arbitraires de la botanique. Il ne s’agit pas de l’amender ; il s’
agit
de le déchirer. Que Racine soit un meilleur poète
ité est mieux traité : il jouit du silence. Mais il est mort, et il s’
agit
de vivre. Vivre, de quelle vie et en la mémoire d
i est fort sérieux et dont tous les mots seront pesés avec soin. Il s’
agira
uniquement des œuvres d’art et en particulier de
cette esthétique, son existence admise l’espace d’un moment, qu’il s’
agit
d’ouvrir et de passer au scalpel. La sensibilité
ette manière de parler est peut-être figurée, et, d’ailleurs, il ne s’
agit
pas d’excitations intenses et fortement localisée
t ôté, l’amour n’est plus guère qu’un besoin physiologique. Mais il s’
agit
moins de l’art ici que de sa puissance émotionnel
ment. La nature, qui ne fait pas de sauts, ne fait pas de choix. Il s’
agit
de faire des enfants. L’odorat du grand-paon (ou
même ordre qui passeront par le même centre auront le même sort. Il s’
agissait
de faire tourner une roue, voici un feu d’artific
s’agissait de faire tourner une roue, voici un feu d’artifice ; il s’
agissait
de conserver l’espèce, voici que naît l’idée de b
en ni de rationnel, ni de juste, ni de conforme à aucune vérité. Il s’
agit
des usages d’une caste intellectuelle. Née d’une
moins vagues, correspondant à une certaine réalité scientifique, il s’
agirait
de façonner ainsi la physiologie du commun des ho
mariage indissoluble de deux mots alors ironiques. Aussi bien il ne s’
agit
pas de la science, mais de l’instruction dont la
que la vie ne peut être connue que sous la forme du discours. Qu’il s’
agisse
de poésie ou de géographie, la méthode est la mêm
uve sans application dès qu’on va participer à la vie réelle. Il ne s’
agit
pas d’être vertueux ; comment réaliser un mot qui
un mot qui est la synthèse de plusieurs idéaux contradictoires ? Il s’
agit
d’accommoder sa nature aux conditions vitales du
e aux conditions vitales du milieu et aux traditions morales. Il ne s’
agit
pas d’être patriote ; il s’agit de défendre contr
eu et aux traditions morales. Il ne s’agit pas d’être patriote ; il s’
agit
de défendre contre les animaux étrangers la puret
les animaux étrangers la pureté de la fontaine où l’on boit. Il ne s’
agit
pas de savoir quel est le principe abstrait où po
ait bien prendre sa source le large fleuve des idées générales ; il s’
agit
de faire de sa vie un acte de confiance, à la foi
e sa vie un acte de confiance, à la fois et un acte de prudence. Il s’
agit
surtout de garder assez de naïveté pour respirer
d à croire et non pas à raisonner, ce qui serait encore une manière d’
agir
et de vivre. Le bagage qui constitue l’instructio
nte l’essentiel. Cela est plus facile à sentir qu’à prouver, car il s’
agit
précisément des actes qui passent inaperçu le lon
able pour chacune d’elles. Cet ordre importe peu en une étude où il s’
agit
non de l’intelligence qui reçoit, mais de l’intel
out un ensemble de notions qu’il est difficile de déterminer. Il ne s’
agit
pas du long chapelet des superstitions, mais de c
, prend ici le sens de : expression d’une sensation imaginaire ; il s’
agit
de psychologie et non de morale, domaines séparés
, dès qu’on les accepte, à l’application. Notre amusement n’est pas d’
agir
, mais d’en avoir la liberté. La licence dont on s
e sauva des milliers d’hommes valeureux, auxquels il ne manquait pour
agir
que l’impulsion d’une volonté. Témoins de la lutt
a conscience. L’homme est un animal qui a le privilège de se regarder
agir
; et plus il est ancien dans la civilisation, plu
avec la conscience psychologique, qui est également variable. Il ne s’
agit
donc pas d’abolir la conscience, ce qui d’ailleur
sse même aux voyages factices, dont les chevaux de bois sont le type.
Agir
et vivre dans le désintéressement de celui qui n’
s sont le type. Agir et vivre dans le désintéressement de celui qui n’
agit
pas, c’est peut-être le bonheur parfait. On s’éto
humaines. Elle équivaut à dire que, pour être coupable, il faut avoir
agi
avec discernement, avec la conscience de violer u
line un bon esprit à avoir de l’amitié pour les Jésuites. Puisqu’il s’
agit
de la liberté charnelle, prenons la lettre neuviè
hète Daniel, Cornélius à Lapide dit avec tact : « La chaste Suzanne a
agi
en femme héroïque ; mais dans un tel péril d’infa
e héros, et les héros, d’ailleurs, se créent leur propre morale. Il s’
agit
de vie pratique, et de mettre en garde les hommes
faut comprendre les matières dont on traite, être théologien, s’il s’
agit
de théologie. Paul Bert était un cuistre. Le cuis
iste le sens de fornication, degré ou de force, avec une vierge. Il s’
agit
des complaisances d’une femme qui vit d’être aima
robabilisme favorise la liberté, le jeu de la vie. En réalité, nous n’
agissons
jamais avec, comme moteur, la certitude ; c’est l
au même état d’esprit qui suscitait le Jésuite ; par impossibilité d’
agir
, il se jetait au cloître, comme le Jésuite dans l
l’idéalisme est une doctrine très recommandable, en un temps où il s’
agit
non de conserver, mais de détruire. En voici le s
. Les clameurs des Paraclétistes, je les ai entendues, — mais il ne s’
agissait
ni de religion, ni de rénovation spirituelle : il
il ne s’agissait ni de religion, ni de rénovation spirituelle : il s’
agissait
de littérature. Il y a, parmi les écrivains, un g
ses à la jeunesse ! Sans doute, cela est sans importance, puisqu’il s’
agit
seulement de passer le temps, d’occuper l’activit
encore qu’on leur vole leur miel, — et qui ne le sauront jamais. Il s’
agit
de creuser une douve ou d’élever un mur qui ait e
1901. Fragments ISur la hiérarchie intellectuelle Il ne s’
agit
pas d’affirmer une série de grades ou de fonction
divisés en deux castes, les Energétiques et les Energumènes, ceux qui
agissent
et ceux qui sont agis (ou devraient être agis), c
s Energétiques et les Energumènes, ceux qui agissent et ceux qui sont
agis
(ou devraient être agis), ceux qui détiennent l’E
ergumènes, ceux qui agissent et ceux qui sont agis (ou devraient être
agis
), ceux qui détiennent l’Esprit, c’est-à-dire la F
à la conscience un rôle important. Conscient ou inconscient, l’homme
agirait
de même ; il n’y aurait rien de changé dans ses r
actualité, de manque à possession, de non-équation à équation. S’il s’
agit
d’un objet agréable, il y a cette impression de m
che et la bonne chose qu’on n’a pas encore dans sa bouche. Quand il s’
agit
d’une peine passée, il y a un sentiment de délivr
ment orientées ; mais, pour avoir le sentiment même du temps, il faut
agir
, vouloir et mouvoir. C’est, en définitive, la vol
près une certaine expérience de la vie ; le premier stimulus réel qui
agirait
après la création sur le cerveau d’Adam serait do
ice de sa lanterne magique, tant qu’Adam immobile n’aurait pas encore
agi
et, par l’action, par l’effort, réalisé en soi le
liser les forces et de les supposer agissant séparément, quoiqu’elles
agissent
simultanément et solidairement. Outre les élément
lié à l’imagination reproductive, à la représentation » ; mais s’il s’
agit
du sentiment immédiat du temps et de la transitio
is trompeur, d’établir l’a priori. En outre, il croit « que cette loi
agit
dès les premières sensations de l’animal, que l’a
ne intuition du successif, comme si tout était simultané ; qu’il peut
agir
et agit comme en présence de choses toutes actuel
tion du successif, comme si tout était simultané ; qu’il peut agir et
agit
comme en présence de choses toutes actuelles, alo
ouvement en fonction du temps, ce n’est réellement point le temps qui
agit
, ce sont des actions moléculaires qui s’exercent
idée du temps, l’adaptation à l’avenir n’est qu’une apparence : ils n’
agissent
en réalité, quand ils agissent, que sous l’influe
’avenir n’est qu’une apparence : ils n’agissent en réalité, quand ils
agissent
, que sous l’influence actuelle de quelque force e
force externe ou interne, qui les pousse a tergo. L’animal même, qui
agit
par instinct et semble prévoir l’avenir pour s’y
ppose aussi l’idée du temps avec son influence directrice. Le passé n’
agit
plus seulement par ses résidus bruts et inconscie
des cas maladifs ou toute notion du temps semble disparue, où l’être
agit
par vision machinale des choses dans l’espace san
oseph de Maistre. D’ailleurs, pourquoi discuter une telle idée ? Il s’
agit
, pour ceux à qui elle est chère, bien plus de pol
lument vrai que les idées au nom desquelles ces grands caractères ont
agi
? Et l’eussent-ils déclaré eux-mêmes avec une net
e la science, n’existait pas dans les historiens modernes dès qu’il s’
agissait
de l’Église. Il faut voir avec quelle légèreté dé
ne peut jamais assez se surveiller et prendre garde ; mais quand il s’
agit
de l’histoire de l’Église au Moyen Âge, il faut r
re octroi de rien à l’apparence. En effet, l’Église catholique a tant
agi
sur la pensée des hommes qu’elle l’a passionnée à
n des peuples. Qu’on ne parle pas de la charité du pasteur quand il s’
agit
d’une condescendance indigne de l’autorité suprêm
glise a toujours trop vite pardonné, trop vite oublié, quand il s’est
agi
des siens. Si les Papes avaient décidé que tout p
ise que la prise de Constantinople, il ne s’abstint pas entièrement d’
agir
dans le sens éternel de la position de ses prédéc
ous montre, dans la faculté de comprendre, une annexe de la faculté d’
agir
, une adaptation de plus en plus précise, de plus
évolutif. Créée par la vie, dans des circonstances déterminées, pour
agir
sur des choses déterminées, comment embrasserait-
avec ces fragments, et à se donner ainsi, par avance, tout ce qu’il s’
agit
d’expliquer, un évolutionnisme vrai, où la réalit
elligence se trouve ainsi replacée dans sa cause génératrice, qu’il s’
agirait
alors de saisir en elle-même et de suivre dans so
brassent, rencontré celui-là qui eût dit heureusement l’idée qu’il s’
agit
pourtant d’exprimer. Tout le monde enfin a parlé
paraissent-elles l’être aux esprits prosaïques ou vulgaires. Il ne s’
agit
que de frapper juste toute pierre, si roulée et m
ns ses volumes précédents, des personnalités très considérables. Il s’
agissait
du P. Guéranger, comme théologien, et du P. Ventu
e livre à la justice, nuit à ses compagnons, il trahit son groupe. Il
agit
bien par rapport à la société que cette bande exp
s, des groupes, des ensembles de groupes très nombreux et très variés
agissent
sur nous et agissent toujours, à quelque degré, c
nsembles de groupes très nombreux et très variés agissent sur nous et
agissent
toujours, à quelque degré, chacun pour soi. Ils s
i persistent sont des sources de conflits qui ne tarissent jamais. On
agit
selon une règle, on exige des autres qu’ils suive
nt et prétendent diriger à leur tour notre conduite. Mais elles aussi
agissent
pour elles, et ne se préoccupent pas de se mettre
onsciencieux cherche à se convaincre et à convaincre les autres qu’il
agit
pour le mieux. Souvent une lutte de ruses met aux
c’est l’impulsif violent et sans grande cohérence qui se dessine. Il
agit
tantôt dans un sens et tantôt dans l’autre, au ha
e à la difficulté et à la tentation. Celui qui n’est pas tenté ou qui
agit
aisément a du bonheur, il n’est pas vertueux. C’e
xiste déjà d’ailleurs et quoique méconnue, influence les âmes et fait
agir
les volontés. C’est un spectacle qui n’est pas ra
e personne montrer quelque remords d’avoir sainement et naturellement
agi
, à l’encontre des idées morales qu’elle révère.
rant où l’humanité s’abreuve et trouve de la force pour vivre et pour
agir
. § 15 Rien ne montre mieux notre barbari
par patriotisme, ce n’est nullement là, pour louable que soit l’acte,
agir
en être moral. Et la morale reste si bien en deho
e bergsonisme n’est point une géographie, c’est une géologie. Il ne s’
agit
point que la Bretagne soit la Provence et que la
Bretagne soit la Provence et que la reine Anne soit le roi René. Il s’
agit
que la Lorraine soit bien la Lorraine et que l’Îl
ie. Ou pour parler un langage platonicien et anteplatonicien, il ne s’
agit
pas que l’un soit l’autre. Il s’agit d’approfondi
cien et anteplatonicien, il ne s’agit pas que l’un soit l’autre. Il s’
agit
d’approfondir l’un, et d’approfondir l’autre. Le
as celle qui n’a pas des vides. C’est celle qui a des pleins. Il ne s’
agit
pas de confondre. C’est dans les écoles qu’il s’a
pleins. Il ne s’agit pas de confondre. C’est dans les écoles qu’il s’
agit
de confondre. Il ne s’agit même pas de convaincre
e confondre. C’est dans les écoles qu’il s’agit de confondre. Il ne s’
agit
même pas de convaincre. Dans convaincre il y a va
me des philosophies, sont celles qui font semblant de se battre. Il s’
agit
bien de confondre et de convaincre. Quand c’est f
ie. Une philosophie aussi n’est point une chambre de justice. Il ne s’
agit
pas d’avoir raison ou d’avoir tort. C’est une mar
tésianisme. Mais c’est que peut-être la rupture, la déliaison qu’il s’
agissait
d’opérer dans le bergsonisme était encore plus me
précaire, et d’autre part plus indispensable encore que celle qu’il s’
agissait
d’opérer dans le cartésianisme. Nous sommes infin
la pensée. Si l’on veut, ce n’est rien, parce qu’il s’était toujours
agi
d’éviter l’inconduite en matière de pensée. Et si
ulement les relations d’un sexe avec l’autre, mais aussi les façons d’
agir
des hommes qui le composent soit avec leurs conci
suivre avec soin ces changements d’opinion sur telle ou telle façon d’
agir
; il doit aussi distinguer les particularités mor
ni au bonheur ni à la vertu113. Si l’idée du devoir décidait seule à
agir
, dit-il, que de héros à rayer des fastes de l’hum
s passions. Il ne veut pas qu’on les condamne, parce que vivre, c’est
agir
, et que, sans les passions, l’homme serait voué à
n entre certains livres et certaines façons de penser, de sentir et d’
agir
s’impose d’elle-même à l’attention. Il y a des ép
els livres ont influé sur un groupe d’esprits et en quel sens ils ont
agi
. Il serait à souhaiter qu’à toute époque un repré
nettement deux catégories d’œuvres : celles qui avouent l’intention d’
agir
sur les lecteurs, spectateurs ou auditeurs ; cell
ention d’agir sur les lecteurs, spectateurs ou auditeurs ; celles qui
agissent
sans que les auteurs l’aient voulu et même contre
ions, laisse à moitié deviner le fond de sa pensée. Du reste, qu’il s’
agisse
d’œuvres idéalistes ou réalistes, ce qui importe
mécanique, chaque cause se retrouve dans l’effet, comme si elle avait
agi
seule. L’effet des causes concourantes est précis
ns à fond le caractère d’une personne et toutes les circonstances qui
agissent
sur elle, nous puissions prédire avec certitude s
ma vie montrent que je ne suis pas esclave de la nécessité, que je n’
agis
pas comme un automate, mais que je participe à me
horreur du meurtre. Quand nous nous représentons par hypothèse ayant
agi
autrement que nous avons agi, nous supposons touj
us nous représentons par hypothèse ayant agi autrement que nous avons
agi
, nous supposons toujours une différence dans les
qu’on l’élève et la traite, elle ne pourra s’empêcher de penser et d’
agir
de manière à être une bénédiction pour tous ceux
leur bien ; qui hait d’une haine vigoureuse ce qui tend à leur mal et
agit
en conséquence, est naturellement, nécessairement
tant lui-même un motif. Mais si le châtiment n’avait pas le pouvoir d’
agir
sur la volonté, il serait illégitime. Si la volon
a volonté, il serait illégitime. Si la volonté est supposée capable d’
agir
contre des motifs, la punition reste sans objet e
es appréciations littéraires, à des citations. Bien citer, quand il s’
agit
de ces vieux poëtes, c’est les faire apprécier de
nt. Le goût de M. Viollet-Le-Duc n’est point en défaut à cet égard. S’
agit
-il de Louise Labé ? il extrait d’un fonds gracieu
mais assez monotone, les six sonnets qu’il juge les plus délicats. S’
agit
-il de Jacques Tahureau ? il nous sert toute vive
ridicule dont sa renommée historique s’est ressentie. Celle qui avait
agi
, régné presque en premier ministre, cette grande
t si étrangère, qui leur serait si antipathique ? Comment, quand il s’
agit
de Mme de Maintenon, par exemple, qui évite de pr
mérite, nous parler de l’honorabilité de son caractère, comme s’il s’
agissait
de qualifier un témoin devant une cour d’assises
parfois un peu rivale, de nos cardinaux et de nos ambassadeurs. Elle
agit
de concert, et même à côté ; elle s’informe, elle
e Savoie, de qui même la proposition, ce semble, doit venir : il ne s’
agit
que de la lui souffler, et, pour cela, voici la m
e que nous souhaitons, en lui laissant néanmoins une pleine liberté d’
agir
à sa fantaisie. Je ne crois pas, madame, que M. l
1712, une phrase impossible, que l’on a peine à croire d’elle ; il s’
agit
des plans et dessins pour les jardins du Retiro :
pour favoriser de leurs parents, soit par échange et convention. Il s’
agissait
de revenir sur ces aliénations, sous quelque prét
de le faire de manière que toute l’Europe connaisse que Sa Majesté n’
agit
point avec violence, ne se prévaut point de l’éta
ièces faites après coup. Ceci est d’une date un peu postérieure. Il s’
agissait
, en 1687, de construire dans un repli de la Mosel
érante, conquérante et assimilatrice à tout prix, cette politique qui
agissait
et opérait uniquement en vue de la grandeur et de
ent, mais comme amie et alliée. » Il semblerait vraiment, à les voir
agir
, que Louis XIV et Louvois eussent étudié les Roma
ables à Strasbourg, et ce n’était pas ici le compte, puisqu’on allait
agir
contre Strasbourg même. L’argent comptant en beau
fort voyageaient sous apparence de ballots remplis d’armes. L’ordre d’
agir
enfin, envoyé de Fontainebleau, et pendant que to
otions relâchent les muscles, affaiblissent les fonctions digestives,
agissent
sur la peau, les yeux, les cheveux. Les émotions
lantes, reconnaissance, amour, pitié, vénération. Physiquement, elles
agissent
surtout sur la glande lacrymale. Mentalement, ell
phénomènes psychiques, ne nous paraît pas aussi heureuse ici, ou il s’
agit
moins des faits que d’un idéal, moins de ce qui e
suive l’une de ces trois directions : exciter de nouveaux sentiments,
agir
sur les viscères, produire des mouvements. Des fa
x qui s’ouvrira le plus facilement : dans le cas du rire, la décharge
agit
sur les muscles. Soit le rire qui résulte d’une c
ui résulte d’une cause physique (froid, chatouillement) ; la décharge
agira
d’abord sur les muscles qui se meuvent le plus ha
de la bouche et des organes de la voix ; si elle est très forte, elle
agira
sur d’autres parties du corps comme dans le rire
D’un goût perverti à force de recherche, — on peut l’accorder, — ils
agirent
avec ce goût blasé comme avec leur sang lymphatiq
) qui produit des effets merveilleux avec des moyens presque nuls. Il
agit
sur un bout de papier de trois doigts, et, insouc
physionomie de tapisserie ou de haute-lisse, qu’était cela quand il s’
agissait
des personnages, des passions et des drames de ce
s de ces admirables récits ? Qu’était l’oripeau historique quand il s’
agissait
de faire voir, comme Balzac la voyait sous la lou
éploie un luxe d’imagination qu’il n’a point au même degré quand il s’
agit
de la physionomie de ses personnages. Il a des ma
’animation des choses matérielles, le rend parfois mesquin quand il s’
agit
des choses de l’âme. C’est ainsi que, dans ce rom
us splendide sottise que puissent commettre des éditeurs ! Quand il s’
agit
d’un homme célèbre qui a marqué dans les œuvres d
cette introduction était — je n’en démordrai pas — absolue. S’il ne s’
agit
plus impérieusement, à ce qu’il semble, de Balzac
qu’il semble, de Balzac, dont l’œuvre est faite, — et connue, — il s’
agit
de vous, messieurs les éditeurs, dont l’édition n
ue, et qui nous promettez de superbes arrangements à côté ! Mais il s’
agit
encore, néanmoins, et il s’agira encore bien long
erbes arrangements à côté ! Mais il s’agit encore, néanmoins, et il s’
agira
encore bien longtemps, de Balzac. Un en a dit bea
donner l’intelligence dans ce qu’elle a d’essentiel, au lieu qu’il s’
agit
ici de l’engendrer, dans sa forme et dans sa mati
e sous sa forme la plus humble, aspire déjà à faire que de la matière
agisse
sur de la matière. Si, par quelque côté, la matiè
e nos articulations, le poids de la charrue et la résistance du sol :
agir
et se savoir agir, entrer en contact avec la réal
s, le poids de la charrue et la résistance du sol : agir et se savoir
agir
, entrer en contact avec la réalité et même la viv
vérité où l’on aboutit ainsi devient toute relative à notre faculté d’
agir
. Ce n’est plus qu’une vérité symbolique. Elle ne
à-vis du vivant ne saurait être celle de la science, qui ne vise qu’à
agir
, et qui, ne pouvant agir que par l’intermédiaire
t être celle de la science, qui ne vise qu’à agir, et qui, ne pouvant
agir
que par l’intermédiaire de la matière inerte, env
ience doit étendre notre action sur les choses, et si nous ne pouvons
agir
qu’avec la matière inerte pour instrument, la sci
vie et l’action libres. Laissons-nous aller, au contraire ; au lieu d’
agir
, rêvons. Du même coup notre moi s’éparpille ; not
endance réciproque complète. Or, il n’y a pas de point matériel qui n’
agisse
sur n’importe quel autre point matériel. Si l’on
matériel. Si l’on remarque qu’une chose est véritablement là où elle
agit
, on sera conduit à dire (comme le faisait Faraday
e en continuant assez loin le travail (tout relatif à notre faculté d’
agir
) par lequel nous subdivisons la matière en corps.
une analyse conduite avec prudence, les catégories de la pensée, il s’
agit
de les engendrer. En ce qui concerne l’espace, il
puisque nous en prenons conscience en nous, tout au moins, quand nous
agissons
librement), elle n’a qu’à se distraire d’elle-mêm
ui en est la limite extrême : plus généralement, c’est de lui qu’il s’
agit
toutes les fois qu’on trouve un rapport de déterm
nt arrache du toit une tuile et me la lance sur la tête, c’est-à-dire
agisse
comme eût fait un mauvais génie conspirant contre
Faute d’un meilleur mot, nous l’avons appelé conscience. Mais il ne s’
agit
pas de cette conscience diminuée qui fonctionne e
nçue, n’est pas un mystère, nous l’expérimentons en nous dès que nous
agissons
librement. Que des choses nouvelles puissent s’aj
son progrès, c’est ce que chacun de nous constate quand il se regarde
agir
. Les choses se constituent par la coupe instantan
rouverait dans la structure de notre intelligence, qui est faite pour
agir
du dehors sur la matière et qui n’y arrive qu’en
veux dire avec cette faculté de voir qui est immanente à la faculté d’
agir
et qui jaillit, en quelque sorte, de la torsion d
issantes. L’organisme se comporte de plus en plus comme une machine à
agir
qui se reconstruirait tout entière pour chaque ac
rler ici, autrement que par métaphore, d’entreprise et d’effort. Il s’
agissait
de créer avec la matière, qui est la nécessité mê
as seulement la spéculation. Elle nous donne aussi plus de force pour
agir
et pour vivre. Car, avec elle, nous ne nous sento
quelques heures à Paris eut la plus grande influence sur sa manière d’
agir
les jours suivants. Chacun paraissait d’accord su
us ses côtés. Trop comprendre est souvent une difficulté de plus pour
agir
. Il allait se trouver partagé. N’ayant en tout ce
u qu’on reconnaîtrait le gouvernement provisoire. Deux considérations
agissaient
surtout sur l’esprit de Marmont : donner à ce gou
terminations et d’actes si décisifs, on voit à chaque instant Marmont
agir
sous l’impression de sentiments vifs et sincères,
aroles qu’il dit en sa faveur au roi étant restées sans réponse, il s’
agissait
, en désespoir de cause, d’introduire Mme de Laval
orps social. Dans le traitement des sociétés, il est tout différent d’
agir
au hasard, sans préparation, sans consulter l’éta
; — et j’en appelle à mes camarades, MM. de Lobau et Gérard, puis-je
agir
autrement ? — Non, c’est vrai, répondirent les de
ites au maréchal qu’il groupe ses troupes, qu’il tienne bon, et qu’il
agisse
par masses. » Il serait pénible de pousser plus
tions. Nous ignorons le mode d’action des substances volatilisées qui
agissent
sur les nerfs olfactifs et des substances liquéfi
qui agissent sur les nerfs olfactifs et des substances liquéfiées qui
agissent
sur les nerfs gustatifs ; nous admettons qu’il es
actions différentes du nerf. — Il reste donc à savoir de quelle façon
agit
le nerf olfactif ou gustatif, et, pour y parvenir
urs à une science toute faite pour trouver l’intermédiaire par lequel
agit
le premier. — Cherchons pourtant cet événement de
blème et la solution sont semblables. Dans l’un et dans l’autre, il s’
agit
de mouvements dont la petitesse, la vitesse et le
qui environnent le nerf et à travers lesquelles l’excitant extérieur
agit
sur le nerf ; en ce cas, le même nerf, soumis au
donne ; car tout à l’heure vous ne l’avez point eue, lorsque le froid
agissait
immédiatement sur le nerf cubital. Pour que vous
ement sur le nerf cubital. Pour que vous l’ayez, il faut que le froid
agisse
indirectement, c’est-à-dire à travers certains al
ntours du nerf, certains organes disposés pour cela ; ce sont eux qui
agissent
directement sur le nerf ; le froid les modifie, e
ns plus la sensation spéciale de froid ; quand alors le froid viendra
agir
sur le nerf, il n’éveillera plus en nous la sensa
ion spéciale de froid, mais seulement, comme tout à l’heure lorsqu’il
agissait
sur le nerf cubital, la sensation de douleur. C’e
i nombreux et si différents ne sont possibles que lorsque la pression
agit
sur les organes du tact, et à travers eux, sur le
mparé à une vibration, ou mouvement de va-et-vient. En tout cas, il s’
agit
d’un ordre de positions qui s’altère, puis se rét
hui ? Pourquoi vouloir remplacer une couleur, ou une nuance, car il s’
agit
surtout de nuances, par une autre couleur ou une
le de permanence, de perpétuité. Si on peut apprendre à écrire ? Il s’
agit
du style : c’est demander si M. Zola avec de l’ap
ou le tombeau de Philippe Pot ? Si on peut apprendre à écrire ? Il s’
agit
des éléments d’un métier, de ce qui s’enseigne au
à donc dans le verbalisme pur, dans la région idéale des signes. Il s’
agit
de manier les signes et de les ordonner selon des
italier à une oraison parlementaire qu’en vérité on se demande s’il s’
agit
de la même langue, s’il n’y a pas deux langues fr
nnels, ne le comprend que très mal et seulement en gros, comme s’il s’
agissait
d’une langue étrangère que l’on entend un peu, ma
ncourt, un style désécrit ; cela est bien plus frappant encore s’il s’
agit
de M. Loti. Il n’y a plus de phrases ; les pages
, elles suffiront à indiquer qu’il ne faut comparer entre eux, s’il s’
agit
du style, que des textes d’une même langue et d’u
lucidité miraculeuse et pleine d’enseignements18 : « Toute faculté d’
agir
et par conséquent tout talent implique une force
ni l’espoir de ce revirement. Dans une conversion, la volonté ne peut
agir
qu’après un long travail du subconscient et lorsq
ante ans, le spectacle d’un labeur médiocre, inutile et continu. Il s’
agit
naturellement des œuvres où l’intelligence imagin
veille. Le subconscient nocturne est onirique ou préonirique, s’il s’
agit
du sommeil ou des instants qui précèdent le somme
ie souffrance : le remords n’a peut-être pas d’autre origine, qu’il s’
agisse
d’un acte habituel qui n’a pas été accompli, ou d
nt prend-elle la forme qui nous semble la meilleure ; comment, s’il s’
agit
d’écriture, la mémoire verbale est-elle mise à co
ulté surajoutée. Il ne faut pas s’y tromper : l’homme qui marche, qui
agit
, qui parle n’est pas nécessairement conscient ni
t voilà tout. L’homme conscient qui se mêle naïvement à la foule, qui
agit
dans le sens de la foule, perd sa personnalité ;
ce et la variété de ses autres dons, une intelligence créatrice. Il s’
agit
ou d’imaginer des rapports nouveaux entre les vie
entaire des contradictions d’autrui n’est pas moins difficile, s’il s’
agit
d’un homme en particulier ; on se heurte à l’hypo
n assez étroite avec le degré de la civilisation intellectuelle. Il s’
agit
, là encore, d’une sorte de lutte, non des individ
ntôt l’idée de non-châtiment, idée neutre, ombre de la première. Il s’
agit
de châtier le coupable et de ne pas inquiéter l’i
ahissement d’une idée secondaire. On peut donc écrire, surtout s’il s’
agit
de généralités, des suites de phrases ayant à la
s ; elles ne pourraient différer, et elles ne peuvent changer. S’il s’
agit
de l’évolution sociale et politique des peuples,
e temps que romain. Il y a des modèles. Le mot est impératif. Il ne s’
agit
pas qu’un poète dise l’impression que lui fait la
adence est identique à l’idée d’imitation. II Cependant, s’il s’
agit
de Mallarmé et d’un groupe littéraire, l’idée de
de la justice ou de la liberté politique, se trouble et recule s’il s’
agit
de nouveauté ou de liberté littéraire ; arrivé à
e, une littérature qui n’existerait pas sans écrivains catholiques. S’
agit
-il d’anomalies, ou sommes-nous en présence de fai
ècle est dominé par ce grand fait littéraire. Littéraire, car il ne s’
agit
même pas de supposer légitime le droit unique à l
le droit unique à la vérité absolue qu’une religion proclame. Il ne s’
agit
pas de vérité. En Grèce, la vraie religion était
te symbolique du moyen âge, si complexe et si curieuse ; mais qu’il s’
agisse
des bêtes ou des fleurs, des couleurs ou des pier
êt. S’ils sont offerts sans coordination rigoureuse, c’est qu’il ne s’
agit
ici que de notes introductives et d’un appel aux
re réfléchir. Ils valent bien une dissertation méthodique. Comme il s’
agit
d’insinuer et non de prouver, besogne inférieure,
lesse des organes, s’épargne du moins de telles « sauvegardes ». On n’
agit
décemment qu’en conformité avec sa propre nature
cemment qu’en conformité avec sa propre nature ; les gens qui veulent
agir
ou ne pas agir d’après les ordres d’une morale ex
onformité avec sa propre nature ; les gens qui veulent agir ou ne pas
agir
d’après les ordres d’une morale extérieure à leur
se de son système social, un homme d’esprit reconnut aussitôt qu’il s’
agissait
de créer une humanité heureuse avec des hommes do
onscience d’un peuple, la conscience de l’humanité : métaphores. Il s’
agit
toujours d’une conscience particulière à laquelle
e mots. La sensibilité est dans l’homme et non dans la société ; il s’
agit
de moi, et de moi seul, même quand je refuse de m
our notre favori un mal plus grand encore. Que de femmes, puisqu’il s’
agit
d’amour, auraient dû, pour leur bonheur éternel,
plaisirs personnels à la prospérité de la société, on leur demande d’
agir
en esclaves, de remettre aux lois le gouvernement
quand ils seront gras ? Mais la question ne se pose pas encore. Il s’
agit
seulement, « au nom de l’utilité actuelle, qui es
finement sentimental. Le motif initial de la nouvelle morale sexuelle
agit
toujours à notre insu. Il est de tradition admini
r faire pleuvoir à vos pieds les belles noix vertes. Ensuite, il ne s’
agit
que de les éplucher sans se salir les doigts ; de
ui ne dépasse pas vingt-cinq est à peine digne d’être feuilleté. Il s’
agit
, bien entendu, de mille soudains et vertigineux,
rie, comme on a besoin d’un cercle ou d’un café. En cette occurrence,
agissez
comme les députés qui n’ont d’autre opinion que l
z fort pour braver toute réclamation. Ce système est utile quand il s’
agit
d’une pièce de théâtre qui souvent ne repose que
u’il y a entre les chiffres 85, 58 et 40, — mais c’est tout, car il s’
agit
des langues humaines, c’est-à-dire de pensée, d’a
lutôt sans maîtres, est toujours le même et toujours optimiste : il s’
agit
invariablement d’un amour contrarié par l’état de
je n’oppose qu’une seule observation à beaucoup d’observations : il s’
agit
d’un écrivain qui, quoique assiégé à l’état de ve
s travaux physico-chimiques ; 3° les travaux anatomo-histologiques. S’
agit
-il, par exemple, d’étudier la digestion, il faudr
éfinitivement expérimentale ; c’est là un progrès considérable : il s’
agit
de compléter la méthode, de lui donner toute la f
e et indépendant ? On ne peut saisir ce principe intérieur, l’isoler,
agir
sur lui. On voit au contraire les actes vitaux av
mais qu’elle peut seulement contempler en simple spectatrice. Ce qui
agit
réellement ce sont des rouages mécaniques, des re
qu’on lui donne, ne saurait rien faire par elle-même, qu’elle ne peut
agir
qu’en empruntant le ministère des forces générale
e physiologiste voudra connaître, provoquer les phénomènes de la vie,
agir
sur eux, les modifier, ce n’est pas à la force vi
bilité, sur l’intelligence, il constate que l’éther ou le chloroforme
agissent
matériellement et d’une manière physique ou chimi
l un langage figuré. On entend dire en effet souvent que le physicien
agit
sur l’électricité ou sur la lumière ; que le méde
e physicien agit sur l’électricité ou sur la lumière ; que le médecin
agit
sur la vie, la santé, la fièvre ou la maladie : c
tricité : la chaleur, la lumière, la santé, la maladie ; nous pouvons
agir
sur elles et modifier par là ces différents états
ale et tout aussi en dehors de la prise directe de l’expérience. On n’
agit
point sur ces entités, mais seulement sur les con
but de la science physiologique, puisqu’elle nous donne les moyens d’
agir
et de maîtriser ces phénomènes. Pour nous, en un
xygène dissous est bientôt consommé par la graine, soit parce qu’il n’
agit
pas à l’état convenable, c’est-à-dire libre. Tout
illules desséchées indéfiniment dans le vide. Mais on ne pourrait pas
agir
de même sur les larves vivantes dans l’eau. Expos
rnatives de conditions physico-chimiques déterminées. L’hiver n’a pas
agi
sur les œufs de ver à soie comme une condition pa
à soie comme une condition particulière ou extra-physique ; l’hiver a
agi
simplement comme condition physique, comme froid.
de température, de composition de l’atmosphère gazeuse, ne sauraient
agir
aussi efficacement que la dessiccation pour suspe
que ces phénomènes ont pour agents principaux des ferments et qu’il s’
agit
ici de fermentation. Or, les expériences les plus
empérature convenable. Le ferment n’avait donc pas perdu le pouvoir d’
agir
: il était seulement dans l’impossibilité de mani
at léthargique. Pour cela, il suffit qu’elle soit réchauffée. Comment
agit
alors l’élévation de température ? Ce n’est point
ico-thermiques dont les tissus vivants sont le siège. Quand ces nerfs
agissent
, ils diminuent les combustions interstitielles, e
nce, la vie, création organique, la mort, destruction organique. Il s’
agira
aujourd’hui d’affirmer cette division et de montr
e crée la graisse au lieu de la trouver toute formée, et le carnivore
agit
de même. Non seulement les animaux font de la gra
ments sont communs aux deux règnes, animal et végétal. — Les ferments
agissent
pour transformer et décomposer les produits des r
s considérables qui ont été accomplis depuis quelques années. Il ne s’
agira
pas d’ailleurs, dans ces leçons où nous traçons u
nomènes de ce genre. C’est ainsi que la mousse de platine, disait-on,
agit
par simple présence ou par catalyse sur l’alcool
organisme microscopique qui transforme l’alcool en acide acétique, n’
agit
pas simplement à la façon de la mousse de platine
augmente de poids, il s’accroît et se multiplie dans la liqueur où il
agit
et corrélativement à son action même. Il ne faut
e animale et végétale, ferments inversifs des plantes ou des animaux,
agissent
à la façon des acides minéraux : d’autres ont le
, du tannin, de la pectose, etc. Il suffit que l’on comprenne qu’il s’
agit
ici d’un procédé général employé par la nature po
les soit végétales, mises dans les conditions des cellules de levure,
agissent
comme celles-ci. Dans quelles conditions la levur
n sait, avons-nous dit, que d’autres cellules semblent susceptibles d’
agir
d’une façon identique. On a signalé, en effet, qu
peut reproduire un certain nombre de fois ces alternatives. L’oxygène
agit
donc comme s’il excitait les mouvements vibratile
à côté de la fermentation et de la combustion, la putréfaction. Il s’
agit
là d’un phénomène encore plus obscur que ceux de
on du problème de la synthèse physiologique. En d’autres termes, il s’
agit
de savoir si les procédés par lesquels les chimis
rticuliers ? On est porté à croire que dans l’esprit de l’auteur il s’
agit
bien d’une force vitale capable d’exécuter ce que
anesthésiques pour abolir la sensibilité et l’irritabilité. — Nous n’
agissons
pas sur les propriétés ni sur les fonctions nerve
it avant lui) le nerf et le muscle, au point de vue de leur manière d’
agir
, et de séparer l’un et l’autre des tissus différe
t à nous, que « l’irritabilité est la propriété de l’élément vivant d’
agir
suivant sa nature sous une provocation étrangère
anesthésiques, l’éther, le chloroforme, nous fournissent des moyens d’
agir
sur l’irritabilité, la faculté vitale par excelle
e, imprégnée d’éther. Bientôt la vapeur éthérée remplit la cloche et
agit
sur la plante. L’action anesthésiante est plus ra
antité de l’anesthésique d’après ces diverses circonstances. Ici nous
agissons
à l’ombre, à la lumière diffuse ; si nous opérion
uel siège le tissu contractile végétal. D’abord rappelons comment
agit
l’éther ou le chloroforme sur l’animal. Dans l’an
cellules contractiles de la plante. En effet, l’agent anesthésique n’
agit
pas exclusivement sur le système nerveux, il port
aux. Nous avons dit que, dans nos expériences, l’agent anesthésique n’
agit
pas sur la sensibilité comme fonction, mais sur l
ion ; ils atteignent aussi le protoplasma des éléments organiques qui
agissent
dans les synthèses chimiques, dans les phénomènes
ant vingt-quatre heures, afin que l’agent anesthésique ait le temps d’
agir
sur les cellules de levure. On place les deux tub
e mais destruction de la levure, tandis que dans nos expériences il s’
agit
d’une véritable anesthésie, puisque la levure rep
raines, les œufs, etc., nous arriverions à dire que les anesthésiants
agissent
à la fois sur l’irritabilité et sur la sensibilit
thésique n’atteint donc pas, à proprement parler, la sensibilité ; il
agit
en définitive toujours sur l’irritabilité et jama
action physique encore peu connue, mais réelle. C’est ainsi que nous
agissons
toujours sur la matière et jamais sur les proprié
ment. Les observations sont peu nombreuses, et il est certain qu’il s’
agit
ici d’un procédé rare : la majorité des auteurs,
ion de ces organes, antérieurement à la vie adulte qu’il aurait fallu
agir
; mais cela est impossible, parce que l’œuf a déj
tantes, qui n’empêchent ni ne produisent aucun phénomène vital, qui n’
agissent
pas et sur lesquelles on ne saurait agir. Le rôle
n phénomène vital, qui n’agissent pas et sur lesquelles on ne saurait
agir
. Le rôle actuel des organes n’est pas la cause qu
me de la physiologie : connaître les lois des phénomènes de la vie et
agir
sur l’apparition de ces phénomènes. — La physiolo
e principe, en quelque sorte dormant ou expectant, serait incapable d’
agir
par lui-même. La vie n’est pas non plus une résul
; il est la continuation du protoplasma d’un ancêtre. Nous ne pouvons
agir
sur les manifestations de cette vie générale, att
yser les phénomènes des êtres vivants, et nous donne la possibilité d’
agir
sur eux. II. Conception des organismes vivants
t plus variés, plus nombreux et plus nuancés que la société dont il s’
agit
est arrivée à un plus haut degré de développement
esthésiques, par exemple, influencent tous les éléments, parce qu’ils
agissent
sur le protoplasma, qui est commun à tous. La plu
art des poisons n’influencent que des éléments spéciaux, parce qu’ils
agissent
sur des produits de cellules différenciées. Exemp
roduits de cellules différenciées. Exemples : l’oxyde de carbone, qui
agit
sur l’hémoglobine, et le curare, qui agit sans do
s : l’oxyde de carbone, qui agit sur l’hémoglobine, et le curare, qui
agit
sans doute sur quelque disposition organique à la
. Les appareils fondamentaux indispensables aux organismes supérieurs
agissent
donc tous, le système nerveux compris, pour procu
es conceptions métaphysiques. — Nous l’avons dit bien souvent, nous n’
agissons
directement que sur le physique, et sur le métaph
re par addition et différenciation successive de parties. Lorsqu’il s’
agit
de comparer entre eux des êtres divers, s’il s’ag
ties. Lorsqu’il s’agit de comparer entre eux des êtres divers, s’il s’
agit
d’organismes élémentaires, d’éléments, nous admet
ette première étude correspond à la physiologie générale, lorsqu’il s’
agit
des machines animées. D’autre part, il faut conna
anismes différents. On ne peut plus conclure légitimement, quand il s’
agit
de comparer les troubles qui résultent de la rupt
ts que des corps bruts peut se caractériser en deux mots : prévoir et
agir
. Voilà en définitive pourquoi l’homme s’acharne à
ante à la manière de la physique et de la chimie. Or, comment peut-on
agir
sur les phénomènes de la vie ? Arrivé au terme de
st intentionnelle dans son but, mais aveugle dans l’exécution. — Nous
agissons
sur le côté exécutif des choses en nous adressant
ique qu’on rencontre dans un grand nombre de fruits acides en faisant
agir
la potasse sur les acides succiniques mono et di-
e que ses fonctions s’exerceront pleinement et que vous serez libre d’
agir
volontairement ; mais vous ne pouvez pas prévoir
rez ou que vous ne pouvez prévoir. C’est pourquoi vous restez libre d’
agir
ou de choisir suivant les principes de morale ou
concluantes, qu’il ne peut en avoir été autrement. Au reste, il ne s’
agit
pas de charger en rien Ney, le brave des braves,
toutes parts et se renforçaient à vue d’œil. Ney attendait donc pour
agir
le corps de Reille, et, sur son ordre pressant, i
onstances dont une seule pourtant fut capitale, selon M. Thiers. Il s’
agit
de d’Erlon et de son corps d’armée qui flotta, du
as raccourci sur ses derrières. L’armée prussienne est perdue si vous
agissez
vigoureusement : le sort de la France est entre v
nes sur les derrières de Ney, trop tard, et quand il n’y avait plus à
agir
. Cependant sa marche, si inutile pour le moins, a
nts sentimentaux comme il y a de grands courants intellectuels et ils
agissent
forcément sur les sensibilités individuelles. Le
solubles en idées. C’est admettre implicitement que les idées peuvent
agir
sur les sentiments qui sont des idées inférieures
ie avec son milieu et avec les satisfactions qu’il lui procure ; elle
agit
en lui, en tant qu’il est un être social, comme u
é se retourne contre la sociabilité dont il procède en partie. Car il
agit
dans l’individu comme un principe d’inquiétude et
me pour un individualisme intellectuel. Mais de quel individualisme s’
agit
-il ? De même que nous avons distingué deux formes
ctes ou indirectes, et forment une chaîne dont les premiers anneaux n’
agissent
qu’en tirant le dernier anneau. Suivons cette cha
pérature qui, par la dilatation ou le resserrement des parties, vient
agir
sur le nerf. Visiblement, ce n’est là qu’une cond
ection le patient voit de grandes masses soudaines de clarté. On fait
agir
sur lui un courant électrique, et nous apercevons
u dehors, ou les autres événements intérieurs du corps vivant ; ils n’
agissent
que par l’intermédiaire de ce mouvement qu’ils pr
ation ; or les centres nerveux sont intacts, le bout terminal du nerf
agit
comme auparavant, c’est donc le bout central qui
nerf agit comme auparavant, c’est donc le bout central qui a cessé d’
agir
; il agissait donc auparavant ; donc, lorsque à l
comme auparavant, c’est donc le bout central qui a cessé d’agir ; il
agissait
donc auparavant ; donc, lorsque à la suite d’une
état est le même alors que dans la sensation ordinaire ; l’encéphale
agit
donc alors comme dans la sensation ordinaire ; et
l’encéphale agit donc alors comme dans la sensation ordinaire ; et il
agit
seul, puisque les objets sont absents et les nerf
pas la rétine qui, en l’absence de l’objet, continue et recommence à
agir
, « c’est le centre cérébral de perception visuell
e à agir, « c’est le centre cérébral de perception visuelle » ; ayant
agi
une première fois, il rentre de lui-même en actio
, comme dans les divers segments de la moelle, une mécanique qui peut
agir
, soit directement par l’irritât ion des nerfs sen
le reste de l’encéphale. Lorsque le reste de l’encéphale manque, elle
agit
encore, et le cri se produit, sans qu’une sensati
it par lui-même pour éveiller la sensation. V Remarquez qu’il s’
agit
ici de sensations pures, ou, pomme disent les phy
préciser cette propagation, et tout ce que nous savons, c’est qu’il s’
agit
ici d’un mouvement moléculaire. Mais les vivisect
re groupe de contractions musculaires. La règle est générale, qu’il s’
agisse
des muscles qui jouent pour proférer la parole, o
e épinière, protubérance, lobes cérébraux, partout la substance grise
agit
de la même façon. Or, dans la protubérance et les
les dans un ordre déterminé. Plus de trente paires de muscles doivent
agir
dans un certain ordre pour que l’enfant puisse té
de lui-même ; d’autres fois, il en réfère au ministre et attend pour
agir
la décision de son supérieur. Dans le premier cas
sence de toute société. Une société individualiste sera donc celle où
agiraient
des modes de contrainte différents de ceux qui ag
onc celle où agiraient des modes de contrainte différents de ceux qui
agissent
dans une société unitaire ; mais la contrainte ne
esprit dogmatique et même cette conversion est inévitable quand il s’
agit
d’un esprit critique enseigné. Car l’esprit criti
sournoisement certaines croyances, certaines manières de penser et d’
agir
à la jeune génération. C’est une entreprise sur q
ion, quoique très limitée, n’est pas nulle, et dans la mesure où elle
agit
, elle est ou elle tente d’être une mainmise de la
reçoit, de faire violence le moins possible à l’individualité qu’il s’
agit
de former. Problème difficile. Si habilement qu’o
l’autre des plans de la durée, en philosophe ou en moraliste. Il ne s’
agit
point des conditions dans lesquelles vit et se dé
’un individu mais d’une nature : car c’est la nature qui pense et qui
agit
sur ce plan d’une pluralité de parties engagées e
e où les pontifes lui auront conseillé ou ordonné de marcher. Il ne s’
agit
pas non plus d’une psychologie de la critique. La
parlée, de ce qu’on pourrait appeler l’eau-mère de la critique. Il s’
agit
non d’une conversation de gens quelconques, mais
ent moderne, en arrive à être encore plus immodérément vieux. Qu’il s’
agisse
du moderne ou de l’ancien, la sagesse, pour un cr
l’on parle pour parler. Or, en matière de critique, même lorsqu’il s’
agit
de la critique parlée, parler est l’opération sec
tent de vérité ces lignes de Jules Lemaître. En journalisme « il ne s’
agit
que de frapper fort. Nul soin de la vérité dans l
rable. Au contraire, la critique parlée triomphe vraiment lorsqu’il s’
agit
des arts de la parole, à savoir l’éloquence et le
ur feuilleton. Il n’y a eu qu’un critique dramatique qui ait vraiment
agi
sur le public, c’était Sarcey. Et la critique de
dans la vie courante, d’habiter les églises et les palais. Quand il s’
agit
de la littérature également courante, des livres
e, le moins touché, est mort tout de même sénateur. Et chez tous il s’
agit
non pas d’une politique de politicien, mais d’une
ces rapports. » Détendue chez Lemaître, tendue chez Brunetière, il s’
agit
bien de la même critique, celle d’hommes qui lise
lez-vous pas la critique historique ? » Mon Dieu ! je veux bien. Il s’
agit
là en effet d’une critique historique, puisque c’
tion, mais dans l’article Critique de la Grande Encyclopédie, où il s’
agissait
plutôt d’éteindre ses imaginations personnelles p
est une victoire de la critique sur un ennemi de la critique. Il ne s’
agit
que de s’entendre. * * * Sous le nom général de c
oir conclure que le style de Flaubert bronche toutes les fois qu’il s’
agit
d’exprimer des idées, ce qui représente, dit-il,
utume d’exprimer ses antipathies de façon dure et crue. Et quand il s’
agit
des contemporains, les jalousies d’atelier, les r
que des défauts, ils n’hésitent pas à user réciproquement, quand il s’
agit
de leurs propres écrits, de la critique des beaut
nu existe pour le sculpteur ou la lumière pour un peintre. Et il ne s’
agit
pas seulement ici du génie individuel (rare dans
end ordinairement le diable pour l’attirer dans la politique, qu’il s’
agisse
de Brunetière après sa visite au Vatican ou de Le
st Socrate, qui savait si bien qu’il ne savait rien. L’homme qui veut
agir
sur le public, par l’éloquence orale ou écrite, e
moment et dans un état d’action, et que l’action c’est la décision ;
agir
c’est être certain, ou bien faire comme si on éta
able moyen d’action sur la matière, et toutes les fois qu’en art il s’
agit
de créer, de réaliser un Parthénon, une Andromaqu
ité réelle un équivalent pratique simple. La précision sert à l’art d’
agir
. Mais qu’est-ce que le goût ? Un art de jouir, sa
ne, sed nomini tuo da gloriam. L’ambitieux ou le fanatique religieux
agit
comme représentent de Dieu, l’ambitieux ou le fan
cipline, c’est-à-dire à l’effort. Il n’y a pas là contradiction. Il s’
agit
simplement de saisir, dans son mouvement et sur s
ne s’exerce que sur ce qui est, sur les œuvres réalisées. Dès qu’il s’
agit
de créer quelque chose de tout à fait nouveau, le
éraire, un document inestimable qui ne figure dans aucune autre. Il s’
agit
du relevé, par le bon montaniste que fut le docte
. Mais pourquoi ? Pour trouver le roc. Et le roc une fois trouvé il s’
agissait
de bâtir. Je ne sais si les âges critiques et les
profession qui va de La Harpe à Brunetière nous y a habitués. Et il s’
agit
bien de critique, non d’histoire littéraire. Ne m
n aujourd’hui ruinée, celle de Spencer, qui suppose cela même qu’il s’
agit
d’expliquer, à savoir l’acte créateur, et qui rec
e crains, par moments, que le maître, avec son magnifique style (il s’
agit
de Cousin !) ne mette les colonnes du Parthénon c
gue à celui du livre de La Bruyère avec le théâtre de son temps. Il s’
agit
d’un critique moraliste qui à la fois s’inspire d
mencement) nous débrouiller un peu dans ce jeu de glaces, lorsqu’il s’
agit
de nous ou des autres. Mais disons-nous bien que
rer a encore sa raison d’être en physique et en chimie, parce qu’il s’
agit
là de phénomènes matériels, et que la matière app
n, la vie c’est la réalité même dont nous participons. Et dès qu’il s’
agit
de la vie, le mot engendrer prend un tout autre s
à la fois les deux sens du mot engendrer, le premier sens puisqu’il s’
agit
d’une création de l’esprit, le second sens qu’il
s puisqu’il s’agit d’une création de l’esprit, le second sens qu’il s’
agit
d’une création, qui concerne la vie, qui tente de
odes ou des harangues, pourquoi donc furent-ils si petits lorsqu’il s’
agit
pour eux de faire une œuvre utile ? ! le fier et
bstinence ; il ne nous demande point des pensées supérieures, et il n’
agit
pas avec nous comme Jésus avec ses disciples dans
elle est à leur portée, ils n’ont qu’à vivre, à croître, à grandir, à
agir
, à développer leur race. Voilà pourquoi une telle
un exploit social. La partie sérieuse et pensante de la jeunesse veut
agir
sur le monde et ne se contente pas du tout de cél
de la vérité sont encore quelque chose, et en fait d’histoire il ne s’
agit
pas de faire le fier ; il faut tout ramasser. L’h
s manières, longuement déduites, de penser, et ses excuses pour avoir
agi
. Il ne trône pas sur le moi de la personnalité. Q
ule affaire de Brécourt, que des historiens à microscope, dès qu’il s’
agit
de la Révolution, ont exagérée. Il faut voir cett
ttire le plus d’abord celui qui les ouvre, que ce nom d’une fille qui
agit
au lieu de parler, et fit, au prix de sa vie, de
leur propre personne. Non point au sens kantien, naturellement. Il s’
agit
bien de Kant. Kant à leurs yeux n’est plus qu’un
ux n’est plus qu’un officiel, un malheureux professeur attentif. Il s’
agit
bien de cela. De même qu’ils ont une peur maladiv
s mouillé. On peut y mettre autant d’eau que l’on voudra, car il ne s’
agit
point ici de quantité, il s’agit de contact. Il n
t d’eau que l’on voudra, car il ne s’agit point ici de quantité, il s’
agit
de contact. Il ne s’agit pas d’en mettre. Il s’ag
car il ne s’agit point ici de quantité, il s’agit de contact. Il ne s’
agit
pas d’en mettre. Il s’agit que ça prenne ou que ç
de quantité, il s’agit de contact. Il ne s’agit pas d’en mettre. Il s’
agit
que ça prenne ou que ça ne prenne pas. Il s’agit
as d’en mettre. Il s’agit que ça prenne ou que ça ne prenne pas. Il s’
agit
que ça entre ou que ça n’entre pas en un certain
uit qui rend l’homme imperméable à la grâce. De là vient que la grâce
agit
dans les plus grands criminels et relève les plus
ce qui n’est pas même pécheur. Corneille nous montre comment la grâce
agit
, comment elle surprend, comment elle saisit, comm
. Notre malheureux propos aujourd’hui est de constater comment elle n’
agit
pas, comment elle ne pénètre pas. Et alors Cornei
lle triomphe. Mais nous ne triomphons pas. Corneille triomphe. S’il s’
agit
de considérer les ravages de la grâce, tout est m
omere ex ore meo. Le propos de Corneille est gracieux lui-même. Il s’
agit
de montrer comment la grâce opère. Notre pauvre p
contraire, et au complémentaire, est ingrat. Il est disgracieux. Il s’
agit
malheureusement de montrer comment la grâce n’opè
mitations qu’elle reçoit. On ne se demande plus naturellement si elle
agit
. Mais même on ne se demande plus pourquoi, et com
git. Mais même on ne se demande plus pourquoi, et comment, et où elle
agit
. On ne se demande plus qu’une chose. Pourquoi ell
et où elle agit. On ne se demande plus qu’une chose. Pourquoi elle n’
agit
pas toujours et partout. Cette espèce de fausse h
Bergson et la philosophie bergsonienne. En de telles matières il ne s’
agit
point tant de vaincre. Il s’agit de s’être bien b
ienne. En de telles matières il ne s’agit point tant de vaincre. Il s’
agit
de s’être bien battu. Se battre bien est de nous.
on joue. Nous rejoignons ici ce que j’écrivais dans ma Note. Il ne s’
agit
pas que les saisons de la terre soient interchang
ient interchangées, ni même qu’elles soient interchangeables. Il ne s’
agit
pas que le printemps soit l’automne et que l’été
emps soit l’automne et que l’été aille se mélanger dans l’hiver. Il s’
agit
que le printemps soit pleinement jeune et pleinem
einement jeune et pleinement neuf et pleinement le printemps. Et il s’
agit
que l’automne soit pleinement le mélancolique aut
s’agit que l’automne soit pleinement le mélancolique automne. Et il s’
agit
que l’été soit pleinement dur et dardant et qu’il
oit pleinement dur et dardant et qu’il soit pleinement l’été. Et il s’
agit
que l’hiver soit le dur et candide et pleinement
it que l’hiver soit le dur et candide et pleinement hiver. Et il ne s’
agit
pas que les blés viennent sur les treilles et que
treilles et que les raisins viennent dans les champs de blé. Il ne s’
agit
pas que les grains des blés soient trouvés dans l
ppes et que les raisins soient trouvés dans le cœur des épis. Il ne s’
agit
pas de moissonner les vignes et de vendanger les
ne s’agit pas de moissonner les vignes et de vendanger les blés. Il s’
agit
d’opérer droit et je dirai séparé. Il s’agit de t
vendanger les blés. Il s’agit d’opérer droit et je dirai séparé. Il s’
agit
de travailler droit et je dirai séparé. En de tel
sion est la pire impiété. Car elle est la plus basse infidélité. Il s’
agit
que la moisson soit bien la moisson et que la ven
Tout est conquête pour l’empire. Dans le système chevaleresque il s’
agit
de mesurer des valeurs. Dans le système de l’empi
ue il s’agit de mesurer des valeurs. Dans le système de l’empire il s’
agit
d’obtenir et de fixer des résultats. Pour nous mo
mpte-là il ne resterait rien. Car dans ce système de pensée il ne s’
agit
pas seulement de vaincre. Il ne s’agit même pas d
s ce système de pensée il ne s’agit pas seulement de vaincre. Il ne s’
agit
même pas du tout de vaincre. Il s’agit de remplac
seulement de vaincre. Il ne s’agit même pas du tout de vaincre. Il s’
agit
de remplacer. Il ne s’agit pas qu’un empire écras
e s’agit même pas du tout de vaincre. Il s’agit de remplacer. Il ne s’
agit
pas qu’un empire écrase un empire. Il s’agit qu’u
it de remplacer. Il ne s’agit pas qu’un empire écrase un empire. Il s’
agit
qu’une certaine lampe ne soit pas éteinte et comm
me, qu’une certaine flamme ne soit pas mise sous le boisseau. Il ne s’
agit
pas que Berlin écrase Paris, il s’agit que Berlin
mise sous le boisseau. Il ne s’agit pas que Berlin écrase Paris, il s’
agit
que Berlin remplace Paris. Et ils n’en sont pas p
le, la hauteur de point de départ ou plutôt de niveau de départ. Il s’
agit
de savoir qui monte et qui descend. L’homme qui a
dement. Elle n’en aura pas de trop. Elle n’en aura jamais assez. Il s’
agit
bien d’exercices de couvent. Ce qu’elle a à faire
mme emplies. Tout ne revient pas à un changement de temps. Et il ne s’
agit
pas seulement de muer les temps. Il ne s’agit pas
nt de temps. Et il ne s’agit pas seulement de muer les temps. Il ne s’
agit
pas seulement de mettre le futur au futur antérie
lement si le monde a été fait pour la commodité de l’homme. Il ne s’
agit
pas de savoir s’il est agréable que le présent so
git pas de savoir s’il est agréable que le présent soit mouvant, il s’
agit
de savoir s’il est réellement mouvant. Quand ils
forme suprême et la plus aiguë. C’en est la forme même et puisqu’il s’
agit
d’établissement c’en est pour ainsi dire la forme
s le passé, puisqu’étant passé il est indéfaisable et définitif, il s’
agit
de faire que le présent, tout mouvant, tout fécon
le cercueil sera toujours taillé sur le cadavre, (sur l’être qu’il s’
agissait
de mettre dedans). Telle est l’initiale, telle
nte. Et que la bête dans le bocal n’était plus la bête. Et qu’il ne s’
agissait
pas d’être tranquille pour connaître la réalité,
l sera quand il sera passé, c’est se dessaisir de l’être même qu’il s’
agit
de connaître, c’est le livrer d’avance aux lament
ensée. Il consiste à les modeler constamment sur la réalité dont il s’
agit
à chaque fois. Leur conception n’est pas assez un
ujours présent. Et il exerce toujours cette affreuse poussée. Il ne s’
agit
pas de convaincre, il s’agit de vaincre et même i
toujours cette affreuse poussée. Il ne s’agit pas de convaincre, il s’
agit
de vaincre et même il s’agit de n’être pas vaincu
ée. Il ne s’agit pas de convaincre, il s’agit de vaincre et même il s’
agit
de n’être pas vaincu ou plutôt il s’agit de n’êtr
agit de vaincre et même il s’agit de n’être pas vaincu ou plutôt il s’
agit
de n’être pas écrasé. Et non pas seulement de n’ê
négatif du positif est le positif est le négatif du négatif. Il ne s’
agit
pas de murailles chancelantes que l’on redressera
t que l’on remettrait en place et au besoin que l’on rebâtirait. Il s’
agit
de murailles chancelantes que l’on soutient avec
érieurs de l’action. On ne sent pas la lumière pour sentir, mais pour
agir
et mouvoir. La spécialisation des sensations s’ex
laton et de ses modernes disciples ? Les objets extérieurs, quand ils
agissent
simultanément ou successivement sur notre sensibi
erspective qui se forme d’elle-même dans l’imagination. De plus, nous
agissons
nous-mêmes pour produire du changement ; nous pas
correspond au non-différent est lui-même dérivé. Primitivement, il s’
agit
d’un rythme entre jouir et souffrir. Toutes les f
’aise Socrate et embarrassé peut-être Protagoras ; mais pourtant il s’
agit
de nos perceptions et non des cubes eux-mêmes. «
ées, tandis que les autres êtres ne les auront pas saisies. Au lieu d’
agir
semblablement dans les cas semblables par un auto
tisme sans aucune conscience de la similitude, comme fait la bête, il
agira
semblablement dans les cas semblables avec consci
ensation, puisque c’est la sensation seule et non autre chose qu’il s’
agit
de saisir : c’est l’ombre projetée sur le mur de
ment Aristote ; ajoutons que pouvoir, c’est toujours mouvoir. Je puis
agir
volontairement sur les choses par mes idées des c
roulant, comme les miennes, sous un crâne. Si mes idées et mes désirs
agissent
non seulement sur mon propre monde, mais encore s
lent aux rapports des réalités ? Pour cela nous n’avons qu’un moyen :
agir
et nous mouvoir selon notre idée, afin de voir si
de ses relations avec son frère le ministre de la guerre. L’éditeur a
agi
comme ayant droit de réconcilier après leur mort
où les manuscrits nous permettent de le contrôler, a perpétuellement
agi
comme s’il avait eu droit d’arranger et de tradui
ci un passage en regard de celui qu’a publié M. René d’Argenson. Il s’
agit
du garde des sceaux d’Argenson tel qu’il était en
e, avec une Idée du Bien qui domine toutes les autres : les raisons d’
agir
s’échelonneraient au-dessous de l’Idée du Bien, l
cer pour cela dans l’étude de la psychologie en général. Mais il ne s’
agit
que d’un point particulier : la nature humaine en
s de technique préparatoire, pas d’éducation efficace, surtout s’il s’
agit
des plus hauts emplois. L’extrême rareté des homm
c’est-à-dire de la région même des forces disruptives auxquelles il s’
agit
d’opposer une résistance ininterrompue. Ce princi
u pour l’autre système, non pas en détail, comme il arriverait s’il s’
agissait
de contracter des habitudes, mais d’un seul coup,
la Déclaration des droits de l’homme est un défi jeté à un abus. Il s’
agissait
d’en finir avec des souffrances intolérables. Rés
dre tout faits est plus facile que de les faire. Surtout, ils doivent
agir
sur une matière, servir d’armes de chasse ou de p
une résistance instinctive. La résistance n’est pas plus forte s’il s’
agit
d’un pays plus lointain. Bien au contraire, elle
pliqueraient nos deux lois dans le cas qui nous l’a fait ouvrir. Il s’
agissait
du souci de confort et de luxe qui semble être de
on commençait à entrevoir l’autre, sans toujours s’apercevoir qu’il s’
agissait
du même astre. Que le mysticisme appelle l’ascéti
sans encourager une « volonté de puissance » très particulière. Il s’
agira
d’un empire à exercer, non pas sur les hommes, ma
vait mis à la disposition de l’homme des énergies insoupçonnées. Il s’
agissait
d’énergies physico-chimiques, et d’une science qu
phie qui prétend atteindre l’esprit sans le chercher dans la durée. S’
agit
-il de la relation de l’âme au corps ? La confusio
te demeure dans l’inconscient. Le corps est bien pour nous un moyen d’
agir
, mais c’est aussi un empêchement de percevoir. So
le. C’est là, évidemment, une idée toute problématique, mais qui n’en
agit
pas moins sur notre intelligence et notre volonté
fait abstraction de toute autre qualité que celle de l’unité. Il ne s’
agit
pas d’un cheval, d’un homme, mais du nombre 1. Or
ître et de comprendre, la puissance bonne, parce que nous jouissons d’
agir
et de mouvoir, etc. En combinant les diverses qua
t ne sera jamais l’infinie perfection : c’est là chose entendue. Il s’
agit
de savoir si cette possibilité constante de progr
de dire, avec Descartes, que cette puissance n’est rien ; car il ne s’
agit
pas ici d’une puissance abstraite et nue comme ce
as ici d’une puissance abstraite et nue comme celle de l’école : il s’
agit
d’une puissance vivante et concrète qui a toujour
la conscience même de ce qu’il y a de permanent dans notre manière d’
agir
et de réagir, dans notre volonté intelligente. C’
ause prochaine, comme tout le livre, la toile, la partition dont il s’
agit
, un acte physique de leur auteur, poussé par quel
suggère. L’interprétation des émotions sera simple et directe s’il s’
agit
d’œuvres évidemment et franchement passionnées ;
ent et la désignent clairement soit en des passages éloquents, s’il s’
agit
d’un livre, soit par le sujet ou le mouvement s’i
nts, s’il s’agit d’un livre, soit par le sujet ou le mouvement s’il s’
agit
d’un tableau, soit en général par quelque excès p
taux, et ces derniers exprimés en termes définis de psychologie, il s’
agit
de rassembler tous ces points épars, de les unir
que de l’intelligence dont ils donnent pour ainsi dire le tracé. Il s’
agit
d’émettre sur le jeu et la nature des gros organe
ette question. Elle est matière à recherches scientifiques : car il s’
agit
, non pas d’apprécier d’après notre goût personnel
s connaissances, qu’on n’explique pas encore les phénomènes dont il s’
agit
de trouver la raison d’être. On se borne à précis
sement que puissent être opérées l’une et l’autre. Quand même il ne s’
agirait
que de connaître l’auteur, il faut d’autres procé
ont plus maintenant des documents toujours destinés au public qu’il s’
agit
d’interpréter : ce sont des paroles échappées dan
es motifs qui ont dirigé la plume d’un auteur, les influences qui ont
agi
sur sa pensée. Mais elle suggère toujours à qui s
. Elles ne se consument point en réflexions, lorsqu’il est question d’
agir
; elles savent tout concilier, comme tout résoudr
lus respectés ; si s’exprimer avec chaleur & intérêt, dès qu’il s’
agit
de tous ces importans objets, c’est être partial
comment s’est exercée cette partialité ? Toutes les fois qu’il s’est
agi
des différens Auteurs que nous censurons, n’avons
nséquence & la perversité : telle a été constamment notre marche.
Agir
autrement, c’eût été affoiblir la seule digue qu’
d’en montrer. Que peut-on trouver de répréhensible dans cette façon d’
agir
? Ce n’est pas tout ; qu’on compare notre prétend
maintenant, c’est la supériorité absolue qu’elles réclament. Il ne s’
agit
plus d’émancipation, mais de domination. Le mot d
omme se prête à cet immense ridicule ! Même l’observation, quand il s’
agit
de femmes, n’ose plus maintenant être cruelle. L’
ctivité humaine, identiquement ce que fait l’homme ; et comme il ne s’
agit
ici que de littérature et d’art, est-elle d’organ
t d’art, est-elle d’organes, de cerveau, et même de main, lorsqu’il s’
agît
d’art, capable des mêmes œuvres que l’homme, quan
dans lesquelles elles frétillent comme le poisson dans l’eau. Il ne s’
agit
nullement de faire aux femmes, qui aiment tant à
t en ce sens, l’uniformité peut naître de l’égalité même. Mais s’il s’
agit
de la différenciation ou de la densité, ou de la
it de conclure que si l’égalitarisme, une fois accepté, est capable d’
agir
ou de réagir sur certaines de nos formes sociales
pose l’existence de chacune d’elles. Jusqu’à ce jour, lorsqu’il s’est
agi
d’expliquer l’apparition de quelqu’une de ces for
iologiques, on sait qu’il dépend de conditions psychologiques qu’il s’
agirait
d’analyser et de classer. — Inversement l’homogén
90
Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« X »
s, et M. Blum aurait raison, si notre pensée était la leur, et s’il s’
agissait
, en effet, de trouver les mêmes choses qu’ils ont
ut simplement avoir leur génie pour avoir leur pensée. Mais de quoi s’
agit
-il ?35 Il n’est pas du tout question de découvrir
uestion de découvrir ce que les grands écrivains ont découvert ; il s’
agit
d’appliquer leurs procédés pour découvrir autre c
compris notre courbure d’âme originelle, que nous désirons, voulons,
agissons
. Notre passé se manifeste donc intégralement à no
ont beau être les mêmes, ce n’est plus sur la même personne qu’elles
agissent
, puisqu’elles la prennent à un nouveau moment de
oute mon état actuel s’explique par ce qui était en moi et par ce qui
agissait
sur moi tout à l’heure. Je n’y trouverais pas d’a
dans le règne animal ; elle devient presque insurmontable quand il s’
agit
des végétaux. Cette difficulté tient d’ailleurs à
ent, les corps inorganisés, qui sont ceux dont nous avons besoin pour
agir
et sur lesquels nous avons modelé notre façon de
tions que suppose aujourd’hui le transformisme, la même parenté. Il s’
agirait
, il est vrai, d’une parenté idéale et non plus d’
le. Ces raisons ont moins de force, nous le reconnaissons, quand il s’
agit
d’un organisme rudimentaire tel que l’Amibe, qui
turels à notre intelligence. Originellement, nous ne pensons que pour
agir
. C’est dans le moule de l’action que notre intell
culation est un luxe, tandis que l’action est une nécessité. Or, pour
agir
, nous commençons par nous proposer un but ; nous
es parties de l’œil, le mot est pris dans un sens tout nouveau : il s’
agit
cette fois d’un ensemble de changements non seule
u’une modification du germe, qui influence la formation de la rétine,
agisse
en même temps aussi sur celle de la cornée, de l’
ère. Mais il n’en serait plus de même, dans l’hypothèse où la lumière
agirait
directement sur la matière organisée pour en modi
naire trois sens de ce terme qui sont tout différents. Une cause peut
agir
par impulsion, par déclanchement ou par dérouleme
ment par impulsion. L’étincelle qui provoque l’explosion de la poudre
agit
par déclanchement. La détente graduelle du ressor
-chimique, c’est ce qu’on peut lui accorder, à la rigueur, quand il s’
agit
de changements dans la coloration de la peau. Mai
contraire, c’est bien une activité interne qu’on invoque, alors il s’
agit
de tout autre chose que de ce que nous appelons d
de la mère avait engendré des « cytotoxines » spécifiques, lesquelles
agissaient
sur l’organe homologue du fœtus 44. Il est vrai q
érédité d’une tare, et tout se passe comme si le soma du parent avait
agi
sur son germen, quoiqu’en réalité germen et soma
mal, et non pas dans le monde végétal. Chez l’animal lui-même, elle n’
agira
que sur les points directement ou indirectement s
ou indirectement soumis à l’influence de la volonté. Là même où elle
agit
, on ne voit pas comment elle obtiendrait un chang
révéler le fond des choses, mais de nous fournir le meilleur moyen d’
agir
sur elles. Or, la physique et la chimie sont des
est une vision efficace, limitée aux objets sur lesquels l’être peut
agir
: c’est une vision canalisée, et l’appareil visue
mpliquée, nous répondrions que la vie est, avant tout, une tendance à
agir
sur la matière brute. Le sens de cette action n’e
la mémoire. Nous disions que le corps, interposé entre les objets qui
agissent
sur lui et ceux qu’il influence, n’est qu’un cond
tte coupe, notre corps occupe le centre. Les choses qui l’environnent
agissent
sur lui et il réagit sur elles. Ses réactions son
posé entre les objets qui l’influencent et les objets sur lesquels il
agit
, en revanche, replacé dans le temps qui s’écoule,
ssée n’est peut-être pas détruite, mais vous lui enlevez tout moyen d’
agir
sur le réel, et par conséquent, comme nous le mon
imées dans ma mémoire. On emploie les mêmes mots dans les deux cas. S’
agit
-il bien de la même chose ? Le souvenir de la leço
que mon habitude de marcher ou d’écrire ; elle est vécue, elle est «
agie
», plutôt qu’elle n’est représentée ; — je pourra
ifient l’organisme, créent dans le corps des dispositions nouvelles à
agir
. Ainsi se forme une expérience d’un tout autre or
utre mémoire, plus naturelle, dont le mouvement en avant nous porte à
agir
et à vivre. Quand les psychologues parlent du sou
tive, répandue sur la surface des images elles-mêmes, et qui pourrait
agir
comme une cause physique d’attraction réciproque
a plus lieu, sans que la mémoire visuelle soit pratiquement abolie. S’
agit
-il bien alors, comme nous le prétendons, d’une si
tre, inverse, qui ramène l’image à la périphérie. Il est vrai qu’il s’
agit
ici d’images photographiées sur l’objet même, et
jet lui-même. Qu’on ne voie pas ici une simple question de mots. Il s’
agit
de deux conceptions radicalement différentes du t
tive, sont les images de la rêverie ou du rêve ; ce que nous appelons
agir
, c’est précisément obtenir que cette mémoire se c
us désirons articuler un son ou un autre, nous transmettons l’ordre d’
agir
à tels ou tels de ces mécanismes moteurs. Mais si
virtuelles elles-mêmes, pour devenir réelles, doivent tendre à faire
agir
le corps, à lui imprimer les mouvements et attitu
le libre arbitre, la responsabilité, le devoir, le droit ; mais il s’
agit
maintenant d’un débat tout autrement sérieux que
i en effet, ce n’est plus de rapports entre objets différents qu’il s’
agit
, comme entre les objets de la géométrie, de la ch
âme pensante, puisqu’il n’admet pas qu’elle ait besoin d’organes pour
agir
, Aristote ne se borne point à reconnaître pour le
es, Maine de Biran, une âme qui vit d’elle-même et par elle-même, qui
agit
, s’observe, se contemple dans les profondeurs de
toute nouvelle la question des rapports de l’âme et du corps. Il ne s’
agit
plus ici d’une action certaine, mais vague, du ph
es observations tirées des états pathologiques du corps humain ; il s’
agit
des conditions physiologiques de tous les grands
e, mais en changeant de caractère et de méthode. Si l’on ne peut plus
agir
directement sur la volonté, qui n’est jamais libr
agistrats ; ils font de l’homme vicieux ou criminel un malade qu’il s’
agit
non de punir, mais de guérir, et auquel il y a li
ffisent pas. La mesure de l’angle facial a son importance, quand il s’
agit
de notables proportions, comme dans la classifica
raite ; nous n’avons aucune expérience d’une entité de ce genre. Il s’
agit
ici d’un composé, d’un phénomène à deux faces, ps
lle les apparences de l’hallucination par leurs façons de parler et d’
agir
; mais il suffit d’entrer dans l’analyse intime d
du vrai n’est pas sa première et essentielle préoccupation ? Qu’il s’
agisse
de l’évolution politique, religieuse ou littérair
logie ; l’une applique ce que l’autre a trouvé et prouvé ; l’une veut
agir
immédiatement sur les hommes et les choses ; l’au
erreur, doit se défaire autant qu’il peut de sa personnalité. Il ne s’
agit
pas pour lui de dire ce qu’il aime ou ce qu’il dé
e et de son auteur nous révèle ainsi des causes particulières qui ont
agi
sur lui et sur elle, de même cette étude peut nou
ure : mais elle en a d’autres qu’on ne saurait oublier. Si la société
agit
sur elle, elle réagit à son tour sur la société.
n peuvent, suivant les circonstances, en ressentir le contre-coup. S’
agit
-il de vie politique ? Qui niera que les chansons
e moi personnellement, Lecteur ; mais songe un peu, et vois s’il ne s’
agit
pas aussi de toi. XIII (Après avoir lu les Époque
plus que jamais aux jugements qui tiennent au vrai goût, mais il ne s’
agit
plus de venir porter des jugements de rhétorique.
et mettre en jeu à la fois dans un instant donné le plus de rapports,
agir
en masse et avec concert, c’est là le difficile e
lle opinion, à porter tel ou tel jugement, et à désirer, à espérer, à
agir
en conséquence. XXVI On peut avoir un idéal plus
i vint-il, n’osant vouloir ? Faut-il choyer un songe que l’on ne peut
agir
? Mais celui-là m’a emportée qui leva vers moi se
nne la Douleur, qu’importe ? Elle est, et tu existes en elle. Aime et
agis
pour être selon la vie, aime et agis pour être se
, et tu existes en elle. Aime et agis pour être selon la vie, aime et
agis
pour être selon toi-même ; aime et agis pour la J
ur être selon la vie, aime et agis pour être selon toi-même ; aime et
agis
pour la Joie d’être. » Pour M. de Régnier rien n’
osophie, qui en était, peut donc tenir sur une carte à jouer. Il ne s’
agit
que de l’y faire tenir. Et ce n’est point diffici
rer de ses travaux. » Personne ne le croit, en effet ; seulement il s’
agit
de savoir quelle fut cette influence, si elle éta
e vide d’un si long espace, mais l’a comblé sans le remplir ! Il ne s’
agit
pas ici, bien entendu, des talents du gymnaste in
rie des noms, comme les perroquets, sans rien y comprendre, mais il s’
agit
des hommes qui représentent pour les avoir réelle
les. Il a peint des femmes toujours viriles, parce que toujours elles
agissent
par volonté, par intelligence, plutôt que par ins
té curieuse et noble. Si l’estime en effet détermine l’amour, il faut
agir
, non pour l’amour, mais pour l’honneur, pour le d
nsi on ne mérite l’amour qu’en ne faisant rien pour lui. Mais il ne s’
agit
pas de le sacrifier. Ecoutez Rodrigue : Qui m’ai
res passions se réduiront à la connaissance. Et de là tout principe d’
agir
est transporté à la raison, toute force d’agir à
de là tout principe d’agir est transporté à la raison, toute force d’
agir
à la volonté. Là est le trait original, et capita
, les femmes comme les hommes, les scélérats comme les généreux. Tous
agissent
par des déterminations de la volonté, d’après des
s. De là enfin résulte que ces héros sont des raisonneurs : car ils n’
agissent
pas par aveugles impulsions, et les objets même d
es derniers, en tant que tels, on ne saurait tirer le psychique. Il s’
agit
de savoir si l’activité, si la volonté est un de
semble de sensations passives qui, combinées, donnent l’illusion de l’
agir
et du vouloir ; aucune combinaison de passivités
gestes et où les jambes se remuent, c’est une opinion enfantine. Nous
agissons
toujours, nous exécutons toujours quelque chose,
n lui-même est toujours continu et toujours général ; nous voulons et
agissons
tout entiers, et les réactions tranchées contre l
a première, en effet, ne connaît pas la place du cerveau où elle peut
agir
, ni le moyen d’y agir pour produire le mouvement
ne connaît pas la place du cerveau où elle peut agir, ni le moyen d’y
agir
pour produire le mouvement ; il faut donc qu’il y
le mouvement ; il faut donc qu’il y ait une volition inconsciente qui
agit
sur le point P du cervelet où le nerf moteur pren
▲