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1 (1913) Le bovarysme « Quatrième partie : Le Réel — IV »
Après avoir écarté la conception d’une vérité objective assignant un but fixe à l’évolution de la vie, on a situé précédem
ects : l’un passionnel, l’autre moral. Sous ces deux aspects, un même but est envisagé : il s’agit de réaliser un état de c
es voies tortueuses et détournées où elle s’engage pour atteindre son but . Mais, avertie par les obstacles et les déboires
aspect passionnel et moral, le rôle de la sensation, considérée comme but , est considérable dans la vie phénoménale : c’est
e la connaissance et la contemplation. L’intellectualisme, pris comme but de l’existence, suppose donc tout d’abord le fait
précédente, ce souci fait de la connaissance un moyen et de la vie le but . Vivre a une telle importance, pour connaître que
ue les esprits qui spéculent du point de vue de la connaissance comme but se doivent montrer bienveillants pour ces intelli
ellectualisme tenant la vie pour un moyen dont la connaissance est le but , ou que l’on se place au point de vue de l’illusi
ale tenant la connaissance pour un moyen, dont la vie heureuse est le but , ce que l’on se proposait de mettre ici en éviden
e de ses deux aspects, qu’il lui faut en sorte toujours supposer pour but de satisfaire une utilité de connaissanceou de sa
rôle secondaire de moyens pour procurer des fins très différentes des buts vers lesquelles elles ordonnent de tendre. Parmi
nt de noter que ces vérités, tandis qu’elles atteignent en réalité ce but , la multiplication de l’espèce, s’assignant toujo
ce but, la multiplication de l’espèce, s’assignant toujours un autre but , un but chimérique et qui n’est jamais accompli.
la multiplication de l’espèce, s’assignant toujours un autre but, un but chimérique et qui n’est jamais accompli. Cette lo
ar une voie plus paradoxale encore le christianisme atteignit le même but . Il érigea en vertu suprême la chasteté. L’effort
ue ils verront, en de multiples exemples, se joindre ensemble dans un but d’utilité, intellectuelle ou vitale, des éléments
2 (1890) L’avenir de la science « XVIII »
XVIII La fin de l’humanité, et par conséquent le but que doit se proposer la politique, c’est de réali
olidité qu’en tant que réalisée par les individus. Par conséquent, le but serait manqué si une civilisation, quelque élevée
si elle constituait une jouissance personnelle et sans tradition. Le but ne sera atteint que quand tous les hommes auront
chose facile. Il y a à peine cinquante ans que l’humanité a aperçu le but qu’elle avait jusque-là poursuivi sans conscience
ère qui est à ses pieds. De même l’humanité, en ne considérant que le but éloigné, est comme tentée d’y sauter, sans égard
par le balancement de deux ordres de considérations : d’une part, le but à atteindre ; de l’autre, l’état actuel, un terra
ompose que d’oisifs et de travailleurs ; la politique doit avoir pour but l’amélioration morale, physique et intellectuelle
rficielle, qui, si elle était réalisée, irait directement contre leur but . Aucun problème social n’est abordable de face ;
on dira du socialisme comme de toutes les réformes : il a atteint son but , non pas comme le voulaient les sectaires, mais p
omme l’oiseau de paradis de la légende, qui couve en volant. Tout est but , tout est moyen. Dans la vie humaine, l’âge mûr n
est but, tout est moyen. Dans la vie humaine, l’âge mûr n’est pas le but de la jeunesse, la vieillesse n’est pas le but de
l’âge mûr n’est pas le but de la jeunesse, la vieillesse n’est pas le but de l’âge mûr. Le but, c’est la vie entière prise
e but de la jeunesse, la vieillesse n’est pas le but de l’âge mûr. Le but , c’est la vie entière prise dans son unité. Il y
ban de l’humanité, pour vivre plus à leur aise ? Je le répète, si le but de la vie n’était que de jouir, il ne faudrait pa
eux hédonisme des dernières années. Quand les socialistes disent : le but de la société est le bonheur de tous ; quand leur
société est le bonheur de tous ; quand leurs adversaires disent : le but de la société est le bonheur de quelques-uns, tou
trompent ; mais les premiers moins que les seconds. Il faut dire : le but de la société est la plus grande perfection possi
mme le grand résultat du progrès de l’humanité. Détruire n’est pas un but . L’humanité a vécu dans les formes anciennes jusq
contre ces formes ? Croyez-vous que quand l’oiseau brise son œuf son but soit de le briser ? Non ; son but est de passer à
ue quand l’oiseau brise son œuf son but soit de le briser ? Non ; son but est de passer à une vie nouvelle. Tout au plus, s
obstacle. Toujours la vue fatalement partielle et rendue telle par le but pratique qu’on se propose. Celui qui détruit ne p
ui rendent un double service : ils l’accélèrent et ils le règlent. Le but de l’humanité est d’approfondir successivement to
son aise, ne créant rien, ne fondant rien, ne produisant rien. Car le but de l’humanité n’est pas que les individus vivent
3 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre IV. L’âge moderne. — Chapitre II. Lord Byron. » pp. 334-423
e à boire d’eau très-chaude, puis encore de l’eau-de-vie pure ; il en but environ une demi-douzaine, après quoi nous dépêch
fait sien. Il en a employé les ressorts moteurs à sa façon, pour son but propre, de sorte qu’aucun d’eux ne reste le même,
x d’homme. —  La soif de leur ambition n’était point la mienne. —  Le but de leur vie n’était pas le mien. —  Mes joies, me
we could meet again, being usually about twelve hours of separation. But I was a fool then, and am not much wiser now. 12
h Reviewers. 1252. Childe Harold is, I think, a very clever poem, but gives no good symptom of the writer’s heart or mo
I don’t think them in force and heart sufficient to make much of it. But onward. What signifies self ?… It is not one man
. But onward. What signifies self ?… It is not one man nor a million, but the spirit of liberty that must be spread… The me
ht. In England, five years ago, I had the same kind of hypochondria, but accompanied with so violent a thirst, that I have
faint. I have always had « une âme » which not only tormented itself, but every body else in contact with it, and an « espr
he fulness of my mind, from passion, from impulse, from many motives, but not « for their sweet voices. » To withdraw mysel
tiger. If I miss the first spring, I go grumbling to my jungle again. But if I do it, it is crushing. 1260. I could not wr
—  That is to say the Old Testament, for the New struck me as a task, but the other as a pleasure. 1262. As to Pope, I hav
conventicles about him. You may call Shakspeare and Milton pyramids, but I prefer the temple of Theseus or the Parthenon t
l of poets is their vulgarity. By this I do not mean they are coarse, but shabby genteel. 1263. All the styles of the day
chanals would flee ; ‘Tis said, at times the sullen tear would start, But pride congeal’d the drop within his ee : Apart he
time cannot abate, And feed on bitter fruits without accusing fate. … But soon he knew himself the most unfit Of men to her
 : Could he have kept his spirits to that flight, He had been happy ; but this clay will sink Its spark immortal, envying i
ak the link That keeps us from yon heaven which woos us to its brink. But in man’s dwellings he became a thing Restless and
nd gnash their fangs, loud yelling for the prey ! All join the chase, but few the triumph share : The grave shall bear the
113. 1279. « Well, we are all born to die — I shall go with regret, but certainly not with fear. —  It is every man’s dut
to strip : swimming, indeed, can be of little use in these billows — but as children, when tired with crying, sink placidl
gave way, the skies roll’d round, I seem’d to sink upon the ground ; But err’d, for I was fastly bound, My heart turn’d si
then I died. … I felt the blackness come and go And strove to wake ; but could not make My senses climb up from below : I
lear, and azure as the air ; And scarce their foam the pebbles shook, But murmur’d meekly as the brook. The winds were pill
calps were in the wild dog’s maw, The hair was tangled round his jaw. But close by the shore, on the edge of the gulf, Ther
, There sat a vulture flapping a wolf, Who had stolen from the hills, but kept away, Scared by the dogs, from the human pre
m the hills, but kept away, Scared by the dogs, from the human prey ; But he seized on his share of a steed that lay, Pick’
by the birds, on the sands of the bay. 1285. He scarce can speak, but motions him ‘t is vain, He clasps the hand that p
ed his arm to point where such had been, Scarce Kaled seem’d to know, but turn’d away, As if his heart abhorr’d that coming
hat morning light, To look on Lara’s brow, —  where all grew night. … But from his visage little could we guess, So unrepen
isage little could we guess, So unrepentant, dark, and passionless… … But gasping heaved the breath that Lara drew, And dul
ent — and came, and brought no day. ……………… Forests were set on fire — but hour by hour They fell and faded — and the crackl
nd vipers crawl’d And twined themselves among the multitude, Hissing, but stingless — they were slain for food : And War, w
ly apart, Gorging himself in gloom : no love was left ; All earth was but one thought — and that was death, Immediate and i
the dropping dead Lured their lank jaws ; himself sought out no food. But with a piteous and perpetual moan, And a quick de
er’d not with a caress — he died. The crowd was famish’d by degrees ; but two Of an enormous city did survive, And they wer
, And was all clay again… 1292. … My solitude is solitude no more, But peopled with the Furies : — I have gnash’d My tee
For madness as a blessing — ’tis denied me. I have affronted death — but in the war Of elements the waters shrunk from me,
n fantasy, imagination, all The affluence of my soul — I plunged deep But like an ebbing wave, it dash’d me back Into the g
And live, and live for ever. 1293. There’s bloom upon her cheek ; But now I see it is not living hue, But a strange hec
. There’s bloom upon her cheek ; But now I see it is not living hue, But a strange hectic — like the unnatural red Which A
past. I cannot rest. I know not what I ask, nor what I seek : I feel but what thou art, and what I am ; And I would hear y
name, Which answer’d me — many things answer’d me — Spirits and men — but thou wert silent all. … Speak to me ! I have wand
not, and feel for thee alone — Speak to me ! though it be in wrath ; but say — I reck not what — but let me hear thee once
e — Speak to me ! though it be in wrath ; but say — I reck not what — but let me hear thee once — This once — once more !
this mortality, derives No colour from the fleeting things without ; But is absorb’d in sufferance or in joy, Born from th
hou couldst not tempt me. I have not been thy dupe, nor am thy prey — But was my own destroyer, and will be My own hereafte
hereafter. —  Back, ye baffled fiends ! The hand of death is on me — but not yours ! 1297. Don Juan. There stands the
house had been divided between your public and understood courtesans. But the intriguantes much outnumbered the regular mer
morning twinkling weak as A drunken man’s dead eye in maudlin sorrow, But with all heaven t’ himself ; that day will break
y a thousand things at once, To the high dama’s brow, more melancholy But clear, and with a wild and liquid glance, Heart o
ir lips drew near, and clung into a kiss. 1312. … They were alone, but not alone as they Who shut in chambers think it l
at all things. For I wish to know What, after all, are all things — but a show ? (Ch. VII, stance 2.) 1317. … Sooner s
… Love’s a capricious power… Against all noble maladies he’s bold ; But vulgar illnesses don’t like to meet ; … Shrinks f
ay after. Man, being reasonable, must get drunk ; The best of life is but intoxication… 1321. … And next they thought up
1321. … And next they thought upon the master’s mate, As fattest ; but he saved himself, because, Besides being much ave
4 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre III. L’âge classique. — Chapitre II. Dryden. »
ce dans une voie, quand cette voie est la seule qui le conduise à son but . Celui-ci y entrait de lui-même. Dès sa seconde p
705. The beauties of the French poesy are the beauties of a statue, but not of a man, because not animated with the soul
roduced except the liar ? And you know how it was cry’d up in France. But when it came upon the English stage, though well
ch poetry consist. Their heroes are the most civil people breathing ; but their good breeding seldom extends to a word of s
to his father ; and my criticks, I am sure, will commend him for it. But we of grosser apprehensions are apt to think that
ns are apt to think that this excess of generosity is not practicable but with fools and madmen… Take Hippolytus out of his
to the first philosophers was known. Who under various names, ador’d but one. (Act. II, sc. i.) 710. Absent, I may her
t one. (Act. II, sc. i.) 710. Absent, I may her Martyrdom decree, But one look more will make that martyr me… Ce Maxim
all burn in other fires. (Act. III, sc. i.) 712. CHRISTIAN PRIEST. But we by Martyrdom our faith aver. MONTEZUMA. You do
e, acte IV, sc. i.) 715. I take this garland not as given by you, But as my merit and my beauty due. (The Indian Empero
words me, girls, he words me, that I should not By noble to myself ; but hark thee, Charmion… Now, Iras, what think’st tho
deserved it. Moderate sorrow Fits vulgar love, and for a vulgar man. But I have loved with such transcendant passion ; I s
my soldier, to my arms. You have been too long away from my embraces. But when I have you fast and all my own, With broken
nd without deceit. (Ibid.)(Ibid.) 728. Miranda dit : « And if I can but escape with life, I had rather lie in pain nine m
more than Cæsar’s sister, Know, I had still remain’d in Cæsar’s camp. But your Octavia, your much injured wife, Though bani
ins your coolness, And prompts me not to seek what you should offer ; But a wife’s virtue still surmounts that pride. I com
her grant… My hard fortune Subjects me still to your unkind mistakes. But the conditions I have brought are such, You need
t. I may be dropt at Athens ; No matter where, I never will complain, But only keep the barren name of wife, And rid you of
, emperor, this is no common dew ; I have not wept this forty years ; but now My mother comes afresh unto my eyes ; I canno
 ; See, I have caught it too. Believe me, ’tis not For my own griefs, but thine… Nay, father… 733. No ; ’tis you dream ;
e t’ out-live you. ANTONY. Kill me first, And then die thou. For ’tis but just thou serve Thy friend before thyself. VENTID
conqu’ring soldier, red with unfelt wounds, Salutes his general so : but never more Shall that sound reach my ears. VENTID
we have more than conquer’d Cæsar now. My queen’s not only innocent, but loves me… Down on thy knees, blasphemer as thou a
739. JAFFIER. Oh, that my arms were riveted Thus round thee ever ! But my friends, my oath ! This, and as more. (Kisses
y ; spit in my face, pry’thee, spit in my face never so little ; spit but a little bit, — spit, spit, spit, spit when you a
Out on him, beast ; he’s always talking filthy to a body. If he sits but at the table with one, he’ll be making nasty figu
with sinews like our English. It has the nimbleness of a grey-hound, but not the bulk and body of a mastiff. They have set
d we lov’d as long we cou’d, ’Till our love was lov’d out in us both. But our marriage is dead when the pleasure is fled ;
, than the light of the moon can be allowed to be her own, who shines but by the reflection of her brother. (1693. Lettre à
tre à Dennis.) 756. Her weight made the horses travel very heavily ; but to give them a breathing time, she would often st
re. In the mean time, I flatter not myself with any manner of hopes ; but do my duty and suffer for God’s sake. — You know
God’s sake. — You know the profits (of Virgil) might have been more ; but neither my conscience nor my honour would suffer
but neither my conscience nor my honour would suffer me to take them. But I can never repent my constancy, since I am thoro
plough ; I will not say : the zeal of God’s house has eaten him up ; but I am sure it has devoured some part of his good m
as’d with the danger when the waves went high, He sought the storms ; but , for a calm unfit, Would steer too nigh the sands
hese did Zimri stand ; A man so various that he seem’d to be Not one, but all mankind’s epitome : Stiff in opinions, always
ons, always in the wrong, Was ev’ry thing by starts, and nothing long But , in the course of one revolving moon, Was chemist
In squandering wealth was his peculiar art ; Nothing went unrewarded but desert : Beggar’d by fools, whom still he found t
He laugh’d himself from court, then sought relief By forming parties, but could ne’er be chief ; For, spite of him, the wei
weight of business fell On Absalom and wise Achitophel : Thus, wicked but in will, of means bereft, He left not faction, bu
hel : Thus, wicked but in will, of means bereft, He left not faction, but of that was left. 771. Slingsby Bethel. 772.
; Did wisely from expensive sins refrain, And never broke the Sabbath but for gain ; Nor was he ever known an oath to vent,
oreign aid ; That they to future ages may be known, Not copies drawn, but issue of thy own. Nay, let thy men of wit, too, b
let thy men of wit, too, be the same, All full of thee, and diff’ring but in name. » 779. « Like mine, thy gentle number
satires never bite. In thy felonious heart though venom lies, It does but touch thy Irish pen, and dies. Thy genius calls t
and dies. Thy genius calls thee not to purchase fame In keen Iambics, but mild Anagram. Leave writing plays, and choose for
lents suit, Set thy own songs, and sing them to thy lute. » He said : but his last words were scarcely heard, For Bruce and
, when the stage was rude And boisterous English wit with art indu’d… But what we gain’d in skill we lost in strength, Our
s cailloux théologiques sur lesquels on trébuche dix fois par livre. But once possess’d of what with care you save, The wa
ight ; No lawless mandates from the court receive, Nor lend by force, but in a body give. 789. Dim as the borrow’d beams
, Is reason to the soul : and as on high Those rolling fires discover but the sky, Nor light us here ; so Reason’s glimm’ri
; so Reason’s glimm’ring ray Was lent, not to assure our doleful way, But guide us upward to a better day. And as those nig
olves in supernatural light. 790. Religio Laici, Hind and Panther. But , gracious God ! how well dost thou provide For er
ve thee thus conceal’d, And search no farther than thyself reveal’d ; But her alone for my director take, Whom thou bast pr
5 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre III. L’âge classique. — Chapitre I. La Restauration. »
sformé en un baragouin absurde, et la rancune enfiellée, manquant son but par son excès même, défigure le portrait qu’elle
êmes, et ils s’y perfectionnent bien vite ; car le raffinement est le but de la vie mondaine ; on s’étudie à rendre toutes
t d’une femme qu’on a aimée. Pour comble, ce délicat entretien a pour but de faire entrer la pauvre délaissée dans une intr
gre all which, ’twas to stand fast, As long as monarchy should last ; But when the state should hap to reel, ’Twas to submi
ose, that Time should never, In life or death, their fortunes sever : But with his rusty sickle mow Both down together at a
ogether at a blow. 547. This sword a dagger had his page, That was but little for his age, And therefore waited on him s
in which things truth and the interest of men oppose not each other. But in the other there is nothing undisputable, becau
2. Lorsque Jupiter sort, alléguant qu’il est jour, Alcmène lui dit : But you and I will draw our curtains close, Extinguis
574. Though I cannot lie like them, I am as vain as they ; I cannot but publicly give your Grace my humble acknowledgment
s, necklaces, fans, ribbons, points, laces, stockings, gloves… GRIPE. But there, take half a piece for the other things. MI
than such as give a haut goust to her breath. 580. Pish ! give her but leave to put on… the long patch under the left ey
tunate lady that I am ! I have left the herd on purpose to be chased. But the park affords not so much as a satyr for me ;
, my husband would have me send you a base, rude, unmannerly letter : but I won ’t ; and would have forbid you loving me, b
mannerly letter : but I won ’t ; and would have forbid you loving me, but I won ’t ; and would have me say to you, I hate y
I won ’t ; and would have me say to you, I hate you, poor Mr Horner, but I won ’t tell a lie for him. For I’m sure if you
tongue between my lips. » 584. Dans le Plain dealer. 585. NOVEL. But , as I was saying, madam, I have been treated to-d
de l’École des Femmes ; jugez de la transformation. 586. FIDELIA. But , madam, what could make you dissemble love to him
; just the buckets in the well ; the absence of one brings the other. But I hope, like them too, they will not meet in the
derstand me, sure. I say, this was an honest come-off and a good one. But it was a sign your gallant had enough of your con
embrace. Comparez au rôle de Philinte des tirades comme celle-ci : But , faith, could you think I was a friend to those I
ve unless I have her. 594. Her love — a whore’s, a witch’s love ! — But what, did she not kiss well, sir ? I’m sure, I th
But what, did she not kiss well, sir ? I’m sure, I thought her lips… But I must not think of them more… But yet they are s
ir ? I’m sure, I thought her lips… But I must not think of them more… But yet they are such I could still kiss, grow so, —
ore you shall stay and keep the door for me, whilst I go in for you ; but when I’m gone, if you dare to stir off from this
riends, admired by his scholars, and honoured by the Athenians. 606. But , where factions were once entered and rooted in a
d men to meddle with public affairs (P. 203, 206, 191, t. III.) 607. But the true service of the public is a business of s
can be of more than vulgar use, yet he will seldom or never seek it, but leaves it commonly to men who, under the disguise
ural philosophy, that they foretold not only eclipses in the heavens, but earthquakes at land, and storms at sea, great dro
he greatest master in his kind, and all others of that sort have been but imitations of his original, so I think the Epistl
ine, and Politian, with some others, have attributed them to Lucian ; but I think he must have little skill in painting, th
erceness of nature and cruelty of revenge, could never be represented but by him that possessed them ; and I esteem Lucian
e upon them too much, they doze you, and make you unfit for company ; but if used discretly, you are the fitter for convers
a little country retreat near the town ; not to dwell in constantly, but only so a night, and away, to taste the town the
hours away ; We throw a merry main ; Or else at serious ombre play ; But why should we in vain Each other’s ruin thus purs
s ruin thus pursue ? We were undone when we left you. With a fa, etc. But now our fears tempestuous grow, And cast our hope
Then blush not, Fair ! or on him frown : How could the youth, alas ! but bend When his whole Heav’n upon him lean’d ; If o
621. Amoret ! as sweet and good As the most delicious food, Which but tasted does impart Life and gladness to the heart
en his armed head : With these t’ avoid, with that his fate to meet : But fear prevails and bids him trust his feet. So fas
ed inundations spoil The mower’s hopes, or mock the ploughman’s toil, But godlike his unweary’d bounty flows ; First loves
gentle, yet not dull : Strong without rage, without o’erflowing full… But his proud head the airy mountain hides Among the
, the Quaker’s word, the gamester’s oath, and the great man’s honour, but to cheat those that trust us. (Wycherley, Love in
rough the head. (Ibid.) 636. LADY TOUCHWOOD (à Maskwell). You want but leisure to invent fresh falsehood, and sooth me t
fresh falsehood, and sooth me to a fond belief of all your fictions. But I’ll stab the lie that is forming in your heart,
ecod, I’d marry the baker ; I would so. Nobody can knock at the gate, but presently I must be locked up ; and here’s the yo
own my heels for it. 653. Sir, I never disobey my father in anything but eating of green gooseberries… 654. A week ! Why,
N. Why, you had three, good nurse ; you may hold your tongue… 658. But if I leave my lord, I must leave my lady too ; an
love him, nurse ? Ecod, I would not care if he were hanged, so I were but once married to him. No ; that which pleases me i
a lady both, nurse, ecod, I’ll flaunt it with the best of ’em. 660. But , d’ye hear ? Pray, take care of one thing : when
never speak what you think. Your words must contradict your thoughts, but your actions may contradict your words. So when I
your words. So when I ask you, if you can love me, you must say no ; but you must love me too. — If I tell you you are han
tell you you are handsome, you must deny it, and say I flatter you. — But you must think yourself more charming than I spea
as if I had it myself. — If I ask you to kiss me, you must be angry, but you must not refuse me… MISS PRUE. O Lord, I swea
speaking one’s mind. And must not you lie too ? TATTLE. Hum — yes. — But you must believe I speak truth… MISS PRUE. O Gemi
… MISS PRUE. O Gemini ! Well, I always had a great mind to tell lies. But they frightened me, and said it was a sin. TATTLE
you. (Runs and kisses him.) TATTLE. Hold, hold, that’s pretty well. — But you should not have given it me, but have suffere
old, hold, that’s pretty well. — But you should not have given it me, but have suffered me to have taken it. MISS PRUE. Wel
was here just now ? Will he thrash my jacket ? Let’n, let’n, let’n — but an he comes near me, mayhap I may give him a salt
too, for he told me so. 669. Congreve, The Way of the World. 670. But art thou sure Sir Rowland will not fail to come ?
g her forms. I won’t be too coy neither — I won’t give him despair. — But a little disdain is not amiss — a little scorn is
ng. FOIBLE. A little scorn becomes your Ladyship. LADY WISHFORT. Yes, but tenderness becomes me best — a sort of dyingness.
swimmingness in the eyes. — Yes, I’ll look so. — My niece affects it. But she wants features. — Is Sir Rowland handsome ? L
es, I’ll give the first impression on a couch. — I won’t lie neither, but loll and lean upon an elbow, with one foot a litt
o them that don’t think it so. Indeed, if I did not think it a sin. — But still my honour, if it were no sin. — But then to
I did not think it a sin. — But still my honour, if it were no sin. — But then to marry my daughter, for the conveniency of
f you are made a captive ? I swear it is pity it should be a fault. — But my honour ! — Well, but your honour too. — But th
 ? I swear it is pity it should be a fault. — But my honour ! — Well, but your honour too. — But the sin ! — Well, but the
t should be a fault. — But my honour ! — Well, but your honour too. — But the sin ! — Well, but the necessity. — O Lord, he
But my honour ! — Well, but your honour too. — But the sin ! — Well, but the necessity. — O Lord, here is somebody coming.
crime, and strive as much as can be against it. — Strive, be sure. — But don’t be melancholy, don’t despair. — But never t
st it. — Strive, be sure. — But don’t be melancholy, don’t despair. — But never think that I’ll grant you anything. O Lord,
espair. — But never think that I’ll grant you anything. O Lord, no. — But be sure you lay aside all thoughts of the marriag
can’t be jealous, for I must not love you. — Therefore don’t hope. — But don’t despair neither. — O, they are coming, I mu
Sir Francis. Let us never visit together, nor go to a play together ; but let us be very strange and well bred. Let us be a
d. Whenever we met, we gave one another the spleen ; and never agreed but once, which was about lying alone. (Vanbrugh, Rel
several, very honest. — They’ll cheat a little at cards, sometimes ; but that is nothing. MISTRESS FORESIGHT. Pshaw ! But
t cards, sometimes ; but that is nothing. MISTRESS FORESIGHT. Pshaw ! But virtuous, I mean. SCANDAL. Yes, faith. I believe
, I mean. SCANDAL. Yes, faith. I believe some women are virtuous too. But ’tis as I believe — some men are valiant through
easure ? (Congreve, Love for Love.) 677. We are as wicked as men, but our vices lie another way. They have more courage
the least appearance of disadvantage or danger. I love a fine house, but let another keep it ; and so just I love a fine w
I have got them with child. I never quarrel with anything in my cups, but an oysterwench, or a cookmaid ; and if they be no
apprehensive, where could you have fixed a father’s name with credit, but on a husband ? 683. A better man ought not to ha
will ever risk the loss of his honour. DAVID. I say then, it would be but civil in honour never to risk the loss of a gentl
nd, ay truly, a very courtier-like servant. 689. SIR ANTHONY. Nay, but Jack, such eyes ! So innocently wild ! So bashful
ch eyes ! So innocently wild ! So bashfully irresolute ! not a glance but speaks and kindle some thought of love ! Then, Ja
ne on ! JOSEPH SURFACE. Charles has been imprudent, sir, to be sure ; but I hope no busy people have already prejudiced Sir
chair. 693. SIR BENJAMIN. Mr. Surface, I do not mean to hurt you ; but depend on ’t, your brother is utterly undone. CRA
ovable. CRAB. I have seen one that was at his house. Not a thing left but some empty bottles that were overlooked, and the
CRAB. Oh, he has done many mean things, that’s certain. SIR BENJAMIN. But , however, as he’s your brother… (Going.) CRAB. We
6 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre III. L’âge classique. — Chapitre V. Swift. » pp. 2-82
’enseigner une vérité, mais de faire une impression ; il n’a pas pour but d’éclairer cette partie isolée de l’homme qu’on a
to day in the drawing-room, and I have given her some encouragement, but not much. (Journal, 19 mai et 7 octobre.) 948.
tter than those killing, killing words of yours… O, that you may have but so much regard for me left, that this complaint m
the Parliament or people of Ireland ? Are not they to be purchasers ? But they detest, abhor, and reject it as corrupt, fra
how he and his tribe of accomplices think fit to employ themselves ; but I hope and trust that we are all, to a man, fully
the pattern with the whole piece, and probably we come to a bargain. But if I were to buy a hundred sheep, and the grazier
He has a confused remembrance of words since he left the university, but has lost half their meaning, and puts them togeth
e honour of his visits ; and when these papers are public, it is odds but he will tell me, as he once did upon a like occas
emnly he loves and will serve you, and your back is no sooner turned, but he tells those about him you are a dog and a rasc
door. He is a presbyterian in politicks, and an atheist in religion, but he chooses at present to whore with a papist. In
e is to endeavour to impose on their understandings, for which he has but a receipt, a composition of lies and oaths… He be
r known to refuse or to keep a promise, as I remember he told a lady, but with an exception to the promise he then made, wh
a pension. Yet he broke even that, and, I confess, deceived us both. But here I desire to distinguish between a promise an
or he will be sure to keep the latter, when he has the fairest offer… But here I must desire the reader’s pardon, if I cann
the affectation of singularity, or the perverseness of human nature, but so it unhappily falls out, that I cannot be entir
ail parsons, who happen to fall in their way, and offend their eyes ; but at the same time, those wise reformers do not con
thnot et Swift y ont travaillé ensemble. 984. My first prediction is but a trifle ; yet I will mention it to show how igno
a very young lady. 987. That ridiculous passion which has no being but in playbooks and romances. 988. I never yet knew
When I reflect on this, I cannot conceive you to be human creatures, but a sort of species hardly a degree above a monkey 
t Vanessa never did ! » 991. He now could praise, esteem, approve, But understood not what was love. 992. Stella, thi
all his fine clothes ; Dear madam, be sure he’s a fine spoken man, Do but hear on the clergy how glib his tongue ran ; ‘And
sons as long as you live ; I ne’er knew a parson without a good nose. But the devil’s as welcome wherever he goes ; G — d —
welcome wherever he goes ; G — d — me, they bid us reform and repent, But , z — s, by their looks they never keep lent ; Mis
rate to Jenny.) Whenever you see a cassock and gown, A hundred to one but it covers a clown ; Observe how a parson comes in
ublic done for him ? Mere envy, avarice, and pride : He gave it all — but first he died. And had the dean in all the nation
he should fail her at quadrille. He loved the dean — (I lead a heart) But dearest friends, they say, must part. His time wa
are invested by the primum mobile… What is that which some call land, but a fine coat laced with green ? Or the sea but a w
t which some call land, but a fine coat laced with green ? Or the sea but a waistcoat of water-tabby ?… You will find how c
nt immediately to consult their father’s will, read it over and over, but not a word of a Shoulder-Knot… After much thought
thing in this will, totidem verbis, making mention of Shoulder-Knot ; but I dare conjecture we may find them inclusive, or
was immediately approved by all ; and so they fell again to examine ; but their evil star had so directed the matter that t
ntrived that a K was not to be found. Here was a weighty difficulty ; but the distinguishing brother, now his hand was in,
ved, in propriety of speech, be reasonably applied to a broom-stick ; but it was replied upon him that this epithet was und
rently of a mystery, which doubtless was very useful and significant, but ought not to be over-curiously pried into, or nic
 ; and secondly they proved it by the following syllogism : words are but wind ; and learning is nothing but words ; ergo l
he following syllogism : words are but wind ; and learning is nothing but words ; ergo learning is nothing but wind. —  … T
t wind ; and learning is nothing but words ; ergo learning is nothing but wind. —  … This, when blown up to its perfection,
ught not to be covetously hoarded up, stifled, or hid under a bushel, but freely communicated to mankind. Upon these reason
, the dead, the sapless, and the overgrown branches from their works. But now all this he cunningly shades under the follow
on, which being licked up, infallibly kills him in twenty-four hours. But in justice to this prince’s great clemency and th
urn it was to give notice about washing the floor after an execution, but who maliciously had omitted it ; by which neglect
ned, although the prince at that time had no design against his life. But this good prince was so gracious as to forgive th
e of hair behind their back, and the forepart of their legs and feet. But the rest of the body was bare so that I might see
sharp points and hooked… The females had long lank hair on their head but none on their faces, nor any thing more than a so
ass flesh… He usually continues in office till a worse can be found ; but the very moment he is discarded, his successor, a
ischarge their excrements upon him from head to foot. 1017. I cannot but conclude the bulk of your natives to be the most
on of swine’s flesh, and improvement in the art of making good bacon… But this, and many others, I omit, being studious of
course may be taken to ease the nation of so grievous an encumbrance. But I am not in the least pain upon that matter, beca
7 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Seconde partie. De l’état actuel des lumières en France, et de leurs progrès futurs — Chapitre III. De l’émulation » pp. 443-462
rit humain, il faut compter pour beaucoup la nature et la grandeur du but que peuvent se promettre ceux qui se consacrent a
ommes. Les ouvrages qui appartiennent à la haute littérature ont pour but d’opérer des changements utiles, de hâter des pro
’un chef. Si les mouvements révolutionnaires se prolongent au-delà du but qu’ils devaient conquérir, le pouvoir descend tou
s qui pourraient s’indiscipliner une fois et se diriger vers un autre but . Il y a des formules de cruauté pour ainsi dire r
rager l’ambition des succès militaires ; ils arrivent toujours à leur but , et commandent à l’opinion ce qu’ils attendent d’
besoin de cette raison progressive qui fait atteindre chaque jour un but utile, et qui présente un terme indéfini. Comment
mme on le fait quelquefois, à part de toute philosophie, n’ayant pour but que d’amuser les loisirs de la vie, et de remplir
non comme sous l’empire des monarques, pour animer une existence sans but , mais parce qu’il importe de donner à la vérité s
côté du grand intérêt de l’avancement des lumières il faut laisser le but de la gloire individuelle. La république doit don
it, en effet, que des combats sans victoire, des bouleversements sans but et des malheurs sans terme. La réputation, les su
fficacement au bonheur de l’homme, sa mission devient plus noble, son but s’agrandit ; ce n’est plus seulement une rêverie
8 (1913) Le bovarysme « Première partie : Pathologie du bovarysme — Chapitre II. Le Bovarysme comme fait de conscience son moyen : la notion »
rer de simples objets de connaissance de celles qui peuvent fixer des buts à une activité individuelle. I L’analyse de
Il faut, donc se garder de penser qu’il ait écrit ses livres dans le but de démontrer l’exactitude d’une loi psychologique
nce à cet égard. Mais s’il ne se dirigea pas consciemment vers un tel but ce but fut impliqué dans la forme même de sa visi
et égard. Mais s’il ne se dirigea pas consciemment vers un tel but ce but fut impliqué dans la forme même de sa vision, qui
e contrarié fatale entre la destination naturelle d’une énergie et le but vers lequel cette énergie oriente consciemment so
qu’il ne peut réaliser, des sentiments auxquels il est impropre, des buts qui lui sont inaccessibles. Son pouvoir de connai
risque de voir son énergie détournée, amoindrie et gaspillée. Car les buts inaccessibles sont projetés dans sa conscience en
inaccessibles sont projetés dans sa conscience en même temps que des buts saisissables, et, dans ce miroir, les uns et les
ser dans les conditions qui lui sont le plus favorables. Entre divers buts proposés avec une égale insistance, il choisira n
la notion. Vaincue, elle en vient à négliger et jusqu’à mépriser les buts fixés par l’hérédité et les tâches appropriées po
9 (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Introduction »
, sur sa route, sur ses bornes, sur les écueils qui séparent d’un tel but . Honte à moi cependant si, durant le cours de deu
t aux plus cruels malheurs, ils ont plus besoin du système qui a pour but unique d’éviter la douleur. Enfin, les caractères
ans variété, leur existence est monotone, quoique chacun d’eux ait un but différent, et il y a autant de nuances que d’indi
plus sûrs pour éviter les grandes peines. C’est à la recherche de ce but que ce livre est destiné. Deux ouvrages doivent s
u bonheur des nations ; c’est que dans le premier, on peut avoir pour but l’indépendance morale la plus parfaite, c’est-à-d
t exister, parce que là les passions ne sont point excitées par aucun but , par aucun théâtre propre à les enflammer. Enfin,
ociétés ; le même nombre d’hommes divisé, séparé, sans mobile et sans but , n’offre pas un génie supérieur, une âme ardente,
s, plusieurs se seraient élevés au-dessus de la classe commune, si le but avait fait naître l’intérêt, et l’intérêt l’étude
ente toujours des considérations nouvelles, quand on l’étudie avec un but déterminé, et que guidé, par l’éternelle ressembl
s siècles. Ces différentes réflexions conduiraient enfin au principal but des débats actuels, à la manière de constituer un
sions factieuses ; un gouvernement qui put offrir à un grand homme un but digne de lui, et décourager l’ambition de l’usurp
re social ; mais il est utile pour les législateurs de se proposer ce but , de quelque manière qu’ils conçoivent sa route. D
du despotisme, ou de l’établissement de tout pouvoir qui n’a pas pour but le bonheur de tous ; on l’est aussi, sans doute,
bjet qui nous est le plus cher ! et jamais on n’obtient, soi-même, le but qu’à ce prix affreux on s’était proposé. Nul homm
s les temps. Dans l’étude des constitutions, il faut se proposer pour but le bonheur, et pour moyen la liberté ; dans la sc
dépend toujours d’eux-mêmes. Il y a de l’avantage à se proposer pour but de son travail sur soi, la plus parfaite indépend
qu’à aucun autre lien de la terre, tout est moyen, elle seule est le but  ; l’on veut aussi de l’estime publique, mais il s
ière que l’on juge mon plan, ce qui est certain, c’est que mon unique but a été de combattre le malheur sous toutes ses for
10 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre V. Les contemporains. — Chapitre III. La critique et l’histoire. Macaulay. »
ain a fait fausse route, que depuis Bacon seulement il a découvert le but vers lequel il doit tendre et la méthode par laqu
quel il doit tendre et la méthode par laquelle il peut y parvenir. Ce but est l’utile. L’objet de la science n’est pas la t
isible ; qu’elle renonce à ce qu’il faut ignorer ; elle n’a point son but en elle-même, elle n’est qu’un moyen ; l’homme n’
usqu’à l’évidence que l’État n’est qu’une association laïque, que son but est tout temporel, que son seul objet est de prot
nnement, il ne se perd jamais dans une digression ; il a toujours son but devant les yeux ; il y marche par le chemin le pl
nable ; il nous prend tous par la main et nous conduit tour à tour au but qu’il s’est marqué. Il part des données les plus
s raisonnements serrés et multipliés qui se portent tous vers un seul but , ces coups répétés de logique qui viennent à chaq
gouvernements, des intrigues du palais, des débats du parlement. Mon but et mes efforts seront de faire l’histoire de la n
orateur reforme des chaînes de raisons ; mais tous trois vont au même but par des voies différentes, et l’orateur comme ses
pide talent de l’homme qui explique et qui expose, sans avoir d’autre but que d’expliquer et d’exposer, qui répand partout
lité ni douceur, ce sérieux éternel, cette marche géométrique vers un but marqué, annoncent en lui l’esprit anglais. Mais s
o the cavern. The Stoic assures them that such an accident is nothing but a mere ἀποπροηγμένον. The Baconian, who has no su
lves, we own that we do not understand the common phrase, a good man, but a bad king. We can as easily conceive a good man
ous, and that he afterwards executed it with great skill and success. But does it necessarily follow that Addison’s advice
wice, and what nobody else has ever done ? Addison’s advice was good. But had it been bad, why should we pronounce it disho
e, and advised Addison to print out without risking a representation. But Scott, Goethe, Robertson, Addison, had the good s
ward marks of reverence, and his name was used in public instruments. But in the government of the country, he had less rea
y. It is weak even to helplessness for purposes of manly resistance ; but its suppleness and its tact move the children of
those millions do not furnish one sepoy to the armies of the Company. But as usurers, as money-changers, as sharp legal pra
ts were not to him as to most Englishmen mere names and abstractions, but a real country and a real people. The burning sun
o him the same thing as oppression in the streets of London. 1373. But in all those works in which Mr. Southey has compl
ury name. A wise man might talk folly like this by his own fireside ; but that any human being, after having made such a jo
he deluge, have been considered as light reading by Hilpa and Shalum. But unhappily the life of man is now three-score year
pily the life of man is now three-score years and ten ; and we cannot but think it somewhat unfair in Dr. Nares to demand f
ever excluded from participation in the blessings which she bestowed. But to those who, in spite of her loathsome aspect, p
s the form of a hateful reptile. She grovels, she hisses, she stings. But woe to those who in disgust shall venture to crus
rown-up children, than that which was then exhibited at Westminster ; but perhaps there never was a spectacle so well calcu
earth, too often paraded with injudicious and inelegant ostentation, but still precious, massive, and splendid. There appe
a certain system of pulleys, will suffice to raise a certain weight. But his demonstration proceeds on the supposition tha
stuary, should be versed in the philosophy of equilibrium and motion. But , as he who has actually to build must bear in min
is a just temper between the mere man of theory, who can see nothing but general principles, and the mere man of business,
general principles, and the mere man of business, who can see nothing but particular circumstances. Of lawgivers in whom th
ugh to make a miserable noise, and have then gone off in convulsions. But in the English legislature the practical element
great English law. To a jurist, versed in the theory of legislation, but not intimately acquainted with the temper of the
trate. This principle the Toleration Act not only does not recognise, but positively disclaims. Not a single one of the cru
s perfectly willing to make the declaration required from the quaker, but who has doubts about six or seven of the articles
rd of just reason which is the same in all countries and in all ages. But these very faults may perhaps appear to be merits
little cluster of villages was some copsewood and some pasture land : but a little further up the defile no sign of populat
of a peaceful age can extract nothing valuable from that wilderness : but , in an age of violence and rapine, the wilderness
or to our private animosity, whatever virtue we have takes the alarm. But virtue itself may contribute to the fall of him w
indsay answered that the soldiers came as friends, and wanted nothing but quarters. They were kindly received, and were lod
b :” one of them muttered, “I should be glad to fight the Macdonalds. But to kill men in their beds !” — “We must do as we
11 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre VIII. De l’invasion des peuples du Nord, de l’établissement de la religion chrétienne, et de la renaissance des lettres » pp. 188-214
iert la conviction que tous les événements principaux tendent au même but , la civilisation universelle. L’on voit que, dans
ne soutient plus personne : il reste des jours, mais il n’y a plus de but pour la vie. On perd en soi-même toute émulation,
imait au carnage. Le dogme des peines et des récompenses n’avait pour but que d’encourager ou de punir les actions de la gu
’était d’accroître la puissance physique. La guerre était leur unique but . Voilà de quels éléments il fallait faire sortir
eligion n’étant destinée qu’aux peuples du Midi, elle eut pour unique but de relever l’esprit militaire, en offrant les pla
ques pas. La religion chrétienne ayant un législateur dont le premier but était de perfectionner la morale, devant réunir s
fut changée en résolution inébranlable ; la force qui n’avait d’autre but que l’empire de la force, fut dirigée par des pri
anima cependant des principes de vie morale dans quelques hommes sans but et sans liens ; elle ne put leur rendre une patri
rection des affaires à ces conquérants de l’ordre civil. Ils ont pour but et pour bannière une idée philosophique ; mais le
e n’est pas les servir, c’est se rendre indépendant d’eux, qui est le but principal de tous les conseils des philosophes. L
au caractère de l’homme de se montrer ; et la philosophie, qui a pour but l’étude des mouvements de l’âme, a beaucoup acqui
ion chrétienne d’avoir affaibli les caractères : l’Évangile a eu pour but de combattre la férocité ; or il est impossible d
e aux facultés pensantes, quel que soit le point d’où l’on part et le but où l’on veut arriver. Sans doute, si les facultés
12 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre V. Les contemporains. — Chapitre IV. La philosophie et l’histoire. Carlyle. »
ulier, et autant que possible par une langue particulière, ayant pour but principal de garder une vraie tenue nazaréenne, e
nthousiasme des cochons, le dévouement des cochons, n’ont pas d’autre but . C’est le devoir complet des cochons1411. » Voil
ure, un amusement de dilettante, mais un fait sérieux ; c’est pour un but bien réel et sérieux qu’ils ont été bâtis. —  Oui
conduite mystérieuse qui pousse toutes ces masses flottantes vers un but ignoré et inévitable, ce sont là les grandes et s
u d’amour-propre, à publier la vérité qui la frappe, elle a touché le but  : nous n’avons que faire du talent ; nous n’avons
able et bon de chasser le pape… La haute louange d’avoir poursuivi un but juste ou noble ne peut lui être accordée sans bea
uivi la philosophie comme vos puritains la religion ; ils ont eu pour but le salut universel comme vos puritains le salut p
au-dessus de nous que pour nous fournir une horloge astronomique, un but aux télescopes d’Herschel, une matière à formules
fixtures, pretending still to be a moon or sun, though visibly it is but a chinese lantern made of paper mainly with candl
r midnight, even in the arctic latitudes, has its character : nothing but the granite cliffs ruddy-tinged, the peaceable gu
m the silent immensity, and palace of the Eternal, whereof our sun is but a porch-lamp ?” 1396. French Revolution, t. I,
acy” there may be, and so awaits the issue. The issue has been slow ; but it is now seen to have been inevitable. No ostric
ent on gross terrene provender, and sticking its head into fallacies, but will be awakened one day in a terrible a posterio
less the battle of Austerlitz, Wagram, Waterloo, or any other battle, but an incident passed carelessly over by most histor
unveiled. To my own surmise, it appears as if the Dandiacal sect were but a new modification, adapted to the new time, of t
ll which proposition I, for the present, content myself with modestly but peremptorily and irrevocably denying. 1407. I m
tent. Hitherto you see only partial transient sparkles and sputters ; but wait a little, till the entire nation is in an el
ay, as all such fires would be, is hidden in the centre. Deep hidden, but awakenable, but immeasurable ; let no man awaken
fires would be, is hidden in the centre. Deep hidden, but awakenable, but immeasurable ; let no man awaken it. 1409. Berse
hare of the general swine’s-trough, not any portion of my share. 10º “ But what is my share ?” Ah ! there in fact lies the g
vaporous fantasms, Rymer’s Fœdera, and Doctrines of the constitution, but a green solid place, that grew corn and several o
ago… Their architecture, belfries, land-carucates ? Yes, and that is but a small item of the matter. Does it never give th
then had a soul, — not by hearsay alone, and as a figure of speech, — but as a truth that they knew, and practically went u
dead thing, to be bottled up in Leyden jars, and sold over counters. But the natural sense of man, in all times, if he wil
truths all stand in a row, each holding by the skirts of the other ; but at best that of practical reason, proceeding by l
nderstanding is indeed thy window ; too clear thou canst not make it, but fantasy is thy eye, with its colour-giving retina
thing imagined, the thing in any way conceived as visible, what is it but a garment, a clothing of the higher, celestial in
with Symbols, recognised as such or not recognised : the Universe is but one vast Symbol of God : nay if thou wilt have it
ne vast Symbol of God : nay if thou wilt have it, what is man himself but a Symbol of God ? Is not all that he does symboli
lation to Sense of the mystic god-given Force that is in him ? 1429. But deepest of all illusory Appearances, for hiding W
l to consider that we not only carry each a future Ghost within him ; but are, in very deed, Ghosts ! These Limbs, whence h
1432. Creation, says one, lies before us like a glorious rainbow ; but the sun that made it lies behind us, hidden from
tories and observatories with their results, in his single head, — is but a pair of spectacles behind which there is no eye
basin, to keep it alive, could prosecute without shadow of a heart, — but one other of the mechanical and menial handicraft
mfully across the astonished Earth, then plunge again into the Inane. But whence ? — O Heaven, whither ? Sense knows not ;
tery to mystery, from God and to God. 1437. Is there no God, then ; but at best an absentee God, sitting idle, ever since
Duty no meaning ? Is what we call Duty no divine messenger and guide, but a false earthly fantasm, made up of desire and fe
we all astray. With stupidity and sound digestion man may front much. But what, in these dull unimaginative days, are the t
terrors of Conscience to the diseases of the liver ! Not on Morality, but on cookery let us build our stronghold : there br
or masks, under which no living Figure or Spirit any longer dwells ; but only spiders and unclean beetles, in horrid accum
know of, one great thought in all his six and thirty quartos… He sees but a little way into Nature ; the mighty All in its
reads history not with the eyes of a devout seer or even of a critic, but through a pair of mere anti-catholic spectacles.
eater of Infinitude, with suns for lamps and Eternity as back-ground… but a poor wearisome debating-club dispute, spun thro
nied… The force necessary for him was no wise a great and noble one ; but a small, in some respects a mean one, to be nimbl
er of the Greeks. (On Heroes, p. 323.) 1462. You may take my purse… but the self is mine and God my maker’s. (On Heroes,
nts of the future, lies not in the direction of reforming Parliament, but of what he calls reforming Downing-street ; a thi
ise as well as miserable, give him no satisfaction. Not this at all ; but to find some sort of King, made in the image of G
13 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre V. Les contemporains. — Chapitre V. La philosophie. Stuart Mill. »
ues1509. Et ce qui est l’instrument de ces deux sciences se trouve le but de toutes les autres. Toutes tendent à devenir dé
rience borne la carrière qu’elle nous ouvre ; elle nous a donné notre but  ; elle nous donne aussi nos limites. Nous n’avons
développé et perfectionné la théorie de l’induction ; qui a établi le but , les bornes, les provinces et les méthodes de la
ture, détermine leur marche, complète leurs ressources et marque leur but . Voilà la grande omission du système : l’abstract
an unknown recipient, or percipient, of them ; and not of them alone, but of all our other feelings. As body is the mysteri
the series of what are denominated its states, is called in question. But it is necessary to remark, that on the inmost nat
n a certain way. Considered in itself, we can predicate nothing of it but the series of its own feelings. When we say of an
other minds. A mind does not, indeed, like a body, excite sensations, but it may excite thoughts or emotions. The most impo
somewhat more, for the word implies that we not only feel admiration, but approve that sentiment in ourselves. In some case
e is generous, the word generosity expresses a certain state of mind, but being a term of praise, it also expresses that th
ld expect to recognize here a case of coexistence between phenomena ? But so it is. The attribute which causes a person to
e. 1479. The definition, they say, unfolds the nature of the thing : but no definition can unfold its whole nature and eve
we take to be this. All definitions are of names, and of names only ; but , in some definitions, it is clearly apparent, tha
he definition above given of a triangle, obviously comprises not one, but two propositions, perfectly distinguishable. The
tion ; and the conclusion is not an inference drawn from the formula, but an inference drawn according to the formula : the
e individual instances which supplied them, may have been forgotten ; but a record remains, not indeed descriptive of the f
but a record remains, not indeed descriptive of the facts themselves, but showing how those cases may be distinguished resp
hey begin again to approach, this must take place not at an infinite, but at finite distance. Supposing, therefore, such to
ree of similarity of circumstances, happen again, and not only again, but as often as the same circumstances recur. This, I
ir shoulders ? The first assertion was more credible than the latter. But why more credible ? So long as neither phenomenon
of animals, than in the general structure of their internal anatomy. But how do we know this ? Doubtless, from experience.
We have no ulterior test to which we subject experience in general ; but we make experience its own test. Experience testi
the recognition of which is the main pillar of inductive science, is but the familiar truth, that invariability of success
s of the object dewed in comparison with the air in contact with it.” But there still remains the most important case of al
, one would at first be inclined to say ; for what is to make it so ? But … the experiment is easy ; we have only to lay a t
ace, and the coldness of that surface compared with the external air. But which of these is cause, and which effect ? Or ar
1. “Now, first, no dew is produced on the surface of polished metals, but it is very copiously on glass, both exposed with
ffect is produced, and another instance in which it is not produced ; but we cannot yet pronounce, as the canon of the Meth
auses which assist in producing the deposition of dew on the surface. But if we expose rough surfaces instead of polished,
a close firm texture, such as stones, metals, etc., as unfavourable, but those of a loose one, as cloth, velvet, wool, eid
ality, is another circumstance which promotes the deposition of dew ; but this third cause resolves, itself into the first,
ored from within. The instances, on the contrary, in which no dew, or but a small quantity of it, is formed, and which are
will cause a portion of the vapour to be condensed, and become water. But , again, we know deductively, from the laws of hea
y proved. We can, it is true, accomplish this only on a small scale ; but we have ample reason to conclude that the same op
ns much screened from the open sky, and not at all in a cloudy night, but if the clouds withdraw even for a few minutes, an
eposition or non-deposition of dew. Now, since a clear sky is nothing but the absence of clouds, and it is a known property
ll other bodies between which and any given object nothing intervenes but an elastic fluid, that they tend to raise or keep
ns of the production met), from the very beginning of our experience. But we can give no account of the origin of the Perma
ed the law of causation, must be received not as law of the universe, but of that portion of it only which is within the ra
14 (1864) Le positivisme anglais. Étude sur Stuart Mill
iques38. Et ce qui est l’instrument de ces deux sciences se trouve le but de toutes les autres. Toutes tendent à devenir dé
rience borne la carrière qu’elle nous ouvre ; elle nous a donné notre but  ; elle nous donne aussi nos limites. Nous n’avons
développé et perfectionné la théorie de l’induction ; qui a établi le but , les bornes, les provinces, et les méthodes de la
ture, détermine leur marche, complète leurs ressources et marque leur but . Voilà la grande omission du système : l’abstract
an unknown recipient, or percipient, of them ; and not of them alone, but of all our other feelings. As body is the mysteri
the series of what are denominated its states, is called in question. But it is necessary to remark, that on the inmost nat
n a certain way. Considered in itself, we can predicate nothing of it but the series of its own feelings. When we say of an
other minds. A mind does not, indeed, like a body, excite sensations, but it may excite thoughts or emotions. The most impo
somewhat more, for the word implies that we not only feel admiration, but approve that sentiment in ourselves. In some case
e is generous, the word generosity expresses a certain state of mind, but being a term of praise, it also expresses that th
ld expect to recognize here a case of coexistence between phenomena ? But so it is. The attribute which causes a person to
ame. 8. The definition, they say ; unfolds the nature of the thing : but no definition can unfold its whole nature ; and e
we take to be this. All definitions are of names, and of names only ; but , in some definitions, it is clearly apparent, tha
he definition above given of a triangle, obviously comprises not one, but two propositions, perfectly distinguishable. The
tion : and the conclusion is not an inference drawn from the formula, but an inference drawn according to the formula : the
e individual instances which supplied them, may have been forgotten ; but a record remains, not indeed descriptive of the f
but a record remains, not indeed descriptive of the facts themselves, but showing how those cases may be distinguished resp
hey begin again to approach, this must take place not at an infinite, but at a finite distance. Supposing, therefore, such
ree of similarity of circumstances, happen again, and not only again, but as often as the same circumstances recur. This, I
eir shoulders. The first assertion was more credible than the latter. But why more credible ? So long as neither phenomenon
of animals, than in the general structure of their internal anatomy. But how do we know this ? Doubtless, from experience.
We have no ulterior test to which we subject experience in general ; but we make experience its own test. Experience testi
the recognition of which is the main pillar of inductive science, is but the familiar truth, that invariability of success
of the object dewed, in comparison with the air in contact with it.” But there still remains the most important case of al
, one would at first be inclined to say ; for what is to make it so ? But … the experiment is easy ; we have only to lay a t
ace, and the coldness of that surface compared with the external air. But which of these is cause, and which effect ? or ar
. "Now, first, no dew is produced on the surface of polished metals, but it is very copiously on glass, both exposed with
ffect is produced, and another instance in which it is not produced ; but we cannot yet pronounce, as the canon of the Meth
ses which assist in producing the deposition of dew on the surface. " But if we expose rough surfaces instead of polished,
a close firm texture, such as stones, metals, etc., as unfavourable, but those of a loose one, as cloth, velvet, wool, eid
ality, is another circumstance which promotes the deposition of dew ; but this third cause resolves itself into the first,
ored from within. The instances, on the contrary, in which no dew, or but a small quantity of it, is formed, and which are
will cause a portion of the vapour to be condensed, and become water. But , again, we know deductively, from the laws of hea
y proved. We can, it is true, accomplish this only on a small scale ; but we have ample reason to conclude that the same op
ns much screened from the open sky, and not at all in a cloudy night, but if the clouds withdraw even for a few minutes, an
eposition or non-deposition of dew. Now, since a clear sky is nothing but the absence of clouds, and it is a known property
ll other bodies between which and any given object nothing intervenes but an elastic fluid, that they tend to raise or keep
ns of the production met), from the very beginning of our experience. But we can give no account of the origine of the Perm
the law of causation, must be received not as a law of the universe, but of that portion of it only which is within the ra
15 (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Conclusion. »
l triste sort nous offrez-vous donc sans mobile, sans intérêt et sans but  ? D’abord ce n’est pas du bonheur dont j’ai cru o
nt. D’ailleurs, on peut trouver dans la vie un intérêt, un mobile, un but , sans être la proie des mouvements passionnés ; c
e qu’elle suppose, c’est une sorte de fièvre qui présente toujours un but imaginaire qu’il faut atteindre avec des moyens r
é d’un attachement sans bornes, on aime à se dévouer sans avoir aucun but que le plaisir du dévouement même. Enfin, si, dan
moral, il faut descendre la vie, en regardant le rivage plutôt que le but . Les enfants, laissés à eux-mêmes, sont les êtres
regret occupe à jamais votre pensée, que vous croyez avoir manqué le but où tendait votre passion, votre vie est plus remp
e destinée qui entraîne avec elle, ou l’impossibilité d’arriver à son but , ou l’impuissance d’en jouir ? Loin de moi cepend
te, vous paraitra-t-il moins digne d’être plaint ? J’aurai rempli mon but , si j’ai donné quelque espoir de repos à l’âme ag
ir, et poursuivant chaque instant comme le seul, ne se réveille qu’au but ou dans l’abîme. Inexplicable phénomène que cette
aient sont déliés, l’intérêt de parti devient pour tous les hommes le but par excellence : ce but, étant censé renfermer et
érêt de parti devient pour tous les hommes le but par excellence : ce but , étant censé renfermer et la véritable vertu et l
, on peut se passer de pitié ; mais une révolution, quel que soit son but , suspend l’état social, et il faut remonter à la
16 (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Appendice. [Rapport sur les primes à donner aux ouvrages dramatiques.] » pp. 497-502
e d’un tel examen, s’assemble, et déjà l’expérience a porté fruit. Le but dans lequel la fondation a été instituée s’est mi
tion a été instituée s’est mieux défini aux yeux des concurrents : ce but est un accord entre la saine morale et la littéra
mieux donc et le plus sûr pour tout auteur qui se préoccupe du noble but qu’a en vue l’institution présente, c’est que la
jugé avoir le mieux satisfait à toutes les conditions désirables d’un but moral et d’une exécution brillante ». Le second a
ficulté littéraire que rencontre l’institution présente, c’est que le but moral qu’elle réclame avant tout puisse tomber d’
e le monde proprement dit a droit de son côté d’exiger ; c’est que le but moral, si on l’y introduit, ne s’y affiche pas d’
mission ; il s’y présentait par un ouvrage déjà connu de tous et d’un but moral avoué. C’était moins encore l’auteur de la
remarqué que l’auteur, en se proposant et en professant hautement un but moral des plus honorables, jette quelquefois bien
17 (1913) Le bovarysme « Troisième partie : Le Bovarysme, loi de l’évolution — Chapitre II. Bovarysme essentiel de l’être et de l’Humanité »
ffort des hommes pour augmenter leurs joies vainement orienté vers ce but irréel. Délivré de la croyance en une vérité obje
aisons nouvelles ? L’individu recherche la volupté qui lui semble son but à elle-même, il veut augmenter son bien-être par
rte si son désir le trompe et exploite son effort, au profit d’autres buts , puisque aussi bien cette forme individuelle qui,
faire place à un fantôme nouveau et aussi éphémère ? Désintéressé des buts illusoires que s’obstine à convoiter une entité i
essus de cette conception contradictoire, il ne trouve un terme et un but à la vie phénoménale que dans la cessation de cel
le Brahmanisme et le Déisme avec la confusion en Dieu assignée comme but au perfectionnement individuel. Tandis que la pre
nnaissance que l’on attribua à l’existence phénoménale, comme le seul but qu’il fût permis de lui prêter. Ce vœu de l’exist
18 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre III. L’âge classique. — Chapitre IV. Addison. »
lle s’appuie sur le raisonnement et le calcul. —  Comment elle a pour but la satisfaction en ce monde, et le bonheur dans l
uelle ; en outre, elle nous empêche le plus souvent d’atteindre notre but  ; d’ailleurs elle est le grand trait de la condit
vice comme les prohibitions. Rien de sublime ni de chimérique dans le but qu’il nous propose ; tout y est pratique, c’est-à
ence que les médecins appellent hydrophobie ; mais m’étant rappelé le but du spectacle, je revins à moi à l’instant, et con
eve the modesty of their characters, and not to imitate the nakedness but the innocence of their mother Eve. In short, mode
able pleasure in calling anything one’s own. A Freehold, though it be but in ice and snow, will make the owner pleased in t
as one who give my consent to every law which passes… A freeholder is but one remove from a legislator, and for that reason
one another, as our senses do material objects, and there is no doubt but our souls, when they are disembodied, or placed i
maranths. His soil is not restrained to any particular set of plants, but is proper either for oaks or myrtles, and adapts
mieux. (Spectator, nº 411.) 931. Constantia who knew that nothing but the report of her marriage could have driven him
t know at first whether it might not be an embassy of Indian queens ; but upon my going about in the pit, and taking them i
aid indeed that he once gave him a rip in his flesh-coloured doublet. But this was only to make work for himself, in his pr
as, I am informed, a country gentleman who does it for his diversion, but desires his name may be concealed. He says very h
hat I thought very odd, had something in it like artificial wrinkles. But I was the less surprised at it, when I saw upon h
s that kind of distraction which the physicians call the hydrophobia. But considering what the intention of the show was, I
fe ; and passing from one thought to another : Surely, said I, man is but a shadow and life a dream. Whilst I was thus musi
us told me that this bridge consisted at first of a thousand arches ; but that a great flood swept away the rest, and left
e rest, and left the bridge in the ruinous condition I now beheld it. But tell me further, said he, what thou discoverest o
ay concealed in the bridge, which the passengers no sooner trod upon, but they fell through them into the tide and immediat
bridge, so that throngs of people no sooner broke through the cloud, but many of them fell into them. They grew thinner to
ut many of them fell into them. They grew thinner towards the middle, but multiplied and lay closer together towards the en
e end of the arches that were entire. There were indeed some persons, but their number was very small, that continued a kin
small, that continued a kind of hobbling march on the broken arches, but fell through one after another, being quite tired
suit of bubbles that glittered in their eyes and danced before them ; but often when they thought themselves within the rea
n the first stage of his existence, in his setting out for eternity ; but cast thine eye on that thick mist into which the
ted on one half of it, insomuch that I could discover nothing in it : But the other appeared to me a vast ocean planted wit
r the wings of an eagle, that I might fly away to those happy seats ; but the genius told me there was no passage to them,
me no answer, I turned about to address myself to him a second time, but I found that he had left me ; I then turned again
n turned again to the vision which I had been so long contemplating ; but instead of the rolling tide, the arched bridge, a
rolling tide, the arched bridge, and the happy islands, I saw nothing but the long hollow valley of Bagdad, with oxen, shee
19 (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section première. Des passions. — Chapitre VII. De l’esprit de parti. »
tendard ; mais le pur fanatisme, dans tous les temps, et pour quelque but que ce soit, n’existe que dans un certain nombre
ns ; dans celle-là, la route qu’il faut suivre est commandée comme le but qu’on doit atteindre : les hommes dominés par cet
ais les disciples se font un article de foi de la route autant que du but . Il faut que les moyens soient de la nature de la
même, que celui qui l’éprouve est enivré de meilleure foi ; et que le but de cette passion n’étant pas personnel à l’indivi
qu’il ne peut se repentir d’aucun sacrifice quand il s’agit d’un tel but . La dépopulation de la France était conçue par la
’abandonner des avantages individuels dont on sait la mesure, pour un but tel que cette passion le fait concevoir, pour un
mesure, pour un but tel que cette passion le fait concevoir, pour un but qui n’a jamais rien de réel, de jugé, ni de connu
laquelle l’homme qui pense jouit d’un avenir sans bornes, atteint un but toujours renaissant ; cette carrière se referme à
est entièrement de bonne foi. L’esprit de parti arrive souvent à son but par sa constance et son intrépidité, mais jamais
epoids ; tout ce qui se rencontre dans sa route doit être sacrifié au but qu’elle se propose. Toutes les autres passions ét
elle pouvait l’être, si elle atteignait jamais ce qu’elle appelle son but , il n’est point d’espoir qui fut plus détrompé, q
20 (1830) Cours de philosophie positive : première et deuxième leçons « Première leçon »
Première leçon Exposition du but de ce cours, ou considérations générales sur la n
I. (1) L’objet de cette première leçon est d’exposer nettement le but du cours, c’est-à-dire de déterminer exactement l
ions de laborieuses recherches scientifiques, sans avoir en vue aucun but étranger capable d’agir fortement sur l’imaginati
découverte précise et la réduction au moindre nombre possible sont le but de tous nos efforts, en considérant comme absolum
ue, trois considérations qui, bien que distinctes, concourent au même but . Ainsi, les phénomènes astronomiques d’abord, com
ant besoin de notre intelligence : tel est, j’ose le dire, le premier but de ce cours, son but spécial. (4) Les conceptions
ntelligence : tel est, j’ose le dire, le premier but de ce cours, son but spécial. (4) Les conceptions que je tenterai de p
’auront plus pour nos successeurs qu’une existence historique. (5) Le but spécial de ce cours étant ainsi exposé, il est ai
de ce cours étant ainsi exposé, il est aisé de comprendre son second but , son but général, ce qui en fait un cours de phil
urs étant ainsi exposé, il est aisé de comprendre son second but, son but général, ce qui en fait un cours de philosophie p
récier l’importance. Afin de résumer les idées relativement au double but de ce cours, je dois faire observer que les deux
énéral des sciences positives proprement dites. Tel est, du moins, le but de ce cours. VI. (1) Maintenant que j’ai es
r un bon système d’habitudes intellectuelles ; ce qui est pourtant le but essentiel de l’étude de la méthode. Je n’ai pas b
t de nos idées, elles ne sont nullement susceptibles d’atteindre leur but principal, la régénération fondamentale de l’éduc
vance une opinion erronée de la nature de ce cours. En assignant pour but à la philosophie positive de résumer en un seul c
i pas besoin de plus grands détails pour achever de convaincre que le but de ce cours n’est nullement de présenter tous les
xplication positive des phénomènes naturels, ce qui est, en effet, le but philosophique de la science, nous regarderons com
cours, de déterminer, aussi exactement qu’il a été en mon pouvoir, le but , l’esprit et l’influence de la philosophie positi
r nettement : telle est toute mon ambition. Ayant exposé le véritable but de ce cours, c’est-à-dire fixé le point de vue so
21 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre II. La Renaissance. — Chapitre III. Ben Jonson. » pp. 98-162
ssaline, les Agrippine, les Catilina et les Tibère124. On va droit au but et intrépidement dans cette Rome ; la justice et
out me, now five years… The muse not peeps out, one of hundred days ; But lies block’d up, and straiten’d, narrow’d in, Fix
ould arm Prodigious ignorance to wound thee thus !… … Would men learn but to distinguish spirits, And set true difference ‘
When will you take some physik, lady ? livia. When I shall, Eudemus ; but let Drusus’ drug Be first prepared. eudemus. Were
, the rain or wind Which you shall lay on with a breath or oil As you but like, and last some fourteen hours. This change c
nquinius. Rome did never boast the virtue That could give envy bounds but his : Sejanus. first senator. Honour’d and noble 
e particular ambition ; and under a pretext of service to us, he doth but remove his own lets ; alleging the strength he ha
conscript fathers, are able to examine and censure these suggestions. But were they left to our absolving voice, we durst p
ys to please, Nor nimble squib is seen to make afear The gentlewomen… But deeds and language such as men do use… You, that
ay see my saint. Hail the world’s soul and mine !… O thou son of Sol, But brighter than thy father, let me kiss, With adora
and monies ; am your steward, sir, Husband your goods here. voltore. But am I sole heir ? mosca. Without a partner, sir ;
r ? MOSCA. Sir, I am sworn, I may not show the will Till he be dead ; but here has been Corbaccio, Here has been Voltore, h
cannot number ‘em, they were so many, All gaping here for legacies ; but I, Taking the vantage of his naming you, Signior
kness for consent, and sent home th’ others, Nothing bequeath’d them, but to cry and curse. CORVINO. O, my dear Mosca !… Ha
As well as any woman that should keep him. CORVINO. Do as you will ; but I’ll begone. 144. My divine Mosca ! Thou hast
ion ; Employ them how thou wilt ; nay, coin me too, So thou, in this, but crown my longings, Mosca… MOSCA. Have you no kins
u shalt have jewels, gowns, attires, What thou wilt think and ask. Do but go kiss him. Or touch him, but. For my sake, at m
ires, What thou wilt think and ask. Do but go kiss him. Or touch him, but . For my sake, at my suit. This once. —  No ? not 
ains an ear ring, To purchase them again, and this whole state. A gem but worth a private patrimony Is nothing. We will eat
pearl, You’ll say, was yours ? Right. This diamond ? I’ll not deny’t, but thank you. Much here else ? It may be so. Why, th
s here spent untasted, Like a fair taper with his own flame wasted !… But with thy water let this curse remain, As an insep
th thy water let this curse remain, As an inseparate plague, that who but taste A drop thereof, may with the instant touch,
instant touch, Grow dotingly enamour’d on themselves. (Ibid.) 166. But knowing myself an essence too sublimated and refi
in Nature’s lap Leap’d out, and made their solemn conjuration To last but while she lived. (Acte I, sc. ii.) But she, as ch
eir solemn conjuration To last but while she lived. (Acte I, sc. ii.) But she, as chaste as was her name, Earine, Died unde
: à un autre point de vue, au contraire, la raison, la santé sont des buts naturels. 173. Voy. Spinosa et D. Stewart : La
22 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre II. La Renaissance. — Chapitre VI. Milton. » pp. 411-519
are des poëtes de la Renaissance. —  Comment il impose à la poésie un but moral. —  Ses poëmes profanes. —  L’Allegro et le
e joie, les cloches qui sonnent comme à Londres, et j’imagine qu’on y but à la santé du nouveau roi. Là-dessus Satan fait d
erred the two famous renowners of Beatrice and Laura, who never write but honour of them to whom they devote their verse, d
t Against Heaven’s hand or will ; nor bate one jot Of heart or hope ; but still bear up, and steer Right onwards. What supp
vain mask Content, though blind, had I no other guide. (Sonnet XIX.) But patience, to prevent That murmur, soon replies :
be his bail and surety, that he is no idiot or seducer ; it cannot be but a dishonour and derogation to the author, to the
aid artfully together, it cannot be united in a continuity, it can be but contiguous in this world ; nay, rather, the perfe
er knowledge ? What wants there to such a towardly and pregnant soil, but wise and faithful labourers, to make a knowing pe
the painted battlements and gaudy rottenness of prelatry, which wants but one puff of the king to blow them down like a pas
they sprinkled it, they bedecked it, not in robes of pure innocence, but of pure linnen, with other deformed and fantastic
and unbreathed virtue, that never sallies out and sees her adversary, but slinks out of the race where that immortal garlan
elatical Episcopacy.) 477. For books are not absolutely dead things, but do contain a potency of life in them, to be as ac
ood book : who kills a man kills a reasonable creature, God’s image ; but he who destroys a good book, kills reason itself,
God, as it were, in the eye. Many a man lives a burden to the earth ; but a good book is the precious life-blood of a maste
, whereof the execution ends not in the slaying of an elemental life, but strikes at the ethereal and soft essence, the bre
t skill to keep a stock going upon his trade… What does he therefore, but resolves to give over toyling and to find himself
on. So that a man may say his religion is now no more within himself, but is become a dividual moveable, and goes and comes
l. 493. Voyez dans Lycidas la prophétie contre l’archevêque Laud : But that two-handed engin at the door, Stands ready t
ands ready to smite once and smite no more. 494. Arcades. 495. But else in deep of night, when drowsiness Hath locke
esoever they be found, are the inspired gift of God, rarely bestowed, but yet to some (though most abuse) in every nation ;
d sable stole of cypress-lawn, Over thy decent shoulders drawn. Come, but keep thy wonted state, With even step, and musing
k, Where no profaner eye may look, Hide me from the day garish light. But let my due feet never fail To walk the studious c
and now believe That He, the Supreme Good, to whom all things ill Are but as slavish officers of vengeance, Would send a gl
slumber lull’d the sense, And in sweet madness robb’d it of itself ; But such a sacred and home-felt delight, Such sober c
Such sober certainty of waking bliss, I never heard till now. 503. But when lust, By unchaste looks, loose gestures, and
03. But when lust, By unchaste looks, loose gestures, and foul talk, But most by lewd and lavish act of sin, Lets in defil
nd In slumber soft, and on the ground Sadly sits the Assyrian queen : But far above in spangled sheen Celestial Cupid, her
wo blissful twins are to be born, Youth and Joy ; so Jove hath sworn. But now my task is smoothly done, I can fly, or I can
e and opinion… Oft in her absence, mimic Fancy wakes To imitate her ; but , misjoining shapes, Wild work produces oft, and m
t order so contrived as not to mix Tastes not well join’d, inelegant, but bring Taste after taste upheld with kindliest cha
ot seemingly The Angel, nor in mist, the common glose Of theologians, but with keen dispatch Of real hunger, and concoctive
ts and flowers… Her nursery… Her husband the relater she preferr’d… «  But apt the mind or fancy is to rove Unchecked, and o
t, not to know at large of things remote From us, obscure and subtle, but to know That which before us lies in daily life,
, he pretend Surprisal, unadmonish’d, unforewarn’d. (Liv. V.) 520. But us he sends upon his high behests For state, as s
; him who disobeys Me disobeys… All seem’d well pleased ; all seem’d, but were not all. That day, as other solemn days, the
What matter where, if I be still the same ? And what I should be, all but less than He Whom thunder has made greater ? Here
round, As one great furnace flamed : yet from those flames No light, but rather darkness visible Served only to discover s
ual storms, Of whirlwind and dire hail, which on firm land Thaws not, but gathers heap, and ruin seems Of ancient pile. (Li
de a formidable shape. The one seem’d a woman to the waist, and fair, But ended foul in many a scaly fold Voluminous and va
very gloom began, Sphered in a radiant cloud… The Earth was form’d ; but in the womb as yet Of waters, embryon immature in
pear’d not : over al the faces of Earth Main Ocean flow’d, not idle ; but , with warm Prolific humour softening all her glob
rd, They to their grassy couch, these to their nests, Were slunk, all but the wakeful nightingale ; She all night long her
23 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre II. La Renaissance. — Chapitre IV. Shakspeare. » pp. 164-280
f thy days, Making lascivious comments on thy sport, Cannot dispraise but in a kind of praise ; Naming thy name blesses an
y had annex’d thy breath ; More flowers I noted, yet I none could see But sweet or colour it had stolen from thee. 202.
h as the sea, nought enters there, Of what validity and pitch soever, But falls into abatement and low price, Even in a min
l the strength and armour of the mind, To keep itself from ‘noyance ; but much more That spirit, upon whose weal depend and
pend and rest The lives of many. The cease of majesty Dies not alone, but , like a gulf, doth draw What’s near it, with it :
sequence, Attends the boist’rous ruin. Never alone Did the king sigh, but with a general groan. 217. A station like the
y it’s a copy out of mine. Come, captain, We must be neat ; not neat, but cleanly, captain : … Come, sir page, look on me w
mistress minion, you, Thank me no thankings, nor proud me no prouds ; But settle your fine joints ‘gainst Thursday next, To
JULIET. Good father, I beseech you on my knees, Hear me with patience but to speak a word. CAPULET. Hang thee, young baggag
d, —  I cannot love, — I am too young, —  I pray you pardon me ; —  ” But , an you will not wed, I’ll pardon you : Graze whe
have put him down. BEATRICE. So I would not he should do me, my lord, but I should prove the mother of fools. 230. He ca
nd command, that, of the city’s cost, the pissing-conduit run nothing but claret-wine this first year of our reign… Away, b
ulders unless he pays me tribute ; there shall not be a maid married, but she shall pay to me her maidenhead ere they have
it. (Re-enter rebels with the heads of Lord Say and his son-in-law.) But is not this braver ? Let them kiss one another, f
Hold your hand, my lord. I have serv’d you ever since I was a child : But better service have I never done you, Than now to
— Were of an age. Well, Susan is with God ; She was too good for me : But , as I said, On Lammas-eve at night shall she be f
l, My lord and you were then at Mantua : — Nay, I do bear a brain : — but , as I said, When it did taste the wormwood on the
on, yet they are past compare : He is not the flower of courtesy, —   but , I’ll warrant him, as gentle as a lamb. —  Go thy
wench ; serve God : — What, have you dined at home ? JULIET. No, no : but all this did I know before : What says he of our
haft. 242. O, she misused me past the endurance of a block ; an oak, but with one green leaf on it, would have answered he
untangled, much misfortune bodes. This, this is she… 244. There’s but a shirt and a half in all my company ; and the ha
247. OTHELLO. Not now, sweet Desdemona ; some other time. DESDEMONA. But shall’t be shortly ? OTHELLO. The sooner, sweet,
ay noon, or night ; or Wednesday morn ; — I pray thee, name the time, but let it not Exceed three days ; in faith, he’s pen
r, Nay, and you shall hear some. I’ll tell thee what. —  Yet go. Nay, but thou shall stay too. —  I would my son Were in Ar
our nuptial day was done. 265. CORIOLANUS. I thank you, general ; But cannot make my heart consent to take A bribe to p
’s tongue Make motion through my lips ; and my arm’d knees, Who bow’d but in my stirrup, bend like his That has receiv’d an
my stirrup, bend like his That has receiv’d an alms. … Yet were there but this single plot to lose, This mould of Marcius,
ce the steep Tarpeian death, Vagabond exile, flaying ; pent to linger But with a grain a day, I would not buy Their mercy a
my seated heart knock at my ribs ?… … My thought, whose murder yet is but fantastical, Shakes so my single state of man tha
state of man that function Is smother’d in surmise ; and nothing is, But what is not. 279. … Now o’er the one half worl
eir fear ; I could not say, Amen, When they did say, God bless us ! … But wherefore could I not pronounce, Amen ? I had mos
Wake Duncan with thy knocking ! Ay, would thou couldst. 284. Had I but died an hour before this chance, I had liv’d a bl
for, from this instant, There’s nothing serious in mortality : All is but toys : renown and grace, is dead ; The wine of li
that, should I wade no more, Returning were as tedious as go o’er. … But let the frame of things disjoint, both the worlds
That, when the brains were out, the man would die, And there an end. But now ! they rise again With twenty mortal murthers
ntry ! Almost afraid to know itself ! It cannot Be call’d our mother, but our grave. Where nothing But he who knows nothing
itself ! It cannot Be call’d our mother, but our grave. Where nothing But he who knows nothing, is once seen to smile, Wher
lighted fools The way to dusty death. Out, out, brief candle ! Life’s but a walking shadow ; a poor player That struts and
world were now undone. … They have tied me to a stake ; I cannot fly, But , bear-like, I must fight the course. … I have sup
and gross in nature, Possess it merely. That it should come to this ! But two months dead ! nay, not so much, not two : So
erity to incestuous sheets ! It is not, nor it cannot, come to good ; But break, my heart, for I must hold my tongue ! 29
91. Hold, hold, my heart ; And you my sinews, grow not instant old, But bear me stiffly up ! —  Remember thee ? Ay, poor
MLET. At supper. KING. At supper ? Where ? HAMLET. Not where he eats, but where he is eaten : a certain convocation of poli
s of bright gold ; There’s not the smallest orb which thou behold’st, But in his motion like an angel sings, Still quiring
ring to the young-eyed cherubins, Such harmony is in immortal souls ; But whilst this muddy vesture of decay Doth grossly c
24 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre II. La Renaissance. — Chapitre I. La Renaissance païenne. » pp. 239-403
, qui, dominant l’impulsion primitive, calcule et choisit en vue d’un but . À ce moment, l’esprit est devenu capable de se j
est supérieur à son sujet, l’embrasse tout entier, l’accommode à son but , et c’est pour qu’il y imprime la marque propre d
hie différente, la réforme entière des sciences par l’indication d’un but nouveau, par la définition d’une méthode distinct
mais en vue de la guérison ou de l’atténuation du vice, et donne pour but à la science des mœurs la réformation des mœurs.
ervation des aliments. Aussi bien, dit son principal personnage, « le but de notre Institut est la découverte des causes et
ifique et son objet final. Ajoutez encore sa méthode. Car une fois le but d’un voyage marqué, la route est désignée, puisqu
t d’un voyage marqué, la route est désignée, puisque partout c’est le but qui désigne la route ; quand le point d’arrivée d
t des disputeurs, non des inventeurs. Du moment qu’une science a pour but un art, et qu’on étudie pour agir, tout est retou
long tales of great delight,  With words and looks that tigers could but rue,           Where each of us did plead the ot
in thy walls thou dost each night enclose ;          To other leef, but unto me most dear : Echo, alas ! that doth my so
In her it might be found alone. For in her mind no thought there is,  But how she may be true, I wis ; And tenders thee and
Orlando Furioso or honest king Arthur will never displease a soldier. But the quidditie of Ens and prima materia will hardl
found not my heart moved more than with a trumpet. And yet it is sung but by some blind crowder, with no rougher voice than
margent with interpretations, and load the memory with doutfullness ; but he cometh to you with words set in delightfull pr
rom play and old men from the chimney-corner. 291. Is it the bitter, but wholesome Iambic, who rubbes the galled mind, in
eeping objections so soon trodden down, it not being an arte of lies, but of true doctrine ; not of effeminateness, but of
being an arte of lies, but of true doctrine ; not of effeminateness, but of notable stirring of courage ; not of abusing m
ness, but of notable stirring of courage ; not of abusing man’s witt, but of strengthening man’s witt ; not banished, but h
f abusing man’s witt, but of strengthening man’s witt ; not banished, but honoured by Plato ; let us rather plant more laur
et,  Did for mutual comfort meet,  Both within themselves oppressed,  But each in the other blessed. Their ears hungry of
Their ears hungry of each word Which the dere tongue would afford,  But their tongues restrained from walking Till their
tongues restrained from walking Till their harts had ended talking. But when their tongues could not speake,  Love itself
s and shrieking shrill,  He sought ease in river, field, and bower,  But for the time, his grief went with him still. 29
Love selfe them doth love,  With either lip he doth the other kisse. But when he will for quiet sake remove From all the w
01. Dernier sonnet, page 490. 302. Leave me, o Love, which reachest but to dust,  And thou, my mind, aspire to higher thi
things. Grow rich in that which never taketh rust ; Whatever fades, but fading pleasure brings… O take fast hold, let tha
osom brave,  At such time as the year brings on the pleasant spring,  But hunts-up to the morn the feath’red sylvans sing :
    Unto her beauty ; And enamour’d do wish, so they might           But enjoy such a sight,  That they still were to run
by her side Through swords, through seas, whither she would ride. Do but look on her eyes, they do light     All that lov
n her eyes, they do light     All that love’s world compriseth !  Do but look on her, she is bright     As love’s star wh
er, she is bright     As love’s star when it riseth !… Have you seen but a bright lily grow,      Before rude hands have
ily grow,      Before rude hands have touch’d it ?  Have you mark’d but the fall of the snow,      Before the soil hath
as soft as down. They never vail their fair through winter’s frown,  But from their sweets Love suck’d his summer time. Gr
stars so bright,  Shall turne to dust, and lose their goodly light. But that fair lampe, from whose celestial rays That l
which kindleth lovers fire,  Shall never be extinguisht nor decay ; But when the vitall spirits doe expyre,  Upon her nat
hrough cowardly distrust Of his weake wings, dare not to heaven fly. But , like a moldwarpe in the earth doth ly. 324.
endrier du Berger. 331. Her face so faire, as flesh it seemed not,  But hevenly pourtraict of bright angels hew,  Cleare
ght : In them the blinded god his lustfull fyre To kindle oft assayd, but had no might ; For, with dredd majestie and awful
nd princely port She taught to tread, when she herself would grace ; But with the woody nymphes when she did play,  Or whe
yes scorching powre,  Ne the sharp northerne wind thereon to showre ; But lapped up her silken leaves most chayre,  Whenso
silken leaves most chayre,  Whenso the froward sky began to lowre ; But , soon as calmed was the cristall ayre,  She did i
As still are wont t’ annoy the walled towne,  Might there be heard ; but careless Quiet lyes Wrapt in eternal silence farr
re black then jett. Both roof and floor and walls were all of gold,  But overgrown with dust and old decay,  And hid in da
 ; for vew of cherefull day Did never in that house itselfe display,  But a faint shadow of uncertein light,  Such as a lam
n feare and sad affright. In all that rowme was nothing to be sene,  But huge grete yron chests and coffers strong,  All b
o enforce by violence or wrong. On every side they placed were along. But all the grownd with sculs was scattered And dead
rayt,  To a broad gate all built of beaten gold : The gate was open ; but therein did wayt A sturdie villein, stryding stif
e highest god defy he would. In his right hand an yron club he held,  But he himselfe was all of golden mould,  Yet had bot
part did reach to lowest hell. (Liv. II, ch. VII.) 339. … No gate, but like one, being goodly dight With bowes and braun
vele of silke and silver thin,  That hid no whit her alabaster skin,  But rather shewd more white, if more might bee : More
Some asked me where the rubies grew,      And nothing did I say,  But with my finger pointed to     The lips of Julia.
. One ask’d me where the roses grew ;     I bade him not go seek ; But forthwith bade my Julia show     A bud in either
ut sa satire contre les courtisans. Ceci est contre les imitateurs : But he is worst, who beggarly doth chaw Other’s witt
som, and there chide And bend her brows, and swell, if any bough Does but stoop down to kiss her utmost brow ; Yet if her o
squam est, which Gesner did in modesty : that I have read many books, but to little purpose, for want of good method ; I ha
l profit, for want of art, order, memory, judgment. I never travelled but in map or card, in which my unconfined thoughts h
is demonstrationibus ? What so sure, what so pleasant ? he that shall but see that geometrical tower of Garizenda at Bologn
t, or that engine of Archimedes to remove the earth itself, if he had but a place to fasten his instrument ? Archimedis coc
Hippolytus Salvianus, etc. 351. Anatomy of melancoly, 1621. 352. But the iniquity of oblivion blindly scattereth her p
he memory of men without distinction to merit of perpetuity : who can but pity the founder of the pyramids ? Herostratus li
e to die ; since our longest sun sets at right descensions, and makes but winter arches, and therefore it cannot be long be
remember our felicities, and the smartest strokes of affliction leave but short smart upon us. Sense endureth no extremitie
bravery in the infamy of his nature… Pyramids, arches, obelisks, were but the irregularities of vain glory, and wild enormi
25 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre II. La Renaissance. — Chapitre V. La Renaissance chrétienne. » pp. 282-410
antin, la cité antique est une association d’hommes libres qui a pour but la conquête et l’exploitation d’autres hommes lib
things which we ought not to have done. And there is no health in us. But Thou, O Lord, have mercy on us, miserable offende
or if they have no sheepe to helpe to fat the ground, they shall have but bare corn and thin. They must have swine for thei
other friends to desire their help to prepare the child for burial ; but there was nobody at home, every man was in the fi
sed her of the murder, and so she was taken and brought to Cambridge. But as far forth as I could learn, through earnest in
f Cambridge, whose godfather I was, and Mistress Cheak was godmother. But all that time I hid my pardon, and told her nothi
any body so report, we should not be too hasty in believing the tale, but rather suspend our judgments till we know the tru
aid to his mother, ‘For my little pain which I shall suffer, which is but a short braid, Christ hath promised me, mother (s
ture should intermit her course, and leave altogether, though it were but for a while, the observation of her own laws ; if
larger than otherwise. Herewith notwithstanding we are not satisfied, but we covet (if it might be) to have a kind of socie
e to build somewhat upon their judgment, what reason have we to think but that, even in matters Divine, the like wits furni
love and amity, to live as if our persons being many, our souls were but one, rather than in such dismembered sort, to spe
his for a man whom he never saw, or, if he did, was not noted by him, but one that shall condemn him to the gallows, if he
ns of the undermined strand, and to invade the neighbouring gardens : but then the despised drops were grown into an artifi
ty by the eye of a reverend man, or the counsels of a single sermon : but when such beginnings are neglected, and our relig
snow, which was indeed on the outside white as the spots of leprosy, but it was not better, etc. 375. For so have I seen
as he rises, and hopes to get to heaven, and climb above the clouds ; but the poor bird was beaten back with the loud sighi
boar destroys your vineyards, or our king be sick, we regard it not, but , during that state, are as disinterested as if ou
mal prologue to the tragedy ; and still, every seven years it is odds but we shall finish the last scene : and when nature,
useless and entangled like the wheels of a broken clock. Baldness is but a dressing to our funerals, the proper ornament o
of every single person. Nature hath given us one harvest every year, but death hath two : and the spring and the autumn se
s of the year, and all minister to death ; and you can go no whither, but you tread upon a dead man’s bones. 380. Reckon
n go no whither, but you tread upon a dead man’s bones. 380. Reckon but from the sprightfulness of youth, and the fair ch
and we shall perceive the distance to be very great and very strange. But so have I seen a rose newly springing from the cl
as the morning, and full with the dew of heaven, as a lamb’s fleece ; but when a ruder breath had forced upon its virgin mo
ir young German gentleman, who, living, often refused to be pictured, but put off the importunity of his friends’ desire by
s unto the judgment of the great day. These things, I say, when I was but a child but nine or ten years old, did so distres
udgment of the great day. These things, I say, when I was but a child but nine or ten years old, did so distress my soul, t
e, I might, by my desperateness, have brought myself to my end. 413. But withal I was so overrun with the spirit of supers
work therein. This conceit grew so strong upon my spirit, that had I but seen a priest (though never so sordid and debauch
you must know, that before this I had taken much delight in ringing, but my conscience beginning to be tender, I thought s
but my conscience beginning to be tender, I thought such practice was but vain, and therefore forced myself to leave it ; y
would go to the steeple-house and look on, though I durst not ring ; but I thought this did not become religion neither ;
ecome religion neither ; yet I forced myself and would look on still. But quickly after, I began to think, ‘How, if one of
rt the steeple, from side to side, thinking here I might stand sure ; but then I thought again, should the bell fall with a
erved notwithstanding. So after this I would yet go to see them ring, but would not go any farther than the steeple-door ;
o see them ring, but would not go any farther than the steeple-door ; but then it came into my head, ‘How, if the steeple i
shake my mind, that I durst not stand at the steeple-door any longer, but was forced to flee, for fear the steeple should f
her should be quiet until I had committed it ; now no sin would serve but that : if it were to be committed by speaking of
ward into some muck-hill hole, to keep my mouth from speaking. 416. But hold, it lasted not, for before I had well dined,
le began to go off my mind, and my heart returned to its old course ; but oh, how glad was I that this trouble was gone fro
to my old custom of sports and gaming I returned with great delight. But the same day, as I was in the midst of a game of
hat it is in vain to think of a reformation, for that could never be. But how it came to pass I know not, I did from this t
treet… 420. Then the water stood in my eyes, and I asked further : But Lord, may such a great sinner as I am be indeed a
e defiled the whole man. He that began to sweep at first is the Law ; but she that brought that water, and did sprinkle it,
e dust did so fly about, that the room by him could not be cleansed ; but that thou wast almost choked therewith, —  this i
hose bones, blood, ashes, etc., lay there, were cruelly put to death. But by this place Christian went without much danger,
lace Christian went without much danger, whereat I somewhat wondered. But I have learned since that Pagan has been dead man
ht they heard all the bells therein to ring, to welcome them thereto. But , above all, the warm and joyful thoughts that the
26 (1868) Les philosophes classiques du XIXe siècle en France « Chapitre XI : M. Jouffroy moraliste »
ouffroy fut la connaissance de la destinée humaine ; il la donna pour but  à la philosophie82 ; pour lui les autres recherch
on est la découverte de la destinée humaine. Quelle est ma fin ? Quel but m’est assigné ? Que veut de moi la nature ? On va
fin totale et suprême. » — « Ce concours des fins éparses aspire à un but unique, celui-là même que Dieu s’est proposé en l
n d’une locomotive ? Traîner des fardeaux ; ici le mot fin indique un but préconçu, en vue duquel l’objet a été construit e
us jugeons qu’il est sa cause ; un savant mécanicien s’est proposé ce but  ; et le but a déterminé la quantité du fer, la di
u’il est sa cause ; un savant mécanicien s’est proposé ce but ; et le but a déterminé la quantité du fer, la disposition de
le mien, il n’en est pas moins rempli, et n’en concourt pas moins au but que le créateur s’est proposé en laissant échappe
fin. Cela signifie maintenant : En créant un être, Dieu a eu quelque but en vue. » — Je n’en sais rien88, ni vous non plus
 » Cela signifie maintenant : « En créant un être, Dieu se propose un but qui est le bien de cet être. » Je n’en sais rien,
ion et des tendances ; il la considérait ensuite, en fidèle, comme un but et un décret de Dieu. Il y voyait d’abord une œuv
uvert la science, et s’est assis blessé sur le seuil. Et cependant le but n’était pas loin. Rien de plus simple que la dédu
iments et leurs lois, et ne se proposa pas autre chose. Il donna pour but à la psychologie la psychologie, et ne permit pas
27 (1911) La valeur de la science « Deuxième partie : Les sciences physiques — Chapitre V. L’Analyse et la Physique. »
ont coûtée. Mais ce n’est pas assez. Les mathématiques ont un triple but . Elles doivent fournir un instrument pour l’étude
ment pour l’étude de la nature. Mais ce n’est pas tout : elles ont un but philosophique et, j’ose le dire, un but esthétiqu
n’est pas tout : elles ont un but philosophique et, j’ose le dire, un but esthétique. Elles doivent aider le philosophe à a
pliquées à la physique doivent l’être comme les autres. Quand même le but physique et le but esthétique ne seraient pas sol
que doivent l’être comme les autres. Quand même le but physique et le but esthétique ne seraient pas solidaires, nous ne de
ne devrions sacrifier ni l’un ni l’autre. Mais il y a plus : ces deux buts sont inséparables et le meilleur moyen d’atteindr
s de la pensée. On comprend alors comment l’analyste, qui poursuit un but purement esthétique, contribue par cela même à cr
sent pas d’être utiles, quand ces dernières font défaut. En résumé le but de la physique mathématique n’est pas seulement d
28 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre II. La Renaissance. — Chapitre II. Le théâtre. » pp. 2-96
et rectilignes de la rhétorique et de l’éloquence. Il arrive au même but , mais par d’autres voies. Il est à la fois plus c
n hope, and heartless fear ; Be mov’d at nothing, see thou pity none, But to thyself smile when the Christian moan. … I wal
cred person ; touch me not. barabbas. The law shall touch you ; we’ll but led you, we. ‘Las, I could weep at your calamity 
. mortimer. And to behold so sweet a sight as that, There’s none here but would run his horse to death… lancaster. We’ll ha
n’d, I cannot repent ; Scarce can I name salvation, faith, or heaven, But fearful echoes thunder unto my ears, “Faustus, th
me, are there many heavens above the moon ? Are all celestial bodies but one globe, As is the substance of this centric ea
in the beauty of a thousand stars ! 55. Ah, my God, I would weep ! But the devil draws in my tears. Gush forth, blood, i
ea, life and soul ! O, he stays my tongue ! I would lift up my hands. But see, they hold them, they hold them ; Lucifer and
y hold them ; Lucifer and Mephistophilis. Oh, Faustus, Now hast thou but one bare hour to live ; And then thou must be dam
through seas of blood, Or make a bridge arch’d with the bones of men, But I will grasp my aims in you, my dearest, Dearest
(Massinger, Duke of Milan, acte II, sc. i.) I’ll follow him to hell, but I will find him, And there live a fourth fury to
h continual fasts : what wit or art Could counsel, I have practised ; but alas ! I find all these but dreams, and old men’s
or art Could counsel, I have practised ; but alas ! I find all these but dreams, and old men’s tales, To fright unsteady y
there no man in Parma to be bawd To your loose cunning whoredom else but I ? Must your hot itch and pleurisy of lust, The
st, The heyday of your luxury, be fed Up to a surfeit, and could none but I Be pick’d out to be cloak to your close tricks,
.) 68. Édition Dyce, Duchess of Malfi, 60. For places in court are but like beds in the hospital, where this man’s head
ola. Yes, out of question. duchess. O, that it were possible we might But hold some two days conference with the dead ! Fro
ess of Malfi, V, v.) Glories, like glow-worms, afar off shine bright, But look’ed to near, have neither heat nor light. (Vi
rancesco de medicis. Why, you understand Latin. vittoria. I do, sir ; but amongst that auditory Which comes to hear my caus
scorn to hold my life, At yours or any man’s entreaty, sir… These are but feigned shadows of my evils : Terrify babes, my l
More and more apprehensive, I did thirst To see the man so praised ; but yet all this Was but a maiden longing, to be lost
ensive, I did thirst To see the man so praised ; but yet all this Was but a maiden longing, to be lost As soon as found ; t
g in my window, Printing my thoughts in lawn, I saw a God, I thought ( but it was you), enter our gates. My blood flew out,
’d it so : Alas I found it love : Yet far from lust. For could I have but lived In presence of you, I had had my end… … Ble
y’s sake ! … Never, sir, will I Marry ; it is a thing within my vow : But if I may have leave to serve the princess, To see
a good man. Pray, do not talk of aught I have said to you… … Pity me, But never love me more… I will pray for you, That you
it may be then, what it dare, I have a mind will hasard it. thierry. But , hark you ; What may that woman merit, makes this
r anything that’s merely ours and mortal. We were begotten Gods else. But those fears, Feeling but once the fires of nobler
ours and mortal. We were begotten Gods else. But those fears, Feeling but once the fires of nobler thoughts, Fly, like the
lovers, No careful father’s counsel, nothing’s heard, Nor nothing is, but all oblivion, Dust and an endless darkness : and
never shall hear, To part with these sweet hopes ? ordella. With all but heaven. (Thierry and Theodoret, acte IV.) 94.
ummons of departure short and certain. Glories Of human greatness are but pleasing dreams And shadows soon decaying ; on th
y, drawn out at length By varied pleasures, sweetened in the mixture, But tragical in issue. That remedy Must be a winding
alsehood Equals a broken faith. There’s not a hair Sticks on my head, but , like a leaden plummet, It sinks me to the grave 
ck’d me out a husband, And then my little ones had been no bastards ; But ‘tis too late for me to marry now, I am past chil
aisies, and long purples, That liberal shepherds give a grosser name, But our cold maids do dead-men’s fingers call them. T
the bay, Stuck in that mystic order, that the rareness Delighted me : but ever when he turn’d His tender eyes upon ‘em, he
29 (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section première. Des passions. — Chapitre II. De l’ambition. »
les de l’amour de la gloire ; son horizon étant plus resserré, et son but positif, toutes les douleurs qui naissent de cet
t honorables, ils le servaient assez ; mais l’ambition n’a qu’un seul but . Celui qui prise ainsi le pouvoir est insensible
ces personnelles, en le possédant il ne sent point de vide en lui. Le but de l’ambition est certainement aussi plus facile
tre, par l’espoir de se montrer lui-même alors qu’il aura atteint son but  ; mais s’il faisait naufrage avant d’arriver au p
ndent absolument étrangers à l’ambition dont leur existence serait le but . Enfin, quand il existerait une chance, de prolon
il voulait leur faire ; aucun ne peut mépriser ni ses efforts, ni son but  ; il lui reste sa valeur personnelle, et l’appel
u l’ambition ou la conscience, nul autre guide ne peut conduire à son but . Et quelle ambition ! quel horrible sacrifice ell
’est la puissance qu’il importe à une faction d’obtenir plutôt que le but d’abord poursuivi ; on peut triompher en faisant
en absoudre ; celui qui prend pour guide sa conscience est sûr de son but  ; mais malheur à l’homme avide de pouvoir, qui s’
30 (1889) L’art au point de vue sociologique « Préface de l’auteur »
religion de l’art même, il importe de comprendre que la religion a un but , un but à la fois spéculatif et pratique : elle t
de l’art même, il importe de comprendre que la religion a un but, un but à la fois spéculatif et pratique : elle tend au v
sensibles avec les lois du monde qui régissent la vie et la mort. Le but de la religion est donc la satisfaction effective
— satisfaction projetée dans un temps à venir ou dans l’éternité. Le but de l’art, au contraire, est la réalisation immédi
ité. L’art véritable, au contraire, sans poursuivre extérieurement un but moral et social, a en lui-même sa moralité profon
31 (1890) L’avenir de la science « Sommaire »
et il n’est pas nécessaire qu’elle ait toujours la conscience de son but . Services rendus à l’esprit humain par des esprit
logie conçue comme l’illustration du passé. La philologie n’a pas son but en elle-même. L’apparition de la philologie signa
ocialisme est la vraie, ses moyens sont mauvais et iraient contre son but . Le problème n’est que posé. Solution trop simple
xcepté les sages qui attendent. Révolutionnaires et conservateurs. Le but de l’humanité n’est pas le bonheur, mais la perfe
de l’humanité est légitime. Les droits se font et se conquièrent. Le but de l’humanité n’est pas son affranchissement, mai
t pas son affranchissement, mais son éducation. Détruire n’est pas un but . Si le but de l’humanité était la jouissance, l’é
ffranchissement, mais son éducation. Détruire n’est pas un but. Si le but de l’humanité était la jouissance, l’égalité la p
32 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre III. L’âge classique. — Chapitre III. La Révolution. »
besoin d’action ; le devoir conçu donne un emploi aux facultés et un but à la vie, provoque les associations, les fondatio
him as ’tis the fashion coolly and deliberately for honour or money. But I love him. Love him, worse and worse ! I thought
t a mere court friend, who professes every thing and will do nothing… But we, gentlemen, have still honour enough to break
free to call for it. JENNY. Indeed, sir, I never drink strong-waters, but when I have the cholic. MACHEATH. Just the excuse
only the personal revelation, the internal evidence, of christianity, but likewise a sure and firm confidence, that Christ
man in the opposite pew, an able-bodied fresh and healthy countryman. But in a moment when he seemed to think of nothing el
: for why does any man dissemble, or seem to be that which he is not, but because he thinks it good to have such a quality
d quality, as to have it ; and if a man have it not, it is ten to one but he is discovered to want it, and then all his pai
e gratias agere, reddere, dicere, to give, render, or declare thanks, but also gratias habere, grate affectum esse, to be t
e, nor bribed with expectation of emolument thence to accrue himself, but being absolute master of his own actions, only bo
will, is our friend and benefactor, preventing not only our desires, but our knowledge, surpassing not our deserts only, b
only our desires, but our knowledge, surpassing not our deserts only, but our wishes, yea even our conceits, in the dispens
ng ; for, alas ! such are above that, or at least that’s above them), but for zeal and for fasting, for a devout elevation
are history, others writ in a poetical style, and others prophetical, but the design of them all is professedly to recommen
events seem entirely loose and separate ; one event follows another ; but we can never observe any tie between them. They s
; but we can never observe any tie between them. They seem conjoined, but never connected. 845. Il faut lire dans sir Robe
care to avoid what mischiefs may be done them by polecats or foxes ; but are content, may think it safety, to be devoured
not of it. Nothing can make a man subject or member of a commonwealth but his actually entering into it by positive engagem
II, p. 85, et tome III, p. 408. — Pour Burke, tome III, p. 88. 859. But yesterday, and England might have stood against t
my country, I never would lay down my arms — never — never — never ! But , my Lords, who is the man, that in addition to th
l maxim of your liberties : that no subject of England shall be taxed but by his own consent. As an Englishman by birth and
d conduct, which distinguishes you not only from all other ministers, but from all other men. It is not that you do wrong b
sters, but from all other men. It is not that you do wrong by design, but that you should never do right by mistake. It is
t that your indolence and your activity have been equally misapplied, but that the first uniform principle, or, if I may ca
s resentment, and leave no consolation to the most vindictive spirit, but that such an object, as you are, would disgrace t
ouse of Hanover, not from a vain preference of one family to another, but from a conviction that the establishment of that
h ought to be occupied only by the highest and most exemplary honour, but forfeits their claim to the character of gentleme
obility can thus charm vice into virtue, I know not nor wish to know, but in any other thing than politics, and among any o
all precedent, latitude, or condition, the prerogatives of the crown. But though the British House of Commons were so shame
the house of Russel were so enormous, as not only to outrage economy, but even to stagger credibility. The Duke of Bedford
our forefathers… (We claim) our franchises not as the rights of men, but as the rights of Englishmen. 877. Burke, Appeal
d themselves free-thinkers ? We are protestants not from indifference but from zeal. Atheism is against not only our reason
om indifference but from zeal. Atheism is against not only our reason but our instincts. We are resolved to keep an establi
l the decent drapery of life is to be rudely torn off… Now a queen is but a woman, and a woman is but an animal. 887. Lear
is to be rudely torn off… Now a queen is but a woman, and a woman is but an animal. 887. Learning with its natural protec
e overborne, the sober incapacity of dull uninstructed men, of useful but laborious occupations) can never be put into any
33 (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section première. Des passions. — Chapitre III. De la vanité. »
t, comme à ceux qui lui sont refusés ; mais le public, dédaignant son but , et remarquant ses efforts, déprise la possession
ieu de dédaigner cet avantage par intérêt et par raison, il n’a qu’un but dans l’existence, c’est de vous parler des grands
sibles, cet égoïsme détruit la possibilité d’aimer, il n’y a point de but plus stérile que soi-même ; l’homme n’accroît ses
ation sérieuse, mais du malheur de se prendre jamais elles-mêmes pour but de leurs efforts. Quand la part qu’elles ont dans
e trône des Césars, ou les couronnes du génie littéraire en soient le but , les femmes doivent penser que, pour la gloire mê
le pour satisfaire le mouvement le plus éphémère, et le désir dont le but est le plus restreint : l’agitation que fait épro
mal qu’on voudrait réparer. La peine se multiplie par la peine, et le but s’éloigne par l’action même du désir ; et dans ce
n observer le développement complet : ce sentiment, si borné dans son but , si petit dans son mobile, qu’on pouvait hésiter
34 (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XXX. Saint Anselme de Cantorbéry »
rc qui les chassa ou la main qui les a lancées. Chose singulière ! le but vient plus souvent vers elles qu’elles ne vont el
ut vient plus souvent vers elles qu’elles ne vont elles-mêmes vers le but . Et voilà la raison, sans doute, pourquoi il n’es
lées, de la philosophie qui les a également asservis ! Car tel est le but , sinon atteint, du moins visé, du nouvel ouvrage
rétien encore qu’il ne pense, se cabre encore avec effroi, tel est le but que s’est proposé M. de Rémusat dans sa monograph
ie intellectuelle de Saint Anselme. Pourquoi s’est-il donné un pareil but  ? A-t-il tremblé dans sa conscience logique ou da
ilosophes, ces étables d’Augias humaines. Mais toujours est-il que ce but impossible d’une charte taillée entre un principe
s de Mœhler, le théologien catholique qui s’est occupé, dans un autre but , de la métaphysique de l’illustre archevêque, ni
35 (1875) Premiers lundis. Tome III « Profession de foi »
nes avec les autres ; le moyen, en un mot, semblait si bien adapté au but , et le but tellement ressortir du moyen, qu’un ho
s autres ; le moyen, en un mot, semblait si bien adapté au but, et le but tellement ressortir du moyen, qu’un homme dont to
us chère, un glaive de plus en plus indispensable et infaillible ; le but lointain d’association et d’unité s’obscurcissait
nt d’autant ; ce sentiment inspirateur, cette tendance générale et ce but d’avenir que nous signalons plus particulièrement
igence, à tous les désirs de notre cœur. Les moyens pour atteindre au but nous parurent loyaux autant qu’efficaces, pacifiq
er numéro du Globe jusqu’au dernier, dans sa pensée première, dans le but général qu’il poursuivait, dans une portion const
36 (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Troisième partie. Disposition — Chapitre II. Utilité de l’ordre. — Rapport de l’ordre et de l’originalité »
its, qui prennent les choses de haut, n’ont qu’à se lancer, portés au but par le droit jet de l’inspiration. C’est là le la
e selon un modèle idéal que leur imagination contemple. S’ils vont au but avec cette sûreté, c’est qu’ils savent bien leur
ndre génie, qui sait ordonner ses inventions, touche plus sûrement le but , fait une œuvre plus forte et plus belle qu’un gr
insensiblement du droit chemin, et se retrouvera soudain fort loin du but . Saisi à chaque moment de la vérité de ce qu’il e
t court et sensible. Chaque vérité est mise à sa place par rapport au but  : elle prépare, elle amène, elle appuie une autre
, et un amas confus de petits édifices, qui ne feraient point un vrai but , quoiqu’ils fussent les uns auprès des autres ?…
37 (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Appendice. — [Rapport sur les primes à donner aux ouvrages dramatiques.] » pp. 518-522
jugé avoir le mieux satisfait à toutes les conditions désirables d’un but moral et d’une exécution brillante. Si la Commiss
principal du programme, aux termes duquel elle était convoquée, si le but moral entrait le moins du monde dans l’inspiratio
e, que tous comprennent, que tous reconnaissent et doivent éviter. Le but moral largement conçu, comme il doit l’être pour
a Commission, c’est que, si l’ouvrage n’a pas atteint complètement le but , il est dans la voie. Cependant, monsieur le mini
s agréables, et quelques-uns même où l’auteur semblait se proposer un but utile, la Commission n’en a trouvé aucun qui lui
38 (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces diverses — Préface du « Rhin » (1842) »
années, un écrivain, celui qui trace ces lignes, voyageait sans autre but que de voir des arbres et le ciel, deux choses qu
inspiré jusqu’à ce moment, une volonté de voir et d’observer dans un but déterminé ; fixa la marche errante de ses idées,
la parole pour ce qu’on s’imagine être un devoir, c’était manquer le but . Les lettres qu’il avait écrites durant son voyag
es. Si l’auteur avait publié cette correspondance de voyageur dans un but purement personnel, il lui eût probablement fait
e. C’était encore diminuer la confiance, et par conséquent manquer le but . Il ne faut pas oublier que ces lettres, qui pour
raphe XV de la Conclusion. Or, l’auteur ayant toujours eu plutôt pour but de calmer que d’irriter, il se demanda s’il n’eff
et les ponts qui joignent deux nations, il rencontre enfin, comme le but de sa course et le terme de son élargissement, le
39 (1864) William Shakespeare « Deuxième partie — Livre V. Les esprits et les masses »
 ?) influentes. Qu’on ne l’oublie pas, le socialisme, le vrai, a pour but l’élévation des masses à la dignité civique, et p
l’évêque Quodvultdeus. Il y a quelque chose au-delà de s’assouvir. Le but humain n’est pas le but animal. Un rehaussement m
l y a quelque chose au-delà de s’assouvir. Le but humain n’est pas le but animal. Un rehaussement moral est nécessaire. La
ais, être tournée du côté de la dignité humaine. Montrer à l’homme le but humain, améliorer l’intelligence d’abord, l’anima
oment est venu de conclure. Nous concluons à une littérature ayant ce but  : Le Peuple. L’auteur de ces pages écrivait, il y
délivré le monde, vous opérerez la construction qui l’épanouira. Quel but  ! faire le peuple ! Les principes combinés avec l
hygiène le travail, pour économie la paix, pour canevas la vie, pour but le progrès, pour autorité la liberté, pour peuple
40 (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des pièces de théâtre — Préface de « Marie Tudor » (1833) »
par le vrai. Le grand prend les masses, le vrai saisit l’individu. Le but du poète dramatique, quel que soit d’ailleurs l’e
res idées qu’il a pu développer ailleurs sur ces matières, tel est le but du poète au théâtre. Et ces deux mots, grand et v
t tout. La vérité contient la moralité, le grand contient le beau. Ce but , on ne lui supposera pas la présomption de croire
drame qu’il vient de faire représenter est un effort de plus vers ce but rayonnant. Quelle est, en effet, la pensée qu’il
41 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre III. L’âge classique. — chapitre VI. Les romanciers. » pp. 83-171
ens et des réalistes modernes. —  Ses œuvres. —  Ses procédés. —  Son but . —  Robinson Crusoé. —  En quoi ce caractère est
s conceptions détaillées et compréhensives qui, ordonnant en vue d’un but unique les passions de trente personnages, enchev
e la morale poussée à bout, quelle que soit l’école, quel que soit le but . À force de régulariser l’homme, on le rétrécit.
trent aussi décidées chez lui qu’ailleurs. Il donne à ses fictions un but pratique, et les recommande en disant que le ton
ent de la volonté fixe sont si forts en lui que, lorsqu’il manque son but , il extravague, il met l’épée à la main contre l’
tion à l’anglaise, toute composée de raisonnements exacts, ayant pour but d’établir que, d’après la nature du plaisir et de
en’s opinions. ‘Tis hard for a man to say, all the world is mistaken, but himself. But if it be so, who can help it ? 1023
. ‘Tis hard for a man to say, all the world is mistaken, but himself. But if it be so, who can help it ? 1023. Voyez ses p
azine of all kinds now that ever was laid up, I believe, for one man. But I was not satisfied still ; for while the ship sa
whole ship, piece by piece. 1027. A very tedious and laborious work. But what need I have to be concerned at the tediousne
, application, and contrivance, I found at last that I wanted nothing but I could have made it, especially if I had had too
, I worked my mind up not only to a resignation to the will of God, … but even to a sincere thankfulness. 1035. … That he
. 1709-1711-1713. 1037. 1741. 1038. To be sure I did think nothing but curt’sy and cry, and was all in confusion at his
t any acts of kindness would make me forget what I owe to my virtue ; but my nature is too frank and open to make me ungrat
is dear hand. My heart is so wholly yours that I am afraid of nothing but that I might be forwarder than you wish. This poo
speak the two words. 1051. This, Clary, is a pretty pattern enough. But this is quite charming ! —  And this, were I you,
arming ! —  And this, were I you, should be my wedding night-gown. —   But , Clary, won’t you have a velvet suit ? It would c
, said Lovelace, if he would marry the first princess on earth, if he but thought she balanced a minute in her choice of hi
ity in hoping to be an example to young persons of my sex ! Let me be but a warning and I will now be contented. 1059. Ent
8. I am afraid I must borrow of the Sunday some hours on my journey ; but visiting the sick is an act of mercy. 1069. And
ps of Heaven, from a mind like that Heaven mild and gracious ! 1073. But could he be otherwise than the best of husbands,
that was the joy of my heart, and all the hope and comfort of my age. But I am resolved I will turn her out o’ doors ; she
and be rotted to’n ; I little thought what puss he was looking after. But it shall be the worst he ever vound in his life.
l bet thee five pounds to a crown, we ha a boy to-morrow nine months. But prithee, tell me what wat ha ? Wat ha Burgundy, C
r before ; on one side a meadow, on the other a green… (It) consisted but of one story and was covered with thatch, which g
ye was agreeably relieved, and did not want richer furniture. 1090. But let us have one bottle more, Deborah, my life, an
42 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Seconde partie. De l’état actuel des lumières en France, et de leurs progrès futurs — Chapitre IX et dernier. Conclusion » pp. 586-601
s qui l’ont fait naître. Dès que les ouvrages de littérature ont pour but de remuer l’âme, ils approchent nécessairement de
pays les lumières des pays voisins. Les sciences physiques ayant pour but une utilité immédiate, aucun gouvernement ne veut
vérités sont un mobile d’émulation indépendant des circonstances, un but qui console des revers, et ne soumet pas le bonhe
isser aucun genre d’exaltation ; le législateur doit se proposer pour but de réunir ce qui est bien dans une carrière, à ce
hautes facultés de l’esprit, c’est le bonheur des hommes qu’il a pour but  ; car on ne trouve que dans le bien un espace suf
pour objet, quelque stabilité dans les plans dont elle n’était pas le but . Quand le cercle des relations s’agrandit, la mor
43 (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Introduction » pp. 2-6
Une méthode est un ensemble de procédés raisonnés pour arriver à un but . Le but qu’on poursuit détermine donc la méthode
thode est un ensemble de procédés raisonnés pour arriver à un but. Le but qu’on poursuit détermine donc la méthode qu’on do
er avant de chercher les chemins par où l’on passera. Or, quel est le but de l’histoire ? Une connaissance du passé aussi p
re la conséquence de ses recherches ; ils ne sont point son véritable but . L’histoire, pourrait-on dire si l’on ne craint p
44 (1813) Réflexions sur le suicide
st inutile, que dans la plus grande peine, si elle tend vers un noble but . Ce n’est pas ici le cas de remonter à la grande
épurer des passions coupables. On croirait en effet que la vie a pour but de renoncer à la vie. La nature physique accompli
ne certaine folie, qui s’apaise quand elle atteint de trop près à son but . Le malheur n’est presque jamais une chose absolu
e raisonnements bien ou mal faits : si nous avons la vie à venir pour but , ce n’est qu’à l’intention que notre conscience s
Les passions entraînent à des actes coupables dont le bonheur est le but , mais dans le Suicide il y a un renoncement à tou
est obtenu par les revers supportés religieusement ici-bas. C’est le but spécial de la doctrine de J.-C. que l’explication
nements humains en se promettant de se tuer, si l’on n’atteint pas le but de ses désirs. Dans un tel système l’on se consid
e point de vue de cette question, c’est que le bonheur n’étant pas le but de la vie humaine, l’homme doit tendre au perfect
son char et se précipite dans l’abîme au lieu de se diriger vers son but . On dirait que l’âme, en commettant cet acte terr
raire au Suicide proprement dit, car le renoncement à soi-même a pour but de se consacrer à ses semblables : et le Suicide
qualités morales et surtout des facultés supérieures ; mais c’est un but secondaire qui doit céder au premier ; car une ce
à fait étrangers à notre sujet, ceux dont l’ambition a seulement pour but le pouvoir et la fortune : mais nous examinerons
ire de grands effets sur cette terre, mais dès que leur action a pour but l’ambition personnelle de celui qui les possède,
opposés à nos désirs, a le succès pour récompense aussi bien que pour but , mais il n’est pas plus admirable de faire usage
sur les sacrifices qu’on leur fait. Si donc le bonheur était l’unique but de la vie il faudrait se tuer dès qu’on a cessé d
un enthousiasme métaphysique qui n’a point encore d’objet fixe ni de but utile. Les défauts des Allemands sont bien plus l
plus hautes vertus. Nous croyons avoir montré que le Suicide dont le but est de se défaire de la vie ne porte en lui-même
duite, tout doit se rapporter à la foi religieuse, et la vie n’a pour but que d’enseigner l’immortalité. Si je me dérobais
45 (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des recueils poétiques — Préfaces des « Odes et Ballades » (1822-1853) — Préface de 1823 »
teur d’ajouter à ce peu de lignes quelques autres observations sur le but qu’il s’est proposé en composant ces Odes. Convai
ns que nous nous étendions davantage, remarquer dans le reste le même but littéraire et un semblable système de composition
ivie de trois poëmes de différents genres qui n’entraient pas dans le but de cette publication et que l’on a cru devoir sup
46 (1913) Le bovarysme « Quatrième partie : Le Réel — I »
de certitude, de perfection et de repos, qui semblait devoir être le but de tout effort et dans lequel semblaient devoir s
l’aspiration vers la Vérité, l’homme propose à la vie phénoménale un but qui, atteint, irait à supprimer la vie phénoménal
régulatrice de l’effort universel, arbitre suprême de la conduite et but de la connaissance, l’idée, en un mot, d’une véri
47 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre I. Les origines. — Chapitre III. La nouvelle langue. » pp. 165-234
mercy, o my sweet herte ! » (Liv. III.) 190. Whom should I thanken but you, God of Love, Of all this blisse, in which to
envious, or right nice, Or is unmightie for his shrewdness To loven… But I with all mine herte and all my might, As I have
s so fast, And his in me, that it shall ever last. (Liv. II.) 191. But as God would, of swough she abraide And gan to si
gost, that flickered ale a loft, Into her woful herte agen it went : But at the last, as that her eye glent Aside, anon sh
such dispair Ne yet with thougtis froward and contraire So overlaid, but it should sone have bote, It it had onis felt thi
nt to sight) I se where there came singing lustily A world of ladies, but to tell aright Ther beauty grete, lyith not in my
in a mannir garnishing, Was set with emeraudis one and one By and by, but many a riche stone Was set on the purfilis out of
sayed that min husbond,  Shuld leve fader and moder, and take to me ; But of no noumbre mention made he,  Of bigamie or of
pe had sittin him beside,  I wold not sparin them at their owes bord… But certainly I madin folk soche chere That in his ow
ne, so faire,  That all my hert I gave unto his hold. He was, I trow, but twenty winter old,  And I was forty, if I shall s
t, it may not avaunce,  For to have deling with suche base poraille,  But alle with rich and sellers of vitayle… For many
ce… Now, Dame, quod he, je vous die sans dout,  Have I not of a capon but the liver,  And of your white bred but a shiver, 
s dout,  Have I not of a capon but the liver,  And of your white bred but a shiver,  And aftir that a rostid pigg’is hedde,
ur white bred but a shiver,  And aftir that a rostid pigg’is hedde,  ( But I n’old for me that no beste were dedde, ) Than h
raye you, Dame, that ye be nought annoied ! »… « Now, sir, quod she, but one word er I go,  My child is dedde within these
hell,  And God it wat that it is litil wonder,  Freris and Fendis gon but little asonder. For parde, ye han ofte time here
That of hire smiling was full simple and coy ; Hire gretest othe n’as but by Seint Eloy ; And she was cleped Madame Eglenti
en estatelich of manere,  And to ben holden digne of reverence.      But for to speken of hire conscience,  She was so cha
e she, that she fedde With rosted flesh, and milk, and wastel brede. But sore wept she if on of hem were dede,  Or if men
eyen grey as glas ; Hire mouth ful smale, and thereto soft and red ; But sikerly she hadde a fayre forehed. It was almost
48 (1868) Les philosophes classiques du XIXe siècle en France « Chapitre II : M. Royer-Collard »
os de Condillac leur père. La psychologie à ses yeux n’était point un but , mais un moyen. Il analysait non pour analyser, m
st un amateur du bon ordre. Pratique et morale, sa philosophie a pour but non le vrai, mais la règle. À son insu, l’habitud
utation du scepticisme. L’étude de la perception extérieure n’a qu’un but  : la connaissance de la perception extérieure. Si
on est sûr de trouver autre chose. Un philosophe atteint toujours son but . Rien de plus pliant que les faits ; rien de plus
Passez là-bas : voilà Platon et Reid. Les faits sont des soldats ; le but est le général, qui les mène du côté qui lui plaî
nous ne craignons plus d’être appelés téméraires et sceptiques. Notre but n’est plus de prouver que la perception extérieur
té dogmatique pour répondre. Je ne suis ici que critique ; mon unique but était de prouver que M. Royer-Collard, à l’exempl
utour d’eux, ils aperçurent bien loin à l’horizon, la colonne sacrée, but de toutes les courses. Le noble animal lui avait
49 (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Avertissement »
ou comme on le sent. Les conseils qu’on peut donner pour atteindre ce but sont les mêmes pour tous : car, à moins d’être de
s ignorances et toutes les paresses à l’aise dans tous les sujets. Le but que j’ai poursuivi est le but général de toute l’
esses à l’aise dans tous les sujets. Le but que j’ai poursuivi est le but général de toute l’éducation : former la raison e
eilleures et plus courtes voies par où ils pourront se diriger à leur but et nous y mener ; leur inspirer des doutes, des s
50 (1911) La valeur de la science « Introduction »
Introduction La recherche de la vérité doit être le but de notre activité ; c’est la seule fin qui soit d
es qui se touchent mais ne se pénètrent pas. L’une nous montre à quel but nous devons viser, l’autre, le but étant donné, n
rent pas. L’une nous montre à quel but nous devons viser, l’autre, le but étant donné, nous fait connaître les moyens de l’
en moins encore être heureux sans elle. Mais si la vérité est le seul but qui mérite d’être poursuivi, pouvons-nous espérer
51 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre V. Les contemporains. — Chapitre VI. La poésie. Tennyson. »
pille ; il y a ici un beau canal antique qui reçoit et dirige vers un but utile et certain tout le flot de son activité et
fades, and falls, and hath no toil, Fast-rooted in the fruitful soil… But , propt on beds of amaranth and moly, How sweet (w
rave so rough, Me, that was never a quiet sleeper ? May be still I am but half-dead. Then I cannot be wholly dumb ; I will
tter have died and spilt our bones in the flood — Then men had said — but now — what hinder me To take such bloody vengeanc
rning glacier ; frail at first And feeble, all unconscious of itself, But such as gather’d colour day by day. 1534. « If
ay. 1534. « If you be, what I think you, some sweet dream, I would but ask you to fulfil yourself : But if you be that I
think you, some sweet dream, I would but ask you to fulfil yourself : But if you be that Ida whom I know, I ask you nothing
en ? must I die ? » Then as a little helpless innocent bird, That has but one plain passage of fine notes, Will sing the si
. . . . . . . . . . . . . . . . Now shall I have my will. » 1538. But when the next sun brake from underground, Then, t
id was cloth of gold Drawn to her waist, and she herself in white All but her face, and that clear-featured face Was lovely
and that clear-featured face Was lovely, for she did not seem as dead But fast asleep, and lay as tho’ she smiled. 1539.
noises of the northern sea. So flash’d and fell the brand Excalibur : But ere he dipt the surface, rose an arm Clothed in w
those three queens Put forth their hands, and took the king and wept. But she that rose the tallest of them all And fairest
round earth is every way Bound by gold chains about the feet of God. But now farewell. I am going a long way With these th
ere falls not hall, or rain or any snow, Nor ever wind blows loudly ; but it lies Deep-meadow’d, happy, fair with orchard-l
52 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. Essai d’un élève de William Schlegel » pp. 25-96
uelle gaieté, bon Dieu ! pourrait-il y avoir dans mon exposition ? Le but sérieux que je me proposerais d’examiner et de ré
les facultés de notre âme sont dirigées vers quelque but14. Quand ce but concentre tellement toutes nos forces intellectue
ors le sérieux nous domine et nous possède exclusivement, et quand ce but est un objet infini, l’accomplissement d’un devoi
nstitue le sérieux, c’est donc la direction de notre activité vers un but , et ce qui élève le sérieux jusqu’au tragique, c’
qui élève le sérieux jusqu’au tragique, c’est le caractère infini du but proposé à notre activité. La tragédie, en nous of
évère. Le poète marche rapidement et nous entraîne à sa suite vers un but qu’il ne perd pas de vue, et qu’il nous fait entr
e sérieux, et la gaieté ne peut s’épanouir librement que lorsque tout but sérieux est écarté, et toute impression sérieuse
r, qui est dans cet état, aime à promener ses regards vaguement, sans but et sans suite, sur une infinie diversité de chose
t flagelle Euripide dans Les Grenouilles. Mais il ne prend jamais son but au sérieux à la manière des auteurs de la comédie
comédie nouvelle, parce que la gaieté, qui, à vrai dire, est son seul but , ne le souffrirait pas, parce que toute unité d’i
ait du Bourgeois gentilhomme un poème, c’est son indépendance de tout but pratique, indépendance relative sans doute (car q
osaïques par l’imitation de la vie réelle, elles le sont aussi par le but pratique, positif et moral qu’elles se proposent,
s sentiments moraux et pathétiques qu’elle éveille, soit enfin par le but pratique qu’elle se propose, il n’y a plus de com
afin que l’inspiration comique ne se refroidisse pas, il faut que ce but soit tourné en plaisanterie, et que l’impression
objets mêmes qu’il présente . — Septième leçon. 31. La gaieté sans but , véritable inspiration du génie comique. — Douzi
festa une tendance vers l’instruction pratique, c’est-à-dire, vers le but d’enseigner aux hommes à bien arranger leur vie b
ques. — Septième leçon. 47. Si le sérieux gagne du terrain dans le but général de la composition, comme dans l’intérêt e
nt le sérieux. — Septième leçon. 102. Acte IV, scène iii. 103. Le but de l’auteur a été de peindre à fond un caractère 
53 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre X. De la littérature italienne et espagnole » pp. 228-255
e les ordres, les classes, les sectes, etc., extrêmement utiles à tel but désigné, mais beaucoup moins favorables que les e
aux-arts, les hommes éclairés n’ayant plus de route à suivre, plus de but , plus d’avenir, se laissent aller au découragemen
ls professaient, ont toujours eu leur gloire personnelle pour premier but . L’Arioste, de même que le Boyard, est imitateur
Italiens n’ont pensé qu’à faire rire en composant leurs pièces ; tout but sérieux, même déguisé sous les formes les plus lé
la religion ; ils n’ont pas, comme quelques-uns de nos écrivains, le but de réformer les défauts dont ils plaisantent ; ce
, excepté ceux qui traitent des sciences physiques, n’ont jamais pour but l’utilité ; et dans quelque genre que ce soit, ce
ont jamais pour but l’utilité ; et dans quelque genre que ce soit, ce but est nécessaire pour donner aux pensées une force
54 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre III. — Du drame comique. Méditation d’un philosophe hégélien ou Voyage pittoresque à travers l’Esthétique de Hegel » pp. 111-177
il est. Le comique, c’est à la fois l’extravagance de la volonté sans but et sans règle, qui échoue parce qu’elle vogue à l
ue son entreprise, bien que l’ambition de ce héros poursuive un grand but  : cependant il faut que cet ambitieux et que ces
ple spectacle de la contradiction des moyens qu’ils emploient avec le but qu’ils poursuivent, du néant de leur absurdité av
théâtre de Molière. — L’avarice est un excellent thème de comédie. Le but que veut atteindre un avare est contradictoire. I
é sous la forme de la représentation sensible, et à ce titre il a son but en lui-même dans cette représentation et cette ma
du avec le vrai comique. Tout contraste entre le fond et la forme, le but et les moyens peut être risible. C’est une contra
st une contradiction par laquelle l’action se détruit elle-même et le but s’anéantit en se réalisant. Mais, pour le comique
ne perd pas sa bonne humeur pour avoir manifesté le contraire de son but . … On doit bien distinguer si les personnages son
ue qu’autant qu’il ne prend pas lui-même au sérieux le sérieux de son but et de sa volonté. Ce sérieux dès lors se détruit
. Le prosaïque, ici, consiste en ce que les personnages prennent leur but au sérieux avec une sorte d’âpreté. Ils le poursu
ment parler, de comique. L’avarice, aussi bien quant à ce qui est son but que sous le rapport des petits moyens qu’elle emp
autre satisfaction réelle ; tandis que, dans cette impuissance de son but comme de ses moyens, de la ruse, du mensonge, etc
ins. Mais, maintenant, si le personnage s’absorbe tout entier dans ce but , en soi faux, et cela sérieusement, comme constit
speare sait élever ses caractères par un humour profond, au-dessus du but grossier, borné et faux qu’ils poursuivent. Richa
uichotte est, malgré sa folie, parfaitement sur de lui-même et de son but  ; ou plutôt sa folie consiste précisément dans ce
et dans son idée fixe. Sans cette naïve sécurité en ce qui regarde le but et le succès de son entreprise, il ne serait pas
55 (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre quatrième. L’expression de la vie individuelle et sociale dans l’art. »
idées et de la science pour renouveler les sentiments mêmes. III. Le but dernier de l’art est de produire la sympathie pou
t dans l’art. Moyens d’échapper au conventionnel. L’art poursuit deux buts distincts : il cherche à produire, d’une part, de
t à l’acoustique et à la physiologie. Si l’art était ramené à ce seul but , produire des sensations agréables, son domaine s
t très bien la recherche de la sensation choisie, qu’il croit être le but de l’art, mais qui n’en est qu’un des éléments. «
tir au sentiment d’une monotone Maya, d’un spectacle sans fin et sans but , d’où on ne retire rien. L’intelligence peut seul
ologiques et humaines. L’art repose sur moins de faits encore, et son but est d’accumuler dans le plus court fragment de l’
elles conditions se produit l’émotion sympathique ou antipathique. Le but dernier de l’art est toujours de provoquer la sym
n moment, fût-ce à une seule personne, n’a pas entièrement manqué son but , puisqu’il a représenté une forme de la vie capab
56 (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Essai sur la littérature merveilleuse des noirs. — Chapitre IV. Personnages des fables. »
eilleux des fables et des contes. — Les professions mises en scène. — But des fables indigènes. — Sont-ce des satires socia
ignement voulu de morale pratique. Moraliser n’est pas leur principal but et s’il leur arrive de formuler un précepte de ce
imaux organisés en société semblable à la sienne mais il n’a pas pour but , en adoptant cette conception, de railler, sous u
sivement destinés à l’amusement des auditeurs et n’ont nullement pour but d’enseigner la morale, fût-elle uniquement pratiq
57 (1913) Le bovarysme « Deuxième partie : Le Bovarysme de la vérité — II »
eurs s’efforcent seulement de le retrancher. Cette tâche leur fixe un but qui, atteint, leur procure de la joie. Mais leur
ption, s’élance constamment vers l’impossible. Son élan, en raison du but inaccessible vers lequel il se dirige, est condam
e la vérité, l’homme à tout moment crée le réel. La vérité prise pour but est le moyen d’une chose toute différente. Avec c
58 (1913) Le bovarysme « Première partie : Pathologie du bovarysme — Chapitre VI. Le Bovarysme essentiel de l’humanité »
mme en proie à la passion amoureuse, tandis qu’il croit poursuivre un but personnel accomplit le vœu de l’espèce. Cette fin
s millénaires la médaille humaine, le Génie de la Connaissance a pour but et pour caprice de pénétrer les lois qui régissen
’il imagine. Il fait appel à la connaissance pour atteindre ce double but . Si chimérique que puisse apparaître à quelques e
de chimères, de l’apparition d’une science plus circonspecte, dont le but est de vérifier la solidité des matériaux qui fur
n’est pas parvenu à se satisfaire. Tout son labeur a été détourné du but initial qu’il s’était proposé et a été utilisé po
r futur. Il apparaît que tout cet effort, dirigé consciemment vers un but intéressé, a réalisé un objet différent, convoité
ue dans le premier, l’homme s’efforce en vain, qu’il n’atteint pas le but qu’il se propose, que le progrès de la connaissan
mécanisme de cette secrète substitution d’une fin impersonnelle à un but intéressé. Le souci de conserver sa force et sa s
de l’homme pour se guérir et se défendre contre la mort, a atteint un but différent de celui qui était visé. De même qu’ave
59 (1890) L’avenir de la science « VI »
plus qu’une discussion savante. Ces aperçus sont, je le reconnais, le but principal qu’il faut se proposer dans la recherch
science de s’y renfermer. Mais l’école ayant en général chez nous un but pédagogique ou pratique, réduire la science à ces
philologique qui ne se rapporte à l’usage des classes ou à tout autre but universitaire. Étrange cercle vicieux : car, si c
l’instruction et de donner à la première, en dehors de la seconde, un but religieux et philosophique. Le savant et le profe
truction devrait suffire ; et, de fait, jusqu’à ce qu’on ait conçu le but élevé et philosophique de la science, tant qu’on
60 (1888) Revue wagnérienne. Tome III « VIII »
Ils ont servi l’artiste, en lui donnant la claire connaissance de son but , et ils ont servi à préparer le public à l’accept
es phrases. La musique emploie ici plusieurs moyens pour atteindre ce but . Dans le chant, des dessins sur un mot le rendent
second. Il n’en ressortirait du reste aucun principe nouveau, et mon but est pleinement atteint si j’ai fait saisir au lec
re l’unité vivante de plusieurs moyens d’expression tendant à un seul but , qui est la cause de tous les malentendus. Lorsqu
chaque élément, que le degré dans lequel il est adapté à concourir au but total de l’œuvre. Et j’affirme que, mesuré à cet
parole et la musique. On peut dire qu’ici aussi la parole concourt au but  : ses heurts avec la musique nous remplissent d’a
rgit un nouvel élément : la pitié. C’est par son développement que le but sera atteint et que la délivrance de la douleur p
comprendre le « symbole » contenu dans cette œuvre. Pour atteindre ce but , nous devons rechercher le moment de la vie de Wa
ben) et la douleur nous y pousse. « Il serait plus exact de placer le but de la vie dans la souffrance (Wehe) que dans le b
ehe) que dans le bien-être. Plus on souffre, plus on est près du vrai but de la vie. En fait, la douleur est le processus d
et fonder un autre, et Parsifal est la réalisation de ce rêve, de ce but qu’il avait indiqué : « Le but est : l’homme fort
l est la réalisation de ce rêve, de ce but qu’il avait indiqué : « Le but est : l’homme fort et beau ; la Révolution lui do
sen Irren, jagt’ ein wilder Fluch mich ùmher…) Enfin il l’atteint, ce but tant désiré. Il se repose, avant de continuer sa-
.[NdA] 92. je soupçonne MM. Juillets, Schuré, etc., de poursuivre un but caché : ils veulent se moquer de ce digne penseur
61 (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre onzième. La littérature des décadents et des déséquilibrés ; son caractère généralement insociable. Rôle moral et social de l’art. »
car l’action suppose la coordination de l’esprit tout entier vers le but à atteindre. L’action est la mise en équilibre de
ésente ; la luxure, avec le luxe qui l’accompagne souvent, devient le but de la vie, et, pour la satisfaire, il faut de l’o
iolence semble parfois une sorte de monstruosité dans la nature ; son but immédiat ne le justifie nullement, et cependant s
ure ; son but immédiat ne le justifie nullement, et cependant sans ce but il ne serait pas. Vous figurez-vous quelqu’un qui
liers de la vie universelle. Prendre ainsi le moi pour centre et pour but , c’est méconnaître, somme toute, sa réelle grande
l’art, on enlève à la littérature la vie ; on lui ôte toute espèce de but en dehors du jeu des formes, et, par cela même, o
rande partie de son caractère agréable de la fin qui la justifie : un but de promenade rend la promenade meilleure ; on n’a
ême un doigt sans raison ; il en est ainsi pour tout. Un travail sans but exaspère : de là le spleen de ceux qui n’ont pas
n forte révélant au lecteur une puissance chez l’auteur, n’ayant pour but que de satisfaire l’orgueil de l’un en même temps
paraissent la doctrine antique des causes finales et la croyance à un but défini de l’univers, peut, dit Paul Bourget, nous
besoin, répondrons-nous, d’admettre les antiques causes finales ni un but défini de l’univers pour admettre la loi de l’évo
e l’artiste doive se proposer une thèse morale à soutenir, ou même un but moral à atteindre par le moyen de l’art ; nous so
; nous sommes loin de condamner « tout emploi du talent poétique sans but extérieur à lui »329. Mais les idées les plus éle
onstitutives de l’âme du poète ou de l’artiste. Et pour ce qui est du but extérieur, — moralisateur ou utilitaire, — que le
62 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre IX. De l’esprit général de la littérature chez les modernes » pp. 215-227
blesse, la sympathie pour le malheur, une élévation d’âme, sans autre but que la jouissance même de cette élévation, sont b
u peindre. Les modernes ont dû réunir à cette éloquence, qui n’a pour but que d’entraîner, l’éloquence de la pensée, dont l
par une épithète frappante, par une image rapidement tracée, dont le but est d’éclaircir l’idée, mais qui agrandit encore
ne magistrature d’instruction parmi les hommes, avaient toujours pour but l’enseignement universel ; ils découvraient les é
63 (1868) Les philosophes classiques du XIXe siècle en France « Chapitre VI : M. Cousin philosophe »
; il ne lui soumet pas les autres sciences ; il ne fait pas d’elle le but de ses recherches, ou la pierre de touche de ses
n’est pas une ouvrière de science, c’est un instrument de morale. Son but n’est pas de découvrir le vrai, quel qu’il soit,
et des religions ; il me suffit qu’en pratique elles tendent au même but , et contribuent à nourrir dans l’homme les mêmes
ion généreuse. Quelque carrière que vous embrassiez, proposez-vous un but élevé, et mettez à son service une constance inéb
écisées et accumulées depuis trente ans. Puisque nous n’avons d’autre but que de produire la perfection morale, nous dirons
uissance d’historien et de peintre, et que nous reconnaissons dans le but , comme dans toutes les parties de sa philosophie,
64 (1865) Introduction à l’étude de la médecine expérimentale
ne saurions donc avoir aucune prétention philosophique. Notre unique but est et a toujours été de contribuer à faire pénét
n et à la recherche, que l’on tente des essais, des épreuves, dans le but d’acquérir des faits dont l’esprit, à l’aide du r
qui procède alors plus rapidement et d’une manière consciente vers un but déterminé. Telle est la méthode expérimentale dan
stigation simples ou complexes pour faire varier ou modifier, dans un but quelconque, les phénomènes naturels et les faire
contrôle par des observations faites dans des conditions propres à ce but . Or cet astronome raisonne comme les expérimentat
ble. Au fond toutes les sciences raisonnent de même et visent au même but . Toutes veulent arriver à la connaissance de la l
te de mes convictions à cet égard que je compose cet ouvrage, dans le but de contribuer pour ma part à favoriser le dévelop
l’expérimentateur n’en ont pas moins, dans leurs investigations, pour but commun et immédiat d’établir et de constater des
tre, c’est-à-dire le provoquer par une raison particulière et dans un but déterminé. D’où il suit que l’on peut dire : l’ex
ire : l’expérience n’est au fond qu’une observation provoquée dans un but quelconque. Dans la méthode expérimentale, la rec
que, dans ce cas, l’expérience est une observation provoquée dans un but de contrôle. Toutefois il importe de rappeler ici
, dans ce cas, l’expérience n’est qu’une observation invoquée dans un but de contrôle. D’où il résulte que, pour raisonner
onc dire alors que l’expérience est une observation provoquée dans le but de faire naître une idée. En résumé, l’investiga
deux qualités de l’esprit qui sont indispensables pour atteindre son but et arriver à la découverte de la vérité. D’abord
trouver les conditions expérimentales les plus propres à atteindre le but qu’il se propose. Il faut nécessairement expérime
par la réunion de toutes les parties de la méthode concourant vers un but commun. Ceux qui recueillent des observations ne
tout raisonnement scientifique, et c’est elle qui en est également le but dans l’aspiration de l’esprit vers l’inconnu.
s, et qu’il ne peut connaître que des relations. C’est là en effet le but unique de toutes les sciences, ainsi que nous le
vent des faits très importants, parce qu’ils ne concourent pas à leur but . C’est ce qui nous a fait dire ailleurs qu’il ne
nt dans les résultats de leurs expériences que ce qui convient à leur but en négligeant ce qui ne s’y rapporte pas, et en é
ous avons émis une idée ou une théorie, nous ne devons pas avoir pour but de la conserver en cherchant tout ce qui peut l’a
rect qu’il connaît et voit dans toute son étendue, il marche vers son but d’un pas sûr et rapide. Quand au contraire un hom
dans ce qui précède examiné les différents termes, se propose le même but dans toutes les sciences. L’expérimentateur veut
se réduit à ceci : Prévoir et diriger les phénomènes. Mais ce double but ne peut être atteint dans les corps vivants que p
ique-chimiques. En effet, ainsi que nous l’avons dit précédemment, le but que se propose la méthode expérimentale est le mê
t uniquement dans l’application de l’expérimentation ; car au fond le but et les principes de la méthode restent toujours e
ncipes de la méthode restent toujours exactement les mêmes. IV. Le but de l’expérimentation est le même dans l’étude des
ent dans la matière vivante, ils ne diffèrent cependant pas, quant au but qu’ils veulent atteindre. En effet, l’un et l’aut
qu’ils veulent atteindre. En effet, l’un et l’autre se proposent pour but commun de remonter à la cause prochaine des phéno
on physique et matérielle de son existence ou de sa manifestation. Le but de la méthode expérimentale ou le terme de toute
t sa manifestation, la favoriser ou l’empêcher à volonté. Dès lors le but de l’expérimentateur est atteint ; il a, par la s
nous donne le rapport numérique de l’effet à sa cause, et c’est là le but auquel s’arrête la science. Lorsqu’on possède la
st là la seule chose qu’il puisse étudier et connaître. En résumé, le but de la science est partout identique connaître les
tique connaître les conditions matérielles des phénomènes. Mais si ce but est le même dans les sciences physico-chimiques e
cience. La physiologie et la médecine expérimentale n’ont pas d’autre but . Le physiologiste et le médecin, aussi bien que l
ourd’hui l’histologie, en approchant naturellement de plus en plus du but . Quoiqu’on puisse parvenir à décomposer les parti
sence ou le pourquoi des choses. En cela nous visons plus loin que le but qu’il nous est donné d’atteindre ; car l’expérien
tances simples dans lesquelles il se manifeste, nous avons atteint le but scientifique que nous ne pouvons dépasser. Quand
plus, que le déterminisme relatif d’un phénomène étant établi, notre but scientifique est atteint. L’analyse expérimentale
es les plus erronées. Nous avons vu dans le chapitre précédent que le but de la méthode expérimentale est d’atteindre au dé
déterminent les uns les autres en s’associant ou se combinant pour un but final commun. Or l’objet essentiel pour le physio
’est la généralisation qui conduit à la loi des phénomènes et au vrai but scientifique. Seulement, il faut savoir que toute
examinerons quelques questions générales et nous poserons ensuite le but scientifique que se proposent les vivisections. D
s sanglots les plus émouvants, parce qu’il ne voit que son idée et le but de son opération. De même encore l’anatomiste ne
es lois que la nature lui présente dans la formation de ces types. Le but du zoologiste est la classification des êtres d’a
nécessairement dans la physiologie spéciale ou générale, puisque son but devient le même. On ne distingue les diverses sci
ne distingue les diverses sciences biologiques entre elles que par le but que l’on se propose ou par l’idée que l’on poursu
s un cadre nosologique30. » Personne, je pense, ne considérera que ce but doive être celui de la médecine entière ; ce n’es
ui peuvent l’environner. Or, l’expérimentation comparative atteint ce but en ajoutant dans un organisme semblable, qui doit
s. Cette application des mathématiques aux phénomènes naturels est le but de toute science, parce que l’expression de la lo
fficile en médecine à cause de la complexité des phénomènes ; mais le but du médecin savant est de ramener dans sa science
que son action ou sa puissance : c’est là son caractère, c’est là son but . Il est nécessaire ici de développer ma pensée. J
connaissances humaines veut que les sciences expérimentales soient le but , et cette évolution exige que les sciences de cla
bre d’exemples qui m’ont paru les plus convenables pour atteindre mon but . Dans tous ces exemples, je me suis, autant que p
fait nouveau qu’avait engendré l’expérience et qui était étranger au but expérimental que je poursuivais dans cette même e
spontanément, soit à l’occasion d’une expérience faite dans un autre but . Mais il arrive encore un autre cas, c’est celui
bstance du globule du sang. Ici l’analyse expérimentale a atteint son but . C’est un des rares exemples en physiologie que j
res à reconnaître et à poursuivre dans l’économie. J’injectai dans ce but des dissolutions de sucre de canne dans le sang d
lors beaucoup de physiologistes ont répété la même opération dans le but de vérifier ou d’expliquer les modifications de l
a Médecine expérimentale. La médecine expérimentale diffère dans son but de la Médecine d’observation de la même manière q
d’observation, en général, diffèrent des sciences expérimentales. Le but d’une science d’observation est de découvrir les
es phénomènes astronomiques, mais nous ne saurions rien y changer. Le but d’une science expérimentale est de découvrir les
des phénomènes naturels, non seulement pour les prévoir, mais dans le but de les régler à son gré et de s’en rendre maître 
ne qui observe et prévoit le cours des maladies, mais sans avoir pour but d’agir directement sur leur marche70. Sous ce rap
cuper. Ensuite on apportait des observations de malades, parfois sans but scientifique précis, d’autres fois pour montrer q
ntifique parmi les médecins. La seule chose à faire pour atteindre ce but est, selon moi, de donner à la jeunesse une solid
livrait à des considérations physiologiques et pathologiques dans le but d’établir un traitement convenable pour obtenir l
nre, parce que la conservation de la vie de l’homme doit être le seul but de la médecine. Mais cependant le médecin se trou
ppocratistes et des médecins empiriques en ce qu’au lieu d’avoir pour but l’observation des maladies et la constatation de
s phénomènes vitaux est la seule base de la médecine scientifique. Le but d’un médecin expérimentateur est de découvrir et
médecine, je ne fais donc que chercher à diriger les esprits vers un but que la science poursuit instinctivement et à son
s études pratiques et les études théoriques concourront ainsi au même but  ; c’est tout ce que l’on peut demander dans une s
le rôle d’un maître doit se borner à montrer clairement à l’élève le but que la science se propose, et à lui indiquer tous
ibre de se mouvoir à sa manière et suivant sa nature pour parvenir au but qu’il lui a montré, sauf à venir à son secours s’
65 (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section première. Des passions. — Chapitre VIII. Du crime. »
t la cause, et le crime, qui n’était d’abord que le moyen, devient le but . Cet horrible état demande une explication partic
qu’il est impossible d’expliquer toutes ses actions par l’intérêt du but qu’il veut atteindre : le crime appelle le crime 
aits, mais lorsqu’ils sont arrivés à un certain excès, il n’est aucun but qu’ils ne dépassent ; l’action du lendemain est c
u’il ne peut supporter, le repos. Tantale, approchant sans cesse d’un but qui s’éloigne toujours devant lui, peint le suppl
66 (1913) Le bovarysme « Quatrième partie : Le Réel — V »
réel. À défaut de cette vérité objective qui eût pu être prise comme but , comme principe directeur et comme terme de compa
s la durée une suite de mouvements semblables et dirigés vers un même but . Ces faits de convergence et de répétition sont l
ister dans l’existence : « Qu’il faille que je sois lutte, devenir et but et contradiction des buts »22, tel est l’aveu sec
« Qu’il faille que je sois lutte, devenir et but et contradiction des buts  »22, tel est l’aveu secret que murmure la Vie à l
67 (1809) Quelques réflexions sur la tragédie de Wallstein et sur le théâtre allemand
indépendance politique. Après une longue et terrible lutte, ces deux buts furent atteints. La paix de 1648 assura aux prote
dualité disparaît dans l’homme, en raison de ce qu’il cesse d’être un but , et de ce qu’il devient un moyen. Cependant l’ind
profession que celle des armes, ayant pour vertu le courage, et pour but , le plaisir du jour. Il serait impossible de tran
pour les tragiques français. Plus les écrivains d’une nation ont pour but exclusif de faire effet, plus ils doivent être as
es sévères. Sans ces règles, ils multiplieraient, pour arriver à leur but , des tentatives dans lesquelles ils s’écarteraien
de la cour. Cette scène, dans laquelle Tersky, pour les amener à son but , leur rappelle tous les bienfaits qu’ils ont reçu
favorisaient ses propres entreprises, et marchant souvent contre son but , en se laissant entraîner par son caractère. Je n
que nous cache la vie commune, serait-il à la fois sans cause et sans but  ? La raison, sans doute, ne peut l’expliquer. Lor
ines, c’est-à-dire ayant pour effet d’égarer notre raison, ayant pour but de nous procurer des jouissances. Les Allemands v
68 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre IV. L’âge moderne. — Chapitre I. Les idées et les œuvres. » pp. 234-333
ureux, il le fut toujours1170. Il faisait si bien de l’amour le grand but de la vie, que, dans le club qu’il fonda avec les
1140. I read farming books, I calculated crops ; I attended markets, but the first year, from unfortunately buying bad see
n quatre volumes. 1143. I had felt early some stirrings of ambition, but they were the blind groping of Homer’s Cyclops ro
y object gives me more — I do not know if I should call it pleasure — but something which exalts me, which enraptures me mo
y hawthorn twig that shot across the way, what heart, at such a time, but must have been interested for his welfare ? 1148
e so bien an’ snug : I tent less and want less Their roomy fire-side, But hanker and canker To see their cursed pride. It’s
the heart devout, Like cantharidian plasters, On sic a day ! 1159. But now the Lord’s ain trumpet touts, Till a’ the hil
, An’ think they hear it roarin’, When presently it does appear ‘Twas but some neibor snorin’ Asleep that day. 1160. How
1161. An honest man may like a glass, An honest man may like a lass, But mean revenge and malice fausse He’ll still disdai
ot, From the gilded spontoon to the fife I was ready, I asked no more but a sodger laddie. 1166. A fig for those by law
st is In moral mercy, truth and justice. 1168. I doubt na, whyles, but thou may thieve ; What then ? poor beastie, thou
ck be your fa’ !) An’ gied the infant world a shog, ‘Maist ruin’d a’… But fare you weel, auld Nickie-ben ! O wad ye tak a t
ourse with the Deity… You may perhaps think it an extravagant fancy ; but it is a sentiment that strikes home to my very so
th.) 1178. I might write you on farming, on building, on marketing. But my poor distracted mind is so torn, so jaded, so
or pigeon not worth plucking… As to my individual self I am tranquil. But Burns’ poor widow and half a dozen of his dear li
e hour of my birth ; lifting up my eyes to heaven not as a suppliant, but in the hellish spirit of rancorous reproach and b
in state. His antic gesticulations would be unseasonable at any rate, but more specially so, if they should distort the fea
should distort the features of the mournful attendants into laughter. But the mind long wearied with the sameness of a dull
g that may make a little variety in its contemplations though it were but a kitten playing with her tail. 1191. My device
without the rose. My brier is a wintry one, the flowers are withered, but the thorn remains. 1192. He comes, the herald o
loud-hissing urn Throws up a steamy column, and the cups, That cheer but not inebriate, wait on each, So let us welcome pe
r’s drowned already, and an ye fa’ over the cleugh too, there will be but a wig left in the parish, and that’s the minister
69 (1868) Curiosités esthétiques « IV. Exposition universelle 1855 — Beaux-arts » pp. 211-244
r milieu, — aient été préparées et éduquées par la Providence pour un but déterminé, but plus ou moins élevé, plus ou moins
nt été préparées et éduquées par la Providence pour un but déterminé, but plus ou moins élevé, plus ou moins rapproché du c
rizon de l’art, il se fit une grande révolution. Sans analyser ici le but qu’ils poursuivirent, sans en vérifier la légitim
’ils ne l’ont pas outrepassé, constatons simplement qu’ils avaient un but , un grand but de réaction contre de trop vives et
pas outrepassé, constatons simplement qu’ils avaient un but, un grand but de réaction contre de trop vives et de trop aimab
ités que je ne veux pas non plus apprécier ni caractériser ; — que ce but ils le visèrent avec persévérance, et qu’ils marc
enant, pour reprendre le cours régulier de notre analyse, quel est le but de M. Ingres ? Ce n’est pas, à coup sûr, la tradu
gions supérieures, un entraînement, un vol irrésistible vers le ciel, but de toutes les aspirations humaines et habitacle c
70 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Seconde partie. De l’état actuel des lumières en France, et de leurs progrès futurs — Chapitre V. Des ouvrages d’imagination » pp. 480-512
la raison naturelle, perdent leur effet dès qu’elles atteignent leur but , la réformation de l’ordre social. Les Grecs se m
ant plus d’utilité, n’auront plus d’intérêt. Celles même qui ont pour but , comme dans Candide, de se moquer de l’espèce hum
quable des sujets nouveaux que peut traiter la comédie, et du nouveau but qu’elle doit se proposer. Dans Le Misanthrope, c’
Quand les qualités qu’on possède ne suffisent pas pour atteindre à ce but , l’on a recours au vice pour se faire remarquer ;
nt profond. Toutes les affections des hommes pensants tendent vers un but raisonnable. Un écrivain ne mérite de gloire véri
faire parler la passion. Une progression constante dans les idées, un but d’utilité doit se faire sentir dans tous les ouvr
ntéresser, ne peuvent atteindre à cet objet même qu’en remplissant un but philosophique. Les romans qui n’offriraient que d
71 (1881) La psychologie anglaise contemporaine « M. James Mill — Chapitre I : Sensations et idées. »
ises sur les noms substantifs ou des marques sur des marques, dans le but de limiter la signification du substantif, et au
nd ; elle n’a rien d’agréable en elle-même. Tout le plaisir dérive du but . La même chose a lieu pour le marchand. Le but du
t le plaisir dérive du but. La même chose a lieu pour le marchand. Le but du mathématicien et du physicien c’est la recherc
et objet et sont, ou ne sont pas, une source de plaisirs selon que le but est ou n’est pas atteint. Mais le cas du poëte es
uite d’idées est sa propre fin. Elle est tout entière agréable, ou le but est manqué31. » La mémoire, de l’avis de tous ce
et indistincte, mais non pas intelligible pour cela. » C’est dans le but de dénommer, et de dénommer avec une plus grande
72 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre V. Les contemporains. — Chapitre I. Le Roman. Dickens. »
a utile au public, et diminuera le nombre des hypocrites. C’est notre but et c’est le vôtre, et le recueil de vos caractère
r les côtés de sa tête chauve, sorte de plantation de pins ayant pour but de protéger contre le vent la surface luisante, t
change to blue ; a brightness so intense that there was nothing else but light ; and then the deepest and profoundest dark
wreaking its vengeance on such poor creatures as the fallen leaves ; but this wind happening to come up with a great heap
in defiance of the Tables of the Law, which look so fair and smooth, but are so flawed and broken. Ugh ! Heaven preserve u
! It has an awful voice, that wind at Midnight, singing in a church ! But high up in the steeple ! There the foul blast roa
tion for gardeners, and those who are learned in the loves of plants. But , that it was a good thing for that same paved yar
ring shades ; making of no account the deep reflections of the trees, but scampering on through light and darkness, all the
ouds too ! And a mist upon the Hollow ! Not a dull fog that hides it, but a light airy gauze-like mist, which in our eyes o
vapour ; emerging now upon our broad clear course ; withdrawing now, but always dashing on, our journey is a counterpart o
d hustled, and lifted off his feet, as to render it a state of things but one degree removed from a positive miracle, that
343. “Now, what I want is, Facts. Teach these boys and girls nothing but Facts. Facts alone are wanted in life. Plant noth
at it was, — all helped the emphasis. “In this life, we want nothing but Facts, Sir ; nothing but Facts !” The speaker, an
the emphasis. “In this life, we want nothing but Facts, Sir ; nothing but Facts !” The speaker, and the schoolmaster, and t
dgrind, or Joseph Gradgrind (all suppositious, non-existant persons), but into the head of Thomas Gradgrind — no, Sir ? In
73 (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des romans — Préface et note de « Notre-Dame de Paris » (1831-1832) — Note ajoutée à l’édition définitive (1832) »
e ces expressions un peu ambitieuses, le système de l’historien et le but de l’artiste à travers la création telle quelle d
ur de l’architecture nationale. C’est là, l’auteur le déclare, un des buts principaux de ce livre ; c’est là un des buts pri
teur le déclare, un des buts principaux de ce livre ; c’est là un des buts principaux de sa vie. Notre-Dame de Paris a peut
74 (1861) Cours familier de littérature. XII « LXXIe entretien. Critique de l’Histoire des Girondins (2e partie) » pp. 305-367
nt les cupidités individuelles du pouvoir, toutes ces agitations sans but , qui faisaient bouillonner sans cesse la France e
, entre des ministres, racoleurs de factions, coureurs de majorité au but des portefeuilles dans le stade de la rue de Bour
ns et des crimes à travers lesquels elle a perdu son caractère et son but , et de rappeler ainsi la France de 1840 à la phil
dividus, sont tenus de faire honnêtement les choses honnêtes ; que le but ne justifie pas les moyens, comme le prétendent l
ire et à le contenir la veille d’une prochaine révolution. » Voilà le but moral que je me proposais en pensant d’avance à c
e de raison, me passionnaient encore à distance et me paraissaient le but dépassé, mais le but idéal de la Révolution, auqu
onnaient encore à distance et me paraissaient le but dépassé, mais le but idéal de la Révolution, auquel il fallait ramener
e s’y présentait comme une possibilité improbable plutôt que comme un but arrêté ou même désirable encore ; seulement je vo
une que l’autre et dont l’une ne peut subsister sans l’autre. Dans ce but , je voulais que les classes laborieuses eussent,
75 (1874) Premiers lundis. Tome II « Jouffroy. Cours de philosophie moderne — I »
ils ont été créés. « Le caillou, la plante, ne sentent pas dans quel but ils existent ; ils n’ont ni bonheur ni malheur qu
de notre raison. Je ne vous promets pas de trouver la solution ; mon but seulement est de faire des essais sur cette reche
hommes réunis en société par la religion, je les vois marcher vers un but commun, une destinée commune, auxquels ils croien
umaine sont classés, prévus, ordonnés par une théorie générale, où le but de l’action sociale est nettement défini ; l’autr
76 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre XVI. De l’éloquence et de la philosophie des Anglais » pp. 324-337
n’en possèdent presque point de modèles, et leurs livres n’ont qu’un but à la fois, l’utilité ou l’agrément. Les Anglais,
rs, dans sa résistance même, les égards nécessaires pour arriver à ce but . Le point d’honneur met nécessairement aussi quel
uence de Démosthène n’aurait pas de proportion avec l’auditoire et le but  : les témoins comptés et connus qui environnent d
ifs qu’ils développent, le sens positif des paroles s’écarte moins du but , et permet moins de s’égarer. La langue de la pro
77 (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section II. Des sentiments qui sont l’intermédiaire entre les passions, et les ressources qu’on trouve en soi. — Chapitre IV. De la religion. »
pensée. Son avenir est le prix du présent, tout se rapportant au même but , a le même degré d’intérêt. La vie se passe au-de
tisfasse la passion dans son besoin indéfini d’espoir, d’avenir et de but  ? Si ce siècle est l’époque où les raisonnements
d’en être seulement la ressource, cette dévotion, considérée comme le but auquel tous doivent tendre, et comme la base de l
relevé qui, sans influer sur chaque détail de la vie, anoblissent son but , donnent au sentiment et à la pensée quelques poi
78 (1889) L’art au point de vue sociologique « Introduction »
s volontés et, par cela même, la convergence des actions vers un même but . C’est ce qu’on peut appeler la synergie sociale.
lle, de la patrie, de l’humanité et même du monde. L’éducation a pour but de préparer cette coopération par une continuelle
même, que celui des critiques de profession. IV. — L’art, ayant pour but d’établir un lien de société sensible et de sympa
ar Claëtz. En outre il est des types proprement sociaux, qui ont pour but de représenter l’homme d’une époque dans une soci
tir au sentiment d’une monotone Maya, d’un spectacle sans fin et sans but . En outre, elle fait de l’art quelque chose de co
e la rendre vraisemblable. L’écueil est de confondre le moyen avec le but  ; or le réalisme, trop souvent, donne pour but à
ondre le moyen avec le but ; or le réalisme, trop souvent, donne pour but à l’art ce que Guyau appelle « un idéal quantitat
79 (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre premier. La solidarité sociale, principe de l’émotion esthétique la plus complexe »
Le mouvement, comme signe extérieur de la vie et moyen de l’art. — Le but le plus haut de l’art est de produire une émotion
tat se produit, quand l’utile nous transporte d’avance au terme et au but , la finalité devient beauté. Il est à remarquer q
gré élémentaire de beauté, car nous sympathisons avec tout ce quia un but social et humain, avec, tout ce qui est ordonné e
et nue, mais une intelligence suivant une direction, se proposant un but , faisant effort pour y arriver, écartant les obst
motion sociale, mais elle se distingue de l’émotion esthétique par le but qu’elle poursuit et impose à la volonté : réalise
toute différente : pour eux, la sensation pure et simple n’est pas le but  ; elle est un moyen de mettre l’être sentant en c
en la faisant se confondre avec une vie plus large et universelle. Le but le plus haut de l’art est de produire une émotion
80 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 181-190
es, en effet, étoient intéressés à le connoître & à l’étudier. Le but que l’Auteur s’y propose, est de développer les e
en se trompant, ressemble à ces Voyageurs, qui, sans être parvenus au but qu’ils s’étoient proposé, ont découvert sur la ro
les alimens qui les nourrissent, les ressources qu’ils déploient, le but qu’ils se proposent, & les moyens qu’ils mett
81 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre VI. Des dictionnaires Historiques » pp. 220-228
aucoup de peine pour compiler tout ce qui pouvoit avoir rapport à son but  ; mais il manquoit d’ordre & de critique. Il
l donna enfin le sien en 1693. & il eut le plus grand succès. Son but avoit été d’exposer en peu de mots les principale
venir, a tâché de n’avoir d’autre intérêt que celui de la vérité. Son but a été d’exposer sans flatterie & sans amertum
82 (1893) Du sens religieux de la poésie pp. -104
ique, et dans la lassitude d’un effort dont tous n’aperçoivent pas le but immédiat, il est arrivé que plus d’un ait pris en
l’industrie, par exemple, ou même la science exprime l’homme dans un but et par des moyens d’utilité immédiate et d’invest
mmédiate et d’investigations successives, la poésie l’exprime dans un but et par des moyens d’inutilité apparente et de sat
otre regard l’idée de Dieu. Quant à cette idée en elle-même, c’est le but qui ne sera jamais atteint : pure notion métaphys
ure, reste isolée dans notre littérature non pas précisément comme un but , mais comme une précieuse indication directrice.
. L’évolution est la loi du monde : tout ce qui vit se meut vers un but ignoré. C’est la loi de la société humaine comme
in vers l’idéal moral et matériel de la vie. * *   * La Vérité est le but de nos esprits : la vérité métaphysique et physiq
qu’elles soient des progrès réels si nous savons les employer vers le but suprême de la vie, lequel est hors de l’espace et
faut le constater, cette exaltation de l’égoïste souci de soi dans un but , non pas de développement spirituel et moral, mai
irituelle des temps futurs. Car les savants n’ont détruit que dans le but d’édifier. Il y aurait lieu de se demander s’ils
nction au passage terrestre. Mais dès que la raison se rend compte du but des commandements et des prohibitions des révélat
la jeunesse selon des doctrines et des programmes bâtards et dans un but de sanction immédiate qui bannit fatalement des j
ette ombre est la réalité de notre vie. Mais enfin nous atteignons le but , la lumière nous absorbe : pourquoi nous plaindri
83 (1861) Cours familier de littérature. XII « LXVIIe entretien. J.-J. Rousseau. Son faux Contrat social et le vrai contrat social (3e partie) » pp. 5-56
héories imaginaires de ces législateurs des rêves, qui, en plaçant le but hors de portée parce qu’il est hors de la vérité,
ement ? Est-ce en vertu d’un vil intérêt purement matériel et dans le but seulement d’un plus grand bien physique, que ce c
en germe une loi ; une loi, non pas seulement physique, donnant pour but à la société politique la satisfaction brutale de
ps, mais une loi morale et religieuse, donnant à la société civile un but intellectuel, moral et divin de civilisation des
cellé entre l’homme et Dieu. Le véritable contrat social n’a pas pour but seulement le corps de l’homme, il a pour but auss
trat social n’a pas pour but seulement le corps de l’homme, il a pour but aussi et surtout l’âme humaine, il est spirituali
action des besoins du corps humain sur cette terre ; mais elle a pour but surhumain la grandeur et la glorification de l’âm
r fourmilière, renversant ou bâtissant d’autres fourmilières, soit le but d’une âme plus vaste que l’espace, et que Dieu se
84 (1913) Le bovarysme « Première partie : Pathologie du bovarysme — Chapitre V. Le Bovarysme des collectivités : sa forme idéologique »
er, de posséder les meilleures choses, toute la frénésie qui fixe des buts à l’activité et développe l’énergie par la concur
elà cette limite elle fait plier l’idée. Celle-ci, qui se donne comme but absolu, est reléguée à n’être qu’un moyen. À vrai
pour la plus grande force de la nation. Elle ne va pas au-delà de ce but précis. Construit par la collectivité à l’époque
n, parce que cette invention lui était personnelle et n’avait d’autre but que son utilité, inventait aussi d’autres attitud
itude d’utilité anglo-saxonne, s’efforce d’établir la supériorité des buts économiques et commerciaux sur les visées de supr
n de l’idée générale, on nous suggère de diriger nos efforts vers des buts qui ne nous stimulent que faiblement, on nous con
s prévoyaient y rencontrer des facilités pour améliorer leur état. Un but déterminé les stimule et accroît leur énergie. Ve
oi qu’une telle constatation n’est point faite en cette étude dans un but de polémique. Mais il n’a pas semblé qu’un exempl
85 (1874) Premiers lundis. Tome II « Alexis de Tocqueville. De la démocratie en Amérique. »
ces derniers temps. Dans l’anxiété où l’on est, dans l’incertitude du but où la société européenne est poussée, on est allé
urtant, M. de Tocqueville l’a composé en vue de notre Europe, dans un but élevé d’enseignement, et sous l’impression, comme
t sur son chemin, mais sans direction jusqu’ici, sans conscience d’un but à atteindre, et de plus en plus pareille à un enf
sa préoccupation de l’Europe en écrivant sur l’Amérique, n’a pas pour but de conclure directement de l’une à l’autre ; il l
86 (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section première. Des passions. — Chapitre V. Du jeu, de l’avarice, de l’ivresse, etc. »
ations qui s’emparent d’une âme violemment émue, le danger, même sans but , est un plaisir pendant la durée de l’action. San
ressortir la personnalité. Aimer l’argent, pour arriver à tel ou tel but , c’est le regarder comme un moyen, et non comme l
x et vil. Comment avoir l’idée de cette fureur de personnalité ? Quel but que soi pour sa propre vie ! quel homme peut se c
87 (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Essai sur la littérature merveilleuse des noirs. — Chapitre V. Séductions pour la compréhension de la psychologie indigène. — Conclusion »
es cosmogoniques, ethniques et zoologiques des noirs. — Conclusion. — But de l’auteur : planter des jalons pour faciliter l
rit d’association. — Le noir a-t-il tendance à s’associer en vue d’un but à atteindre ? Il semble assez sceptique quant aux
tranger et Ybilis. Peut-être, il est vrai, ces sarcasmes ont-ils pour but de stimuler la vanité de ceux qui font passer leu
oir — ceci résulte de sa littérature même — voit à l’existence divers buts , presque tous matériels d’ailleurs : La conquête
pouvoir, celle de la fortune, celle de la femme désirée. Le quatrième but répond à ses instincts de vanité : c’est la conqu
vanité : c’est la conquête de la considération131. Pour atteindre ces buts divers, le noir sacrifiera tout, même sa vie qu’i
88 (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section première. Des passions. — Chapitre VI. De l’envie et de la vengeance. »
t de la vengeance. Il est des passions qui n’ont pas précisément de but , et cependant remplissent une grande partie de la
La passion de l’envie n’a point de terme, parce qu’elle n’a point de but  ; elle ne se refroidit point, parce que ce n’est
c’est à combattre les mouvements involontaires qui entraînent vers un but condamnable, que la raison est particulièrement d
89 (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Troisième partie. Disposition — Chapitre VII. Narrations. — Dialogues. — Dissertations. »
qui se tire de la nature essentielle des choses et de leur rapport au but suprême de l’œuvre. On peut appliquer à tout réci
fin le sujet, c’est-à-dire pousser l’action et les caractères vers un but où l’une s’achève et les autres se complètent, de
actère dramatique, cette exacte combinaison de détails rapportés à un but unique, et placés pour produira leur plus grand e
eux personnes conversent, dit très bien M. Taine, vont-elles droit au but  ? Le discours ne traîne-t-il pas en détails inter
90 (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Le général Joubert. Extraits de sa correspondance inédite. — Étude sur sa vie, par M. Edmond Chevrier. — III » pp. 174-189
(ce sont ses expressions). Cette journée du 20 octobre avait eu pour but ou pour prétexte de faire passer le gouvernement
s, celui-ci lui dit « que jusque-là on avait gouverné au hasard, sans but comme sans principes, et qu’il n’en serait plus d
. Fouché aurait répondu « qu’il était temps que cette démocratie sans but et sans règle fît place à l’aristocratie républic
était possible, vous en seriez ; mais que nous sommes encore loin du but  ! » — « Je lui parlai alors de Joubert, ajoute Fo
journée de Novi. La bataille n’était pas nécessaire, elle était sans but , et l’eût-on gagnée par l’infanterie sur les haut
91 (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section première. Des passions. — Chapitre IV. De l’amour. »
e d’un sentiment délicieux ; la vie qui pèse était entraînante, et le but , qui toujours paraît au-dessous des efforts, semb
’expose à recevoir la mort de ses propres affections. Mais le premier but qu’on doit se proposer, en s’occupant du sort des
eât tout-à-la-fois des remords et des incertitudes. Quand on n’a pour but que son propre avantage, comment peut-on parvenir
our dont leur âme est épouvantée. Une sorte de trouble sans fin, sans but , sans repos, s’empare de leur existence, les unes
mé ; le cœur des femmes est inépuisable en regrets, les hommes ont un but dans l’amour, la durée de ce sentiment est le seu
92 (1904) Prostitués. Études critiques sur les gens de lettres d’aujourd’hui « Chapitre XI. Quelques philosophes »
eu. Il ne va pas au-delà. Pourtant le surhomme ne saurait être que le but immédiat de l’homme, non le but final de l’univer
nt le surhomme ne saurait être que le but immédiat de l’homme, non le but final de l’univers. Lui aussi, il devra se surmon
evue à l’extrémité de son axe ou à l’un de ses foyers. La marche a un but qu’on atteindra ou dont on approchera. Mais seul
t elle se continue ensuite vers une sorte de perfection contraire. Le but , ne serait-ce pas la résurrection de ce Dieu qui
nsi l’univers, délivré tout à l’heure de la causalité, de l’ordre, du but , est pris maintenant dans la nécessité plus forte
93 (1913) Le bovarysme « Première partie : Pathologie du bovarysme — Chapitre I. Le Bovarysme chez les personnages de Flaubert »
ne peuvent reproduire, en sorte que toute leur énergie, détournée des buts accessibles et stimulée vers l’impossible, se dis
évaluation rigoureuse : il grandit avec l’écart qui se forme entre le but qu’ils se sont volontairement assigné et le but v
qui se forme entre le but qu’ils se sont volontairement assigné et le but vers lequel les aimantait spontanément une vocati
ainsi que Rodolphe Boulanger, en séducteur préoccupé seulement de son but , accepte bien de jouer le rôle sentimental que sa
ers, Arnoux croit sans peine qu’il a acquis, avec la connaissance des buts , l’aptitude qui le prédispose à les atteindre tou
nnaît, elle se forge une fausse conception de son pouvoir, visant des buts qu’elle ne peut toucher, se réalisant toujours se
t dupe ici de ses procédés : elle prend pour une route tracée vers un but fixe auquel elle aboutirait, ce sens de la causal
94 (1894) Dégénérescence. Fin de siècle, le mysticisme. L’égotisme, le réalisme, le vingtième siècle
ne l’a pas encore produit. L’unique tentative d’acheminement vers ce but se rencontre peut-être dans les meubles de M. Car
descendant chromatiquement, le flot sonore doit couler sans bords ni but reconnaissables, et faire apparaître parfois au r
longer dans la perpétuelle ébriété de phantasmes à perte de vue, sans but ni rive, et il n’a presque jamais la force d’inhi
nité, par des sentiers propres qu’ils ont trouvés eux-mêmes, vers des buts nouveaux, mais ces buts sont des abîmes ou des dé
ropres qu’ils ont trouvés eux-mêmes, vers des buts nouveaux, mais ces buts sont des abîmes ou des déserts. Ils sont des guid
ontemporains, l’entassement, dans les demeures, d’un bric-à-brac sans but qui n’en devient ni plus utile ni plus beau pour
nc et des jambes, reçoivent des impulsions motrices qui n’ont d’autre but que de me procurer, de l’objet de mon attention,
-ci à leur tour acquerront la puissance d’adapter l’organisme à leurs buts . C’est donc seulement par l’attention, comme nous
e ni guidée par l’attention, est capricieuse, dépourvue de plan et de but . Les représentations sont appelées à la conscienc
xuels, d’autre centre qui aurait à travailler ainsi pour répondre aux buts de l’organisme. Chez le dégénéré, au contraire, q
e façon de lier les représentations d’après le son des mots déjoue le but de la pensée, puisqu’au lieu de conduire à la con
de l’attaque. Le mysticisme trouve son image dans les mouvements sans but et sans force, souvent simplement esquissés, du t
faiblesse d’esprit innée ou acquise et l’ignorance conduisent au même but  : le mysticisme. Le cerveau de l’ignorant élabore
arles Swinburne et William Morris. Quels sont les idées-forces et les buts du mouvement préraphaélite ? Un critique anglo-al
vante de la théologie ». Le mysticisme de Ruskin se proposait le même but avec l’art. La peinture et la sculpture devaient
’elles soient… Plus insuffisants paraissent les moyens par rapport au but , et d’autant plus puissante sera l’impression de
fice sublime. L’image produite par l’ombre n’aurait eu non plus aucun but , car nul contemporain du Christ n’aurait compris
sprit que l’éveil du printemps crée dans l’âme, et c’est justement le but que se proposait le poète. Si, au contraire, Ross
on déterminée et tombe au son sans signification qui n’a plus d’autre but que d’éveiller par l’association d’idées toutes s
». Que de ces vers on rapproche encore ceux-ci : « Yet both were ours but hours will corne and go » (A new years burden) f
s will corne and go » (A new years burden) f et « Forgot it not, nay, but got it not ». (Beauty). Plusieurs des poésies de
stiques communs, aucune visée esthétique claire, et ne poursuit qu’un but inavoué quoique facile à reconnaître, — celui de
eulent être reconnus comme caste supérieure. Ils cherchèrent, dans ce but , une marque distinctive qui fit voir immédiatemen
devons attendre des renseignements plus complets sur leurs moyens et buts . M. Charles Morice nous apprend effectivement : «
es modifications et variations intellectuelles d’un poète, épris d’un but déterminé par lui ». Il s’est déjà trouvé en All
nt les griots soudaniens ». Edmond Haraucourt reconnaît clairement le but visé par les symbolistes : « Il y a un parti de m
de sa propre rêvasserie, de même que son propre langage n’a pas pour but de communiquer une pensée déterminée, mais doit s
r la voie des journaux, à souscrire aux actions d’une société dont le but devait rester secret. Il se trouva effectivement
n dont tout écrivain a la notion incontestable mais indiscernable, ce but évident et caché qu’il n’atteindra jamais et qu’i
tion de l’homme dans l’univers, de ses rapports avec l’humanité et du but de sa vie, une idée qui ressort de toutes ses œuv
n éternelle question, la seule qui signifie quelque chose : Dans quel but est-ce que je vis ? — la science me donna des rép
souffre, et qui cependant est tranquille et a des idées nettes sur le but de la vie. Je compris que l’on doit vivre comme c
édiatement qu’elle est absurde. Poser ainsi la question : « Dans quel but est-ce que je vis », c’est la poser d’une façon d
ce a précisément à exercer sa critique. Pour demander : « Quel est le but de notre vie ? », nous devons admettre avant tout
de notre vie ? », nous devons admettre avant tout que notre vie a un but déterminé, et comme notre vie n’est qu’un phénomè
hypothèse renferme cette autre, que la vie générale de la nature a un but déterminé. Cette hypothèse à son tour présuppose
un esprit conscient, prévoyant et dirigeant. Qu’est-ce en effet qu’un but  ? L’effet voulu, placé dans l’avenir, de forces a
fet voulu, placé dans l’avenir, de forces actives dans le présent. Le but exerce sur ces forces une influence, en ce qu’il
tivement, dans le temps et l’espace, car alors il cesserait d’être un but futur, il deviendrait une cause présente, c’est-à
on perd immédiatement le droit de poser cette question : « Dans quel but est-ce que je vis ? ». Car, alors, elle est une a
lan est certainement parfait, toutes ses parties sont harmoniques, le but auquel est employé chaque collaborateur, le plus
un Dieu, on ne peut non plus former l’idée de finalité, car alors le but futur, qui ne peut exister que comme idée dans un
’il n’y a pas de finalité, on ne peut non plus demander : « Dans quel but est-ce que je vis ? ». Alors la vie n’a pas un bu
nder : « Dans quel but est-ce que je vis ? ». Alors la vie n’a pas un but prédéterminé, elle n’a plus que des causes. Nous
ces considérations il résulte que la terrible question : « Dans quel but est-ce que je vis ? », qui a presque poussé Tolst
e façon satisfaisante. Le croyant, qui admet que sa vie doit avoir un but , vivra conformément à ses inclinations et à ses f
travail qui lui est assignée dans l’univers, même sans connaître les buts derniers de celui-ci, absolument comme un soldat
souffre, et qui cependant est tranquille et a des idées nettes sur le but de la vie ». « Je compris, ajoute-t-il, que l’on
mystique. « La foule vit tranquille et ayant des idées nettes sur le but  », non parce qu’elle a une « foi simple », mais p
ire que la majorité « vit tranquille et ayant des idées nettes sur le but  », parce qu’elle a une « foi simple », cela est t
que cette majorité « vit tranquille et ayant des idées nettes sur le but  », parce qu’elle mange surtout des pommes de terr
oi, et cherche alors lui-même dans la foi des éclaircissements sur le but de sa propre existence. « Je fus amené au christi
. Car si la vie n’est que l’instant présent, elle ne peut avoir aucun but , vu que celui-ci nous montre un avenir ; et si le
ent, la victime de ces conditions défectueuses ; l’aumône n’a d’autre but , en ce cas, que d’étourdir la conscience de celui
nous l’avons dit, pur amour de soi-même, car il ne se propose d’autre but que de s’éviter la douleur et d’accroître ses pro
pourvu de discernement, du mystique émotif, manque nécessairement son but , parce qu’il n’a pas pour point de départ la conn
ff développe la théorie délirante suivante de la loi de la vie : « Le but de l’homme, comme de l’humanité entière, est le b
ur sensuel, l’union existera alors, et l’humanité, ayant accompli son but , n’aura plus de raison d’exister ». Et ses dernie
outes les lois développées historiquement, et qui a consciemment pour but d’anéantir l’humanité. L’idée de la combattre ave
des fabriques, s’établir dans la campagne, travailler des mains ; le but de tout homme doit être de satisfaire seul tous s
nence. Car il est clair qu’il est inutile de se casser la tête sur le but et le contenu de la vie humaine, sur le crime et
contraint Tolstoï à s’occuper incessamment des questions relatives au but et à la signification de la vie, mais la maladie
our épouse, une femme déterminée ; mais ce qui, son choix fait et son but atteint, le retient dans le mariage, ce n’est plu
llement puiser de riches consolations pour leur vie solitaire et sans but , pour leur cruelle exclusion de leurs fonctions n
is seulement des sentiments de nature générale, et il imagine dans ce but le galimatias qui suit (p. 88) : « Elle ne peut…
ses perpétuelles contradictions. Une fois il déclare (p. 187) : « Le but suprême de l’homme est le but artistique, le but
ns. Une fois il déclare (p. 187) : « Le but suprême de l’homme est le but artistique, le but artistique suprême est le dram
lare (p. 187) : « Le but suprême de l’homme est le but artistique, le but artistique suprême est le drame », et peu après,
sa tâche de s’occuper de l’homme réel ne verra jamais dans l’art « le but suprême de l’homme » ni ne tiendra ses « rêves »
tement très utiles, pour se révolter contre elles. Sa colère vise des buts ridiculement insignifiants ou se déchaîne en l’ai
mal les hommes, dont la propre force ne suffit pas pour atteindre ce but . Ainsi comprise, la rédemption a trois prémisses.
l’amour chez Tristan comme chez Iseult ; et ici aussi, la mort comme but naturel de l’amour. Pour expliquer son idée mysti
sent dans les différents arts, conformément à leurs moyens et à leurs buts particuliers, des phénomènes différents. Qu’on se
elles, au contraire, un état durable général sans cause déterminée ni but appréciable : leur extériorisation par le secours
s. Il est clair qu’une émotion non consciente de ses motifs et de ses buts , non éclairée par l’attention, n’élèvera pas son
. L’émotion qui devient nettement consciente de son contenu et de son but cesse d’être une simple émotion et se transforme
t le vaisseau-fantôme. Il s’est formé une société qui n’a pas d’autre but que de collectionner des histoires de revenants p
trent et s’entre-croisent diversement les uns les autres : le suprême but intellectuel de l’homme est d’entendre la musique
des terrains différents, sous la contrainte des mêmes motifs, au même but  : celui-là à la « mélodie infinie », qui n’est pl
es admirateurs de Mæterlinck. Suivant eux, tout cela est fait dans un but profondément artistique. Un lecteur sain n’en cro
iété ; il en est même souvent, quand il ne s’agit que d’atteindre des buts bas, plus capable que l’homme supérieur et meille
les plus simples se meuvent avec une intention évidente vers certains buts et s’éloignent de certains points ; ils distingue
du sens génésique, il a des désirs qui sont directement contraires au but de l’instinct : la conservation de l’espèce. Dans
es méfaits qui sont propres aux classes supérieures et n’ont pas pour but la satisfaction des besoins matériels, mais d’aut
ue ou d’échapper à un désagrément. Autrement dit, l’adaptation a pour but de donner des sentiments de plaisir et de diminue
une inondation ou un cyclone. Il n’est pas un déblayeur conscient du but , mais un destructeur aveugle. Cela le distingue d
otiste. Celui-là a un idéal positif, celui-ci non. Celui-là sait quel but il vise, celui-ci n’a aucune idée de la façon don
ires se tourne fréquemment contre des maux imaginaires, poursuive des buts puérils ou combatte des lois précisément sages et
e le justifie dans les termes suivants : « La poésie… n’a pas d’autre but qu’elle-même ; elle ne peut pas en avoir d’autre,
rait évidemment une absurdité. Je dis que, si le poète a poursuivi un but moral, il a diminué sa force poétique, et il n’es
paraissent la doctrine antique des causes finales et la croyance à un but défini de l’univers, peut nous faire considérer c
soi peut être utile ou nuisible à l’organisme total. Si le monde a un but , c’est là une question qu’on peut laisser indécis
l’activité de toutes les parties de l’organisme a néanmoins sinon le but , du moins l’effet incontestable de conserver l’or
rsonnes qui simulent avec quelque persévérance la folie, même dans un but raisonnable, comme, par exemple, certains crimine
al à propos tandis qu’il tentera de forcer son secrétaire. Alors, mon but sera atteint ; j’aurai contribué, dans la mesure
ions d’opinions et de désirs ; faire comprendre cela à l’homme est le but de l’éducation, et celui qui n’a pas appris à s’i
sant, ou bien éminent par la position et le mérite ; elle a donc pour but d’impressionner favorablement les autres, elle ré
la réprobation au lieu de l’approbation, cela va juste à rencontre du but de l’art du costume et témoigne d’une perversion
istique du vêtement, il n’approche pas d’une seule ligne son prétendu but de satisfaction esthétique. Ce n’est donc pas par
’idée centrale de son verbiage lourdement railleur, poursuivant comme but suprême l’agacement du philistin et s’efforçant p
pendante comme l’idée, et se développe exclusivement vers ses propres buts … Secondement : tout mauvais art provient du retou
lement de l’instinct d’imitation de la vie, mais aussi du fait que le but conscient de la vie est de trouver de l’expressio
tes » affirme, avec les parnassiens, que l’œuvre d’art est son propre but  ; avec les diaboliques, qu’elle n’a pas besoin d’
l le rapport du beau avec le moral et l’objectivement vrai, l’idée du but dans le beau artistique et le rang de l’art dans
et ils affirment que les hérétiques qui assignent à l’œuvre d’art un but quelconque ne peuvent être que des philistins pac
iétante, la réaction de l’organisme contre elle est un mouvement sans but objectif, le plus souvent un mouvement imitateur.
e, que les traces laissées par des mouvements imitateurs, — a donc un but organique immédiat : celui de délivrer le système
entation motrice, mais consistent en mouvements ayant uniquement pour but de détendre les centres nerveux chargés d’impulsi
ceux-ci est l’émotion284. L’activité artistique n’est pas son propre but , mais elle a une utilité directe pour l’artiste ;
e représentation ou d’un sentiment qui pèse sur son âme. A ce premier but de l’œuvre d’art, le but subjectif de la délivran
sentiment qui pèse sur son âme. A ce premier but de l’œuvre d’art, le but subjectif de la délivrance de l’artiste, s’en ajo
mobiles artificiels, et où les actions elles-mêmes reçoivent un autre but que leur but théorique propre, l’artiste, il est
iciels, et où les actions elles-mêmes reçoivent un autre but que leur but théorique propre, l’artiste, il est vrai, n’a plu
t établi que l’art n’est pas exercé pour l’art seul, mais a un double but , subjectif et objectif, celui de satisfaire un be
s lesquels est jugée toute autre activité humaine poursuivant le même but  : les principes de la moralité et de la légalité.
et de se proposer l’édification de dévotes. Mais entre une œuvre sans but de sanctification et une œuvre d’une immoralité v
r, devant un pareil tableau, il n’est plus possible de séparer de son but le déploiement de force beau en soi, ni d’en joui
al, parce que la société doit avant tout vivre et se protéger dans ce but contre ses ennemis, le guerrier, disons-nous, rét
mun avec la moralité. L’œuvre d’art doit être morale, car elle a pour but d’exprimer et d’exciter des émotions ; en vertu d
elle a pour but d’exprimer et d’exciter des émotions ; en vertu de ce but elle tombe sous la compétence de la critique, qui
damnée et supprimée comme toute autre activité organique contraire au but . L’œuvre d’art doit être morale, car elle doit pr
vons vu, ne résiste à la critique. L’œuvre d’art n’est pas son propre but , mais elle a une tâche individuellement organique
les. Il leur applique toutes sortes de petites particularités dans le but de leur donner une physionomie personnelle. Mais
qu’il veut faire brûler et définitivement anéantir l’asile ; dans ce but , Mme Alving ne devait pas être assurée, et l’aute
remarquer, en passant, l’absurdité de ce moyen pour atteindre pareil but ), confesse tout d’un coup à ses concitoyens, sans
en est la confession ; dans presque toutes ses pièces celle-ci est le but où aboutit toute l’action. Et il n’est pas questi
que le désir d’augmenter mon importance et ma considération a été le but de la plupart de mes actes… Mon intention primiti
e et une expiation, en la confession auriculaire, qui se propose pour but l’allègement et la détente délicieuse et sans dan
Hessel, Pétra Stockmann et son père, mais, dans sa bouche, il a pour but d’exciter le rire. « Et voilà cette nature confia
yer, comme il l’appelle, repose sur un mensonge… J’ai enfin trouvé un but à ma vie ». Ce but consiste à opérer Hjalmar de s
elle, repose sur un mensonge… J’ai enfin trouvé un but à ma vie ». Ce but consiste à opérer Hjalmar de sa cataracte morale.
Je saurai te repêcher, car, vois-tu, depuis hier, j’ai, moi aussi, un but d’existence ». Et, un peu après, à son père : « Q
ccommode de la façon qu’il convient l’idiot qui, en poursuivant son «  but d’existence », désunit Hjalmar et sa femme, détru
dans la montagne, et il demande à Brand où il les mène et quel est le but de cette ascension. A quoi Brand lui fait cette m
pulsion317, qui reparlent sans cesse, avec une passion farouche, du «  but  » qu’ils veulent atteindre, dussent-ils y sacrifi
leur vie, mais qui ne soupçonnent pas eux-mêmes quel est en somme ce but , ni ne sont capables de le désigner d’une façon i
p. 223) dit qu’il veut « employer toutes les forces de son être à ce but unique : l’avènement, dans ce pays, du vrai jugem
n’avait aucune joie à lui offrir, mais des plaisirs seulement. Pas de but à atteindre : il n’avait qu’un emploi. Pas un tra
nt à chercher en elles une idée précise, elles s’envolent en fumée. «  But  », « emploi », « travail », « occupation », « cam
dans le petit Kœnigsberg du siècle précédent, l’« emploi » était le «  but  » et le « travail » « l’occupation », et il chois
êtent la nature d’une obsession, Ibsen les répète opiniâtrément, sans but visible, en leur attribuant une signification mys
e par une exécution maladroite. La lutte pour la liberté n’a pas pour but la conquête de la liberté, mais elle est son prop
n’a pas pour but la conquête de la liberté, mais elle est son propre but . Lorsque l’on croit posséder la liberté et qu’on
le contenu le plus élevé de la conscience est la connaissance, et le but le plus visible et le plus immédiat de la connais
sent des actes qu’il trouve absurdes, parce qu’ils sont contraires au but , il n’a pas seulement le droit, mais le devoir, d
nterprète l’origine de la conscience et cherche à donner une idée des buts du développement de l’espèce, c’est-à-dire de l’h
e cet apparent adversaire et destructeur d’Israël, atteint le dernier but de sa sublime rage de vengeance ? Cela ne rentre-
événement que Nietzsche décrit comme prémédité, voulu et conscient du but , afin de bien voir toute la démence de ces succes
mais à la science en général. « La science entière a aujourd’hui pour but d’enlever à l’homme le respect qu’il a eu jusqu’i
table, ah, mais non ! eux, les individus qui ne poursuivent que leurs buts égoïstes personnels, qui font semblant seulement
st, dans la vie politique, une espèce de jésuitisme en cuirasse. « Le but sanctifie le moyen », et le moyen n’est pas, comm
ranche brutalité, la violence, le coup de poing et le coup d’épée. Le but qui sanctifie le moyen du jésuite en cuirasse peu
ut qui sanctifie le moyen du jésuite en cuirasse peut être parfois un but d’utilité générale, mais il est aussi souvent, et
ilité générale, mais il est aussi souvent, et plus souvent encore, un but égoïste. Chez son auteur, ce système de primitive
on des temps primitifs, qui envisageait l’homme comme le centre et le but de l’univers. Il est une des formes philosophique
rd Scandinave, comme une révolte, dépassant d’ailleurs de beaucoup le but , contre la discipline zélatrice et la contrainte
humaine notre pitié aussi vivement qu’il la ressent lui-même. Dans ce but il a réuni et arrangé d’une main d’artiste sûre,
es complices pour se rendre avec eux dans les forêts de la Bohême. Le but poursuivi était le même que celui de toute autre
provoquent la plus grande admiration. Il y a des sociétés ayant pour but de les interpréter, et leur enthousiasme est si f
à sa nécessité anatomique » la maladie de l’époque, et c’est vers ce but qu’il convient de diriger tous nos efforts. Car a
et parfois ralentie, et quand cet écart de la règle est nuisible aux buts de l’organisme total, nous le nommons maladie. Co
spuent la science, assignent la fainéantise esthétisante comme unique but à la vie. Mais leur invocation de la liberté et d
maladie ». Mais elles deviennent telles par rapport aux phases et aux buts de l’organisme. Le même état peut très bien être
ieux ou malfaisant continue à les pousser à détruire non plus dans le but de dépenser leurs forces, mais dans le dessein de
aire s’est adonné à l’usage des poisons narcotiques seulement dans un but d’« expérience physiologique » ; mais nous connai
st la forme que l’idéal, c’est-à-dire la connaissance pressentante du but du développement, revêt dans la conscience de l’h
fonction (soit de la royauté, soit de la chose publique), mais comme but et suprême justification de celles-ci, — et que,
ui-là veut endurer des douleurs et se sentir soumis à la violence, le but de celui-ci est de causer des douleurs et d’exerc
tinue sa route en mendiant ». « Dire sienne une tonne d’or, — Sublime but inattingible de l’homme ! etc. » 437. Heinz Tovo
95 (1908) Après le naturalisme
son ordre, dans l’harmonie des activités humaines. Elle concourra au but de l’Homme qui est la Vie. Avant qu’elle n’entre
l s’anéantirait lui-même. Et la raison aussi nous détourne du nouveau but qu’on nous propose. Il n’est d’anormal, de singul
laissent aucune place à la fantaisie. Cependant aucune n’a atteint le but pour lequel elles étaient conçues. L’enthousiasme
isses à la volonté de vivre qui t’anime, tu ne dois pas avoir d’autre but — de distraction ! Marche à la toute connaissance
les éléments entrent chacun à leur place et concourent tous à un même but . C’est une association au pair d’individus égaux
sard, sans désir ni dessein préétabli, parce que l’univers n’a pas de but et se suffit à lui-même, offrant dans sa réalité
’homme dans la favorisation de la vie. À l’homme, la vie donc crée ce but , lui impose une manière d’être qui ne soit pas la
lambeaux sur les décombres de la Bastille. Les Encyclopédistes ont un but . Ils veulent la Justice et la Fraternité humaines
nce de l’Encyclopédisme, qu’on le comprenne bien, c’est d’avoir eu un but anthropique et de s’être voulu selon cette fin. A
en dessinent les premiers. Il faut que toute œuvre, tout geste ait un but ou procède d’un but à atteindre, et ce but nous l
miers. Il faut que toute œuvre, tout geste ait un but ou procède d’un but à atteindre, et ce but nous le connaissons. C’est
e œuvre, tout geste ait un but ou procède d’un but à atteindre, et ce but nous le connaissons. C’est, par de là l’homme et
naître les réponses. Pourquoi la Vie ? Comment la vivre ? Quel est le but de l’homme ? Qu’est-ce que le monde ? Les nouvell
la vérité pour elle-même, nous ne pouvons accorder que ce soit là le but de nos recherches. Science n’est pas autre chose
ur est capitale puisque par elle on tournait diamétralement le dos au but que l’on devait atteindre. À ces différentes part
et ne constitue pas un organisme nouveau à l’individualité propre, au but différent du but de ses unités. Dans la société,
as un organisme nouveau à l’individualité propre, au but différent du but de ses unités. Dans la société, l’homme se condui
beaux. L’humanité les y a laissés périr. L’art qui ne veut avoir pour but que soi y a péri avec eux. Qu’un autre art, s’élè
96 (1905) Pour qu’on lise Platon pp. 1-398
érence, plus ou moins avouée, au sujet du juste et de l’injuste. Leur but , leur préoccupation, leur idéal, ou, si l’on veut
ssible, bien au-delà de tout ce que l’on pouvait prévoir. — Dans quel but  ? — Mais, dans le dessein d’être forts, d’être in
soucier de l’objet auquel cette habileté de parole s’appliquera et du but qu’elle devra poursuivre, et il n’y a d’important
lle devra poursuivre, et il n’y a d’important que cet objet et que ce but . Il ne s’agit pas de faire des hommes habiles à p
se renferment dans les limites de leur profession, laquelle n’a pour but que d’enseigner à parler et se refusent les haute
res, des voies détournées et obliques, des mille chemins pour un seul but , avec mépris de celui qui va tout droit ; par son
ncurrents. Or nous croyons que la vraie loi peut seule atteindre à ce but et nous espérons qu’elle vous y conduira. Ne comp
es Sophistes et Socrate, ce sont les Sophistes qui vont plus droit au but et qui ont plus de loyauté dans la discussion ; e
colonie. Quiconque pensera à fonder un État doit se, proposer le même but dans son plan de législation et non pas l’intérêt
u’à dominer, sans se soucier des moyens et sans se demander dans quel but . Quand ils ont dit : « Il s’agit d’être les premi
t là qu’un moyen d’éducation, c’est un acheminement ; ce n’est pas le but . Les Athéniens restent enfants en ceci qu’ils con
Mais encore est-il vrai que la plupart des hommes estiment le plaisir but de la vie, quelque chose du reste qu’ils nomment
s disons seulement qu’on ne peut pas prendre comme vrai bien et comme but de la vie une souffrance qui cesse. Quelque chose
est très rationnellement destiné. Il est philosophique de dire que le but de l’homme est le plaisir, à condition que l’on s
le lui permet, il fera bien de ne pas se donner le plaisir comme son but . Composons, si l’on veut. À ceux qui sont forteme
oi donc ? La science peut-être. Il est des hommes qui estiment que le but de l’homme est de savoir et que le bonheur de l’h
nté Platon, que du reste il ne peut souffrir. Dirons-nous donc que le but de l’homme c’est le savoir ? Ce serait encore une
e à mesure qu’on la possède davantage ; mais elle n’atteint jamais ce but suprême du souverain bien ; si près qu’elle en so
t de croire qu’il n’y a entre le plaisir et le bien aucun rapport. Le but de la vie du sage sera donc le bien et non pas le
établi : le bien n’est pas le plaisir ; le bien c’est l’harmonie ; le but de la vie est le bien, le but de la vie est l’har
plaisir ; le bien c’est l’harmonie ; le but de la vie est le bien, le but de la vie est l’harmonie. — Mais alors le bien, c
er, il restera tel et ne mènera pas très haut ; il ne mènera qu’à son but même. Mais s’il a été, comme on peut constater qu
on, apercevra tout à coup une beauté merveilleuse, celle qui était le but de tous ses travaux antérieurs : beauté éternelle
à cette beauté parfaite et qu’on commence à l’entrevoir, on touche au but Car le droit chemin de l’amour, qu’on le suive de
à la santé de la race, et par conséquent à la perpétuité, qui est le but cherché. Trouve-t-on trop métaphysique et par con
est bien, et cette autre idée platonicienne que la perfection est le but dernier de toute chose. Un sentiment aussi import
t pas détruire le désir ; il faut le rectifier et le diriger vers son but véritable et alors, lui aussi, d’illusion sera de
ation doit être harmonieuse. Elle ne doit même n’être que cela en son but dernier, en sa dernière fin. Établir une harmonie
’esprit. Et ces propos de Périclès seraient certainement injustes, le but de Platon ayant certainement été de relever le pe
de simples maniaques. Le propre de l’homme est d’agir en tendant à un but et ils ne sont pas capables de dire quel est le l
it. L’homme, lui, agit pour agir et aussi en rapportant son acte à un but qui est par-delà son acte. Les artistes seraient-
n’importe quoi ? — Comment donc ! Mais la rhétorique n’a donc pas de but en dehors d’elle ? Elle est la rhétorique pour… p
n’existe pas ; car que serait une faculté de l’âme qui n’aurait pour but que de s’exercer ? Je ne sais pas si l’on pourrai
, si l’on veut, par métaphore ; mais cela ne l’empêche pas d’avoir un but . Son but est de persuader ce qui est utile à l’or
veut, par métaphore ; mais cela ne l’empêche pas d’avoir un but. Son but est de persuader ce qui est utile à l’orateur, et
et l’orateur ne s’y instruit que dans ce dessein et pour atteindre ce but -là. En soi la rhétorique est donc l’art de persua
ce but-là. En soi la rhétorique est donc l’art de persuader ; en son but elle est l’art de persuader ce qu’il est utile qu
a morale. D’où il suit que la voyez-vous, votre rhétorique ? Selon le but qu’on lui assigne, elle se dissout dans la coquin
en du tout. Vous voyez bien qu’il était utile de la définir selon son but , puisque selon son but elle est ou ceci ou cela e
bien qu’il était utile de la définir selon son but, puisque selon son but elle est ou ceci ou cela et toujours quelque chos
ous les arts. Tous, ou ils ne sont que des procédés qui n’ont d’autre but qu’eux-mêmes et alors ils sont tellement insignif
si encore ils ne sont pas funestes, corrupteurs, etc. ; ou ils ont un but , celui de rendre les hommes plus heureux, et les
oint de départ, par sa base, par sa méthode, comme elle l’est par son but . Elle part de la connaissance de l’âme humaine et
ction, dans le sens qui est leur sens véritable, dans le sens de leur but vrai, seulement entrevu par elles ; ils sont natu
rquoi ce particulièrement, — peint des âmes et non pas des fleurs. Le but de l’art est de faire plaisir ; il n’en a pas d’a
l’écarte et de la vérité et de la beauté. Il fait qu’il poursuit deux buts et qu’il suit deux chemins, ce qui rend sa démarc
d’art gauches. Et ce sont ainsi des ouvrages qui manquent tous leurs buts et principalement celui de moraliser. Pourquoi le
rt qui prétend exciter à la vertu et qui montre trop que c’est là son but . « Je ne bâille pas au sermon ; je ne bâille qu’a
n esprit. Quand les artistes littéraires de 1660 disaient tous : « le but de l’art est de plaire », ils avaient certainemen
ent un mauvais mot d’ordre, parce que leur formule était inexacte. Le but de l’art n’est pas de plaire ; le but de l’art es
leur formule était inexacte. Le but de l’art n’est pas de plaire ; le but de l’art est de chercher le beau ; par conséquent
ment cela, et me voilà accouché. Je t’en remercie. — Au fond donc, le but de l’artiste est de plaire, et la fin de l’art es
e est de se plaire, de créer une œuvre dans laquelle il se plaise. Le but de l’art n’est pas de plaire ; il est de se plair
enseignent l’injuste et ceux qui enseignent le juste tendent au même but sous différents mots, c’est à savoir à faire et d
oupable. « car aucune peine infligée dans l’esprit de la loi n’a pour but le mal de celui qui la souffre ; mais son effet d
et telle encore que, quand il l’entrevoit, il se sent dirigé vers son but  ; et telle encore que, s’il la comprenait absolum
du déchet et que l’on en rabattra. Ils visent un peu plus haut que le but pour y toucher, et je ne crois pas que ce soit le
97 (1890) L’avenir de la science « XIII »
des travaux du savant et la manière dont il exerce son influence. Son but n’est pas d’être lu, mais d’insérer une pierre da
un accessoire. Le principal seul a du prix, l’existence n’a pas deux buts . Si je ne croyais que tout est saint, que tout im
solide, durable, et d’ailleurs immensément relevée par l’élévation du but final. Certes il serait plus doux et plus flatteu
s méritants sont ceux qui, tout en comprenant d’une manière élevée le but suprême de la science, tout en ressentant d’énerg
uctions. Mais leurs recherches, je le répète, ne sauraient avoir leur but en elles-mêmes ; car elles ne servent pas à rendr
oi bon la faire ? Il serait trop étrange que la science n’eût d’autre but que de servir ainsi d’aliment à la curiosité de t
98 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre XV. De l’imagination des Anglais dans leurs poésies et leurs romans » pp. 307-323
r le commerce habituel avec les hommes réunis en société dans le seul but de se plaire. Il y a beaucoup de fautes de goût
era cet ouvrage, aient une occasion de plus de relire de tels vers : But happy they ! the happiest of their kind ! Whom ge
laws, Unnatural oft, and foreign to the mind, That binds their peace, but harmony itself, Attuning all their passions into
r Surprises often while you look around, And nothing strikes your eye but sights of bliss, All various nature pressing on t
99 (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « XI »
monstration, en vertu de ce principe qu’on dépasse toujours un peu le but quand on veut prouver quelque chose. Dans Chateau
Ai-je besoin de démentir ces ironies sans scrupule, qui n’ont d’autre but que d’entretenir l’équivoque où nos contradicteur
’a de valeur, disions-nous, que comme moyen de métier et n’est pas un but par lui-même. Il y manque la vie. On n’emprunte p
100 (1894) Propos de littérature « Appendice » pp. 141-143
usion la plus probable des observations ici rassemblées. Tel était le but de ce petit livre, — et de suggérer peut-être que
on : Le rythme nous avertit de la vie en sa marche incessante vers le but ignoré ; l’harmonie, qui en procède, est le signe
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