Après avoir écarté la conception d’une vérité objective assignant un
but
fixe à l’évolution de la vie, on a situé précédem
ects : l’un passionnel, l’autre moral. Sous ces deux aspects, un même
but
est envisagé : il s’agit de réaliser un état de c
es voies tortueuses et détournées où elle s’engage pour atteindre son
but
. Mais, avertie par les obstacles et les déboires
aspect passionnel et moral, le rôle de la sensation, considérée comme
but
, est considérable dans la vie phénoménale : c’est
e la connaissance et la contemplation. L’intellectualisme, pris comme
but
de l’existence, suppose donc tout d’abord le fait
précédente, ce souci fait de la connaissance un moyen et de la vie le
but
. Vivre a une telle importance, pour connaître que
ue les esprits qui spéculent du point de vue de la connaissance comme
but
se doivent montrer bienveillants pour ces intelli
ellectualisme tenant la vie pour un moyen dont la connaissance est le
but
, ou que l’on se place au point de vue de l’illusi
ale tenant la connaissance pour un moyen, dont la vie heureuse est le
but
, ce que l’on se proposait de mettre ici en éviden
e de ses deux aspects, qu’il lui faut en sorte toujours supposer pour
but
de satisfaire une utilité de connaissanceou de sa
rôle secondaire de moyens pour procurer des fins très différentes des
buts
vers lesquelles elles ordonnent de tendre. Parmi
nt de noter que ces vérités, tandis qu’elles atteignent en réalité ce
but
, la multiplication de l’espèce, s’assignant toujo
ce but, la multiplication de l’espèce, s’assignant toujours un autre
but
, un but chimérique et qui n’est jamais accompli.
la multiplication de l’espèce, s’assignant toujours un autre but, un
but
chimérique et qui n’est jamais accompli. Cette lo
ar une voie plus paradoxale encore le christianisme atteignit le même
but
. Il érigea en vertu suprême la chasteté. L’effort
ue ils verront, en de multiples exemples, se joindre ensemble dans un
but
d’utilité, intellectuelle ou vitale, des éléments
XVIII La fin de l’humanité, et par conséquent le
but
que doit se proposer la politique, c’est de réali
olidité qu’en tant que réalisée par les individus. Par conséquent, le
but
serait manqué si une civilisation, quelque élevée
si elle constituait une jouissance personnelle et sans tradition. Le
but
ne sera atteint que quand tous les hommes auront
chose facile. Il y a à peine cinquante ans que l’humanité a aperçu le
but
qu’elle avait jusque-là poursuivi sans conscience
ère qui est à ses pieds. De même l’humanité, en ne considérant que le
but
éloigné, est comme tentée d’y sauter, sans égard
par le balancement de deux ordres de considérations : d’une part, le
but
à atteindre ; de l’autre, l’état actuel, un terra
ompose que d’oisifs et de travailleurs ; la politique doit avoir pour
but
l’amélioration morale, physique et intellectuelle
rficielle, qui, si elle était réalisée, irait directement contre leur
but
. Aucun problème social n’est abordable de face ;
on dira du socialisme comme de toutes les réformes : il a atteint son
but
, non pas comme le voulaient les sectaires, mais p
omme l’oiseau de paradis de la légende, qui couve en volant. Tout est
but
, tout est moyen. Dans la vie humaine, l’âge mûr n
est but, tout est moyen. Dans la vie humaine, l’âge mûr n’est pas le
but
de la jeunesse, la vieillesse n’est pas le but de
l’âge mûr n’est pas le but de la jeunesse, la vieillesse n’est pas le
but
de l’âge mûr. Le but, c’est la vie entière prise
e but de la jeunesse, la vieillesse n’est pas le but de l’âge mûr. Le
but
, c’est la vie entière prise dans son unité. Il y
ban de l’humanité, pour vivre plus à leur aise ? Je le répète, si le
but
de la vie n’était que de jouir, il ne faudrait pa
eux hédonisme des dernières années. Quand les socialistes disent : le
but
de la société est le bonheur de tous ; quand leur
société est le bonheur de tous ; quand leurs adversaires disent : le
but
de la société est le bonheur de quelques-uns, tou
trompent ; mais les premiers moins que les seconds. Il faut dire : le
but
de la société est la plus grande perfection possi
mme le grand résultat du progrès de l’humanité. Détruire n’est pas un
but
. L’humanité a vécu dans les formes anciennes jusq
contre ces formes ? Croyez-vous que quand l’oiseau brise son œuf son
but
soit de le briser ? Non ; son but est de passer à
ue quand l’oiseau brise son œuf son but soit de le briser ? Non ; son
but
est de passer à une vie nouvelle. Tout au plus, s
obstacle. Toujours la vue fatalement partielle et rendue telle par le
but
pratique qu’on se propose. Celui qui détruit ne p
ui rendent un double service : ils l’accélèrent et ils le règlent. Le
but
de l’humanité est d’approfondir successivement to
son aise, ne créant rien, ne fondant rien, ne produisant rien. Car le
but
de l’humanité n’est pas que les individus vivent
e à boire d’eau très-chaude, puis encore de l’eau-de-vie pure ; il en
but
environ une demi-douzaine, après quoi nous dépêch
fait sien. Il en a employé les ressorts moteurs à sa façon, pour son
but
propre, de sorte qu’aucun d’eux ne reste le même,
x d’homme. — La soif de leur ambition n’était point la mienne. — Le
but
de leur vie n’était pas le mien. — Mes joies, me
we could meet again, being usually about twelve hours of separation.
But
I was a fool then, and am not much wiser now. 12
h Reviewers. 1252. Childe Harold is, I think, a very clever poem,
but
gives no good symptom of the writer’s heart or mo
I don’t think them in force and heart sufficient to make much of it.
But
onward. What signifies self ?… It is not one man
. But onward. What signifies self ?… It is not one man nor a million,
but
the spirit of liberty that must be spread… The me
ht. In England, five years ago, I had the same kind of hypochondria,
but
accompanied with so violent a thirst, that I have
faint. I have always had « une âme » which not only tormented itself,
but
every body else in contact with it, and an « espr
he fulness of my mind, from passion, from impulse, from many motives,
but
not « for their sweet voices. » To withdraw mysel
tiger. If I miss the first spring, I go grumbling to my jungle again.
But
if I do it, it is crushing. 1260. I could not wr
— That is to say the Old Testament, for the New struck me as a task,
but
the other as a pleasure. 1262. As to Pope, I hav
conventicles about him. You may call Shakspeare and Milton pyramids,
but
I prefer the temple of Theseus or the Parthenon t
l of poets is their vulgarity. By this I do not mean they are coarse,
but
shabby genteel. 1263. All the styles of the day
chanals would flee ; ‘Tis said, at times the sullen tear would start,
But
pride congeal’d the drop within his ee : Apart he
time cannot abate, And feed on bitter fruits without accusing fate. …
But
soon he knew himself the most unfit Of men to her
: Could he have kept his spirits to that flight, He had been happy ;
but
this clay will sink Its spark immortal, envying i
ak the link That keeps us from yon heaven which woos us to its brink.
But
in man’s dwellings he became a thing Restless and
nd gnash their fangs, loud yelling for the prey ! All join the chase,
but
few the triumph share : The grave shall bear the
113. 1279. « Well, we are all born to die — I shall go with regret,
but
certainly not with fear. — It is every man’s dut
to strip : swimming, indeed, can be of little use in these billows —
but
as children, when tired with crying, sink placidl
gave way, the skies roll’d round, I seem’d to sink upon the ground ;
But
err’d, for I was fastly bound, My heart turn’d si
then I died. … I felt the blackness come and go And strove to wake ;
but
could not make My senses climb up from below : I
lear, and azure as the air ; And scarce their foam the pebbles shook,
But
murmur’d meekly as the brook. The winds were pill
calps were in the wild dog’s maw, The hair was tangled round his jaw.
But
close by the shore, on the edge of the gulf, Ther
, There sat a vulture flapping a wolf, Who had stolen from the hills,
but
kept away, Scared by the dogs, from the human pre
m the hills, but kept away, Scared by the dogs, from the human prey ;
But
he seized on his share of a steed that lay, Pick’
by the birds, on the sands of the bay. 1285. He scarce can speak,
but
motions him ‘t is vain, He clasps the hand that p
ed his arm to point where such had been, Scarce Kaled seem’d to know,
but
turn’d away, As if his heart abhorr’d that coming
hat morning light, To look on Lara’s brow, — where all grew night. …
But
from his visage little could we guess, So unrepen
isage little could we guess, So unrepentant, dark, and passionless… …
But
gasping heaved the breath that Lara drew, And dul
ent — and came, and brought no day. ……………… Forests were set on fire —
but
hour by hour They fell and faded — and the crackl
nd vipers crawl’d And twined themselves among the multitude, Hissing,
but
stingless — they were slain for food : And War, w
ly apart, Gorging himself in gloom : no love was left ; All earth was
but
one thought — and that was death, Immediate and i
the dropping dead Lured their lank jaws ; himself sought out no food.
But
with a piteous and perpetual moan, And a quick de
er’d not with a caress — he died. The crowd was famish’d by degrees ;
but
two Of an enormous city did survive, And they wer
, And was all clay again… 1292. … My solitude is solitude no more,
But
peopled with the Furies : — I have gnash’d My tee
For madness as a blessing — ’tis denied me. I have affronted death —
but
in the war Of elements the waters shrunk from me,
n fantasy, imagination, all The affluence of my soul — I plunged deep
But
like an ebbing wave, it dash’d me back Into the g
And live, and live for ever. 1293. There’s bloom upon her cheek ;
But
now I see it is not living hue, But a strange hec
. There’s bloom upon her cheek ; But now I see it is not living hue,
But
a strange hectic — like the unnatural red Which A
past. I cannot rest. I know not what I ask, nor what I seek : I feel
but
what thou art, and what I am ; And I would hear y
name, Which answer’d me — many things answer’d me — Spirits and men —
but
thou wert silent all. … Speak to me ! I have wand
not, and feel for thee alone — Speak to me ! though it be in wrath ;
but
say — I reck not what — but let me hear thee once
e — Speak to me ! though it be in wrath ; but say — I reck not what —
but
let me hear thee once — This once — once more !
this mortality, derives No colour from the fleeting things without ;
But
is absorb’d in sufferance or in joy, Born from th
hou couldst not tempt me. I have not been thy dupe, nor am thy prey —
But
was my own destroyer, and will be My own hereafte
hereafter. — Back, ye baffled fiends ! The hand of death is on me —
but
not yours ! 1297. Don Juan. There stands the
house had been divided between your public and understood courtesans.
But
the intriguantes much outnumbered the regular mer
morning twinkling weak as A drunken man’s dead eye in maudlin sorrow,
But
with all heaven t’ himself ; that day will break
y a thousand things at once, To the high dama’s brow, more melancholy
But
clear, and with a wild and liquid glance, Heart o
ir lips drew near, and clung into a kiss. 1312. … They were alone,
but
not alone as they Who shut in chambers think it l
at all things. For I wish to know What, after all, are all things —
but
a show ? (Ch. VII, stance 2.) 1317. … Sooner s
… Love’s a capricious power… Against all noble maladies he’s bold ;
But
vulgar illnesses don’t like to meet ; … Shrinks f
ay after. Man, being reasonable, must get drunk ; The best of life is
but
intoxication… 1321. … And next they thought up
1321. … And next they thought upon the master’s mate, As fattest ;
but
he saved himself, because, Besides being much ave
ce dans une voie, quand cette voie est la seule qui le conduise à son
but
. Celui-ci y entrait de lui-même. Dès sa seconde p
705. The beauties of the French poesy are the beauties of a statue,
but
not of a man, because not animated with the soul
roduced except the liar ? And you know how it was cry’d up in France.
But
when it came upon the English stage, though well
ch poetry consist. Their heroes are the most civil people breathing ;
but
their good breeding seldom extends to a word of s
to his father ; and my criticks, I am sure, will commend him for it.
But
we of grosser apprehensions are apt to think that
ns are apt to think that this excess of generosity is not practicable
but
with fools and madmen… Take Hippolytus out of his
to the first philosophers was known. Who under various names, ador’d
but
one. (Act. II, sc. i.) 710. Absent, I may her
t one. (Act. II, sc. i.) 710. Absent, I may her Martyrdom decree,
But
one look more will make that martyr me… Ce Maxim
all burn in other fires. (Act. III, sc. i.) 712. CHRISTIAN PRIEST.
But
we by Martyrdom our faith aver. MONTEZUMA. You do
e, acte IV, sc. i.) 715. I take this garland not as given by you,
But
as my merit and my beauty due. (The Indian Empero
words me, girls, he words me, that I should not By noble to myself ;
but
hark thee, Charmion… Now, Iras, what think’st tho
deserved it. Moderate sorrow Fits vulgar love, and for a vulgar man.
But
I have loved with such transcendant passion ; I s
my soldier, to my arms. You have been too long away from my embraces.
But
when I have you fast and all my own, With broken
nd without deceit. (Ibid.)(Ibid.) 728. Miranda dit : « And if I can
but
escape with life, I had rather lie in pain nine m
more than Cæsar’s sister, Know, I had still remain’d in Cæsar’s camp.
But
your Octavia, your much injured wife, Though bani
ins your coolness, And prompts me not to seek what you should offer ;
But
a wife’s virtue still surmounts that pride. I com
her grant… My hard fortune Subjects me still to your unkind mistakes.
But
the conditions I have brought are such, You need
t. I may be dropt at Athens ; No matter where, I never will complain,
But
only keep the barren name of wife, And rid you of
, emperor, this is no common dew ; I have not wept this forty years ;
but
now My mother comes afresh unto my eyes ; I canno
; See, I have caught it too. Believe me, ’tis not For my own griefs,
but
thine… Nay, father… 733. No ; ’tis you dream ;
e t’ out-live you. ANTONY. Kill me first, And then die thou. For ’tis
but
just thou serve Thy friend before thyself. VENTID
conqu’ring soldier, red with unfelt wounds, Salutes his general so :
but
never more Shall that sound reach my ears. VENTID
we have more than conquer’d Cæsar now. My queen’s not only innocent,
but
loves me… Down on thy knees, blasphemer as thou a
739. JAFFIER. Oh, that my arms were riveted Thus round thee ever !
But
my friends, my oath ! This, and as more. (Kisses
y ; spit in my face, pry’thee, spit in my face never so little ; spit
but
a little bit, — spit, spit, spit, spit when you a
Out on him, beast ; he’s always talking filthy to a body. If he sits
but
at the table with one, he’ll be making nasty figu
with sinews like our English. It has the nimbleness of a grey-hound,
but
not the bulk and body of a mastiff. They have set
d we lov’d as long we cou’d, ’Till our love was lov’d out in us both.
But
our marriage is dead when the pleasure is fled ;
, than the light of the moon can be allowed to be her own, who shines
but
by the reflection of her brother. (1693. Lettre à
tre à Dennis.) 756. Her weight made the horses travel very heavily ;
but
to give them a breathing time, she would often st
re. In the mean time, I flatter not myself with any manner of hopes ;
but
do my duty and suffer for God’s sake. — You know
God’s sake. — You know the profits (of Virgil) might have been more ;
but
neither my conscience nor my honour would suffer
but neither my conscience nor my honour would suffer me to take them.
But
I can never repent my constancy, since I am thoro
plough ; I will not say : the zeal of God’s house has eaten him up ;
but
I am sure it has devoured some part of his good m
as’d with the danger when the waves went high, He sought the storms ;
but
, for a calm unfit, Would steer too nigh the sands
hese did Zimri stand ; A man so various that he seem’d to be Not one,
but
all mankind’s epitome : Stiff in opinions, always
ons, always in the wrong, Was ev’ry thing by starts, and nothing long
But
, in the course of one revolving moon, Was chemist
In squandering wealth was his peculiar art ; Nothing went unrewarded
but
desert : Beggar’d by fools, whom still he found t
He laugh’d himself from court, then sought relief By forming parties,
but
could ne’er be chief ; For, spite of him, the wei
weight of business fell On Absalom and wise Achitophel : Thus, wicked
but
in will, of means bereft, He left not faction, bu
hel : Thus, wicked but in will, of means bereft, He left not faction,
but
of that was left. 771. Slingsby Bethel. 772.
; Did wisely from expensive sins refrain, And never broke the Sabbath
but
for gain ; Nor was he ever known an oath to vent,
oreign aid ; That they to future ages may be known, Not copies drawn,
but
issue of thy own. Nay, let thy men of wit, too, b
let thy men of wit, too, be the same, All full of thee, and diff’ring
but
in name. » 779. « Like mine, thy gentle number
satires never bite. In thy felonious heart though venom lies, It does
but
touch thy Irish pen, and dies. Thy genius calls t
and dies. Thy genius calls thee not to purchase fame In keen Iambics,
but
mild Anagram. Leave writing plays, and choose for
lents suit, Set thy own songs, and sing them to thy lute. » He said :
but
his last words were scarcely heard, For Bruce and
, when the stage was rude And boisterous English wit with art indu’d…
But
what we gain’d in skill we lost in strength, Our
s cailloux théologiques sur lesquels on trébuche dix fois par livre.
But
once possess’d of what with care you save, The wa
ight ; No lawless mandates from the court receive, Nor lend by force,
but
in a body give. 789. Dim as the borrow’d beams
, Is reason to the soul : and as on high Those rolling fires discover
but
the sky, Nor light us here ; so Reason’s glimm’ri
; so Reason’s glimm’ring ray Was lent, not to assure our doleful way,
But
guide us upward to a better day. And as those nig
olves in supernatural light. 790. Religio Laici, Hind and Panther.
But
, gracious God ! how well dost thou provide For er
ve thee thus conceal’d, And search no farther than thyself reveal’d ;
But
her alone for my director take, Whom thou bast pr
sformé en un baragouin absurde, et la rancune enfiellée, manquant son
but
par son excès même, défigure le portrait qu’elle
êmes, et ils s’y perfectionnent bien vite ; car le raffinement est le
but
de la vie mondaine ; on s’étudie à rendre toutes
t d’une femme qu’on a aimée. Pour comble, ce délicat entretien a pour
but
de faire entrer la pauvre délaissée dans une intr
gre all which, ’twas to stand fast, As long as monarchy should last ;
But
when the state should hap to reel, ’Twas to submi
ose, that Time should never, In life or death, their fortunes sever :
But
with his rusty sickle mow Both down together at a
ogether at a blow. 547. This sword a dagger had his page, That was
but
little for his age, And therefore waited on him s
in which things truth and the interest of men oppose not each other.
But
in the other there is nothing undisputable, becau
2. Lorsque Jupiter sort, alléguant qu’il est jour, Alcmène lui dit :
But
you and I will draw our curtains close, Extinguis
574. Though I cannot lie like them, I am as vain as they ; I cannot
but
publicly give your Grace my humble acknowledgment
s, necklaces, fans, ribbons, points, laces, stockings, gloves… GRIPE.
But
there, take half a piece for the other things. MI
than such as give a haut goust to her breath. 580. Pish ! give her
but
leave to put on… the long patch under the left ey
tunate lady that I am ! I have left the herd on purpose to be chased.
But
the park affords not so much as a satyr for me ;
, my husband would have me send you a base, rude, unmannerly letter :
but
I won ’t ; and would have forbid you loving me, b
mannerly letter : but I won ’t ; and would have forbid you loving me,
but
I won ’t ; and would have me say to you, I hate y
I won ’t ; and would have me say to you, I hate you, poor Mr Horner,
but
I won ’t tell a lie for him. For I’m sure if you
tongue between my lips. » 584. Dans le Plain dealer. 585. NOVEL.
But
, as I was saying, madam, I have been treated to-d
de l’École des Femmes ; jugez de la transformation. 586. FIDELIA.
But
, madam, what could make you dissemble love to him
; just the buckets in the well ; the absence of one brings the other.
But
I hope, like them too, they will not meet in the
derstand me, sure. I say, this was an honest come-off and a good one.
But
it was a sign your gallant had enough of your con
embrace. Comparez au rôle de Philinte des tirades comme celle-ci :
But
, faith, could you think I was a friend to those I
ve unless I have her. 594. Her love — a whore’s, a witch’s love ! —
But
what, did she not kiss well, sir ? I’m sure, I th
But what, did she not kiss well, sir ? I’m sure, I thought her lips…
But
I must not think of them more… But yet they are s
ir ? I’m sure, I thought her lips… But I must not think of them more…
But
yet they are such I could still kiss, grow so, —
ore you shall stay and keep the door for me, whilst I go in for you ;
but
when I’m gone, if you dare to stir off from this
riends, admired by his scholars, and honoured by the Athenians. 606.
But
, where factions were once entered and rooted in a
d men to meddle with public affairs (P. 203, 206, 191, t. III.) 607.
But
the true service of the public is a business of s
can be of more than vulgar use, yet he will seldom or never seek it,
but
leaves it commonly to men who, under the disguise
ural philosophy, that they foretold not only eclipses in the heavens,
but
earthquakes at land, and storms at sea, great dro
he greatest master in his kind, and all others of that sort have been
but
imitations of his original, so I think the Epistl
ine, and Politian, with some others, have attributed them to Lucian ;
but
I think he must have little skill in painting, th
erceness of nature and cruelty of revenge, could never be represented
but
by him that possessed them ; and I esteem Lucian
e upon them too much, they doze you, and make you unfit for company ;
but
if used discretly, you are the fitter for convers
a little country retreat near the town ; not to dwell in constantly,
but
only so a night, and away, to taste the town the
hours away ; We throw a merry main ; Or else at serious ombre play ;
But
why should we in vain Each other’s ruin thus purs
s ruin thus pursue ? We were undone when we left you. With a fa, etc.
But
now our fears tempestuous grow, And cast our hope
Then blush not, Fair ! or on him frown : How could the youth, alas !
but
bend When his whole Heav’n upon him lean’d ; If o
621. Amoret ! as sweet and good As the most delicious food, Which
but
tasted does impart Life and gladness to the heart
en his armed head : With these t’ avoid, with that his fate to meet :
But
fear prevails and bids him trust his feet. So fas
ed inundations spoil The mower’s hopes, or mock the ploughman’s toil,
But
godlike his unweary’d bounty flows ; First loves
gentle, yet not dull : Strong without rage, without o’erflowing full…
But
his proud head the airy mountain hides Among the
, the Quaker’s word, the gamester’s oath, and the great man’s honour,
but
to cheat those that trust us. (Wycherley, Love in
rough the head. (Ibid.) 636. LADY TOUCHWOOD (à Maskwell). You want
but
leisure to invent fresh falsehood, and sooth me t
fresh falsehood, and sooth me to a fond belief of all your fictions.
But
I’ll stab the lie that is forming in your heart,
ecod, I’d marry the baker ; I would so. Nobody can knock at the gate,
but
presently I must be locked up ; and here’s the yo
own my heels for it. 653. Sir, I never disobey my father in anything
but
eating of green gooseberries… 654. A week ! Why,
N. Why, you had three, good nurse ; you may hold your tongue… 658.
But
if I leave my lord, I must leave my lady too ; an
love him, nurse ? Ecod, I would not care if he were hanged, so I were
but
once married to him. No ; that which pleases me i
a lady both, nurse, ecod, I’ll flaunt it with the best of ’em. 660.
But
, d’ye hear ? Pray, take care of one thing : when
never speak what you think. Your words must contradict your thoughts,
but
your actions may contradict your words. So when I
your words. So when I ask you, if you can love me, you must say no ;
but
you must love me too. — If I tell you you are han
tell you you are handsome, you must deny it, and say I flatter you. —
But
you must think yourself more charming than I spea
as if I had it myself. — If I ask you to kiss me, you must be angry,
but
you must not refuse me… MISS PRUE. O Lord, I swea
speaking one’s mind. And must not you lie too ? TATTLE. Hum — yes. —
But
you must believe I speak truth… MISS PRUE. O Gemi
… MISS PRUE. O Gemini ! Well, I always had a great mind to tell lies.
But
they frightened me, and said it was a sin. TATTLE
you. (Runs and kisses him.) TATTLE. Hold, hold, that’s pretty well. —
But
you should not have given it me, but have suffere
old, hold, that’s pretty well. — But you should not have given it me,
but
have suffered me to have taken it. MISS PRUE. Wel
was here just now ? Will he thrash my jacket ? Let’n, let’n, let’n —
but
an he comes near me, mayhap I may give him a salt
too, for he told me so. 669. Congreve, The Way of the World. 670.
But
art thou sure Sir Rowland will not fail to come ?
g her forms. I won’t be too coy neither — I won’t give him despair. —
But
a little disdain is not amiss — a little scorn is
ng. FOIBLE. A little scorn becomes your Ladyship. LADY WISHFORT. Yes,
but
tenderness becomes me best — a sort of dyingness.
swimmingness in the eyes. — Yes, I’ll look so. — My niece affects it.
But
she wants features. — Is Sir Rowland handsome ? L
es, I’ll give the first impression on a couch. — I won’t lie neither,
but
loll and lean upon an elbow, with one foot a litt
o them that don’t think it so. Indeed, if I did not think it a sin. —
But
still my honour, if it were no sin. — But then to
I did not think it a sin. — But still my honour, if it were no sin. —
But
then to marry my daughter, for the conveniency of
f you are made a captive ? I swear it is pity it should be a fault. —
But
my honour ! — Well, but your honour too. — But th
? I swear it is pity it should be a fault. — But my honour ! — Well,
but
your honour too. — But the sin ! — Well, but the
t should be a fault. — But my honour ! — Well, but your honour too. —
But
the sin ! — Well, but the necessity. — O Lord, he
But my honour ! — Well, but your honour too. — But the sin ! — Well,
but
the necessity. — O Lord, here is somebody coming.
crime, and strive as much as can be against it. — Strive, be sure. —
But
don’t be melancholy, don’t despair. — But never t
st it. — Strive, be sure. — But don’t be melancholy, don’t despair. —
But
never think that I’ll grant you anything. O Lord,
espair. — But never think that I’ll grant you anything. O Lord, no. —
But
be sure you lay aside all thoughts of the marriag
can’t be jealous, for I must not love you. — Therefore don’t hope. —
But
don’t despair neither. — O, they are coming, I mu
Sir Francis. Let us never visit together, nor go to a play together ;
but
let us be very strange and well bred. Let us be a
d. Whenever we met, we gave one another the spleen ; and never agreed
but
once, which was about lying alone. (Vanbrugh, Rel
several, very honest. — They’ll cheat a little at cards, sometimes ;
but
that is nothing. MISTRESS FORESIGHT. Pshaw ! But
t cards, sometimes ; but that is nothing. MISTRESS FORESIGHT. Pshaw !
But
virtuous, I mean. SCANDAL. Yes, faith. I believe
, I mean. SCANDAL. Yes, faith. I believe some women are virtuous too.
But
’tis as I believe — some men are valiant through
easure ? (Congreve, Love for Love.) 677. We are as wicked as men,
but
our vices lie another way. They have more courage
the least appearance of disadvantage or danger. I love a fine house,
but
let another keep it ; and so just I love a fine w
I have got them with child. I never quarrel with anything in my cups,
but
an oysterwench, or a cookmaid ; and if they be no
apprehensive, where could you have fixed a father’s name with credit,
but
on a husband ? 683. A better man ought not to ha
will ever risk the loss of his honour. DAVID. I say then, it would be
but
civil in honour never to risk the loss of a gentl
nd, ay truly, a very courtier-like servant. 689. SIR ANTHONY. Nay,
but
Jack, such eyes ! So innocently wild ! So bashful
ch eyes ! So innocently wild ! So bashfully irresolute ! not a glance
but
speaks and kindle some thought of love ! Then, Ja
ne on ! JOSEPH SURFACE. Charles has been imprudent, sir, to be sure ;
but
I hope no busy people have already prejudiced Sir
chair. 693. SIR BENJAMIN. Mr. Surface, I do not mean to hurt you ;
but
depend on ’t, your brother is utterly undone. CRA
ovable. CRAB. I have seen one that was at his house. Not a thing left
but
some empty bottles that were overlooked, and the
CRAB. Oh, he has done many mean things, that’s certain. SIR BENJAMIN.
But
, however, as he’s your brother… (Going.) CRAB. We
’enseigner une vérité, mais de faire une impression ; il n’a pas pour
but
d’éclairer cette partie isolée de l’homme qu’on a
to day in the drawing-room, and I have given her some encouragement,
but
not much. (Journal, 19 mai et 7 octobre.) 948.
tter than those killing, killing words of yours… O, that you may have
but
so much regard for me left, that this complaint m
the Parliament or people of Ireland ? Are not they to be purchasers ?
But
they detest, abhor, and reject it as corrupt, fra
how he and his tribe of accomplices think fit to employ themselves ;
but
I hope and trust that we are all, to a man, fully
the pattern with the whole piece, and probably we come to a bargain.
But
if I were to buy a hundred sheep, and the grazier
He has a confused remembrance of words since he left the university,
but
has lost half their meaning, and puts them togeth
e honour of his visits ; and when these papers are public, it is odds
but
he will tell me, as he once did upon a like occas
emnly he loves and will serve you, and your back is no sooner turned,
but
he tells those about him you are a dog and a rasc
door. He is a presbyterian in politicks, and an atheist in religion,
but
he chooses at present to whore with a papist. In
e is to endeavour to impose on their understandings, for which he has
but
a receipt, a composition of lies and oaths… He be
r known to refuse or to keep a promise, as I remember he told a lady,
but
with an exception to the promise he then made, wh
a pension. Yet he broke even that, and, I confess, deceived us both.
But
here I desire to distinguish between a promise an
or he will be sure to keep the latter, when he has the fairest offer…
But
here I must desire the reader’s pardon, if I cann
the affectation of singularity, or the perverseness of human nature,
but
so it unhappily falls out, that I cannot be entir
ail parsons, who happen to fall in their way, and offend their eyes ;
but
at the same time, those wise reformers do not con
thnot et Swift y ont travaillé ensemble. 984. My first prediction is
but
a trifle ; yet I will mention it to show how igno
a very young lady. 987. That ridiculous passion which has no being
but
in playbooks and romances. 988. I never yet knew
When I reflect on this, I cannot conceive you to be human creatures,
but
a sort of species hardly a degree above a monkey
t Vanessa never did ! » 991. He now could praise, esteem, approve,
But
understood not what was love. 992. Stella, thi
all his fine clothes ; Dear madam, be sure he’s a fine spoken man, Do
but
hear on the clergy how glib his tongue ran ; ‘And
sons as long as you live ; I ne’er knew a parson without a good nose.
But
the devil’s as welcome wherever he goes ; G — d —
welcome wherever he goes ; G — d — me, they bid us reform and repent,
But
, z — s, by their looks they never keep lent ; Mis
rate to Jenny.) Whenever you see a cassock and gown, A hundred to one
but
it covers a clown ; Observe how a parson comes in
ublic done for him ? Mere envy, avarice, and pride : He gave it all —
but
first he died. And had the dean in all the nation
he should fail her at quadrille. He loved the dean — (I lead a heart)
But
dearest friends, they say, must part. His time wa
are invested by the primum mobile… What is that which some call land,
but
a fine coat laced with green ? Or the sea but a w
t which some call land, but a fine coat laced with green ? Or the sea
but
a waistcoat of water-tabby ?… You will find how c
nt immediately to consult their father’s will, read it over and over,
but
not a word of a Shoulder-Knot… After much thought
thing in this will, totidem verbis, making mention of Shoulder-Knot ;
but
I dare conjecture we may find them inclusive, or
was immediately approved by all ; and so they fell again to examine ;
but
their evil star had so directed the matter that t
ntrived that a K was not to be found. Here was a weighty difficulty ;
but
the distinguishing brother, now his hand was in,
ved, in propriety of speech, be reasonably applied to a broom-stick ;
but
it was replied upon him that this epithet was und
rently of a mystery, which doubtless was very useful and significant,
but
ought not to be over-curiously pried into, or nic
; and secondly they proved it by the following syllogism : words are
but
wind ; and learning is nothing but words ; ergo l
he following syllogism : words are but wind ; and learning is nothing
but
words ; ergo learning is nothing but wind. — … T
t wind ; and learning is nothing but words ; ergo learning is nothing
but
wind. — … This, when blown up to its perfection,
ught not to be covetously hoarded up, stifled, or hid under a bushel,
but
freely communicated to mankind. Upon these reason
, the dead, the sapless, and the overgrown branches from their works.
But
now all this he cunningly shades under the follow
on, which being licked up, infallibly kills him in twenty-four hours.
But
in justice to this prince’s great clemency and th
urn it was to give notice about washing the floor after an execution,
but
who maliciously had omitted it ; by which neglect
ned, although the prince at that time had no design against his life.
But
this good prince was so gracious as to forgive th
e of hair behind their back, and the forepart of their legs and feet.
But
the rest of the body was bare so that I might see
sharp points and hooked… The females had long lank hair on their head
but
none on their faces, nor any thing more than a so
ass flesh… He usually continues in office till a worse can be found ;
but
the very moment he is discarded, his successor, a
ischarge their excrements upon him from head to foot. 1017. I cannot
but
conclude the bulk of your natives to be the most
on of swine’s flesh, and improvement in the art of making good bacon…
But
this, and many others, I omit, being studious of
course may be taken to ease the nation of so grievous an encumbrance.
But
I am not in the least pain upon that matter, beca
rit humain, il faut compter pour beaucoup la nature et la grandeur du
but
que peuvent se promettre ceux qui se consacrent a
ommes. Les ouvrages qui appartiennent à la haute littérature ont pour
but
d’opérer des changements utiles, de hâter des pro
’un chef. Si les mouvements révolutionnaires se prolongent au-delà du
but
qu’ils devaient conquérir, le pouvoir descend tou
s qui pourraient s’indiscipliner une fois et se diriger vers un autre
but
. Il y a des formules de cruauté pour ainsi dire r
rager l’ambition des succès militaires ; ils arrivent toujours à leur
but
, et commandent à l’opinion ce qu’ils attendent d’
besoin de cette raison progressive qui fait atteindre chaque jour un
but
utile, et qui présente un terme indéfini. Comment
mme on le fait quelquefois, à part de toute philosophie, n’ayant pour
but
que d’amuser les loisirs de la vie, et de remplir
non comme sous l’empire des monarques, pour animer une existence sans
but
, mais parce qu’il importe de donner à la vérité s
côté du grand intérêt de l’avancement des lumières il faut laisser le
but
de la gloire individuelle. La république doit don
it, en effet, que des combats sans victoire, des bouleversements sans
but
et des malheurs sans terme. La réputation, les su
fficacement au bonheur de l’homme, sa mission devient plus noble, son
but
s’agrandit ; ce n’est plus seulement une rêverie
rer de simples objets de connaissance de celles qui peuvent fixer des
buts
à une activité individuelle. I L’analyse de
Il faut, donc se garder de penser qu’il ait écrit ses livres dans le
but
de démontrer l’exactitude d’une loi psychologique
nce à cet égard. Mais s’il ne se dirigea pas consciemment vers un tel
but
ce but fut impliqué dans la forme même de sa visi
et égard. Mais s’il ne se dirigea pas consciemment vers un tel but ce
but
fut impliqué dans la forme même de sa vision, qui
e contrarié fatale entre la destination naturelle d’une énergie et le
but
vers lequel cette énergie oriente consciemment so
qu’il ne peut réaliser, des sentiments auxquels il est impropre, des
buts
qui lui sont inaccessibles. Son pouvoir de connai
risque de voir son énergie détournée, amoindrie et gaspillée. Car les
buts
inaccessibles sont projetés dans sa conscience en
inaccessibles sont projetés dans sa conscience en même temps que des
buts
saisissables, et, dans ce miroir, les uns et les
ser dans les conditions qui lui sont le plus favorables. Entre divers
buts
proposés avec une égale insistance, il choisira n
la notion. Vaincue, elle en vient à négliger et jusqu’à mépriser les
buts
fixés par l’hérédité et les tâches appropriées po
, sur sa route, sur ses bornes, sur les écueils qui séparent d’un tel
but
. Honte à moi cependant si, durant le cours de deu
t aux plus cruels malheurs, ils ont plus besoin du système qui a pour
but
unique d’éviter la douleur. Enfin, les caractères
ans variété, leur existence est monotone, quoique chacun d’eux ait un
but
différent, et il y a autant de nuances que d’indi
plus sûrs pour éviter les grandes peines. C’est à la recherche de ce
but
que ce livre est destiné. Deux ouvrages doivent s
u bonheur des nations ; c’est que dans le premier, on peut avoir pour
but
l’indépendance morale la plus parfaite, c’est-à-d
t exister, parce que là les passions ne sont point excitées par aucun
but
, par aucun théâtre propre à les enflammer. Enfin,
ociétés ; le même nombre d’hommes divisé, séparé, sans mobile et sans
but
, n’offre pas un génie supérieur, une âme ardente,
s, plusieurs se seraient élevés au-dessus de la classe commune, si le
but
avait fait naître l’intérêt, et l’intérêt l’étude
ente toujours des considérations nouvelles, quand on l’étudie avec un
but
déterminé, et que guidé, par l’éternelle ressembl
s siècles. Ces différentes réflexions conduiraient enfin au principal
but
des débats actuels, à la manière de constituer un
sions factieuses ; un gouvernement qui put offrir à un grand homme un
but
digne de lui, et décourager l’ambition de l’usurp
re social ; mais il est utile pour les législateurs de se proposer ce
but
, de quelque manière qu’ils conçoivent sa route. D
du despotisme, ou de l’établissement de tout pouvoir qui n’a pas pour
but
le bonheur de tous ; on l’est aussi, sans doute,
bjet qui nous est le plus cher ! et jamais on n’obtient, soi-même, le
but
qu’à ce prix affreux on s’était proposé. Nul homm
s les temps. Dans l’étude des constitutions, il faut se proposer pour
but
le bonheur, et pour moyen la liberté ; dans la sc
dépend toujours d’eux-mêmes. Il y a de l’avantage à se proposer pour
but
de son travail sur soi, la plus parfaite indépend
qu’à aucun autre lien de la terre, tout est moyen, elle seule est le
but
; l’on veut aussi de l’estime publique, mais il s
ière que l’on juge mon plan, ce qui est certain, c’est que mon unique
but
a été de combattre le malheur sous toutes ses for
ain a fait fausse route, que depuis Bacon seulement il a découvert le
but
vers lequel il doit tendre et la méthode par laqu
quel il doit tendre et la méthode par laquelle il peut y parvenir. Ce
but
est l’utile. L’objet de la science n’est pas la t
isible ; qu’elle renonce à ce qu’il faut ignorer ; elle n’a point son
but
en elle-même, elle n’est qu’un moyen ; l’homme n’
usqu’à l’évidence que l’État n’est qu’une association laïque, que son
but
est tout temporel, que son seul objet est de prot
nnement, il ne se perd jamais dans une digression ; il a toujours son
but
devant les yeux ; il y marche par le chemin le pl
nable ; il nous prend tous par la main et nous conduit tour à tour au
but
qu’il s’est marqué. Il part des données les plus
s raisonnements serrés et multipliés qui se portent tous vers un seul
but
, ces coups répétés de logique qui viennent à chaq
gouvernements, des intrigues du palais, des débats du parlement. Mon
but
et mes efforts seront de faire l’histoire de la n
orateur reforme des chaînes de raisons ; mais tous trois vont au même
but
par des voies différentes, et l’orateur comme ses
pide talent de l’homme qui explique et qui expose, sans avoir d’autre
but
que d’expliquer et d’exposer, qui répand partout
lité ni douceur, ce sérieux éternel, cette marche géométrique vers un
but
marqué, annoncent en lui l’esprit anglais. Mais s
o the cavern. The Stoic assures them that such an accident is nothing
but
a mere ἀποπροηγμένον. The Baconian, who has no su
lves, we own that we do not understand the common phrase, a good man,
but
a bad king. We can as easily conceive a good man
ous, and that he afterwards executed it with great skill and success.
But
does it necessarily follow that Addison’s advice
wice, and what nobody else has ever done ? Addison’s advice was good.
But
had it been bad, why should we pronounce it disho
e, and advised Addison to print out without risking a representation.
But
Scott, Goethe, Robertson, Addison, had the good s
ward marks of reverence, and his name was used in public instruments.
But
in the government of the country, he had less rea
y. It is weak even to helplessness for purposes of manly resistance ;
but
its suppleness and its tact move the children of
those millions do not furnish one sepoy to the armies of the Company.
But
as usurers, as money-changers, as sharp legal pra
ts were not to him as to most Englishmen mere names and abstractions,
but
a real country and a real people. The burning sun
o him the same thing as oppression in the streets of London. 1373.
But
in all those works in which Mr. Southey has compl
ury name. A wise man might talk folly like this by his own fireside ;
but
that any human being, after having made such a jo
he deluge, have been considered as light reading by Hilpa and Shalum.
But
unhappily the life of man is now three-score year
pily the life of man is now three-score years and ten ; and we cannot
but
think it somewhat unfair in Dr. Nares to demand f
ever excluded from participation in the blessings which she bestowed.
But
to those who, in spite of her loathsome aspect, p
s the form of a hateful reptile. She grovels, she hisses, she stings.
But
woe to those who in disgust shall venture to crus
rown-up children, than that which was then exhibited at Westminster ;
but
perhaps there never was a spectacle so well calcu
earth, too often paraded with injudicious and inelegant ostentation,
but
still precious, massive, and splendid. There appe
a certain system of pulleys, will suffice to raise a certain weight.
But
his demonstration proceeds on the supposition tha
stuary, should be versed in the philosophy of equilibrium and motion.
But
, as he who has actually to build must bear in min
is a just temper between the mere man of theory, who can see nothing
but
general principles, and the mere man of business,
general principles, and the mere man of business, who can see nothing
but
particular circumstances. Of lawgivers in whom th
ugh to make a miserable noise, and have then gone off in convulsions.
But
in the English legislature the practical element
great English law. To a jurist, versed in the theory of legislation,
but
not intimately acquainted with the temper of the
trate. This principle the Toleration Act not only does not recognise,
but
positively disclaims. Not a single one of the cru
s perfectly willing to make the declaration required from the quaker,
but
who has doubts about six or seven of the articles
rd of just reason which is the same in all countries and in all ages.
But
these very faults may perhaps appear to be merits
little cluster of villages was some copsewood and some pasture land :
but
a little further up the defile no sign of populat
of a peaceful age can extract nothing valuable from that wilderness :
but
, in an age of violence and rapine, the wilderness
or to our private animosity, whatever virtue we have takes the alarm.
But
virtue itself may contribute to the fall of him w
indsay answered that the soldiers came as friends, and wanted nothing
but
quarters. They were kindly received, and were lod
b :” one of them muttered, “I should be glad to fight the Macdonalds.
But
to kill men in their beds !” — “We must do as we
iert la conviction que tous les événements principaux tendent au même
but
, la civilisation universelle. L’on voit que, dans
ne soutient plus personne : il reste des jours, mais il n’y a plus de
but
pour la vie. On perd en soi-même toute émulation,
imait au carnage. Le dogme des peines et des récompenses n’avait pour
but
que d’encourager ou de punir les actions de la gu
’était d’accroître la puissance physique. La guerre était leur unique
but
. Voilà de quels éléments il fallait faire sortir
eligion n’étant destinée qu’aux peuples du Midi, elle eut pour unique
but
de relever l’esprit militaire, en offrant les pla
ques pas. La religion chrétienne ayant un législateur dont le premier
but
était de perfectionner la morale, devant réunir s
fut changée en résolution inébranlable ; la force qui n’avait d’autre
but
que l’empire de la force, fut dirigée par des pri
anima cependant des principes de vie morale dans quelques hommes sans
but
et sans liens ; elle ne put leur rendre une patri
rection des affaires à ces conquérants de l’ordre civil. Ils ont pour
but
et pour bannière une idée philosophique ; mais le
e n’est pas les servir, c’est se rendre indépendant d’eux, qui est le
but
principal de tous les conseils des philosophes. L
au caractère de l’homme de se montrer ; et la philosophie, qui a pour
but
l’étude des mouvements de l’âme, a beaucoup acqui
ion chrétienne d’avoir affaibli les caractères : l’Évangile a eu pour
but
de combattre la férocité ; or il est impossible d
e aux facultés pensantes, quel que soit le point d’où l’on part et le
but
où l’on veut arriver. Sans doute, si les facultés
ulier, et autant que possible par une langue particulière, ayant pour
but
principal de garder une vraie tenue nazaréenne, e
nthousiasme des cochons, le dévouement des cochons, n’ont pas d’autre
but
. C’est le devoir complet des cochons1411. » Voil
ure, un amusement de dilettante, mais un fait sérieux ; c’est pour un
but
bien réel et sérieux qu’ils ont été bâtis. — Oui
conduite mystérieuse qui pousse toutes ces masses flottantes vers un
but
ignoré et inévitable, ce sont là les grandes et s
u d’amour-propre, à publier la vérité qui la frappe, elle a touché le
but
: nous n’avons que faire du talent ; nous n’avons
able et bon de chasser le pape… La haute louange d’avoir poursuivi un
but
juste ou noble ne peut lui être accordée sans bea
uivi la philosophie comme vos puritains la religion ; ils ont eu pour
but
le salut universel comme vos puritains le salut p
au-dessus de nous que pour nous fournir une horloge astronomique, un
but
aux télescopes d’Herschel, une matière à formules
fixtures, pretending still to be a moon or sun, though visibly it is
but
a chinese lantern made of paper mainly with candl
r midnight, even in the arctic latitudes, has its character : nothing
but
the granite cliffs ruddy-tinged, the peaceable gu
m the silent immensity, and palace of the Eternal, whereof our sun is
but
a porch-lamp ?” 1396. French Revolution, t. I,
acy” there may be, and so awaits the issue. The issue has been slow ;
but
it is now seen to have been inevitable. No ostric
ent on gross terrene provender, and sticking its head into fallacies,
but
will be awakened one day in a terrible a posterio
less the battle of Austerlitz, Wagram, Waterloo, or any other battle,
but
an incident passed carelessly over by most histor
unveiled. To my own surmise, it appears as if the Dandiacal sect were
but
a new modification, adapted to the new time, of t
ll which proposition I, for the present, content myself with modestly
but
peremptorily and irrevocably denying. 1407. I m
tent. Hitherto you see only partial transient sparkles and sputters ;
but
wait a little, till the entire nation is in an el
ay, as all such fires would be, is hidden in the centre. Deep hidden,
but
awakenable, but immeasurable ; let no man awaken
fires would be, is hidden in the centre. Deep hidden, but awakenable,
but
immeasurable ; let no man awaken it. 1409. Berse
hare of the general swine’s-trough, not any portion of my share. 10º “
But
what is my share ?” Ah ! there in fact lies the g
vaporous fantasms, Rymer’s Fœdera, and Doctrines of the constitution,
but
a green solid place, that grew corn and several o
ago… Their architecture, belfries, land-carucates ? Yes, and that is
but
a small item of the matter. Does it never give th
then had a soul, — not by hearsay alone, and as a figure of speech, —
but
as a truth that they knew, and practically went u
dead thing, to be bottled up in Leyden jars, and sold over counters.
But
the natural sense of man, in all times, if he wil
truths all stand in a row, each holding by the skirts of the other ;
but
at best that of practical reason, proceeding by l
nderstanding is indeed thy window ; too clear thou canst not make it,
but
fantasy is thy eye, with its colour-giving retina
thing imagined, the thing in any way conceived as visible, what is it
but
a garment, a clothing of the higher, celestial in
with Symbols, recognised as such or not recognised : the Universe is
but
one vast Symbol of God : nay if thou wilt have it
ne vast Symbol of God : nay if thou wilt have it, what is man himself
but
a Symbol of God ? Is not all that he does symboli
lation to Sense of the mystic god-given Force that is in him ? 1429.
But
deepest of all illusory Appearances, for hiding W
l to consider that we not only carry each a future Ghost within him ;
but
are, in very deed, Ghosts ! These Limbs, whence h
1432. Creation, says one, lies before us like a glorious rainbow ;
but
the sun that made it lies behind us, hidden from
tories and observatories with their results, in his single head, — is
but
a pair of spectacles behind which there is no eye
basin, to keep it alive, could prosecute without shadow of a heart, —
but
one other of the mechanical and menial handicraft
mfully across the astonished Earth, then plunge again into the Inane.
But
whence ? — O Heaven, whither ? Sense knows not ;
tery to mystery, from God and to God. 1437. Is there no God, then ;
but
at best an absentee God, sitting idle, ever since
Duty no meaning ? Is what we call Duty no divine messenger and guide,
but
a false earthly fantasm, made up of desire and fe
we all astray. With stupidity and sound digestion man may front much.
But
what, in these dull unimaginative days, are the t
terrors of Conscience to the diseases of the liver ! Not on Morality,
but
on cookery let us build our stronghold : there br
or masks, under which no living Figure or Spirit any longer dwells ;
but
only spiders and unclean beetles, in horrid accum
know of, one great thought in all his six and thirty quartos… He sees
but
a little way into Nature ; the mighty All in its
reads history not with the eyes of a devout seer or even of a critic,
but
through a pair of mere anti-catholic spectacles.
eater of Infinitude, with suns for lamps and Eternity as back-ground…
but
a poor wearisome debating-club dispute, spun thro
nied… The force necessary for him was no wise a great and noble one ;
but
a small, in some respects a mean one, to be nimbl
er of the Greeks. (On Heroes, p. 323.) 1462. You may take my purse…
but
the self is mine and God my maker’s. (On Heroes,
nts of the future, lies not in the direction of reforming Parliament,
but
of what he calls reforming Downing-street ; a thi
ise as well as miserable, give him no satisfaction. Not this at all ;
but
to find some sort of King, made in the image of G
ues1509. Et ce qui est l’instrument de ces deux sciences se trouve le
but
de toutes les autres. Toutes tendent à devenir dé
rience borne la carrière qu’elle nous ouvre ; elle nous a donné notre
but
; elle nous donne aussi nos limites. Nous n’avons
développé et perfectionné la théorie de l’induction ; qui a établi le
but
, les bornes, les provinces et les méthodes de la
ture, détermine leur marche, complète leurs ressources et marque leur
but
. Voilà la grande omission du système : l’abstract
an unknown recipient, or percipient, of them ; and not of them alone,
but
of all our other feelings. As body is the mysteri
the series of what are denominated its states, is called in question.
But
it is necessary to remark, that on the inmost nat
n a certain way. Considered in itself, we can predicate nothing of it
but
the series of its own feelings. When we say of an
other minds. A mind does not, indeed, like a body, excite sensations,
but
it may excite thoughts or emotions. The most impo
somewhat more, for the word implies that we not only feel admiration,
but
approve that sentiment in ourselves. In some case
e is generous, the word generosity expresses a certain state of mind,
but
being a term of praise, it also expresses that th
ld expect to recognize here a case of coexistence between phenomena ?
But
so it is. The attribute which causes a person to
e. 1479. The definition, they say, unfolds the nature of the thing :
but
no definition can unfold its whole nature and eve
we take to be this. All definitions are of names, and of names only ;
but
, in some definitions, it is clearly apparent, tha
he definition above given of a triangle, obviously comprises not one,
but
two propositions, perfectly distinguishable. The
tion ; and the conclusion is not an inference drawn from the formula,
but
an inference drawn according to the formula : the
e individual instances which supplied them, may have been forgotten ;
but
a record remains, not indeed descriptive of the f
but a record remains, not indeed descriptive of the facts themselves,
but
showing how those cases may be distinguished resp
hey begin again to approach, this must take place not at an infinite,
but
at finite distance. Supposing, therefore, such to
ree of similarity of circumstances, happen again, and not only again,
but
as often as the same circumstances recur. This, I
ir shoulders ? The first assertion was more credible than the latter.
But
why more credible ? So long as neither phenomenon
of animals, than in the general structure of their internal anatomy.
But
how do we know this ? Doubtless, from experience.
We have no ulterior test to which we subject experience in general ;
but
we make experience its own test. Experience testi
the recognition of which is the main pillar of inductive science, is
but
the familiar truth, that invariability of success
s of the object dewed in comparison with the air in contact with it.”
But
there still remains the most important case of al
, one would at first be inclined to say ; for what is to make it so ?
But
… the experiment is easy ; we have only to lay a t
ace, and the coldness of that surface compared with the external air.
But
which of these is cause, and which effect ? Or ar
1. “Now, first, no dew is produced on the surface of polished metals,
but
it is very copiously on glass, both exposed with
ffect is produced, and another instance in which it is not produced ;
but
we cannot yet pronounce, as the canon of the Meth
auses which assist in producing the deposition of dew on the surface.
But
if we expose rough surfaces instead of polished,
a close firm texture, such as stones, metals, etc., as unfavourable,
but
those of a loose one, as cloth, velvet, wool, eid
ality, is another circumstance which promotes the deposition of dew ;
but
this third cause resolves, itself into the first,
ored from within. The instances, on the contrary, in which no dew, or
but
a small quantity of it, is formed, and which are
will cause a portion of the vapour to be condensed, and become water.
But
, again, we know deductively, from the laws of hea
y proved. We can, it is true, accomplish this only on a small scale ;
but
we have ample reason to conclude that the same op
ns much screened from the open sky, and not at all in a cloudy night,
but
if the clouds withdraw even for a few minutes, an
eposition or non-deposition of dew. Now, since a clear sky is nothing
but
the absence of clouds, and it is a known property
ll other bodies between which and any given object nothing intervenes
but
an elastic fluid, that they tend to raise or keep
ns of the production met), from the very beginning of our experience.
But
we can give no account of the origin of the Perma
ed the law of causation, must be received not as law of the universe,
but
of that portion of it only which is within the ra
iques38. Et ce qui est l’instrument de ces deux sciences se trouve le
but
de toutes les autres. Toutes tendent à devenir dé
rience borne la carrière qu’elle nous ouvre ; elle nous a donné notre
but
; elle nous donne aussi nos limites. Nous n’avons
développé et perfectionné la théorie de l’induction ; qui a établi le
but
, les bornes, les provinces, et les méthodes de la
ture, détermine leur marche, complète leurs ressources et marque leur
but
. Voilà la grande omission du système : l’abstract
an unknown recipient, or percipient, of them ; and not of them alone,
but
of all our other feelings. As body is the mysteri
the series of what are denominated its states, is called in question.
But
it is necessary to remark, that on the inmost nat
n a certain way. Considered in itself, we can predicate nothing of it
but
the series of its own feelings. When we say of an
other minds. A mind does not, indeed, like a body, excite sensations,
but
it may excite thoughts or emotions. The most impo
somewhat more, for the word implies that we not only feel admiration,
but
approve that sentiment in ourselves. In some case
e is generous, the word generosity expresses a certain state of mind,
but
being a term of praise, it also expresses that th
ld expect to recognize here a case of coexistence between phenomena ?
But
so it is. The attribute which causes a person to
ame. 8. The definition, they say ; unfolds the nature of the thing :
but
no definition can unfold its whole nature ; and e
we take to be this. All definitions are of names, and of names only ;
but
, in some definitions, it is clearly apparent, tha
he definition above given of a triangle, obviously comprises not one,
but
two propositions, perfectly distinguishable. The
tion : and the conclusion is not an inference drawn from the formula,
but
an inference drawn according to the formula : the
e individual instances which supplied them, may have been forgotten ;
but
a record remains, not indeed descriptive of the f
but a record remains, not indeed descriptive of the facts themselves,
but
showing how those cases may be distinguished resp
hey begin again to approach, this must take place not at an infinite,
but
at a finite distance. Supposing, therefore, such
ree of similarity of circumstances, happen again, and not only again,
but
as often as the same circumstances recur. This, I
eir shoulders. The first assertion was more credible than the latter.
But
why more credible ? So long as neither phenomenon
of animals, than in the general structure of their internal anatomy.
But
how do we know this ? Doubtless, from experience.
We have no ulterior test to which we subject experience in general ;
but
we make experience its own test. Experience testi
the recognition of which is the main pillar of inductive science, is
but
the familiar truth, that invariability of success
of the object dewed, in comparison with the air in contact with it.”
But
there still remains the most important case of al
, one would at first be inclined to say ; for what is to make it so ?
But
… the experiment is easy ; we have only to lay a t
ace, and the coldness of that surface compared with the external air.
But
which of these is cause, and which effect ? or ar
. "Now, first, no dew is produced on the surface of polished metals,
but
it is very copiously on glass, both exposed with
ffect is produced, and another instance in which it is not produced ;
but
we cannot yet pronounce, as the canon of the Meth
ses which assist in producing the deposition of dew on the surface. "
But
if we expose rough surfaces instead of polished,
a close firm texture, such as stones, metals, etc., as unfavourable,
but
those of a loose one, as cloth, velvet, wool, eid
ality, is another circumstance which promotes the deposition of dew ;
but
this third cause resolves itself into the first,
ored from within. The instances, on the contrary, in which no dew, or
but
a small quantity of it, is formed, and which are
will cause a portion of the vapour to be condensed, and become water.
But
, again, we know deductively, from the laws of hea
y proved. We can, it is true, accomplish this only on a small scale ;
but
we have ample reason to conclude that the same op
ns much screened from the open sky, and not at all in a cloudy night,
but
if the clouds withdraw even for a few minutes, an
eposition or non-deposition of dew. Now, since a clear sky is nothing
but
the absence of clouds, and it is a known property
ll other bodies between which and any given object nothing intervenes
but
an elastic fluid, that they tend to raise or keep
ns of the production met), from the very beginning of our experience.
But
we can give no account of the origine of the Perm
the law of causation, must be received not as a law of the universe,
but
of that portion of it only which is within the ra
l triste sort nous offrez-vous donc sans mobile, sans intérêt et sans
but
? D’abord ce n’est pas du bonheur dont j’ai cru o
nt. D’ailleurs, on peut trouver dans la vie un intérêt, un mobile, un
but
, sans être la proie des mouvements passionnés ; c
e qu’elle suppose, c’est une sorte de fièvre qui présente toujours un
but
imaginaire qu’il faut atteindre avec des moyens r
é d’un attachement sans bornes, on aime à se dévouer sans avoir aucun
but
que le plaisir du dévouement même. Enfin, si, dan
moral, il faut descendre la vie, en regardant le rivage plutôt que le
but
. Les enfants, laissés à eux-mêmes, sont les êtres
regret occupe à jamais votre pensée, que vous croyez avoir manqué le
but
où tendait votre passion, votre vie est plus remp
e destinée qui entraîne avec elle, ou l’impossibilité d’arriver à son
but
, ou l’impuissance d’en jouir ? Loin de moi cepend
te, vous paraitra-t-il moins digne d’être plaint ? J’aurai rempli mon
but
, si j’ai donné quelque espoir de repos à l’âme ag
ir, et poursuivant chaque instant comme le seul, ne se réveille qu’au
but
ou dans l’abîme. Inexplicable phénomène que cette
aient sont déliés, l’intérêt de parti devient pour tous les hommes le
but
par excellence : ce but, étant censé renfermer et
érêt de parti devient pour tous les hommes le but par excellence : ce
but
, étant censé renfermer et la véritable vertu et l
, on peut se passer de pitié ; mais une révolution, quel que soit son
but
, suspend l’état social, et il faut remonter à la
e d’un tel examen, s’assemble, et déjà l’expérience a porté fruit. Le
but
dans lequel la fondation a été instituée s’est mi
tion a été instituée s’est mieux défini aux yeux des concurrents : ce
but
est un accord entre la saine morale et la littéra
mieux donc et le plus sûr pour tout auteur qui se préoccupe du noble
but
qu’a en vue l’institution présente, c’est que la
jugé avoir le mieux satisfait à toutes les conditions désirables d’un
but
moral et d’une exécution brillante ». Le second a
ficulté littéraire que rencontre l’institution présente, c’est que le
but
moral qu’elle réclame avant tout puisse tomber d’
e le monde proprement dit a droit de son côté d’exiger ; c’est que le
but
moral, si on l’y introduit, ne s’y affiche pas d’
mission ; il s’y présentait par un ouvrage déjà connu de tous et d’un
but
moral avoué. C’était moins encore l’auteur de la
remarqué que l’auteur, en se proposant et en professant hautement un
but
moral des plus honorables, jette quelquefois bien
ffort des hommes pour augmenter leurs joies vainement orienté vers ce
but
irréel. Délivré de la croyance en une vérité obje
aisons nouvelles ? L’individu recherche la volupté qui lui semble son
but
à elle-même, il veut augmenter son bien-être par
rte si son désir le trompe et exploite son effort, au profit d’autres
buts
, puisque aussi bien cette forme individuelle qui,
faire place à un fantôme nouveau et aussi éphémère ? Désintéressé des
buts
illusoires que s’obstine à convoiter une entité i
essus de cette conception contradictoire, il ne trouve un terme et un
but
à la vie phénoménale que dans la cessation de cel
le Brahmanisme et le Déisme avec la confusion en Dieu assignée comme
but
au perfectionnement individuel. Tandis que la pre
nnaissance que l’on attribua à l’existence phénoménale, comme le seul
but
qu’il fût permis de lui prêter. Ce vœu de l’exist
lle s’appuie sur le raisonnement et le calcul. — Comment elle a pour
but
la satisfaction en ce monde, et le bonheur dans l
uelle ; en outre, elle nous empêche le plus souvent d’atteindre notre
but
; d’ailleurs elle est le grand trait de la condit
vice comme les prohibitions. Rien de sublime ni de chimérique dans le
but
qu’il nous propose ; tout y est pratique, c’est-à
ence que les médecins appellent hydrophobie ; mais m’étant rappelé le
but
du spectacle, je revins à moi à l’instant, et con
eve the modesty of their characters, and not to imitate the nakedness
but
the innocence of their mother Eve. In short, mode
able pleasure in calling anything one’s own. A Freehold, though it be
but
in ice and snow, will make the owner pleased in t
as one who give my consent to every law which passes… A freeholder is
but
one remove from a legislator, and for that reason
one another, as our senses do material objects, and there is no doubt
but
our souls, when they are disembodied, or placed i
maranths. His soil is not restrained to any particular set of plants,
but
is proper either for oaks or myrtles, and adapts
mieux. (Spectator, nº 411.) 931. Constantia who knew that nothing
but
the report of her marriage could have driven him
t know at first whether it might not be an embassy of Indian queens ;
but
upon my going about in the pit, and taking them i
aid indeed that he once gave him a rip in his flesh-coloured doublet.
But
this was only to make work for himself, in his pr
as, I am informed, a country gentleman who does it for his diversion,
but
desires his name may be concealed. He says very h
hat I thought very odd, had something in it like artificial wrinkles.
But
I was the less surprised at it, when I saw upon h
s that kind of distraction which the physicians call the hydrophobia.
But
considering what the intention of the show was, I
fe ; and passing from one thought to another : Surely, said I, man is
but
a shadow and life a dream. Whilst I was thus musi
us told me that this bridge consisted at first of a thousand arches ;
but
that a great flood swept away the rest, and left
e rest, and left the bridge in the ruinous condition I now beheld it.
But
tell me further, said he, what thou discoverest o
ay concealed in the bridge, which the passengers no sooner trod upon,
but
they fell through them into the tide and immediat
bridge, so that throngs of people no sooner broke through the cloud,
but
many of them fell into them. They grew thinner to
ut many of them fell into them. They grew thinner towards the middle,
but
multiplied and lay closer together towards the en
e end of the arches that were entire. There were indeed some persons,
but
their number was very small, that continued a kin
small, that continued a kind of hobbling march on the broken arches,
but
fell through one after another, being quite tired
suit of bubbles that glittered in their eyes and danced before them ;
but
often when they thought themselves within the rea
n the first stage of his existence, in his setting out for eternity ;
but
cast thine eye on that thick mist into which the
ted on one half of it, insomuch that I could discover nothing in it :
But
the other appeared to me a vast ocean planted wit
r the wings of an eagle, that I might fly away to those happy seats ;
but
the genius told me there was no passage to them,
me no answer, I turned about to address myself to him a second time,
but
I found that he had left me ; I then turned again
n turned again to the vision which I had been so long contemplating ;
but
instead of the rolling tide, the arched bridge, a
rolling tide, the arched bridge, and the happy islands, I saw nothing
but
the long hollow valley of Bagdad, with oxen, shee
tendard ; mais le pur fanatisme, dans tous les temps, et pour quelque
but
que ce soit, n’existe que dans un certain nombre
ns ; dans celle-là, la route qu’il faut suivre est commandée comme le
but
qu’on doit atteindre : les hommes dominés par cet
ais les disciples se font un article de foi de la route autant que du
but
. Il faut que les moyens soient de la nature de la
même, que celui qui l’éprouve est enivré de meilleure foi ; et que le
but
de cette passion n’étant pas personnel à l’indivi
qu’il ne peut se repentir d’aucun sacrifice quand il s’agit d’un tel
but
. La dépopulation de la France était conçue par la
’abandonner des avantages individuels dont on sait la mesure, pour un
but
tel que cette passion le fait concevoir, pour un
mesure, pour un but tel que cette passion le fait concevoir, pour un
but
qui n’a jamais rien de réel, de jugé, ni de connu
laquelle l’homme qui pense jouit d’un avenir sans bornes, atteint un
but
toujours renaissant ; cette carrière se referme à
est entièrement de bonne foi. L’esprit de parti arrive souvent à son
but
par sa constance et son intrépidité, mais jamais
epoids ; tout ce qui se rencontre dans sa route doit être sacrifié au
but
qu’elle se propose. Toutes les autres passions ét
elle pouvait l’être, si elle atteignait jamais ce qu’elle appelle son
but
, il n’est point d’espoir qui fut plus détrompé, q
Première leçon Exposition du
but
de ce cours, ou considérations générales sur la n
I. (1) L’objet de cette première leçon est d’exposer nettement le
but
du cours, c’est-à-dire de déterminer exactement l
ions de laborieuses recherches scientifiques, sans avoir en vue aucun
but
étranger capable d’agir fortement sur l’imaginati
découverte précise et la réduction au moindre nombre possible sont le
but
de tous nos efforts, en considérant comme absolum
ue, trois considérations qui, bien que distinctes, concourent au même
but
. Ainsi, les phénomènes astronomiques d’abord, com
ant besoin de notre intelligence : tel est, j’ose le dire, le premier
but
de ce cours, son but spécial. (4) Les conceptions
ntelligence : tel est, j’ose le dire, le premier but de ce cours, son
but
spécial. (4) Les conceptions que je tenterai de p
’auront plus pour nos successeurs qu’une existence historique. (5) Le
but
spécial de ce cours étant ainsi exposé, il est ai
de ce cours étant ainsi exposé, il est aisé de comprendre son second
but
, son but général, ce qui en fait un cours de phil
urs étant ainsi exposé, il est aisé de comprendre son second but, son
but
général, ce qui en fait un cours de philosophie p
récier l’importance. Afin de résumer les idées relativement au double
but
de ce cours, je dois faire observer que les deux
énéral des sciences positives proprement dites. Tel est, du moins, le
but
de ce cours. VI. (1) Maintenant que j’ai es
r un bon système d’habitudes intellectuelles ; ce qui est pourtant le
but
essentiel de l’étude de la méthode. Je n’ai pas b
t de nos idées, elles ne sont nullement susceptibles d’atteindre leur
but
principal, la régénération fondamentale de l’éduc
vance une opinion erronée de la nature de ce cours. En assignant pour
but
à la philosophie positive de résumer en un seul c
i pas besoin de plus grands détails pour achever de convaincre que le
but
de ce cours n’est nullement de présenter tous les
xplication positive des phénomènes naturels, ce qui est, en effet, le
but
philosophique de la science, nous regarderons com
cours, de déterminer, aussi exactement qu’il a été en mon pouvoir, le
but
, l’esprit et l’influence de la philosophie positi
r nettement : telle est toute mon ambition. Ayant exposé le véritable
but
de ce cours, c’est-à-dire fixé le point de vue so
ssaline, les Agrippine, les Catilina et les Tibère124. On va droit au
but
et intrépidement dans cette Rome ; la justice et
out me, now five years… The muse not peeps out, one of hundred days ;
But
lies block’d up, and straiten’d, narrow’d in, Fix
ould arm Prodigious ignorance to wound thee thus !… … Would men learn
but
to distinguish spirits, And set true difference ‘
When will you take some physik, lady ? livia. When I shall, Eudemus ;
but
let Drusus’ drug Be first prepared. eudemus. Were
, the rain or wind Which you shall lay on with a breath or oil As you
but
like, and last some fourteen hours. This change c
nquinius. Rome did never boast the virtue That could give envy bounds
but
his : Sejanus. first senator. Honour’d and noble
e particular ambition ; and under a pretext of service to us, he doth
but
remove his own lets ; alleging the strength he ha
conscript fathers, are able to examine and censure these suggestions.
But
were they left to our absolving voice, we durst p
ys to please, Nor nimble squib is seen to make afear The gentlewomen…
But
deeds and language such as men do use… You, that
ay see my saint. Hail the world’s soul and mine !… O thou son of Sol,
But
brighter than thy father, let me kiss, With adora
and monies ; am your steward, sir, Husband your goods here. voltore.
But
am I sole heir ? mosca. Without a partner, sir ;
r ? MOSCA. Sir, I am sworn, I may not show the will Till he be dead ;
but
here has been Corbaccio, Here has been Voltore, h
cannot number ‘em, they were so many, All gaping here for legacies ;
but
I, Taking the vantage of his naming you, Signior
kness for consent, and sent home th’ others, Nothing bequeath’d them,
but
to cry and curse. CORVINO. O, my dear Mosca !… Ha
As well as any woman that should keep him. CORVINO. Do as you will ;
but
I’ll begone. 144. My divine Mosca ! Thou hast
ion ; Employ them how thou wilt ; nay, coin me too, So thou, in this,
but
crown my longings, Mosca… MOSCA. Have you no kins
u shalt have jewels, gowns, attires, What thou wilt think and ask. Do
but
go kiss him. Or touch him, but. For my sake, at m
ires, What thou wilt think and ask. Do but go kiss him. Or touch him,
but
. For my sake, at my suit. This once. — No ? not
ains an ear ring, To purchase them again, and this whole state. A gem
but
worth a private patrimony Is nothing. We will eat
pearl, You’ll say, was yours ? Right. This diamond ? I’ll not deny’t,
but
thank you. Much here else ? It may be so. Why, th
s here spent untasted, Like a fair taper with his own flame wasted !…
But
with thy water let this curse remain, As an insep
th thy water let this curse remain, As an inseparate plague, that who
but
taste A drop thereof, may with the instant touch,
instant touch, Grow dotingly enamour’d on themselves. (Ibid.) 166.
But
knowing myself an essence too sublimated and refi
in Nature’s lap Leap’d out, and made their solemn conjuration To last
but
while she lived. (Acte I, sc. ii.) But she, as ch
eir solemn conjuration To last but while she lived. (Acte I, sc. ii.)
But
she, as chaste as was her name, Earine, Died unde
: à un autre point de vue, au contraire, la raison, la santé sont des
buts
naturels. 173. Voy. Spinosa et D. Stewart : La
are des poëtes de la Renaissance. — Comment il impose à la poésie un
but
moral. — Ses poëmes profanes. — L’Allegro et le
e joie, les cloches qui sonnent comme à Londres, et j’imagine qu’on y
but
à la santé du nouveau roi. Là-dessus Satan fait d
erred the two famous renowners of Beatrice and Laura, who never write
but
honour of them to whom they devote their verse, d
t Against Heaven’s hand or will ; nor bate one jot Of heart or hope ;
but
still bear up, and steer Right onwards. What supp
vain mask Content, though blind, had I no other guide. (Sonnet XIX.)
But
patience, to prevent That murmur, soon replies :
be his bail and surety, that he is no idiot or seducer ; it cannot be
but
a dishonour and derogation to the author, to the
aid artfully together, it cannot be united in a continuity, it can be
but
contiguous in this world ; nay, rather, the perfe
er knowledge ? What wants there to such a towardly and pregnant soil,
but
wise and faithful labourers, to make a knowing pe
the painted battlements and gaudy rottenness of prelatry, which wants
but
one puff of the king to blow them down like a pas
they sprinkled it, they bedecked it, not in robes of pure innocence,
but
of pure linnen, with other deformed and fantastic
and unbreathed virtue, that never sallies out and sees her adversary,
but
slinks out of the race where that immortal garlan
elatical Episcopacy.) 477. For books are not absolutely dead things,
but
do contain a potency of life in them, to be as ac
ood book : who kills a man kills a reasonable creature, God’s image ;
but
he who destroys a good book, kills reason itself,
God, as it were, in the eye. Many a man lives a burden to the earth ;
but
a good book is the precious life-blood of a maste
, whereof the execution ends not in the slaying of an elemental life,
but
strikes at the ethereal and soft essence, the bre
t skill to keep a stock going upon his trade… What does he therefore,
but
resolves to give over toyling and to find himself
on. So that a man may say his religion is now no more within himself,
but
is become a dividual moveable, and goes and comes
l. 493. Voyez dans Lycidas la prophétie contre l’archevêque Laud :
But
that two-handed engin at the door, Stands ready t
ands ready to smite once and smite no more. 494. Arcades. 495.
But
else in deep of night, when drowsiness Hath locke
esoever they be found, are the inspired gift of God, rarely bestowed,
but
yet to some (though most abuse) in every nation ;
d sable stole of cypress-lawn, Over thy decent shoulders drawn. Come,
but
keep thy wonted state, With even step, and musing
k, Where no profaner eye may look, Hide me from the day garish light.
But
let my due feet never fail To walk the studious c
and now believe That He, the Supreme Good, to whom all things ill Are
but
as slavish officers of vengeance, Would send a gl
slumber lull’d the sense, And in sweet madness robb’d it of itself ;
But
such a sacred and home-felt delight, Such sober c
Such sober certainty of waking bliss, I never heard till now. 503.
But
when lust, By unchaste looks, loose gestures, and
03. But when lust, By unchaste looks, loose gestures, and foul talk,
But
most by lewd and lavish act of sin, Lets in defil
nd In slumber soft, and on the ground Sadly sits the Assyrian queen :
But
far above in spangled sheen Celestial Cupid, her
wo blissful twins are to be born, Youth and Joy ; so Jove hath sworn.
But
now my task is smoothly done, I can fly, or I can
e and opinion… Oft in her absence, mimic Fancy wakes To imitate her ;
but
, misjoining shapes, Wild work produces oft, and m
t order so contrived as not to mix Tastes not well join’d, inelegant,
but
bring Taste after taste upheld with kindliest cha
ot seemingly The Angel, nor in mist, the common glose Of theologians,
but
with keen dispatch Of real hunger, and concoctive
ts and flowers… Her nursery… Her husband the relater she preferr’d… «
But
apt the mind or fancy is to rove Unchecked, and o
t, not to know at large of things remote From us, obscure and subtle,
but
to know That which before us lies in daily life,
, he pretend Surprisal, unadmonish’d, unforewarn’d. (Liv. V.) 520.
But
us he sends upon his high behests For state, as s
; him who disobeys Me disobeys… All seem’d well pleased ; all seem’d,
but
were not all. That day, as other solemn days, the
What matter where, if I be still the same ? And what I should be, all
but
less than He Whom thunder has made greater ? Here
round, As one great furnace flamed : yet from those flames No light,
but
rather darkness visible Served only to discover s
ual storms, Of whirlwind and dire hail, which on firm land Thaws not,
but
gathers heap, and ruin seems Of ancient pile. (Li
de a formidable shape. The one seem’d a woman to the waist, and fair,
But
ended foul in many a scaly fold Voluminous and va
very gloom began, Sphered in a radiant cloud… The Earth was form’d ;
but
in the womb as yet Of waters, embryon immature in
pear’d not : over al the faces of Earth Main Ocean flow’d, not idle ;
but
, with warm Prolific humour softening all her glob
rd, They to their grassy couch, these to their nests, Were slunk, all
but
the wakeful nightingale ; She all night long her
f thy days, Making lascivious comments on thy sport, Cannot dispraise
but
in a kind of praise ; Naming thy name blesses an
y had annex’d thy breath ; More flowers I noted, yet I none could see
But
sweet or colour it had stolen from thee. 202.
h as the sea, nought enters there, Of what validity and pitch soever,
But
falls into abatement and low price, Even in a min
l the strength and armour of the mind, To keep itself from ‘noyance ;
but
much more That spirit, upon whose weal depend and
pend and rest The lives of many. The cease of majesty Dies not alone,
but
, like a gulf, doth draw What’s near it, with it :
sequence, Attends the boist’rous ruin. Never alone Did the king sigh,
but
with a general groan. 217. A station like the
y it’s a copy out of mine. Come, captain, We must be neat ; not neat,
but
cleanly, captain : … Come, sir page, look on me w
mistress minion, you, Thank me no thankings, nor proud me no prouds ;
But
settle your fine joints ‘gainst Thursday next, To
JULIET. Good father, I beseech you on my knees, Hear me with patience
but
to speak a word. CAPULET. Hang thee, young baggag
d, — I cannot love, — I am too young, — I pray you pardon me ; — ”
But
, an you will not wed, I’ll pardon you : Graze whe
have put him down. BEATRICE. So I would not he should do me, my lord,
but
I should prove the mother of fools. 230. He ca
nd command, that, of the city’s cost, the pissing-conduit run nothing
but
claret-wine this first year of our reign… Away, b
ulders unless he pays me tribute ; there shall not be a maid married,
but
she shall pay to me her maidenhead ere they have
it. (Re-enter rebels with the heads of Lord Say and his son-in-law.)
But
is not this braver ? Let them kiss one another, f
Hold your hand, my lord. I have serv’d you ever since I was a child :
But
better service have I never done you, Than now to
— Were of an age. Well, Susan is with God ; She was too good for me :
But
, as I said, On Lammas-eve at night shall she be f
l, My lord and you were then at Mantua : — Nay, I do bear a brain : —
but
, as I said, When it did taste the wormwood on the
on, yet they are past compare : He is not the flower of courtesy, —
but
, I’ll warrant him, as gentle as a lamb. — Go thy
wench ; serve God : — What, have you dined at home ? JULIET. No, no :
but
all this did I know before : What says he of our
haft. 242. O, she misused me past the endurance of a block ; an oak,
but
with one green leaf on it, would have answered he
untangled, much misfortune bodes. This, this is she… 244. There’s
but
a shirt and a half in all my company ; and the ha
247. OTHELLO. Not now, sweet Desdemona ; some other time. DESDEMONA.
But
shall’t be shortly ? OTHELLO. The sooner, sweet,
ay noon, or night ; or Wednesday morn ; — I pray thee, name the time,
but
let it not Exceed three days ; in faith, he’s pen
r, Nay, and you shall hear some. I’ll tell thee what. — Yet go. Nay,
but
thou shall stay too. — I would my son Were in Ar
our nuptial day was done. 265. CORIOLANUS. I thank you, general ;
But
cannot make my heart consent to take A bribe to p
’s tongue Make motion through my lips ; and my arm’d knees, Who bow’d
but
in my stirrup, bend like his That has receiv’d an
my stirrup, bend like his That has receiv’d an alms. … Yet were there
but
this single plot to lose, This mould of Marcius,
ce the steep Tarpeian death, Vagabond exile, flaying ; pent to linger
But
with a grain a day, I would not buy Their mercy a
my seated heart knock at my ribs ?… … My thought, whose murder yet is
but
fantastical, Shakes so my single state of man tha
state of man that function Is smother’d in surmise ; and nothing is,
But
what is not. 279. … Now o’er the one half worl
eir fear ; I could not say, Amen, When they did say, God bless us ! …
But
wherefore could I not pronounce, Amen ? I had mos
Wake Duncan with thy knocking ! Ay, would thou couldst. 284. Had I
but
died an hour before this chance, I had liv’d a bl
for, from this instant, There’s nothing serious in mortality : All is
but
toys : renown and grace, is dead ; The wine of li
that, should I wade no more, Returning were as tedious as go o’er. …
But
let the frame of things disjoint, both the worlds
That, when the brains were out, the man would die, And there an end.
But
now ! they rise again With twenty mortal murthers
ntry ! Almost afraid to know itself ! It cannot Be call’d our mother,
but
our grave. Where nothing But he who knows nothing
itself ! It cannot Be call’d our mother, but our grave. Where nothing
But
he who knows nothing, is once seen to smile, Wher
lighted fools The way to dusty death. Out, out, brief candle ! Life’s
but
a walking shadow ; a poor player That struts and
world were now undone. … They have tied me to a stake ; I cannot fly,
But
, bear-like, I must fight the course. … I have sup
and gross in nature, Possess it merely. That it should come to this !
But
two months dead ! nay, not so much, not two : So
erity to incestuous sheets ! It is not, nor it cannot, come to good ;
But
break, my heart, for I must hold my tongue ! 29
91. Hold, hold, my heart ; And you my sinews, grow not instant old,
But
bear me stiffly up ! — Remember thee ? Ay, poor
MLET. At supper. KING. At supper ? Where ? HAMLET. Not where he eats,
but
where he is eaten : a certain convocation of poli
s of bright gold ; There’s not the smallest orb which thou behold’st,
But
in his motion like an angel sings, Still quiring
ring to the young-eyed cherubins, Such harmony is in immortal souls ;
But
whilst this muddy vesture of decay Doth grossly c
, qui, dominant l’impulsion primitive, calcule et choisit en vue d’un
but
. À ce moment, l’esprit est devenu capable de se j
est supérieur à son sujet, l’embrasse tout entier, l’accommode à son
but
, et c’est pour qu’il y imprime la marque propre d
hie différente, la réforme entière des sciences par l’indication d’un
but
nouveau, par la définition d’une méthode distinct
mais en vue de la guérison ou de l’atténuation du vice, et donne pour
but
à la science des mœurs la réformation des mœurs.
ervation des aliments. Aussi bien, dit son principal personnage, « le
but
de notre Institut est la découverte des causes et
ifique et son objet final. Ajoutez encore sa méthode. Car une fois le
but
d’un voyage marqué, la route est désignée, puisqu
t d’un voyage marqué, la route est désignée, puisque partout c’est le
but
qui désigne la route ; quand le point d’arrivée d
t des disputeurs, non des inventeurs. Du moment qu’une science a pour
but
un art, et qu’on étudie pour agir, tout est retou
long tales of great delight, With words and looks that tigers could
but
rue, Where each of us did plead the ot
in thy walls thou dost each night enclose ; To other leef,
but
unto me most dear : Echo, alas ! that doth my so
In her it might be found alone. For in her mind no thought there is,
But
how she may be true, I wis ; And tenders thee and
Orlando Furioso or honest king Arthur will never displease a soldier.
But
the quidditie of Ens and prima materia will hardl
found not my heart moved more than with a trumpet. And yet it is sung
but
by some blind crowder, with no rougher voice than
margent with interpretations, and load the memory with doutfullness ;
but
he cometh to you with words set in delightfull pr
rom play and old men from the chimney-corner. 291. Is it the bitter,
but
wholesome Iambic, who rubbes the galled mind, in
eeping objections so soon trodden down, it not being an arte of lies,
but
of true doctrine ; not of effeminateness, but of
being an arte of lies, but of true doctrine ; not of effeminateness,
but
of notable stirring of courage ; not of abusing m
ness, but of notable stirring of courage ; not of abusing man’s witt,
but
of strengthening man’s witt ; not banished, but h
f abusing man’s witt, but of strengthening man’s witt ; not banished,
but
honoured by Plato ; let us rather plant more laur
et, Did for mutual comfort meet, Both within themselves oppressed,
But
each in the other blessed. Their ears hungry of
Their ears hungry of each word Which the dere tongue would afford,
But
their tongues restrained from walking Till their
tongues restrained from walking Till their harts had ended talking.
But
when their tongues could not speake, Love itself
s and shrieking shrill, He sought ease in river, field, and bower,
But
for the time, his grief went with him still. 29
Love selfe them doth love, With either lip he doth the other kisse.
But
when he will for quiet sake remove From all the w
01. Dernier sonnet, page 490. 302. Leave me, o Love, which reachest
but
to dust, And thou, my mind, aspire to higher thi
things. Grow rich in that which never taketh rust ; Whatever fades,
but
fading pleasure brings… O take fast hold, let tha
osom brave, At such time as the year brings on the pleasant spring,
But
hunts-up to the morn the feath’red sylvans sing :
Unto her beauty ; And enamour’d do wish, so they might
But
enjoy such a sight, That they still were to run
by her side Through swords, through seas, whither she would ride. Do
but
look on her eyes, they do light All that lov
n her eyes, they do light All that love’s world compriseth ! Do
but
look on her, she is bright As love’s star wh
er, she is bright As love’s star when it riseth !… Have you seen
but
a bright lily grow, Before rude hands have
ily grow, Before rude hands have touch’d it ? Have you mark’d
but
the fall of the snow, Before the soil hath
as soft as down. They never vail their fair through winter’s frown,
But
from their sweets Love suck’d his summer time. Gr
stars so bright, Shall turne to dust, and lose their goodly light.
But
that fair lampe, from whose celestial rays That l
which kindleth lovers fire, Shall never be extinguisht nor decay ;
But
when the vitall spirits doe expyre, Upon her nat
hrough cowardly distrust Of his weake wings, dare not to heaven fly.
But
, like a moldwarpe in the earth doth ly. 324.
endrier du Berger. 331. Her face so faire, as flesh it seemed not,
But
hevenly pourtraict of bright angels hew, Cleare
ght : In them the blinded god his lustfull fyre To kindle oft assayd,
but
had no might ; For, with dredd majestie and awful
nd princely port She taught to tread, when she herself would grace ;
But
with the woody nymphes when she did play, Or whe
yes scorching powre, Ne the sharp northerne wind thereon to showre ;
But
lapped up her silken leaves most chayre, Whenso
silken leaves most chayre, Whenso the froward sky began to lowre ;
But
, soon as calmed was the cristall ayre, She did i
As still are wont t’ annoy the walled towne, Might there be heard ;
but
careless Quiet lyes Wrapt in eternal silence farr
re black then jett. Both roof and floor and walls were all of gold,
But
overgrown with dust and old decay, And hid in da
; for vew of cherefull day Did never in that house itselfe display,
But
a faint shadow of uncertein light, Such as a lam
n feare and sad affright. In all that rowme was nothing to be sene,
But
huge grete yron chests and coffers strong, All b
o enforce by violence or wrong. On every side they placed were along.
But
all the grownd with sculs was scattered And dead
rayt, To a broad gate all built of beaten gold : The gate was open ;
but
therein did wayt A sturdie villein, stryding stif
e highest god defy he would. In his right hand an yron club he held,
But
he himselfe was all of golden mould, Yet had bot
part did reach to lowest hell. (Liv. II, ch. VII.) 339. … No gate,
but
like one, being goodly dight With bowes and braun
vele of silke and silver thin, That hid no whit her alabaster skin,
But
rather shewd more white, if more might bee : More
Some asked me where the rubies grew, And nothing did I say,
But
with my finger pointed to The lips of Julia.
. One ask’d me where the roses grew ; I bade him not go seek ;
But
forthwith bade my Julia show A bud in either
ut sa satire contre les courtisans. Ceci est contre les imitateurs :
But
he is worst, who beggarly doth chaw Other’s witt
som, and there chide And bend her brows, and swell, if any bough Does
but
stoop down to kiss her utmost brow ; Yet if her o
squam est, which Gesner did in modesty : that I have read many books,
but
to little purpose, for want of good method ; I ha
l profit, for want of art, order, memory, judgment. I never travelled
but
in map or card, in which my unconfined thoughts h
is demonstrationibus ? What so sure, what so pleasant ? he that shall
but
see that geometrical tower of Garizenda at Bologn
t, or that engine of Archimedes to remove the earth itself, if he had
but
a place to fasten his instrument ? Archimedis coc
Hippolytus Salvianus, etc. 351. Anatomy of melancoly, 1621. 352.
But
the iniquity of oblivion blindly scattereth her p
he memory of men without distinction to merit of perpetuity : who can
but
pity the founder of the pyramids ? Herostratus li
e to die ; since our longest sun sets at right descensions, and makes
but
winter arches, and therefore it cannot be long be
remember our felicities, and the smartest strokes of affliction leave
but
short smart upon us. Sense endureth no extremitie
bravery in the infamy of his nature… Pyramids, arches, obelisks, were
but
the irregularities of vain glory, and wild enormi
antin, la cité antique est une association d’hommes libres qui a pour
but
la conquête et l’exploitation d’autres hommes lib
things which we ought not to have done. And there is no health in us.
But
Thou, O Lord, have mercy on us, miserable offende
or if they have no sheepe to helpe to fat the ground, they shall have
but
bare corn and thin. They must have swine for thei
other friends to desire their help to prepare the child for burial ;
but
there was nobody at home, every man was in the fi
sed her of the murder, and so she was taken and brought to Cambridge.
But
as far forth as I could learn, through earnest in
f Cambridge, whose godfather I was, and Mistress Cheak was godmother.
But
all that time I hid my pardon, and told her nothi
any body so report, we should not be too hasty in believing the tale,
but
rather suspend our judgments till we know the tru
aid to his mother, ‘For my little pain which I shall suffer, which is
but
a short braid, Christ hath promised me, mother (s
ture should intermit her course, and leave altogether, though it were
but
for a while, the observation of her own laws ; if
larger than otherwise. Herewith notwithstanding we are not satisfied,
but
we covet (if it might be) to have a kind of socie
e to build somewhat upon their judgment, what reason have we to think
but
that, even in matters Divine, the like wits furni
love and amity, to live as if our persons being many, our souls were
but
one, rather than in such dismembered sort, to spe
his for a man whom he never saw, or, if he did, was not noted by him,
but
one that shall condemn him to the gallows, if he
ns of the undermined strand, and to invade the neighbouring gardens :
but
then the despised drops were grown into an artifi
ty by the eye of a reverend man, or the counsels of a single sermon :
but
when such beginnings are neglected, and our relig
snow, which was indeed on the outside white as the spots of leprosy,
but
it was not better, etc. 375. For so have I seen
as he rises, and hopes to get to heaven, and climb above the clouds ;
but
the poor bird was beaten back with the loud sighi
boar destroys your vineyards, or our king be sick, we regard it not,
but
, during that state, are as disinterested as if ou
mal prologue to the tragedy ; and still, every seven years it is odds
but
we shall finish the last scene : and when nature,
useless and entangled like the wheels of a broken clock. Baldness is
but
a dressing to our funerals, the proper ornament o
of every single person. Nature hath given us one harvest every year,
but
death hath two : and the spring and the autumn se
s of the year, and all minister to death ; and you can go no whither,
but
you tread upon a dead man’s bones. 380. Reckon
n go no whither, but you tread upon a dead man’s bones. 380. Reckon
but
from the sprightfulness of youth, and the fair ch
and we shall perceive the distance to be very great and very strange.
But
so have I seen a rose newly springing from the cl
as the morning, and full with the dew of heaven, as a lamb’s fleece ;
but
when a ruder breath had forced upon its virgin mo
ir young German gentleman, who, living, often refused to be pictured,
but
put off the importunity of his friends’ desire by
s unto the judgment of the great day. These things, I say, when I was
but
a child but nine or ten years old, did so distres
udgment of the great day. These things, I say, when I was but a child
but
nine or ten years old, did so distress my soul, t
e, I might, by my desperateness, have brought myself to my end. 413.
But
withal I was so overrun with the spirit of supers
work therein. This conceit grew so strong upon my spirit, that had I
but
seen a priest (though never so sordid and debauch
you must know, that before this I had taken much delight in ringing,
but
my conscience beginning to be tender, I thought s
but my conscience beginning to be tender, I thought such practice was
but
vain, and therefore forced myself to leave it ; y
would go to the steeple-house and look on, though I durst not ring ;
but
I thought this did not become religion neither ;
ecome religion neither ; yet I forced myself and would look on still.
But
quickly after, I began to think, ‘How, if one of
rt the steeple, from side to side, thinking here I might stand sure ;
but
then I thought again, should the bell fall with a
erved notwithstanding. So after this I would yet go to see them ring,
but
would not go any farther than the steeple-door ;
o see them ring, but would not go any farther than the steeple-door ;
but
then it came into my head, ‘How, if the steeple i
shake my mind, that I durst not stand at the steeple-door any longer,
but
was forced to flee, for fear the steeple should f
her should be quiet until I had committed it ; now no sin would serve
but
that : if it were to be committed by speaking of
ward into some muck-hill hole, to keep my mouth from speaking. 416.
But
hold, it lasted not, for before I had well dined,
le began to go off my mind, and my heart returned to its old course ;
but
oh, how glad was I that this trouble was gone fro
to my old custom of sports and gaming I returned with great delight.
But
the same day, as I was in the midst of a game of
hat it is in vain to think of a reformation, for that could never be.
But
how it came to pass I know not, I did from this t
treet… 420. Then the water stood in my eyes, and I asked further :
But
Lord, may such a great sinner as I am be indeed a
e defiled the whole man. He that began to sweep at first is the Law ;
but
she that brought that water, and did sprinkle it,
e dust did so fly about, that the room by him could not be cleansed ;
but
that thou wast almost choked therewith, — this i
hose bones, blood, ashes, etc., lay there, were cruelly put to death.
But
by this place Christian went without much danger,
lace Christian went without much danger, whereat I somewhat wondered.
But
I have learned since that Pagan has been dead man
ht they heard all the bells therein to ring, to welcome them thereto.
But
, above all, the warm and joyful thoughts that the
ouffroy fut la connaissance de la destinée humaine ; il la donna pour
but
à la philosophie82 ; pour lui les autres recherch
on est la découverte de la destinée humaine. Quelle est ma fin ? Quel
but
m’est assigné ? Que veut de moi la nature ? On va
fin totale et suprême. » — « Ce concours des fins éparses aspire à un
but
unique, celui-là même que Dieu s’est proposé en l
n d’une locomotive ? Traîner des fardeaux ; ici le mot fin indique un
but
préconçu, en vue duquel l’objet a été construit e
us jugeons qu’il est sa cause ; un savant mécanicien s’est proposé ce
but
; et le but a déterminé la quantité du fer, la di
u’il est sa cause ; un savant mécanicien s’est proposé ce but ; et le
but
a déterminé la quantité du fer, la disposition de
le mien, il n’en est pas moins rempli, et n’en concourt pas moins au
but
que le créateur s’est proposé en laissant échappe
fin. Cela signifie maintenant : En créant un être, Dieu a eu quelque
but
en vue. » — Je n’en sais rien88, ni vous non plus
» Cela signifie maintenant : « En créant un être, Dieu se propose un
but
qui est le bien de cet être. » Je n’en sais rien,
ion et des tendances ; il la considérait ensuite, en fidèle, comme un
but
et un décret de Dieu. Il y voyait d’abord une œuv
uvert la science, et s’est assis blessé sur le seuil. Et cependant le
but
n’était pas loin. Rien de plus simple que la dédu
iments et leurs lois, et ne se proposa pas autre chose. Il donna pour
but
à la psychologie la psychologie, et ne permit pas
ont coûtée. Mais ce n’est pas assez. Les mathématiques ont un triple
but
. Elles doivent fournir un instrument pour l’étude
ment pour l’étude de la nature. Mais ce n’est pas tout : elles ont un
but
philosophique et, j’ose le dire, un but esthétiqu
n’est pas tout : elles ont un but philosophique et, j’ose le dire, un
but
esthétique. Elles doivent aider le philosophe à a
pliquées à la physique doivent l’être comme les autres. Quand même le
but
physique et le but esthétique ne seraient pas sol
que doivent l’être comme les autres. Quand même le but physique et le
but
esthétique ne seraient pas solidaires, nous ne de
ne devrions sacrifier ni l’un ni l’autre. Mais il y a plus : ces deux
buts
sont inséparables et le meilleur moyen d’atteindr
s de la pensée. On comprend alors comment l’analyste, qui poursuit un
but
purement esthétique, contribue par cela même à cr
sent pas d’être utiles, quand ces dernières font défaut. En résumé le
but
de la physique mathématique n’est pas seulement d
et rectilignes de la rhétorique et de l’éloquence. Il arrive au même
but
, mais par d’autres voies. Il est à la fois plus c
n hope, and heartless fear ; Be mov’d at nothing, see thou pity none,
But
to thyself smile when the Christian moan. … I wal
cred person ; touch me not. barabbas. The law shall touch you ; we’ll
but
led you, we. ‘Las, I could weep at your calamity
. mortimer. And to behold so sweet a sight as that, There’s none here
but
would run his horse to death… lancaster. We’ll ha
n’d, I cannot repent ; Scarce can I name salvation, faith, or heaven,
But
fearful echoes thunder unto my ears, “Faustus, th
me, are there many heavens above the moon ? Are all celestial bodies
but
one globe, As is the substance of this centric ea
in the beauty of a thousand stars ! 55. Ah, my God, I would weep !
But
the devil draws in my tears. Gush forth, blood, i
ea, life and soul ! O, he stays my tongue ! I would lift up my hands.
But
see, they hold them, they hold them ; Lucifer and
y hold them ; Lucifer and Mephistophilis. Oh, Faustus, Now hast thou
but
one bare hour to live ; And then thou must be dam
through seas of blood, Or make a bridge arch’d with the bones of men,
But
I will grasp my aims in you, my dearest, Dearest
(Massinger, Duke of Milan, acte II, sc. i.) I’ll follow him to hell,
but
I will find him, And there live a fourth fury to
h continual fasts : what wit or art Could counsel, I have practised ;
but
alas ! I find all these but dreams, and old men’s
or art Could counsel, I have practised ; but alas ! I find all these
but
dreams, and old men’s tales, To fright unsteady y
there no man in Parma to be bawd To your loose cunning whoredom else
but
I ? Must your hot itch and pleurisy of lust, The
st, The heyday of your luxury, be fed Up to a surfeit, and could none
but
I Be pick’d out to be cloak to your close tricks,
.) 68. Édition Dyce, Duchess of Malfi, 60. For places in court are
but
like beds in the hospital, where this man’s head
ola. Yes, out of question. duchess. O, that it were possible we might
But
hold some two days conference with the dead ! Fro
ess of Malfi, V, v.) Glories, like glow-worms, afar off shine bright,
But
look’ed to near, have neither heat nor light. (Vi
rancesco de medicis. Why, you understand Latin. vittoria. I do, sir ;
but
amongst that auditory Which comes to hear my caus
scorn to hold my life, At yours or any man’s entreaty, sir… These are
but
feigned shadows of my evils : Terrify babes, my l
More and more apprehensive, I did thirst To see the man so praised ;
but
yet all this Was but a maiden longing, to be lost
ensive, I did thirst To see the man so praised ; but yet all this Was
but
a maiden longing, to be lost As soon as found ; t
g in my window, Printing my thoughts in lawn, I saw a God, I thought (
but
it was you), enter our gates. My blood flew out,
’d it so : Alas I found it love : Yet far from lust. For could I have
but
lived In presence of you, I had had my end… … Ble
y’s sake ! … Never, sir, will I Marry ; it is a thing within my vow :
But
if I may have leave to serve the princess, To see
a good man. Pray, do not talk of aught I have said to you… … Pity me,
But
never love me more… I will pray for you, That you
it may be then, what it dare, I have a mind will hasard it. thierry.
But
, hark you ; What may that woman merit, makes this
r anything that’s merely ours and mortal. We were begotten Gods else.
But
those fears, Feeling but once the fires of nobler
ours and mortal. We were begotten Gods else. But those fears, Feeling
but
once the fires of nobler thoughts, Fly, like the
lovers, No careful father’s counsel, nothing’s heard, Nor nothing is,
but
all oblivion, Dust and an endless darkness : and
never shall hear, To part with these sweet hopes ? ordella. With all
but
heaven. (Thierry and Theodoret, acte IV.) 94.
ummons of departure short and certain. Glories Of human greatness are
but
pleasing dreams And shadows soon decaying ; on th
y, drawn out at length By varied pleasures, sweetened in the mixture,
But
tragical in issue. That remedy Must be a winding
alsehood Equals a broken faith. There’s not a hair Sticks on my head,
but
, like a leaden plummet, It sinks me to the grave
ck’d me out a husband, And then my little ones had been no bastards ;
But
‘tis too late for me to marry now, I am past chil
aisies, and long purples, That liberal shepherds give a grosser name,
But
our cold maids do dead-men’s fingers call them. T
the bay, Stuck in that mystic order, that the rareness Delighted me :
but
ever when he turn’d His tender eyes upon ‘em, he
les de l’amour de la gloire ; son horizon étant plus resserré, et son
but
positif, toutes les douleurs qui naissent de cet
t honorables, ils le servaient assez ; mais l’ambition n’a qu’un seul
but
. Celui qui prise ainsi le pouvoir est insensible
ces personnelles, en le possédant il ne sent point de vide en lui. Le
but
de l’ambition est certainement aussi plus facile
tre, par l’espoir de se montrer lui-même alors qu’il aura atteint son
but
; mais s’il faisait naufrage avant d’arriver au p
ndent absolument étrangers à l’ambition dont leur existence serait le
but
. Enfin, quand il existerait une chance, de prolon
il voulait leur faire ; aucun ne peut mépriser ni ses efforts, ni son
but
; il lui reste sa valeur personnelle, et l’appel
u l’ambition ou la conscience, nul autre guide ne peut conduire à son
but
. Et quelle ambition ! quel horrible sacrifice ell
’est la puissance qu’il importe à une faction d’obtenir plutôt que le
but
d’abord poursuivi ; on peut triompher en faisant
en absoudre ; celui qui prend pour guide sa conscience est sûr de son
but
; mais malheur à l’homme avide de pouvoir, qui s’
religion de l’art même, il importe de comprendre que la religion a un
but
, un but à la fois spéculatif et pratique : elle t
de l’art même, il importe de comprendre que la religion a un but, un
but
à la fois spéculatif et pratique : elle tend au v
sensibles avec les lois du monde qui régissent la vie et la mort. Le
but
de la religion est donc la satisfaction effective
— satisfaction projetée dans un temps à venir ou dans l’éternité. Le
but
de l’art, au contraire, est la réalisation immédi
ité. L’art véritable, au contraire, sans poursuivre extérieurement un
but
moral et social, a en lui-même sa moralité profon
et il n’est pas nécessaire qu’elle ait toujours la conscience de son
but
. Services rendus à l’esprit humain par des esprit
logie conçue comme l’illustration du passé. La philologie n’a pas son
but
en elle-même. L’apparition de la philologie signa
ocialisme est la vraie, ses moyens sont mauvais et iraient contre son
but
. Le problème n’est que posé. Solution trop simple
xcepté les sages qui attendent. Révolutionnaires et conservateurs. Le
but
de l’humanité n’est pas le bonheur, mais la perfe
de l’humanité est légitime. Les droits se font et se conquièrent. Le
but
de l’humanité n’est pas son affranchissement, mai
t pas son affranchissement, mais son éducation. Détruire n’est pas un
but
. Si le but de l’humanité était la jouissance, l’é
ffranchissement, mais son éducation. Détruire n’est pas un but. Si le
but
de l’humanité était la jouissance, l’égalité la p
besoin d’action ; le devoir conçu donne un emploi aux facultés et un
but
à la vie, provoque les associations, les fondatio
him as ’tis the fashion coolly and deliberately for honour or money.
But
I love him. Love him, worse and worse ! I thought
t a mere court friend, who professes every thing and will do nothing…
But
we, gentlemen, have still honour enough to break
free to call for it. JENNY. Indeed, sir, I never drink strong-waters,
but
when I have the cholic. MACHEATH. Just the excuse
only the personal revelation, the internal evidence, of christianity,
but
likewise a sure and firm confidence, that Christ
man in the opposite pew, an able-bodied fresh and healthy countryman.
But
in a moment when he seemed to think of nothing el
: for why does any man dissemble, or seem to be that which he is not,
but
because he thinks it good to have such a quality
d quality, as to have it ; and if a man have it not, it is ten to one
but
he is discovered to want it, and then all his pai
e gratias agere, reddere, dicere, to give, render, or declare thanks,
but
also gratias habere, grate affectum esse, to be t
e, nor bribed with expectation of emolument thence to accrue himself,
but
being absolute master of his own actions, only bo
will, is our friend and benefactor, preventing not only our desires,
but
our knowledge, surpassing not our deserts only, b
only our desires, but our knowledge, surpassing not our deserts only,
but
our wishes, yea even our conceits, in the dispens
ng ; for, alas ! such are above that, or at least that’s above them),
but
for zeal and for fasting, for a devout elevation
are history, others writ in a poetical style, and others prophetical,
but
the design of them all is professedly to recommen
events seem entirely loose and separate ; one event follows another ;
but
we can never observe any tie between them. They s
; but we can never observe any tie between them. They seem conjoined,
but
never connected. 845. Il faut lire dans sir Robe
care to avoid what mischiefs may be done them by polecats or foxes ;
but
are content, may think it safety, to be devoured
not of it. Nothing can make a man subject or member of a commonwealth
but
his actually entering into it by positive engagem
II, p. 85, et tome III, p. 408. — Pour Burke, tome III, p. 88. 859.
But
yesterday, and England might have stood against t
my country, I never would lay down my arms — never — never — never !
But
, my Lords, who is the man, that in addition to th
l maxim of your liberties : that no subject of England shall be taxed
but
by his own consent. As an Englishman by birth and
d conduct, which distinguishes you not only from all other ministers,
but
from all other men. It is not that you do wrong b
sters, but from all other men. It is not that you do wrong by design,
but
that you should never do right by mistake. It is
t that your indolence and your activity have been equally misapplied,
but
that the first uniform principle, or, if I may ca
s resentment, and leave no consolation to the most vindictive spirit,
but
that such an object, as you are, would disgrace t
ouse of Hanover, not from a vain preference of one family to another,
but
from a conviction that the establishment of that
h ought to be occupied only by the highest and most exemplary honour,
but
forfeits their claim to the character of gentleme
obility can thus charm vice into virtue, I know not nor wish to know,
but
in any other thing than politics, and among any o
all precedent, latitude, or condition, the prerogatives of the crown.
But
though the British House of Commons were so shame
the house of Russel were so enormous, as not only to outrage economy,
but
even to stagger credibility. The Duke of Bedford
our forefathers… (We claim) our franchises not as the rights of men,
but
as the rights of Englishmen. 877. Burke, Appeal
d themselves free-thinkers ? We are protestants not from indifference
but
from zeal. Atheism is against not only our reason
om indifference but from zeal. Atheism is against not only our reason
but
our instincts. We are resolved to keep an establi
l the decent drapery of life is to be rudely torn off… Now a queen is
but
a woman, and a woman is but an animal. 887. Lear
is to be rudely torn off… Now a queen is but a woman, and a woman is
but
an animal. 887. Learning with its natural protec
e overborne, the sober incapacity of dull uninstructed men, of useful
but
laborious occupations) can never be put into any
t, comme à ceux qui lui sont refusés ; mais le public, dédaignant son
but
, et remarquant ses efforts, déprise la possession
ieu de dédaigner cet avantage par intérêt et par raison, il n’a qu’un
but
dans l’existence, c’est de vous parler des grands
sibles, cet égoïsme détruit la possibilité d’aimer, il n’y a point de
but
plus stérile que soi-même ; l’homme n’accroît ses
ation sérieuse, mais du malheur de se prendre jamais elles-mêmes pour
but
de leurs efforts. Quand la part qu’elles ont dans
e trône des Césars, ou les couronnes du génie littéraire en soient le
but
, les femmes doivent penser que, pour la gloire mê
le pour satisfaire le mouvement le plus éphémère, et le désir dont le
but
est le plus restreint : l’agitation que fait épro
mal qu’on voudrait réparer. La peine se multiplie par la peine, et le
but
s’éloigne par l’action même du désir ; et dans ce
n observer le développement complet : ce sentiment, si borné dans son
but
, si petit dans son mobile, qu’on pouvait hésiter
rc qui les chassa ou la main qui les a lancées. Chose singulière ! le
but
vient plus souvent vers elles qu’elles ne vont el
ut vient plus souvent vers elles qu’elles ne vont elles-mêmes vers le
but
. Et voilà la raison, sans doute, pourquoi il n’es
lées, de la philosophie qui les a également asservis ! Car tel est le
but
, sinon atteint, du moins visé, du nouvel ouvrage
rétien encore qu’il ne pense, se cabre encore avec effroi, tel est le
but
que s’est proposé M. de Rémusat dans sa monograph
ie intellectuelle de Saint Anselme. Pourquoi s’est-il donné un pareil
but
? A-t-il tremblé dans sa conscience logique ou da
ilosophes, ces étables d’Augias humaines. Mais toujours est-il que ce
but
impossible d’une charte taillée entre un principe
s de Mœhler, le théologien catholique qui s’est occupé, dans un autre
but
, de la métaphysique de l’illustre archevêque, ni
nes avec les autres ; le moyen, en un mot, semblait si bien adapté au
but
, et le but tellement ressortir du moyen, qu’un ho
s autres ; le moyen, en un mot, semblait si bien adapté au but, et le
but
tellement ressortir du moyen, qu’un homme dont to
us chère, un glaive de plus en plus indispensable et infaillible ; le
but
lointain d’association et d’unité s’obscurcissait
nt d’autant ; ce sentiment inspirateur, cette tendance générale et ce
but
d’avenir que nous signalons plus particulièrement
igence, à tous les désirs de notre cœur. Les moyens pour atteindre au
but
nous parurent loyaux autant qu’efficaces, pacifiq
er numéro du Globe jusqu’au dernier, dans sa pensée première, dans le
but
général qu’il poursuivait, dans une portion const
its, qui prennent les choses de haut, n’ont qu’à se lancer, portés au
but
par le droit jet de l’inspiration. C’est là le la
e selon un modèle idéal que leur imagination contemple. S’ils vont au
but
avec cette sûreté, c’est qu’ils savent bien leur
ndre génie, qui sait ordonner ses inventions, touche plus sûrement le
but
, fait une œuvre plus forte et plus belle qu’un gr
insensiblement du droit chemin, et se retrouvera soudain fort loin du
but
. Saisi à chaque moment de la vérité de ce qu’il e
t court et sensible. Chaque vérité est mise à sa place par rapport au
but
: elle prépare, elle amène, elle appuie une autre
, et un amas confus de petits édifices, qui ne feraient point un vrai
but
, quoiqu’ils fussent les uns auprès des autres ?…
jugé avoir le mieux satisfait à toutes les conditions désirables d’un
but
moral et d’une exécution brillante. Si la Commiss
principal du programme, aux termes duquel elle était convoquée, si le
but
moral entrait le moins du monde dans l’inspiratio
e, que tous comprennent, que tous reconnaissent et doivent éviter. Le
but
moral largement conçu, comme il doit l’être pour
a Commission, c’est que, si l’ouvrage n’a pas atteint complètement le
but
, il est dans la voie. Cependant, monsieur le mini
s agréables, et quelques-uns même où l’auteur semblait se proposer un
but
utile, la Commission n’en a trouvé aucun qui lui
années, un écrivain, celui qui trace ces lignes, voyageait sans autre
but
que de voir des arbres et le ciel, deux choses qu
inspiré jusqu’à ce moment, une volonté de voir et d’observer dans un
but
déterminé ; fixa la marche errante de ses idées,
la parole pour ce qu’on s’imagine être un devoir, c’était manquer le
but
. Les lettres qu’il avait écrites durant son voyag
es. Si l’auteur avait publié cette correspondance de voyageur dans un
but
purement personnel, il lui eût probablement fait
e. C’était encore diminuer la confiance, et par conséquent manquer le
but
. Il ne faut pas oublier que ces lettres, qui pour
raphe XV de la Conclusion. Or, l’auteur ayant toujours eu plutôt pour
but
de calmer que d’irriter, il se demanda s’il n’eff
et les ponts qui joignent deux nations, il rencontre enfin, comme le
but
de sa course et le terme de son élargissement, le
?) influentes. Qu’on ne l’oublie pas, le socialisme, le vrai, a pour
but
l’élévation des masses à la dignité civique, et p
l’évêque Quodvultdeus. Il y a quelque chose au-delà de s’assouvir. Le
but
humain n’est pas le but animal. Un rehaussement m
l y a quelque chose au-delà de s’assouvir. Le but humain n’est pas le
but
animal. Un rehaussement moral est nécessaire. La
ais, être tournée du côté de la dignité humaine. Montrer à l’homme le
but
humain, améliorer l’intelligence d’abord, l’anima
oment est venu de conclure. Nous concluons à une littérature ayant ce
but
: Le Peuple. L’auteur de ces pages écrivait, il y
délivré le monde, vous opérerez la construction qui l’épanouira. Quel
but
! faire le peuple ! Les principes combinés avec l
hygiène le travail, pour économie la paix, pour canevas la vie, pour
but
le progrès, pour autorité la liberté, pour peuple
par le vrai. Le grand prend les masses, le vrai saisit l’individu. Le
but
du poète dramatique, quel que soit d’ailleurs l’e
res idées qu’il a pu développer ailleurs sur ces matières, tel est le
but
du poète au théâtre. Et ces deux mots, grand et v
t tout. La vérité contient la moralité, le grand contient le beau. Ce
but
, on ne lui supposera pas la présomption de croire
drame qu’il vient de faire représenter est un effort de plus vers ce
but
rayonnant. Quelle est, en effet, la pensée qu’il
ens et des réalistes modernes. — Ses œuvres. — Ses procédés. — Son
but
. — Robinson Crusoé. — En quoi ce caractère est
s conceptions détaillées et compréhensives qui, ordonnant en vue d’un
but
unique les passions de trente personnages, enchev
e la morale poussée à bout, quelle que soit l’école, quel que soit le
but
. À force de régulariser l’homme, on le rétrécit.
trent aussi décidées chez lui qu’ailleurs. Il donne à ses fictions un
but
pratique, et les recommande en disant que le ton
ent de la volonté fixe sont si forts en lui que, lorsqu’il manque son
but
, il extravague, il met l’épée à la main contre l’
tion à l’anglaise, toute composée de raisonnements exacts, ayant pour
but
d’établir que, d’après la nature du plaisir et de
en’s opinions. ‘Tis hard for a man to say, all the world is mistaken,
but
himself. But if it be so, who can help it ? 1023
. ‘Tis hard for a man to say, all the world is mistaken, but himself.
But
if it be so, who can help it ? 1023. Voyez ses p
azine of all kinds now that ever was laid up, I believe, for one man.
But
I was not satisfied still ; for while the ship sa
whole ship, piece by piece. 1027. A very tedious and laborious work.
But
what need I have to be concerned at the tediousne
, application, and contrivance, I found at last that I wanted nothing
but
I could have made it, especially if I had had too
, I worked my mind up not only to a resignation to the will of God, …
but
even to a sincere thankfulness. 1035. … That he
. 1709-1711-1713. 1037. 1741. 1038. To be sure I did think nothing
but
curt’sy and cry, and was all in confusion at his
t any acts of kindness would make me forget what I owe to my virtue ;
but
my nature is too frank and open to make me ungrat
is dear hand. My heart is so wholly yours that I am afraid of nothing
but
that I might be forwarder than you wish. This poo
speak the two words. 1051. This, Clary, is a pretty pattern enough.
But
this is quite charming ! — And this, were I you,
arming ! — And this, were I you, should be my wedding night-gown. —
But
, Clary, won’t you have a velvet suit ? It would c
, said Lovelace, if he would marry the first princess on earth, if he
but
thought she balanced a minute in her choice of hi
ity in hoping to be an example to young persons of my sex ! Let me be
but
a warning and I will now be contented. 1059. Ent
8. I am afraid I must borrow of the Sunday some hours on my journey ;
but
visiting the sick is an act of mercy. 1069. And
ps of Heaven, from a mind like that Heaven mild and gracious ! 1073.
But
could he be otherwise than the best of husbands,
that was the joy of my heart, and all the hope and comfort of my age.
But
I am resolved I will turn her out o’ doors ; she
and be rotted to’n ; I little thought what puss he was looking after.
But
it shall be the worst he ever vound in his life.
l bet thee five pounds to a crown, we ha a boy to-morrow nine months.
But
prithee, tell me what wat ha ? Wat ha Burgundy, C
r before ; on one side a meadow, on the other a green… (It) consisted
but
of one story and was covered with thatch, which g
ye was agreeably relieved, and did not want richer furniture. 1090.
But
let us have one bottle more, Deborah, my life, an
s qui l’ont fait naître. Dès que les ouvrages de littérature ont pour
but
de remuer l’âme, ils approchent nécessairement de
pays les lumières des pays voisins. Les sciences physiques ayant pour
but
une utilité immédiate, aucun gouvernement ne veut
vérités sont un mobile d’émulation indépendant des circonstances, un
but
qui console des revers, et ne soumet pas le bonhe
isser aucun genre d’exaltation ; le législateur doit se proposer pour
but
de réunir ce qui est bien dans une carrière, à ce
hautes facultés de l’esprit, c’est le bonheur des hommes qu’il a pour
but
; car on ne trouve que dans le bien un espace suf
pour objet, quelque stabilité dans les plans dont elle n’était pas le
but
. Quand le cercle des relations s’agrandit, la mor
Une méthode est un ensemble de procédés raisonnés pour arriver à un
but
. Le but qu’on poursuit détermine donc la méthode
thode est un ensemble de procédés raisonnés pour arriver à un but. Le
but
qu’on poursuit détermine donc la méthode qu’on do
er avant de chercher les chemins par où l’on passera. Or, quel est le
but
de l’histoire ? Une connaissance du passé aussi p
re la conséquence de ses recherches ; ils ne sont point son véritable
but
. L’histoire, pourrait-on dire si l’on ne craint p
st inutile, que dans la plus grande peine, si elle tend vers un noble
but
. Ce n’est pas ici le cas de remonter à la grande
épurer des passions coupables. On croirait en effet que la vie a pour
but
de renoncer à la vie. La nature physique accompli
ne certaine folie, qui s’apaise quand elle atteint de trop près à son
but
. Le malheur n’est presque jamais une chose absolu
e raisonnements bien ou mal faits : si nous avons la vie à venir pour
but
, ce n’est qu’à l’intention que notre conscience s
Les passions entraînent à des actes coupables dont le bonheur est le
but
, mais dans le Suicide il y a un renoncement à tou
est obtenu par les revers supportés religieusement ici-bas. C’est le
but
spécial de la doctrine de J.-C. que l’explication
nements humains en se promettant de se tuer, si l’on n’atteint pas le
but
de ses désirs. Dans un tel système l’on se consid
e point de vue de cette question, c’est que le bonheur n’étant pas le
but
de la vie humaine, l’homme doit tendre au perfect
son char et se précipite dans l’abîme au lieu de se diriger vers son
but
. On dirait que l’âme, en commettant cet acte terr
raire au Suicide proprement dit, car le renoncement à soi-même a pour
but
de se consacrer à ses semblables : et le Suicide
qualités morales et surtout des facultés supérieures ; mais c’est un
but
secondaire qui doit céder au premier ; car une ce
à fait étrangers à notre sujet, ceux dont l’ambition a seulement pour
but
le pouvoir et la fortune : mais nous examinerons
ire de grands effets sur cette terre, mais dès que leur action a pour
but
l’ambition personnelle de celui qui les possède,
opposés à nos désirs, a le succès pour récompense aussi bien que pour
but
, mais il n’est pas plus admirable de faire usage
sur les sacrifices qu’on leur fait. Si donc le bonheur était l’unique
but
de la vie il faudrait se tuer dès qu’on a cessé d
un enthousiasme métaphysique qui n’a point encore d’objet fixe ni de
but
utile. Les défauts des Allemands sont bien plus l
plus hautes vertus. Nous croyons avoir montré que le Suicide dont le
but
est de se défaire de la vie ne porte en lui-même
duite, tout doit se rapporter à la foi religieuse, et la vie n’a pour
but
que d’enseigner l’immortalité. Si je me dérobais
teur d’ajouter à ce peu de lignes quelques autres observations sur le
but
qu’il s’est proposé en composant ces Odes. Convai
ns que nous nous étendions davantage, remarquer dans le reste le même
but
littéraire et un semblable système de composition
ivie de trois poëmes de différents genres qui n’entraient pas dans le
but
de cette publication et que l’on a cru devoir sup
de certitude, de perfection et de repos, qui semblait devoir être le
but
de tout effort et dans lequel semblaient devoir s
l’aspiration vers la Vérité, l’homme propose à la vie phénoménale un
but
qui, atteint, irait à supprimer la vie phénoménal
régulatrice de l’effort universel, arbitre suprême de la conduite et
but
de la connaissance, l’idée, en un mot, d’une véri
mercy, o my sweet herte ! » (Liv. III.) 190. Whom should I thanken
but
you, God of Love, Of all this blisse, in which to
envious, or right nice, Or is unmightie for his shrewdness To loven…
But
I with all mine herte and all my might, As I have
s so fast, And his in me, that it shall ever last. (Liv. II.) 191.
But
as God would, of swough she abraide And gan to si
gost, that flickered ale a loft, Into her woful herte agen it went :
But
at the last, as that her eye glent Aside, anon sh
such dispair Ne yet with thougtis froward and contraire So overlaid,
but
it should sone have bote, It it had onis felt thi
nt to sight) I se where there came singing lustily A world of ladies,
but
to tell aright Ther beauty grete, lyith not in my
in a mannir garnishing, Was set with emeraudis one and one By and by,
but
many a riche stone Was set on the purfilis out of
sayed that min husbond, Shuld leve fader and moder, and take to me ;
But
of no noumbre mention made he, Of bigamie or of
pe had sittin him beside, I wold not sparin them at their owes bord…
But
certainly I madin folk soche chere That in his ow
ne, so faire, That all my hert I gave unto his hold. He was, I trow,
but
twenty winter old, And I was forty, if I shall s
t, it may not avaunce, For to have deling with suche base poraille,
But
alle with rich and sellers of vitayle… For many
ce… Now, Dame, quod he, je vous die sans dout, Have I not of a capon
but
the liver, And of your white bred but a shiver,
s dout, Have I not of a capon but the liver, And of your white bred
but
a shiver, And aftir that a rostid pigg’is hedde,
ur white bred but a shiver, And aftir that a rostid pigg’is hedde, (
But
I n’old for me that no beste were dedde, ) Than h
raye you, Dame, that ye be nought annoied ! »… « Now, sir, quod she,
but
one word er I go, My child is dedde within these
hell, And God it wat that it is litil wonder, Freris and Fendis gon
but
little asonder. For parde, ye han ofte time here
That of hire smiling was full simple and coy ; Hire gretest othe n’as
but
by Seint Eloy ; And she was cleped Madame Eglenti
en estatelich of manere, And to ben holden digne of reverence.
But
for to speken of hire conscience, She was so cha
e she, that she fedde With rosted flesh, and milk, and wastel brede.
But
sore wept she if on of hem were dede, Or if men
eyen grey as glas ; Hire mouth ful smale, and thereto soft and red ;
But
sikerly she hadde a fayre forehed. It was almost
os de Condillac leur père. La psychologie à ses yeux n’était point un
but
, mais un moyen. Il analysait non pour analyser, m
st un amateur du bon ordre. Pratique et morale, sa philosophie a pour
but
non le vrai, mais la règle. À son insu, l’habitud
utation du scepticisme. L’étude de la perception extérieure n’a qu’un
but
: la connaissance de la perception extérieure. Si
on est sûr de trouver autre chose. Un philosophe atteint toujours son
but
. Rien de plus pliant que les faits ; rien de plus
Passez là-bas : voilà Platon et Reid. Les faits sont des soldats ; le
but
est le général, qui les mène du côté qui lui plaî
nous ne craignons plus d’être appelés téméraires et sceptiques. Notre
but
n’est plus de prouver que la perception extérieur
té dogmatique pour répondre. Je ne suis ici que critique ; mon unique
but
était de prouver que M. Royer-Collard, à l’exempl
utour d’eux, ils aperçurent bien loin à l’horizon, la colonne sacrée,
but
de toutes les courses. Le noble animal lui avait
ou comme on le sent. Les conseils qu’on peut donner pour atteindre ce
but
sont les mêmes pour tous : car, à moins d’être de
s ignorances et toutes les paresses à l’aise dans tous les sujets. Le
but
que j’ai poursuivi est le but général de toute l’
esses à l’aise dans tous les sujets. Le but que j’ai poursuivi est le
but
général de toute l’éducation : former la raison e
eilleures et plus courtes voies par où ils pourront se diriger à leur
but
et nous y mener ; leur inspirer des doutes, des s
Introduction La recherche de la vérité doit être le
but
de notre activité ; c’est la seule fin qui soit d
es qui se touchent mais ne se pénètrent pas. L’une nous montre à quel
but
nous devons viser, l’autre, le but étant donné, n
rent pas. L’une nous montre à quel but nous devons viser, l’autre, le
but
étant donné, nous fait connaître les moyens de l’
en moins encore être heureux sans elle. Mais si la vérité est le seul
but
qui mérite d’être poursuivi, pouvons-nous espérer
pille ; il y a ici un beau canal antique qui reçoit et dirige vers un
but
utile et certain tout le flot de son activité et
fades, and falls, and hath no toil, Fast-rooted in the fruitful soil…
But
, propt on beds of amaranth and moly, How sweet (w
rave so rough, Me, that was never a quiet sleeper ? May be still I am
but
half-dead. Then I cannot be wholly dumb ; I will
tter have died and spilt our bones in the flood — Then men had said —
but
now — what hinder me To take such bloody vengeanc
rning glacier ; frail at first And feeble, all unconscious of itself,
But
such as gather’d colour day by day. 1534. « If
ay. 1534. « If you be, what I think you, some sweet dream, I would
but
ask you to fulfil yourself : But if you be that I
think you, some sweet dream, I would but ask you to fulfil yourself :
But
if you be that Ida whom I know, I ask you nothing
en ? must I die ? » Then as a little helpless innocent bird, That has
but
one plain passage of fine notes, Will sing the si
. . . . . . . . . . . . . . . . Now shall I have my will. » 1538.
But
when the next sun brake from underground, Then, t
id was cloth of gold Drawn to her waist, and she herself in white All
but
her face, and that clear-featured face Was lovely
and that clear-featured face Was lovely, for she did not seem as dead
But
fast asleep, and lay as tho’ she smiled. 1539.
noises of the northern sea. So flash’d and fell the brand Excalibur :
But
ere he dipt the surface, rose an arm Clothed in w
those three queens Put forth their hands, and took the king and wept.
But
she that rose the tallest of them all And fairest
round earth is every way Bound by gold chains about the feet of God.
But
now farewell. I am going a long way With these th
ere falls not hall, or rain or any snow, Nor ever wind blows loudly ;
but
it lies Deep-meadow’d, happy, fair with orchard-l
uelle gaieté, bon Dieu ! pourrait-il y avoir dans mon exposition ? Le
but
sérieux que je me proposerais d’examiner et de ré
les facultés de notre âme sont dirigées vers quelque but14. Quand ce
but
concentre tellement toutes nos forces intellectue
ors le sérieux nous domine et nous possède exclusivement, et quand ce
but
est un objet infini, l’accomplissement d’un devoi
nstitue le sérieux, c’est donc la direction de notre activité vers un
but
, et ce qui élève le sérieux jusqu’au tragique, c’
qui élève le sérieux jusqu’au tragique, c’est le caractère infini du
but
proposé à notre activité. La tragédie, en nous of
évère. Le poète marche rapidement et nous entraîne à sa suite vers un
but
qu’il ne perd pas de vue, et qu’il nous fait entr
e sérieux, et la gaieté ne peut s’épanouir librement que lorsque tout
but
sérieux est écarté, et toute impression sérieuse
r, qui est dans cet état, aime à promener ses regards vaguement, sans
but
et sans suite, sur une infinie diversité de chose
t flagelle Euripide dans Les Grenouilles. Mais il ne prend jamais son
but
au sérieux à la manière des auteurs de la comédie
comédie nouvelle, parce que la gaieté, qui, à vrai dire, est son seul
but
, ne le souffrirait pas, parce que toute unité d’i
ait du Bourgeois gentilhomme un poème, c’est son indépendance de tout
but
pratique, indépendance relative sans doute (car q
osaïques par l’imitation de la vie réelle, elles le sont aussi par le
but
pratique, positif et moral qu’elles se proposent,
s sentiments moraux et pathétiques qu’elle éveille, soit enfin par le
but
pratique qu’elle se propose, il n’y a plus de com
afin que l’inspiration comique ne se refroidisse pas, il faut que ce
but
soit tourné en plaisanterie, et que l’impression
objets mêmes qu’il présente . — Septième leçon. 31. La gaieté sans
but
, véritable inspiration du génie comique. — Douzi
festa une tendance vers l’instruction pratique, c’est-à-dire, vers le
but
d’enseigner aux hommes à bien arranger leur vie b
ques. — Septième leçon. 47. Si le sérieux gagne du terrain dans le
but
général de la composition, comme dans l’intérêt e
nt le sérieux. — Septième leçon. 102. Acte IV, scène iii. 103. Le
but
de l’auteur a été de peindre à fond un caractère
e les ordres, les classes, les sectes, etc., extrêmement utiles à tel
but
désigné, mais beaucoup moins favorables que les e
aux-arts, les hommes éclairés n’ayant plus de route à suivre, plus de
but
, plus d’avenir, se laissent aller au découragemen
ls professaient, ont toujours eu leur gloire personnelle pour premier
but
. L’Arioste, de même que le Boyard, est imitateur
Italiens n’ont pensé qu’à faire rire en composant leurs pièces ; tout
but
sérieux, même déguisé sous les formes les plus lé
la religion ; ils n’ont pas, comme quelques-uns de nos écrivains, le
but
de réformer les défauts dont ils plaisantent ; ce
, excepté ceux qui traitent des sciences physiques, n’ont jamais pour
but
l’utilité ; et dans quelque genre que ce soit, ce
ont jamais pour but l’utilité ; et dans quelque genre que ce soit, ce
but
est nécessaire pour donner aux pensées une force
il est. Le comique, c’est à la fois l’extravagance de la volonté sans
but
et sans règle, qui échoue parce qu’elle vogue à l
ue son entreprise, bien que l’ambition de ce héros poursuive un grand
but
: cependant il faut que cet ambitieux et que ces
ple spectacle de la contradiction des moyens qu’ils emploient avec le
but
qu’ils poursuivent, du néant de leur absurdité av
théâtre de Molière. — L’avarice est un excellent thème de comédie. Le
but
que veut atteindre un avare est contradictoire. I
é sous la forme de la représentation sensible, et à ce titre il a son
but
en lui-même dans cette représentation et cette ma
du avec le vrai comique. Tout contraste entre le fond et la forme, le
but
et les moyens peut être risible. C’est une contra
st une contradiction par laquelle l’action se détruit elle-même et le
but
s’anéantit en se réalisant. Mais, pour le comique
ne perd pas sa bonne humeur pour avoir manifesté le contraire de son
but
. … On doit bien distinguer si les personnages son
ue qu’autant qu’il ne prend pas lui-même au sérieux le sérieux de son
but
et de sa volonté. Ce sérieux dès lors se détruit
. Le prosaïque, ici, consiste en ce que les personnages prennent leur
but
au sérieux avec une sorte d’âpreté. Ils le poursu
ment parler, de comique. L’avarice, aussi bien quant à ce qui est son
but
que sous le rapport des petits moyens qu’elle emp
autre satisfaction réelle ; tandis que, dans cette impuissance de son
but
comme de ses moyens, de la ruse, du mensonge, etc
ins. Mais, maintenant, si le personnage s’absorbe tout entier dans ce
but
, en soi faux, et cela sérieusement, comme constit
speare sait élever ses caractères par un humour profond, au-dessus du
but
grossier, borné et faux qu’ils poursuivent. Richa
uichotte est, malgré sa folie, parfaitement sur de lui-même et de son
but
; ou plutôt sa folie consiste précisément dans ce
et dans son idée fixe. Sans cette naïve sécurité en ce qui regarde le
but
et le succès de son entreprise, il ne serait pas
idées et de la science pour renouveler les sentiments mêmes. III. Le
but
dernier de l’art est de produire la sympathie pou
t dans l’art. Moyens d’échapper au conventionnel. L’art poursuit deux
buts
distincts : il cherche à produire, d’une part, de
t à l’acoustique et à la physiologie. Si l’art était ramené à ce seul
but
, produire des sensations agréables, son domaine s
t très bien la recherche de la sensation choisie, qu’il croit être le
but
de l’art, mais qui n’en est qu’un des éléments. «
tir au sentiment d’une monotone Maya, d’un spectacle sans fin et sans
but
, d’où on ne retire rien. L’intelligence peut seul
ologiques et humaines. L’art repose sur moins de faits encore, et son
but
est d’accumuler dans le plus court fragment de l’
elles conditions se produit l’émotion sympathique ou antipathique. Le
but
dernier de l’art est toujours de provoquer la sym
n moment, fût-ce à une seule personne, n’a pas entièrement manqué son
but
, puisqu’il a représenté une forme de la vie capab
eilleux des fables et des contes. — Les professions mises en scène. —
But
des fables indigènes. — Sont-ce des satires socia
ignement voulu de morale pratique. Moraliser n’est pas leur principal
but
et s’il leur arrive de formuler un précepte de ce
imaux organisés en société semblable à la sienne mais il n’a pas pour
but
, en adoptant cette conception, de railler, sous u
sivement destinés à l’amusement des auditeurs et n’ont nullement pour
but
d’enseigner la morale, fût-elle uniquement pratiq
eurs s’efforcent seulement de le retrancher. Cette tâche leur fixe un
but
qui, atteint, leur procure de la joie. Mais leur
ption, s’élance constamment vers l’impossible. Son élan, en raison du
but
inaccessible vers lequel il se dirige, est condam
e la vérité, l’homme à tout moment crée le réel. La vérité prise pour
but
est le moyen d’une chose toute différente. Avec c
mme en proie à la passion amoureuse, tandis qu’il croit poursuivre un
but
personnel accomplit le vœu de l’espèce. Cette fin
s millénaires la médaille humaine, le Génie de la Connaissance a pour
but
et pour caprice de pénétrer les lois qui régissen
’il imagine. Il fait appel à la connaissance pour atteindre ce double
but
. Si chimérique que puisse apparaître à quelques e
de chimères, de l’apparition d’une science plus circonspecte, dont le
but
est de vérifier la solidité des matériaux qui fur
n’est pas parvenu à se satisfaire. Tout son labeur a été détourné du
but
initial qu’il s’était proposé et a été utilisé po
r futur. Il apparaît que tout cet effort, dirigé consciemment vers un
but
intéressé, a réalisé un objet différent, convoité
ue dans le premier, l’homme s’efforce en vain, qu’il n’atteint pas le
but
qu’il se propose, que le progrès de la connaissan
mécanisme de cette secrète substitution d’une fin impersonnelle à un
but
intéressé. Le souci de conserver sa force et sa s
de l’homme pour se guérir et se défendre contre la mort, a atteint un
but
différent de celui qui était visé. De même qu’ave
plus qu’une discussion savante. Ces aperçus sont, je le reconnais, le
but
principal qu’il faut se proposer dans la recherch
science de s’y renfermer. Mais l’école ayant en général chez nous un
but
pédagogique ou pratique, réduire la science à ces
philologique qui ne se rapporte à l’usage des classes ou à tout autre
but
universitaire. Étrange cercle vicieux : car, si c
l’instruction et de donner à la première, en dehors de la seconde, un
but
religieux et philosophique. Le savant et le profe
truction devrait suffire ; et, de fait, jusqu’à ce qu’on ait conçu le
but
élevé et philosophique de la science, tant qu’on
Ils ont servi l’artiste, en lui donnant la claire connaissance de son
but
, et ils ont servi à préparer le public à l’accept
es phrases. La musique emploie ici plusieurs moyens pour atteindre ce
but
. Dans le chant, des dessins sur un mot le rendent
second. Il n’en ressortirait du reste aucun principe nouveau, et mon
but
est pleinement atteint si j’ai fait saisir au lec
re l’unité vivante de plusieurs moyens d’expression tendant à un seul
but
, qui est la cause de tous les malentendus. Lorsqu
chaque élément, que le degré dans lequel il est adapté à concourir au
but
total de l’œuvre. Et j’affirme que, mesuré à cet
parole et la musique. On peut dire qu’ici aussi la parole concourt au
but
: ses heurts avec la musique nous remplissent d’a
rgit un nouvel élément : la pitié. C’est par son développement que le
but
sera atteint et que la délivrance de la douleur p
comprendre le « symbole » contenu dans cette œuvre. Pour atteindre ce
but
, nous devons rechercher le moment de la vie de Wa
ben) et la douleur nous y pousse. « Il serait plus exact de placer le
but
de la vie dans la souffrance (Wehe) que dans le b
ehe) que dans le bien-être. Plus on souffre, plus on est près du vrai
but
de la vie. En fait, la douleur est le processus d
et fonder un autre, et Parsifal est la réalisation de ce rêve, de ce
but
qu’il avait indiqué : « Le but est : l’homme fort
l est la réalisation de ce rêve, de ce but qu’il avait indiqué : « Le
but
est : l’homme fort et beau ; la Révolution lui do
sen Irren, jagt’ ein wilder Fluch mich ùmher…) Enfin il l’atteint, ce
but
tant désiré. Il se repose, avant de continuer sa-
.[NdA] 92. je soupçonne MM. Juillets, Schuré, etc., de poursuivre un
but
caché : ils veulent se moquer de ce digne penseur
car l’action suppose la coordination de l’esprit tout entier vers le
but
à atteindre. L’action est la mise en équilibre de
ésente ; la luxure, avec le luxe qui l’accompagne souvent, devient le
but
de la vie, et, pour la satisfaire, il faut de l’o
iolence semble parfois une sorte de monstruosité dans la nature ; son
but
immédiat ne le justifie nullement, et cependant s
ure ; son but immédiat ne le justifie nullement, et cependant sans ce
but
il ne serait pas. Vous figurez-vous quelqu’un qui
liers de la vie universelle. Prendre ainsi le moi pour centre et pour
but
, c’est méconnaître, somme toute, sa réelle grande
l’art, on enlève à la littérature la vie ; on lui ôte toute espèce de
but
en dehors du jeu des formes, et, par cela même, o
rande partie de son caractère agréable de la fin qui la justifie : un
but
de promenade rend la promenade meilleure ; on n’a
ême un doigt sans raison ; il en est ainsi pour tout. Un travail sans
but
exaspère : de là le spleen de ceux qui n’ont pas
n forte révélant au lecteur une puissance chez l’auteur, n’ayant pour
but
que de satisfaire l’orgueil de l’un en même temps
paraissent la doctrine antique des causes finales et la croyance à un
but
défini de l’univers, peut, dit Paul Bourget, nous
besoin, répondrons-nous, d’admettre les antiques causes finales ni un
but
défini de l’univers pour admettre la loi de l’évo
e l’artiste doive se proposer une thèse morale à soutenir, ou même un
but
moral à atteindre par le moyen de l’art ; nous so
; nous sommes loin de condamner « tout emploi du talent poétique sans
but
extérieur à lui »329. Mais les idées les plus éle
onstitutives de l’âme du poète ou de l’artiste. Et pour ce qui est du
but
extérieur, — moralisateur ou utilitaire, — que le
blesse, la sympathie pour le malheur, une élévation d’âme, sans autre
but
que la jouissance même de cette élévation, sont b
u peindre. Les modernes ont dû réunir à cette éloquence, qui n’a pour
but
que d’entraîner, l’éloquence de la pensée, dont l
par une épithète frappante, par une image rapidement tracée, dont le
but
est d’éclaircir l’idée, mais qui agrandit encore
ne magistrature d’instruction parmi les hommes, avaient toujours pour
but
l’enseignement universel ; ils découvraient les é
; il ne lui soumet pas les autres sciences ; il ne fait pas d’elle le
but
de ses recherches, ou la pierre de touche de ses
n’est pas une ouvrière de science, c’est un instrument de morale. Son
but
n’est pas de découvrir le vrai, quel qu’il soit,
et des religions ; il me suffit qu’en pratique elles tendent au même
but
, et contribuent à nourrir dans l’homme les mêmes
ion généreuse. Quelque carrière que vous embrassiez, proposez-vous un
but
élevé, et mettez à son service une constance inéb
écisées et accumulées depuis trente ans. Puisque nous n’avons d’autre
but
que de produire la perfection morale, nous dirons
uissance d’historien et de peintre, et que nous reconnaissons dans le
but
, comme dans toutes les parties de sa philosophie,
ne saurions donc avoir aucune prétention philosophique. Notre unique
but
est et a toujours été de contribuer à faire pénét
n et à la recherche, que l’on tente des essais, des épreuves, dans le
but
d’acquérir des faits dont l’esprit, à l’aide du r
qui procède alors plus rapidement et d’une manière consciente vers un
but
déterminé. Telle est la méthode expérimentale dan
stigation simples ou complexes pour faire varier ou modifier, dans un
but
quelconque, les phénomènes naturels et les faire
contrôle par des observations faites dans des conditions propres à ce
but
. Or cet astronome raisonne comme les expérimentat
ble. Au fond toutes les sciences raisonnent de même et visent au même
but
. Toutes veulent arriver à la connaissance de la l
te de mes convictions à cet égard que je compose cet ouvrage, dans le
but
de contribuer pour ma part à favoriser le dévelop
l’expérimentateur n’en ont pas moins, dans leurs investigations, pour
but
commun et immédiat d’établir et de constater des
tre, c’est-à-dire le provoquer par une raison particulière et dans un
but
déterminé. D’où il suit que l’on peut dire : l’ex
ire : l’expérience n’est au fond qu’une observation provoquée dans un
but
quelconque. Dans la méthode expérimentale, la rec
que, dans ce cas, l’expérience est une observation provoquée dans un
but
de contrôle. Toutefois il importe de rappeler ici
, dans ce cas, l’expérience n’est qu’une observation invoquée dans un
but
de contrôle. D’où il résulte que, pour raisonner
onc dire alors que l’expérience est une observation provoquée dans le
but
de faire naître une idée. En résumé, l’investiga
deux qualités de l’esprit qui sont indispensables pour atteindre son
but
et arriver à la découverte de la vérité. D’abord
trouver les conditions expérimentales les plus propres à atteindre le
but
qu’il se propose. Il faut nécessairement expérime
par la réunion de toutes les parties de la méthode concourant vers un
but
commun. Ceux qui recueillent des observations ne
tout raisonnement scientifique, et c’est elle qui en est également le
but
dans l’aspiration de l’esprit vers l’inconnu.
s, et qu’il ne peut connaître que des relations. C’est là en effet le
but
unique de toutes les sciences, ainsi que nous le
vent des faits très importants, parce qu’ils ne concourent pas à leur
but
. C’est ce qui nous a fait dire ailleurs qu’il ne
nt dans les résultats de leurs expériences que ce qui convient à leur
but
en négligeant ce qui ne s’y rapporte pas, et en é
ous avons émis une idée ou une théorie, nous ne devons pas avoir pour
but
de la conserver en cherchant tout ce qui peut l’a
rect qu’il connaît et voit dans toute son étendue, il marche vers son
but
d’un pas sûr et rapide. Quand au contraire un hom
dans ce qui précède examiné les différents termes, se propose le même
but
dans toutes les sciences. L’expérimentateur veut
se réduit à ceci : Prévoir et diriger les phénomènes. Mais ce double
but
ne peut être atteint dans les corps vivants que p
ique-chimiques. En effet, ainsi que nous l’avons dit précédemment, le
but
que se propose la méthode expérimentale est le mê
t uniquement dans l’application de l’expérimentation ; car au fond le
but
et les principes de la méthode restent toujours e
ncipes de la méthode restent toujours exactement les mêmes. IV. Le
but
de l’expérimentation est le même dans l’étude des
ent dans la matière vivante, ils ne diffèrent cependant pas, quant au
but
qu’ils veulent atteindre. En effet, l’un et l’aut
qu’ils veulent atteindre. En effet, l’un et l’autre se proposent pour
but
commun de remonter à la cause prochaine des phéno
on physique et matérielle de son existence ou de sa manifestation. Le
but
de la méthode expérimentale ou le terme de toute
t sa manifestation, la favoriser ou l’empêcher à volonté. Dès lors le
but
de l’expérimentateur est atteint ; il a, par la s
nous donne le rapport numérique de l’effet à sa cause, et c’est là le
but
auquel s’arrête la science. Lorsqu’on possède la
st là la seule chose qu’il puisse étudier et connaître. En résumé, le
but
de la science est partout identique connaître les
tique connaître les conditions matérielles des phénomènes. Mais si ce
but
est le même dans les sciences physico-chimiques e
cience. La physiologie et la médecine expérimentale n’ont pas d’autre
but
. Le physiologiste et le médecin, aussi bien que l
ourd’hui l’histologie, en approchant naturellement de plus en plus du
but
. Quoiqu’on puisse parvenir à décomposer les parti
sence ou le pourquoi des choses. En cela nous visons plus loin que le
but
qu’il nous est donné d’atteindre ; car l’expérien
tances simples dans lesquelles il se manifeste, nous avons atteint le
but
scientifique que nous ne pouvons dépasser. Quand
plus, que le déterminisme relatif d’un phénomène étant établi, notre
but
scientifique est atteint. L’analyse expérimentale
es les plus erronées. Nous avons vu dans le chapitre précédent que le
but
de la méthode expérimentale est d’atteindre au dé
déterminent les uns les autres en s’associant ou se combinant pour un
but
final commun. Or l’objet essentiel pour le physio
’est la généralisation qui conduit à la loi des phénomènes et au vrai
but
scientifique. Seulement, il faut savoir que toute
examinerons quelques questions générales et nous poserons ensuite le
but
scientifique que se proposent les vivisections. D
s sanglots les plus émouvants, parce qu’il ne voit que son idée et le
but
de son opération. De même encore l’anatomiste ne
es lois que la nature lui présente dans la formation de ces types. Le
but
du zoologiste est la classification des êtres d’a
nécessairement dans la physiologie spéciale ou générale, puisque son
but
devient le même. On ne distingue les diverses sci
ne distingue les diverses sciences biologiques entre elles que par le
but
que l’on se propose ou par l’idée que l’on poursu
s un cadre nosologique30. » Personne, je pense, ne considérera que ce
but
doive être celui de la médecine entière ; ce n’es
ui peuvent l’environner. Or, l’expérimentation comparative atteint ce
but
en ajoutant dans un organisme semblable, qui doit
s. Cette application des mathématiques aux phénomènes naturels est le
but
de toute science, parce que l’expression de la lo
fficile en médecine à cause de la complexité des phénomènes ; mais le
but
du médecin savant est de ramener dans sa science
que son action ou sa puissance : c’est là son caractère, c’est là son
but
. Il est nécessaire ici de développer ma pensée. J
connaissances humaines veut que les sciences expérimentales soient le
but
, et cette évolution exige que les sciences de cla
bre d’exemples qui m’ont paru les plus convenables pour atteindre mon
but
. Dans tous ces exemples, je me suis, autant que p
fait nouveau qu’avait engendré l’expérience et qui était étranger au
but
expérimental que je poursuivais dans cette même e
spontanément, soit à l’occasion d’une expérience faite dans un autre
but
. Mais il arrive encore un autre cas, c’est celui
bstance du globule du sang. Ici l’analyse expérimentale a atteint son
but
. C’est un des rares exemples en physiologie que j
res à reconnaître et à poursuivre dans l’économie. J’injectai dans ce
but
des dissolutions de sucre de canne dans le sang d
lors beaucoup de physiologistes ont répété la même opération dans le
but
de vérifier ou d’expliquer les modifications de l
a Médecine expérimentale. La médecine expérimentale diffère dans son
but
de la Médecine d’observation de la même manière q
d’observation, en général, diffèrent des sciences expérimentales. Le
but
d’une science d’observation est de découvrir les
es phénomènes astronomiques, mais nous ne saurions rien y changer. Le
but
d’une science expérimentale est de découvrir les
des phénomènes naturels, non seulement pour les prévoir, mais dans le
but
de les régler à son gré et de s’en rendre maître
ne qui observe et prévoit le cours des maladies, mais sans avoir pour
but
d’agir directement sur leur marche70. Sous ce rap
cuper. Ensuite on apportait des observations de malades, parfois sans
but
scientifique précis, d’autres fois pour montrer q
ntifique parmi les médecins. La seule chose à faire pour atteindre ce
but
est, selon moi, de donner à la jeunesse une solid
livrait à des considérations physiologiques et pathologiques dans le
but
d’établir un traitement convenable pour obtenir l
nre, parce que la conservation de la vie de l’homme doit être le seul
but
de la médecine. Mais cependant le médecin se trou
ppocratistes et des médecins empiriques en ce qu’au lieu d’avoir pour
but
l’observation des maladies et la constatation de
s phénomènes vitaux est la seule base de la médecine scientifique. Le
but
d’un médecin expérimentateur est de découvrir et
médecine, je ne fais donc que chercher à diriger les esprits vers un
but
que la science poursuit instinctivement et à son
s études pratiques et les études théoriques concourront ainsi au même
but
; c’est tout ce que l’on peut demander dans une s
le rôle d’un maître doit se borner à montrer clairement à l’élève le
but
que la science se propose, et à lui indiquer tous
ibre de se mouvoir à sa manière et suivant sa nature pour parvenir au
but
qu’il lui a montré, sauf à venir à son secours s’
t la cause, et le crime, qui n’était d’abord que le moyen, devient le
but
. Cet horrible état demande une explication partic
qu’il est impossible d’expliquer toutes ses actions par l’intérêt du
but
qu’il veut atteindre : le crime appelle le crime
aits, mais lorsqu’ils sont arrivés à un certain excès, il n’est aucun
but
qu’ils ne dépassent ; l’action du lendemain est c
u’il ne peut supporter, le repos. Tantale, approchant sans cesse d’un
but
qui s’éloigne toujours devant lui, peint le suppl
réel. À défaut de cette vérité objective qui eût pu être prise comme
but
, comme principe directeur et comme terme de compa
s la durée une suite de mouvements semblables et dirigés vers un même
but
. Ces faits de convergence et de répétition sont l
ister dans l’existence : « Qu’il faille que je sois lutte, devenir et
but
et contradiction des buts »22, tel est l’aveu sec
« Qu’il faille que je sois lutte, devenir et but et contradiction des
buts
»22, tel est l’aveu secret que murmure la Vie à l
indépendance politique. Après une longue et terrible lutte, ces deux
buts
furent atteints. La paix de 1648 assura aux prote
dualité disparaît dans l’homme, en raison de ce qu’il cesse d’être un
but
, et de ce qu’il devient un moyen. Cependant l’ind
profession que celle des armes, ayant pour vertu le courage, et pour
but
, le plaisir du jour. Il serait impossible de tran
pour les tragiques français. Plus les écrivains d’une nation ont pour
but
exclusif de faire effet, plus ils doivent être as
es sévères. Sans ces règles, ils multiplieraient, pour arriver à leur
but
, des tentatives dans lesquelles ils s’écarteraien
de la cour. Cette scène, dans laquelle Tersky, pour les amener à son
but
, leur rappelle tous les bienfaits qu’ils ont reçu
favorisaient ses propres entreprises, et marchant souvent contre son
but
, en se laissant entraîner par son caractère. Je n
que nous cache la vie commune, serait-il à la fois sans cause et sans
but
? La raison, sans doute, ne peut l’expliquer. Lor
ines, c’est-à-dire ayant pour effet d’égarer notre raison, ayant pour
but
de nous procurer des jouissances. Les Allemands v
ureux, il le fut toujours1170. Il faisait si bien de l’amour le grand
but
de la vie, que, dans le club qu’il fonda avec les
1140. I read farming books, I calculated crops ; I attended markets,
but
the first year, from unfortunately buying bad see
n quatre volumes. 1143. I had felt early some stirrings of ambition,
but
they were the blind groping of Homer’s Cyclops ro
y object gives me more — I do not know if I should call it pleasure —
but
something which exalts me, which enraptures me mo
y hawthorn twig that shot across the way, what heart, at such a time,
but
must have been interested for his welfare ? 1148
e so bien an’ snug : I tent less and want less Their roomy fire-side,
But
hanker and canker To see their cursed pride. It’s
the heart devout, Like cantharidian plasters, On sic a day ! 1159.
But
now the Lord’s ain trumpet touts, Till a’ the hil
, An’ think they hear it roarin’, When presently it does appear ‘Twas
but
some neibor snorin’ Asleep that day. 1160. How
1161. An honest man may like a glass, An honest man may like a lass,
But
mean revenge and malice fausse He’ll still disdai
ot, From the gilded spontoon to the fife I was ready, I asked no more
but
a sodger laddie. 1166. A fig for those by law
st is In moral mercy, truth and justice. 1168. I doubt na, whyles,
but
thou may thieve ; What then ? poor beastie, thou
ck be your fa’ !) An’ gied the infant world a shog, ‘Maist ruin’d a’…
But
fare you weel, auld Nickie-ben ! O wad ye tak a t
ourse with the Deity… You may perhaps think it an extravagant fancy ;
but
it is a sentiment that strikes home to my very so
th.) 1178. I might write you on farming, on building, on marketing.
But
my poor distracted mind is so torn, so jaded, so
or pigeon not worth plucking… As to my individual self I am tranquil.
But
Burns’ poor widow and half a dozen of his dear li
e hour of my birth ; lifting up my eyes to heaven not as a suppliant,
but
in the hellish spirit of rancorous reproach and b
in state. His antic gesticulations would be unseasonable at any rate,
but
more specially so, if they should distort the fea
should distort the features of the mournful attendants into laughter.
But
the mind long wearied with the sameness of a dull
g that may make a little variety in its contemplations though it were
but
a kitten playing with her tail. 1191. My device
without the rose. My brier is a wintry one, the flowers are withered,
but
the thorn remains. 1192. He comes, the herald o
loud-hissing urn Throws up a steamy column, and the cups, That cheer
but
not inebriate, wait on each, So let us welcome pe
r’s drowned already, and an ye fa’ over the cleugh too, there will be
but
a wig left in the parish, and that’s the minister
r milieu, — aient été préparées et éduquées par la Providence pour un
but
déterminé, but plus ou moins élevé, plus ou moins
nt été préparées et éduquées par la Providence pour un but déterminé,
but
plus ou moins élevé, plus ou moins rapproché du c
rizon de l’art, il se fit une grande révolution. Sans analyser ici le
but
qu’ils poursuivirent, sans en vérifier la légitim
’ils ne l’ont pas outrepassé, constatons simplement qu’ils avaient un
but
, un grand but de réaction contre de trop vives et
pas outrepassé, constatons simplement qu’ils avaient un but, un grand
but
de réaction contre de trop vives et de trop aimab
ités que je ne veux pas non plus apprécier ni caractériser ; — que ce
but
ils le visèrent avec persévérance, et qu’ils marc
enant, pour reprendre le cours régulier de notre analyse, quel est le
but
de M. Ingres ? Ce n’est pas, à coup sûr, la tradu
gions supérieures, un entraînement, un vol irrésistible vers le ciel,
but
de toutes les aspirations humaines et habitacle c
la raison naturelle, perdent leur effet dès qu’elles atteignent leur
but
, la réformation de l’ordre social. Les Grecs se m
ant plus d’utilité, n’auront plus d’intérêt. Celles même qui ont pour
but
, comme dans Candide, de se moquer de l’espèce hum
quable des sujets nouveaux que peut traiter la comédie, et du nouveau
but
qu’elle doit se proposer. Dans Le Misanthrope, c’
Quand les qualités qu’on possède ne suffisent pas pour atteindre à ce
but
, l’on a recours au vice pour se faire remarquer ;
nt profond. Toutes les affections des hommes pensants tendent vers un
but
raisonnable. Un écrivain ne mérite de gloire véri
faire parler la passion. Une progression constante dans les idées, un
but
d’utilité doit se faire sentir dans tous les ouvr
ntéresser, ne peuvent atteindre à cet objet même qu’en remplissant un
but
philosophique. Les romans qui n’offriraient que d
ises sur les noms substantifs ou des marques sur des marques, dans le
but
de limiter la signification du substantif, et au
nd ; elle n’a rien d’agréable en elle-même. Tout le plaisir dérive du
but
. La même chose a lieu pour le marchand. Le but du
t le plaisir dérive du but. La même chose a lieu pour le marchand. Le
but
du mathématicien et du physicien c’est la recherc
et objet et sont, ou ne sont pas, une source de plaisirs selon que le
but
est ou n’est pas atteint. Mais le cas du poëte es
uite d’idées est sa propre fin. Elle est tout entière agréable, ou le
but
est manqué31. » La mémoire, de l’avis de tous ce
et indistincte, mais non pas intelligible pour cela. » C’est dans le
but
de dénommer, et de dénommer avec une plus grande
a utile au public, et diminuera le nombre des hypocrites. C’est notre
but
et c’est le vôtre, et le recueil de vos caractère
r les côtés de sa tête chauve, sorte de plantation de pins ayant pour
but
de protéger contre le vent la surface luisante, t
change to blue ; a brightness so intense that there was nothing else
but
light ; and then the deepest and profoundest dark
wreaking its vengeance on such poor creatures as the fallen leaves ;
but
this wind happening to come up with a great heap
in defiance of the Tables of the Law, which look so fair and smooth,
but
are so flawed and broken. Ugh ! Heaven preserve u
! It has an awful voice, that wind at Midnight, singing in a church !
But
high up in the steeple ! There the foul blast roa
tion for gardeners, and those who are learned in the loves of plants.
But
, that it was a good thing for that same paved yar
ring shades ; making of no account the deep reflections of the trees,
but
scampering on through light and darkness, all the
ouds too ! And a mist upon the Hollow ! Not a dull fog that hides it,
but
a light airy gauze-like mist, which in our eyes o
vapour ; emerging now upon our broad clear course ; withdrawing now,
but
always dashing on, our journey is a counterpart o
d hustled, and lifted off his feet, as to render it a state of things
but
one degree removed from a positive miracle, that
343. “Now, what I want is, Facts. Teach these boys and girls nothing
but
Facts. Facts alone are wanted in life. Plant noth
at it was, — all helped the emphasis. “In this life, we want nothing
but
Facts, Sir ; nothing but Facts !” The speaker, an
the emphasis. “In this life, we want nothing but Facts, Sir ; nothing
but
Facts !” The speaker, and the schoolmaster, and t
dgrind, or Joseph Gradgrind (all suppositious, non-existant persons),
but
into the head of Thomas Gradgrind — no, Sir ? In
e ces expressions un peu ambitieuses, le système de l’historien et le
but
de l’artiste à travers la création telle quelle d
ur de l’architecture nationale. C’est là, l’auteur le déclare, un des
buts
principaux de ce livre ; c’est là un des buts pri
teur le déclare, un des buts principaux de ce livre ; c’est là un des
buts
principaux de sa vie. Notre-Dame de Paris a peut
nt les cupidités individuelles du pouvoir, toutes ces agitations sans
but
, qui faisaient bouillonner sans cesse la France e
, entre des ministres, racoleurs de factions, coureurs de majorité au
but
des portefeuilles dans le stade de la rue de Bour
ns et des crimes à travers lesquels elle a perdu son caractère et son
but
, et de rappeler ainsi la France de 1840 à la phil
dividus, sont tenus de faire honnêtement les choses honnêtes ; que le
but
ne justifie pas les moyens, comme le prétendent l
ire et à le contenir la veille d’une prochaine révolution. » Voilà le
but
moral que je me proposais en pensant d’avance à c
e de raison, me passionnaient encore à distance et me paraissaient le
but
dépassé, mais le but idéal de la Révolution, auqu
onnaient encore à distance et me paraissaient le but dépassé, mais le
but
idéal de la Révolution, auquel il fallait ramener
e s’y présentait comme une possibilité improbable plutôt que comme un
but
arrêté ou même désirable encore ; seulement je vo
une que l’autre et dont l’une ne peut subsister sans l’autre. Dans ce
but
, je voulais que les classes laborieuses eussent,
ils ont été créés. « Le caillou, la plante, ne sentent pas dans quel
but
ils existent ; ils n’ont ni bonheur ni malheur qu
de notre raison. Je ne vous promets pas de trouver la solution ; mon
but
seulement est de faire des essais sur cette reche
hommes réunis en société par la religion, je les vois marcher vers un
but
commun, une destinée commune, auxquels ils croien
umaine sont classés, prévus, ordonnés par une théorie générale, où le
but
de l’action sociale est nettement défini ; l’autr
n’en possèdent presque point de modèles, et leurs livres n’ont qu’un
but
à la fois, l’utilité ou l’agrément. Les Anglais,
rs, dans sa résistance même, les égards nécessaires pour arriver à ce
but
. Le point d’honneur met nécessairement aussi quel
uence de Démosthène n’aurait pas de proportion avec l’auditoire et le
but
: les témoins comptés et connus qui environnent d
ifs qu’ils développent, le sens positif des paroles s’écarte moins du
but
, et permet moins de s’égarer. La langue de la pro
pensée. Son avenir est le prix du présent, tout se rapportant au même
but
, a le même degré d’intérêt. La vie se passe au-de
tisfasse la passion dans son besoin indéfini d’espoir, d’avenir et de
but
? Si ce siècle est l’époque où les raisonnements
d’en être seulement la ressource, cette dévotion, considérée comme le
but
auquel tous doivent tendre, et comme la base de l
relevé qui, sans influer sur chaque détail de la vie, anoblissent son
but
, donnent au sentiment et à la pensée quelques poi
s volontés et, par cela même, la convergence des actions vers un même
but
. C’est ce qu’on peut appeler la synergie sociale.
lle, de la patrie, de l’humanité et même du monde. L’éducation a pour
but
de préparer cette coopération par une continuelle
même, que celui des critiques de profession. IV. — L’art, ayant pour
but
d’établir un lien de société sensible et de sympa
ar Claëtz. En outre il est des types proprement sociaux, qui ont pour
but
de représenter l’homme d’une époque dans une soci
tir au sentiment d’une monotone Maya, d’un spectacle sans fin et sans
but
. En outre, elle fait de l’art quelque chose de co
e la rendre vraisemblable. L’écueil est de confondre le moyen avec le
but
; or le réalisme, trop souvent, donne pour but à
ondre le moyen avec le but ; or le réalisme, trop souvent, donne pour
but
à l’art ce que Guyau appelle « un idéal quantitat
Le mouvement, comme signe extérieur de la vie et moyen de l’art. — Le
but
le plus haut de l’art est de produire une émotion
tat se produit, quand l’utile nous transporte d’avance au terme et au
but
, la finalité devient beauté. Il est à remarquer q
gré élémentaire de beauté, car nous sympathisons avec tout ce quia un
but
social et humain, avec, tout ce qui est ordonné e
et nue, mais une intelligence suivant une direction, se proposant un
but
, faisant effort pour y arriver, écartant les obst
motion sociale, mais elle se distingue de l’émotion esthétique par le
but
qu’elle poursuit et impose à la volonté : réalise
toute différente : pour eux, la sensation pure et simple n’est pas le
but
; elle est un moyen de mettre l’être sentant en c
en la faisant se confondre avec une vie plus large et universelle. Le
but
le plus haut de l’art est de produire une émotion
es, en effet, étoient intéressés à le connoître & à l’étudier. Le
but
que l’Auteur s’y propose, est de développer les e
en se trompant, ressemble à ces Voyageurs, qui, sans être parvenus au
but
qu’ils s’étoient proposé, ont découvert sur la ro
les alimens qui les nourrissent, les ressources qu’ils déploient, le
but
qu’ils se proposent, & les moyens qu’ils mett
aucoup de peine pour compiler tout ce qui pouvoit avoir rapport à son
but
; mais il manquoit d’ordre & de critique. Il
l donna enfin le sien en 1693. & il eut le plus grand succès. Son
but
avoit été d’exposer en peu de mots les principale
venir, a tâché de n’avoir d’autre intérêt que celui de la vérité. Son
but
a été d’exposer sans flatterie & sans amertum
ique, et dans la lassitude d’un effort dont tous n’aperçoivent pas le
but
immédiat, il est arrivé que plus d’un ait pris en
l’industrie, par exemple, ou même la science exprime l’homme dans un
but
et par des moyens d’utilité immédiate et d’invest
mmédiate et d’investigations successives, la poésie l’exprime dans un
but
et par des moyens d’inutilité apparente et de sat
otre regard l’idée de Dieu. Quant à cette idée en elle-même, c’est le
but
qui ne sera jamais atteint : pure notion métaphys
ure, reste isolée dans notre littérature non pas précisément comme un
but
, mais comme une précieuse indication directrice.
. L’évolution est la loi du monde : tout ce qui vit se meut vers un
but
ignoré. C’est la loi de la société humaine comme
in vers l’idéal moral et matériel de la vie. * * * La Vérité est le
but
de nos esprits : la vérité métaphysique et physiq
qu’elles soient des progrès réels si nous savons les employer vers le
but
suprême de la vie, lequel est hors de l’espace et
faut le constater, cette exaltation de l’égoïste souci de soi dans un
but
, non pas de développement spirituel et moral, mai
irituelle des temps futurs. Car les savants n’ont détruit que dans le
but
d’édifier. Il y aurait lieu de se demander s’ils
nction au passage terrestre. Mais dès que la raison se rend compte du
but
des commandements et des prohibitions des révélat
la jeunesse selon des doctrines et des programmes bâtards et dans un
but
de sanction immédiate qui bannit fatalement des j
ette ombre est la réalité de notre vie. Mais enfin nous atteignons le
but
, la lumière nous absorbe : pourquoi nous plaindri
héories imaginaires de ces législateurs des rêves, qui, en plaçant le
but
hors de portée parce qu’il est hors de la vérité,
ement ? Est-ce en vertu d’un vil intérêt purement matériel et dans le
but
seulement d’un plus grand bien physique, que ce c
en germe une loi ; une loi, non pas seulement physique, donnant pour
but
à la société politique la satisfaction brutale de
ps, mais une loi morale et religieuse, donnant à la société civile un
but
intellectuel, moral et divin de civilisation des
cellé entre l’homme et Dieu. Le véritable contrat social n’a pas pour
but
seulement le corps de l’homme, il a pour but auss
trat social n’a pas pour but seulement le corps de l’homme, il a pour
but
aussi et surtout l’âme humaine, il est spirituali
action des besoins du corps humain sur cette terre ; mais elle a pour
but
surhumain la grandeur et la glorification de l’âm
r fourmilière, renversant ou bâtissant d’autres fourmilières, soit le
but
d’une âme plus vaste que l’espace, et que Dieu se
er, de posséder les meilleures choses, toute la frénésie qui fixe des
buts
à l’activité et développe l’énergie par la concur
elà cette limite elle fait plier l’idée. Celle-ci, qui se donne comme
but
absolu, est reléguée à n’être qu’un moyen. À vrai
pour la plus grande force de la nation. Elle ne va pas au-delà de ce
but
précis. Construit par la collectivité à l’époque
n, parce que cette invention lui était personnelle et n’avait d’autre
but
que son utilité, inventait aussi d’autres attitud
itude d’utilité anglo-saxonne, s’efforce d’établir la supériorité des
buts
économiques et commerciaux sur les visées de supr
n de l’idée générale, on nous suggère de diriger nos efforts vers des
buts
qui ne nous stimulent que faiblement, on nous con
s prévoyaient y rencontrer des facilités pour améliorer leur état. Un
but
déterminé les stimule et accroît leur énergie. Ve
oi qu’une telle constatation n’est point faite en cette étude dans un
but
de polémique. Mais il n’a pas semblé qu’un exempl
ces derniers temps. Dans l’anxiété où l’on est, dans l’incertitude du
but
où la société européenne est poussée, on est allé
urtant, M. de Tocqueville l’a composé en vue de notre Europe, dans un
but
élevé d’enseignement, et sous l’impression, comme
t sur son chemin, mais sans direction jusqu’ici, sans conscience d’un
but
à atteindre, et de plus en plus pareille à un enf
sa préoccupation de l’Europe en écrivant sur l’Amérique, n’a pas pour
but
de conclure directement de l’une à l’autre ; il l
ations qui s’emparent d’une âme violemment émue, le danger, même sans
but
, est un plaisir pendant la durée de l’action. San
ressortir la personnalité. Aimer l’argent, pour arriver à tel ou tel
but
, c’est le regarder comme un moyen, et non comme l
x et vil. Comment avoir l’idée de cette fureur de personnalité ? Quel
but
que soi pour sa propre vie ! quel homme peut se c
es cosmogoniques, ethniques et zoologiques des noirs. — Conclusion. —
But
de l’auteur : planter des jalons pour faciliter l
rit d’association. — Le noir a-t-il tendance à s’associer en vue d’un
but
à atteindre ? Il semble assez sceptique quant aux
tranger et Ybilis. Peut-être, il est vrai, ces sarcasmes ont-ils pour
but
de stimuler la vanité de ceux qui font passer leu
oir — ceci résulte de sa littérature même — voit à l’existence divers
buts
, presque tous matériels d’ailleurs : La conquête
pouvoir, celle de la fortune, celle de la femme désirée. Le quatrième
but
répond à ses instincts de vanité : c’est la conqu
vanité : c’est la conquête de la considération131. Pour atteindre ces
buts
divers, le noir sacrifiera tout, même sa vie qu’i
t de la vengeance. Il est des passions qui n’ont pas précisément de
but
, et cependant remplissent une grande partie de la
La passion de l’envie n’a point de terme, parce qu’elle n’a point de
but
; elle ne se refroidit point, parce que ce n’est
c’est à combattre les mouvements involontaires qui entraînent vers un
but
condamnable, que la raison est particulièrement d
qui se tire de la nature essentielle des choses et de leur rapport au
but
suprême de l’œuvre. On peut appliquer à tout réci
fin le sujet, c’est-à-dire pousser l’action et les caractères vers un
but
où l’une s’achève et les autres se complètent, de
actère dramatique, cette exacte combinaison de détails rapportés à un
but
unique, et placés pour produira leur plus grand e
eux personnes conversent, dit très bien M. Taine, vont-elles droit au
but
? Le discours ne traîne-t-il pas en détails inter
(ce sont ses expressions). Cette journée du 20 octobre avait eu pour
but
ou pour prétexte de faire passer le gouvernement
s, celui-ci lui dit « que jusque-là on avait gouverné au hasard, sans
but
comme sans principes, et qu’il n’en serait plus d
. Fouché aurait répondu « qu’il était temps que cette démocratie sans
but
et sans règle fît place à l’aristocratie républic
était possible, vous en seriez ; mais que nous sommes encore loin du
but
! » — « Je lui parlai alors de Joubert, ajoute Fo
journée de Novi. La bataille n’était pas nécessaire, elle était sans
but
, et l’eût-on gagnée par l’infanterie sur les haut
e d’un sentiment délicieux ; la vie qui pèse était entraînante, et le
but
, qui toujours paraît au-dessous des efforts, semb
’expose à recevoir la mort de ses propres affections. Mais le premier
but
qu’on doit se proposer, en s’occupant du sort des
eât tout-à-la-fois des remords et des incertitudes. Quand on n’a pour
but
que son propre avantage, comment peut-on parvenir
our dont leur âme est épouvantée. Une sorte de trouble sans fin, sans
but
, sans repos, s’empare de leur existence, les unes
mé ; le cœur des femmes est inépuisable en regrets, les hommes ont un
but
dans l’amour, la durée de ce sentiment est le seu
eu. Il ne va pas au-delà. Pourtant le surhomme ne saurait être que le
but
immédiat de l’homme, non le but final de l’univer
nt le surhomme ne saurait être que le but immédiat de l’homme, non le
but
final de l’univers. Lui aussi, il devra se surmon
evue à l’extrémité de son axe ou à l’un de ses foyers. La marche a un
but
qu’on atteindra ou dont on approchera. Mais seul
t elle se continue ensuite vers une sorte de perfection contraire. Le
but
, ne serait-ce pas la résurrection de ce Dieu qui
nsi l’univers, délivré tout à l’heure de la causalité, de l’ordre, du
but
, est pris maintenant dans la nécessité plus forte
ne peuvent reproduire, en sorte que toute leur énergie, détournée des
buts
accessibles et stimulée vers l’impossible, se dis
évaluation rigoureuse : il grandit avec l’écart qui se forme entre le
but
qu’ils se sont volontairement assigné et le but v
qui se forme entre le but qu’ils se sont volontairement assigné et le
but
vers lequel les aimantait spontanément une vocati
ainsi que Rodolphe Boulanger, en séducteur préoccupé seulement de son
but
, accepte bien de jouer le rôle sentimental que sa
ers, Arnoux croit sans peine qu’il a acquis, avec la connaissance des
buts
, l’aptitude qui le prédispose à les atteindre tou
nnaît, elle se forge une fausse conception de son pouvoir, visant des
buts
qu’elle ne peut toucher, se réalisant toujours se
t dupe ici de ses procédés : elle prend pour une route tracée vers un
but
fixe auquel elle aboutirait, ce sens de la causal
ne l’a pas encore produit. L’unique tentative d’acheminement vers ce
but
se rencontre peut-être dans les meubles de M. Car
descendant chromatiquement, le flot sonore doit couler sans bords ni
but
reconnaissables, et faire apparaître parfois au r
longer dans la perpétuelle ébriété de phantasmes à perte de vue, sans
but
ni rive, et il n’a presque jamais la force d’inhi
nité, par des sentiers propres qu’ils ont trouvés eux-mêmes, vers des
buts
nouveaux, mais ces buts sont des abîmes ou des dé
ropres qu’ils ont trouvés eux-mêmes, vers des buts nouveaux, mais ces
buts
sont des abîmes ou des déserts. Ils sont des guid
ontemporains, l’entassement, dans les demeures, d’un bric-à-brac sans
but
qui n’en devient ni plus utile ni plus beau pour
nc et des jambes, reçoivent des impulsions motrices qui n’ont d’autre
but
que de me procurer, de l’objet de mon attention,
-ci à leur tour acquerront la puissance d’adapter l’organisme à leurs
buts
. C’est donc seulement par l’attention, comme nous
e ni guidée par l’attention, est capricieuse, dépourvue de plan et de
but
. Les représentations sont appelées à la conscienc
xuels, d’autre centre qui aurait à travailler ainsi pour répondre aux
buts
de l’organisme. Chez le dégénéré, au contraire, q
e façon de lier les représentations d’après le son des mots déjoue le
but
de la pensée, puisqu’au lieu de conduire à la con
de l’attaque. Le mysticisme trouve son image dans les mouvements sans
but
et sans force, souvent simplement esquissés, du t
faiblesse d’esprit innée ou acquise et l’ignorance conduisent au même
but
: le mysticisme. Le cerveau de l’ignorant élabore
arles Swinburne et William Morris. Quels sont les idées-forces et les
buts
du mouvement préraphaélite ? Un critique anglo-al
vante de la théologie ». Le mysticisme de Ruskin se proposait le même
but
avec l’art. La peinture et la sculpture devaient
’elles soient… Plus insuffisants paraissent les moyens par rapport au
but
, et d’autant plus puissante sera l’impression de
fice sublime. L’image produite par l’ombre n’aurait eu non plus aucun
but
, car nul contemporain du Christ n’aurait compris
sprit que l’éveil du printemps crée dans l’âme, et c’est justement le
but
que se proposait le poète. Si, au contraire, Ross
on déterminée et tombe au son sans signification qui n’a plus d’autre
but
que d’éveiller par l’association d’idées toutes s
». Que de ces vers on rapproche encore ceux-ci : « Yet both were ours
but
hours will corne and go » (A new years burden) f
s will corne and go » (A new years burden) f et « Forgot it not, nay,
but
got it not ». (Beauty). Plusieurs des poésies de
stiques communs, aucune visée esthétique claire, et ne poursuit qu’un
but
inavoué quoique facile à reconnaître, — celui de
eulent être reconnus comme caste supérieure. Ils cherchèrent, dans ce
but
, une marque distinctive qui fit voir immédiatemen
devons attendre des renseignements plus complets sur leurs moyens et
buts
. M. Charles Morice nous apprend effectivement : «
es modifications et variations intellectuelles d’un poète, épris d’un
but
déterminé par lui ». Il s’est déjà trouvé en All
nt les griots soudaniens ». Edmond Haraucourt reconnaît clairement le
but
visé par les symbolistes : « Il y a un parti de m
de sa propre rêvasserie, de même que son propre langage n’a pas pour
but
de communiquer une pensée déterminée, mais doit s
r la voie des journaux, à souscrire aux actions d’une société dont le
but
devait rester secret. Il se trouva effectivement
n dont tout écrivain a la notion incontestable mais indiscernable, ce
but
évident et caché qu’il n’atteindra jamais et qu’i
tion de l’homme dans l’univers, de ses rapports avec l’humanité et du
but
de sa vie, une idée qui ressort de toutes ses œuv
n éternelle question, la seule qui signifie quelque chose : Dans quel
but
est-ce que je vis ? — la science me donna des rép
souffre, et qui cependant est tranquille et a des idées nettes sur le
but
de la vie. Je compris que l’on doit vivre comme c
édiatement qu’elle est absurde. Poser ainsi la question : « Dans quel
but
est-ce que je vis », c’est la poser d’une façon d
ce a précisément à exercer sa critique. Pour demander : « Quel est le
but
de notre vie ? », nous devons admettre avant tout
de notre vie ? », nous devons admettre avant tout que notre vie a un
but
déterminé, et comme notre vie n’est qu’un phénomè
hypothèse renferme cette autre, que la vie générale de la nature a un
but
déterminé. Cette hypothèse à son tour présuppose
un esprit conscient, prévoyant et dirigeant. Qu’est-ce en effet qu’un
but
? L’effet voulu, placé dans l’avenir, de forces a
fet voulu, placé dans l’avenir, de forces actives dans le présent. Le
but
exerce sur ces forces une influence, en ce qu’il
tivement, dans le temps et l’espace, car alors il cesserait d’être un
but
futur, il deviendrait une cause présente, c’est-à
on perd immédiatement le droit de poser cette question : « Dans quel
but
est-ce que je vis ? ». Car, alors, elle est une a
lan est certainement parfait, toutes ses parties sont harmoniques, le
but
auquel est employé chaque collaborateur, le plus
un Dieu, on ne peut non plus former l’idée de finalité, car alors le
but
futur, qui ne peut exister que comme idée dans un
’il n’y a pas de finalité, on ne peut non plus demander : « Dans quel
but
est-ce que je vis ? ». Alors la vie n’a pas un bu
nder : « Dans quel but est-ce que je vis ? ». Alors la vie n’a pas un
but
prédéterminé, elle n’a plus que des causes. Nous
ces considérations il résulte que la terrible question : « Dans quel
but
est-ce que je vis ? », qui a presque poussé Tolst
e façon satisfaisante. Le croyant, qui admet que sa vie doit avoir un
but
, vivra conformément à ses inclinations et à ses f
travail qui lui est assignée dans l’univers, même sans connaître les
buts
derniers de celui-ci, absolument comme un soldat
souffre, et qui cependant est tranquille et a des idées nettes sur le
but
de la vie ». « Je compris, ajoute-t-il, que l’on
mystique. « La foule vit tranquille et ayant des idées nettes sur le
but
», non parce qu’elle a une « foi simple », mais p
ire que la majorité « vit tranquille et ayant des idées nettes sur le
but
», parce qu’elle a une « foi simple », cela est t
que cette majorité « vit tranquille et ayant des idées nettes sur le
but
», parce qu’elle mange surtout des pommes de terr
oi, et cherche alors lui-même dans la foi des éclaircissements sur le
but
de sa propre existence. « Je fus amené au christi
. Car si la vie n’est que l’instant présent, elle ne peut avoir aucun
but
, vu que celui-ci nous montre un avenir ; et si le
ent, la victime de ces conditions défectueuses ; l’aumône n’a d’autre
but
, en ce cas, que d’étourdir la conscience de celui
nous l’avons dit, pur amour de soi-même, car il ne se propose d’autre
but
que de s’éviter la douleur et d’accroître ses pro
pourvu de discernement, du mystique émotif, manque nécessairement son
but
, parce qu’il n’a pas pour point de départ la conn
ff développe la théorie délirante suivante de la loi de la vie : « Le
but
de l’homme, comme de l’humanité entière, est le b
ur sensuel, l’union existera alors, et l’humanité, ayant accompli son
but
, n’aura plus de raison d’exister ». Et ses dernie
outes les lois développées historiquement, et qui a consciemment pour
but
d’anéantir l’humanité. L’idée de la combattre ave
des fabriques, s’établir dans la campagne, travailler des mains ; le
but
de tout homme doit être de satisfaire seul tous s
nence. Car il est clair qu’il est inutile de se casser la tête sur le
but
et le contenu de la vie humaine, sur le crime et
contraint Tolstoï à s’occuper incessamment des questions relatives au
but
et à la signification de la vie, mais la maladie
our épouse, une femme déterminée ; mais ce qui, son choix fait et son
but
atteint, le retient dans le mariage, ce n’est plu
llement puiser de riches consolations pour leur vie solitaire et sans
but
, pour leur cruelle exclusion de leurs fonctions n
is seulement des sentiments de nature générale, et il imagine dans ce
but
le galimatias qui suit (p. 88) : « Elle ne peut…
ses perpétuelles contradictions. Une fois il déclare (p. 187) : « Le
but
suprême de l’homme est le but artistique, le but
ns. Une fois il déclare (p. 187) : « Le but suprême de l’homme est le
but
artistique, le but artistique suprême est le dram
lare (p. 187) : « Le but suprême de l’homme est le but artistique, le
but
artistique suprême est le drame », et peu après,
sa tâche de s’occuper de l’homme réel ne verra jamais dans l’art « le
but
suprême de l’homme » ni ne tiendra ses « rêves »
tement très utiles, pour se révolter contre elles. Sa colère vise des
buts
ridiculement insignifiants ou se déchaîne en l’ai
mal les hommes, dont la propre force ne suffit pas pour atteindre ce
but
. Ainsi comprise, la rédemption a trois prémisses.
l’amour chez Tristan comme chez Iseult ; et ici aussi, la mort comme
but
naturel de l’amour. Pour expliquer son idée mysti
sent dans les différents arts, conformément à leurs moyens et à leurs
buts
particuliers, des phénomènes différents. Qu’on se
elles, au contraire, un état durable général sans cause déterminée ni
but
appréciable : leur extériorisation par le secours
s. Il est clair qu’une émotion non consciente de ses motifs et de ses
buts
, non éclairée par l’attention, n’élèvera pas son
. L’émotion qui devient nettement consciente de son contenu et de son
but
cesse d’être une simple émotion et se transforme
t le vaisseau-fantôme. Il s’est formé une société qui n’a pas d’autre
but
que de collectionner des histoires de revenants p
trent et s’entre-croisent diversement les uns les autres : le suprême
but
intellectuel de l’homme est d’entendre la musique
des terrains différents, sous la contrainte des mêmes motifs, au même
but
: celui-là à la « mélodie infinie », qui n’est pl
es admirateurs de Mæterlinck. Suivant eux, tout cela est fait dans un
but
profondément artistique. Un lecteur sain n’en cro
iété ; il en est même souvent, quand il ne s’agit que d’atteindre des
buts
bas, plus capable que l’homme supérieur et meille
les plus simples se meuvent avec une intention évidente vers certains
buts
et s’éloignent de certains points ; ils distingue
du sens génésique, il a des désirs qui sont directement contraires au
but
de l’instinct : la conservation de l’espèce. Dans
es méfaits qui sont propres aux classes supérieures et n’ont pas pour
but
la satisfaction des besoins matériels, mais d’aut
ue ou d’échapper à un désagrément. Autrement dit, l’adaptation a pour
but
de donner des sentiments de plaisir et de diminue
une inondation ou un cyclone. Il n’est pas un déblayeur conscient du
but
, mais un destructeur aveugle. Cela le distingue d
otiste. Celui-là a un idéal positif, celui-ci non. Celui-là sait quel
but
il vise, celui-ci n’a aucune idée de la façon don
ires se tourne fréquemment contre des maux imaginaires, poursuive des
buts
puérils ou combatte des lois précisément sages et
e le justifie dans les termes suivants : « La poésie… n’a pas d’autre
but
qu’elle-même ; elle ne peut pas en avoir d’autre,
rait évidemment une absurdité. Je dis que, si le poète a poursuivi un
but
moral, il a diminué sa force poétique, et il n’es
paraissent la doctrine antique des causes finales et la croyance à un
but
défini de l’univers, peut nous faire considérer c
soi peut être utile ou nuisible à l’organisme total. Si le monde a un
but
, c’est là une question qu’on peut laisser indécis
l’activité de toutes les parties de l’organisme a néanmoins sinon le
but
, du moins l’effet incontestable de conserver l’or
rsonnes qui simulent avec quelque persévérance la folie, même dans un
but
raisonnable, comme, par exemple, certains crimine
al à propos tandis qu’il tentera de forcer son secrétaire. Alors, mon
but
sera atteint ; j’aurai contribué, dans la mesure
ions d’opinions et de désirs ; faire comprendre cela à l’homme est le
but
de l’éducation, et celui qui n’a pas appris à s’i
sant, ou bien éminent par la position et le mérite ; elle a donc pour
but
d’impressionner favorablement les autres, elle ré
la réprobation au lieu de l’approbation, cela va juste à rencontre du
but
de l’art du costume et témoigne d’une perversion
istique du vêtement, il n’approche pas d’une seule ligne son prétendu
but
de satisfaction esthétique. Ce n’est donc pas par
’idée centrale de son verbiage lourdement railleur, poursuivant comme
but
suprême l’agacement du philistin et s’efforçant p
pendante comme l’idée, et se développe exclusivement vers ses propres
buts
… Secondement : tout mauvais art provient du retou
lement de l’instinct d’imitation de la vie, mais aussi du fait que le
but
conscient de la vie est de trouver de l’expressio
tes » affirme, avec les parnassiens, que l’œuvre d’art est son propre
but
; avec les diaboliques, qu’elle n’a pas besoin d’
l le rapport du beau avec le moral et l’objectivement vrai, l’idée du
but
dans le beau artistique et le rang de l’art dans
et ils affirment que les hérétiques qui assignent à l’œuvre d’art un
but
quelconque ne peuvent être que des philistins pac
iétante, la réaction de l’organisme contre elle est un mouvement sans
but
objectif, le plus souvent un mouvement imitateur.
e, que les traces laissées par des mouvements imitateurs, — a donc un
but
organique immédiat : celui de délivrer le système
entation motrice, mais consistent en mouvements ayant uniquement pour
but
de détendre les centres nerveux chargés d’impulsi
ceux-ci est l’émotion284. L’activité artistique n’est pas son propre
but
, mais elle a une utilité directe pour l’artiste ;
e représentation ou d’un sentiment qui pèse sur son âme. A ce premier
but
de l’œuvre d’art, le but subjectif de la délivran
sentiment qui pèse sur son âme. A ce premier but de l’œuvre d’art, le
but
subjectif de la délivrance de l’artiste, s’en ajo
mobiles artificiels, et où les actions elles-mêmes reçoivent un autre
but
que leur but théorique propre, l’artiste, il est
iciels, et où les actions elles-mêmes reçoivent un autre but que leur
but
théorique propre, l’artiste, il est vrai, n’a plu
t établi que l’art n’est pas exercé pour l’art seul, mais a un double
but
, subjectif et objectif, celui de satisfaire un be
s lesquels est jugée toute autre activité humaine poursuivant le même
but
: les principes de la moralité et de la légalité.
et de se proposer l’édification de dévotes. Mais entre une œuvre sans
but
de sanctification et une œuvre d’une immoralité v
r, devant un pareil tableau, il n’est plus possible de séparer de son
but
le déploiement de force beau en soi, ni d’en joui
al, parce que la société doit avant tout vivre et se protéger dans ce
but
contre ses ennemis, le guerrier, disons-nous, rét
mun avec la moralité. L’œuvre d’art doit être morale, car elle a pour
but
d’exprimer et d’exciter des émotions ; en vertu d
elle a pour but d’exprimer et d’exciter des émotions ; en vertu de ce
but
elle tombe sous la compétence de la critique, qui
damnée et supprimée comme toute autre activité organique contraire au
but
. L’œuvre d’art doit être morale, car elle doit pr
vons vu, ne résiste à la critique. L’œuvre d’art n’est pas son propre
but
, mais elle a une tâche individuellement organique
les. Il leur applique toutes sortes de petites particularités dans le
but
de leur donner une physionomie personnelle. Mais
qu’il veut faire brûler et définitivement anéantir l’asile ; dans ce
but
, Mme Alving ne devait pas être assurée, et l’aute
remarquer, en passant, l’absurdité de ce moyen pour atteindre pareil
but
), confesse tout d’un coup à ses concitoyens, sans
en est la confession ; dans presque toutes ses pièces celle-ci est le
but
où aboutit toute l’action. Et il n’est pas questi
que le désir d’augmenter mon importance et ma considération a été le
but
de la plupart de mes actes… Mon intention primiti
e et une expiation, en la confession auriculaire, qui se propose pour
but
l’allègement et la détente délicieuse et sans dan
Hessel, Pétra Stockmann et son père, mais, dans sa bouche, il a pour
but
d’exciter le rire. « Et voilà cette nature confia
yer, comme il l’appelle, repose sur un mensonge… J’ai enfin trouvé un
but
à ma vie ». Ce but consiste à opérer Hjalmar de s
elle, repose sur un mensonge… J’ai enfin trouvé un but à ma vie ». Ce
but
consiste à opérer Hjalmar de sa cataracte morale.
Je saurai te repêcher, car, vois-tu, depuis hier, j’ai, moi aussi, un
but
d’existence ». Et, un peu après, à son père : « Q
ccommode de la façon qu’il convient l’idiot qui, en poursuivant son «
but
d’existence », désunit Hjalmar et sa femme, détru
dans la montagne, et il demande à Brand où il les mène et quel est le
but
de cette ascension. A quoi Brand lui fait cette m
pulsion317, qui reparlent sans cesse, avec une passion farouche, du «
but
» qu’ils veulent atteindre, dussent-ils y sacrifi
leur vie, mais qui ne soupçonnent pas eux-mêmes quel est en somme ce
but
, ni ne sont capables de le désigner d’une façon i
p. 223) dit qu’il veut « employer toutes les forces de son être à ce
but
unique : l’avènement, dans ce pays, du vrai jugem
n’avait aucune joie à lui offrir, mais des plaisirs seulement. Pas de
but
à atteindre : il n’avait qu’un emploi. Pas un tra
nt à chercher en elles une idée précise, elles s’envolent en fumée. «
But
», « emploi », « travail », « occupation », « cam
dans le petit Kœnigsberg du siècle précédent, l’« emploi » était le «
but
» et le « travail » « l’occupation », et il chois
êtent la nature d’une obsession, Ibsen les répète opiniâtrément, sans
but
visible, en leur attribuant une signification mys
e par une exécution maladroite. La lutte pour la liberté n’a pas pour
but
la conquête de la liberté, mais elle est son prop
n’a pas pour but la conquête de la liberté, mais elle est son propre
but
. Lorsque l’on croit posséder la liberté et qu’on
le contenu le plus élevé de la conscience est la connaissance, et le
but
le plus visible et le plus immédiat de la connais
sent des actes qu’il trouve absurdes, parce qu’ils sont contraires au
but
, il n’a pas seulement le droit, mais le devoir, d
nterprète l’origine de la conscience et cherche à donner une idée des
buts
du développement de l’espèce, c’est-à-dire de l’h
e cet apparent adversaire et destructeur d’Israël, atteint le dernier
but
de sa sublime rage de vengeance ? Cela ne rentre-
événement que Nietzsche décrit comme prémédité, voulu et conscient du
but
, afin de bien voir toute la démence de ces succes
mais à la science en général. « La science entière a aujourd’hui pour
but
d’enlever à l’homme le respect qu’il a eu jusqu’i
table, ah, mais non ! eux, les individus qui ne poursuivent que leurs
buts
égoïstes personnels, qui font semblant seulement
st, dans la vie politique, une espèce de jésuitisme en cuirasse. « Le
but
sanctifie le moyen », et le moyen n’est pas, comm
ranche brutalité, la violence, le coup de poing et le coup d’épée. Le
but
qui sanctifie le moyen du jésuite en cuirasse peu
ut qui sanctifie le moyen du jésuite en cuirasse peut être parfois un
but
d’utilité générale, mais il est aussi souvent, et
ilité générale, mais il est aussi souvent, et plus souvent encore, un
but
égoïste. Chez son auteur, ce système de primitive
on des temps primitifs, qui envisageait l’homme comme le centre et le
but
de l’univers. Il est une des formes philosophique
rd Scandinave, comme une révolte, dépassant d’ailleurs de beaucoup le
but
, contre la discipline zélatrice et la contrainte
humaine notre pitié aussi vivement qu’il la ressent lui-même. Dans ce
but
il a réuni et arrangé d’une main d’artiste sûre,
es complices pour se rendre avec eux dans les forêts de la Bohême. Le
but
poursuivi était le même que celui de toute autre
provoquent la plus grande admiration. Il y a des sociétés ayant pour
but
de les interpréter, et leur enthousiasme est si f
à sa nécessité anatomique » la maladie de l’époque, et c’est vers ce
but
qu’il convient de diriger tous nos efforts. Car a
et parfois ralentie, et quand cet écart de la règle est nuisible aux
buts
de l’organisme total, nous le nommons maladie. Co
spuent la science, assignent la fainéantise esthétisante comme unique
but
à la vie. Mais leur invocation de la liberté et d
maladie ». Mais elles deviennent telles par rapport aux phases et aux
buts
de l’organisme. Le même état peut très bien être
ieux ou malfaisant continue à les pousser à détruire non plus dans le
but
de dépenser leurs forces, mais dans le dessein de
aire s’est adonné à l’usage des poisons narcotiques seulement dans un
but
d’« expérience physiologique » ; mais nous connai
st la forme que l’idéal, c’est-à-dire la connaissance pressentante du
but
du développement, revêt dans la conscience de l’h
fonction (soit de la royauté, soit de la chose publique), mais comme
but
et suprême justification de celles-ci, — et que,
ui-là veut endurer des douleurs et se sentir soumis à la violence, le
but
de celui-ci est de causer des douleurs et d’exerc
tinue sa route en mendiant ». « Dire sienne une tonne d’or, — Sublime
but
inattingible de l’homme ! etc. » 437. Heinz Tovo
son ordre, dans l’harmonie des activités humaines. Elle concourra au
but
de l’Homme qui est la Vie. Avant qu’elle n’entre
l s’anéantirait lui-même. Et la raison aussi nous détourne du nouveau
but
qu’on nous propose. Il n’est d’anormal, de singul
laissent aucune place à la fantaisie. Cependant aucune n’a atteint le
but
pour lequel elles étaient conçues. L’enthousiasme
isses à la volonté de vivre qui t’anime, tu ne dois pas avoir d’autre
but
— de distraction ! Marche à la toute connaissance
les éléments entrent chacun à leur place et concourent tous à un même
but
. C’est une association au pair d’individus égaux
sard, sans désir ni dessein préétabli, parce que l’univers n’a pas de
but
et se suffit à lui-même, offrant dans sa réalité
’homme dans la favorisation de la vie. À l’homme, la vie donc crée ce
but
, lui impose une manière d’être qui ne soit pas la
lambeaux sur les décombres de la Bastille. Les Encyclopédistes ont un
but
. Ils veulent la Justice et la Fraternité humaines
nce de l’Encyclopédisme, qu’on le comprenne bien, c’est d’avoir eu un
but
anthropique et de s’être voulu selon cette fin. A
en dessinent les premiers. Il faut que toute œuvre, tout geste ait un
but
ou procède d’un but à atteindre, et ce but nous l
miers. Il faut que toute œuvre, tout geste ait un but ou procède d’un
but
à atteindre, et ce but nous le connaissons. C’est
e œuvre, tout geste ait un but ou procède d’un but à atteindre, et ce
but
nous le connaissons. C’est, par de là l’homme et
naître les réponses. Pourquoi la Vie ? Comment la vivre ? Quel est le
but
de l’homme ? Qu’est-ce que le monde ? Les nouvell
la vérité pour elle-même, nous ne pouvons accorder que ce soit là le
but
de nos recherches. Science n’est pas autre chose
ur est capitale puisque par elle on tournait diamétralement le dos au
but
que l’on devait atteindre. À ces différentes part
et ne constitue pas un organisme nouveau à l’individualité propre, au
but
différent du but de ses unités. Dans la société,
as un organisme nouveau à l’individualité propre, au but différent du
but
de ses unités. Dans la société, l’homme se condui
beaux. L’humanité les y a laissés périr. L’art qui ne veut avoir pour
but
que soi y a péri avec eux. Qu’un autre art, s’élè
érence, plus ou moins avouée, au sujet du juste et de l’injuste. Leur
but
, leur préoccupation, leur idéal, ou, si l’on veut
ssible, bien au-delà de tout ce que l’on pouvait prévoir. — Dans quel
but
? — Mais, dans le dessein d’être forts, d’être in
soucier de l’objet auquel cette habileté de parole s’appliquera et du
but
qu’elle devra poursuivre, et il n’y a d’important
lle devra poursuivre, et il n’y a d’important que cet objet et que ce
but
. Il ne s’agit pas de faire des hommes habiles à p
se renferment dans les limites de leur profession, laquelle n’a pour
but
que d’enseigner à parler et se refusent les haute
res, des voies détournées et obliques, des mille chemins pour un seul
but
, avec mépris de celui qui va tout droit ; par son
ncurrents. Or nous croyons que la vraie loi peut seule atteindre à ce
but
et nous espérons qu’elle vous y conduira. Ne comp
es Sophistes et Socrate, ce sont les Sophistes qui vont plus droit au
but
et qui ont plus de loyauté dans la discussion ; e
colonie. Quiconque pensera à fonder un État doit se, proposer le même
but
dans son plan de législation et non pas l’intérêt
u’à dominer, sans se soucier des moyens et sans se demander dans quel
but
. Quand ils ont dit : « Il s’agit d’être les premi
t là qu’un moyen d’éducation, c’est un acheminement ; ce n’est pas le
but
. Les Athéniens restent enfants en ceci qu’ils con
Mais encore est-il vrai que la plupart des hommes estiment le plaisir
but
de la vie, quelque chose du reste qu’ils nomment
s disons seulement qu’on ne peut pas prendre comme vrai bien et comme
but
de la vie une souffrance qui cesse. Quelque chose
est très rationnellement destiné. Il est philosophique de dire que le
but
de l’homme est le plaisir, à condition que l’on s
le lui permet, il fera bien de ne pas se donner le plaisir comme son
but
. Composons, si l’on veut. À ceux qui sont forteme
oi donc ? La science peut-être. Il est des hommes qui estiment que le
but
de l’homme est de savoir et que le bonheur de l’h
nté Platon, que du reste il ne peut souffrir. Dirons-nous donc que le
but
de l’homme c’est le savoir ? Ce serait encore une
e à mesure qu’on la possède davantage ; mais elle n’atteint jamais ce
but
suprême du souverain bien ; si près qu’elle en so
t de croire qu’il n’y a entre le plaisir et le bien aucun rapport. Le
but
de la vie du sage sera donc le bien et non pas le
établi : le bien n’est pas le plaisir ; le bien c’est l’harmonie ; le
but
de la vie est le bien, le but de la vie est l’har
plaisir ; le bien c’est l’harmonie ; le but de la vie est le bien, le
but
de la vie est l’harmonie. — Mais alors le bien, c
er, il restera tel et ne mènera pas très haut ; il ne mènera qu’à son
but
même. Mais s’il a été, comme on peut constater qu
on, apercevra tout à coup une beauté merveilleuse, celle qui était le
but
de tous ses travaux antérieurs : beauté éternelle
à cette beauté parfaite et qu’on commence à l’entrevoir, on touche au
but
Car le droit chemin de l’amour, qu’on le suive de
à la santé de la race, et par conséquent à la perpétuité, qui est le
but
cherché. Trouve-t-on trop métaphysique et par con
est bien, et cette autre idée platonicienne que la perfection est le
but
dernier de toute chose. Un sentiment aussi import
t pas détruire le désir ; il faut le rectifier et le diriger vers son
but
véritable et alors, lui aussi, d’illusion sera de
ation doit être harmonieuse. Elle ne doit même n’être que cela en son
but
dernier, en sa dernière fin. Établir une harmonie
’esprit. Et ces propos de Périclès seraient certainement injustes, le
but
de Platon ayant certainement été de relever le pe
de simples maniaques. Le propre de l’homme est d’agir en tendant à un
but
et ils ne sont pas capables de dire quel est le l
it. L’homme, lui, agit pour agir et aussi en rapportant son acte à un
but
qui est par-delà son acte. Les artistes seraient-
n’importe quoi ? — Comment donc ! Mais la rhétorique n’a donc pas de
but
en dehors d’elle ? Elle est la rhétorique pour… p
n’existe pas ; car que serait une faculté de l’âme qui n’aurait pour
but
que de s’exercer ? Je ne sais pas si l’on pourrai
, si l’on veut, par métaphore ; mais cela ne l’empêche pas d’avoir un
but
. Son but est de persuader ce qui est utile à l’or
veut, par métaphore ; mais cela ne l’empêche pas d’avoir un but. Son
but
est de persuader ce qui est utile à l’orateur, et
et l’orateur ne s’y instruit que dans ce dessein et pour atteindre ce
but
-là. En soi la rhétorique est donc l’art de persua
ce but-là. En soi la rhétorique est donc l’art de persuader ; en son
but
elle est l’art de persuader ce qu’il est utile qu
a morale. D’où il suit que la voyez-vous, votre rhétorique ? Selon le
but
qu’on lui assigne, elle se dissout dans la coquin
en du tout. Vous voyez bien qu’il était utile de la définir selon son
but
, puisque selon son but elle est ou ceci ou cela e
bien qu’il était utile de la définir selon son but, puisque selon son
but
elle est ou ceci ou cela et toujours quelque chos
ous les arts. Tous, ou ils ne sont que des procédés qui n’ont d’autre
but
qu’eux-mêmes et alors ils sont tellement insignif
si encore ils ne sont pas funestes, corrupteurs, etc. ; ou ils ont un
but
, celui de rendre les hommes plus heureux, et les
oint de départ, par sa base, par sa méthode, comme elle l’est par son
but
. Elle part de la connaissance de l’âme humaine et
ction, dans le sens qui est leur sens véritable, dans le sens de leur
but
vrai, seulement entrevu par elles ; ils sont natu
rquoi ce particulièrement, — peint des âmes et non pas des fleurs. Le
but
de l’art est de faire plaisir ; il n’en a pas d’a
l’écarte et de la vérité et de la beauté. Il fait qu’il poursuit deux
buts
et qu’il suit deux chemins, ce qui rend sa démarc
d’art gauches. Et ce sont ainsi des ouvrages qui manquent tous leurs
buts
et principalement celui de moraliser. Pourquoi le
rt qui prétend exciter à la vertu et qui montre trop que c’est là son
but
. « Je ne bâille pas au sermon ; je ne bâille qu’a
n esprit. Quand les artistes littéraires de 1660 disaient tous : « le
but
de l’art est de plaire », ils avaient certainemen
ent un mauvais mot d’ordre, parce que leur formule était inexacte. Le
but
de l’art n’est pas de plaire ; le but de l’art es
leur formule était inexacte. Le but de l’art n’est pas de plaire ; le
but
de l’art est de chercher le beau ; par conséquent
ment cela, et me voilà accouché. Je t’en remercie. — Au fond donc, le
but
de l’artiste est de plaire, et la fin de l’art es
e est de se plaire, de créer une œuvre dans laquelle il se plaise. Le
but
de l’art n’est pas de plaire ; il est de se plair
enseignent l’injuste et ceux qui enseignent le juste tendent au même
but
sous différents mots, c’est à savoir à faire et d
oupable. « car aucune peine infligée dans l’esprit de la loi n’a pour
but
le mal de celui qui la souffre ; mais son effet d
et telle encore que, quand il l’entrevoit, il se sent dirigé vers son
but
; et telle encore que, s’il la comprenait absolum
du déchet et que l’on en rabattra. Ils visent un peu plus haut que le
but
pour y toucher, et je ne crois pas que ce soit le
des travaux du savant et la manière dont il exerce son influence. Son
but
n’est pas d’être lu, mais d’insérer une pierre da
un accessoire. Le principal seul a du prix, l’existence n’a pas deux
buts
. Si je ne croyais que tout est saint, que tout im
solide, durable, et d’ailleurs immensément relevée par l’élévation du
but
final. Certes il serait plus doux et plus flatteu
s méritants sont ceux qui, tout en comprenant d’une manière élevée le
but
suprême de la science, tout en ressentant d’énerg
uctions. Mais leurs recherches, je le répète, ne sauraient avoir leur
but
en elles-mêmes ; car elles ne servent pas à rendr
oi bon la faire ? Il serait trop étrange que la science n’eût d’autre
but
que de servir ainsi d’aliment à la curiosité de t
r le commerce habituel avec les hommes réunis en société dans le seul
but
de se plaire. Il y a beaucoup de fautes de goût
era cet ouvrage, aient une occasion de plus de relire de tels vers :
But
happy they ! the happiest of their kind ! Whom ge
laws, Unnatural oft, and foreign to the mind, That binds their peace,
but
harmony itself, Attuning all their passions into
r Surprises often while you look around, And nothing strikes your eye
but
sights of bliss, All various nature pressing on t
99
Albalat, Antoine.
(1905)
Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc…
« XI »
monstration, en vertu de ce principe qu’on dépasse toujours un peu le
but
quand on veut prouver quelque chose. Dans Chateau
Ai-je besoin de démentir ces ironies sans scrupule, qui n’ont d’autre
but
que d’entretenir l’équivoque où nos contradicteur
’a de valeur, disions-nous, que comme moyen de métier et n’est pas un
but
par lui-même. Il y manque la vie. On n’emprunte p
usion la plus probable des observations ici rassemblées. Tel était le
but
de ce petit livre, — et de suggérer peut-être que
on : Le rythme nous avertit de la vie en sa marche incessante vers le
but
ignoré ; l’harmonie, qui en procède, est le signe
▲