les a appelés, « les auteurs difficiles », c’est-à-dire ceux qu’on ne
comprend
pas du premier regard, ni même du second, les Lyc
es entendre, l’arrière-ban de ceux qui n’osent pas dire qu’ils ne les
comprennent
pas et qui, sans les lire, déclarent qu’ils sont
as absolument tort. Ils partent de ce principe que tout texte qui est
compris
du premier coup par n’importe qui n’est pas de la
a littérature. Et ce principe n’est point tout à fait faux. Peut être
compris
du premier coup par n’importe qui un trait de sen
texte où il y a de la pensée ne peut être qu’un lieu commun s’il est
compris
de prime abord. Vous n’avez pas compris du premie
re qu’un lieu commun s’il est compris de prime abord. Vous n’avez pas
compris
du premier coup la Mise en liberté de Victor Hugo
e quand il s’agit de pensée, en voulant que rien de la pensée ne soit
compris
du premier coup. La pensée doit se présenter, et
ctuaire, d’y séjourner et surtout d’en sortir en déclarant qu’ils ont
compris
, mais qu’il s’en faut que tout le monde en puisse
ie intellectuelle. Je vois tel auteur, de qui, en m’appliquant, je ne
comprends
littéralement pas une ligne et que jeunes gens, f
rends littéralement pas une ligne et que jeunes gens, femmes, enfants
comprennent
parfaitement, jusqu’à assurer que tout ce qu’il d
i peu qu’ils l’avaient pensé avant lui. Je me récuse et dis que je ne
comprends
pas, malgré un grand désir et un grand zèle. On m
tendiez… » La joie pour certains et même pour beaucoup est d’abord de
comprendre
, mais surtout de comprendre ce que le vulgaire ne
ains et même pour beaucoup est d’abord de comprendre, mais surtout de
comprendre
ce que le vulgaire ne comprend pas. Il y a du rag
abord de comprendre, mais surtout de comprendre ce que le vulgaire ne
comprend
pas. Il y a du ragoût. Ainsi se forme, autour de
nsi quand j’y songe, de plusieurs éléments divers. Il y a ceux qui ne
comprennent
pas, qui savent qu’ils ne comprennent pas et qui
ents divers. Il y a ceux qui ne comprennent pas, qui savent qu’ils ne
comprennent
pas et qui font semblant de comprendre et d’admir
ent pas, qui savent qu’ils ne comprennent pas et qui font semblant de
comprendre
et d’admirer. Ce sont les faux dévôts de ce culte
la foule pour des intelligences supérieures. Il y a ceux qui vraiment
comprennent
quelque chose, assez peu, mais vraiment quelque c
s arrête, les limite, les fixe devant lui et ne leur permet que de le
comprendre
et non pas eux. Descartes exige qu’on le comprenn
permet que de le comprendre et non pas eux. Descartes exige qu’on le
comprenne
, et ne permet pas qu’on l’imagine ; un texte obsc
cun contemple le visage qu’il rêve d’avoir. Il y a donc, des gens qui
comprennent
quelque chose dans les textes inintelligibles à s
te-ci, assez nombreux encore, qui ne peuvent admirer que ce qu’ils ne
comprennent
pas. Ils existent ; il y en a même plus qu’on ne
Par jeu, je disais dans ma jeunesse : « Je n’admire que ce que je ne
comprends
pas, que ce que je me sens incapable de comprendr
re que ce que je ne comprends pas, que ce que je me sens incapable de
comprendre
, et il me semble que c’est tout naturel. Ce que j
able de comprendre, et il me semble que c’est tout naturel. Ce que je
comprends
, il me semble que moins le style, moins un certai
it pas, il augmente en moi une lumière que j’avais déjà. Ce que je ne
comprends
pas me dépasse et, par conséquent, m’impose ; il
e ; qui sont capables, ce qui est une chose encore que je n’ai jamais
comprise
, d’exprimer par des mots, de mettre sur le papier
’indiscrétion de la foule ; ils se défendent, par l’obscurité, d’être
compris
de ceux par qui ce leur serait une honte d’être e
aisi leur procédé et leurs intentions : « On veut, non seulement être
compris
quand on écrit, mais encore, certainement, n’être
nt être compris quand on écrit, mais encore, certainement, n’être pas
compris
. Ce n’est nullement une objection contre un livre
li me tangere, noli me intelligere, est assez vain, puisqu’ils seront
compris
, adoptés, du moins « touchés » par ceux préciséme
craignent le contact, c’est-à-dire par les sots ; et ce sont ceux qui
comprennent
peu qui courent tout droit aux choses les plus di
mprennent peu qui courent tout droit aux choses les plus difficiles à
comprendre
. Mais enfin tel est leur travail : ils se voilent
: leurs positions respectives dans la durée. I. Ce que c’est que
comprendre
. La parole intérieure est une image ; la pensé
rtés sur elle sont ceux que le langage vulgaire réunit sous le nom de
comprendre
: quand je me parle, je me comprends, c’est-à-dir
vulgaire réunit sous le nom de comprendre : quand je me parle, je me
comprends
, c’est-à-dire que je mets des idées sous les mots
e la même famille ; une relation analogue existe entre reconnaître et
comprendre
; comprendre, n’est-ce pas reconnaître le sens de
ille ; une relation analogue existe entre reconnaître et comprendre ;
comprendre
, n’est-ce pas reconnaître le sens des mots ? et r
st-ce pas reconnaître le sens des mots ? et reconnaître, n’est-ce pas
comprendre
qu’un état de conscience a un certain genre de si
nt, ou du moins contient un jugement qui en est l’élément principal ;
comprendre
consiste également en jugements, ou du moins cont
sépare, il est inappréciable ; la parole intérieure est immédiatement
comprise
. Les choses se passent ainsi ordinairement, parce
e relire, nous traduisons, nous déchiffrons, si nous nous attachons à
comprendre
un texte ou subtil ou profond, et nouveau pour no
e la parole d’autrui ; nous écoutons notre parole intérieure, nous la
comprenons
ensuite si nous pouvons ; le mot appelle la pensé
elles à un enfant. Il est donc vraisemblable que, si aujourd’hui nous
comprenons
immédiatement et sans effort, c’est que nous prof
l’esprit ; l’effort mental se concentre sur la remémoration, et nous
comprenons
à mesure sans intervalle appréciable. Pourtant, i
isparition du mot et l’apparition de l’idée ; s’il en était ainsi, on
comprendrait
mal la correspondance habituelle des deux faits.
eux faits. Un mot un peu long, s’il est entré dans nos habitudes, est
compris
avant d’être terminé ; si le mot est court ou peu
eu connu, nous nous le répétons faiblement jusqu’à ce qu’il soit bien
compris
. De même, une idée commence à être exprimée peu a
t naturel et ordinaire ; en effet, le mot, même dans l’invention, est
compris
après avoir été suscité ; s’il ne l’est pas, c’es
oujours, l’interprétation n’est qu’une variété de l’invention : on ne
comprend
pas un texte un peu difficile sans le traduire, s
me progressivement par des mots toujours adéquats à son état présent.
Comprendre
, c’est donc penser à propos d’un texte donné ; l’
L’enfant qui babille répète ou imite les grandes personnes sans bien
comprendre
ce qu’il dit ; quand il se tait, il médite, il ch
ien souvent sa parole trahit sa pensée, il ne parvient pas à se faire
comprendre
. C’est que les deux développements de la pensée e
penser des choses au-dessus de son âge, quand il dit ce qu’il ne peut
comprendre
et quand on voit clairement qu’il comprend en lui
il dit ce qu’il ne peut comprendre et quand on voit clairement qu’il
comprend
en lui-même certaines choses et ne sait comment l
médiatement conçu sera définitif ; — s’il est difficile, pour le bien
comprendre
nous ne chercherons pas à le traduire : nous nous
(suite). Les considérations qui précèdent nous permettent de bien
comprendre
de quelle nature est l’utilité que prêtent à la p
s assimiler. V Pourquoi une pensée bien exprimée est-elle mieux
comprise
de celui même qui l’a trouvée ? Pourquoi, ensuite
te expression trouvée et approuvée, on est maître de sa pensée, on la
comprend
mieux, on est en état de la juger sûrement, parce
nnaissons de qui l’on a parlé ; nous reconnaissons, c’est-à-dire nous
comprenons
. L’état de distraction est une circonstance favor
’état de distraction est une circonstance favorable à ces oublis ; on
comprend
mal un discours mal écouté ; plus tard, on se rép
outé ; plus tard, on se répète à loisir ce qu’on en a retenu, et l’on
comprend
mieux [ch. VI, § 9] ; si l’on parle soi-même, com
l’âme ne peut analyser ce qu’elle éprouve ; revenue au calme, elle se
comprendra
elle-même en rattachant son état aux concepts gén
’est inspiré. — Quintilien (X, 1) est plus pénétrant que Boileau ; il
comprend
que l’expression peut être en retard sur la pensé
extase [chap. I, § 3] ; les grandes émotions humaines peuvent aider à
comprendre
ce qui se passe alors chez les mystiques. — Cf. a
s. — Du pouvoir d’admirer ou d’aimer. — Difficulté de découvrir et de
comprendre
les beautés d’une œuvre d’art ; difficulté de les
e du milieu, nous l’avons montré, doit permettre précisément de mieux
comprendre
ce qu’il y a d’individuel et d’irréductible dans
e par des facultés créatrices, constituerait le génie même. Pour bien
comprendre
une œuvre d’art, il faut se pénétrer si profondém
ertaines œuvres d’art, et qui fait que tel tempérament est impropre à
comprendre
telle œuvre, même magistrale. Aussi dans les espr
l’indifférence distraite et malveillante du premier coup d’œil, ne le
comprendra
vraiment point ; car la pensée humaine, comme l’i
comme l’individualité même d’un être, a besoin d’être aimée pour être
comprise
. Ouvrez au contraire le livre ami, celui avec qui
me son auteur et, comme il l’aime, il y a grande chance pour qu’il le
comprenne
, s’assimile ce qu’il y a de meilleur en lui. Le d
st jugé par la stérilité de sa propre critique. Quant à espérer mieux
comprendre
le génie d’un auteur dans les moments où ce génie
est évidemment être encore de compagnie avec le génie qu’il s’agit de
comprendre
, c’est employer la méthode des physiologistes mod
en, depuis les romantiques et M. Taine, nous avons fait d’effort pour
comprendre
les littératures étrangères, pour nous replacer d
N’est-il pas étrange devoir des critiques qui se font si larges pour
comprendre
la littérature étrangère devenir tout à coup into
ccommoder à elle et nous arracher à nos préjugés personnels pour bien
comprendre
l’œuvre écrite dans cette langue. Au contraire, q
onne chez toute autre nation. Tel d’entre nous qui se refuse encore à
comprendre
les bonnes pages de Zola, si admiré en Russie et
e admiration et de notre sociabilité, au lieu de le restreindre. Pour
comprendre
un auteur, il faut « se mettre en rapport » avec
s qui ne les constituent à aucun degré. Il est en effet impossible de
comprendre
par quoi ces pensées se distingueraient les unes
rose épanouie et de couleur rose ou rouge. Or l’idée générale d’homme
comprend
les femmes, les vieillards et les enfants, celle
comprend les femmes, les vieillards et les enfants, celle de la rose
comprend
les roses blanches et les roses thé, les roses na
enre dans un genre, une espèce originale. Le genre rose, par exemple,
comprend
les roses blanches et les roses thé ; il comprend
rose, par exemple, comprend les roses blanches et les roses thé ; il
comprend
aussi et surtout les roses roses, les roses propr
par des types individuels parfaits, et ce langage de l’art n’est pas
compris
par tous les hommes ; même aux époques et dans le
e de loin et par hasard, à une idée non-sensible. Ceci nous permet de
comprendre
ce qu’on entend par un esprit bien fait et par un
du contenu d’une idée générale est double, avons-nous dit : un genre
comprend
des individus différents composés eux-mêmes d’ima
le, rentre dans le rang par l’effet de l’habitude négative ; l’enfant
comprendra
mieux dès lors comment il y a des chiens muets, e
bien distincts (distincts moins encore par la matière, car la pensée
comprend
des images sonores, que par la forme, qui est ici
que le sommeil et la distraction serait un mystère impénétrable ; on
comprend
qu’elle soit possible lorsqu’on s’est rendu compt
dénaturées par le fait même de son expression, les interlocuteurs se
comprennent
mieux, et, par suite, le signe remplit mieux son
arlé, vous m’avez entendu ; j’ai le droit de supposer que vous m’avez
compris
, et, en fait, vous m’avez compris comme je me sui
e droit de supposer que vous m’avez compris, et, en fait, vous m’avez
compris
comme je me suis compris moi-même. Il résulte de
ous m’avez compris, et, en fait, vous m’avez compris comme je me suis
compris
moi-même. Il résulte de cette définition que tout
n bon esprit, — et tout esprit est en quelque mesure un bon esprit, —
comprend
sans se l’expliquer l’harmonie naturelle qui reli
uste sentiment de l’intérêt bien entendu leur ont fait de bonne heure
comprendre
l’utilité d’une organisation hiérarchique ; ils o
e que par l’attention ; et l’attention la dédaigne, le mot rapidement
compris
suffisant à l’exercice ordinaire de la pensée [§
in temps une langue ne contient plus guère que des mots usés ; on les
comprend
sans effort, mais ils ne disent presque rien à l’
it trop peu d’impression. Lui-même, esprit d’initiative et d’analyse,
comprend
peut-être les mots usuels dans toute leur force,
mmun sans que, a ses yeux, elle perdît rien de sa valeur ; mais il la
comprend
mieux encore quand il lui a trouvé une expression
eiller les esprits, remuer les idées, et parce qu’il exige, pour être
compris
, un nouveau classement des conceptions élémentair
par exception, coexister dans la conscience ; les uns sont écoutés et
compris
, les autres ne sont pas écoutés, ne sont pas comp
sont écoutés et compris, les autres ne sont pas écoutés, ne sont pas
compris
, et nous les oublions à mesure292. Dans ce dernie
e la convention et l’usage lui ont fixé ; pendant le sommeil seul, on
comprend
de travers 294. Ajoutons qu’entre le sommeil et l
noncée ou par A ou par B arrive à mes oreilles ; je l’entends sans la
comprendre
; mon esprit étant occupé ailleurs, il n’y a là p
ois je leur donne toute mon attention, la phrase prend un sens, je la
comprends
sans effort ; il m’a suffi, pour ainsi dire, de l
t mon attention, la phrase est toujours dénuée de sens ; enfin, je la
comprends
: j’ai, pour ainsi dire, jeté sur elle mon attent
phrase qu’il avait entendue sans l’écouter, et alors seulement il l’a
comprise
[ch. V, § 7]. Si quelqu’un a été le héros involon
peine dans notre analyse ce qui s’est alors passé en lui. Quiconque a
compris
après coup ce qu’il avait d’abord entendu sans co
i. Quiconque a compris après coup ce qu’il avait d’abord entendu sans
comprendre
a pu s’apercevoir que le sens d’une phrase est à
confondant le vraisemblable et l’authentique. Presque toujours, pour
comprendre
et pour comprendre parfaitement les phrases que n
semblable et l’authentique. Presque toujours, pour comprendre et pour
comprendre
parfaitement les phrases que nous entendons, il n
es que nous entendons, il n’est aucun besoin d’une semblable analyse.
Comprendre
est donc un état de conscience à la fois très fai
n’est pas douteuse ; et pourtant chacune des deux propositions a été
comprise
aussitôt et sans peine ; leurs significations son
doustani ou malais dont l’ouvrage aurait besoin pour être entièrement
compris
. C’est que la poésie est avant tout une œuvre sen
eul mot pour plusieurs idées ; il n’en résulte aucune difficulté pour
comprendre
aisément la parole soit extérieure, soit intérieu
observations de M. Chevreul sur la baguette divinatoire nous aident à
comprendre
ce phénomène ; elles nous montrent qu’un antécéde
ui, voilà le premier acte d’un esprit fait pour l’indépendance ; bien
comprendre
, c’est avoir trouvé ; l’analyse logique est l’app
uivra. L’esprit faux est celui qui invente par lui-même avant d’avoir
compris
la pensée d’autrui ; bien souvent, il comprend ma
lui-même avant d’avoir compris la pensée d’autrui ; bien souvent, il
comprend
mal sa propre pensée, faute d’avoir analysé le se
de tout retenir, non pas d’inventer et d’imaginer au hasard, mais de
comprendre
ce qu’il entend et de penser par lui-même à l’occ
idée lui apparaît jusqu’à un certain point dégagée de ses voiles ; il
comprend
qu’elle n’est pas nécessairement attachée à un mo
(Dictionnaire étymologique de la langue française, p. lxv) ; elle ne
comprend
que les onomatopées véritablement françaises, c’e
rmées en mots français. Même ainsi restreinte, la liste de M. Brachet
comprend
34 mots ; nous en retranchons 6, dont le caractèr
e aide le souvenir du mot, car « on redit plus exactement ce que l’on
comprend
que ce que l’on ne comprend pas » (p. 291-292).
ar « on redit plus exactement ce que l’on comprend que ce que l’on ne
comprend
pas » (p. 291-292). 282. Voir Condillac, etc., e
ère de leur signification ; demandant un effort de souvenir pour être
compris
, ces mots font trait dans la phrase et disent bie
une élite de lettrés adultes ; — quand un effort est nécessaire pour
comprendre
, le contre-sens est trop facile ; — dans la vie p
s la vie pratique, et même dans la spéculation, il importe souvent de
comprendre
vite et sans effort ; — et, en fait, la langue ch
d’autrui, entendue pendant l’état de sommeil, est ou un vain bruit ou
comprise
de travers. — En résumé, durant le sommeil, les m
s lapsus linguæ sont des faits de distraction ; or l’auteur du lapsus
comprend
sa parole de travers, puisque, celle-ci étant abs
ychique, ce qui n’est pas observable pour le psychologue faute d’être
compris
dans l’objet qu’il a l’ambition légitime d’observ
nce absolue les conditions, exprimées en termes psychiques, des faits
compris
dans la succession consciente. La psychologie ne
idées du texte, et, la traduction faite, ces idées doivent être mieux
comprises
qu’après la première lecture ; mais elles étaient
Chapitre VIII. Les écrivains qu’on ne
comprend
pas Il faut lire avec satisfaction un petit ma
n un petit manifeste de Marcel Proust contre les écrivains « qu’on ne
comprend
pas ». Il exprime, par endroits d’un ton ferme, e
i comme vous dites. Il domine tellement loin que, si par hasard je ne
comprends
pas, c’est ma faute. Là même il m’arrive de me pl
Les jeunes gens, disait-il, sont heureux : « ils peuvent admirer sans
comprendre
». Or, je l’ai dit et le répète : Quiconque n’ent
son ignorance crasse. Elle use d’un vocabulaire de six cents mots, et
comprend
, un peu de travers, six cents autres ; sa phrase
nt usurpé un sphinx sur ses prédécesseurs. » Les lectrices n’ont pas
compris
le latinisme léger de la tournure. La réimpressio
servateurs du Louvre pour avoir usurpé, etc. » Les lectrices ont cru
comprendre
. C’est-à-dire qu’elles ont « fait la construction
t d’un écrivain intelligent et spirituel… Si l’on ne lit ainsi, on ne
comprend
pas. Mais voilà qui excède, j’en ai peur, les imp
La Revue blanche : « Voici la première phrase d’un article, je ne la
comprends
point. » Il lut le début d’une chronique intitulé
onfesseront point : « Je n’entends pas », ils ricaneront : « Ça ne se
comprend
pas. » * * * Maintenant il faut être de bonne foi
pouce : c’est l’attitude forcée des aînés. Mais tout de même ils les
comprennent
, les aiment, les estiment. — Nous chérissons entr
les thèmes du Tannhäuser sont clairs aussi. Pourtant ils veulent être
compris
. Ils sont clairs, c’est-à-dire harmonieux, d’inti
uvre. La clarté peut presque se nombrer comme le rapport du sujet qui
comprend
à l’objet qui s’offre. Elle augmente avec la luci
ucide comme un athlète qui ahane à des tours de force d’intellect. Il
comprend
sans peine apparente, seulement son cerveau trava
ble (intelligible signifie, non pas « évident », mais « qui peut être
compris
», sans préjuger l’importance de l’initiation gén
nt à l’homme tel que je l’ai présenté, en face du monde tel que je le
comprends
? Ce monde est un chaos de systèmes, une poussièr
donnés entre eux, et gardent une vie suffisamment indépendante. Ainsi
compris
, le monde dans son ensemble ne nous impose à peu
ouvons dire. Quant aux devoirs sociaux particuliers, il est aisé d’en
comprendre
le mécanisme, une société industrielle exigera su
ne part il n’est pas aisé de dire où commence le luxe. Si l’on veut y
comprendre
tout ce qui n’est pas strictement nécessaire à la
eux qui n’en peuvent avoir d’autre. Ils raillent ce qu’ils ne peuvent
comprendre
, ce qu’ils ne peuvent sentir et ce qu’ils ne peuv
, elle se complique et s’amplifie. Pour peu que celui qui l’exerce la
comprenne
ou agisse comme s’il la comprenait, elle redevien
Pour peu que celui qui l’exerce la comprenne ou agisse comme s’il la
comprenait
, elle redevient une attitude vraiment philosophiq
défense de soi-même contre soi-même et des autres contre soi. Si nous
comprenons
ce qu’il y a d’incohérent, d’essentiellement mauv
s aussi nos incohérences et nos petitesses, et si nous ne pouvons les
comprendre
, méfions-nous en par provision. Ce qui nous encha
oir des esprits élevés qui ont failli quelquefois. Renan lui-même qui
comprit
si bien l’ironie de tant de choses avait sa foi,
on zèle pour la science est amplifié par quelque crédulité. Lui qui a
compris
l’ironie de la vertu ne s’est pas suffisamment av
us méprisons. Et si l’ironie peut s’élever assez haut, elle nous fera
comprendre
même la valeur des plus petites choses. Si elle n
il est plus noble d’écrire une symphonie que de jouer au bridge, nous
comprendrons
fort bien que le bridge ne soit pas à dédaigner p
veau germe ainsi et grandit encore empêtré, retenu, mal dégrossi, qui
comprend
la complexité et l’incohérence du moi primitif, m
la complexité primitive et l’incohérence même par cela seul qu’il les
comprend
. Mais, selon l’universelle loi des institutions s
ette formule banale il lui donnera un sens nouveau et plus vivant. Il
comprendra
que, dès qu’on s’élève un peu au-dessus des fins
ra bon, mais ce qu’il combattra, ce qui lui semblera inférieur, il en
comprendra
la raison d’être et la réalisation possible. Il j
à quelque honneur particulier. Il est bon qu’un esprit se forme pour
comprendre
cette manœuvre, la diriger et la contrarier au be
discours de l’âme sociale et de l’âme individuelle. Il tâchera de les
comprendre
, de les dépasser et de s’en servir. L’âme sociale
Il prendra son parti dans les cas qui se présenteront, en tâchant de
comprendre
ses propres désirs et ses aptitudes, ceux aussi d
rs esprit ne s’illusionnerait point trop à son sujet. § 12 Il
comprendrait
que ses propres idées doivent être aussi l’objet
ns penser, pour croire sans douter, pour jouir naïvement, pour ne pas
comprendre
et pour rester sans inquiétude. Ceux-là ont aussi
e propriété d’expression : cela ne fera pas nécessairement qu’on soit
compris
. Il y a une autre sorte de propriété du langage q
sait : « C’est moi qui suis le barbare ici, puisque je ne me fais pas
comprendre
. » La plus belle harangue en beau langage latin n
otre français, à côté des mots de l’usage commun et que tout le monde
comprend
à peu près, il y a des mots techniques, des terme
cythes. Là, il n’y a pas de propriété qui tienne : comme il faut être
compris
avant tout, l’expression ne peut être choisie que
tout, l’expression ne peut être choisie que parmi les mots connus et
compris
du public auquel on s’adresse. La propriété du la
excès n’arriverait-on pas ? On écrirait pour soi, au risque de n’être
compris
que de soi. Que dire de ces phrases, qu’on lit da
termes techniques de leur science spéciale : ils ne veulent pas être
compris
de tout le monde, et il leur suffit d’être entend
le nom exact qui l’y désigne pour eux. Il n’importe que le médecin ne
comprenne
pas un traité de métallurgie, que l’architecte n’
rois qui me viennent plus précisément à l’esprit. On relit pour mieux
comprendre
. Ce sont surtout les philosophes, les moralistes,
pour la vingtième fois, on trouve des passages que l’on n’avait point
compris
comme ils devaient l’être, et que l’on entend pou
re le plus souvent, presque toujours, quelques précautions prises, on
comprend
beaucoup mieux un auteur quand on le relit que qu
lire chez lui seulement ce qu’on y met. Je relis beaucoup ; je crois
comprendre
beaucoup mieux. C’est une vieillesse qui n’est pa
ue l’on consacre à corriger ses vieux contresens. Le plaisir de mieux
comprendre
met, du reste, dans l’esprit un certain feu, une
quelques années, c’est dans l’espérance, bien ambitieuse du reste, de
comprendre
quelque chose à tel philosophe contemporain qui m
’auteur qu’on, relise, si l’on sent plus, si l’on sent moins, si l’on
comprend
plus, si l’on comprend mieux, même si l’on compre
si l’on sent plus, si l’on sent moins, si l’on comprend plus, si l’on
comprend
mieux, même si l’on comprend moins ; ce sont en p
nt moins, si l’on comprend plus, si l’on comprend mieux, même si l’on
comprend
moins ; ce sont en partie les événements mêmes de
e qu’il se complète et qu’il s’éclaire, tenir compte sans cesse, pour
comprendre
ce qu’on en lit aujourd’hui, de ce qu’on en a lu
ce qu’on en lit aujourd’hui, de ce qu’on en a lu hier, et pour mieux
comprendre
ce qu’on en a lu hier, de ce qu’on en lit aujourd
omme tous les philosophes, écrit moins pour être admiré que pour être
compris
et même moins pour être compris que pour faire pe
moins pour être admiré que pour être compris et même moins pour être
compris
que pour faire penser. Vous avez pensé ; il a gag
même, soit à quelque chose d’inconnaissable. Qu’avons-nous gagné ? De
comprendre
une intelligence de premier ordre, de comprendre
vons-nous gagné ? De comprendre une intelligence de premier ordre, de
comprendre
une intelligence supérieure à nous et par conséqu
-les et, en délimitant la pensée de notre auteur, nous l’aurons mieux
compris
; nous l’aurons compris. Lire un philosophe, c’es
a pensée de notre auteur, nous l’aurons mieux compris ; nous l’aurons
compris
. Lire un philosophe, c’est le relire si attentive
cun excès et il faut se tenir dans un certain milieu où le plaisir de
comprendre
ne soit pas gâté par le plaisir de discuter, ni m
ntre lui, si tant est même qu’il y ait des apparences : tout cela est
comprendre
encore ; tout cela n’est que différentes façons d
ela est comprendre encore ; tout cela n’est que différentes façons de
comprendre
et il suffit, pour que toutes soient utiles et fé
ntellectuel avec l’auteur, puisque nous l’avons prévenu, c’est-à-dire
compris
d’avance, et ensuite nous nous disons avec satisf
t et d’autre s’abriter sous cette grande autorité. Par malheur, on le
comprenait
fort mal ; et l’Aristote de notre temps, dont Cor
on peut trouver que la distance est considérable ; la critique, ainsi
comprise
, prend place au niveau de l’histoire elle-même, s
assez d’avoir produit ces chefs-d’œuvre ; il fallait encore les faire
comprendre
; et au génie spontané des poètes est venu s’ajou
timents, le spectacle et la mélopée. En effet, les moyens d’imitation
comprennent
deux de ces éléments ; la façon d’imiter en compr
s d’imitation comprennent deux de ces éléments ; la façon d’imiter en
comprend
un ; et ce qu’on imite comprend les trois autres.
e ces éléments ; la façon d’imiter en comprend un ; et ce qu’on imite
comprend
les trois autres. En dehors de ces termes, il n’y
si le plus grossier des deux. « Quand on suppose que les gens ne vous
comprendront
pas, si l’on ne prend la peine de leur tout expli
e, pour produire son effet propre. Il suffit aussi de la lire pour la
comprendre
parfaitement ; et si elle est supérieure sous les
i simple, ni même aussi grave. Les Écoles qui précédèrent Platon n’en
comprenaient
point toute l’étendue ni toute la portée. Platon
qu’il devait combattre, sans compter les trésors d’un roi capable de
comprendre
ses études en les favorisant. Ce serait beaucoup
avoir ni oubli ni obscurité. Les laisser douteuses, c’est ne pas les
comprendre
assez. L’opinion d’Aristote sur la distinction de
ditions qu’il doit remplir pour être uni à l’âme. Ils n’ont pas mieux
compris
la sensibilité. L’âme, pour connaître les choses,
ielle de toute bonne définition : elle contient la cause. L’âme ainsi
comprise
est la cause du corps vivant ; c’est elle qui, en
son compagnon subordonné, quoique trop souvent indocile. L’âme ne se
comprend
elle-même que sous la condition de la pensée, san
uissance à les observer, peut d’un premier effort les pénétrer et les
comprendre
tout entières. Aristote a rencontré parfois ce bo
acile de les convaincre d’erreur et de faiblesse. Mais c’est bien mal
comprendre
la loi qui préside au développement de l’intellig
it être à tout instant contrôlée par l’observation même des faits, on
comprend
sans peine que la distinction de l’âme et du corp
est de conserver pure de toute souillure cette partie de son être qui
comprend
le juste et l’injuste ; c’est de la perfectionner
le monde de l’intelligence. L’âme y est seule avec les Idées qu’elle
comprend
et qu’elle contemple, mais qu’elle ne fait pas, c
intérêt s’attachait donc, pour Platon, à cette question qui achève et
comprend
toutes les autres ? La vie de l’homme, telle qu’e
i profonde et si pratique. C’est une conséquence, quand une fois on a
compris
la vraie destinée de l’âme, de comprendre aussi,
nséquence, quand une fois on a compris la vraie destinée de l’âme, de
comprendre
aussi, dans toute son étendue, la loi qui lui est
ux que son disciple, n’en cherchons pas d’autre cause. Platon a mieux
compris
la nature de l’âme, parce qu’en ne voyant en elle
faudra donc que l’âme rentre en elle-même, non pas seulement pour se
comprendre
, mais aussi pour comprendre tout ce qui n’est pas
e en elle-même, non pas seulement pour se comprendre, mais aussi pour
comprendre
tout ce qui n’est pas elle. De là, la dialectique
rtésienne, laquelle est le fondement de toute la philosophie moderne.
Comprendre
autrement la dialectique de Platon, c’est la méco
re. Aristote le premier l’a entièrement méconnue ; et, si l’on a bien
compris
pourquoi le système péripatéticien est sans métho
fus et inachevés, devinrent l’héritage d’un élève bien capable de les
comprendre
, mais qui ne prit pas la peine de les classer, la
. En attribuer l’étude à la physiologie, c’est la perdre ; chercher à
comprendre
l’âme de l’homme en observant les plantes et les
un temps où l’on ose tout dire, excepté le vrai : Quand l’homme s’est
compris
lui-même ; quand, disciple fidèle de cette sagess
uable dont Platon et Descartes sont les plus clairs interprètes, il a
compris
ce qu’est en lui la pensée, il affirme, avec une
obscure pour lui. Sa faiblesse peut quelquefois en gémir ; mais il la
comprend
, et il sait en outre qu’il en dispose, au moins d
é. VIII Honorons ce grand traducteur, non-seulement pour avoir
compris
, mais pour avoir combattu son modèle, et félicito
ement utiles, parce que c’est elle qui nous a fait une âme capable de
comprendre
la nature. Vous figurez-vous combien l’humanité s
ansige pas avec elles ; combien de temps nous aurait-il fallu pour le
comprendre
, si nous n’avions connu que le monde terrestre, o
és contenus dans les deux lignes de son énoncé ; les personnes qui ne
comprennent
pas la Mécanique céleste peuvent s’en rendre comp
a permission d’insister un peu. Comment l’ordre de l’univers était-il
compris
par les anciens ; par exemple par Pythagore, Plat
ien on ne sera qu’un éternel myope, incapable de voir la vérité. Pour
comprendre
la Nature, il faut pouvoir sortir de soi-même, po
etits que ceux que nos sens sont capables de nous montrer, et nous ne
comprenons
plus ces scrupules qui arrêtaient nos devanciers
Habitués à contempler l’infiniment grand, nous sommes devenus aptes à
comprendre
l’infiniment petit. Grâce à l’éducation qu’elle a
ort de dire que c’est l’Astronomie qui nous a fait une âme capable de
comprendre
la Nature ; que, sous un ciel toujours nébuleux e
n est rendu compte, parce que c’était fait. Mais comment n’a-t-il pas
compris
que ce qui restait à faire n’était pas moins cons
nter tous les ressorts, en démontrer les mouvements, et qui nous fait
comprendre
comment ces mouvements sont appropriés au genre d
ction qu’elle doit produire. La vraie science du cerveau devrait donc
comprendre
, outre la description anatomique de cet organe, u
ts pour expliquer non-seulement les mouvements musculaires, ce qui se
comprendrait
aisément, mais la mémoire, l’imagination, les pas
ments, ce que la mémoire est dans l’ordre des idées. Je ne sais si je
comprends
bien l’hypothèse que je viens d’exposer, mais il
mémoire ? L’homme qui sait le plus de choses n’est pas celui qui les
comprend
le mieux. L’enfant retient avec une facilité éton
’enfant retient avec une facilité étonnante ce qu’il est incapable de
comprendre
. Dans l’état de folie et même de démence, la mémo
lle d’achoppement dans toutes les philosophies. Non-seulement nous ne
comprenons
pas et nous ne comprendrons jamais comment des tr
tes les philosophies. Non-seulement nous ne comprenons pas et nous ne
comprendrons
jamais comment des traces quelconques imprimées d
qui elle aime un causeur digne de lui fournir la réplique. Si elle ne
comprend
pas tout à fait Napoléon, c’est qu’il est mal éle
rre, semblent avoir des facilités et des aptitudes particulières pour
comprendre
les formes d’esprit de ces quatre nations : ils o
gleterre la reçoivent. Elle aura couru toute l’Europe, mais elle aura
compris
toute l’Europe. Nous verrons l’importance de cett
ndre, elle n’y peut arriver. Rapprochons-la de Chateaubriand : elle a
compris
la campagne romaine, elle nous dit clairement ce
paty638 en parlaient mieux. En littérature, son goût et sa faculté de
comprendre
se satisfont en raison inverse de la beauté forme
on directe de la richesse sentimentale et de la subjectivité. Elle ne
comprend
pas la littérature grecque, elle ne comprend pas
la subjectivité. Elle ne comprend pas la littérature grecque, elle ne
comprend
pas notre littérature du xviie siècle ; elle se
ce est comme paralysée par ses sympathies et ses ambitions : elle qui
comprenait
si bien et si vite tous les peuples, elle ne comp
ns : elle qui comprenait si bien et si vite tous les peuples, elle ne
comprend
pas la France révolutionnaire. De là ses illusion
elle n’a pas du tout l’accent religieux de Rousseau. Ce qui lui fera
comprendre
Rousseau, ce seront les Allemands : elle deviendr
es de Mme de Staël Le rôle de Mme de Staël, en littérature, fut de
comprendre
, et de faire comprendre. S’adressant à l’intellig
rôle de Mme de Staël, en littérature, fut de comprendre, et de faire
comprendre
. S’adressant à l’intelligence de ses contemporain
inairement que des contes de nourrice. Par l’Allemagne, elle arrive à
comprendre
, presque à sentir la poésie, poésie de la nature
le à ce que serait pour nos oreilles une langue étrangère que nous ne
comprendrions
pas. — Elle se complaît à son ramage, comme un oi
e volontairement, avec une exécution facile et sûre (toujours sans en
comprendre
le sens), comme un simple gazouillement qu’il lui
actions dépassent l’intelligence animale. Un petit chien qui est ici
comprend
au même degré quand on lui crie le mot sucre ; il
six dernières semaines ont été notables : outre le mot bébé, elle en
comprend
plusieurs autres, et il y en a cinq ou six qu’ell
nd soit établi ; parfois elle joue encore avec le son, quoiqu’elle en
comprenne
le sens. — Cela se voit très aisément pour d’autr
ent des attributifs176, et les assistants n’ont pas eu de peine à les
comprendre
; celui-ci est probablement un démonstratif, et,
jambes. On voit qu’elle acquiert tous les jours des idées, et qu’elle
comprend
beaucoup de phrases, par exemple : « Apporte la b
(manger, je veux manger). — Il y en a d’autres assez nombreux qu’elle
comprend
, mais ne prononce pas, par exemple : « Grand-père
rer quand elle a faim ou soif, d’autant plus qu’elle voit que nous le
comprenons
et que par cette articulation elle obtient à boir
ens de chose bonne à manger. Nous sommes restés quelque temps sans le
comprendre
, car elle l’employait depuis longtemps et l’emplo
sparition de certaines figures qu’il connaît. — Nul autre mot ; il ne
comprend
pas les mots papa, maman, quoiqu’il les dise parf
e mot, comme avait fait sa sœur ; mais, comme nous avions appris à le
comprendre
, nous l’avons employé tout de suite avec lui ; vo
quelques jours. Jusqu’au dix-septième mois, point de mots généraux et
compris
comme tels. — Ils n’ont apparu que du dix-septièm
, et en effet, pendant ce mois (le vingt et unième mois), il apprend,
comprend
, répète et même associe tout d’un coup quantité d
appelle rationnel et qui est propre à l’homme. Le langage émotionnel
comprend
les cris, les interjections, les sons imitatifs.
imaux aussi, les chats, les moutons, même les enfants apprennent à le
comprendre
. Un chat qui a été effrayé ou mordu une fois par
dre. Un chat qui a été effrayé ou mordu une fois par un chien aboyant
comprendra
aisément le son et se sauvera, aussi bien que tou
et état est la famille des langues touraniennes ; les langues qu’elle
comprend
ont, en général, été nommées agglutinatives, parc
néralisation de nos impressions, et nous n’avons pas d’autre moyen de
comprendre
comment, après une longue lutte, les vagues imita
e, anciennement pesna pour petna, etc. « Après ces développements, on
comprendra
comment les racines ou types phonétiques sont en
un perroquet fait quelques pas dans le premier stade du langage ; il
comprend
son nom, souvent le nom de son maître, parfois un
et. Le public aura, certainement, de la tenue ; sans doute, il voudra
comprendre
; donc, il comprendra. Aucun désordre ne sera ess
rtainement, de la tenue ; sans doute, il voudra comprendre ; donc, il
comprendra
. Aucun désordre ne sera essayé, les précautions é
Tristan et Isolde… Puisqu’il nous faut, aussi, Parisiens, ces œuvres,
comprenons
qu’un théâtre nouveau leur est nécessaire : lorsq
étachée du reste, garderait toujours sa valeur intrinsèque, et serait
comprise
et admirée de ceux mêmes qui ne connaîtraient pas
nts qu’elle réveille, et qui se rapprochent de ce que notre cœur peut
comprendre
des plus extatiques ravissements. Si Dante, pour
es fantômes ; et c’est toujours les fantômes qu’il aperçoit. Alors il
comprend
les raisons du cauchemar : il regarde en soi-même
ctrine de Schopenhauer, qui de nous le pourra blâmer de n’avoir point
compris
les Parerga ? Il a dit, le Révélateur, il a dit l
t m’en donner le pouvoir. » Pour que la certitude de ne pouvoir faire
comprendre
ses œuvres, le déterminât à en composer une nouve
tion, un être auquel on rend hommage et qu’on adore parce qu’on ne le
comprend
pas, mais qu’il avait obtenu la seule chose qui p
eule chose qui pût le délivrer de son isolement : qu’il était aimé et
compris
par amour. Avec son sens supérieur, sa conscience
aimante ; le doute et la jalousie lui prouvent qu’il ne peut pas être
compris
, mais seulement adoré, alors il avoue sa divinité
Si l’on déclare Lohengrin égoïste, cela montre simplement qu’on ne le
comprend
pas. On donne de sa conduite une explication que
En vérité, il est comme l’œuvre d’art elle-même qui ne peut pas être
comprise
avec la tête, mais seulement avec la sensibilité,
ïveté, qui à force de vouloir expliquer tout, arrive à ne pas pouvoir
comprendre
ce qu’il y a de meilleur dans la vie. L’intellige
ces du plaisir et de la douleur. Quiconque ne s’en tiendra pas là n’y
comprendra
rien. Ainsi, quiconque voudra juger Lohengrin ave
ù, après avoir cruellement souffert de n’être pas aimé, de n’être pas
compris
, il se rendit compte qu’il en était ainsi, parce
aut de l’avenir, qui veut être deviné par le sentiment, est aussi peu
compris
de nous que ne le fut des Grecs Antigone, quand,
e le nom du Maître est mieux connu, et son œuvre mieux étudiée, mieux
comprise
. Enfin, si l’union spirituelle des Wagnéristes es
valeur, purement humainbo. Aussi la musique de Beethoven sera-t-elle
comprise
en toutes les époques, tandis que la musique de s
endu assez familier le tempérament spécial de Beethoven pour que nous
comprenions
aisément ses goûts au sujet de l’opéra, et cette
de Léonore nous peut, seule, clairement, faire voir comment Beethoven
comprenait
le drame. Qui pourrait entendre cette œuvre music
e Drame qui représente les Idées, ne peut, en vérité, être clairement
compris
sans le secours de ces motifs musicaux, ainsi for
Tous les auteurs dramatiques ont, souvent sans une pleine conscience,
compris
ainsi le drame ; mais, au-dessus de tous, le plus
e génie allemand produisit, en Beethoven, un être qui ne pouvait être
compris
que, précisément, dans une comparaison avec Shake
second poème, celui que nous connaissons tous aujourd’hui, et qu’ils
comprendront
combien il y a de puérilité à ne voir dans ce der
mes : c’est la seule chose qu’il soit indispensable de connaître pour
comprendre
et juger le poème de l’Anneau du Nibelung, et c’e
même temps un des faits les plus importants et les moins connus pour
comprendre
et juger l’évolution artistique qui s’est complét
dates sont intéressantes, mais elles serviront, je l’espère, à faire
comprendre
combien il est impossible de suivre cette genèse
in, pour des motifs quelconques, détestaient l’homme, sans d’ailleurs
comprendre
l’œuvre. Nous ne parlons pas de ces derniers, don
e Mittheilung an meine Freunde (1851) la façon dont il entendait être
compris
: « Cette explication, dit-il, je projette de la
dit-il, je projette de la faire à mes amis, parce que je ne puis être
compris
que de ceux à qui leur penchant vers moi fait épr
ue de ceux à qui leur penchant vers moi fait éprouver le besoin de me
comprendre
, et ceux-là seuls peuvent être mes amis. Mais, je
omme (IV, 288). » Et, autre part : « Je demande à ceux qui doivent me
comprendre
, seulement de me voir tel que je suis en réalité
sens wagnérien du mot, c’est-à-dire en l’appliquant à ceux qui ne le
comprennent
ni ne l’aiment comme il voulait l’être, on peut d
euth. Mais ce n’est pas le désir qui manque. Dans les pays voisins, y
compris
la Belgique, la tentative a été plus déterminée,
ury surtout, à qui Wagner a rendu ce magnifique témoignage de l’avoir
compris
comme l’on ne peut se comprendre qu’entre « amis
ndu ce magnifique témoignage de l’avoir compris comme l’on ne peut se
comprendre
qu’entre « amis », à part encore les écrits de Ma
ce sont ceux qui ont senti « le penchant à l’aimer et le besoin de le
comprendre
» et qui, pour le satisfaire, ont étudié l’œuvre,
gne, et qui font qu’il devient tous les jours plus impossible défaire
comprendre
aux compatriotes du maître de quoi il s’agit dans
ateurs qui n’en ont pas la moindre idée, et de plus, comment la faire
comprendre
à un public qui vient — non point sans notions ar
u public qui se joindrait à celle des artistes, c’est ce que très peu
comprennent
, tant parmi les artistes que parmi le public. Il
ce qui est plus sérieux, c’est que grâce à son absolue incapacité de
comprendre
une seule pensée de Wagner, de juger un seul de s
tionne ici qu’avec du rouge au visage pour eux — ceux enfin qui n’ont
compris
qu’à moitié et — de belles âmes, pourtant ! — se
et drame, j’ai seulement trouvé la liaison de ce que d’autres avaient
compris
avant moi. — Il est surprenant, a-t-il dit encore
sur le drame musical ; grâce à elle, les maîtres presque oubliés, mal
compris
ou méconnus seront remis en honneur et appréciés
eg. Nos Wagnériens savent tous, je le jurerais, qu’il faut chercher à
comprendre
Wagner et non à imiter ses petits procédés de mod
omprendre Wagner et non à imiter ses petits procédés de modulation. A
comprendre
Wagner ils tâchent : je m’étonne même que leurs e
compensé de son ardu labeur de soixante ans. Se sentir si entièrement
compris
de si nobles âmes, n’est-ce point le rêve idéal,
nées et suivies sur Wagner, connaissant assez toutes les langues pour
comprendre
sans peine tous les documents ; enfin plus intére
quel résultat il arrive, la philologie a dû trouver peu de faveur. On
comprend
le physicien, le chimiste, l’astronome, beaucoup
droit d’y trouver place. Entendue dans son sens étymologique, elle ne
comprendrait
que la grammaire, l’exégèse et la critique des te
ante, tous les traits du monde ancien 70, ne me semblent pas en avoir
compris
toute la portée. La philologie n’a point son but
uable que par sa bizarrerie ou sa médiocrité. Tout cela faute d’avoir
compris
dans un sens assez large l’histoire de l’esprit h
littératures obscures et souvent médiocres. Cela vient de ce qu’on ne
comprend
pas dans toute son étendue et son infinie variété
is qui en possède un manuscrit en langue originale et l’adore sans le
comprendre
74, a deviné l’antiquité ; il en possède l’esprit
sprit aussi éminemment qu’aucun savant des siècles qui ont suivi ; il
comprend
par son âme ce dont la lettre lui échappe ; il s’
délicate, critique en un mot. Si le Moyen Âge, par exemple, a si mal
compris
la philosophie ancienne, est-ce faute de l’avoir
eille nous ont laissé en fait de critique. On dirait qu’ils n’ont pas
compris
leurs propres beautés. Pour apprécier la valeur d
la science philosophique des corps. C’est ce que n’a pas suffisamment
compris
un esprit distingué d’ailleurs par son originalit
oite et y ait appliqué la méthode la plus grossière. M. Comte n’a pas
compris
l’infinie variété de ce fond fuyant, capricieux,
toute idée, grâce à l’extrême souplesse de son esprit, et capable de
comprendre
tour à tour les aspects les plus divers des chose
ments avoir conçu la science d’une manière assez large. Nul n’a mieux
compris
que lui que la science seule est désormais possib
lastique du séminaire ; il raisonne beaucoup ; il ne semble pas avoir
compris
suffisamment que, dans les sciences de l’humanité
e l’esprit moderne et qui, presque seul, en un espace de dix siècles,
comprit
la science comme nous la comprenons, avait déjà d
e seul, en un espace de dix siècles, comprit la science comme nous la
comprenons
, avait déjà deviné la philologie. Il consacre la
te (Sergius) ! » (Epist. Var., XX, Opp. p. 998, 999). 75. Pour bien
comprendre
le caractère de la critique ancienne, voir l’exce
les lois humaines sont renversées, et que la meilleure manière de la
comprendre
, c’est de dire qu’on ne comprend plus ! Non, on n
et que la meilleure manière de la comprendre, c’est de dire qu’on ne
comprend
plus ! Non, on ne comprend plus, si l’on veut fai
e de la comprendre, c’est de dire qu’on ne comprend plus ! Non, on ne
comprend
plus, si l’on veut faire l’entendu à la manière h
à, de l’observation scientifique et des proportions naturelles. On ne
comprend
plus, même le langage de Sainte Térèse, ce langag
ond, comme il est inouï de simplicité dans la forme. Allez donc faire
comprendre
aux âmes du Dix-neuvième Siècle les humilités de
u critique qui voudrait la faire admirer !!! IV C’est que, pour
comprendre
Sainte Térèse, la suprême beauté morale de Sainte
ent le juger, mais les écrits de Sainte Térèse sont plus difficiles à
comprendre
dans les arcanes de leur beauté que les livres mê
avant de terminer, nous voulons dire un mot d’un livre plus facile à
comprendre
pour les esprits positifs du siècle (positifs ! i
quarante ans, chaque jour, une marche du ciel, le chrétien seul nous
comprendrait
, le chrétien qui sait à quel prix sanglant s’achè
inué de donner aux mots leur sens consacré, et se laissaient aisément
comprendre
. Il y a plus : les jeux d’un Voiture ou ceux d’un
II … En bien, non ! je ne parlerai pas d’eux, parce que je n’y
comprends
rien et que cela m’ennuie. Ce n’est pas ma faute.
te » qui était venu lui rendre visite : — Pardonnez-moi. J’essaye de
comprendre
ce que vous voulez faire. Vous ne considérez, n’e
à même les émotions qu’elles éveillent successivement dans notre âme…
Comprenez
-vous Moi non plus. Il faut être ivre pour compren
t dans notre âme… Comprenez-vous Moi non plus. Il faut être ivre pour
comprendre
. Si vous l’êtes jamais, vous remarquerez ceci. Le
signifiée, puisque les deux se confondent pour vous… Encore une fois,
comprenez
-vous ? Moi je comprends de moins en moins ; je ne
eux se confondent pour vous… Encore une fois, comprenez-vous ? Moi je
comprends
de moins en moins ; je ne sais plus, j’en arrive
mple, il nous dit qu’il rêve d’une femme inconnue, qui l’aime, qui le
comprend
, qui pleure avec lui ; et il ajoute : Son nom ?
la poésie symbolique, on la connaissait déjà, c’était celle que l’on
comprenait
) : Le souvenir avec le crépuscule Rougeoie et tr
mé l’amour de Dieu. Sentiment singulier quand on y songe, difficile à
comprendre
, difficile à éprouver dans sa plénitude. M. Paul
des sortes de demi-droits honteux, mais se soumet toute à l’amour. On
comprend
dès lors que, pour une âme purement sensitive et
sont pas claires. Mais ici il faut distinguer. Il y a celles qu’on ne
comprend
pas parce qu’elles sont obscures, sans que le poè
lles sont obscures, sans que le poète l’ait voulu et celles qu’on ne
comprend
pas parce qu’elles sont inintelligibles et qu’il
llou dans un creux. Ah ! quand refleuriront les roses de septembre ?
Comprenez
-vous ? Quelle suite y a-t-il dans ces idées ? Que
ndre, triste, et que plusieurs vers sont exquis. Longtemps je n’ai pu
comprendre
ce sonnet — et je l’aimais pourtant. A force de l
ien, car lui le connaît. Ce poète ne s’est jamais demandé s’il serait
compris
, et jamais il n’a rien voulu prouver. Et c’est po
que l’enfer, c’est l’absence. Les autres sont à l’avenant. On croit
comprendre
; puis le sens échappe. C’est qu’il n’y a rien à
On croit comprendre ; puis le sens échappe. C’est qu’il n’y a rien à
comprendre
— sinon que le diable est toujours méchant quoi q
Quelquefois, en dormant, on compose et l’on récite des vers que l’on
comprend
, et que l’on trouve admirables. Quand, d’aventure
XV Je dois, pour compléter ma pensée et bien faire
comprendre
ce que j’entends par une philosophie scientifique
s toute la nature humaine ; et pourtant l’homme ne fût point arrivé à
comprendre
dans sa réalité l’infini des choses, si l’étude e
ue. Le plus haut degré de culture intellectuelle est, à mes yeux, de
comprendre
l’humanité. Le physicien comprend la nature, non
ntellectuelle est, à mes yeux, de comprendre l’humanité. Le physicien
comprend
la nature, non pas sans doute dans tous ses phéno
puissance infinie dépasse les forces limitées. C’est pour n’avoir pas
compris
cette force créatrice de la raison spontanée qu’o
le dire, le langage, la morale, la pensée (comme si on pouvait faire
comprendre
et parler une souche inintelligente en lui parlan
comme si une telle révélation ne supposait la capacité intérieure de
comprendre
, comme si la faculté de recevoir n’était pas corr
font des lois de l’esprit humain une idée étroite et mesquine, qui ne
comprennent
rien au-delà de la vulgarité d’un salon ou des ét
u des étroites limites du bon sens ordinaire ; que ceux qui n’ont pas
compris
la fière originalité des créations spontanées de
ntentent d’y jeter timidement la commode solution du surnaturel. Pour
comprendre
ces apparitions extraordinaires, il faut être end
littératures l’a définitivement arrêtée. Si quelque chose peut faire
comprendre
la portée de la critique et l’importance des déco
do-germanique, à ses débuts poétiques comme à son terme, a si bien su
comprendre
! Parmi les sciences secondaires qui doivent serv
es, on ne peut assez s’étonner qu’elle soit si peu cultivée et si peu
comprise
. Est-il croyable qu’il n’existe pas dans toute l’
es français, qui n’ont étudié que le monde grec et latin, ont peine à
comprendre
que le christianisme ait été d’abord un fait excl
arfaite de la conscience qui est le rationalisme. L’Orient n’a jamais
compris
la véritable grandeur philosophique, qui n’a pas
emple, j’ai été frappé de l’impossibilité absolue où nous sommes d’en
comprendre
l’âme et la vie ! Nous sommes là en présence d’œu
nt nous diraient-elles tout ce qu’elles leur disent ? Ceux-là peuvent
comprendre
le Christ qui y ont cru ; de même, pour comprendr
? Ceux-là peuvent comprendre le Christ qui y ont cru ; de même, pour
comprendre
, dans toute leur portée, ces sublimes créations,
humain apparaît comme trop absurde ou trop bizarre, c’est qu’on ne la
comprend
pas ou qu’on la prend à faux. Si on se plaçait au
ritiquable, et celui-là seul sait admirer qui sait critiquer. Comment
comprendre
par exemple la beauté d’Homère sans être savant,
gariser les grands résultats de la science est le seul moyen de faire
comprendre
et accepter les idées nouvelles de la critique. C
ritique ne se prouvent pas, ils s’aperçoivent ; ils exigent pour être
compris
un long exercice et toute une culture de finesse.
ire et devra se borner à regretter que l’éducation nécessaire pour le
comprendre
soit si peu répandue. Comment le serait-elle dava
e. La presqu’île est toujours restée pure d’hellénisme, et n’a jamais
compris
que le Coran et les vieilles poésies. 144. La v
vec ce qui ne saurait s’y rattacher par aucun rapport et ne sert à en
comprendre
, à en éclairer aucun caractère. En un mot, lire a
n éclairer aucun caractère. En un mot, lire avec réflexion, lire pour
comprendre
et de façon à comprendre, lire pour se donner non
e. En un mot, lire avec réflexion, lire pour comprendre et de façon à
comprendre
, lire pour se donner non seulement des impression
leur arracher de leur contenu. On devient capable de sentir qu’on ne
comprend
pas, ou qu’on ne comprend pas tout ; on devient i
tenu. On devient capable de sentir qu’on ne comprend pas, ou qu’on ne
comprend
pas tout ; on devient incapable de se contenter d
part de plus en plus large, on finit bien par s’apercevoir qu’on n’y
comprenait
pas tout, et qu’il y avait des ouvrages qui deven
u’il y avait des ouvrages qui devenaient de plus en plus difficiles à
comprendre
. Le XVIIIe siècle, encore dominé par la notion ab
traductions. Je n’en conclus pas du tout qu’on soit moins capable de
comprendre
et de sentir les œuvres françaises quand on ne sa
r que le public français (dans sa très grande majorité) n’a jamais ni
compris
ni senti sa littérature. D’ailleurs, faut-il savo
esure que nos professeurs l’ont démontré par leur pratique et en font
comprendre
la méthode et le but. Il ne serait pas excessif d
ncérité, qui doivent désarmer le cœur le plus farouche. L’amour ainsi
compris
, malgré le trouble impérieux dont il ne peut s’af
ureux sentait tout le poids de sa chaîne et n’osait la briser, car il
comprenait
trop bien qu’à peine libre, à peine rendu à l’ind
es sonnets et les canzoni où Pétrarque exhale sa douleur, on arrive à
comprendre
qu’il a trouvé dans l’analyse et la peinture de s
e s’évanouit. Quoique le xve siècle ait donné tort à Pétrarque, nous
comprenons
sa défiance envers la langue vulgaire de son pays
once qu’un jour il sera près d’elle. Le bonheur de Laure ne peut être
compris
par l’intelligence humaine, et pourtant Laure att
moiries. Il y a dans ce caprice poétique une beauté que tout le monde
comprendra
. La guerre civile ainsi représentée devient plus
ythéisme, et les sentiments exprimés dans ses œuvres italiennes ne se
comprennent
plus. Rien n’est plus facile, au contraire, que d
de sympathie ; au milieu des croyances populaires, à peine eût-il été
compris
. On s’est demandé plus d’une fois en lisant le Ca
tection puissante qui a popularisé son nom, le lecteur aurait peine à
comprendre
le jugement que je porte aujourd’hui sur les œuvr
cise, qu’il n’eût attribué plus d’importance à l’emploi des images et
compris
enfin que l’idée la plus ingénieuse, la satire la
nges qui lui avaient été prodiguées ? L’épreuve était délicate, et je
comprends
très bien qu’il n’en soit pas sorti victorieux. L
trouvé dans Giusti un interprète énergique, et tout esprit bien fait
comprend
, sans peine, que la reconnaissance ne mesure pas
teurs, parce que ce reproche, en deçà des Alpes, serait difficilement
compris
. Giusti, quoique nourri de lectures excellentes,
rêveries et des songes dont il nourrit les âmes simples ; l’un ne la
comprend
pas, l’autre la condense, ou va de feuillet en fe
a pas médité un seul jour sur les devoirs du poète satirique. n’a pas
compris
la nécessité d’étudier les questions sociales dan
aussi bien qui les vices de la société qui l’écoute. Le poète qui ne
comprend
pas toute l’importance de cette enquête aura beau
la réflexion et l’instinct se rencontrent dans la justice. Pour bien
comprendre
ce qui manque à Giusti, il est inutile de remonte
qui l’avaient encouragé de leurs applaudissements. Étrange manière de
comprendre
la foi catholique ! N’y a-t-il pas dans l’Évangil
faire et laisser dire, se taire et se croiser les bras, ce n’est pas
comprendre
, ce n’est pas pratiquer la foi catholique ; c’est
rien faire pour le bien, voir le mal sans le combattre ne sera jamais
comprendre
et pratiquer la foi catholique. Mais à quoi bon,
; car dans ce cas il ne ferait que penser tout haut. Mais je ne puis
comprendre
qu’en présence d’Ernest Maltravers, qui a toutes
e trouve heureux d’être préparé, par ses études de chaque jour, à les
comprendre
, à les pénétrer mieux et plus vite que la foule.
ntrer comment l’orgueil, en se dépravant, conduit à la lâcheté. Ainsi
compris
, le personnage de Castruccio ne serait sans doute
émue, suffit pour ébranler cette sagesse si sûre d’elle-même. Valérie
comprend
qu’elle va succomber, si elle n’appelle à son aid
onse qu’un silence dédaigneux. Plus humble et plus clairvoyante, elle
comprendrait
qu’un amour sincère résiste même à la plus injuri
i qui préfère Sophocle, c’est lui manquer de respect, c’est ne pas le
comprendre
, c’est peut-être le calomnier. Le style d’Ernest
ton, ses maximes d’immoralité sont si plates, que nous avons peine à
comprendre
l’engouement du roi pour ce bavardage ennuyeux. L
gés par la postérité, est parfaitement insignifiant. Je suis encore à
comprendre
comment La Rochefoucauldf, Dangeau et madame de G
rement que jamais en Grèce, ni les inventeurs, ni les critiques n’ont
compris
les unités dans le même sens que Scudéryg et Le B
acteurs étaient incapables de le rendre et le public incapable de le
comprendre
, et concentra dans un récit toutes les scènes de
défense plus que maladroite. Une pièce qui ne peut être ni jouée, ni
comprise
, ressemble beaucoup à une mauvaise pièce. Quant a
issertations où les poètes essaient de prouver au public qu’il ne les
comprend
pas, à la critique qui les désapprouve qu’elle s’
çons de M. Guizot désignent, sous le nom d’histoire moderne, l’espace
compris
entre l’invasion des Barbares et la convocation d
teur qui trouve pour tous les sujets des paroles abondantes, et je ne
comprends
pas que M. Guizot le cite à tout propos comme une
u la couleur. C’est à cette condition, seulement, qu’il est permis de
comprendre
les maîtres de l’art et d’estimer avec impartiali
istoriques ; je dis qu’il en abuse, et la chose n’est pas difficile à
comprendre
, car l’usage légitime de ces connaissances consis
bon sens et la finesse qu’elle a montrés en mainte occasion, n’a pas
compris
aussi vite que l’Allemagne, les nations mêmes qui
. Je regrette pourtant que l’auteur de ce travail ingénieux n’ait pas
compris
la nécessité d’opposer, à la fantaisie vagabonde
es événements au développement des caractères, c’est-à-dire qu’ils ne
comprennent
pas l’intervalle immense qui sépare Richard III d
drin des entraves inventées par le xviie siècle ; mais ils n’ont pas
compris
que le théâtre vit d’action, et non d’événements.
En étudiant ces pages nourries de faits et d’arguments vigoureux, ils
comprendront
pourquoi leurs œuvres, applaudies d’abord avec ta
isé avec les questions qu’il traite si lestement. Pour ma part, je ne
comprends
pas qu’un homme qui a passé la meilleure partie d
ce point, sur la crédulité de son auditoire ou de ses lecteurs, Je ne
comprends
pas que M. Guizot parle de l’immortalité de l’âme
mes des questions philosophiques. Ils se demandent comment il n’a pas
compris
que la seule manière aujourd’hui, je ne dis pas d
? Placées sur ce terrain, la physiologie et la philosophie peuvent se
comprendre
et se compléter mutuellement ; M. Guizot, en nous
z les transactions de l’autorité royale et de l’aristocratie, et vous
comprendrez
que la défaite de Charles Ier était préparée depu
ories religieuses et politiques. C’est la seule manière, en effet, de
comprendre
l’histoire, car les révolutions les plus légitime
ennent au secours de la vérité. M. Guizot ne s’est pas contenté de le
comprendre
; il nous l’a expliqué avec une lucidité qui ne l
st toujours utile de revêtir la vérité des formes de la vie, et je ne
comprends
pas que M. Guizot ait négligé cette condition si
ait traduit et annoté tous les documents qui se rapportent aux années
comprises
entre 1625 et 1688. Il pouvait puiser, à pleines
nder l’avenir sur la ruine du présent. Ainsi rien n’est plus facile à
comprendre
que l’union de ces deux partis. M. Guizot, dans l
perdrai pas mon temps à les consoler. Ils s’ennuient, parce qu’ils ne
comprennent
pas ; ils ne comprennent pas, parce qu’ils ne sav
es consoler. Ils s’ennuient, parce qu’ils ne comprennent pas ; ils ne
comprennent
pas, parce qu’ils ne savent pas. C’est l’éternell
de, c’est-à-dire la théorie géométrique des figures, sont inhabiles à
comprendre
la théorie géométrique des corps ; c’est une cons
son châtiment. L’Histoire de la Civilisation européenne ne peut être
comprise
que par les hommes familiarisés avec l’histoire d
aux, et le premier venu, lettré ou illettré, s’attribuera le droit de
comprendre
les idées déduites de ces documents. Autant vaudr
mprendre les idées déduites de ces documents. Autant vaudrait vouloir
comprendre
la physiologie sans l’anatomie, c’est-à-dire les
M. Guizot a très bien jugé, très bien caractérisé tous les événements
compris
entre le ve et le xixe siècle, il a traité avec
e Winfried n’avait pas encore été mise en pleine lumière. M. Guizot a
compris
la nécessité de restituer à la seconde invasion s
style au sérieux. Quel sera donc le rang littéraire de M. Guizot ? Il
comprend
, il explique admirablement l’histoire et ne sait
diction manifeste avec le génie même de la révolution française. Pour
comprendre
tout ce qu’il y a de vrai dans notre assertion, i
ieuse du xvie siècle, ne révèlent pas chez lui une grande aptitude à
comprendre
, à expliquer, à peindre, à raconter les combats l
ter le ciel et redescendre sur la terre. Une telle comparaison, on le
comprend
sans peine, n’ajoute rien à la vérité du récit. T
mérite d’autant plus qu’on s’y arrête, que les facultés requises pour
comprendre
et pour expliquer, pour peindre et pour raconter
s’échappent des cachots de la Bastille. Il y a, dans cette manière de
comprendre
les présages de la révolution, quelque chose de t
ne retrouve ni dans la Législative, ni dans la Convention. L’auteur a
compris
toute la richesse du sujet qu’il avait à traiter,
s consumées dans la contemplation de passé, M. Michelet ne paraît pas
comprendre
bien nettement les devoirs de l’historien. Quand
ies. Les passions politiques n’ont rien à démêler avec l’histoire. La
comprendre
ainsi, c’est renverser la définition donnée par Q
our toucher le but, il n’y a pas là de quoi éveiller notre colère. Je
comprends
très bien qu’on n’accepte pas son avis, qu’on ne
uestions posées depuis la convocation des États généraux ; mais je ne
comprends
pas qu’on le maudisse, qu’on le voue à la haine p
ge de son nouveau livre. Sans l’éblouissement, sans l’extase, comment
comprendre
ces étranges exclamations : Ô droit ! vous êtes m
ission de la raison. L’auteur de Claudie me semble avoir parfaitement
compris
la distinction que j’établis, entre l’art dogmati
esprits scrupuleux, empreint d’un cynisme grossier ; pour ma part, je
comprends
très bien que l’auteur n’ait pas hésité à lui don
se prendre à la beauté, à la fierté de la femme qui l’a charmé, et ne
comprend
pas qu’une telle fierté puisse se concilier avec
sprit prophétique, il exprime en paroles sévères, que Denis seul peut
comprendre
, son mépris pour les mauvais riches, qui abusent
sieurs parties il forme double emploi avec le premier ; le lecteur me
comprend
à demi-mot : si Ronciat n’eût pas parlé au premie
rononcé dans son cœur, et met sa main dans la main de Sylvain. Chacun
comprend
, sans que je le dise, toute la grandeur, toute la
ébahissement de la foule, n’est pour moi qu’une fantaisie puérile. Je
comprends
très bien que Molière, ayant à mettre en scène de
e le patois de l’Auvergne, le patois de la Picardie, et bientôt, pour
comprendre
les œuvres écrites dans ce nouveau système, il fa
eugler par le succès très populaire et très légitime du Champi ; il a
compris
que le roman le plus heureusement conçu ne contie
sa pensée, sans abandonner les droits souverains de la fantaisie, il
comprendra
pourtant la nécessité de soumettre ses conception
concilier avec les espérances et les illusions de la jeunesse ; pour
comprendre
pleinement, pour accomplir sans distraction la mi
. Dès qu’Hippolyte paraît, dès qu’elle ouvre la bouche, le spectateur
comprend
qu’elle n’a pas de choix à faire entre Cléon et P
à l’existence de ce monde imaginaire. Comment M. Augier n’a-t-il pas
compris
la nécessité de dénouer avec gaîté ce qu’il avait
ment. Le sujet de Gabrielle est d’une nature fort délicate. Pour bien
comprendre
toutes les difficultés que présente un pareil suj
le a quitté la veille, suffisent à remplir le cœur d’une femme. Il ne
comprend
pas la nécessité d’occuper, tour à tour, chez Gab
les promesses qu’il a recueillies de la bouche de Gabrielle, comment
comprendre
qu’il renonce à elle dès qu’elle lui parle de mar
elle. Lorsqu’il commet une telle imprudence, il s’expose à n’être pas
compris
. L’auditoire peut sourire en voyant la frayeur ob
est trompé. Les devoirs et le bonheur de la vie de famille, noblement
compris
, noblement exprimés, sont toujours assurés d’exci
e ? M. Augier, qui a fait de Molière une étude assidue, saura bien me
comprendre
à demi-mot. La langue, envisagée dans ses conditi
c trop de soin, avant de les mettre en œuvre. M. Augier ne paraît pas
comprendre
l’importance de l’unité dans le style ; il semble
conduite de Charlotte Corday au tumulte des factions ; le drame ainsi
compris
descendrait fatalement à des proportions mesquine
’accordent à nous montrer Charlotte Corday comme une femme faite pour
comprendre
, pour aimer la vie de famille, pour jouir pleinem
baptisé du nom de Charlotte Corday. Pour amener le spectateur à bien
comprendre
le dévouement de l’héroïne, il est nécessaire de
ter. Pour peu en effet qu’il possède le sentiment des proportions, il
comprend
bien vite que la Convention, malgré sa terrible g
plus terrible de toutes les folies, peut résoudre le problème. Aussi
comprend
-on sans peine que le choix de Charlotte Corday se
orceau, et j’avoue que la patience de Charlotte me semble difficile à
comprendre
. Alarmée par les dernières nouvelles venues de Pa
r de Faublas intervient assez mal à propos, Le pardon de Charlotte se
comprendrait
plus facilement sans ce malencontreux souvenir, c
rée, et sa froideur est, à nos yeux, une preuve de clairvoyance. Il a
compris
sans peine qu’une galerie de tableaux, quelle que
a composition ! Éclairé par la réflexion, M. Ponsard ne tardera pas à
comprendre
, s’il ne comprend déjà, que ses études, poursuivi
iré par la réflexion, M. Ponsard ne tardera pas à comprendre, s’il ne
comprend
déjà, que ses études, poursuivies d’ailleurs avec
ns ce nouvel ouvrage, ne soit de nature à exciter la gaîté. Pour bien
comprendre
la valeur de la donnée choisie par M. Ponsard, il
inte dans les strophes de cette ode dialoguée. Toutefois j’ai peine à
comprendre
que M. Ponsard ait espéré tirer de cette ode une
Lydie. Voyons ce qu’il a fait. L’auteur de la comédie nouvelle a bien
compris
que la neuvième ode du troisième livre, réduite à
ue le poème de M. Ponsard se réduit à rien. J’ai peine, je l’avoue, à
comprendre
comment l’auteur de Lucrèce et de Charlotte Corda
le ou d’Horace, elle ne réussira jamais à exprimer la tendresse. Elle
comprend
et rend à merveille l’ironie et la colère ; tous
rme tragique pourra se rajeunir et se renouveler. Le xviie siècle ne
comprenait
pas l’antiquité comme nous la comprenons aujourd’
ouveler. Le xviie siècle ne comprenait pas l’antiquité comme nous la
comprenons
aujourd’hui. Il rêvait une Grèce, une Italie à l’
, dans Tite-Live, le récit du combat des Horaces et des Curiaces pour
comprendre
que, s’il était Romain par le sentiment, il n’att
érité, la vérité locale et historique. M. Ponsard ne paraît pas avoir
compris
la question poétique telle que je viens de l’expo
ni de son pays. Il a détaché quelques pages de l’Odyssée, et n’a pas
compris
la nécessité d’analyser ce qu’Homère s’était cont
t une des figures les plus poétiques de l’histoire du théâtre ; et je
comprends
très bien que MM. Scribe et Legouvé, voulant nous
elle admiration ? Rien, à coup sûr, n’est plus naturel, plus facile à
comprendre
que les amours de Maurice et d’Adrienne. Toutefoi
assionné. J’admire profondément la fable des Deux Pigeons, mais je ne
comprends
pas comment ce récit, d’une simplicité si touchan
comme vraies toutes ses excuses. Alors, mais alors seulement, Maurice
comprend
toute la misère de son double rôle. Il ne veut pa
mes chez Adrienne. Michonnet, témoin de l’humiliation de la duchesse,
comprend
que la vie d’Adrienne est menacée. Un valet appor
t, quand ses veines se glacent, alors, alors seulement, il commence à
comprendre
tout le prix de la femme qui l’aimait et qu’il va
leçon de délicatesse. Il est douteux pourtant que François Ier l’ait
comprise
. Un roi, capable d’adresser une pareille demande
es deux adversaires étaient séparés l’un de l’autre par tout l’espace
compris
entre Madrid et Chambord ; si le ridicule n’était
. Nous admirons sincèrement Cinna, Andromaque et Zaïre ; nous croyons
comprendre
tout ce qu’il y a d’excellent dans les œuvres de
ge ; mais les personnages qu’il a créés semblent plutôt occupés de se
comprendre
et de s’expliquer que de vivre et d’accomplir leu
n en même temps que la pensée, si savante, si déliée qu’elle soit, ne
comprend
pas tout le champ de la poésie dramatique. Le pre
temps et les lieux, et je crois que si Racine revenait parmi nous, il
comprendrait
Sophocle et Euripide autrement qu’il ne les a com
i nous, il comprendrait Sophocle et Euripide autrement qu’il ne les a
compris
. Animé du désir d’agir sur ses contemporains, il
e de la passion. Or, l’analyse de la passion, réduite à elle-même, ne
comprend
certainement pas toutes les conditions de la poés
naturel contiennent l’art dramatique tout entier. Mademoiselle Rachel
comprend
très bien les rôles de Camille, d’Émilie, d’Hermi
sont au théâtre depuis dix ans lisent et récitent ces rôles sans les
comprendre
, et sans se soucier d’en pénétrer le sens. Mademo
art des actrices du Théâtre-Français, un incontestable avantage. Elle
comprend
ce qu’elle dit, et le public lui en sait bon gré.
l’intérêt. Le spectateur a beau être convaincu que cette jeune fille
comprend
ce qu’elle dit, il a beau approuver le ton de sa
généralement monotones. Elle semble prendre à cœur de montrer qu’elle
comprend
jusqu’aux moindres syllabes de son rôle ; et pour
de plus en plus dans la fausse voie, où la retient l’orgueil d’avoir
compris
. C’est une chose excellente sans doute d’avoir co
rgueil d’avoir compris. C’est une chose excellente sans doute d’avoir
compris
jusqu’aux moindres nuances de la pensée du poète
profondeur que Corneille et Racine, Ou elle croit que l’auditoire ne
comprend
pas les rôles d’Émilie et d’Hermione ; et dans, c
ant une soirée entière. Elle aura beau prouver surabondamment qu’elle
comprend
à merveille toutes les parties de son rôle, l’aud
uplet ; mais elle aura fait un grand pas dans la pratique de son art.
Comprendre
, vers par vers, syllabe par syllabe, toutes les p
oute ; mais attribuer à toutes ces pensées une valeur uniforme, c’est
comprendre
le poète lui-même d’une manière incomplète. Si ma
elle à exprimer l’amour d’Émilie. Quant au rôle d’Hermione, elle n’en
comprend
, elle n’en sait rendre que la partie ironique. Or
cènes religieuses et familières représentées sur les vases étrusques,
comprendra
la nécessité de dissimuler par un ajustement plus
e ne les dit aujourd’hui, les vers de Corneille et de Racine, qu’elle
comprend
si bien. Mais comment arrivera-t-elle à sentir pu
re de la souveraine puissance. Il rougit du rang où il est placé ; il
comprend
tout ce qu’il y a d’ignoble et de flétrissant dan
e bruit inaccoutumé, elles accourent toutes tremblantes et ne peuvent
comprendre
l’horrible spectacle qui s’offre à leurs yeux. Él
s ; il ne peut disposer de lui-même. Il appartient à la tâche qu’il a
comprise
et qu’il a commencée. S’il fléchissait sous la me
es. Bien que la littérature, envisagée dans sa formule la plus vraie,
comprenne
la philosophie et l’histoire aussi bien que la po
bonne foi ressusciter et continuer le siècle de Louis XIV, qu’elle ne
comprenait
pas. Elle a cru, dans l’ode, dans la tragédie, se
ntage. C’était de sa part une méprise singulière, qui, à distance, se
comprend
difficilement, mais qui s’explique d’elle-même dè
leurs noms ? Est-ce que les seigneurs féodaux de la vieille Allemagne
comprendraient
la langue des Burgraves ? Pour ma part, je ne le
pourtant pas à étudier le siècle où se meuvent ses personnages. C’est
comprendre
étrangement, on en conviendra, les devoirs du poè
e la France. Toutes les intelligences assouplies par la réflexion ont
compris
que l’imagination humaine n’est pas condamnée à n
il s’est trouvé que ces poètes, honnis et conspués comme inhabiles à
comprendre
le but de la poésie, ne méritent pas précisément
nous pouvons cependant affirmer que la vérité humaine, telle que l’a
comprise
le xviie siècle, nous offre un ample dédommagem
ue l’étude de l’homme, l’analyse et la peinture des passions : ils ne
comprenaient
pas la poésie sans la philosophie. Ce mérite peut
ièce à pièce, comme les rouages d’une montre ; on n’arrivera jamais à
comprendre
comment ces pièces se sont assemblées d’elles-mêm
ssion de leur pensée personnelle suffit à leur intelligence. Aussi je
comprends
sans peine que Béranger n’ait pas d’école. Pour l
ra toute sa splendeur et toute son autorité, que le jour où le public
comprendra
tout le néant de ces contrefaçons. Le tableau peu
de notre littérature s’appliquent à l’ensemble des inventeurs, et ne
comprennent
pas les exceptions. Chacun nommera sans peine les
e raisonnement, ce que le plus simple bon sens suffit d’ailleurs pour
comprendre
; car les poètes, malgré la joie qu’ils trouvent
race inférieure. Les poètes, mieux éclairés sur leurs vrais intérêts,
comprendraient
la nécessité d’avoir, entre eux et la foule, des
onter bien loin dans le passé et en ne consultant même que les années
comprises
entre l’avènement et la chute de la restauration,
erre ; sur les bords du Rhin ou de la Tamise, Cervantes n’eût pas été
compris
. Si l’Europe moderne peut offrir à la France d’ut
On me répondra qu’elle l’a parodiée, cela est vrai ; mais l’eût-elle
comprise
assez bien pour ne pas la défigurer, elle n’eût p
a pas de conquérir dans l’histoire une place importante, si elle veut
comprendre
la vraie nature des devoirs imposés à l’imaginati
uté par la foule des esprits médiocres, qui, comme tous les échos, ne
comprennent
pas ce qu’ils répètent. Après plus de mille ans d
e rareté de plus, superposée à la première, qu’un grand esprit qui le
comprenne
, qui s’applique à lui et qui l’explique. Est-il é
a renommée, mais il n’aura pas d’historien digne de son génie, qui le
comprenne
et qui le juge ; car, pour comprendre et juger le
orien digne de son génie, qui le comprenne et qui le juge ; car, pour
comprendre
et juger le génie d’un homme, il en faut presque
e commencement d’un récit qu’il continuera, jamais nous n’avons mieux
compris
la rareté des historiens véritables en présence d
pourquoi nous en parlons. C’est une variété d’historien qui nous fait
comprendre
à merveille ce qu’il y avait de plus intime et de
s aveuglés que les institutions de l’Empereur répondaient aux besoins
compris
de la France et à ce qu’il y a de moins transitoi
XVII Plut à Dieu que j’eusse fait
comprendre
à quelques belles âmes qu’il y a dans le culte pu
nde, que non seulement l’homme ignorant est radicalement incapable de
comprendre
le premier mot de ce système de vie, mais que mêm
qui lui est refusé en fait de science et de réflexion. Celui qui peut
comprendre
la prédication d’un Jocelyn de village et ces par
ucation au même gymnase et dans les mêmes chants, où tous savaient et
comprenaient
Homère de la même manière, je ne puis m’empêcher
é relative ; ce sont des orgueilleux et des égoïstes. Pour moi, je ne
comprends
le parfait bonheur que quand tous seront parfaits
s’agit de la vraie religion, de la seule chose sérieuse et sainte. Je
comprends
la plus radicale divergence sur les meilleurs moy
eurs moyens pour opérer le plus grand bien de l’humanité ; mais je ne
comprends
pas que des âmes honnêtes diffèrent sur le but et
leur faute ? Non ; ce serait la faute des barbares qui ne les peuvent
comprendre
, ou plutôt la faute de la société, qui suppose fa
elâchaient de leur violence, malheur ! ce serait fini. Je n’ai jamais
compris
la sécurité dans un pays toujours menacé par l’in
de l’humanité soit ainsi abandonnée à sa bestialité native, et je ne
comprends
pas comment toute âme honnête et clairvoyante n’e
liquée qu’il y aurait au plus vingt personnes au monde capables de la
comprendre
. Souhaitons-lui de la patience, s’il est obligé d
corruption pour se maintenir malgré les faits. C’est pour n’avoir pas
compris
la différence de ces deux âges de l’humanité que
ions n’est qu’une aumône ; elles doivent rougir en le recevant, et je
comprends
bien l’indignation des ultramontains ardents, qua
es sots de vouloir qu’on leur donne la raison de ce qu’ils ne peuvent
comprendre
et de se fâcher quand ils ne comprennent pas est
aison de ce qu’ils ne peuvent comprendre et de se fâcher quand ils ne
comprennent
pas est un des plus grands obstacles au progrès.
u qui s’intitulent ducs ou comtes. Ces deux langues-là sont faciles à
comprendre
. Ainsi s’explique la mauvaise humeur que le peupl
n. Le peuple veut qu’on ne lui dise que des choses claires, faciles à
comprendre
, et le malheur est qu’en rien la vérité n’est à l
pas mieux chercher à parler raison et enseigner à tous à parler et à
comprendre
ce langage ? Fermez les clubs, ouvrez des écoles,
eure punition des fous sera le mépris du public. Que ne puis-je faire
comprendre
comme je le sens que toute notre agitation politi
extérieure, je ne sais quelle fanfaronnade de libéralisme, et nous ne
comprenons
pas la grande hardiesse de la pensée. L’ombre de
autour de nous l’étroit horizon du fini. Je le répète, la France n’a
compris
que la liberté extérieure, mais nullement la libe
eurs de l’Attique devant ces monuments qui leur appartenaient, qu’ils
comprenaient
, qui étaient bien réellement l’expression de leur
re d’avoir donné au peuple des souvenirs héroïques et un nom facile à
comprendre
et à idolâtrer. Napoléon, si franchement adopté p
icile à éviter ; la plupart du temps, on juge l’imitation, sans avoir
compris
et étudié le modèle ; il est bien plus sûr de dem
i les peintures en approchent ; mais voir les peintures avant d’avoir
compris
la nature, c’est se fausser le jugement : on s’ha
; il n’y a pas de procédé en peinture, quoi qu’on en dise ; ce qu’on
comprend
, on le rend ; ce qui n’est pas rendu n’a pas été
; ce qu’on comprend, on le rend ; ce qui n’est pas rendu n’a pas été
compris
, et les effets de nature sont infinis. Un atelier
questions, qui se rapportent à ce que les artistes appellent voir et
comprendre
, sont des questions intimes pour tout peintre, et
as un versificateur, ni peut-être un littérateur, qui ait jamais rien
compris
à la Famille de Van Ostade. « Ce noir avec ce bla
s qui ont reculé devant leur propre époque, et qui s’imaginent qu’ils
comprennent
mieux le passé qu’ils n’ont pas vu, que le présen
nt plus que si Shakespeare a quelque chose de bon, vous ne l’avez pas
compris
, vous l’avez à peine entrevu, vous vous êtes arrê
’il commence à être temps de dire sérieusement et de chercher enfin à
comprendre
et à mettre en pratique cette ancienne définition
ent, et qui ne seront plus de mise, à propos du maître, quand on aura
compris
mon jugement sur le disciple. M. Vacquerie est fa
gueilleux, mais les romantiques plus encore que les Espagnols ; je le
comprends
, vous dites « qu’il faut croire à la solidité de
ire des vers pour tuer ses chagrins ; enfin, quelques femmes… mais je
comprends
que les femmes qui ont l’habitude de la tapisseri
temps, quelqu’un se hasarde, ouvre le livre, regarde le tableau, les
comprend
, et l’esprit de critique reçoit une nouvelle défa
uelle, et gâchât le tout serré. Tout lire, tout voir, chercher à tout
comprendre
, sans parti pris, sans haines instinctives, sans
Cependant il y a, parmi les littérateurs, à peine quelques hommes qui
comprennent
les œuvres d’art. Ceux-là taillent des jugements
t autour de M. Octave Feuillet et déprécieront M. Murger, ou bien ils
comprendront
M. de Pontmartin et ne comprendront pas M. Dumas
précieront M. Murger, ou bien ils comprendront M. de Pontmartin et ne
comprendront
pas M. Dumas fils, et cependant il y a une solida
, le public naïf qui n’a besoin que de vérité, de choses qu’il puisse
comprendre
. Le plus souvent, les gens qui ont été élevés sel
ants, les paysans, tous ces imbéciles, comme disent les littérateurs,
comprennent
parfaitement les passions, les ridicules, les cos
teurs ou artistes, s’arrêtaient longuement devant ce tableau : ils le
comprenaient
tout entier. Le second, représentait un prêtre et
e vous raconter Auguste, César, ou Quentin Durward, parce que vous ne
comprenez
pas suffisamment ces personnages par vous-même, n
out, l’éditeur se charge volontiers des raccords. La recette une fois
comprise
, pour peu qu’on ait lu un ou deux bons modèles, o
ns tous les enfants au berceau et contrairement à ceux qui ne peuvent
comprendre
comment Alexandre Dumas a pu en produire autant d
complètement : je les reconnus. Simples marchands de joujoux, ils ont
compris
cette peur de l’enfant devant la vie, cette crain
ête… On pourrait peut-être alors en faire quelque chose et leur faire
comprendre
dans quel abîme ils sont plongés. Mais tant de tê
le succès ; les romantiques, qui firent autrefois une révolution, ne
comprennent
pas qu’on puisse en faire une aujourd’hui ; par v
ntricités cherchées, des exagérations ridicules. Le public n’y a rien
compris
, il commence à laisser tout ce pathos aux poètes
c’est comme si on disait : il n’y a du bon nulle part. Le public l’a
compris
et s’est moqué des éclectiques. En somme, il ne c
es, aux écrivains abstraits, qu’il ne lit pas ou dont il ne peut rien
comprendre
. Il n’ouvre un roman qu’avec le parti pris de n’e
aysagistes qui paraissent dans une bonne voie et encore la plupart ne
comprennent
-ils rien à ce qu’ils font. Du moins est-ce la nat
renthèse que je n’aime pas beaucoup les petites toiles et n’ai jamais
compris
pourquoi les sujets communs n’avaient droit qu’à
s bons écrits des esprits anglais là-dessus, les anglais ont toujours
compris
les choses vivantes, mais je ne parle ici qu’au p
les points de vue individuels. On entrerait en communion avec lui, il
comprendrait
, jugerait, et se passionnerait. La peinture devie
’après les documents du temps ; n’y étant pas, vous le jugez, vous le
comprenez
, en le voyant d’ensemble. On ne connaît pas son p
u réel. — Amen. D’autres sont d’une espèce d’école chirurgicale et ne
comprennent
que les personnages écorchés, ou préparés anatomi
t en capitaines Fracasse, tous sont malheureux et à plaindre. Cela se
comprend
: quand ils ont fait leur petite bimbeloterie de
ste de l’écrit n’est qu’un fond de tapisserie. 1º L’auteur du Laocoon
comprenait
la nécessité d’agrandir, de simplifier ce qu’il v
il n’y aurait rien à dire à M. Fleury, qui a bien le droit de ne pas
comprendre
qu’il aura à compter, maintenant plus que jamais,
856 Résumé du numéro précédent Comme certaines personnes qui ne
comprennent
jamais, n’ont pas compris ce qui a été écrit, il
ent Comme certaines personnes qui ne comprennent jamais, n’ont pas
compris
ce qui a été écrit, il est bon de leur faire rema
aux de Raphaël, aux chevaux anglais, aux soieries de Delisle, et l’on
comprend
à l’instant même « la splendeur du vrai ». Tandis
e que l’artiste a devant les yeux, qu’il peut sentir, rendre et faire
comprendre
à tous ; je veux que, s’il fait un tableau de fem
ot n’est pas français ; et moi je dis qu’il est français, car tu m’as
compris
: si vous ne voulez pas de mon expression, je ne
tion française, on se tromperait, elle va disparaître. Pour être donc
compris
par le peuple, il faut se faire peuple. Il est co
est pas vrai, est plus vrai que ce qui est vrai. M. Perrier peut donc
comprendre
qu’il y ait un M. Perrier plus Perrier que lui ?
i met-on donc à Charenton ? H. Roquairol. Relation des arts On
comprend
généralement sous la dénomination d’arts, la musi
r reproduire la nature dans ces moments d’ivresse ; le spectateur n’y
comprendrait
rien. Quand on regarde un tableau on est calme, o
res. Ce n’est pas tout à fait ce que j’ai dit ; mais cette manière de
comprendre
me fournira une dernière loi : « Ne forcez pas u
. Le romancier, pour analyser le monde qui l’entoure, pour bien faire
comprendre
l’ensemble de ses intérêts, de ses tendances, de
t qu’ils n’agissent. Le lecteur s’identifie avec ces personnages, les
comprend
, les aime, souffre de leurs douleurs, leur donne
un sujet à l’écrivain ; il prend pour héros le type qu’il a vu, qu’il
comprend
, et, à quelque classe qu’appartienne ce type, il
nt plus que si Shakespeare a quelque chose de bon, vous ne l’avez pas
compris
, vous l’avez à peine entrevu, vous vous êtes arrê
’il commence à être temps de dire sérieusement et de chercher enfin à
comprendre
et à mettre en pratique cette ancienne définition
ent, et qui ne seront plus de mise, à propos du maître, quand on aura
compris
mon jugement sur le disciple. M. Vacquerie est fa
gueilleux, mais les romantiques plus encore que les Espagnols ; je le
comprends
, vous dites « qu’il faut croire à la solidité de
rement pompeuses qui corrompent la vérité ; car la poésie ne doit pas
comprendre
sous peine de n’être plus la poésie, mais doit dé
le trouve une vache aux champs et il y voit l’humanité ! Et c’est là
comprendre
; cela est admiré comme sublime. Il y a vraiment
la nature avec des pensées modestes ; jamais un esprit arrogant ne la
comprendra
dans sa beauté. » Henri Terrans. Le remarqua
types du faubourg Saint-Germain, mais nous le repoussons, il n’a rien
compris
à nous, ce monde où tout est en teintes impalpabl
r, dans la volonté de peindre la nature comme il la voyait : on ne le
comprit
point d’abord, vingt-deux ans plus tard il était
té consternés et ont parcouru tout Paris en criant : « M. de Girardin
comprenait
si bien la littérature ! Quel malheur ! il nous a
les lois humaines sont renversées, et que la meilleure manière de la
comprendre
, c’est de dire qu’on ne comprend plus ! Non ! on
et que la meilleure manière de la comprendre, c’est de dire qu’on ne
comprend
plus ! Non ! on ne comprend plus, si l’on veut fa
de la comprendre, c’est de dire qu’on ne comprend plus ! Non ! on ne
comprend
plus, si l’on veut faire l’entendu à la manière h
à, de l’observation scientifique et des proportions naturelles. On ne
comprend
plus, même le langage de sainte Térèse, ce langag
ond, comme il est inouï de simplicité dans la forme. Allez donc faire
comprendre
aux âmes du xixe siècle les humilités de la Sain
u critique qui voudrait la faire admirer !!! V C’est que, pour
comprendre
sainte Térèse, la suprême beauté morale de sainte
ent le juger, mais les écrits de sainte Térèse sont plus difficiles à
comprendre
, dans les arcanes de leur beauté, que les livres
avant de terminer, nous voulons dire un mot d’un livre plus facile à
comprendre
pour les esprits positifs du siècle (positifs ! i
quarante ans, chaque jour, une marche du ciel, le chrétien seul nous
comprendrait
, le chrétien qui sait à quel prix sanglant s’achè
d’attentatoire, une sorte de lèse-majesté divine. Ainsi, du moins, le
comprirent
tous les peuples anciens. La science à leurs yeux
sir d’un meilleur état est la source de tout le mal dans le monde. On
comprend
que l’antiquité, n’ayant pas le grand mot de l’én
fait sa réponse avec la même naïveté. Il me semble aussi difficile de
comprendre
le vrai point de vue de la science sans avoir étu
hilosophique. Je ne sais si aucun Anglais, Byron peut-être excepté, a
compris
d’une façon bien profonde la philosophie des chos
ans un système sur les choses, c’est ne pas vivre une vie d’homme. Je
comprends
certes le scepticisme, c’est un système comme un
c’est un système comme un autre ; il a sa grandeur et sa noblesse. Je
comprends
la foi, je l’envie et la regrette peut-être. Mais
tous les peuples. Il y a à peine un demi-siècle que l’humanité s’est
comprise
et réfléchie 20, et l’on s’étonne que la conscien
alyse est complète, que vous n’êtes point amené à nier ce que vous ne
comprenez
pas et qu’une philosophie plus avancée n’arrivera
er absurde ce dont on ne voit point la raison immédiate. Ce siècle ne
comprit
bien que lui-même et jugea tous les autres d’aprè
rs, plus faciles que ceux qu’ils voulaient y substituer. Ce siècle ne
comprit
pas la nature, l’activité spontanée. Sans doute l
ut plus inouïe que celle des réformateurs sociaux de nos jours. Je ne
comprends
donc pas comment ceux qui admettent 89 peuvent re
89 peuvent rejeter en droit la réforme sociale. (Quant aux moyens, je
comprends
, je le répète, la plus radicale diversité.) On ne
e panthéisme ne paraît si absurde à la plupart que parce qu’ils ne le
comprennent
pas et parce qu’ils entendent le principe : Tout
pes posés par une école qu’il est possible de juger Béranger. Pour le
comprendre
, pour l’apprécier, pour expliquer l’autorité perm
ts d’étude pour ceux qui veulent connaître à fond le génie moderne et
comprendre
tout ce que l’intelligence ajoute à la douleur, o
’avec discrétion à la poésie allemande, à la poésie anglaise, dont il
comprend
toute la valeur. Je ne voudrais pas proposer l’ex
accepte de confiance le rang assigné à La Fontaine sans deviner, sans
comprendre
clairement pourquoi les hommes studieux l’ont pla
ettre ses leçons à profit, il faut une rare sagacité ; Béranger les a
comprises
et s’en est souvenu. À quel titre devons-nous ran
est en marquant bien haut et bien loin le but de son ambition qu’il a
compris
la nécessité de réfléchir mûrement avant de produ
i n’avaient pas la prétention d’être lues. Béranger eut le bonheur de
comprendre
que la chanson était encore parmi nous un genre i
e réveiller ses souvenirs, de ranimer ses espérances. La gloire ainsi
comprise
, ainsi poursuivie, fait du poète un homme nouveau
e mélange des chansons grivoises et des chansons philosophiques ne se
comprendrait
pas. L’amour, dans les chansons de Béranger, n’es
y a pas place pour un regret : c’est l’amour, en un mot, tel qu’on le
comprenait
au xviiie siècle, avant la publication de la Nou
ouciant et joyeux. Frétillon est petite-fille de Manon Lescaut, et ne
comprend
rien à la constance. Le caprice gouverne sa vie,
e crois, la bonté ne s’est produite sous une forme plus intelligente.
Comprendre
pour aimer, telle est la loi de Béranger, et cett
particulier, le cachet de la nécessité. L’art d’écrire, tel qu’il le
comprend
, n’est pas seulement l’art d’exprimer sa pensée,
nde valeur poétique. Je regrette bien vivement que l’auteur n’ait pas
compris
la nécessité de clore son récit à la mort de Graz
né malgré lui au souvenir des joies qu’il croyait éternelles, dont il
comprend
maintenant toute la misère, il dépouille peu à pe
he qu’il avait entreprise. M. de Lamartine me paraît avoir pleinement
compris
toutes les conditions que j’énumère ; il a victor
a terre jusqu’à l’organisation de l’homme. Tout ce que la raison peut
comprendre
, tout ce que les sens peuvent enseigner à l’intel
ssidue du monde extérieur, l’esprit de la jeune fille acquiert, on le
comprend
sans peine, une pénétration singulière. Sans pour
trésors amassés dans sa mémoire, elle demeure modeste. Elle écoute et
comprend
ce qui se dit autour d’elle, sans éprouver jamais
ui, depuis dix ans, a vécu de la seule vie de l’intelligence, qui n’a
compris
, qui n’a cherché le bonheur que sous la forme de
puissance le premier des devoirs humains, et qui pourtant n’a jamais
compris
la vérité tout entière, se transforme et se rajeu
aleine ardente de son amant. Elle aime, mais son amour, que les anges
comprennent
sans doute, son amour n’a rien d’humain ; car son
une singulière monotonie. Notre intelligence est ainsi faite, nous ne
comprenons
pas la variété sans la précision. Dès que les lig
mes et des choses qui s’agitent autour de lui. Uniquement occupé à se
comprendre
lui-même, il ne comprendra plus l’histoire qui se
tent autour de lui. Uniquement occupé à se comprendre lui-même, il ne
comprendra
plus l’histoire qui se fait sous ses yeux. Il sau
, par la préface adressée à mademoiselle Reine, que Platon, pour être
compris
du peuple d’Athènes, aurait eu besoin du secours
en qu’aux élèves d’Oxford et de Cambridge. Pour aimer Hamlet, pour le
comprendre
et l’admirer, il n’est pas nécessaire de l’analys
dicule d’en charger la mémoire des enfants, puisqu’ils ne peuvent les
comprendre
, il est hors de doute que tout esprit bien fait,
e ténèbres toutes les notions de moralité politique. Il est facile de
comprendre
que la préface de Geneviève excite dans l’âme du
t de l’auteur applaudi des Méditations et des Harmonies, ce dédain se
comprendrait
à peine, car il y a partout pour les esprits atte
llard sont retracées par M. de Lamartine avec une prédilection qui se
comprend
sans peine. Il trouvait, en effet, dans le châtea
egrettera pas la richesse qu’il lui faudrait payer de son bonheur. Je
comprends
donc très bien la colère de Régina lorsqu’elle ap
nche. Malgré sa naissance, elle aime en vraie Transteverine ; elle ne
comprend
pas l’abandon qui veut s’appeler générosité. Le c
Je n’ose l’espérer. IV. Toussaint Louverture. 1850. Pour bien
comprendre
le caractère de Toussaint Louverture, il faut l’é
main de la métropole. Toussaint avait trop de sagacité pour ne pas le
comprendre
, et, dès qu’il connut la paix d’Amiens, il sentit
aucun danger, et Toussaint ne l’ignore pas. Par une illusion facile à
comprendre
chez l’ambitieux, il a fait de sa cause personnel
rières qui lui conseillent la soumission. La lutte ainsi posée, ainsi
comprise
, réunit tous les caractères de la grandeur poétiq
je n’ai pas besoin d’ajouter que sous le nom d’épisode parasite je ne
comprends
pas le combat de l’ambition et de l’amour paterne
scarpés, et que l’auditoire, en écoutant cette terrible délibération,
comprenne
qu’il s’agit pour Toussaint d’un dernier effort,
nçaise ne venait pas rétablir l’esclavage. Cette Marseillaise, qui se
comprenait
dix ans plus tôt, sous l’assemblée constituante,
roles qui leur échappent et que Toussaint n’entend pas, le spectateur
comprend
qu’ils n’ont pas pour leur chef un dévouement abs
en voyant partir Albert, s’abandonne au désespoir, chacun de nous le
comprend
. Personne ne comprendra que Toussaint lui confie
rt, s’abandonne au désespoir, chacun de nous le comprend. Personne ne
comprendra
que Toussaint lui confie le drapeau noir, signal
j’aurais souhaité que l’auteur, éclairé par les conseils de ses amis,
comprît
tout le danger d’une telle entreprise ; mais, pui
toutes les espérances, tous les regrets. C’est pour avoir clairement
compris
le sentiment qui animait la génération nouvelle q
maudissait l’invasion ; Lamartine chantait l’amour, tel que l’avaient
compris
toutes les femmes en lisant les lettres ardentes
ion et de tous les mécomptes que le dévouement traîne après lui. Pour
comprendre
toute la valeur des Méditations, il faut prendre
yeux qu’une impiété, ou tout au moins une preuve d’impuissance. Il ne
comprend
pas que la poésie puisse se concilier avec la div
sentiments dont le type ne se trouve nulle part ? Révéler ce qu’on a
compris
, ce qu’on a senti, n’appartient qu’à la foule ou
’expression d’un regret sincère, d’une passion vraie, et, comme je ne
comprends
pas qu’une affection fervente ne rêve pas l’immor
t de sa bouche comme l’eau jaillit d’une source vive. La poésie ainsi
comprise
n’est plus une œuvre de l’esprit, mais un cri de
étienne joue un rôle important dans la peinture de l’amour tel que le
comprend
M. de Lamartine ; aussi n’est-il pas permis de co
prête si heureusement à la peinture de la grandeur divine, n’ait pas
compris
le danger des termes techniques. Je ne demande pa
rist : Ton éclipse est bien sombre, il ne dit rien que nous puissions
comprendre
, car cette image, tirée de l’étude des corps céle
aire de cette époque glorieuse, je me borne à rappeler que les œuvres
comprises
entre l’avènement de Louis XIII et de la mort de
nellement le triomphe du mal, se défendent par eux-mêmes. Pour ne pas
comprendre
que ces poèmes sont des plaintes et non des hymne
voudrait connaître. Je conçois l’autobiographie des hommes d’état, je
comprends
qu’ils éprouvent le besoin de raconter la part qu
es publiques, le rôle qu’ils ont joué dans les événements, mais je ne
comprends
pas l’autobiographie des poètes, car les seules p
d’après les données ineffaçables de la conscience. Notre tâche, ainsi
comprise
, présente de nombreuses difficultés ; mais menée
racié le premier ministre pour punir le libertin. Il est difficile de
comprendre
comment une reine, habituée à gouverner l’Espagne
embarquer et de le vendre aux corsaires d’Afrique ? Ne devrait-il pas
comprendre
, une fois résolu à se venger, que la mort seule e
e nouvelle forme de l’orgueil. Il rêve, il est fier de sa rêverie, il
comprend
les intérêts publics, il se sent appelé au gouver
hérissés de fer, il met ses mains en lambeaux. Il n’est pas facile de
comprendre
comment l’homme qui veut donner à la reine cette
Salluste, en voyant l’étrange docilité de son laquais, ne doit-il pas
comprendre
qu’un tel homme ne réussira jamais près de la rei
espion payé pour découvrir un secret d’État. En vérité, on a peine à
comprendre
qu’un tel personnage ait pu être conçu par M. Hug
qu’il se rencontre parmi les spectateurs un seul homme capable de le
comprendre
et de l’applaudir. Tuer, piller, se réjouir, se g
déal ? Jusqu’à présent, dans ses écarts les plus malheureux, il avait
compris
la nécessité d’idéaliser les sentiments et les pa
ont l’avantage de prêter un sens aux caractères que nous n’avons pas
compris
, aux scènes qui nous ont étonné ou révolté, mais
soluble. Nous sommes maintenant en pleine lumière. Non seulement nous
comprenons
les faits et les personnages, mais nous savons, d
Blas vu de la Croix-de-Flégère ou de Sallanches. Nous avouons ne pas
comprendre
la distinction établie par M. Hugo entre le sens
re, pour le seul plaisir de manier un plus grand nombre de mots. Nous
comprenons
très bien en quoi l’histoire de la science des fa
ndra pour récompensé au-delà de ses espérances. M. Alexandre Mauzin a
compris
toute la profondeur du personnage de don Salluste
tervalle qui sépare l’action racontée de l’action mise en scène, pour
comprendre
que l’intervention directe du poète dans plusieur
M. Hugo apercevait tout le néant de la poésie purement extérieure, et
comprenait
la nécessité d’interroger sa conscience plus souv
IV et Louis XI. Ce grief est au moins singulier ; il est difficile de
comprendre
comment les canons d’un hôtel fondé par Louis XIV
es d’un navire ; mais je ne conçois pas, je ne crois pas que personne
comprenne
comment le vent agiterait les corps célestes. La
plaine. Ou le mot accroupi a changé de sens, ou il est impossible de
comprendre
qu’un berger s’accroupisse pour contempler les ru
eaux de proie ; mais je ne puis lui pardonner son berger accroupi. Je
comprends
bien qu’il parle de la révolte de la cariatide co
errible pèlerinage, ne se laisse pas pénétrer du premier regard. Pour
comprendre
, pour aimer Virgile, il faut avoir le goût des pe
ns les Chants du Crépuscule, il avait montré combien il était loin de
comprendre
Anacréon et Pétrarque ; depuis ce temps son goût
risé avec les œuvres d’Albert Dürer, il est évident que M. Hugo ne le
comprend
pas. D’un artiste religieux, sévère, remarquable
ne félicité souvent supérieure à celle du riche qui possède, sans les
comprendre
, le murmure et l’ombre de ses bois. Les développe
squ’il s’agit de M. Hugo, les questions ne manquent pas. J’ai peine à
comprendre
, par exemple, pourquoi espérant que son fils pren
de l’ode commencée. Mais bientôt sa douleur même devient difficile à
comprendre
, car il a entendu, je ne fais que transcrire ses
on ami fidèle, le seul qui lui soit resté, console-toi, car ils ne te
comprennent
pas. Et comment pourraient-ils pénétrer jusqu’au
sinon dans ses préfaces, du moins dans ses œuvres, il paraît n’avoir
compris
qu’une partie de la poésie, et la partie dont il
ans leurs vers obéissants de grandes pensées, de nobles émotions. Ils
comprenaient
très bien que l’image sans l’idée n’est qu’un jeu
En se résignant à vivre dans la société des livres ou des hommes, il
comprendra
de jour en jour combien les images les plus éclat
lutôt comme exprimées trop tard ou d’une façon inopportune. Pour bien
comprendre
toute la valeur des Poésies de Joseph Delorme, il
e foule intelligente et lettrée mais quelque peu paresseuse, qui veut
comprendre
sans effort et ne relit pas volontiers ce qui est
nous les révélant sans détour, sans ambiguïté. Un tel procédé, on le
comprend
, devait rebuter la plupart des lecteurs, et c’est
s il y a de l’injustice à dire que ce livre est sans valeur ; mais je
comprends
très bien que les admirateurs mêmes des Consolati
n’ont pas accusé la foule de mauvaise foi ou d’ignorance, car ils ont
compris
que la foule trouvait dans le style même de M. Sa
utes nos facultés, nous rend en peu d’années incapables de sentir, de
comprendre
, de vouloir, et fait de nous, impuissants désorma
ient rien de plus. L’homme énervé par la volupté croit encore sentir,
comprendre
et vouloir. Interrogez sa vie à tous les instants
ter. Est-ce vraiment sentir que de ne pouvoir aimer ? est-ce vraiment
comprendre
que de s’arrêter au seuil de toute vérité ? est-c
urtant l’image fidèle du voluptueux ? La triple faculté de sentir, de
comprendre
et de vouloir n’est vraiment complète qu’à la con
comptez les hommes qui savent aimer jusqu’à l’abnégation, qui savent
comprendre
et sonder la vérité sans autre souci que la vérit
que. Comptez-les, et vous serez saisis de pitié. Comptez-les, et vous
comprendrez
que la vie humaine, sévèrement interrogée, n’est
éant tout ce qui s’élève au-dessus de la joie des sens. Et quand nous
comprenons
toute la profondeur de l’abîme où nous sommes tom
idée sont en petit nombre et très nettement dessinés. Il a très bien
compris
qu’une telle idée pouvait et devait se passer de
madame de R… ne manque ni de charme ni de nouveauté. Il est facile de
comprendre
que ce n’est pas là un personnage de pure inventi
ard l’homme qu’elle avait cru grand et digne d’elle, madame de Couaën
comprend
le néant de ses espérances. L’étonnement et la co
s échanger une parole, éclairées par un instinct tout-puissant, elles
comprennent
, en regardant Amaury, qu’elles ont devant les yeu
crivant l’histoire de Port-Royal, M. Sainte-Beuve ne paraît pas avoir
compris
toute l’étendue de sa tâche. Après avoir envisagé
t curieux de voir comment le poète protestant et le prêtre catholique
comprennent
et décrivent l’innocence du premier homme et le b
Fénelon et Bossuet, comme l’a très judicieusement remarqué M. Cousin,
comprenaient
autrement les intérêts de la foi. Dans leurs trav
urs leçons, il importe de faire un choix. M. Sainte-Beuve a très bien
compris
ce qui manque à l’édition de M. Faugère, et je m’
qu’au bout la lecture de Jansénius ; mais je regrette qu’il n’ait pas
compris
la nécessité de remonter jusqu’à la source même o
geaient, s’est réfugié dans une foi aveugle : il croit parce qu’il ne
comprend
pas ; il s’agenouille devant l’autorité de l’Égli
ébreuses discussions de la scolastique. La méthode aristotélique, mal
comprise
et défigurée, était condamnée sans retour. Descar
tre littérature pendant le règne des derniers Valois. Heureusement il
comprit
bientôt qu’une telle besogne ne le mènerait à rie
l et Gargantua à l’histoire réelle de la France sous François Ier. Il
comprend
à merveille toute la puérilité de ces tentatives
ler leurs bouffonneries sur la réalité. M. Sainte-Beuve l’a très bien
compris
et très nettement déclaré. Le seul reproche que m
iolentes, toutes les images d’une justesse douteuse ? Je renonce à le
comprendre
. Quand M. Sainte-Beuve a parlé de Béranger, il n’
idicule qui pourrait bien être à peu près vous. Que de lecteurs ayant
compris
que Flaubert se moque d’Homais se sont dit : « Se
ui a désiré très vivement être lu et qui était assez intelligent pour
comprendre
, mieux encore que tout autre chose, les raisons q
and on songe qu’une seule suffit pour interdire qu’on soit liseur, on
comprend
que La Bruyère, ou tout autre auteur, soit effray
eu long. La Bruyère a écrit une ligne qui est la plus fausse du monde
comprise
comme nous la comprenons infailliblement de nos j
crit une ligne qui est la plus fausse du monde comprise comme nous la
comprenons
infailliblement de nos jours, très juste dans le
qu’un exercice continu de l’esprit, par lequel nous le rendons apte à
comprendre
où est le faux, le faible, le médiocre, le mauvai
» Il faut donc être un lecteur armé, qui désarme par méthode et pour
comprendre
, qui reprend ses armes pour discuter, qui désarme
précède, une erreur nécessaire. Celle de l’artiste, car l’artiste qui
comprendrait
se méprendrait, il n’a pas à regarder en arrière
inquiet et troublé, et il dut s’avouer, lui, le spectateur, qu’il ne
comprenait
pas ses grands devanciers… Dans cette angoisse, i
Dans cette angoisse, il rencontra l’autre spectateur (Socrate) qui ne
comprenait
pas la tragédie et pour ce motif la méprisait. Dé
celle de la tradition. » Voilà donc le poète conscient, le poète qui
comprend
, le poète qui analyse, le poète qui est mêlé d’un
viser le travail. Il est clair qu’un ouvrage sur la caricature, ainsi
compris
, est une histoire de faits, une immense galerie a
e ; complication d’éléments pénibles pour un esprit naïf, accoutumé à
comprendre
d’intuition des choses simples comme lui. Virgini
nt elle regarde. Pourquoi ? Elle regarde l’inconnu. Du reste, elle ne
comprend
guère ni ce que cela veut dire ni à quoi cela ser
que le scandale était là. Et, en vérité, je vous le dis, qu’elle ait
compris
ou qu’elle n’ait pas compris, il lui restera de c
, en vérité, je vous le dis, qu’elle ait compris ou qu’elle n’ait pas
compris
, il lui restera de cette impression je ne sais qu
une des subdivisions de l’école romantique, l’école satanique, a bien
compris
cette loi primordiale du rire ; ou du moins, si t
ris cette loi primordiale du rire ; ou du moins, si tous ne l’ont pas
comprise
, tous, même dans leurs plus grossières extravagan
losion perpétuelle de sa colère et de sa souffrance. Il est, qu’on me
comprenne
bien, la résultante nécessaire de sa double natur
taux aux minéraux. Signe de supériorité relativement aux bêtes, et je
comprends
sous cette dénomination les parias nombreux de l’
tif. Le comique significatif est un langage plus clair, plus facile à
comprendre
pour le vulgaire, et surtout plus facile à analys
vue. Pour mon compte, je fus excessivement frappé de cette manière de
comprendre
le comique. On disait, et c’étaient les indulgent
Hoffmann bien d’autres exemples de comique absolu. Si l’on veut bien
comprendre
mon idée, il faut lire avec soin Daucus Carota, P
laquelle il est impossible de juger la société antique et même de la
comprendre
, l’homme ayant besoin pour juger une chose de val
e son budget que de ses mœurs, il lui était aisé, à lui qui a si bien
compris
les guerres civiles, à lui qui nous décompose d’u
tre chose qu’un accident ?… Ainsi, tous deux, Thiers et Champagny, ne
comprennent
pas plus l’un que l’autre, dans des mondes différ
res. Que si, pour revenir au sujet de notre examen, Champagny l’avait
compris
, des clartés nouvelles auraient jailli du fond de
isant les devoirs, a simplifié l’obéissance, Champagny a parfaitement
compris
le rôle de la famille dans l’organisation romaine
, à proprement parler, n’existe pas. Seulement, pourquoi n’a-t-il pas
compris
également, poussé par la logique de ses idées, qu
emps donné, était là ?… Aussi, voyez ce qui arrive ! Pour n’avoir pas
compris
la nécessité de l’Empire, l’auteur des Césars n’e
pas compris la nécessité de l’Empire, l’auteur des Césars n’en a pas
compris
la faiblesse. La faiblesse de cet établissement d
amène aux théories surannées de l’art utilitaire, de l’art tel que le
comprenait
Victor Cousin, c’est-à-dire reposant sur un fond
d’éducation. Et l’objet de l’Art est, par essence, de faire sentir et
comprendre
des choses qui, sous la forme d’un argument intel
ne voyant de l’Art que sa portée humanitaire, il n’en examine et n’en
comprend
que les effets extérieurs. Le caractère spécial,
de Tasse, de Milton, de Shakespeare ; tout l’œuvre de Michel-Ange, y
compris
son absurde Jugement dernier ; tout l’œuvre de Ba
ugement dernier ; tout l’œuvre de Bach ; tout l’œuvre de Beethoven, y
compris
sa dernière période ». Lui qui critique non sans
saura qu’il est lui-même, lui seul le but de son existence, quand il
comprendra
qu’il ne peut réaliser ce but personnel qu’en com
on ne saurait la séparer de ce qui l’entoure, elle est nécessairement
comprise
dans un ensemble plus grand qu’elle-même, c’est-à
i ont fait toujours les grands artistes. Il suffit de percevoir et de
comprendre
les vérités fondamentales que clame la Nature. Il
strictement le sens. Qu’entend-on par Religion ? Le mot est vague et
comprend
une infinité de choses. Au sens propre, il sert à
forme d’une protestation, avec le caractère d’une révolte. Et cela se
comprend
. La Nature se soulève par l’intermédiaire de l’Ar
ète suivant leur signification sensible (sinnbildlich), afin de faire
comprendre
par une représentation idéale la vérité profonde
’œuvre de l’esprit humain. On n’en pourrait citer un seul qui ait été
compris
immédiatement par tous. N’est-ce pas d’ailleurs l
tions variées à l’infini ; il y a seulement des façons différentes de
comprendre
et d’interpréter ; et c’est cela qu’on appelle la
l’autre respire cette composition si profondément expressive ? Je ne
comprends
pas, ou plutôt je comprends trop. Tolstoï aura co
sition si profondément expressive ? Je ne comprends pas, ou plutôt je
comprends
trop. Tolstoï aura consulté les livres ; il aura
parvient pas à en tirer les conclusions rigoureusement exactes. Il ne
comprend
pas que l’art ne doit pas être jugé bon ou mauvai
fs d’écoles, des artistes eux-mêmes, qui trop souvent ne voient et ne
comprennent
que leur art personnel. À nos écoles professionne
à le mal profond. Nous sommes aveugles, nous ne voyons pas et nous ne
comprenons
plus. Nous étudions les phénomènes de la morbidit
profond. Voir ! — voir ce que les « autres » ne voient pas, — voir et
comprendre
, voilà ce qui fait l’artiste, le véritable artist
comte Tolstoï de croire le contraire. Chez tous, il y a le pouvoir de
comprendre
et d’être ému, mais ce pouvoir n’a pas chez tous
de tous les arts ». Il prétend ensuite discuter ce système, qu’il ne
comprend
pas. Le noble écrivain, bien certainement, n’a pa
ils s’étaient dit ainsi ce qu’ils avaient à se dire, et ils s’étaient
compris
. Grâce au pouvoir magique des sons, leurs âmes s’
chantait des paroles qu’il était impossible de percevoir. » Afin de
comprendre
ou d’essayer de comprendre, Tolstoï recourut à so
était impossible de percevoir. » Afin de comprendre ou d’essayer de
comprendre
, Tolstoï recourut à son livret et il y apprit ce
mélodique si franche et si populaire, Tolstoï n’a rien entendu, rien
compris
, il n’a pas été un seul instant ému ? Je passe su
e sens de la musique ; et il nous restera à regretter qu’il n’ait pas
compris
qu’il aurait mieux fait de se taire que de parler
manifestation d’un esprit qui a pénétré au cœur des choses, qui en a
compris
l’intime secret, c’est-à-dire la mélodie qui est
speare : il parle plus superficiellement qu’il n’agit ; on ne peut le
comprendre
qu’en regardant au fond et en embrassant l’ensemb
alisation de la Musique, à leur absolue puissance expressive, et vous
comprendrez
ce que les historiens du théâtre antique nous rap
té. Ce qui amène Nietzsche à cette conclusion : que la tragédie ne se
comprend
pas sans musique, que le tragique est au fond d’e
nie de Wagner. Qui n’a pas lu l’ouvrage du philosophe de Bâle ne peut
comprendre
tout à fait l’œuvre du maître de Bayreuth. La Nai
nte de l’âme, se fait ensuite poème et s’extériorise en paroles. Nous
comprendrons
maintenant pourquoi ce phénomène, accru jusqu’à l
La chose essentielle, dit-il9, la seule absolument indispensable pour
comprendre
Wagner artiste et saisir le sens de ses œuvres de
e Wagner artiste et saisir le sens de ses œuvres de théâtre, c’est de
comprendre
la nature de son génie ; or, Wagner fut toujours
le musicien n’a, chez lui, qu’un rôle secondaire ; mais ce qu’il faut
comprendre
, c’est que le musicien n’existe que comme une des
ète et parfaite en soi. Poète-musicien, c’est comme tel qu’il faut le
comprendre
, c’est la seule façon de concevoir sa personnalit
quement Eschyle, Sophocle et Euripide, c’est Wagner qu’il cherchait à
comprendre
et à faire comprendre. L’intitulé de son étude su
cle et Euripide, c’est Wagner qu’il cherchait à comprendre et à faire
comprendre
. L’intitulé de son étude sur la tragédie n’est pa
d’art contredit sa définition lorsqu’elle ne peut pas être clairement
comprise
. Aussi la grandeur artistique de Wagner consiste-
dresse Wagner, car l’homme à théories est tout juste aussi capable de
comprendre
l’élément poétique, le mythe, qu’un sourd de comp
si capable de comprendre l’élément poétique, le mythe, qu’un sourd de
comprendre
la musique. » Ne dirait-on pas un persiflage ant
e sujet : « La musique de Wagner est l’image de l’univers tel que le
comprenait
le grand philosophe d’Éphèse ; c’est une harmonie
particulièrement la profondeur de cette dernière vue ! s’écrie-t-il.
Comprenez
-vous ? Moi, je n’aurai garde de vouloir approfond
tat de ses nerfs, a-t-il jamais su ce qu’était la santé et pouvait-il
comprendre
ce qu’il y a de sain et de vigoureux dans ces gra
rop peu de personnalité, trop peu de foyer dans Brahms ; c’est ce que
comprennent
les impersonnels, les périphériques ; ils l’aimen
ges ! Après m’avoir découvert, ce n’était pas une grande malice de me
comprendre
, le difficile est maintenant de me perdre… Le cru
toile, dans lequel nos voies et nos buts si différents sont peut-être
compris
les uns et les autres comme de courts segments —
ourd et tardif, qui a la fierté de supposer vivants encore, pour être
compris
, deux siècles de musique ! Comme les sèves, les f
de bien-être, de bien-être multiple, de bonheur ancien et nouveau, y
compris
, pour une large part, la joie que l’artiste se ca
nt ce sentiment pâlit vite ! Comme il est difficile, de nos jours, de
comprendre
même ce sentiment ! — Elle sonne étrangement à no
ue protesteront sans doute ; mais il faut convenir que cette façon de
comprendre
le problème correspond au sentiment irrésistible
écheur. Mais un auditeur qui ne serait pas suffisamment chrétien pour
comprendre
cette logique, pourrait être tenté de s’écrier :
es mélismes des dramatistes italiens du commencement de ce siècle. On
comprend
que sous l’empire de ces sentiments, Nietzsche se
et ses faibles nerfs, s’effraye toujours tout d’abord d’elle-même. »
Comprenez
-vous ? J’avoue que le sens de cette apparence d’i
ar exemple chez les peuples sauvages, on rencontre d’abord la joie de
comprendre
ce qu’un autre pense ; l’art est ici une sorte de
devine, la satisfaction d’avoir fait preuve d’intelligence et d’avoir
compris
vite. Les œuvres artistiques, même les plus gross
stème émotif. « L’homme dionysien, dit-il, est incapable de ne point
comprendre
une suggestion quelconque, il ne laisse échapper
trantes que lui a inspirées l’art de Richard Wagner au temps où il le
comprenait
encore. Elles restent ses meilleures pages. Le ma
Rembrandt ? Bien mieux, — rapprochons les distances, — Raphaël eût-il
compris
Rembrandt, eût-il compris un tableau de nos maîtr
rapprochons les distances, — Raphaël eût-il compris Rembrandt, eût-il
compris
un tableau de nos maîtres modernes ? Et qui, d’au
mande, si dominante, si dominatrice qu’elle soit, ne sera-t-elle plus
comprise
avant qu’il soit longtemps, car elle est issue d’
’œuvre justement admirés et sur des maîtres dont il est seul à ne pas
comprendre
la grandeur ; passons condamnation sur son rêve d
mœurs, leurs costumes et leurs attitudes. Nous n’en possédons ni n’en
comprenons
le sens, parce que nous ignorons la signification
considèrent le son en soi comme l’élément premier ; or, comme le son
comprend
également l’harmonie, ils établissent la hiérarch
un rythme, il faut qu’il soit arrêté et qu’il recommence ; le rythme
comprend
divers moments d’un mouvement, interrompu ou modi
tique actuelles, elles sont trop souvent incomplètement expliquées ou
comprises
. Il n’est pas une seule de nos méthodes de solfèg
une mélodie20. Combien de nos musiciens pratiquants sont capables de
comprendre
le rythme autrement que mesure par mesure ? Combi
, mécaniquement, sans soupçonner même le sens supérieur que le rythme
comprend
en lui-même à côté de son sens étroit, sans perce
en tête de ses vastes architectures sonores, sans craindre d’être mal
compris
. Prenons son Clavecin bien tempéré, ce merveilleu
bets différents. Il faut les connaître pour savoir lire, c’est-à-dire
comprendre
les musiques diverses dont elles sont la base. Pl
ns par l’Harmonie. Les accords dont nous accompagnons nos mélodies ne
comprennent
pas nécessairement toutes les harmoniques de chaq
s ? Nous en saisissons le charme étrange et captivant, mais nous n’en
comprenons
pas exactement le sens ; tout au moins ne parveno
mme conséquence de ces observations, affirmer qu’aucune musique ne se
comprend
absolument sans préparation et d’instinct. Là, Ni
e tout au moins à son espèce. Musicalement, l’européen se parle et se
comprend
de Paris à Saint-Pétersbourg et de Berlin à Rome,
que les trois quarts des professeurs sont parfaitement incapables de
comprendre
ce qu’est, en réalité, le rythme et d’en faire sa
ui répète parfois et crie des noms, comme les perroquets, sans rien y
comprendre
, mais il s’agit des hommes qui représentent pour
. de Beauverger a pour Sieyès une admiration très logique et que l’on
comprend
très bien, venant d’un homme qui croit que la phi
rit des Lois, comme des mécanismes qu’on démonte, pour en faire mieux
comprendre
le jeu. Du reste, dans sa conception politique, l
e politique ! et il ajoute, par une opposition qu’il est difficile de
comprendre
: « La philosophie politique ne vogue pas sans bo
les philosophies politiques en dehors des idées chrétiennes n’ont pas
compris
, et ce que celle de M. de Beauverger, s’il en ava
. de Beauverger, s’il en avait une à lui, — car il n’en a point, — ne
comprendrait
pas davantage. Toutes les philosophies politiques
age. Toutes les philosophies politiques, sans exception, n’ont jamais
compris
que le bonheur ici-bas est restreint, relatif, ch
viser ce siècle en périodes historiques d’environ dix années. La ire
comprendra
de 1600, époque du mariage de Henri IV avec Marie
rt de Henri IV et de la formation de la société de Rambouillet. La 2e
comprendra
l’espace de 1610, temps où commencent le règne de
t, jusqu’en 1621, époque du ministère du cardinal de Richelieu. La 3e
comprendra
de 1621, depuis le ministère du cardinal de Riche
du gouvernement de Louis XIV en personne. La 7me de 1661 à 1670, qui
comprend
depuis la nomination de madame de Montausier à la
e des enfants naturels du roi. La 8e et dernière, de 1671 à 1683, qui
comprend
le commencement et les progrès de madame de Maint
ivre lui-même. Et les auteurs, cela est fort juste, veulent qu’on les
comprenne
, eux et leurs livres. On se prête à des intervie
hée sans principe. Mais que sert de s’expliquer ! C’est la faculté de
comprendre
qu’il faudrait donner à un certain nombre de pers
ce, des concessions au reportage. De toute éternité, ceux qui doivent
comprendre
ont été désignés. Il n’y a pas à sacrifier les ag
re même serait-il inutile de publier ses livres, ceux qui doivent les
comprendre
les ayant déjà compris à l’avance. C’est en ce se
de publier ses livres, ceux qui doivent les comprendre les ayant déjà
compris
à l’avance. C’est en ce sens que Taine est pleine
llement déconcerté que je préfère n’en rien dire. J’ai évidemment mal
compris
la pensée de l’auteur et je ne saurais la discute
asser quelque chose ; mais si je pose la même question à mon aide qui
comprend
ma langue, il saura que cela veut dire : le spot
à l’autre. Quand on me demandera : le courant passe-t-il ? je pourrai
comprendre
que cela veut dire : tel effet mécanique va-t-il
veut dire : tel effet mécanique va-t-il se produire ? mais je pourrai
comprendre
aussi : tel effet chimique va-t-il se produire ?
e existe, je le constate et je réponds : oui, il y a un courant. Vous
comprenez
à la fois que cela veut dire que l’effet mécaniqu
es Temps, je vois que l’éclipse était annoncée pour neuf heures et je
comprends
que la question voulait dire : l’éclipsé a-t-elle
ssertions de M. Le Roy. Une revue rapide des sciences nous fera mieux
comprendre
quelles sont ces bornes. L’attitude nominaliste n
omplications de langage il aurait fallu se résigner si on avait voulu
comprendre
dans un même énoncé le déplacement du solide, sa
étention de construire je ne sais quel invariant universel qui serait
compris
à la fois par nous, et par les géomètres fictifs
parler ; pas plus que nous ne pouvons construire une phrase qui soit
comprise
à la fois des Allemands qui ne savent pas le fran
ertainement par s’entendre, comme les Indiens d’Amérique ont fini par
comprendre
la langue de leurs vainqueurs après l’arrivée des
gnols. Mais, dira-t-on, sans doute, les Français seraient capables de
comprendre
les Allemands même sans avoir appris l’allemand,
nous montâmes tous dans son atelier. C’est là que l’étrange fille se
comprenait
tout à fait. Le vaste « hall » était divisé en de
, et se prosterne ensuite devant vous, c’est alors seulement que vous
comprenez
toute sa grandeur, la grandeur de son amour. Et c
rait pas Dieu devant cette adoration, par conséquent ne pourrait vous
comprendre
et devenir votre égal ! Au revoir. À la même.
je ne demande rien et je me prosterne devant Dieu !… Oh, non ! Tu ne
comprends
pas ce que je veux dire, tu ne comprendras pas, p
vant Dieu !… Oh, non ! Tu ne comprends pas ce que je veux dire, tu ne
comprendras
pas, parce que tu n’as pas éprouvé cela. Non, ce
cela, c’est que je suis désespérée toutes les fois que je veux faire
comprendre
ce que je sens !! C’est comme dans un cauchemar,
ante, si vous pouviez m’envoyer un peu du vil métal. En vérité, je ne
comprends
pas comment il y a des gens qui, pouvant vivre à
ante, belle, fraîche. La Fornarina. Peut-être est-ce parce que je n’y
comprends
rien, mais je préfère de beaucoup cette tête à to
es les figures sont belles, véritables. On voit bien que le peintre a
compris
ce qu’il faisait. Dans la salle française il y a
osant et absurde. Je regrette de ne pouvoir mieux expliquer ce que je
comprends
si bien. Ah, cher grand-papa, si tu étais avec no
dit : ou je veux avoir tout ce que Dieu m’a permis d’entrevoir et de
comprendre
, alors c’est que je serai digne de l’avoir, ou je
hée, c’est de voir que mon existence est tachée de non-réussite. Vous
comprenez
, j’avais mis une espèce d’orgueil à me faire une
l se trouve l’ambition satisfaite. Ah, chère maman, tu ne peux pas me
comprendre
… mais je parlerai tout de même. Si j’étais une p
, contre tous. J’allais m’endormir sous vos injures que j’apprécie et
comprends
. Pensez-vous que je n’ai pas mille fois remué cen
ïda. Chaque accord et chaque phrase parle. Je crois vraiment que l’on
comprendrait
et la signification de la pièce et dans quel pays
appelles que j’ai donné le nom de Ganz aux deux princes allemands. Tu
comprends
qu’on ne peut pas rester tranquille, quand cet ho
aisies, voyez le bonhomme Joyeuse dans le Nabab, vous avez sans doute
compris
que c’est tout à fait moi pour l’imagination. Com
e. J’ai longtemps hésité avant d’envoyer ceci. Vous même avez si bien
compris
que je ne pouvais vous écrire que vous en avez dé
, momentanément du moins, doué de facultés, qui vous permettraient de
comprendre
que devant des natures comme la mienne on ne trou
es comme si je vous l’avais défendu, vous citez ce manuel que vous ne
comprenez
pas. Vous n’êtes qu’un enfant. Du moment où je vo
bon élève, vous vous ferez de moi une amie véritable et, si vous avez
compris
mon caractère, vous savez que mon amitié sera bon
, je vous ai dit que je vous ai aimée … Eh ! bien, je vous aime… Vous
comprenez
que c’est une torture pour moi de venir ici comme
pas à votre amour, qui est peut-être vrai… Je voudrais m’en assurer…
Comprenez
-vous, il faudrait attendre. — Combien ? — Voyons,
telier, un atelier aussi, mais de sculpture, au rez-de-chaussée. Vous
comprenez
, il n’y aurait pas de chambres habitables dans ce
rriver à l’atelier. Les pièces en enfilades, enfin. J’espère que vous
comprendrez
ces incohérences et excuserez le désordre de mes
. J’ai la tête pleine de peinture, et ces personnes-là ne peuvent pas
comprendre
les nobles préoccupations des gens de notre espèc
. Du reste, ne vaudrait-elle que mille francs, elle est laide ; je ne
comprends
pas qu’une artiste comme Sarah se mette ça sur le
u que je faisais pour le Salon n’est pas encore fini. Vous devez bien
comprendre
que je ne puis avoir aucun plaisir à envoyer quel
tocrate, au fond, elle avait le tort peut-être de croire qu’on devait
comprendre
qu’un artiste n’était pas un homme pour elle, ell
in. Mon avis est qu’elle eut tort ; du reste, cette nuance ne fut pas
comprise
et l’Américaine, se trompant à l’attitude de la R
uisse vous voir. Un mot à la poste de la Madeleine, R. A. C, car vous
comprenez
bien que si je ne dois pas vous y rencontrer, je
ui, au lieu de me prendre pour une « des femmes du monde qui, etc. »,
comprendrait
l’âme en peine venant à lui chercher la lumière…
désormais une gloire nationale. On prétend que la belle musique ne se
comprend
pas du premier coup… Allons donc, ici on comprend
belle musique ne se comprend pas du premier coup… Allons donc, ici on
comprend
tout de suite que c’est admirable et mélodique, m
ndant encore, ce sera encore plus beau, mais je n’admets pas qu’on ne
comprenne
pas tout de suite la vraie belle musique. L’appar
ort du roi Henri IV ? Répondre par des confidences, puisque vous avez
compris
que je vous en demandais par retour du courrier,
dernier bouton défait. Eh bien, vous m’intéresserez quand même. Je ne
comprends
pas seulement comment vous pouvez vous ennuyer. M
de cochons… Si j’écrivais à un homme célèbre, à un homme digne de me
comprendre
? Ce serait charmant, romanesque, et, qui sait ?
res, je les ai déjà vendus en Amérique un prix fou. Au même. Je
comprends
vos défiances. Il est peu probable qu’une femme c
n ? Impossible non plus de vous jurer que nous sommes faits pour nous
comprendre
. Vous ne me valez pas. Je le regrette. Rien ne me
té maîtresse de la femme, c’est l’intuition. Eh bien par intuition je
comprends
, je vois, je sais des choses extraordinaires, mai
h bien ! elle qui n’est encore rien, mais qui a déjà la prétention de
comprendre
les sentiments des grands hommes, pense comme vou
toquée et une farceuse, vient vous proposer ses notes. Seulement vous
comprenez
bien, Monsieur, qu’il faut pour cela une discréti
arole. Si vous avez seulement un peu conscience de votre valeur, vous
comprendrez
mon enthousiasme. Et pour que cet enthousiasme ne
latteurs de Gambetta ? Opportunistes alors ! attristants, mais qui ne
comprennent
seulement pas le mot ! — L’opportuniste est un ho
sieur Sully-Prudhomme. Juin 1884. Monsieur, Je viens de lire et de
comprendre
, à ce qu’il me semble, Lucrèce et la Préface. Ne
je puis vous dire franchement que j’ai l’audace et la présomption de
comprendre
et de partager vos pensées les plus délicates, ce
plaît de rimer, rimez pourvu que je ne m’en aperçoive pas. J’ai tout
compris
, mais il a fallu m’appliquer. J’ai beau me dire q
r vous d’une estime énorme, d’autant plus que j’ai eu plus de peine à
comprendre
votre préface de Lucrèce. C’est infiniment plus d
e parle sérieusement. Vous savez que je ne tiens pas à ceux qui ne me
comprennent
pas ; ceux à qui je tiens me comprennent. En plus
e tiens pas à ceux qui ne me comprennent pas ; ceux à qui je tiens me
comprennent
. En plus, je suis au moment d’avoir un talent eur
r des victoires, la révolution dans l’art se préparait au dedans, peu
comprise
, inaperçue ou moquée à l’origine, mais réelle, cr
uement instinctif dans son œuvre d’art empêcha madame de Staël d’être
comprise
alors et d’être appréciée à sa valeur comme artis
e plus savant ciseau moderne sur un monument des jours anciens. On ne
comprit
pas les Martyrs, on n’aurait pas compris alors l’
ent des jours anciens. On ne comprit pas les Martyrs, on n’aurait pas
compris
alors l’Aveugle d’André Chénier. La société, d’ap
ue et les illusions honorables des jeunes poètes se dissipèrent ; ils
comprirent
que la monarchie restaurée, avec ses misérables r
notre âge, finit par se réconcilier avec cette société nouvelle mieux
comprise
, et par reconnaître, à la voix du vieillard initi
tions républicaines. L’art se souvient du passé qu’il a aimé, qu’il a
compris
, et dont il s’est détaché avec larmes ; mais c’es
moraliste qui sait les carder, elles sont d’un intérêt, pour qui les
comprend
, tout aussi intense que la banale passion de la f
le leur fait répandre qu’à la condition de leur commander ! Mais qui
comprend
vraiment le prêtre, dans notre société sentimenta
n’est ni amant, ni époux, ni père, — les seules choses que les masses
comprennent
et sentent, — et qui s’intéresse à son austère gr
ré que son génie faisait équation avec le génie du prêtre, tant il le
comprenait
! Et c’est ce que j’en puis dire de plus grand. M
ques avec le sentiment frissonnant de leur réalité, et un artiste qui
comprend
l’Église et le prêtre, et qui aurait dû aller jus
d l’Église et le prêtre, et qui aurait dû aller jusqu’au bout et tout
comprendre
, n’ose pas faire parler franchement et distinctem
le battait pas. Assez ! Si l’homme qui a trouvé une telle figure, qui
comprend
ainsi l’amitié du prêtre et son dévoûment, n’est
ût, par l’étroitesse native de ses vues et par son impuissance à rien
comprendre
sans une lente, lente éducation est condamné à se
la littérature anglaise361, ni à la littérature espagnole ; elles ne
comprenaient
qu’une partie de la littérature latine et même de
payait ; elles lui étaient nécessaires pour soutenir sa troupe. On ne
comprenait
rien au Festin de Pierre ; il ne plaisait point «
soit incorrect, immoral et fou. Jadis, le goût était classique et ne
comprenait
ni les brusques fiertés, ni la vérité nue de la n
té nue de la nature libre ; aujourd’hui, le goût est romantique et ne
comprend
ni la proportion, ni la simplicité, ni la décence
Il y a dans l’Étude du Chevalier une chose que je n’ai pas très bien
comprise
. Uranie se défie sagement des premiers mouvements
lui-même, est-il bien nécessaire de le conserver ? Lorsque Uranie ne
comprend
pas d’abord la beauté d’une œuvre d’art vantée pa
silencieusement médité sur la beauté de la Vénus hottentote, pour la
comprendre
et la sentir ? Ici il ne faut point rire ou se ré
à part. Ce grand esprit félicitant le dix-neuvième siècle d’avoir su
comprendre
toute la richesse de l’art et de l’esprit humain
rme contresens littéraire de Plaute ; mais à quoi bon, quand, pour le
comprendre
, on n’a qu’à jeter les yeux sur les légions toujo
gendre du roi ? Cette raison semble bonne. Assurément des Français la
comprendront
, et des Allemands aussi. Mais qu’on ne se hâte pa
iser. Le cas particulier traité par M. de Schlegel y serait peut-être
compris
, apprécié. Dans une pièce de Caldéron385, le héro
ttérature anglaise ; en France, en Allemagne, en Italie ; et si, pour
comprendre
parfaitement la littérature espagnole, il lui est
ais il suffira de célébrer sa puissance et sa sagesse une fois. 3°
Comprendre
Comprenons, cela suffit. Mais, dans ce mot que
de célébrer sa puissance et sa sagesse une fois. 3° Comprendre
Comprenons
, cela suffit. Mais, dans ce mot que de choses ! «
Au lieu d’interroger les faits, de les respecter en attendant de les
comprendre
, de les étudier jusqu’à ce qu’ils les aient compr
tendant de les comprendre, de les étudier jusqu’à ce qu’ils les aient
compris
, pour les respecter plus encore, ils les transfor
en Saxe395 ». Nous l’entendrons blâmer, mais blâmer en homme qui les
comprend
, les inévitables excès de la réaction romantique,
ire un pas, Sans s’inonder de vers, de pleurs et d’agendas396. Nous
comprendrons
alors comment l’Iphigénie a pu naître ; mais Goet
nt l’Iphigénie a pu naître ; mais Goethe avait beau être Goethe, nous
comprendrons
aussi qu’il était allemand, qu’il était moderne,
. Moi, qui fais profession de ne rien blâmer et qui m’efforce de tout
comprendre
, pourquoi ai-je manque de charité envers William
g de Molière399 » ; la « petite personne » n’était « point capable de
comprendre
les grands hommes ». La nature, méchante mère, t’
sanscrits que, sauf toi (tu le savais très bien), personne ne pouvait
comprendre
. Ta toilette était de la dernière élégance, et qu
ivit alors à sa femme et à ses enfants, vous n’aurez pas besoin, pour
comprendre
la théorie hegelienne de la comédie, de remonter
n approche de la demeure du dieu ; et je me disais : La critique doit
comprendre
cette énigme, cela suffit. Le grammairien J
ieds. Ce qui est vrai, c’est que tout fait à sa cause. Si examiner et
comprendre
ne suffit pas à la critique grammaticale, examine
r et comprendre ne suffit pas à la critique grammaticale, examiner et
comprendre
suffit à la critique philosophique. Reprenons nos
e soient ses comédies, elles sont françaises, et les étrangers ne les
comprendront
pas comme il faut, s’ils n’entrent pas bien dans
es, les écarts se multiplient ; l’intelligence n’a pas eu le temps de
comprendre
toute une idée, qu’une nouvelle idée se précipite
Un jour, il s’avisa de m’en parler. Je lui lavai la tête. Je lui fis
comprends
qu’il manquait de conduite par ses harangues dans
et à l’histoire, il faut ajouter la biographie ; alors seulement nous
comprendrons
tout Molière. Il y a dans son caractère deux trai
e contradiction ; cinq ans plus tard, sans changer de langage, il eût
compris
que la corruption ne travaille pas moins sûrement
oute n’est plus permis qu’à l’ignorance. La satire, telle que l’avait
comprise
André Chénier, telle que la comprend M. Barbier,
ce. La satire, telle que l’avait comprise André Chénier, telle que la
comprend
M. Barbier, se déploie librement dans les plus ha
vers proverbial du lyrique latin nous est pleinement expliqué ; nous
comprenons
l’ïambe furieux d’Archiloque. Il y a plusieurs fo
érieure à lui au nom du ridicule qu’elle lui inflige. La satire ainsi
comprise
devient un emploi élégant de la parole, un délass
aut avoir compté les promesses, les infidélités de l’expression, pour
comprendre
, pour estimer toute la valeur d’Horace et de Boil
lus de la réalité qu’elle veut peindre. L’unité dans la colère, ainsi
comprise
, ainsi rendue, est une tâche difficile. Il ne suf
rcher, à montrer l’origine des maux qu’il contemple. La poésie, ainsi
comprise
, est à nos yeux la seule poésie vraie, la seule q
es, les deux syllabes du mot orgueil. Sans doute cette explication ne
comprend
pas toutes les formes de la folie, mais nous croy
nement dialectique. C’est à ce point de vue qu’il faut se placer pour
comprendre
et pour admirer le Minotaure. Les belles Colline
aucune parole inutile, chaque parole porte coup. La concision, ainsi
comprise
, n’a rien de commun avec la sécheresse, et n’appa
aiment Shakespeare comme ils aiment Sophocle, parce qu’ils ont lu et
compris
Shakespeare et Sophocle ; mais le beau monde préf
ous une forme populaire les idées qui ne sont pas encore généralement
comprises
, et qui ont besoin d’être discutées dans le sein
ant d’être écoutées à la tribune. Les académiciens et les collèges ne
comprennent
pas ainsi la tâche de la poésie ; mais le poète,
s poètes redoutent l’industrie qu’ils n’ont pas étudiée et qui ne les
comprend
pas, c’est un fait non moins évident. Si ces crai
revenu malgré lui à son ancienne prédilection pour le mal. Il n’a pas
compris
la nécessité de corriger la faiblesse par la bont
ant ce personnage, s’est applaudi et félicité. Cependant j’ai peine à
comprendre
qu’un savant du premier ordre, lorsqu’il se mêle
es successives de la torture. À mon avis, c’est une triste manière de
comprendre
et de peindre la vérité. Je ne crois pas qu’il se
evant qui plia plusieurs fois la volonté de Richelieu, aurait peine à
comprendre
comment l’Espagne et la Hollande ont pu traiter a
comme une conséquence invincible et nécessaire. M. de Chateaubriand a
compris
autrement le Génie du christianisme : il a écrit
de l’avenir et du passé. Méconnaître l’une de ces deux lois, c’est ne
comprendre
qu’une moitié de la poésie. Cependant celui qui i
le s’oppose directement à l’étude. Non seulement, et tout le monde le
comprendra
sans peine, c’est la dernière des méthodes, mais
e peuvent combler les lacunes immenses et innombrables de l’Essai. Je
comprends
très bien que M. de Chateaubriand se console en p
vision historique, et s’amuse à renverser sur le papier tous les noms
compris
entre le berceau et le tombeau de Shakespeare. Il
ous sommes absolument de l’avis de M. de Chateaubriand ; mais nous ne
comprenons
guère pourquoi ce précepte souverain se trouve en
ce. En lisant ces pages il est impossible de décider si le traducteur
comprend
ou ne comprend pas le texte anglais ; c’est une é
es pages il est impossible de décider si le traducteur comprend ou ne
comprend
pas le texte anglais ; c’est une énigme insoluble
tant une dernière question à poser. M. de Chateaubriand a-t-il jamais
compris
le mouvement littéraire du xixe siècle ? nous ne
pas écrit dans sa vie un seul beau livre ; nous croyons qu’il n’a ni
compris
, ni hâté le mouvement littéraire de son temps ; e
accomplis quelque chose de supérieur aux faits pris en eux-mêmes, de
comprendre
et d’expliquer sérieusement, dans une assemblée l
et le rôle de la philosophie française au xviiie siècle ; mais pour
comprendre
et pour expliquer le véritable caractère, la véri
il ne partage pas, l’entraînement qu’il eût combattu, qu’il n’eût pas
compris
; il condamne, au nom d’une logique toute personn
du xviiie siècle, n’eût pas été intelligible, ou du moins n’eût été
comprise
que des hommes spéciaux, et eût fait tache dans l
c’est là, certainement, une destinée digne d’envie : l’ambition ainsi
comprise
ne mérite pas la défiance conseillée par M. Guizo
es du nouvel académicien, les a caractérisés assez confusément ; il a
compris
dans la même série de phrases admiratives l’Histo
s gouvernent seuls la société et prennent en pitié les passions. Il a
compris
, et la chose était facile, que le droit n’a pas s
outes les parties de ce problème dont aujourd’hui seulement il paraît
comprendre
l’importance, mais qu’il analyse et définit avec
ie la tradition, ce qu’elle représente, ce qu’elle exprime, il aurait
compris
que les plus hardis génies, quel que soit l’ordre
s, qui, aujourd’hui, annonce la régénération de la tragédie, mais qui
comprend
cette régénération d’une façon toute personnelle,
rang dans la famille des poètes ; mais du moins les poètes l’auraient
compris
sans lui accorder l’honneur d’une sympathie frate
on proprement dite fasse une halte naturelle. L’élément lyrique ainsi
compris
a rendu d’éminents services à Corneille, à Molièr
à Corneille, à Molière, à Shakespeare. Mais ce n’est pas ainsi que le
comprend
M. Hugo : Marion, Hernani et Triboulet sont lyriq
que Georges Cuvier est à Dieu. Non, il n’est pas vrai que l’histoire
comprenne
la tâche entière de la poésie ; M. Vitet a rigour
ferait de la société un supplice permanent. Aussi ne prétend-elle pas
comprendre
dans ses tableaux la conscience humaine tout enti
ation. Pénétrée de l’importance des vérités qu’elle a surprises, elle
comprend
qu’il faut, pour les montrer, non seulement les é
, aussi bien que pour la tragédie et pour la comédie, idéaliser c’est
comprendre
la réalité plus profondément que les esprits vulg
revêtir et la parer. Le chœur de la tragédie antique, pour être bien
compris
, ne doit pas être envisagé comme un personnage ;
e, les réflexions des spectateurs. Il est évident que le chœur, ainsi
compris
, n’appartient pas directement à l’œuvre tragique
prices, ont la même complexité que ses héros. Mais ce serait bien mal
comprendre
et bien mal apprécier la construction savante de
ne distraction puérile, prépare l’intelligence de l’auditoire à mieux
comprendre
le dénouement résolu. Le dialogue de Shakespeare
ent et paisible tous les anneaux de la tradition, qu’ils arriveront à
comprendre
la voix de ces illustres aïeux. Une fois résolus
es yeux du drame splendide aussi bien que du drame physiologique, ils
comprendront
la nécessité de chercher dans l’histoire et dans
a place. Car il aspire au titre de novateur. Plus tard, peut-être, il
comprendra
que la nouveauté n’est pas la garantie la plus sû
popularité, un besoin de louange et d’applaudissement ; il commence à
comprendre
qu’il lui faut un auditoire, et que si personne n
heure la plus heureuse de la vie du poète. Il n’est plus seul, il est
compris
. À mesure qu’il accomplit sa pensée, il entend ré
inte à dérouler tous les mystères de sa volonté, il arrive à se mieux
comprendre
lui-même. Dans l’intimité de ses épanchements qui
cussion, ou plutôt il ne poserait pas tous les problèmes particuliers
compris
dans un problème général, parce qu’il ne lui sera
t la gloire venir à lui, il l’accueille avec une émotion sérieuse. Il
comprend
que la dignité nouvelle dont il est revêtu lui im
; il l’écoute d’un air distrait, confus ou impatient, et lui donne à
comprendre
que l’heure de la franchise ne doit plus revenir.
e lui pour lui demander un nouveau décalogue. Si le pays se résigne à
comprendre
qu’il est dans une fausse voie, qu’il a besoin d’
er nettement, il n’y a pas pour lui de véritable question. Il sait et
comprend
toute chose. Il voit la vérité face à face, pure,
en adoptant l’opinion du juge, imposera silence à la colère. Le poète
comprendra
que la théorie, en cheminant solitairement, peut
ar la poésie, sans se rendre coupable d’ignorance ou d’injustice ; il
comprendra
que l’équité, réduite à ses véritables éléments,
ne peuvent répondre sans une manifeste contradiction ; tandis que je
comprends
sans difficulté qu’un sujet substantiellement un
je n’ai rien à répondre, si ce n’est que c’est là sa nature, et je ne
comprends
pas même comment, dans quelque hypothèse que ce s
donc s’expliquer cette union nécessaire de l’âme et du corps ? On la
comprend
pour ces sortes d’actions que l’âme exerce en deh
interne, où il semble que l’on n’ait plus besoin de rien d’extérieur.
Comprend
-on que l’on puisse penser avec quelque chose qui
servir de rien à la pensée, ou il est lui-même la chose pensante. On
comprend
un instrument d’action, maison ne comprend pas ce
même la chose pensante. On comprend un instrument d’action, maison ne
comprend
pas ce que pourrait être un instrument de pensée.
on et de la mémoire, auxiliaires indispensables de l’intelligence. On
comprend
donc que l’être humain, dans les conditions actue
sont semblables à ceux de la sphère. Quiconque est un peu géomètre
comprendra
que dans le champ optique rétinal peut correspond
oule consente à reconnaître et à proclamer un pareil mérite ; pour le
comprendre
, pour l’apprécier dignement, il lui faudrait se r
ne connaissait que par les livres ; nous voudrions savoir comment il
comprenait
le paysage de la Suisse, comment il associait la
usqu’à la fin de la pièce, c’est pour lui une nécessité de renoncer à
comprendre
complètement ce que le poète a voulu exprimer. Un
’ode française, et peut servir à montrer comment les génies originaux
comprennent
la lecture des poètes antiques, comment ils chois
étroites du cœur et de l’intelligence, sur la nécessité d’aimer pour
comprendre
. L’amitié, telle qu’il la conçoit, telle qu’il la
t en quoi la liberté diffère de la servitude. Pour marquer comment il
comprend
l’étude d’Homère et de Virgile, il affirme qu’Hom
nce continue de l’expression, que l’analyse, en essayant de les faire
comprendre
, s’exposerait à les obscurcir. Cette remarque s’a
ger libre qui ne renferme une leçon pleine de sagesse. L’idylle ainsi
comprise
, malgré la distance qui sépare la vie pastorale d
vent encore à Tibulle. À parler franchement, l’amour, tel que nous le
comprenons
aujourd’hui, tel que nous le voyons, non seulemen
le dévouement qui semblent inséparables de l’amour. Cette manière de
comprendre
les femmes appartient précisément à l’élégie lati
en effet, plus digne de mépris que l’infidélité ; c’est ce que Manon
comprend
admirablement. Quand elle revient près du chevali
magination ; c’est avec le cœur plutôt qu’avec l’esprit qu’il faut le
comprendre
et le juger. Or, ce livre est plein d’aveux si pa
poète. Si M. Hugo, instruit par l’expérience, mécontent de n’être pas
compris
, se fût proposé l’assouplissement de la strophe c
r ce dessein, l’alliance des idées les plus contraires. La rime ainsi
comprise
soumet la pensée à toutes les chances de la loter
e mille vers où le cœur et l’intelligence ne jouent aucun rôle, et je
comprends
que M. Hugo s’admire et s’applaudisse dans les Or
e à ce malheur. Éclairé par la lecture des poètes lyriques, M. Hugo a
compris
que les images, pour venir en aide à la pensée, d
d’automne seraient une énigme impénétrable ; l’esprit se refuserait à
comprendre
comment le rêveur adolescent, parvenu à la virili
vraie, dont l’exécution est demeurée si incomplète, il est facile de
comprendre
pourquoi les romans et les drames de M. Hugo offr
l. L’ode dictée après juillet 1830 démontre clairement que M. Hugo ne
comprend
pas l’État mieux que la famille. Il y a dans cett
le cœur se refuse à toute sympathie. Cependant le doute, poétiquement
compris
, est un beau sujet d’élégie ; mais pour traiter u
s’arrête, quand elle ferme ses lèvres, nous attendons encore, pour la
comprendre
, les paroles qu’elle ne prononcera pas. Cette imp
s premières années de l’adolescence de M. Hugo, c’est-à-dire l’espace
compris
entre seize et vingt-deux ans, sont représentées
iment pas ces chants mélodieux. Il était permis de croire que M. Hugo
comprenait
toute la puérilité de la poésie exclusivement mus
eul instant qu’il arriverait, par la seule puissance de sa volonté, à
comprendre
les questions qu’il n’avait jamais étudiées, il e
il est indispensable de les étudier avec une sérieuse attention pour
comprendre
et pour expliquer les transformations successives
aquais. En vérité, plus je pense à Gringoire, et plus j’ai de peine à
comprendre
comment M. Hugo a pu être amené à personnifier la
pas que de pareils héros puissent jamais exciter aucune sympathie. Je
comprends
très bien que Phœbus de Châteaupers n’aime pas Fl
e Phœbus de Châteaupers n’aime pas Fleur-de-Lys Gondelaurier, mais je
comprends
difficilement que la Esmeralda aime Phœbus de Châ
l n’est pas moins avili. Sa gourmandise et sa paresse entêtée, qui se
comprendraient
chez un enfant de douze ans, deviennent monstrueu
t le spectacle, et préférait la poésie qui se voit à la poésie qui se
comprend
. C’était là, sans doute, un goût dépravé, un goût
que nous avons dit de ses œuvres lyriques et de ses romans a été bien
compris
, personne, sans doute, ne s’étonnera de notre sév
s la poésie dramatique. Pour que ce rôle se révélât pleinement et fût
compris
par les poètes et par la foule, il fallait que l’
n homme de vingt ans, familiarisé avec la littérature grecque, qui ne
comprenne
très bien que Pantagruel et les gaies Commères de
stoire, mais bien aussi au type même de la courtisane. Son malheur se
comprend
à peine, tant elle paraît avoir oublié ses premie
es mêmes de M. Hugo. Ses plus fervents, ses plus fidèles admirateurs,
comprendront
que la poésie n’est pas tout entière dans les évo
onnerait au temps, à la vérité, le soin de le venger. Sa colère, bien
comprise
, n’est qu’un aveu. Depuis vingt ans, il combat po
pour la popularité de son nom ; il croyait avoir touché le but, et il
comprend
qu’il s’était trompé. Il avait pris pour la poési
en enseignements, et nous sommes sûr que M. Hugo, rentré en lui-même,
comprendra
comme nous toute la puérilité de ses œuvres. Les
de leur savoir avec une impitoyable rigueur. Le roman, tel qu’ils le
comprennent
, tel qu’ils l’improvisent chaque jour, n’est pas
peine d’écouter. Grâce à Dieu, nous avons assez de clairvoyance pour
comprendre
qu’ils ont rompu depuis longtemps avec la littéra
jamais spéculé sur l’ennui, et, pour ma part, je l’en remercie. Il a
compris
le roman comme un genre vraiment littéraire, et i
heureusement avec Noëmi. Curieuse, ardente, amoureuse d’émotion, elle
comprend
les devoirs de la famille, mais ne peut se résign
tre toutes leurs prévisions, se reconnaîtront dans M. de Belnave. Ils
comprendront
, en l’étudiant, qu’il ne suffit pas d’aimer pour
ar un sourire de bonheur, il ne lui arrive jamais de se demander s’il
comprend
, s’il contente tous les désirs de sa femme. Georg
s liens qui ne veulent pas se dénouer, effrayé de la cruauté qu’il ne
comprend
pas, presque aussi honteux qu’affligé de la ruptu
; la pitié silencieuse de M. de Belnave pour des souffrances qu’il ne
comprend
pas et qu’il dédaigne d’étudier, semble à Mariann
ieu de la calmer, et quand elle s’est bien démontré qu’elle n’est pas
comprise
, elle se décide à jouer son bonheur sur un coup d
la confiance, la jalousie et le désespoir de M. de Belnave, lorsqu’il
comprend
qu’il a perdu le cœur de sa femme, sont racontés
. Si Marianna était infidèle, si Henri se voyait trahi, le meurtre se
comprendrait
; mais répondre à l’abandon par une menace de mor
uel est un jeu hasardeux. Le mari a deviné le secret de Fernand, il a
compris
que la passion est usée dans son cœur. Pour punir
mille qui allait devenir la sienne. Je ne sais si j’ai réussi à faire
comprendre
tout ce qu’il y a d’inexorable dans l’enchaînemen
a dans ces paroles toute la régénération de Maurice. Dès que Maurice
comprend
, en effet, qu’il peut être utile à quelqu’un, qu’
au charmant. Maurice, en voyant le bonheur de Marceau et de sa femme,
comprend
toute la grandeur, toute la sainteté du travail.
sse, plus de malice et de pureté ; elle mérite vraiment son nom. Elle
comprend
à merveille toute la faiblesse de Roger ; malgré
esthétique et d’un enseignement moral admirables. Si l’on en vient à
comprendre
que tout se tient, se lie, se correspond dans la
Asie. Avec infiniment plus de naturel et de charme, Froissard n’a pas
compris
ni écrit autrement l’histoire des temps chevalere
dus ou des nations. L’histoire littéraire et esthétique, telle que la
comprennent
les anciens, se traite dans le même esprit et par
s terrestres, et dont le premier anneau touche au ciel. Aristote, qui
comprend
tout autrement l’origine de la poésie, fait d’Hom
ans les temps modernes jusqu’à notre siècle, l’histoire n’a guère été
comprise
, composée, écrite autrement que dans l’antiquité.
nnie ou lui rendre la liberté, pour amener le triomphe d’un parti. On
comprend
dès lors comment la conscience de la puissance in
le titre qui convient au grand ouvrage de Vico31 ; car nul n’a mieux
compris
le but, l’objet et la méthode de l’histoire, ains
s âges de l’humanité, âge divin, âge héroïque, âge humain, et qu’il a
compris
que certains personnages fabuleux ou même histori
, n’ont donnée. C’est la science historique de notre temps qui a fait
comprendre
comment Rome légiste, militaire et conquérante, a
t le lecteur cette même réalité que d’autres ont si bien fait voir et
comprendre
? Histoire matériellement incomplète, de brusque
t, ne s’en est tenu à cette vue superficielle de la réalité. Tous ont
compris
, tous ont plus ou moins fortement exprimé cette v
ce ? Le mérite des historiens de notre révolution n’est point d’avoir
compris
les nécessités politiques ou économiques évidente
e libre et toute personnelle du génie d’un homme, ainsi que l’avaient
compris
Platon, Aristote, Horace, Quintilien, dans l’anti
s illusions du sens intime. Cette crise intellectuelle et morale fait
comprendre
l’heureuse opportunité des livres qui, comme ceux
rces morales, dans la puissance politique et pratique de ceux qui les
comprennent
le mieux, c’est-à-dire des philosophes et des sav
il importe de s’expliquer clairement. Quelques exemples feront mieux
comprendre
la question que des généralités philosophiques. L
ulaires, des intérêts politiques engagés dans la lutte, on parvient à
comprendre
comment la Saint-Barthélemy n’est point sortie to
arie-Antoinette. Encore et toujours la fatalité, que l’historien doit
comprendre
et expliquer. Mais cela le dispense-t-il de la dé
a faveur d’être nommé est vite mise aux enchères ; les directeurs ont
compris
, devant la foule des livres bâclés par vanité, qu
e cent exemplaires de plus. Espérons donc que les éditeurs et auteurs
comprendront
bientôt la duperie d’une telle dépense, et que, p
t de volumes et en condamnant à l’oubli tous les autres. La critique,
comprise
comme une lutte de comptes rendus et de volumes é
ne autre, on se trouve en présence d’un petit nombre de personnes qui
comprennent
au moins la responsabilité qu’elles encourent en
’hui avec respect, et devant toute tentative nouvelle, même s’ils n’y
comprennent
rien, ils sont saisis du scrupule très honorable
synthèse se rejoignirent tout naturellement en elles. L’homme né pour
comprendre
les rapports des idées peut rester un simple lett
iste est le type même de l’homme de pensée comme la modernité peut le
comprendre
, c’est-à-dire celui qui porte en soi-même une syn
création inégale et douloureuse. Des esprits comme celui de M. Faguet
comprennent
cette haute mission. Ils comprennent cette crise
esprits comme celui de M. Faguet comprennent cette haute mission. Ils
comprennent
cette crise de la critique. Ils tentent de mainte
croître. Ce procédé prend l’ombre pour la réalité. Il faut, pour bien
comprendre
ce qu’est le progrès, rechercher, indépendamment
u moins), était beaucoup moins hétérogène que la période actuelle qui
comprend
en outre des reptiles, oiseaux et mammifères de g
e de l’homogène à l’hétérogène. En littérature, les œuvres primitives
comprennent
tout ; l’Écriture contient la théologie, la cosmo
naturelles, par l’action prépondérante des grands hommes ; au lieu de
comprendre
que le grand homme ne peut que troubler, retarder
polype commun ; c’est un progrès. De même une société moins grossière
comprend
des guerriers et un conseil de chefs investis de
purement qualitative ; devient-elle imparfaitement quantitative, elle
comprend
la déduction et l’induction ; est-elle parfaiteme
de cas complètement semblables134. Il nous est maintenant possible de
comprendre
comment s’opère le passage de la connaissance qua
formes les plus épurées du monothéisme. Mais ce qu’il importe de bien
comprendre
, c’est que l’idée d’évolution, soit qu’elle expli
t est tissée toute pensée, il ne peut aller plus loin, car il ne peut
comprendre
le moins du monde la sensation, il ne peut même c
re de mots ; les adversaires étant également absurdes, chacun croyant
comprendre
ce qu’aucun homme ne peut comprendre. Dans toutes
alement absurdes, chacun croyant comprendre ce qu’aucun homme ne peut
comprendre
. Dans toutes les directions, ses recherches arriv
diffère assez peu de celle que M. Spencer a donnée et dont la preuve,
comprise
cependant en partie dans les Principes de Psychol
point de vue même du sens commun, l’opinion que nous adoptons semble
comprendre
une partie de la vérité. Un roman, pour prendre u
i dire, et produire la peine ou la joie proprement dites, quand elles
comprennent
le moi comme sujet souffrant et joyeux. Si on adm
erniers mobiles de toute l’activité animale, humaine et sociale, nous
comprenons
maintenant pourquoi les suprêmes émotions esthéti
comme nous l’avons dit au commencement de ce chapitre ; ces émotions
comprennent
toutes les souffrances harcelantes de l’existence
r la religion, la morale et la science. Ces considérations aideront à
comprendre
la nature exacte des divers moyens d’expression a
aïques en ce qu’elles sont analytiques, c’est-à-dire données plutôt à
comprendre
et à concevoir qu’à ressentir. Enfin on peut imag
ellectuel, donne du plaisir. Les émotions esthétiques sont en général
comprises
entre ces limites, avec une tendance cependant à
elle œuvre a produit tel ou tel effet. La définition de l’œuvre d’art
comprend
au même titre le roman feuilleton et le roman d’a
presque toutes les œuvres, disposés tout au moins à s’assouplir à les
comprendre
, et partant du principe que toute œuvre qui émeut
ne personne du commun, ce n’est pas que celle-ci sente et puisse même
comprendre
l’art et l’audace que le poète a mis à dresser ce
n premier volume intitulé : Poètes modernes de l’Angleterre. Ce livre
comprend
des études sur W. Savage Landor, Percy Bysshe She
bole de la race anglo-saxonne. Et tandis que la foule s’étonne, et ne
comprend
point le mystère, la nouvelle mère, radieuse, cou
e suis le fils irrésistible de la Nature et de la Force ». Le Tsar le
comprend
, il lui confie son armée. En quelques mois, après
« licence », c’est folie ! Qu’il crée de la Beauté ! Qu’il nous fasse
comprendre
le Mystère : c’est tout ce que nous pouvons exige
inspiré, il domine les hommes de toute sa hauteur. Et si l’on veut le
comprendre
, qu’on monte à lui ! — Un des esprits les plus in
orter seulement sur des détails, non sur l’essentiel. Autrement on ne
comprendrait
pas pourquoi ils demandent la fixité des règles.
nt ou mécontent, mais comment imposerai-je mes goûts à l’artiste ? Je
comprends
mal les réglementations autoritaires, et je ne fa
spère cependant que ceux qui m’ont suivi dans ma démonstration auront
compris
qu’une telle définition non seulement n’est pas n
petit jeu de société, il faut que nous fassions un grand effort pour
comprendre
les lois vraies de la création poétique et pour n
pour comprendre les lois vraies de la création poétique et pour nous
comprendre
nous-mêmes. Des œuvres considérables de critique
ète aujourd’hui ne peut plus être un ignorant ou un illuminé. Plus il
comprendra
profondément le travail de la conscience et de l’
ère, mais le mystère lui-même. Décrire le phénomène est bien, mais le
comprendre
serait mieux. Or, aussitôt qu’on veut approfondir
sée et concentrée, qui s’enrichit pendant les siècles du Réel qu’elle
comprend
, qu’elle embrasse et qu’elle s’assimile, cette mo
constituent. Et le rythme explique encore pourquoi le poème peut être
compris
de nous : C’est que notre âme à nous aussi est un
alité rythmique. Mais, dira-t-on, s’il en est ainsi, pourquoi tous ne
comprennent
-ils pas le poète ? L’objection s’écroule et confi
thlète soulève sans effort, de même les âmes rudimentaires ne peuvent
comprendre
les pensées et les sentiments d’hommes de génie.
Ce qui peut s’énoncer encore par cette formule : pour que les âmes se
comprennent
, il faut que leur rythme concorde, et l’harmonie
ant que le poète garde en lui son poème, il est sujet et objet, il se
comprend
sans doute tout entier ; en tout cas, il est seul
ire, il écrit son poème, il introduit un fait nouveau. S’il veut être
compris
par autrui, il est obligé de se servir de modes d
ire. Elle devient au contraire capitale dès l’instant où il veut être
compris
, où il veut émouvoir les autres âmes. C’est pourq
angue a une tradition ; pour agir fortement sur cette langue, il faut
comprendre
la tradition à laquelle elle obéit. La poésie fra
lui rendre de la couleur et de la vigueur, remontons à ses origines.
Comprenons
ses lois profondes et agissons d’après ces lois.
ont précédés, nous croyons discerner clairement pourquoi elles ne se
comprenaient
pas. Chacune d’elles voyait un aspect différent d
là un mode d’expression souple et complexe qui, lorsqu’il sera mieux
compris
, nous réservera sans doute des surprises. La plup
n intelligence pénétrante de voyant douloureux, l’avait admirablement
compris
, lui qui composa ses exquis Petits Poèmes en pros
Et cette méthode qui consiste non à opposer systématiquement, mais à
comprendre
, semble devoir être de plus en plus celle de l’av
ets qu’un homme d’imagination et de science pût traiter, s’il l’avait
compris
. Il ne s’agit pas toujours d’être actuel. Esprits
eulement sur le xe siècle, mais sur l’ensemble du Moyen Âge qu’il ne
comprend
pas ? Et comment le comprendrait-il ? A-t-il pour
ais sur l’ensemble du Moyen Âge qu’il ne comprend pas ? Et comment le
comprendrait
-il ? A-t-il pour cela les facultés qui dominent l
et leurs préjugés ? Est-il assez historien ou assez poète ? Car, pour
comprendre
le Moyen Âge, cette gestation laborieuse et profo
es, ces enfants, comme disent les philosophes, l’ont infiniment mieux
compris
que les historiens. Ni Hallam, ni Thierry (nous p
sa sagacité, sa faculté de sentir tristement adéquate à sa faculté de
comprendre
. Voilà comment son histoire, vraie, si l’on veut,
ent aux journaux, déclarent être français, nomment la Patrie : ils ne
comprennent
plus Wagner, passé Lohengrin… Cependant, ils pers
é, — aucun maître ne devant être copié, — le wagnériste est celui qui
comprend
Wagner, non celui qui l’imite. Beckmesser est sav
istiques et sensuelles telle que la salacité plastique de la Grèce la
comprit
; c’est l’incarnation de l’Esprit du Mal, l’effig
mais il suffit de se rappeler le tempérament spécial du Maître, pour
comprendre
que toutes trois sont le développement logique de
ctuelles. Il va, ensuite, élargissant son idéal de l’œuvre d’art : il
comprend
la nécessité d’une fusion entre ces trois formes
ui réfléchi sur l’œuvre d’art, ne peuvent guère, même en son théâtre,
comprendre
pleinement son œuvre. Il a régénéré l’art, puis l
action, représentée sur la scène, est le plus clair, le plus facile à
comprendre
de tous les poèmes. Ouvre donc largement les issu
née comme une partie de l’art complet, non comme un tout séparé. Elle
comprendra
donc une école de drame et une école de musique i
, attirer la pensée de Wagner à se demander quel public entendrait et
comprendrait
son œuvre exécutée pleinement. Mais déjà en ses p
nscience du peuple, elle se fondera par l’art allemand, que le peuple
comprendra
. Après cet ouvrage sur la politique, l’écrit sur
Beethoven, aujourd’hui mystérieuses aux cœurs endurcis, seront enfin
comprises
, manifestation suprême de la Pensée religieuse ch
pas reproduire les choses, mais donner l’illusion. » J’avoue ne point
comprendre
, et que les exemples cités par M. Saint-Saëns m’é
maîtres classiques, et parfaites. Mais il suffit lire son œuvre pour
comprendre
que, chez lui, comme chez Beethoven, l’imitation
matériels, descriptifs, Wagner a coupé la musique lyrique, pour faire
comprendre
que l’idée reparaît, coupe l’émotion. Richard Wag
re, mais nullement essentiel à la musique, de la description. Nous le
comprenons
comme lui. Le drame a besoin de montrer des faits
’on discutait sans le connaître et que désormais tout le monde pourra
comprendre
, avec un peu d’étude et de bonne foi. Cet art c
(20 mars) : X…. Appréciation, souvent judicieuse, d’un amateur, qui a
compris
quelques-unes des beautés du drame. Le Français
gnérien, la partie symphonique des œuvres du grand pontife », ne peut
comprendre
que Richard Wagner n’ait point voulu écrire des c
idéal, intellectuellement, et pratiquement. Intellectuellement, il
comprendra
, en l’œuvre d’art, l’œuvre religieuse symbolisée.
ons personnelles. Ce qui manque le plus à Wagner, ce n’est pas d’être
compris
, c’est d’être connu. Non seulement il n’y a pas a
der à Meyerbeer dont l’étoile pâlit sur toutes les scènes du monde, y
compris
celle de l’Opéra de Paris ? Edmond Evenepoelaw. S
rale du progrès}, Petit-Poucet sans frères au pied de l’arbre. Hilde
comprend
quand il s’identifie a la région supérieure, et n
n et un Homme supplicié, marche dernière de Mathô. Peut-être la foule
comprend
-elle mieux ces corps que l’Idée. Ce n’est pourtan
ù nous inscrirons nos émotions. L’écrivain est beaucoup plus fort qui
comprend
l’impossibilité d’écrire, que celui qui peut tout
répondre qu’il vaut mieux vivre (ce qui serait peut-être admirable si
compris
, mais tel quel, sans plus de conscience, gratté d
pter à la foule ou la foule au théâtre. Laquelle, antiquement, n’a pu
comprendre
ou faire semblant de comprendre les tragiques et
héâtre. Laquelle, antiquement, n’a pu comprendre ou faire semblant de
comprendre
les tragiques et comiques que parce, que leurs fa
ant pas encore acquise au théâtre de violemment expulser celui qui ne
comprend
pas, et d’évacuer la salle à chaque entr’acte ava
muet par conséquent. Et le premier jour ceux-là viennent, qui savent
comprendre
. Il y a deux choses qu’il siérait. — si l’on voul
are, gagea que l’avare serait trompé et la cassette prise) et dont il
comprenne
tout avec cette impression : « Suis-je spirituel
teurs de M. Donnay, le repos de ne pas voir sur la scène ce qu’ils ne
comprennent
pas, le plaisir actif de créer aussi un peu à mes
éligente la nature, lui en présentant la caricature par celui qui ne
comprend
pas. Zeuxis a trompé des bêtes brutes, dit-on, et
eables, en comparaison des idiosyncrasies et aptitudes à différemment
comprendre
, qu’il est impossible d’atténuer — qui d’ailleurs
rature d’abord pas trop abstraite (le Roi Lear, par exemple ; nous ne
comprenons
pas cette idée d’un théâtre du peuple), en des ca
vait le rôle et voulait le répéter en tragique. Et surtout on n’a pas
compris
— ce qui était pourtant assez clair et rappelé pe
lame avec un dédain simulé : « Dans tout cela, pas un mot d’esprit »,
comprend
bien moins encore une phrase profonde. Nous le sa
e quelque chose, il faut préalablement le lui expliquer. La foule ne
comprend
pas Peer Gynt, qui est une des pièces les plus cl
er Gynt, qui est une des pièces les plus claires qui soient ; elle ne
comprend
pas davantage la prose de Baudelaire, la précise
nt la foule dans Ubu Roi, elle s’est fâchée parce qu’elle a trop bien
compris
, quoi qu’elle en dise. La lutte contre le Grand T
des sens. Et Don Juan, qui est limité à un certain amour, d’abord ne
comprend
pas cet amour supra-sensuel, ensuite voit la forc
oupures, et c’est sans doute pour cette raison que le public allemand
comprend
si peu les œuvres de Wagner. MM. Dupont et Lapiss
nous en général tiennent une très considérable place, a été entendu,
compris
, applaudi ! C’est qu’il y a dans La Walküre une r
ns que le chœur des Walkyries a été superbe. La décoction riche, bien
comprise
, mérite d’être spécialement mentionnée ; de plus,
de Wagner que chez ses ennemis, il n’y a eu aucun effort sérieux pour
comprendre
son œuvre et le but qu’il poursuivait. Il est, ce
œuvre de Wagner a triomphé, il serait peut-être temps d’essayer de la
comprendre
. Par le plus grand des bonheurs, le public semble
ême temps, tout cela provient de la même inspiration, et l’on ne peut
comprendre
les uns sans connaître les autres. Quelques rares
heure son mot : « Vous avez un art ! » s’il les a jugés incapables de
comprendre
sa pensée, il n’en est pas moins vrai que ce cri
de soi, on s’aperçoit cependant que Wagner n’est pas parvenu à faire
comprendre
son œuvre par sa seule manifestation, et que cett
ifestation, et que cette œuvre d’art de l’avenir, ne pourra bien être
comprise
que par les auditeurs de l’avenir, dont la percep
rs sera atteint le but que Wagner disait à Berlioz, lequel n’y a rien
compris
: « Mon but était de montrer la possibilité de pr
rs que pour plaire au public, n’ayant ni le courage, ni la sagesse de
comprendre
que le légitime objet de la préoccupation incessa
oésie en est assez expressive, assez vivante, pour être immédiatement
comprise
, et personne n’y demeurera indifférent. Wagner lu
e des codes de l’opéra italien, et c’est plutôt en ce sens qu’il faut
comprendre
ces mots. L’article propose une interprétation pl
de détails actuellement non apparents aux sens. Ceci peut nous faire
comprendre
quel sens exact on doit donner au mot fait. Ordin
c’est la somme des actions des objets sur la conscience. Cette somme
comprend
deux éléments : les matériaux que les sens apport
nce est une fiction, c’est simplement un δστερον προτέρον. Pour mieux
comprendre
la pensée de l’auteur, voyons en détail comment i
deux fonctions distinctes, ayant deux organes distincts. La sensation
comprend
tout ce qui appartient aux organes des sens, et,
e qu’elles sont par rapport à nous. III « Quoique le moyen âge
comprenne
près de mille ans, il nous faut, comme le dit Hég
rt de notre sujet, pour montrer seulement comment M. Lewes retrace et
comprend
les progrès de la psychologie. C’est Hobbes, dit-
porte loin. » Locke est le fondateur de la psychologie moderne : il a
compris
la nécessité d’une critique, d’une détermination
es, ni les attaques ; mais le plus souvent ses critiques ne l’ont pas
compris
. « Quand Berkeley niait l’existence de la matière
adversaires et a empêché le progrès de ses propres doctrines230. On a
compris
qu’il disait que le cerveau sécrète la pensée, co
vrai que par une ambiguïté déplorable de langage, il peut conduire à
comprendre
que la pensée est une sécrétion, tandis qu’en réa
lusieurs fois déclaré « s’en tenir aux phénomènes » et n’avoir jamais
compris
dans ses recherches rien qui tienne à l’essence d
rer comme gouverné par des lois organiques toutes particulières. Il a
compris
que la psychologie étant une branche de la biolog
maintenant plus directement le psychologue. 196. Ces protégomènes
comprennent
les questions suivantes : Qu’est-ce que la philos
l n’y a pas de science de l’infini, toute doctrine est impuissante, y
compris
la nôtre. Qu’avons-nous de mieux à faire qu’à lai
la philosophie et sur la supériorité des explications chrétiennes, je
comprendrais
que l’on insistât sur l’efficacité pratique du ch
e : il croit, et tout est dit. Le cœur a des raisons que la raison ne
comprend
pas. Que faut-il donc pour prouver le christianis
s soient, seront toujours trop faibles. Enfin le christianisme, ainsi
compris
, inspirera le respect à tous ses adversaires. Qui
s, précisément parce que cet esprit aime les situations tranchées, il
comprendra
que les philosophes n’acceptent pas aussi volonti
’opinions humaines, d’écoles philosophiques, de partis politiques, je
comprends
très-bien que l’on puisse prendre une moyenne ent
lles dans l’ombre parce que le temps n’est pas opportun, cela peut se
comprendre
, quand on a fait un choix, et que l’on sait à quo
missions singulières dans le credo dogmatique présenté par M. Guizot.
Comprend
-on par exemple que le dogme de la trinité n’y soi
té et sa justice sont mis à l’abri de toute objection ! En vérité, je
comprends
que l’on s’écrie avec saint Paul : « Le pot n’a p
pot n’a pas le droit de dire au potier, pourquoi m’as-tu fait ? » Je
comprends
le silence, l’humiliation de l’esprit et de l’âme
iliation de l’esprit et de l’âme devant des problèmes insondables. Je
comprends
l’impérieux besoin d’espérer et de croire dévoran
e explication, une fois admise, rend inutile toute autre hypothèse, y
compris
celle du péché originel. J’ajoute que l’analogie
réexistence des âmes, ou une sorte de panthéisme humanitaire, comment
comprendre
cette expression théologique que tous les hommes
a démêler et de la faire reconnaître dans l’amas de faits où elle est
comprise
. — Lorsqu’un instrument tranchant s’enfonce dans
des sens produit ce recul apparent. En attendant, il doit, pour bien
comprendre
la sensation, la séparer de cet accompagnement, l
ont les premiers genres touchent aux derniers de la précédente ; elle
comprend
les sensations qui ne nous renseignent point sur
en considère une, par exemple celle de l’odeur de rose, on la trouve
comprise
dans l’espèce des odeurs parfumées avec celle de
e plus ou moins forts. Il en est de même pour les groupes secondaires
compris
dans les groupes principaux ; toute sensation spé
t qui pourtant ne diffèrent que par le nombre des molécules d’oxygène
comprises
dans chacune de leurs parcelles. Le psychologue d
démêle les sensations élémentaires ; on reconnaît que chacune d’elles
comprend
un renflement et un abaissement, c’est-à-dire une
le donne en une seconde, lorsqu’elle est pourvue de toutes ses dents,
comprend
mille sons pareils, successifs et perceptibles à
la conscience. Mais, comme on vient de le voir, chacune de celles-ci
comprend
elle-même au moins deux sensations élémentaires s
en sorte que, dans un son aigu, la sensation élémentaire indistincte
comprend
, outre deux états extrêmes indistincts, une infin
sciences médicales, saint-simonisme : rien ne l’arrête ; dès qu’il a
compris
, il échappe. Les impuissances de l’auteur servent
Son esprit est plus compréhensif que toute doctrine : il ne veut que
comprendre
et expliquer ; et comprendre, pour lui, c’est aim
nsif que toute doctrine : il ne veut que comprendre et expliquer ; et
comprendre
, pour lui, c’est aimer ; expliquer, c’est justifi
est notre être sont aussi réglés que ceux du monde matériel où il est
compris
. » Voilà le principe, formulé dans la Préface de
de la précision de la vocation, et de l’intensité de la création. Je
comprends
bien pourquoi il y a eu une tragédie française :
n histoire, Taine a repris le sujet qui avait tenté Tocqueville faire
comprendre
, par la description de l’ancien régime, de la Rév
uis de l’Algérie et de l’Orient, cet esprit inquiet, intelligent, qui
comprit
, sentit, conçut plus qu’il ne sut exécuter, et qu
e l’histoire et il est philosophe, toutes les fois qu’il le faut pour
comprendre
. Il note très finement les caractères généraux qu
ses conceptions est une image que nul ne peut oublier dès qu’il en a
compris
le sens. Plus récemment, Lie était un intuitif ;
ndant nous raisonnons par intuition sur les polygones en général, qui
comprennent
le chilogone comme cas particulier. Vous savez ce
’on aura constaté que chacune d’elles est correcte, croira-t-on avoir
compris
le véritable sens de la démonstration ? L’aura-t-
-on avoir compris le véritable sens de la démonstration ? L’aura-t-on
compris
même quand, par un effort de mémoire, on sera dev
Si vous assistez à une partie d’échecs, il ne vous suffira pas, pour
comprendre
la partie, de savoir les règles de la marche des
it le lecteur d’un livre de Mathématiques, s’il n’était que logicien.
Comprendre
la partie, c’est tout autre chose ; c’est savoir
essant, c’est la forme qu’a prise cette silice, et nous ne pouvons la
comprendre
si nous ne connaissons pas l’éponge vivante qui l
inventeur ; elle est nécessaire également à celui qui veut réellement
comprendre
l’inventeur ; la logique peut-elle nous la donner
omparaison de nos sensations et de nos idées avec ce que nous pouvons
comprendre
des sensations et des idées d’autrui, on arrive à
ome physiologique et d’une vérité humaine si absolue, qu’elle eût été
comprise
par les plus anciens et les plus humbles peuples.
nts ou les plus habiles sermonaires. C’est à mesure qu’il a été moins
compris
que Molière, peu à peu, est devenu un moraliste.
On juge les écrivains d’après ce qu’ils ne sont pas, faute d’avoir su
comprendre
leur génie particulier et souvent faute de les av
lles occupent aujourd’hui, ou une position pire. La manière dont nous
comprenons
Bérénice affligerait Racine, et Molière soufflera
leur vieillesse se traîne triste et ridée parmi les hommes qui ne les
comprennent
plus, ni ne les aiment. Souhaiter l’immortalité,
que le succès lui a donné raison, et, toutes recherches dépistées, on
comprend
fort bien l’état qu’a osé décrire Barbey d’Aurevi
r la vie de Racine sans y mêler son nom. On recherche ses œuvres pour
comprendre
cette renommée d’un jour qui s’est prolongée dura
s et la Phèdre de Racine ne fut jouée que sept fois ; le public avait
compris
: il obéissait au succès, comme les chiens au sif
’ignorance ? Il faut avoir appris tant de choses pour la goûter et la
comprendre
, ! Ceux qui en pourraient jouir par état ont trop
el que la notion abstraite redescende vers les sens dès qu’elle a été
comprise
; si le mot Beauté ne vous donne pas une sensatio
dont on ne parle pas, parce qu’on ne les voit pas ou parce qu’on n’en
comprend
pas l’importance. Ainsi la physiologie a été long
qu’un pinson muet. Et si ces espèces jadis ont vécu sans voix, on ne
comprend
pas bien pourquoi elles auraient acquis un organe
ir ou le dédain, le dépit ou la promesse, autant de pages qu’un homme
comprend
dès qu’il a intérêt à les lire. A ces lueurs et à
mpté beaucoup d’hommes remarquables, et peu de grands hommes. Cela se
comprend
. Quand ils ont paru, le génie n’était plus religi
l créateur d’énergie, et quel génie psychologique ! Nul avant lui n’a
compris
, et nul peut-être depuis, que ce qui fait la faib
alors onze ans. Euclide allait lui tomber sous la main. Il lut et il
comprit
. C’est là le miracle ; mais il ne découvrit pas l
seraient également valables contre les autres sectes chrétiennes. Je
comprends
qu’on dise nettement comme Nietzsche : Le christi
cureur, un sergent d’armes ou un bourreau, non pas un prêtre. Il faut
comprendre
les matières dont on traite, être théologien, s’i
. Le cuistre, qui est un imbécile, est aussi un ignorant. Savoir sans
comprendre
, c’est ignorer. Il était si facile, à ce moment d
lent cela « le délit nécessaire ». C’est du jargon, mais leur idée se
comprend
. Ces mêmes hommes, les mêmes exactement, à la mêm
rale qui fait les bons esclaves, les bons citoyens. Aussi, comme l’on
comprend
bien l’émotion de Paul Bert48, interprète de la m
té vient de ce qu’on confond le mensonge avec la fiction, de ce qu’on
comprend
sous le nom de ce péché odieux toutes les apparen
e mendaciis et calumniis opprimendi sunt. » Voilà une haine que je ne
comprends
guère, à moins qu’on n’y mêle Calvin lui-même et
s gens aussi vains que M. Filon se permettent de l’écrire, croyant le
comprendre
; les néo-chrétiens en font usage avec l’aplomb d
ui, selon les précédentes formules, et selon une liberté différemment
comprise
d’aucuns firent des œuvres ; mais ces Aucuns là n
utre le bout, qu’ils n’auront jamais, du fil d’Ariane. Ils voudraient
comprendre
, ils cherchent, quand parlent les harpes, à agrip
el — et c’est le seul Art — est toujours à peu près incompréhensible.
Compris
, il cesse d’être de l’art pur pour devenir un mot
e ce qu’il peut y avoir d’éternel dans le personnel. Cette manière de
comprendre
l’Art exclut l’artiste médiocre qui ne détient, c
la conscience seule distingue ; il est inapte à ces opérations, il ne
comprend
et ne s’assimile que ce qui est adéquat à son sen
ronie de leurs yeux immuables se tourne vers le ciel… Celui qui ne
comprend
pas Elle dira, lisant ces vers tout remplis d’
ces vers tout remplis d’elle : Quelle est donc cette femme ? — Et ne
comprendra
pas. Du Sonnet d’ARVERS. De tous les plaisirs q
urer la Littérature, le plus délicat est certainement : « Ne pas être
compris
! » Cela vous remet à votre place, dans le bel is
s araignées qui — elles — sont sensibles à la musique. « Celui qui ne
comprend
pas » n’est sensible ni à la musique ni à la logi
ue ; il est sourd, mais non muet, car il va clamant partout : « Je ne
comprends
pas ! » Comme d’autres de leur talent ou de leurs
ibe, il fait le beau, et dès qu’on flatte sa vanité, qui est « Ne pas
comprendre
», un éventail de plumes de paon lui sort du derr
que plume, en guise d’œil, il y a un rond où est écrit : « Moi, je ne
comprend
pas ! » Cette faculté fait qu’on l’estime. Il est
roue révélatrice esquisse son orbe : « Voyez, celui-ci, non plus, ne
comprend
pas, — et pourtant, il n’en rougit pas, au contra
pour conduire des ombres à l’assaut de vaines entités. « Celui qui ne
comprend
pas » est, en effet, un homme pratique. Doué d’un
e qu’il veut, rien qu’à écrire — avec de fins sous-entendus : « Je ne
comprends
pas. » C’est un accapareur : la « grande Presse »
. Moi, je ne me plains pas ; je rencontre journellement « Ceux qui ne
comprennent
pas », et ils font ma joie. Je les aime : ils m’i
uis ni inspiré ni visionnaire, que cette figuration de « Celui qui ne
comprend
pas » m’a été suggérée par telle bévue dont je fu
muserez-vous jamais autant que moi devant la parade de « Celui qui ne
comprend
pas » ? Or, en de précédents articles, j’exposai
rait assimilée instantanément, tomba dans l’oreille de « Celui qui ne
comprend
pas », celui qui est sourd mais non muet. Il perç
on pareil aux bruissements des peupliers et, glorieux, cria : « Je ne
comprends
pas ! » Oserais-je dire que ces syllabes complais
— et que l’attitude, la démarche, le front et l’œil de « Celui qui ne
comprend
pas » suffisent à indiquer son essentielle non-in
t mettre de l’indulgence et surtout il faut savoir que « Celui qui ne
comprend
pas » a pour clients d’inepticules snobs, incapab
comme je l’ai déjà noté, son écriture est fructueuse. « Celui qui ne
comprend
pas » est-il méchant ou envieux ? Comme tous les
érature étant, comme les autres, infesté de parasites. « Celui qui ne
comprend
pas » est donc inoffensif. Même ses morsurettes p
si ensuite on écrase la bestiole, avec quelle pitié ! « Celui qui ne
comprend
pas » est donc surtout passif, et négatif ; il es
façonne, elle se modèle comme cire, sur le sujet qu’il faut « ne pas
comprendre
», et spécialement elle excelle en les questions
gardes » de la chanson : Ils nous parlent de la gloire, Nous qui n’y
comprenons
rien ; Mais s’ils nous parlaient de boire, Tous l
us parlaient de boire, Tous les gardes, ils le savent bien. « Ne pas
comprendre
» l’idée pure, et « ne pas comprendre » l’idée dé
, ils le savent bien. « Ne pas comprendre » l’idée pure, et « ne pas
comprendre
» l’idée désintéressée, invendable et immonayable
les une bouche souriante et satisfaite. Voilà pourquoi « celui qui ne
comprend
pas » engendre autour de lui — et jusqu’aux confi
eut procurer la littérature, plaisirs les plus délicats. « N’être pas
compris
», cela vous remet à votre place : réintégrer la
la clarté. — Le plus grand mérite d’un écrivain est de pouvoir être
compris
de tout le monde. — La simplicité… Voyez Bossuet
Elle ne sait pas, ou bien elle répète pieusement une leçon trop bien
comprise
. Quand aurons-nous des maîtres qui, ayant enseign
omme qui lui est échu par le sort. Il ne semble pas que l’on ait bien
compris
ce dessous du caractère féminin. La jeune fille r
gitive qu’aucun homme de civilisation latine n’a jamais pu ni voir ni
comprendre
. En réalité, les jeunes filles sont élevées en Fr
e faire régner l’idée de justice, qui n’est que l’idée de logique mal
comprise
. Vous savez qu’il y a une notion commune à beauco
êtement, nu et ennuyé, sur une table. C’est bien vraiment là que l’on
comprend
à quel point existe peu, en soi, la beauté indivi
ma justice, c’est ma force, et qui le prouvent. Ils le sont déjà. Je
comprends
bien que ceux qui sont les faibles veuillent deve
e les aristocrates militaires eurent reçu quelque culture, dès qu’ils
comprirent
le sens des prières chrétiennes, ils refusèrent d
bituée à les subir. La joie de se grandir par un acte difficile : qui
comprend
cela ? Enfin le bonheur moyen écarte tout ce qui
cartes, un peu de cette sentimentalité perverse sans laquelle nous ne
comprendrions
plus rien à notre art et à notre littérature. Le
it Baudelaire, « vue à une distance trop grande pour analyser et même
comprendre
le sujet, a déjà produit sur l’âme une impression
tés, et plus d’un enfant a goûté la première églogue avant de l’avoir
comprise
. Huit ou dix contresens, disait Jules Lemaître, c
bien que nul ne dira jamais. On ne définit pas la poésie pure. Faire
comprendre
pourquoi elle est indéfinissable, et que sa beaut
le juger, à l’exécuter, et, ma foi ! Le mieux du monde. Non qu’il ait
compris
, ce qu’à Dieu ne plaise ! Ni même qu’il ait confu
ce qu’à Dieu ne plaise ! Ni même qu’il ait confusément senti qu’il ne
comprenait
pas. Mais justement, il apporte, il déploie à ne
il ne comprenait pas. Mais justement, il apporte, il déploie à ne pas
comprendre
une justesse, une robustesse, une précision, une
t le sujet de nos éclaircissements. J’ai dit qu’il excellait à ne pas
comprendre
; je dois le prouver. Parce que je soutiens-et to
ble que nous appelons poétique, les esprits les moins éveillés auront
compris
d’abord qu’une telle force ne vibrait pas dans le
era plus avant là-dessus. Bref, elle fait son métier de raison : elle
comprend
. Voudriez-vous qu’elle se pâmât ? Ce n’est pas da
onc l’expérience nous montre que la première de ces phrases, une fois
comprise
, nous laisse dans notre état normal, au lieu que
nous laisse dans notre état normal, au lieu que la seconde, une fois
comprise
, elle aussi, et même, selon moi, avant qu’on l’ai
une fois comprise, elle aussi, et même, selon moi, avant qu’on l’ait
comprise
pleinement, fait passer en nous un certain frisso
demande, d’attribuer ce frisson à la joie que nous procure l’acte de
comprendre
? N’ai-je pas aussi bien compris la première que
a joie que nous procure l’acte de comprendre ? N’ai-je pas aussi bien
compris
la première que la seconde ? Que dis-je : ne l’ai
première que la seconde ? Que dis-je : ne l’ai-je pas beaucoup mieux
comprise
, ayant épuisé d’abord et assez vite le sens très
ne rira pas. Comment ferait-elle ? Par définition, elle est celle qui
comprend
, non celle qui rit. Intelligente-et juste ciel !
st ni amusant, ni émouvant, ni poétique. Il est ce que la raison peut
comprendre
, contrôler, construire, déclarer vrai ou faux dan
s ceux qui ne savaient pas d’avance ce que nous venons de dire, ne le
comprendront
jamais. non, pas d’autre originalité que d’ordre
e aux géorgiques. pourquoi Valéry ? Parce que sa préface m’avait fait
comprendre
que, s’il peut y avoir des poètes et des poèmes d
mal aigu de la précision, je tendais à l’extrême du désir insensé de
comprendre
. « mal » et folie : il le sait donc bien, mais il
t d’une claire expérience personnelle, que tous les porte-lyre, Fagus
compris
, ont faite avec lui. je trouve au coin d’un bois
nous avons dites, ils deviennent poésie. Est-il donc si difficile de
comprendre
qu’un poète pur, qui ne serait que poète, ne se r
s riches ; sens non formulé, non formulable, que seuls, je ne dis pas
comprennent
, mais saisissent, palpent, s’approprient soit le
ée, grammaticalement et sémantiquement. Mais quand donc mes critiques
comprendront
-ils que dans le moment de la transmission poétiqu
uter ici le témoignage des vrais maîtres. N’étant pas sûr de les bien
comprendre
, je ne saurais les discuter. Je sais, du reste, q
M. Bergson, vise à nous faire éprouver ce qu’il ne saurait nous faire
comprendre
. car l’objet de l’art est d’endormir les puissanc
à la fois dans Rémy de Gourmont et dans Barrès : on peut ne pas bien
comprendre
et cependant être ému. de Rémy de Gourmont encore
s les relations nouvelles suscitées par les images. Mais il faut bien
comprendre
que la vraie poésie n’est jamais l’amalgame d’un
ut Carlyle. Carlyle est particulièrement des nôtres parce que nul ne
comprit
comme lui, pour que passe le « courant souterrain
ille poétique entendra les musiques du silence. Oh ! N’essayez pas de
comprendre
. C’est notre mystère. S’il ne vous paraissait pas
de la seule pensée, et moins elle enfermera de mystère et plus on la
comprendra
. En revanche, on en épuisera d’autant plus vite l
a vanité de mettre en vers ce que la prose peut aussi bien expliquer,
comprenez
-le bien, dit M. Bradley, ce qui lui fait horreur,
it dans l’expression l’un par l’autre du temps et de l’espace ; il se
comprend
d’autant mieux qu’on ne le précise point, qu’on p
ent dite, qu’il associe l’entendement à l’imagination. Mais pour bien
comprendre
la qualité et le rôle différents qu’il leur attri
u côté de l’opposition ; aucun parti arrivé au pouvoir n’ayant jamais
compris
que le salut de la royauté et de nos libertés éta
nous a offert les malheurs d’une minorité que l’instinct du peuple ne
comprendrait
pas ; et c’est sérieusement que des hommes d’honn
passé et l’avenir pouvait suffire à toutes les exigences ! Cela me se
comprend
pas. La royauté s’est perdue dans les esprits par
es palais, des salons et des Chambres regardait l’action sans pouvoir
comprendre
comment la force qu’on avait toujours appelée bru
nt tendre à s’accroître, dès que des habitudes nouvelles lui ont fait
comprendre
qu’il n’y a rien de plus moral que le travail pou
te. » Après ce qui s’est passé dans les rues, l’auteur de la brochure
comprend
et indique très-bien ce qui doit se passer dans l
de poésie, dont ce poème de Job déborde, pour qui sait lire, sentir,
comprendre
et prier sur cette terre. Nous ne craignons pas d
losophique, théologique et poétique que nos premiers ancêtres avaient
comprise
et parlée avant le cataclysme physique et moral d
s paroles. Sa philosophie est irréprochable, mais elle est froide. On
comprend
qu’il ne dit pas le dernier mot, qu’il dissimule
des ténèbres, « En sorte que tu puisses les conduire à leur terme et
comprendre
la voix de leur demeure ? « Sans doute tu savais
iscours insensés ? Oui, j’ai voulu expliquer des merveilles que je ne
comprenais
pas, des prodiges qui surpassaient mon intelligen
Inspirez-moi, et j’oserai parler ! Laissez-moi vous interroger, et je
comprendrai
la sagesse ! « Mes oreilles avaient entendu parle
à Job cette foudroyante interpellation, ce défi divin d’égaler ou de
comprendre
ses œuvres, interpellation qui est l’hymne le plu
elles, l’intelligence, le sentiment et la conscience. L’intelligence
comprend
et pense. Le sentiment aime ou abhorre. La consci
tion, mais elle est impassible. Si l’âme n’avait que cette faculté de
comprendre
, elle ne souffrirait pas, elle ne s’agiterait pas
e se tourmenterait pas dans sa prison mortelle ; elle verrait et elle
comprendrait
; ou, si elle avait une douleur, elle n’en aurait
uleur, elle n’en aurait du moins qu’une, la douleur de ne pas pouvoir
comprendre
Dieu ; car, excepté Dieu, elle se sent capable de
capable de tout scruter, de tout pénétrer, de tout embrasser, de tout
comprendre
dans l’ordre matériel et dans l’ordre moral des c
endre dans l’ordre matériel et dans l’ordre moral des créations. Mais
comprendre
Dieu, elle ne le peut pas ; Dieu, c’est-à-dire un
feu qui la produit. Dieu a donc associé, dans l’âme, à la faculté de
comprendre
, la faculté de sentir, ou le sentiment. C’est par
plus dans ce calice humain déjà si amer et si salé de nos larmes. Je
comprends
, comme Job, que l’âme, irritée et indignée au com
; ce mystère, c’est la sagesse et la bonté de Dieu. L’adorer sans le
comprendre
encore, c’est notre devoir et notre vertu ! Si no
le comprendre encore, c’est notre devoir et notre vertu ! Si nous le
comprenions
, il n’y aurait plus de vertu, il y aurait évidenc
rions donc pas de l’ouvrage de peur d’offenser l’ouvrier ; le rire ne
comprend
pas la nature, il la dégrade ; le rire ne console
l’exalter et de la flétrir, il s’est réservé de la connaître et de la
comprendre
. Ce fut cette impartialité d’observation qui éton
la fois dans le livre de la Démocratie en Amérique. On admirait sans
comprendre
. Tocqueville se plaignait agréablement à M. Mill
cratie comme un fait, et cela d’ailleurs par une raison très-facile à
comprendre
, c’est que ce fait n’existait pas encore, au moin
s elle n’est pas trop à sa place. Il ne suffit pas de croire, il faut
comprendre
. L’action peut avoir besoin d’aveuglement et d’il
eville ne s’est pas contenté de croire à la démocratie, il a voulu la
comprendre
, et par là il s’est assuré un nom durable dans la
ue digne d’être étudiée. » Cette servitude d’un nouveau genre peut se
comprendre
aisément. Lorsque tous les pouvoirs intermédiaire
n puisse l’attaquer, et si l’on triomphe, tout le reste s’écroule. On
comprend
l’extrême facilité des révolutions dans ces sorte
mme on s’empare d’un pays en prenant sa capitale. Au reste, pour bien
comprendre
la pensée de Tocqueville et ne pas confondre des
opre. » Un de ses amis les plus intimes, M. de Corcelles, avait paru
comprendre
son livre dans un sens trop défavorable à la démo
e membre de la « Confrérie », Collinson, se réfugier au cloître, pour
comprendre
qu’elles pouvaient être les espérances et la vie
res intransigeantes ; préraphaélites et autres, et qui, évidemment ne
comprennent
rien à la pensée de leur maître, le grand loyal,
sans doute la racine de l’erreur colossale qu’a commise celui-ci. On
comprend
que cette étrange déviation mentale ait influé su
s’il était observé, empoisonnerait l’art entier. Ruskin ne semble pas
comprendre
qu’une forme réellement belle renferme, du fait m
et lourde peinture l’avait bouleversée de fond en comble. Il n’a pas
compris
dès lors qu’un art nouveau était en train de naît
ou de loin, se rattachent au mouvement de l’art mystique anglais. Je
comprends
que l’audace juvénile de ces artistes, la nouveau
« vaincus » ? Et lorsqu’il s’agit d’un homme tel que Carlyle, qui ne
comprend
l’étrange anomalie d’un tel procédé ? Le même my
ou indignes de les créer. Voilà de quelle façon quelques artistes ont
compris
l’art moderne. Je nommerai tout d’abord le groupe
de cet art nouveau. Ce qu’ils ont été pour l’art contemporain, on le
comprendra
plus tard, lorsque la mort de ces artistes amèner
s siècles après la mort d’un auteur pour éclaircir son texte et faire
comprendre
à quoi il songeait quand il écrivait, chaque géné
ns de Voltaire et des hommes de la génération suivante, jusqu’à, et y
compris
, Chateaubriand ? L’opinion universelle était que
er qui, cette fois, est en jeu. À certaines paroles, la pauvre Amy le
comprend
, et la mort dans l’âme, pour sauver son mari, fin
andonnera celui qui la méprise, Et ce cœur orgueilleux qui ne l’a pas
comprise
Aimera l’autre en vain. — N’est-ce pas Lélia ? E
mais l’aïeule de tout le théâtre réaliste du xixe siècle. Désormais,
compris
du premier coup, du reste, et encouragé par un so
pour le théâtre, et les spectateurs des premières représentations n’y
comprirent
rien. Ceux d’à présent, en revanche, font semblan
n’y comprirent rien. Ceux d’à présent, en revanche, font semblant de
comprendre
. Mais c’est un honneur pour un homme de théâtre,
ngénieuse et forte de ses machines dramatiques, de son don pour faire
comprendre
par deux ou trois traits toute une situation, de
délité et d’exactitude, et puis il tirait sa révérence. Tout le monde
comprenait
. Théo avait le mécontentement royal. Tout compte
e succès très populaire et très légitime de François le Champi ; il a
compris
que le roman le plus heureusement conçu ne contie
esprits scrupuleux, empreint d’un cynisme grossier. Pour ma part, je
comprends
très bien que l’auteur n’ait pas hésité à lui don
t souvent George Sand des analyses psychologiques. Elle n’a pas assez
compris
, pour Claudie, que tout le fond du drame était l’
lorence lui expose sa petite affaire. Jobelin, l’amour-propre aidant,
comprend
immédiatement que Florence a trompé Casimir, mais
ur s’établir en femme rangée et qui a un appartement à elle. Glatigny
comprend
, au moins à moitié, et devient furieusement sombr
e grande humiliation, il lui envoie la rose d’autrefois. La princesse
comprend
et, triste, mais très loyale, elle lui fait passe
charmant ; on se quitte, c’est drôle. Et je riais. Mais quand je la
compris
partie Pour de bon, hagard, flou, toute force abr
te, dans la carrière dramatique de M. Tarride. Lisane a été très bien
comprise
par Mme Brésil, qui a mis dans ce personnage beau
mé dans le texte ; mais qu’il me semble que les spectateurs devraient
comprendre
. Thérèse a son imperfection comme toute créature
st elle-même qu’elle frappe, et en plein cœur. C’est ainsi qu’il faut
comprendre
Thérèse et, après tout, ce n’est pas si difficile
n et sa pitié pour sa pauvre petite femme. Oui bien, et le spectateur
comprendra
parfaitement le conflit de devoirs ; mais il ne s
ement le conflit de devoirs ; mais il ne sera pas très facile de bien
comprendre
le fait matériel. S’y connaît-il en sérums ? Sait
Dès lors froideur, se répandant jusque sur les parties que le public
comprenait
très bien en elles-mêmes, mais qui ne lui paraiss
une. Elles ne sont contentes ni l’une ni l’autre. Pour Néère, cela se
comprend
assez bien ; mais pour Daméta, c’est moins limpid
liqueur magique. Télamon est furieux, et vous n’aurez aucune peine à
comprendre
pourquoi. En voilà une idée de se vieillir de tre
emandez pas ce que Barrai vient solliciter de Perraud. Je n’y ai rien
compris
. Le fils Perraud a vingt-six ans, au moins, d’apr
bilisation et les premières hostilités possibles, où nous n’avons pas
compris
grand’chose, et que, du reste, je soupçonne les a
re, pâlit, blêmit, frémit, tremble, est au supplice ! Comme il a bien
compris
, à un autre point de vue, que, le quatrième acte
’il la tue plutôt que le lieutenant, et même tout au contraire. On ne
comprend
pas bien ; peu s’en faut qu’on ne comprenne pas d
e tout au contraire. On ne comprend pas bien ; peu s’en faut qu’on ne
comprenne
pas du tout. On a cette sensation vague qu’il la
ter à la tête de son atelier de jeunes filles, et elle a parfaitement
compris
. Elle a fait promettre à son mari au moins de ne
iste un peu sauvage, mais très idéaliste, comme est le jeune Jacques,
comprend
la vie. Et voici — il faudrait, selon moi, que ce
able de famille et la tête entre ses bras. Et maintenant Mme Marèze a
compris
… Non pas encore. Je vous ai dit qu’elle est bête
ette ; ensuite lui donne un peu de son cœur ; et enfin elle finit par
comprendre
. Elle y a mis du temps, mais interrogez les physi
es, on calcule que l’éternité n’y suffirait pas. Mme Marèze finit par
comprendre
que c’est précisément le mariage de Juliette et d
e, parce que, dès lors, la jalousie de Mme Marèze ne laisse pas de se
comprendre
, puisque les femmes sont jalouses de leurs maris
orriblement difficile à établir, est conduite admirablement. Isabelle
comprend
, s’indigne et pleure avec sa mère, promet qu’elle
ndemain, elle aurait eu le temps de réfléchir, de se ressaisir, de se
comprendre
vaincue. Mais là, maintenant, quand elle vient, c
u que sur quatre phrases il y en avait plus de trois que le public ne
comprenait
absolument point. Ces avertissements-là, on est b
ait absolument point. Ces avertissements-là, on est bien forcé de les
comprendre
. M. Hervieu, depuis ce temps, écrit même ses roma
? — Non, mais je ne veux pas régner. C’est un principe chez moi. — Je
comprends
, et ce n’est pas difficile à comprendre. Il y a u
est un principe chez moi. — Je comprends, et ce n’est pas difficile à
comprendre
. Il y a une femme. — Quand cela serait ? — Si cel
l y a une femme. — Quand cela serait ? — Si cela était, ta lâcheté se
comprendrait
; mais tu serais plus misérablement lâche que je
ue c’est que cette femme-là. Je ne le sais guère et cela m’empêche de
comprendre
bien cette scène-ci, ou plutôt la portée et l’imp
hailles. Le médecin est devenu amoureux fou de la duchesse, ce qui se
comprend
très bien. La duchesse est devenue amoureuse arde
bien. La duchesse est devenue amoureuse ardente du médecin… Ici vous
comprenez
moins. Nous aussi. Il y a mainte raison pour que
’aime profondément… » Ici, nous dressons l’oreille, et déjà vous avez
compris
… « Je la soutiens. Je l’arrête sur le seuil du cr
fusant encore, avec quelque chose comme un frisson intérieur. Nous la
comprenons
très bien. Elle est sous deux dominations : celle
fort, trop violemment, pour que ce soit tout à fait sincère, et nous
comprenons
bien qu’il y a du vrai, tout au fond, dans l’idée
ièce serait finie si l’abbé ne se donnait cette satisfaction, dont on
comprend
bien le secret motif, mais qui n’est pas d’une âm
la « suite enragée » de la race juive. C’est excellent. Tout le monde
comprend
, tout le monde est en présence d’une chose qu’il
tatée par lui-même et tout le monde applaudit. Mais si tout le public
comprend
cette fin d’acte, il y a des choses que déjà il c
ut le public comprend cette fin d’acte, il y a des choses que déjà il
comprend
moins. Cette Judith, elle commence à se révéler,
dit, dans un mot d’esprit qui n’est ni très fort ni très neuf. Je ne
comprends
pas grand’chose à cette Judith. Je ne la comprend
i très neuf. Je ne comprends pas grand’chose à cette Judith. Je ne la
comprendrais
que moyennant un coup de cœur et de sens… Mais je
r et de sens… Mais je crois que je l’ai déjà dit. Et Aubier, que l’on
comprend
un peu mieux, car « c’est un faible », c’est un «
dith, quoique y résistant, par une petite fatalité ; Aubier, que l’on
comprend
un peu mieux, n’est pas excellemment intelligible
« petite fatalité » n’était pas inéluctable. Oui, vraiment, Aubier se
comprend
mieux que Judith, mais il ne se comprend pas très
le. Oui, vraiment, Aubier se comprend mieux que Judith, mais il ne se
comprend
pas très bien non plus. Ces objections ou ces dou
? Comment ne se trouve-t-il pas un juif pour dire, non pas : « Je ne
comprends
rien à votre patriotisme » ; mais au contraire :
s rien à votre patriotisme » ; mais au contraire : « Parbleu ! Si je
comprends
votre patriotisme ! Comment ne comprendrais-je qu
ntraire : « Parbleu ! Si je comprends votre patriotisme ! Comment ne
comprendrais
-je que vous aimiez votre race, moi qui n’aime que
parenthèses que, du reste, à la répétition générale on ne l’avait pas
compris
, son bon juif, à la scène 4 du III ; qu’on n’avai
, ces six pages n’étaient pas précisément nécessaires pour nous faire
comprendre
le personnage de ce médiocre qui a nom Aubier, ma
par mille trames » [c’est mal écrit, par extraordinaire, mais cela se
comprend
très bien], éperdue d’amour, de pitié, d’admirati
réside dans le parfait accord des sentiments et de la raison ! Je ne
comprenais
pas beaucoup Judith, et je ne comprends pas très
ents et de la raison ! Je ne comprenais pas beaucoup Judith, et je ne
comprends
pas très bien, maintenant, l’explication que M. D
cela » ! C’est précisément ce qui nous étonne et ce qui fait que nous
comprenons
mal le caractère de Judith et que nous la suivons
ru, somme toute, peu stable et peu équilibrée. Non, je n’arrive pas à
comprendre
la Judith de la pièce. Je dois ajouter, pour être
, qu’après l’explication qu’en donne M. Donnay dans sa préface, je la
comprends
moins. M. Donnay a mal défendu sa Judith, parce q
mense impression sur Cécile. Ceci est bon, ceci est juste, et nous le
comprenons
. Il est évident que c’est la première fois que Cé
lle. Très agréable Mme Caron dans un rôle de bonne femme naïve qui ne
comprend
rien à tout ce qui se passe autour d’elle. M. Guy
s le cynique ; c’est un sceptique mou et c’est un assez bon homme. On
comprend
au développement donné à l’analyse du caractère d
du ciel, unis l’un à l’autre… » Raidzell n’est pas un imbécile et il
comprend
: « J’y suis ! Vous voulez être Mme Raidzell. Vou
uy, faites grand, et je suis à vous. » Sur quoi nous nous disons : «
Compris
! c’est ce Serquy qui va trouver le dénouement in
i. Cette Mme Briant nous devient très inexplicable, au moins. Nous ne
comprenons
pas du tout pourquoi elle est si complètement dif
qui fait qu’il est l’un devrait faire aussi qu’il fût l’autre. On ne
comprend
pas bien. Tout irait bien mieux si, au lieu d’un
t une élégante divorcée, bien avenante et séduisante à souhait. On ne
comprenait
pas que qui que ce fût ait pu divorcer d’avec ell
en loup : C’est le plus certain de beaucoup ! Et c’est ce qu’Alceste
comprend
très bien lui-même ; car, ayant surpris l’aimable
é principal, futur associé… ? — Je dirais que c’est fou. — Je ne te
comprends
pas. Très bien, Chambry, très intelligent… — Il e
douceur et il cède au premier assaut. On nous l’a changé, et nous ne
comprenons
pas assez ce qui a pu le changer ainsi. De même s
! — et cela fait de l’impression sur lui. Il n’ose pas dire qu’il ne
comprend
pas bien et qu’il s’énerve un peu, et il s’en vou
peu extraordinaire, un peu fou, qui ne semble pas français, que l’on
comprendrait
mieux si les noms étaient de consonance étrangère
une cour passionnée et ardente et lyrique. Que voulez-vous ? Nous ne
comprenons
plus beaucoup. Qu’est-ce que c’est que cette peti
est en train d’aiguiller sur le second ! Ce n’est pas si difficile à
comprendre
. » Sans doute ; mais c’est brusque, saccadé, bou
ieu d’être consolée par la naissance de cet enfant ? Peut-être. Je ne
comprends
plus du tout. Laissons cette grossesse à laquelle
evolver dans le cœur bizarre et tumultueux qui est le sien. Le public
comprend
, mais n’est pas du tout satisfait. Cette pièce, d
le fond est très juste, n’est pas assez bien disposée pour être bien
comprise
, ni surtout pour qu’on éprouve de la pitié à l’ég
. Mais il est sec, il a la voix mordante, il n’est pas tendre ; on ne
comprend
pas qu’il soit éperdument aimé. Avec un autre act
soit éperdument aimé. Avec un autre acteur, l’affolement de Grâce se
comprendrait
peut-être mieux. M. Janvier a été admirable dans
s, mais que l’auteur a peut-être voulu qui fussent telles, pour faire
comprendre
l’immense trouble d’âme du pauvre Poliche. Au sec
voir aucun mérite, sans rien faire pour cela, et sans que l’on puisse
comprendre
comment il en est ainsi, est adoré de toutes les
de et colérique à la fois qui était d’une drôlerie irrésistible. Vous
comprenez
bien que si je m’amusais à ajouter que Mme Heller
mpant, au monologue du jeune prince. Cela est vraiment saisissant. On
comprend
que ce que dit le prince c’est une de ses pensées
Voilà le sentiment personnel satisfait. L’individu et la société bien
comprise
seront d’accord. Donc il faut réformer ou dissoud
ment n’aurais-je en rien les préjugés de mon temps ? Mais je tâche de
comprendre
leur nature. Et j’ai pu remarquer combien les idé
ffranchie de l’instinct, assez différenciée pour que ceux-là puissent
comprendre
, encore qu’un peu confusément, ce qu’ils sont et
toritaire a une mésaventure avec la police où la police a tort. Et il
comprend
fort bien qu’un bon citoyen doit du respect à la
r pouvoir en vue de satisfactions futures et infinies. L’égoïsme bien
compris
le lui ordonne absolument. Sans doute, ni la reli
a reprendre la tâche impossible. L’affirmation du devoir, tel que l’a
compris
une philosophie qui demeure forte, c’est une tent
é c’est l’influence exercée sur les autres. Assurément l’intérêt bien
compris
, l’affection et d’autres sentiments ont contribué
i parlerait, ou à peu près ainsi, l’homme qui serait assez avisé pour
comprendre
ses impressions et sa pensée, et assez mal avisé
si libre, se garderait vraisemblablement d’une pareille sincérité. Il
comprendrait
bien que s’il ne doit rien aux autres, il ne leur
’esprit social, si aveugle et si maladroit qu’il lui arrive d’être, a
compris
le péril et le repousse, assez gauchement, avec l
int dire que l’esprit social ait tort. Pour le moment, je tâche de le
comprendre
. Sans doute son œuvre est relativement bonne — ma
minel pourra fort bien apprécier les raisons de la société. Mais s’il
comprend
ainsi les choses du point de vue social, il les s
Et la société pourrait aussi, sans renoncer à vivre et à se défendre,
comprendre
le cas de l’individu. § 14 Le devoir est
ntrer à l’esprit pour le lui faire volontairement accepter. Pour bien
comprendre
la vraie nature du devoir, il n’est que de se rap
des produits de l’instinct social, de l’âme sociale telle que je l’ai
comprise
ici. Mais l’instinct social, l’âme sociale, l’emp
ivre pour soi-même et doit être constamment surveillé et maintenu. On
comprend
les luttes continuelles qui s’engagent, les assoc
es que nos raffinés les aperçoivent à peine. Il y a eu un public pour
comprendre
ce qui fait la beauté des Propylées et la supério
ent ceci : PRIÈRE QUE JE FIS SUR L’ACROPOLE QUAND JE FUS ARRIVÉ À EN
COMPRENDRE
LA PARFAITE BEAUTÉ « Ô noblesse ! ô beauté simple
, parlant le grec des Syriens, vint ici, parcourut tes parvis sans te
comprendre
, lut tes inscriptions tout de travers et crut tro
’eux ouvrit un sage avis : « De son vivant, nous n’avons jamais pu le
comprendre
; il était plus facile de dessiner la vie de l’hi
l’endroit où étaient les plus grands chênes, le chariot s’arrêta. On
comprit
; on enterra le saint et on bâtit son église en c
tres oreilles n’entendent pas, L’essence de la critique est de savoir
comprendre
des états très différents de celui où nous vivons
réellement au romantisme, je ne dis pas au romantisme de la forme (je
compris
assez vite que le romantisme de la forme est une
eur a toujours raison, et, en tout cas, le bonhomme aurait eu peine à
comprendre
que c’était la France qui avait vaincu à Waterloo
es, quand elles sont organisées selon le type du clan primitif. On ne
comprendra
jamais ce qu’il y avait de bonté dans ces vieux C
e froissement ou l’admiration l’emportèrent. Peut-être finit-elle par
comprendre
la sagesse profonde de ce prêtre, qui sembla lui
ens du pays, leur avait dit quelques-unes de ses idées ; personne n’y
comprit
rien. Le mot système, qu’il prononça deux ou troi
n, sa mine souriante, paraissaient une vision d’un autre monde. On ne
comprenait
pas, mais on sentait en lui quelque chose de supé
humain, ils n’avaient plus de commerce possible avec les vivants. Je
compris
l’effet que fit Lakanal quand il revint d’Amériqu
de l’Académie des sciences morales et politiques comme un fantôme… Je
compris
Daunou et son obstination à voir dans M. Cousin,
e gâcher. Nous sommes des enfants ou des pédants auprès d’elle. Je ne
comprenais
que vaguement, déjà cependant j’entrevoyais que l
ien prise et bien pratiquée, dans un petit cercle de personnes qui se
comprennent
, est à elle-même sa propre récompense. Le commerc
te poésie, comme ils méprisent la vertu, parce que leur âme avilie ne
comprend
que le périssable, nous n’avons rien à leur dire.
culte de ta pensée et pour mieux adorer l’infini, que vous avez mieux
compris
la vie que ceux qui la prennent comme un étroit c
, avec ses rêves et ses fables, vaut mieux que l’homme positif qui ne
comprend
que le fini. La perfection, ce serait l’aspiratio
tiques, mais dans celui de la réalité. Jusqu’à ce qu’on soit arrivé à
comprendre
que l’idéal est près de chacun de nous, on n’empê
es belles âmes ; que leur importe ? Les âmes religieuses et pures les
comprennent
; et le philosophe les admire, comme toute manife
lies, j’aime ces moines de Ribéra et de Zurbarán, sans lesquels on ne
comprendrait
pas l’Inquisition. C’est la force morale de l’hom
oyen Âge, qui assurément entendait moins bien que nous la vie réelle,
comprenait
mieux à quelques égards la vie suprasensible. L’e
es qu’après avoir décrit, dans leur intégralité, les individus qu’ils
comprennent
, La vraie méthode expérimentale tend plutôt à sub
ses composés se composent entre eux. II M. Spencer a fort bien
compris
que la classification méthodique des types sociau
répond exactement à cette définition. C’est un agrégat social qui ne
comprend
et n’a jamais compris dans son sein aucun autre a
tte définition. C’est un agrégat social qui ne comprend et n’a jamais
compris
dans son sein aucun autre agrégat plus élémentair
ère à former des groupes intermédiaires entre le groupe total qui les
comprend
tous, et chacun d’eux. Ils sont simplement juxtap
nouvelle. On en connaît au moins un cas ; c’est l’Empire romain, qui
comprenait
dans son sein les peuples les plus divers de natu
alité, ou bien, au contraire, sont absorbées dans la masse totale. On
comprend
en effet que les phénomènes sociaux doivent varie
es. Enfin, c’est la nécessité d’être superficiel, pour être plus vite
compris
; car les conférenciers sont à l’heure, comme les
de l’attention qu’il faudrait pour le lire et de la réflexion pour le
comprendre
. De plus, l’homme du livre ne voit que son sujet
iples des premières sociétés de l’Église… » ce qui n’est pas facile à
comprendre
. Je comprends qu’on soit le disciple d’un homme,
ères sociétés de l’Église… » ce qui n’est pas facile à comprendre. Je
comprends
qu’on soit le disciple d’un homme, mais le discip
sur laquelle les Apôtres eux-mêmes ont exercé leur direction », je ne
comprends
plus du tout, ou plutôt je comprends que le prote
t exercé leur direction », je ne comprends plus du tout, ou plutôt je
comprends
que le protestant Gasparin n’est que le disciple
reurs les plus monstrueuses, — aucun de ces événements, qu’il fallait
comprendre
, n’a été jugé dans cette histoire au bout de la l
os décors et tout le drame. Le public qui, à l’Eden-Théâtre, semblait
comprendre
si intelligemment les développements émotionnels
; l’Allemagne n’est qu’une partie du monde germain ; le monde germain
comprend
tout ce qui en Europe a conservé pur le sang Arye
à il avait la force de rendre libre : celui qui dans le Christianisme
comprenait
bien la doctrine du Dieu Homme gagnait la liberté
dans le désir le plus angoissé du salut. Mais lorsque ce désir ne se
comprit
pas lui-même et rejeta le Sauveur loin de lui, l’
e et vérité, représenté dans Parsifal. Oui, l’œuvre entier de Wagner,
compris
comme un grand drame, démontre ce fait miraculeux
es et les idiomes divers des divers peuples ; un langage pouvant être
compris
par ceux qui ne renient pas leur sang Aryen. Et m
aintenant cet art Chrétien et Aryen prenne la parole en France ; nous
comprendrons
aussi combien il importe que cet art soit correct
ire une idée claire du drame qui tout d’abord s’offre à eux, s’ils ne
comprennent
pas les paroles par lesquelles les personnes du d
dans les trente-sept années où sont nés Tristan et Parsifal nous fera
comprendre
les impressions qui les ont produits. I. Musiqu
re exilé de 1848, lui apporta les œuvres de Schopenhauer. Alors il se
comprit
lui-même, il comprit son Wotan, et de la morale d
apporta les œuvres de Schopenhauer. Alors il se comprit lui-même, il
comprit
son Wotan, et de la morale de la compassion il dé
, et finit par laisser aller les choses leur vieux train. Wagner seul
comprit
que pour qu’il y eût un théâtre allemand vraiment
du peintre Constantin Meunier, a eu un très vif succès. Le programme
comprenait
le premier acte et la scène troisième du troisièm
tempérament d’écrivain. Et je l’ai aimé davantage, à mesure que j’ai
compris
quelle rare et forte et originale espèce de chrét
urs ateliers ce qu’on y fait de la chair humaine. Si mon père pouvait
comprendre
sa situation, il refuserait le pain dont je le no
llir en passant de petits plaisirs égoïstes ; vivre au jour le jour ;
comprendre
ça et là quelques petites choses, mais ignorer en
chômages, aux privations, aux angoisses pour le pain du lendemain. Il
comprit
mieux ainsi pourquoi le peuple est ce qu’il est,
tations philosophiques : et cela est étrange, car un mystère que l’on
comprendrait
ne serait plus un mystère, et on ne rend pas rais
tte peur-là : il y en avait dans la foi de Veuillot. Il n’aurait rien
compris
à ce raisonnement que j’ai souvent fait en songea
res, une fois assuré de ce refuge, il se retrouve homme de pensée. Il
comprend
profondément le rôle social de l’Église et en quo
, et il ajoute : « Quand vous voudrez du panthéisme que vous puissiez
comprendre
, vous savez où il faut vous adresser. » Et je ne
e l’humanité dans l’Église est en effet un panthéisme plus facile à «
comprendre
» que l’autre : mais c’en est un ; et c’est de ce
atriotisme, de confiance, de moralité, etc. Il n’est pas difficile de
comprendre
qu’un pays où règne l’individualisme n’est plus d
enseurs vulgaires ont coutume d’adresser aux « curés ». — Bref, il ne
comprend
pas ou refuse énergiquement de comprendre le sent
aux « curés ». — Bref, il ne comprend pas ou refuse énergiquement de
comprendre
le sentiment religieux sans la foi, et sans la fo
n’était pas seule compétente pour définir et fixer tous les droits, y
compris
ceux de l’État. Un doctrinaire, un catholique lib
l’ancien régime aient produit tant de païens et de libres penseurs, y
compris
Voltaire. Or Veuillot, dans cette occasion, eut c
se, contre l’Italie. Enfin, ce fut un idéaliste exquis. Nul n’a mieux
compris
ni exprimé que c’est par l’âme que nous sommes gr
a destruction du pouvoir temporel, qu’il sentirait voulue de Dieu. Il
comprendrait
que cette destruction et l’affaiblissement de ses
omme lui et des gens d’église ou de couvent un sentiment difficile à
comprendre
pour les profanes, le sentiment d’une sorte de fr
ieux vaincre. Les ossements qu’il a laissés sont d’un géant. Et vous
comprendrez
mieux la magnanimité de ce jugement, si vous vous
nsi parler, la notion du vrai humain. Il a eu, souvent, de la peine à
comprendre
que l’on pût ne pas croire au surnaturel, et à so
giner que l’on peut penser librement. Et notez bien que vous, je vous
comprends
, je vous aime, je vous pardonne tout. Et j’aime l
voyons, est-ce que, sérieusement, vous me regardez comme un méchant ?
Comprenez
donc un peu ! La « grâce », je le vois bien, vous
e faire des réponses intelligentes à une suite de questions qu’ils ne
comprenaient
pas : le langage fonctionnait chez eux à la maniè
e que la perception réfléchie est un circuit, où tous les éléments, y
compris
l’objet perçu lui-même, se tiennent en état de te
er sur les objets présents ou absents comme il lui plaît ; et l’on ne
comprend
plus alors les troubles profonds de l’attention e
nnue. Il a généralement conservé intact le sens de l’ouïe, mais il ne
comprend
rien aux paroles qu’il entend prononcer, et souve
tions et de tensions musculaires ; et la conscience que nous en avons
comprend
elle-même des sensations multiples, provenant du
intérieure. En ce sens, un mouvement est appris dès que le corps l’a
compris
. C’est ainsi qu’un accompagnement moteur de la pa
s mots que son oreille distingue ; et nous-mêmes, nous n’aurions qu’à
comprendre
une langue étrangère pour la prononcer avec l’acc
urs confirmer ici l’observation journalière. On peut encore suivre et
comprendre
la parole alors qu’on est devenu incapable de par
e ce que le croquis est au tableau achevé. Autre chose est, en effet,
comprendre
un mouvement difficile, autre chose pouvoir l’exé
endre un mouvement difficile, autre chose pouvoir l’exécuter. Pour le
comprendre
, il suffit d’en réaliser l’essentiel, juste assez
possibles. Mais pour savoir l’exécuter, il faut en outre l’avoir fait
comprendre
à son corps. Or, la logique du corps n’admet pas
me moteur. Suivre un calcul, c’est le refaire pour son propre compte.
Comprendre
la parole d’autrui consisterait de même à reconst
olée, et la réalité vivante du mot qui s’organise avec la phrase ? Je
comprends
fort bien ce commencement de reconnaissance autom
qui se passe quand nous écoutons la parole d’autrui avec l’idée de la
comprendre
. Attendons-nous, passifs, que les impressions ail
a forme où tend la masse fluide qui s’y précipite. Mais on hésitera à
comprendre
ainsi le mécanisme de l’interprétation, à cause d
n les principales étapes du mouvement de la pensée. C’est pourquoi je
comprendrai
votre parole si je pars d’une pensée analogue à l
d’écriteaux, à me montrer de temps en temps le chemin. Mais je ne la
comprendrai
jamais si je pars des images verbales elles-mêmes
oreille mentale. Mais alors, la contradiction signalée se dissipe. On
comprend
, d’une part, que l’image auditive remémorée mette
le souvenir se transforme ainsi graduellement en perception. Et l’on
comprend
aussi, d’autre part, que la faculté de se remémor
ces phénomènes les cas si singuliers de surdité verbale ou le malade
comprend
la parole d’autrui, mais ne comprend plus la sien
de surdité verbale ou le malade comprend la parole d’autrui, mais ne
comprend
plus la sienne. (Voir les exemples cités par BATE
servie par des facultés créatrices, constituerait le génie. Pour bien
comprendre
un artiste, dit Guyau, il faut se mettre « en rap
l’emploi d’une illusion à décrire, tellement que toutes les choses, y
compris
votre existence, ne vous semblent pas avoir d’aut
nt traduire, ce qui est le moins transposable en son domaine. Il faut
comprendre
combien la vie déborde l’art pour mettre dans l’a
e de la psychologie qu’à celui de la physiologie. Si le réalisme bien
compris
doit laisser une certaine place aux dissonances m
ment avoir la tête de plus que les autres hommes. « Aujourd’hui, nous
comprenons
qu’il y a une autre manière d’être grand : c’est
n esthétique se ramenant en grande partie à la contagion nerveuse, on
comprend
que les puissants génies littéraires ou dramatiqu
peint lui-même et il a peint le véritable artiste, en disant : « Pour
comprendre
un rayon de soleil, il faut vibrer avec lui ; il
il faut scintiller avec les étoiles bleues ou dorées ; il faut, pour
comprendre
la nuit, sentir passer sur nous le frisson des es
dualité propre, elle comptera pour peu de chose. Nul ne pouvait mieux
comprendre
cette vérité que Guyau, dont l’âme fut toujours s
comme l’individualité même d’un être, a besoin d’être aimée pour être
comprise
; » jusque dans la lecture d’un simple livre soy
aient suffire à nous en faire pénétrer la nature. Si nous voulons les
comprendre
, il nous faut sortir de nous-mêmes, nous mettre à
L’humanité a trop conscience qu’il y a beaucoup de choses qu’elle ne
comprend
pas pour se tromper à ce point sur ses propres fo
araît avoir souffert d’un certain discrédit, c’est pour avoir été mal
comprise
. On a imputé au système certaines conséquences pr
; il n’y a donc rien à en redouter. Elle ne peut que nous faire mieux
comprendre
les préceptes que nous suivons machinalement ou n
ste caractère, c’est un médiocre esprit, un mauvais élève qui n’a pas
compris
son maître. 1. Comte pourrait être rattaché
du. Et pourtant, si bassement utilitaire qu’on soit, comment ne point
comprendre
, en de telles heures, qu’une attitude simple et s
les immolations. Le Figaro l’abandonne, et lui ne s’indigne pas ; il
comprend
: « J’admets très bien, pour un journal, la néces
ttres de Dreyfus, lamentations monotones d’un enfant qui souffre sans
comprendre
et d’un bourgeois qui, lui aussi, se sent diminué
idées et à leur morale ». Combien, parmi nos antisémites catholiques,
comprendront
comme vous les paraboles évangéliques et le « pie
ou populaire. [Anatole France] « Je me suis toujours incliné à
comprendre
, dit M. Bergeret, et j’y ai perdu des énergies pr
ses. Je découvre sur le tard que c’est une grande force que de ne pas
comprendre
. Cela permet parfois de conquérir le monde. Si Na
i sont de ce monde — Votre intelligence vive, alerte, capable de tout
comprendre
successivement, inégale à la vue synthétique qui
e construire. Tu es le voyageur inquiet et amusé. Tu es la faculté de
comprendre
un peu, toujours assez pour sourire, jamais assez
ne », est « facile à distraire et prompte à l’oubli des maux ». Il ne
comprend
pas l’ironie. Comme un bon gendarme, il garde une
aute ou de l’erreur que l’auteur a décrite, ou s’il a plus clairement
compris
la grandeur et la nécessité de la loi morale à la
raire exige tant de conditions et de si subtiles, qu’il faut, pour la
comprendre
et pour la goûter complètement, pour en tirer un
fférente, mais elle ne nous importe que secondairement. Et nous ne le
comprenons
plus, nous sommes en désaccord avec lui, si, tout
n aussi quelques écrivains, et notamment quelques romanciers, qui ont
compris
le rôle nécessaire, constant et subordonné du déc
et peut-être n’existe-t-il qu’un ou deux maîtres qui l’aient toujours
compris
, sans jamais subir l’entraînement de ce peintre,
conde n’est que souhaitable. Il est nécessaire d’avoir vécu pour bien
comprendre
les fictions de la vie. Il n’est pas également né
’être artiste soi-même. Sans doute, le rêve d’un écrivain sera d’être
compris
, jusqu’aux nuances les plus secrètes de sa pensée
livres est sûrement là. Ceux qui ont souffert, ignorants ou savants,
comprendront
toujours quelque chose aux récits de la vie. Que
nt de si près à celles de l’esprit humain, est-elle en général si mal
comprise
? Pourquoi ne semble-t-elle qu’un passe-temps ou
e titre que la bibliothèque. La littérature, en effet, est bien mieux
comprise
. Il n’est personne qui, à un point de vue plus ou
sitive que tout a son prix et sa valeur. La légèreté d’esprit, qui ne
comprend
pas la science, le pédantisme, qui la comprend ma
èreté d’esprit, qui ne comprend pas la science, le pédantisme, qui la
comprend
mal et la rabaisse, viennent également de l’absen
sa grande et belle forme, que l’esprit français sait du reste si bien
comprendre
. Il y a pour la science, comme pour la littératur
genre le plus sévère et toutes hérissées de mots grecs et latins 63 ?
Comprendrions
-nous des séances solennelles et publiques occupée
rames de Richard Wagner s’expliquent suffisamment par eux-mêmes, nous
comprendrons
mieux la portée et les limites de sa dernière œuv
nde divin apparaît, l’ange se révèle dans le héros. Mais il n’est pas
compris
de celle-là même qui l’avait pressenti et appelé.
aire de son art une religion et de son théâtre une sorte d’église, il
comprenait
cependant que, dans aucune de ses œuvres, il n’av
en terre, d’un air stupide. Tout cela lui semble un rêve, il n’a rien
compris
à ce qu’il a vu. Le vieillard à barbe grise, le s
, il tombe à genoux, submergé de remords et de douleur. Il commence à
comprendre
qu’il a vécu jusqu’à ce jour comme un fou sans mé
son cœur ; c’est la blessure d’Amfortas qui le brûle lui aussi ; il a
compris
son mal. Les flèches du désir qui l’ont traversé
et homme étanchera sa soif, la sauvera pour toujours. Mais Parsifal a
compris
que pour mettre fin à la souffrance, il faut en t
levés sur la pointe de la lance. — Gurnémanz a reconnu Parsifal ; il
comprend
que cette lance est la lance merveilleuse enfin r
emps, qui étonneront un jour la science moderne lorsqu’elle saura les
comprendre
, nous apprennent que tous les magnétiseurs, évoca
me par la Science du Réel : nous méprisons, seulement, ce que nous ne
comprenons
pas : comprenant pleinement une chose, nous la se
ent une chose, nous la sentons une partie de nous, et nous l’aimons :
comprendre
, et aimer, sera l’unique tâche du Génie dans l’Av
ez » (p. 110). Cette phrase, nullement ironique : « Les jeunes hommes
comprenaient
le Seigneur exactement aussi peu qu’un chien fidè
mmes comprenaient le Seigneur exactement aussi peu qu’un chien fidèle
comprend
son maître ; mais ils l’aimaient, l’écoutaient —
èle comprend son maître ; mais ils l’aimaient, l’écoutaient — sans le
comprendre
— et ils ont fondé une nouvelle Religion. » (p. 1
s donne l’admirable vue d’un Artiste, qui, seul entre les Artistes, a
compris
nécessaire l’union de toutes les curiosités artis
ieur et grise à l’intérieur, ce qui est le contraire du cerveau. Elle
comprend
elle-même plusieurs organes distincts, dont la de
cette méthode, elle me paraît devoir soulever quelques objections. Je
comprends
que l’on compare un organe au reste du corps lors
ent de la vie matérielle, il en restera moins pour l’intelligence. Je
comprends
et j’apprécie la valeur de cette considération ;
intelligence est là pour nous convaincre que nous sommes bien loin de
comprendre
la nature réelle des relations qui existent entre
êmes une telle forme. » Ajoutons, d’ailleurs, qu’il est difficile de
comprendre
à priori, comme le fait remarquer avec justesse M
es fonctions mécaniques, la forme a une signification évidente, et on
comprend
très bien, par exemple, que les dents, selon leur
dents, selon leur structure, seront propres à broyer ou à couper ; on
comprend
l’importance de la forme pour « le tube digestif,
équemment, les groupes aujourd’hui considérables, et qui, en général,
comprennent
beaucoup d’espèces dominantes, tendent à continue
par conséquent, ils forment une sous-famille, distincte de celle qui
comprend
les deux genres qui suivent vers la droite et qui
de caractères communs, et forment une famille distincte de celle qui
comprend
les trois genres qui suivent encore plus loin ver
milles, familles et ordres, c’est-à-dire en groupes subordonnés, tous
compris
dans une même classe. Ce fait, si important en hi
qu’on emprunte à l’adulte : naturellement nos classifications doivent
comprendre
tous les âges des individus de chaque espèce. Mai
nues sous différents genres, familles, sections ou ordres. Le lecteur
comprendra
mieux ce que j’entends, s’il veut prendre la pein
degré de ses groupements subordonnés, c’est-à-dire dans l’espèce, il
comprend
toujours les deux sexes. On sait cependant combie
et, cependant, personne ne songerait à les séparer. Les naturalistes
comprennent
dans une même espèce les diverses phases de la la
férentes qu’elles soient l’une de l’autre et de l’état adulte ; ils y
comprennent
également les générations, dites alternantes, de
être considérées comme les états successifs d’un même individu. Ils y
comprennent
les monstres ; ils y comprennent les variétés, no
successifs d’un même individu. Ils y comprennent les monstres ; ils y
comprennent
les variétés, non seulement parce qu’elles ont d’
res analogiques et d’adaptation. — En partant des mêmes principes, on
comprend
aisément quelle importante distinction il faut fa
utant qu’elles révèlent les affinités généalogiques, on peut aisément
comprendre
pourquoi de simples caractères analogiques ou d’a
un héritage commun. Il faut donc supposer ou que tous les Rongeurs, y
compris
la Viscache, descendent de quelque espèce très an
nous sommes obligés de suivre dans nos classifications. Nous pouvons
comprendre
pourquoi nous évaluons certaines ressemblances pl
erché sous le nom de système naturel. À ce point de vue, nous pouvons
comprendre
pourquoi, de l’avis de la plupart des naturaliste
rarement l’affecter et le réduire chez l’embryon. Ainsi nous pouvons
comprendre
pourquoi les organes rudimentaires sont relativem
e chaque organe déjà ancien à se transmettre héréditairement, on peut
comprendre
, toute classification vraiment naturelle étant gé
ressemblances que l’on constate entre les divers êtres organisés, on
comprendra
aisément que le système naturel qu’on essaye de r
e l’ordre sériaire les classifications dites naturelles. En effet, on
comprend
que dans l’ordre logique les divers objets classé
ût dans un manuel et se figurent qu’on peut se préparer à sentir et à
comprendre
le génie ! Détournons nos regards d’erreurs qui n
uprès de lui la main secourable qui le guide. C’est qu’un tel élève a
compris
le secret des hautes études, ce secret que nous c
s à vous faire entendre et qu’il vous est trop facile d’oublier. Il a
compris
le mot profond et définitif de Bossuet : « Malheu
notre intelligence vers un idéal qui n’est pas de ce monde. Mais pour
comprendre
de bonne heure que cette recherche platonicienne
rtu. C’est peu qu’il vous fasse plus intelligents et plus capables de
comprendre
le beau : il vous rend meilleurs. S’il m’était do
it la Providence, afin qu’il se formât des philosophes capables de la
comprendre
et de la reconnaître pour ce qu’elle est, un attr
d’abord senti relativement à la sagesse vulgaire, les philosophes le
comprirent
ensuite relativement à une sagesse plus élevée (r
ait été auparavant dans le sens ; c’est-à-dire que l’esprit humain ne
comprend
rien que les sens ne lui aient donné auparavant o
comprend rien que les sens ne lui aient donné auparavant occasion de
comprendre
. L’intelligence, pour remonter au sens étymologiq
ils vous avaient nié la puissance de fabriquer des œuvres d’art ou de
comprendre
les procédés d’après lesquels on les fabrique, il
ccupé par le sentiment, et c’est par le sentiment seul que vous devez
comprendre
l’art ; — et c’est ainsi que l’équilibre des forc
es. Quant à la critique proprement dite, j’espère que les philosophes
comprendront
ce que je vais dire : pour être juste, c’est-à-di
il y a eu autant d’idéals qu’il y a eu pour les peuples de façons de
comprendre
la morale, l’amour, la religion, etc., le romanti
si un tableau est mélodieux est de le regarder d’assez loin pour n’en
comprendre
ni le sujet si les lignes. S’il est mélodieux, il
n sujet le plus cher et le plus sympathique. Il faut, pour faire bien
comprendre
les conclusions de ce chapitre, que je remonte un
e dans l’indépendance et l’originalité native de leurs mouvements, et
comprendre
la beauté antique par l’aspect d’une race pure de
primitives pour remuer et faire chanter la corde religieuse. Cela se
comprend
facilement, si l’on veut considérer que Delacroix
n moi, est supérieur aux meilleurs Véronèse, a besoin, pour être bien
compris
, d’une grande quiétude d’esprit et d’un jour très
t Sébastien, la Médée, les Naufragés, et l’Hamlet si raillé et si peu
compris
. Dans plusieurs on trouve, par je ne sais quel co
ces braves gens ; la construction de leur tête est parfaitement bien
comprise
. Par leurs belles attitudes et l’aisance de leurs
belles attitudes et l’aisance de leurs mouvements, ces sauvages font
comprendre
la sculpture antique. Quant à la couleur, elle a
de leurs corps étaient toujours visibles ; car M. Decamps sait faire
comprendre
un personnage avec quelques lignes. Ses croquis é
et l’artiste, où l’artiste triomphera d’autant plus facilement qu’il
comprendra
mieux les intentions de la nature. Il ne s’agit p
ltat d’une attention excessive, veulent une attention égale pour être
comprises
. Filles de la douleur, elles engendrent la douleu
ies de ce pauvre genre. IX. Du portrait Il y a deux manières de
comprendre
le portrait, — l’histoire et le roman. L’une est
pourtant pas ainsi, — il faut le répéter sans cesse, — que M. Ingres
comprend
les choses, le grand maître ! Dans le portrait co
que M. Ingres comprend les choses, le grand maître ! Dans le portrait
compris
suivant la seconde méthode, MM. Dubufe père, Wint
bresauts de plume et de chaise, ou simplement de les avoir lues, pour
comprendre
qu’il n’est pas là tout entier. Le Globe, qui fui
usent péniblement le sillon profond du dessin. Chacun de ces hommes a
compris
que sa royauté était un sacrifice, et qu’à cette
e chose que du sentiment. Les plus forts d’entre eux sont ceux qui ne
comprennent
que le joli. Comme le sentiment est une chose inf
tragédie et le paysage historique sont plus forts que les Dieux. Vous
comprenez
maintenant ce que c’est qu’un bon paysage tragiqu
tué peu à peu à des aspects nouveaux. Il est aussi difficile de faire
comprendre
avec des mots le talent de M. Rousseau que celui
a couleur est facile et harmonieuse. — Le drame du Piège à loup ne se
comprend
pas assez facilement, peut-être parce que le pièg
ans le portrait fait à la manière des naturalistes, parfaitement bien
comprendre
le caractère principal du modèle et en exprimer l
u-delà de son atelier, jusqu’en des régions où sa pensée ne peut être
comprise
. Ceux qui sont plus près de la parole et du verbe
. Gavarni, qui ne sont pourtant pas des génies supérieurs, l’ont bien
compris
: — celui-ci, le poëte du dandysme officiel ; cel
médaille à ce sujet ; mais il ne saura pas la faire ; il ne peut pas
comprendre
ces choses-là ! » Il y a donc des artistes plus
e ces choses-là ! » Il y a donc des artistes plus ou moins propres à
comprendre
la beauté moderne. Ou bien : « Le sublime B… ! Le
t été faits à ce sujet, je persiste dans mon sentiment ; mais il faut
comprendre
l’article. 6. Stendhal. 7. Excepté à ses généra
été produit — d’abdication artistique. En 1864, Richard Wagner avait
compris
de quelle plus haute perfection était capable, ma
non déjà artistique, — Parsifal. En 1878, le comte Léon Tolstoï avait
compris
de quelle plus haute perfection était capable, ma
nous aurions, nous-mêmes, écrit, ayant, au fond, la même pensée. Nous
comprendrons
l’ordre, d’abord inexplicable, de chapitres, où l
le salut. Et Tolstoï a repris la doctrine de Jésus, parce que Jésus a
compris
, jadis, ce qui, à nos méditations modernes, appar
peut stimuler personne par aucune promesse à la pratiquer. Quiconque
comprend
la doctrine du Christ aura foi en Lui, parce que
bonheur, ne peut pas ne pas y croire ; c’est pourquoi un homme qui a
compris
qu’il se noie ne peut pas ne pas saisir la corde
nt faire pour croire ? est une question qui témoigne que l’on n’a pas
compris
la doctrine de Jésus-Christ (p. 175). Qu’était d
e sa religion, donnant le bonheur, est toujours d’application facile.
Comprenons
seulement où est le bonheur ; et, par un détermin
ur ; et, par un déterminisme nécessaire, nous atteindrons le bonheur.
Comprenons
la vanité de cette existence éternelle d’outre-to
er cette notre vie, au nom de vaines et dégradantes vies ultérieures.
Comprenons
où est le bonheur, et nous atteindrons le bonheur
qui nous fond dans l’éternel Un, nous donne, éternelle, la Béatitude.
Comprenons
la vie et ce que nous sommes. Dans l’Unité qui se
haque individu, pris séparément, aura la vie la plus heureuse, s’il a
compris
sa vocation, qui consiste à ne point exiger qu’on
et affectueux avec les hommes ; la santé physique. L’homme, faute de
comprendre
la vie, souffre et dépérit. Par suite d’une nourr
de nouveau, un état social nouveau. Tolstoï et Wagner l’ont également
compris
. Tolstoï veut la suppression des gouvernements, l
it révéler aux ignorants. Tolstoï suppose tous les hommes capables de
comprendre
pareillement la vérité qui les sauve ; et son liv
uprême, et que Tolstoï ne l’a point dite. Et le Philosophe, Wagner, a
compris
cette Raison et il l’a dite49. Notre égoïsme se p
littérairement ; elle est claire, tellement que les Allemands qui ne
comprendront
point des vers de la Walkure en chercheront l’int
d’extraordinaire bonne foi. Mais j’avoue, naïvement, n’avoir pu bien
comprendre
aucune d’elles. Cette obscurité provient, je croi
ment l’œuvre de ses prédécesseurs, et la raison en est assez facile à
comprendre
. Dans une science qui a pour objet l’absolu, il n
eptions absolument chimériques est également un fait bien difficile à
comprendre
, car prétendre que l’homme cherche le secret des
us venons de faire voir les difficultés. Sans doute l’éclectisme bien
compris
, celui d’un Platon ou d’un Plotin n’exclut pas, b
rroné », ni à cette autre non moins évidente, « que la raison ne peut
comprendre
le tout des choses sans être elle-même ce tout. »
faits nouveaux et des analyses nouvelles. Le bon sens se contente de
comprendre
et de recueillir, sans en faire un système, les v
i propose, et qu’il n’eût pas trouvés tout seul. Le bon sens aspire à
comprendre
le plus de choses possible et à se tromper le moi
l soit guidé par les hommes de génie, supérieur à eux en ce qu’il les
comprend
tous, tandis qu’ils ne se comprennent pas entre e
e, supérieur à eux en ce qu’il les comprend tous, tandis qu’ils ne se
comprennent
pas entre eux. Son signe principal est de ne poin
ophies, et à la gloire d’inventer et de créer ils ont ajouté celle de
comprendre
, de recueillir, de concilier. Sous ce rapport, le
pardonne d’expliquer ici sa pensée, laquelle a été d’ailleurs si bien
comprise
qu’il est presque réduit à redire aujourd’hui ce
qui fait que, tout en les admirant parce qu’ils sont grands, nous les
comprenons
parce qu’ils sont réels. Ainsi, la réalité qui év
armi les hommes du temps présent. Chaque jour, avec cette passion que
comprendront
les archéologues et les poètes, il explorait quel
ober à ces ruines tout ce qu’elles peuvent apprendre à un penseur. On
comprendra
aisément qu’au milieu de ces contemplations et de
t avoir sa philosophie. De nos jours, le peuple est grand ; pour être
compris
de lui, le poëte doit être sincère Rien n’est plu
vrages qu’il a produits jusqu’ici ; on en pénétrera la pensée ; on en
comprendra
la cohésion. Ce faisceau a un lien. En attendant,
ui plaisent à tous, ou au moins aux esprits éclairés, capables de les
comprendre
, qui plaisent à l’esprit et au cœur, et non aux s
ittéraires les raisons du plaisir qu’elles nous procurent. Jouir sans
comprendre
le pourquoi de sa jouissance est le fait du publi
s comprendre le pourquoi de sa jouissance est le fait du public, mais
comprendre
ce pourquoi est le fait du critique. Et, quoique
telle défiance d’école dont l’avenir ne se souciera pas, et qu’il ne
comprendra
plus ? Tels sont les doutes que nous éprouvions e
quelques professions, tout ce qui a besoin de commentaires pour être
compris
et goûté (je ne parle pas de l’intelligence des t
? C’est cette partie universelle et profonde que l’on peut saisir et
comprendre
dans tous les pays, quoique exprimée sous une for
r éditeur, avec commentaires surabondants ; il lut Corneille, qu’il a
compris
jusqu’au fond et que nous retrouverons souvent en
n intelligible, je dirai qu’écrites en grec, leurs œuvres eussent été
comprises
par des Grecs. Combien, par contre, un Platon lui
s par des Grecs. Combien, par contre, un Platon lui-même aurait-il pu
comprendre
des écrits de nos meilleurs penseurs allemands, p
un désert ? » On ne saurait trop méditer ce passage si l’on veut bien
comprendre
Nietzsche. Il est plein à la fois de modestie, d’
i le monde a un sens, il n’a un sens qu’en beauté, qu’il ne peut être
compris
que comme manifestation d’un désir de beau, et qu
ésir de beau, et qu’en dernière analyse il n’y a que les artistes qui
comprennent
le monde. Car enfin si nous voulons entendre le m
. Rien de ce qui est ne doit être détruit ; rien n’est superflu… Pour
comprendre
cela, il faut du courage et, comme condition de c
mulant, comme son but et comme sa récompense. En vérité la mort ainsi
comprise
est pleine de vie, et si elle en est le dernier é
tout entier ne trouvera plus une bouchée à donner à cet affamé. » On
comprend
donc bien cette crainte de la déception qui arrêt
nérale qui est éternelle. Car il est probable que l’homme est né pour
comprendre
au moins tout ce dont il a besoin pour vivre. Les
e au moins tout ce dont il a besoin pour vivre. Les animaux savent et
comprennent
tout ce qu’il faut qu’ils comprennent et sachent
ur vivre. Les animaux savent et comprennent tout ce qu’il faut qu’ils
comprennent
et sachent pour les nécessités et même pour les a
de savoir l’avenir, ou la faculté du libre arbitre, ou la faculté de
comprendre
le surnaturel ; et ces erreurs furent productrice
auparavant plutôt j’aspirais à penser que je ne pensais en effet : on
comprend
à quel point les premières erreurs, naturelles et
u la moitié seulement de ce que nous voulons qui soit dit par nous et
compris
par les autres. Ce sont les premiers obstacles qu
t de génie que d’avoir eu cette idée si simple. Et, en effet, c’était
comprendre
des gens qui ne se comprenaient pas. « Pour être
e idée si simple. Et, en effet, c’était comprendre des gens qui ne se
comprenaient
pas. « Pour être fondateur de religion, il faut d
rme que l’univers signifie quelque chose est une ombre du surnaturel.
Comprendre
l’univers c’est croire en Dieu ; croire le compre
du surnaturel. Comprendre l’univers c’est croire en Dieu ; croire le
comprendre
c’est croire en Dieu ; essayer de le comprendre c
e en Dieu ; croire le comprendre c’est croire en Dieu ; essayer de le
comprendre
c’est encore croire en Dieu ; supposer l’univers
, ces reflets de religions, ne disparaîtront que quand l’homme pourra
comprendre
, pourra voir quelque chose comme différent de lui
la Rome de Juvénal, à ce crapaud venimeux, aux yeux de Vénus, et l’on
comprendra
ce que cela veut dire que de dresser une croix de
n est intelligent, dès qu’un chrétien est profond, dès qu’un chrétien
comprend
le christianisme. Luther, Calvin, Pascal, de Mais
r, Calvin, Pascal, de Maistre, il proscrit l’art ; dès qu’un chrétien
comprend
à moitié ou aux trois quarts le Christianisme, il
erficiel, récent, accidentel et un peu de parti pris, et en somme n’y
comprend
rien, il prétend marier l’art au Christianisme :
de cet esprit scientifique, qui va de l’avant toujours et sans trêve,
comprendra
aussitôt comment par lui « le mythe fut anéanti,
que Socrate, homme qui s’est trompé, mais véritablement inspiré, ait
compris
, chose rare, tout ce qu’il enseignait, et, dernie
’infini tirer quelque chose et l’expliquer, le rendre clair, le faire
comprendre
? Mais de l’infini chaque partie tient à l’infini
onc un homme dégénéré, un sous-homme. Vous avez lu Faust. L’avez-vous
compris
? C’est la condamnation en trois points de l’homm
au mot de Goethe à Eckermann. On parlait de Napoléon. Eckermann ne le
comprenait
pas du tout. « Mais, mon ami, dit Goethe, il y a
par ne plus voir du tout la faute en tant que faute. Il finirait par
comprendre
le crime comme s’il l’avait commis et, par conséq
faire juger par des hommes exprès choisis pour être incapables de les
comprendre
. Et les deux systèmes sont très bons si l’on veut
e non-sens-là me semblerait le plus digne de mon choix. Maintenant je
comprends
ce que jadis on cherchait avant tout, lorsque l’o
tituée, a été une chose à part, une institution définie et à peu près
comprise
par tout le monde comme institution définie (époq
e plus son acquiescement, n’affirme plus la bonté de la vie, passions
comprises
, qui sont les formes mêmes de la vie, et n’affirm
de la vie, et n’affirme plus les forces mêmes de la vie, souffrances
comprises
, qui sont les rançons de la vie, inséparables d’e
ions d’elle ; et c’est alors que la morale est constituée et qu’on la
comprend
bien comme constituée et que tous les hommes ont
t quand on l’exige et quand on la vante — et cela arrive lorsqu’on ne
comprend
pas ce qui porte préjudice en elle, mais qu’on y
at le meilleur. Il en est ainsi et il faut avoir l’intelligence de le
comprendre
et le courage de le dire. Ce qu’il y a au fond de
stes radicaux ces peuples antiques qui n’admettaient même pas, qui ne
comprenaient
même pas qu’il y eût pour un peuple d’autre desti
nt en même temps les incurables vaniteux. Il ne faudrait pas qu’on me
comprît
mal : il arrive quelquefois que de ces ennemis né
e, encore que déjà il soit du commencement de la décadence, pour bien
comprendre
qu’un Romain ne connaît de Revoirs qu’envers la p
e donc, moyenne et par conséquent très favorable, dès qu’elle peut le
comprendre
, dès qu’elle l’entrevoit, au règne des classes mo
défiance méridionale de la nature humaine, une défiance toujours mal
comprise
dans le Nord. Cette défiance, le Midi européen l’
nt fait les Chinois, les philosophes du xviiie siècle semblent avoir
compris
ce qu’ils disaient et avoir vu distinctement où c
un glaive et cent appétits. Partout où il y a encore un peuple, il ne
comprend
pas l’État, et il le déteste comme le mauvais œil
présence l’une de l’autre, chacune avec sa règle de vie. Elles ne se
comprendront
jamais l’une l’autre et se regarderont l’une l’au
n sens ; et en effet ce n’est pas de bon sens, seule chose que puisse
comprendre
l’homme d’en bas, qu’il s’agit : « S’ils sont con
, qui détruit l’égoïsme de conservation, le seul que l’homme d’en bas
comprenne
et puisse comprendre. Par conséquent, « comparée
sme de conservation, le seul que l’homme d’en bas comprenne et puisse
comprendre
. Par conséquent, « comparée à la nature vulgaire,
e chez l’homme noble ». Il y a bien des passions que l’homme d’en bas
comprend
et excuse ; mais ce sont celles qui ressortissent
s’irrite, sans doute, contre les passions du ventre ; mais encore il
comprend
l’attrait qui exerce cette tyrannie » et il l’exc
qui exerce cette tyrannie » et il l’excuse ou en sourit. Mais comment
comprendrait
-il que l’on puisse « par exemple, pour la passion
supérieurs sont pour les hommes d’en bas des maniaques. Il faut bien
comprendre
cela pour être juste. Il n’y a pas seulement dans
aison [de souplesse de bon sens et d’intelligence compréhensive] pour
comprendre
et pour traiter les hommes ordinaires en tant qu’
des êtres d’exception, comment pourraient-ils être jamais capables de
comprendre
les natures vulgaires et d’évaluer la règle d’une
doit pousser de dures racines autour de durs rochers… Hélas ! que ne
comprenez
-vous ma parole ? Faites toujours ce que vous voud
, le cloître, les fêtes. Tout cela a été corrompu, altéré, dévié, mal
compris
, souvent, par le Christianisme, mais tout cela en
elle veut être artiste, et elle doit vouloir l’être. Le cloître, bien
compris
, temporaire, jamais éternel, auquel cas il n’est
re et en sens inverse, aussi utile, les fêtes. « Dans la fête il faut
comprendre
la fierté, l’impétuosité, l’exubérance ; le mépri
nte à tout ce qui arrive, un esprit, un Dieu. Mais il faut leur faire
comprendre
que c’est précisément par là que l’existence devi
qui précède, une erreur nécessaire ; car l’artiste qui commencerait à
comprendre
, se méprendrait. Il n’a pas à regarder en arrière
exemple chez les peuplades sauvages, on trouve d’abord le plaisir de
comprendre
ce que veut dire un autre ; l’art est ici une esp
re ligne contient une espèce de « devinette » aussi, que je renonce à
comprendre
, ou plutôt dont je renonce adonner l’explication
mans anglais et provenant surtout du désir de plaire au peuple qui ne
comprend
dans l’art que la sensiblerie), le romantisme fra
, et ceci encore dans la mesure juste : « On veut, non seulement être
compris
lorsqu’on écrit, mais encore n’être pas compris.
t, non seulement être compris lorsqu’on écrit, mais encore n’être pas
compris
. Ce n’est point une objection contre un livre qua
être cela faisait-il partie des intentions de l’auteur de ne pas être
compris
de n’importe qui. Tout esprit distingué, qui a un
nélien qu’il a merveilleusement pénétré et qu’il a analysé, ce qui se
comprend
assez, avec une sorte de passion amoureuse. Nietz
odément le but d’un drame de Shakespeare, c’est-à-dire de ne le point
comprendre
. » Le théâtre ne fait pas détester les fautes qu’
t n’étant dévoué avec ardeur et avec fanatisme qu’aux choses qu’il ne
comprend
pas. De là ce caractère religieux de la morale,
ime ni la vie artistique ni la vie dangereuse et qu’on laisse ne rien
comprendre
à l’art ou avoir à soi un art piteux et ridicule,
art ou avoir à soi un art piteux et ridicule, et qu’on laisse ne rien
comprendre
à la vie dangereuse, mais qu’on associe à cette v
mp. Tant qu’il se considère comme une armée dans un camp fortifié, il
comprend
ou il sent (et c’est la même chose pour le résult
ose pour le résultat, et le sentir est même beaucoup plus fort que le
comprendre
) que le seul moyen ou de croître ou seulement de
t où l’aristocratie est démophile. Ce n’est pas ainsi que Nietzsche a
compris
les choses. Voilà l’erreur capitale de Nietzsche,
mment faite pour le cerveau des Grecs tels que vous les avez toujours
compris
et représentées ; et c’est excellemment aussi une
sie est arrivée au pouvoir, au gouvernement, aux affaires, elle avait
compris
alors que le prestige de la seule richesse ne lui
euve est faite. L’enseignement secondaire, tel qu’il est actuellement
compris
, nous prépare des générations de contre-maîtres.
une mauvaise action littéraire. Cette lutte doit suffire à nous faire
comprendre
en quel extrême péril vont se trouver ceux qui n’
c la politique ? J’avoue que j’ai beau me torturer la cervelle, je ne
comprends
pas. — De quels attentats vis-à-vis du régime a p
d’interrogation, désespérant non seulement de résoudre, mais même de
comprendre
la question. Quant à la décadence si rapide de la
e, dans la rédaction courante des journaux, une phrase dite française
comprend
invariablement un nombre exagéré de mots d’argot
ant un élève, d’ailleurs studieux, et voyant avec étonnement qu’il ne
comprenait
pas le sens de l’expression employée par moi, je
rien qu’en feuilletant en deux minutes un petit vocabulaire de poche,
comprennent
chacun dans leur langue et traduisent : « Envoyez
out vifs de l’Angleterre. Quant à une arrière-pensée politique, je ne
comprends
pas. La politique, c’est pour moi de l’hébreu, bi
ments et des ministres qui, par leur mentalité même, ne peuvent ni le
comprendre
, ni l’accueillir. Jean Viollis Un trait, di
ions vives leur suffit. Hé bien, le rôle des nouveaux venus, s’ils le
comprennent
, sera de mettre un peu d’ordre et de style dans l
finées, toutes les anciennes formes de l’expression artistique ; il a
compris
, et il a osé ; il nous a montré la définition et
tirances, les échos subtils qui d’elle, par tous côtés, s’éveillent :
comprenons
comment la Chose est littérairement, comment musi
, de traduire le fugace et le soudain jusqu’à l’Idée (pareille vision
comprend
tout, absolument tout te Spectacle futur,) cet es
Bayreuth et d’expliquer par lettres à ses combourgeois comment il n’y
comprenait
rien. Or, un jour, une nouvelle invraisemblable s
hôtel remplie de figures étrangères et résonnante d’une langue que je
comprenais
mal, tout cela se perd dans le rayonnement de la
rtain point de son milieu : les Grecs le savaient bien, et Wagner l’a
compris
, en choisissant pour son théâtre ce coin retiré d
t l’Art, faire une Œuvre, en son Théâtre, pour son Public. — Il avait
compris
que l’œuvre d’art doit être complète et vraie, c’
un drame d’action vraie, non de virtuosité conventionnelle ; il avait
compris
, encore, que cette œuvre d’art, complète et vraie
n intérieure, aux jours, très rares, de la sérénité ; enfin, il avait
compris
que l’art, demeurant complet et vrai, doit, aussi
es, Richard Wagner, artiste et philosophe, rêva, et peu à peu vit, et
comprit
une novation artistique et une novation philosoph
ation, l’Idée, la Loi, le prodigieux troublement de l’Unité dernière,
comprise
. Edouard Dujardin. Brunnhilde, scène finale de
remplir en détail, on écrit tout simplement un livre intéressant qui
comprend
une riche province de la culture latine, une prov
tion romaine : 1° les Aquitains (qui habitaient l’espace triangulaire
compris
entre le cours de la Garonne et la moitié occiden
s méridionales qui, de jour en jour et de plus en plus, s’évertuent à
comprendre
et à parler notre langue littéraire. Tel d’entre
itement : Je juge à votre air et à vos manières que vous ne devez pas
comprendre
le langage des gens bien élevés. » Dès la fin du
, il parlait lui-même le latin ; il en jargonnait assez pour se faire
comprendre
. Le passage de Sévère Sulpice, cité tout à l’heur
en très-bon latin : Quorsum ducis vacuum asellum ? » Le jardinier ne
comprend
pas ; le légionnaire renouvelle sa demande avec h
sinum istum ? Il n’eut pas besoin fois de répéter la question, il fut
compris
à l’instant16. — Il nous manque, pour savoir en q
eux poème de la Mort attribué à Hélinand, qu’il publiait sans le bien
comprendre
. Mais ce mouvement de retour vers la vieille poés
textes tels quels, en gros, qu’ils reproduisent, qu’ils finissent par
comprendre
à force d’en copier, mais dans l’examen desquels
ci à un an ou deux, un Dictionnaire complet de la langue française, y
compris
la vieille langue : le Glossaire de Roquefort n’e
ents indispensables et nous être rendu compte, seulement pour la bien
comprendre
, de la question primordiale et de formation, nous
r traduire les homélies dans la langue du pays, pour que tous pussent
comprendre
: Ut Episcopi sermones et homelius sanctorum Patr
« les prêtres doivent prêcher de manière que le simple peuple puisse
comprendre
: ut juxta quod tene vulgaris popules intelligere
at romain parlant à un jardinier grec et lui parlant latin ne fut pas
compris
, ce que voyant, il répéta sa question en grec (gr
ue voyant, il répéta sa question en grec (græce) ; et alors le paysan
comprit
à merveille. Dans tout cela, rien de ce qu’on y a
9, et t. III, p. 63. En lisant ces articles piquants et rigoureux, on
comprendra
toute la difficulté de l’entreprise. 24. . Plus
siècle, se dirent de bonne heure ces jeunes lévites, il faut l’avoir
compris
. » Des noms, j’en pourrais citer quelques-uns qui
se. De ce système je ne toucherai qu’un seul mot, qui suffira à faire
comprendre
ce que j’ai à dire des qualités morales et littér
nte considération accessoire, il n’a jamais, je crois, été rejeté. On
comprend
toutefois, même sans entrer dans le vif des matiè
ea souvent entre les deux recueils comme entre des adversaires qui se
comprennent
et qui s’estiment, qui sentent où est le nœud du
es de l’ouvrage intitulé Esquisse de Rome chrétienne, destiné à faire
comprendre
à toutes les âmes élevées le sens et l’idée de la
ai sondé d’un regard leur poussière bénie, Et j’ai
compris
Que leur âme a laissé comme un souffle de vie
dirais encore qu’il n’y a que quelques jours que je l’ai vue. Vous ne
comprendrez
pas tout ce que je vais vous dire : je ne peux vo
e dans la langue nouvelle que le christianisme a faite ; mais vous en
comprendrez
toujours assez. Sachez donc que de deux âmes qui
és thresors de ce temple Delphique … » Du Bellay ne fut que trop bien
compris
. M. Albalat, venant, à son tour, nous enseigner l
plus considérable, mais d’origine trop prochaine. Il semble que l’on
comprendra
facilement maintenant qu’imiter Euripide, ce qui,
élas la confusion continue ! M. Albalat n’arrivera-t-il donc jamais à
comprendre
que La Bruyère, écrivain français, n’a pu, au sen
al, en une de ces phrases prodigieuses que l’on a mis trois siècles à
comprendre
. Un théorème peut être émouvant et, résolu, faire
en rien différer du mimétisme animal. Négligeons l’alimentation, qui
comprend
les influences du sol, du climat ; elle n’est jam
e, la littérature à la mode. Ce sont des invertébrés. On va très bien
comprendre
maintenant toute la valeur anti-scientifique de c
as très brillant. C’est un bon élève avec des audaces mesurées. Il ne
comprend
rien à La Rochefoucauld (dont là pensée ne le cèd
ans Leconte de Lisle, elles me gênent ainsi que des chevilles. Je n’y
comprends
rien ; ces jambes rapides, cette pique éclatante,
en quelques mots et parfois en un seul. Les premières métaphores, mai
comprises
par la simplicité populaire, créèrent certaines m
sse, sans qu’il fasse semblant d’exister, Roland revient de pamoison,
comprend
que l’archevêque est mort et le poète ne dit que
inée des forêts », ni « de la molle intumescence des vagues » ; il ne
comprendrait
pas sa langue, très pauvre, ne brille que par ref
qu’il est inégalement développé en chaque être humain. La sensibilité
comprend
la raison elle-même, qui n’est que de la sensibil
Elle est ce qu’elle est sentie. Nous nous figurons aujourd’hui mieux
comprendre
Homère que le dix-septième siècle ; nous le compr
ourd’hui mieux comprendre Homère que le dix-septième siècle ; nous le
comprenons
différemment, voilà tout. Sans doute l’archéologi
nt modifié l’aspect objectif des poèmes homériques ; mais si nous les
comprenons
autrement que les contemporains de Mme Dacier, c’
; cela n’eut aucune influence sur la manière qu’avaient les hommes de
comprendre
la religion ; parce que comprendre, c’est sentir
a manière qu’avaient les hommes de comprendre la religion ; parce que
comprendre
, c’est sentir ; et parce que la sensibilité génér
rivés. » Et dans le Discours de réception A l’Académie : « On a enfin
compris
qu’il faut écrire comme les Raphaël, les Carrache
t artificiel les procédés de facture vraie. » Comme cette phrase fait
comprendre
et aimer le dégoût de la littérature que l’on voi
langage général qu’en langage technique, et surtout on la fait mieux
comprendre
. Le détail sans doute ne peut s’étudier qu’en ter
asses et nous regardons comme extraordinaires ceux des classes qui en
comprennent
un très petit nombre. Ainsi au jeu de croix et pi
on volume de Kant à Nietzsche. M. Jules de Gaultier nous a fait mieux
comprendre
l’importance de l’œuvre du grand penseur et du gr
s Laforgue et de M. Francis Vielé-Griffin . Le vers libre, tel que le
comprend
ce dernier poète, vient en partie de Whitman ; m
ayant un égal souci de l’idée et de la forme, par des artistes qui ne
comprennent
pas l’idée privée de sa parure verbale. Surtout l
assez pauvre, de sa pensée. La pureté de forme, au contraire, et cela
comprend
le rythme et l’harmonie générale du poème, est un
ue. L’instabilité de l’e des monosyllabes a cet intérêt de nous faire
comprendre
, par des exemples vérifiables, comment le son eu
transcription, possède à peu près les divers sons de notre e muet, y
compris
le son nul. Dans βελέζερ, le premier ε est nul, l
cine ou de Mallarmé, de Raphaël ou de Claude Monet, le peuple ne peut
comprendre
, artistiquement, ni un poème ni un tableau, parce
t comme œuvre dramatique, comme œuvre représentative d’une action. Il
comprend
l’acte exprimé ou ne le comprend pas ; s’il le co
uvre représentative d’une action. Il comprend l’acte exprimé ou ne le
comprend
pas ; s’il le comprend il l’accueille ou le rejet
ne action. Il comprend l’acte exprimé ou ne le comprend pas ; s’il le
comprend
il l’accueille ou le rejette pour des raisons qui
croire que les hommes étaient à la hauteur de son oreille ; comme il
comprenait
la moindre nuance d’idée suggérée par un mot, il
ustement le point de comparaison. Il fut d’ailleurs un des premiers à
comprendre
la valeur de certaines tentatives et le premier à
a valeur de certaines tentatives et le premier à essayer de les faire
comprendre
. Déjà, il y a dix ans, il notait tous les efforts
cience apparaissent dépourvues de raison, c’est qu’on ne les a pas su
comprendre
. » Le principe n’est pas mauvais, encore que trop
es sépare n’est pas une ligne droite. Ensuite, en art, s’il s’agit de
comprendre
, il s’agit surtout de sentir. L’art est ce qui do
de beau et de nouveau à la fois, de beau inédit : on peut ne pas bien
comprendre
et cependant être ému. « Absurde à plaisir », voi
« absurde à plaisir » ; il n’en était pas moins fort difficile de les
comprendre
ou de les sentir. Cette partie du livre de M. Rog
re de l’alchimie, ou en parlant de maçonnerie, la grosse œuvre. On ne
comprendrait
plus. Comprendrait-on : l’œuvre complète de Rembr
u en parlant de maçonnerie, la grosse œuvre. On ne comprendrait plus.
Comprendrait
-on : l’œuvre complète de Rembrandt ? Peut-être.
ng-dragon, le mot Dieu est en réalité une sorte de génitif et il faut
comprendre
ï hôtel de Dieu, sang. de dragon. C’est une des r
le monde, d’ailleurs, dit le Guide, et Guide tout court ne serait pas
compris
. Après tout, le Dante cela ne montre qu’un certai
t nue-jambes. » La formule : « Elle était nues jambes » ne se peut ni
comprendre
, ni analyser. Qu’il est donc difficile de toucher
de n’enseigne ? la grammaire qu’à ceux qui sont destinés à la pouvoir
comprendre
ou à la devoir pratiquer ! Pour suivre la tendanc
N’y a-t-il pas du plaisir à se plier logiquement à une règle que l’on
comprend
bien ? On donnerait par exemple, pour mil, ces ve
massacrer. Il s’agit moins de savoir s’en servir à propos que de les
comprendre
, rencontrées dans une lecture. Quant à cette rema
cord de même au pluriel : les dieux mêmes », il m’est impossible d’en
comprendre
l’opportunité. Cette prétendue licence représente
e française ? Ces règles, que les enfants arrivent si difficilement à
comprendre
quand on les leur présente abstraites et isolées
c leurs « à-coups fantasques » ! Aussi on n’essaiera pas de lui faire
comprendre
que si moudre a pour participe passé moulu, c’est
i-même épars dans cette vie. Laisse ordonner le ciel à tes yeux, sans
comprendre
, et crée de ton silence la musique des nuits. L
roupeaux. Si l’un de ces hommes réfléchit sur lui-même et arrive à se
comprendre
et à se situer dans le vaste monde, peut-être va-
e, se fleurit des rouges et des verts les plus puissants. On peut, le
comprendre
aussi selon son vrai titre ; il est bien de pluie
œil, l’esprit analytique, le style qui fait voir ce que l’œil a vu et
comprendre
ce que l’esprit a compris. Que n’a-t-il persévéré
style qui fait voir ce que l’œil a vu et comprendre ce que l’esprit a
compris
. Que n’a-t-il persévéré ! Nous n’avons eu depuis
ose française aura eu son Juvénal. Il faut que tout le monde meure, y
compris
M. Bloy ; que des générations soient nées sans tr
sprit qui s’envole si loin au-dessus de nous. Oh ! nous finissons par
comprendre
que tu sois si volage, si aveugle, si dur. La seu
avoir l’air de faire coïncider sa pensée avec l’émotion générale. Ils
comprirent
qu’il faut à un certain moment être boulangiste,
est supérieurement intelligent. Il n’y a pas d’idées qu’il ne puisse
comprendre
et s’assimiler aussitôt ; il les revêt immédiatem
raisonnable, puisque tout y est ramené à l’unité du moi. Le besoin de
comprendre
explique de tels jeux, mais résoudre une question
tort de se révolter contre la confusion des mots et de ne pas vouloir
comprendre
que « la luxure est si princièrement riche en son
, de toutes les douceurs de la lumière. M. Mauclair fait parfaitement
comprendre
la justesse de cette vieille métaphore, « la magi
loppement libre de toutes les tendances intellectuelles. Il faut donc
comprendre
tout ce qu’il y a de légitime et de vrai dans la
me héritage le goût de comparer aujourd’hui avec hier, et la force de
comprendre
que le dernier état social d’un peuple, s’il n’es
son esprit est clair, logique, simplificateur. Le simplificateur veut
comprendre
. Parmi la quantité des faits, il choisit ceux qui
franchise et c’est, en même temps, affirmer que non seulement on veut
comprendre
soi-même mais qu’aussi on désire offrir à autrui,
et logicien ; mettre en action une idée, mais que l’action se puisse
comprendre
au vu de son mouvement propre. Un art si complexe
ttends cela aussi des explorateurs, mais aucun ne semble avoir jamais
compris
l’intérêt des vies, individuelles coudoyées le lo
figure de cire ; et si on les lui révèle, il s’indigne, faute de les
comprendre
, contre ce qui est un des signes les plus clairs
le. M. Schwob, au cours d’un récit, ne sent jamais le besoin de faire
comprendre
ses inventions ; il n’est aucunement explicatif :
angent les lignes d’une œuvre d’art ; celui qui regarde ou qui lit ne
comprend
pas selon qu’il est écrit par des taches ou des c
nd pas selon qu’il est écrit par des taches ou des caractères ; il ne
comprend
pas selon le génie du poète, mais selon son propr
le principe de l’instrumentation verbale peut s’expliquer et peut se
comprendre
, il ne peut être ni senti ni même perçu, le long
amour, qu’il eût égalé Lamartine ou Verlaine. Mais M. Ghil, acharné à
comprendre
, se fait mal comprendre et son originalité s’étei
amartine ou Verlaine. Mais M. Ghil, acharné à comprendre, se fait mal
comprendre
et son originalité s’éteint souvent sur le seuil
ne langue et tombent nuls dans les oreilles humaines. A la vérité, on
comprend
, lorsqu’on le veut absolument, les phrases de M.
qu’on le veut absolument, les phrases de M. Ghil, mais ainsi que l’on
comprend
une symphonie très rude et ponctuée de dissonance
il est grave, même quand il rit, même quand il danse. Il faut encore
comprendre
qu’en art, tout ce qui n’est pas nécessaire est i
les milieux particuliers où il semble que l’on parle pour n’être pas
compris
? Ensuite, l’argot est difficile à manier ; Jehan
formules. Il est appelé à sentir confusément la vie, à ne pas trop la
comprendre
; c’est la condition même de l’enfantement des
hétique d’aujourd’hui, quand la mort le surprit ; il avait sans doute
compris
qu’il ne faut pas dédaigner les manières nouvelle
j’affirme que la plupart des chefs-d’œuvre même ont besoin pour être
compris
, à l’heure où ils éclosent, de la charitable glos
orative ― car la peinture décorative proprement dite, telle que l’ont
comprise
les Égyptiens, très probablement les Grecs et les
es esprits devenus sceptiques par trop de lectures et plus curieux de
comprendre
les différences que de ramener à l’unité la diver
décisive sur le développement ultérieur du naturalisme, tel qu’il fut
compris
par M. Zola et par ses disciples immédiats. La do
r viendra où le souvenir même des agonies ne sera plus que la joie de
comprendre
la nécessité fugitive de la douleur humaine. La P
ignification des arbres, des arbustes et des herbes. Ayant médité, il
comprend
, car il est apte à comprendre tout, et il compren
arbustes et des herbes. Ayant médité, il comprend, car il est apte à
comprendre
tout, et il comprend à l’inverse du savant. Le co
. Ayant médité, il comprend, car il est apte à comprendre tout, et il
comprend
à l’inverse du savant. Le comment des choses ne l
able d’opinions convenues. Nul d’ailleurs parmi les spiritualistes ne
comprend
mieux les nouvelles idées, car rien ne familiaris
rien rester dans la science. Alors voici mon doute, et où je cesse de
comprendre
. Si les doctrines spiritualistes sont si fausses,
même que M. Taine se fait l’écho de Condillac, j’avoue que je ne puis
comprendre
ce que c’est qu’un groupe de mouvements. J’adjure
hénomènes sont les apparitions, les manifestations. De même que je ne
comprends
pas un mouvement sans quelque chose qui se meut,
dillac, de Tracy, Cabanis, tous les maîtres de l’école idéologique, y
compris
Mill que M. Taine a si bien analysé ? Avec ceux-c
plus vague de cette sorte de métaphysique, et, autant que je puis la
comprendre
, je ne vois là jusqu’à présent qu’une doctrine to
entièrement à la philosophie de Condillac et de Cabanis. Or, si nous
comprenons
quelque chose au système de M. Taine, il nous sem
and éclat de talent M. Renan. Suivant cette manière de voir (si je la
comprends
bien, car elle est très-subtile et très-difficile
tés obscurs de cette philosophie du relatif. En ai-je d’ailleurs bien
compris
, en ai-je fidèlement reproduit les principaux tra
nés. Il est assez curieux de comparer l’une à l’autre, pour les mieux
comprendre
par le contraste, la philosophie de M. Taine et c
mais rien d’absolu ne peut exister. Nous apercevons maintenant, nous
comprenons
dans quel sens l’âme est immortelle. Survivre en
d’en choisir une. Dans cette chaîne infinie de phénomènes dont on ne
comprend
ni le pourquoi ni le comment, d’où vient qu’il se
ais par cela même il n’aurait aucune idée, car penser, c’est agir. Je
comprends
que l’on dise que l’homme est lié au tout, et Spi
ncontre et combinaison n’a point de centre. Or dans un tel être je ne
comprendrai
jamais la conscience de soi-même. L’intériorité à
à supposer, si l’on veut, qu’il explique toute la nature physique, y
compris
même la végétation et la vie animale, je dis qu’i
ison pure, a beaucoup de peine à faire prévaloir et même à faire bien
comprendre
le point de vue qui lui est propre, — le point de
nsidérable auquel nous assistons, et dont il faut que les philosophes
comprennent
le sens, s’ils ne veulent pas être envahis par ce
ère organisée. Puis elle demanderait à toutes les sciences réunies, y
compris
les mathématiques, une idée savante et profonde d
u’à détruire non-seulement la métaphysique, mais toute philosophie, y
compris
la sienne. Si en effet l’esprit humain ne doit ri
, le nécessaire d’une part, de l’autre le parfait et le bien, — on le
comprendra
, je crois, pour peu qu’on réfléchisse qu’il nous
Aristote de prendre des abstractions pour des réalités. Qui a jamais
compris
l’existence d’un animal en général qui ne serait
u ait des attributs qui surpassent nos pensées, ou que, pour le mieux
comprendre
, nous lui en prêtions d’autres qu’il n’ait pas. A
n plus grand encore, et ainsi de suite à l’infini, sans que je puisse
comprendre
que cet infini de perfection puisse être jamais r
ni de perfection puisse être jamais réalisé. Je réponds : Pouvez-vous
comprendre
qu’un infini de temps soit réalisé ? Et cependant
olu d’espace. Dès lors, pourquoi ne pas admettre, quand même on ne le
comprendrait
pas davantage, que cet infini d’existence, d’espa
, l’entier épanouissement de la puissance et de l’être. Quoique je ne
comprenne
pas comment l’infini de qualité peut être réalisé
s continus du moins parfait au plus parfait. Dans le monde tel que le
comprennent
Épicure et Spinoza, il n’y a point de but ; tout
omme agisse en vue de l’idéal (cet idéal ne fût-il qu’un rêve), je le
comprends
encore, car enfin l’homme conçoit cet idéal, et j
. Cournot. 9. Revue des deux mondes du 15 avril 1846. 10. « Vous
comprenez
alors l’erreur, je dirais presque le crime du pan
l’établissement à M. Soulas) Je crois, monsieur, que vous avez mal
compris
mon établissement et les personnes qui l’honorent
ives, c’est qu’étant Allemand, il me fallait au moins deux jours pour
comprendre
des plaisanteries françaises. J’entends continuel
veur. Ce sont là des réalistes, je vous en réponds, et qui m’ont fait
comprendre
que tout est curieux. Le simple bonhomme homme me
rmes et ridicules. Ici, mon cher ami, il y a quelques jeunes gens qui
comprennent
cela, et qui, éclairés par les grands naturaliste
disent rien ou se contredisent les uns les autres. D’ailleurs, je ne
comprends
pas ce maçon qui a la peau fine et un nez transpa
ces détails quelquefois trahissent tout le caractère. Pour bien faire
comprendre
une physionomie, il faut rendre l’impression qu’o
les enfants ! Les femmes, il ne les aime pas ; les enfants, il ne les
comprend
pas ; la nature, il ne la sent pas. Il traîne des
liant une traduction de Shakespeare. Il le tue. Voici comme l’Anglais
comprend
l’amour, et cela à l’époque de sa première manièr
es sentiments particuliers, deux êtres distincts ; il a tout vu, tout
compris
, il a comme dévoré tout ce qui est dans cet homme
re, et sous les châtaigniers disparaissaient dans l’ombre. » — Chacun
comprendra
que voilà comme on pense en pareille occasion, et
re ennuyé, révolté, scandalisé ou égayé, il doit admirer, sinon il ne
comprend
pas. (La suite au prochain numéro.) Edmond Duran
ns, à son âge. « Une belle forme est une belle idée, dit-il ; nous ne
comprenons
pas l’artiste qui ne cherche pas le beau. Nous vo
des farcescontre MM. Courbet et Galimard. Contre M. Courbet, cela se
comprend
; mais contre M. Galimard, c’est n’avoir pas l’es
mpfleury ne se sert pas de grands mots, de longues tirades pour faire
comprendre
une situation et les sentiments qui en naissent ;
utres passions, d’autres mœurs, d’autres vices ? Encore s’ils avaient
compris
le fond de la poésie et de la sculpture grecques
ent, et fatalement aussi entraîne à la conclusion, le lecteur ne peut
comprendre
qu’il en soit autrement. M. Champfleury a si minu
l ne soupirait qu’après les rentrées ; c’était un petit esprit qui ne
comprenait
pas le roulement de l’argent, car un autre eût tr
ix de M. May était moins assurée que d’habitude. En ce moment Édouard
comprit
la bonté de son père, qui était cachée sous une e
nt jamais pu regarder la vie en face, ni en sentir les beautés, ni en
comprendre
les sublimes grandeurs. Je crois que votre tentat
lèvent au-dessus de la brute. Chez des jeunes gens de votre âge je ne
comprendrai
jamais cette haine de la poésie ; mais ce que je
vous. Car, moi aussi, je hais les vers, cette langue aristocratique,
comprise
seulement de quelques-uns, et véritable arcane où
est sublime, la tradition romantique est habile. Ces derniers avaient
compris
qu’il n’y a rien de nouveau sous le soleil, que l
i entendu dire un jour à un célèbre auteur dramatique que ceux qui ne
comprenaient
pas le grand cœur d’Hugo n’en avaient pas eux-mêm
moins mauvais, et cependant j’aurais encore à parler de sa manière de
comprendre
les enfants, la nature, les oiseaux ; de la chari
stant perfection, décadence, qu’importe ? si c’est la fatalité. Je ne
comprends
pas, du reste, comment ils ont pu, après avoir lu
rville, dénier à cet homme un cœur aussi grand que son esprit, ne pas
comprendre
sa vie que ces lettres expliquent si bien, en un
n aurait dû lui savoir gré du courage qu’il déploya dans ce combat et
comprendre
l’effet que devait produire sur son esprit ardent
e lettre ne soit pas l’expression vraie de la pensée de Balzac, je le
comprendrais
si elle était adressée à un indifférent, à M. Goz
si elle était adressée à un indifférent, à M. Gozlan même ; je ne le
comprends
pas alors qu’elle est adressée à une sœur pour la
ressenties ?… Lucidité toutefois funeste en ce point que ceux qui ne
comprennent
pas ces puissantes facultés doutent quelquefois d
es gens qui attaquent la moralité de Balzac sont donc des gens qui ne
comprennent
pas sa force et croient que le roman n’est qu’une
mme pendant quelque temps, vont avec lui jusqu’à un certain point, le
comprennent
, l’admirent juste jusqu’à ce point, et de là, ne
décrire ce qui se passe en soi, autour de soi, devient un besoin, et
comprenez
-vous alors un homme qui, dévoré du désir de faire
même un mystificateur qui a du temps à perdre ? « Alors que se faire
comprendre
est une nécessité absolue, parce qu’il faut bien
t, même les poètes qui restent, ce qu’on relit enfin, c’est ce qui se
comprend
, ce qui est précis, ce qui est conforme à la natu
oin d’en trouver le commentaire et l’explication dans son journal. Il
comprend
davantage le style emphatique : le néologisme l’é
qu’ils écrivent, étant certains que le public est imbécile et ne les
comprendra
pas. Dans l’esprit de Stendhal, il y avait beauco
ennemies du simple qui ont inventé un artificiel quelconque et qui ne
comprennent
que le beau seriné dans les enseignements des péd
platement les statues grecques. C’est que cet homme de la société ne
comprend
rien à la sculpture et qu’il est juge excellent d
ines de châteaux élégants qui peuplent la Normandie. » (Ici le public
comprendrait
donc le simple ?) Ayant vu des paysans bretons da
ppelez poésie, et c’est moi que vous accusez de ne pouvoir vous faire
comprendre
le réalisme ! Quand on contemple, on ne voit rien
stes avant nous, cette époque-ci est plus particulièrement réaliste ;
comprenez
-vous ceci ? Avec quels yeux vous voyez, je n’en s
: Ceci m’intéresse ou ceci m’ennuie. Les industriels littéraires ont
compris
cette tendance et ont fondé l’école des amuseurs.
ères se perdent dans les faits, de l’autre il est impossible de faire
comprendre
certains côtés des caractères dans une action tro
tranquillement, qu’il a dû songer à la conserver, et pour cela, il a
compris
qu’il lui fallait une apparence de sérieux que se
anitaires, harmonieux et analogiques. Vous rêvez de mondes et vous ne
comprenez
pas le vôtre, vous demandez des ailes et dédaigne
ps et que nous ayons égard à autre chose qu’à ses fautes ! Qu’on nous
comprenne
bien : ce n’est pas de la haine pour Victor Hugo,
mme cela prouve bien que vous êtes sans force devant elle et que vous
comprenez
qu’il suffit de son souffle pour détruire vos châ
ussenel qui avait encore du bon sens, quoiqu’il fût franc chasseur, a
compris
les devoirs que lui imposait sa nouvelle croyance
ugements et ses aspirations sont limités à l’isolé. Il ne croit et ne
comprend
que ce qu’il touche ; il n’estime que ce qui l’am
vous agitez avec tant de bruit et si peu de succès. Et si vous ne la
comprenez
pas, cette question ; si, dans les huit pages de
’un peintre qui à deux pouces de distance confond ainsi les gens ; je
comprends
bien pourquoi force lui a été de rester dans le b
magnifique intelligence de peintre. Il est inutile que tu cherches à
comprendre
les personnages que tu représentes, nous avons de
s de village, n’ayant, du reste, pas d’autre mérite. Qui est-ce qui a
compris
cette bonhomie ! Qui est spirituel ? est-ce Decam
que vous avez le sentiment profond de la vie où vous êtes et que vous
comprenez
un peu la création, humiliez-vous à ce point de v
mprenez un peu la création, humiliez-vous à ce point de vous borner à
comprendre
cette création vulgaire et de renoncer à créer, p
même que sa littérature, hors de la vie, est une idée que je ne puis
comprendre
. Et voyez comme cette classe d’appréciateurs se c
ure en se conformant à la nature, ceci est le comble du grotesque. Je
comprends
les gros livres sur cette matière. À des idées ma
ieux on voit le liquide ; plus le style est clair et simple, mieux on
comprend
la pensée : pourquoi l’obscurcir, le charger à pl
e pour plaire ; et, chose singulière, ces harmonieux, d’ordinaire, ne
comprennent
rien à la musique, ne la sentent même pas ; et po
ont demandé la musique, d’autres ont prôné la couleur : si les uns ne
comprennent
rien à la musique, les autres n’entendent rien à
iments des auteurs et à en tirer quelques théorèmes sur la manière de
comprendre
de l’esprit humain. On aurait maltraité les diver
pli de vastes desseins, celui qui devait être M. Hegel4. Sans le bien
comprendre
, dès 1817 je l’avais en quelque sorte deviné et a
vons terminé notre enseignement. Ces sérieuses et intimes conférences
comprennent
et représentent l’âge mûr de notre vie et de notr
ination. Mais un système philosophique, quel qu’il soit, peut-il être
compris
isolément ? Le connaît-on quand on ignore les con
ne pas savoir d’où il vient ? Platon, par exemple, ne peut guère être
compris
sans ses successeurs, les néo-platoniciens ; et i
evanciers, sans Socrate et sans Anaxagore. Si donc je veux vous faire
comprendre
un peu profondément la philosophie platonicienne,
des différentes époques de l’histoire de la philosophie. Pour en bien
comprendre
une seule, il faudrait les connaître à peu près t
un sens immédiat pour la pensée, et de n’avoir pas besoin, pour être
comprises
, d’autre chose que d’elles-mêmes. Dans certains c
à-dire la pensée se comprenant et se connaissant. Or, la pensée ne se
comprend
qu’avec elle-même, comme au fond elle ne comprend
Or, la pensée ne se comprend qu’avec elle-même, comme au fond elle ne
comprend
jamais qu’elle-même ; c’était elle encore qu’elle
nd elle ne comprend jamais qu’elle-même ; c’était elle encore qu’elle
comprenait
dans les différentes sphères que nous venons de p
s les différentes sphères que nous venons de parcourir ; mais elle se
comprenait
mal, parce qu’elle s’y apercevait sous une forme
lle s’y apercevait sous une forme plus ou moins infidèle ; elle ne se
comprend
bien qu’en se prenant elle-même comme objet de sa
étrangère, ne songent pas que de deux choses l’une : ou la pensée ne
comprend
pas cette autorité, et alors cette autorité est p
s cette autorité est pour elle comme si elle n’était pas ; ou elle la
comprend
, elle s’en fait une idée, l’accepte à ce titre, e
; mais en même temps elle demeure la philosophie ; elle s’efforce de
comprendre
la religion, elle convertit les saintes vérités q
toutes choses, une paix suprême et inaltérable. Ne rien exclure, tout
comprendre
, encore une fois c’est là le trait de notre temps
on peut dire qu’il y en a probablement sept à huit qui cherchent à se
comprendre
, qui réfléchissent. Le nombre des penseurs, des e
ions que nous accusons tant, nous ne croyons même qu’à elles, nous ne
comprenons
qu’elles, et c’est en elles et par elles que nous
nous ne comprenons qu’elles, et c’est en elles et par elles que nous
comprenons
tout. Prenons un exemple à la fois très élevé et
u si obscur, et ces ténèbres au moins vous deviendront visibles. Vous
comprendrez
comment devant cette idée terrible à la fois et c
armée de terre et de mer. On peut trouver encore d’autres manières de
comprendre
cette loi. Mais enfin, prise en elle-même, quel g
obscurément que, dans un dialogue de Platon, Socrate déclare qu’il ne
comprend
guère toutes ces représentations fabuleuses ; et,
it le culte de Jupiter. Socrate avait la bonne foi d’avouer qu’il n’y
comprenait
pas grand-chose. Aujourd’hui nous y comprenons da
foi d’avouer qu’il n’y comprenait pas grand-chose. Aujourd’hui nous y
comprenons
davantage. Cependant la critique symbolique a-t-e
n des divers éléments dont elle se compose ; Que de choses alors vous
comprenez
, qui auparavant étaient pour vous des énigmes ind
up plus intelligibles, éclairés et interprétés par la philosophie. On
comprend
sans doute assez bien aujourd’hui la pensée intér
s les mouvements du seizième siècle. Cependant je demande si on ne la
comprend
pas tout autrement encore, lorsqu’on la voit, au
dée du vrai ; c’est par là que vous vous exercerez à reconnaître et à
comprendre
toutes les parties de l’histoire ; car s’il y a d
celui de la raison ? Ne veut-elle pas se rendre compte des faits, les
comprendre
dans leurs causes et les rappeler à leurs lois ?
s nous pensons, nous ne pouvons les admettre qu’à la condition de les
comprendre
, et nous ne pouvons les comprendre qu’à la condit
admettre qu’à la condition de les comprendre, et nous ne pouvons les
comprendre
qu’à la condition générale de comprendre, de nous
ndre, et nous ne pouvons les comprendre qu’à la condition générale de
comprendre
, de nous entendre avec nous-mêmes. Les signes son
n même temps s’aperçoit lui-même : c’est là se connaître, c’est là se
comprendre
, c’est là l’intelligence : l’intelligence sans co
es, dont la nature et la destinée est, avant tout, de connaître et de
comprendre
, et qui croient à l’existence de Dieu, n’y veulen
er jusqu’à lui, le connaître et y croire ? Croire, c’est connaître et
comprendre
en quelque degré. Ôtez la possibilité de connaîtr
ossible. C’est avec la raison humaine que nous faisons tout, que nous
comprenons
, rejetons ou admettons toutes choses ; ainsi c’ét
à la réflexion, ce pouvoir que la raison a de saisir la vérité, de la
comprendre
et de l’admettre, sans s’en demander et s’en rend
idu, des différences manifestes. Il ne faut pas les nier, il faut les
comprendre
et rechercher d’où elles viennent. Elles viennent
ns le même temps ils diffèrent nécessairement entre eux, qu’ils ne se
comprennent
pas et ne peuvent pas se comprendre, et qu’ils se
airement entre eux, qu’ils ne se comprennent pas et ne peuvent pas se
comprendre
, et qu’ils se traitent réciproquement d’insensés
ne sont guère que des moitiés, des quarts d’hommes qui, ne pouvant se
comprendre
, s’accusent les uns les autres. Jeunes gens qui f
nquera pas ; vous amnistierez aisément en lui l’humanité, car vous la
comprendrez
, et vous la comprendrez parce que vous la posséde
ierez aisément en lui l’humanité, car vous la comprendrez, et vous la
comprendrez
parce que vous la posséderez tout entière : c’est
mes, et non leur raison, c’est-à-dire ce qui peut seul nous les faire
comprendre
. Il faut donc, selon notre méthode ordinaire, nou
ue ce soit le rapport du fini à l’infini : un rapport, pour être bien
compris
, suppose que ses deux termes l’ont été ; car un r
ples faits qui tombent sous nos sens, ce sont des idées que la raison
comprend
. On fait très bien de recueillir les faits comme
de Montesquieu, c’est-à-dire de l’homme de notre pays qui a le mieux
compris
l’histoire et qui le premier a donné l’exemple de
présentation dans l’histoire. La philosophie de l’histoire, pour bien
comprendre
une époque et les différents peuples qu’elle embr
ne et forment alors une diversité perpétuelle sans aucune unité. Pour
comprendre
les divers événements qui se passent dans un peup
est ce progrès qu’il faut reconnaître et suivre, sous peine de ne pas
comprendre
grand-chose à l’histoire de ce peuple. Je suppose
la plus élevée n’est pas fort embarrassante. Il est plus difficile de
comprendre
et d’exprimer l’idée fondamentale de la religion
l’homme se développe de différentes manières, mais elle n’arrive à se
comprendre
elle-même que quand sur tout ce qu’elle a conçu e
des plus nobles idées ; l’humanité entière y applaudit parce qu’elle
comprend
à merveille que c’est elle qui était engagée et q
é, c’est-à-dire l’évidence de leur mission, les frappe ; ils semblent
comprendre
confusément que sans cela ils agiraient comme de
e vous le dis en passant, n’écoutez que Montesquieu : lui seul a bien
compris
César, et il a comme découvert le génie politique
mmes. Or, je demande quel grand homme a paru dans les vastes contrées
comprises
entre le pays des Samoïèdes et le golfe du Gange,
même en philosophie. La lutte des grands génies philosophiques, bien
comprise
, n’a rien d’affligeant, car elle tourne au profit
it avoir survécu à bien des révolutions et à bien des désordres, pour
comprendre
que tous ces désordres ne sont qu’apparents, et q
il rend compte d’une multitude de phénomènes de l’histoire, il ne les
comprend
pas tous. Ainsi, tout incomplètes que seront tout
daigner, tout mettre à profit, fuir l’exclusif pour soi-même, mais le
comprendre
et l’amnistier dans les autres ; tendre à l’unive
et ils appelaient un point de vue plus élevé encore et plus vaste qui
comprît
les deux points de vue de la religion et de l’Éta
phante, d’abord il ne s’y intéressera pas, ensuite il n’y pourra rien
comprendre
. Cela est évident pour les mathématiques ; cela n
t à plus forte raison, de la philosophie. Il serait étrange qu’on pût
comprendre
les livres des philosophes sans être versé dans l
ne suffit pas qu’on s’intéresse au passé et qu’on soit capable de le
comprendre
, il faut encore qu’on le connaisse, et qu’on ait
’ordre chronologique, mais matériellement en quelque sorte et sans en
comprendre
toute la profondeur ; il ne sait pas que l’ordre
e ; mais au lieu de voir dans la conscience tous les éléments qu’elle
comprend
, sans rejeter entièrement l’élément intérieur, la
s savantes, souvent à moitié dégradés par le temps et si difficiles à
comprendre
qu’aujourd’hui même, après un siècle entier d’eff
plus large que celle de Locke, rendait Tennemann bien plus capable de
comprendre
et d’apprécier les grands monuments de la philoso
n, ne voyant que par les yeux de Kant, n’aperçoit pas tout ; faute de
comprendre
, il critique, ce qui est bien plus facile ; il es
une philosophie essentiellement optimiste, dont l’effort est de tout
comprendre
; son unité n’est pas une unité systématique et a
. Si vous avez retranché ou éludé ces problèmes, comment pourrez-vous
comprendre
les solutions qu’en ont données les maîtres de la
ant pas les enfants de cette époque sont parfaitement reçues à ne pas
comprendre
le dix-neuvième siècle et sa mission. Mais, grâce
u par le monde et par l’homme, car Dieu n’y est pas tout entier. Pour
comprendre
absolument l’infini, il faudrait le comprendre in
pas tout entier. Pour comprendre absolument l’infini, il faudrait le
comprendre
infiniment, et cela nous est interdit. Dieu, tout
ie ne peut absolument manifester, ni par conséquent nous permettre de
comprendre
absolument. Il reste donc en Dieu, malgré l’unive
n’explique pas l’inexplicable, elle le conçoit. De même elle ne peut
comprendre
d’une manière absolue l’infinité divine, mais ell
peut comprendre d’une manière absolue l’infinité divine, mais elle la
comprend
en quelque degré dans ses manifestations indéfini
découvrent et qui la voilent ; et de plus, comme on l’a dit, elle la
comprend
en tant qu’incompréhensible. C’est donc une égale
si, créant le monde, il n’eût pas créé mon Âme, cette Âme qui peut le
comprendre
et l’aimer, la création eût été imparfaite, car e
lequel nous pouvons soutenir un rapport réel aussi, que nous pouvons
comprendre
et sentir, et qui, à son tour, peut comprendre et
ussi, que nous pouvons comprendre et sentir, et qui, à son tour, peut
comprendre
et sentir nos efforts, nos souffrances, nos vertu
st la personnalité humaine ; il ne connaît qu’en nous et par nous… Je
comprends
fort bien le sens et la portée de l’ordre et de l
s élans, mes angoisses, mes misères, mes espérances. Ce Dieu-là je le
comprends
et il me comprend ; il m’aime et je l’aime ; je l
ses, mes misères, mes espérances. Ce Dieu-là je le comprends et il me
comprend
; il m’aime et je l’aime ; je l’invoque et il m’e
fois parvenu à l’unité absolue, il n’est plus aisé d’en sortir et de
comprendre
comment, l’unité absolue étant donnée comme princ
monde qu’elle lui est étrangère, et qu’alors il devient impossible de
comprendre
comment cette unité a pu sortir d’elle-même, et c
p. 19, 20, 21 ; voyez aussi, sur la difficulté que trouvait Socrate à
comprendre
la mythologie populaire, le commencement du Phèdr
nous a fallu adresser à ce disciple, à cet ami si regretté. 151. On
comprend
qu’il nous était impossible de nous expliquer en
s constituent nos diverses sortes de connaissances. — Cela fait, pour
comprendre
la connaissance que nous avons des corps et de no
finiment ajoutées bout à bout. — Mais il nous reste un autre moyen de
comprendre
les choses, et, à ce second point de vue qui comp
apitale de deux groupes de centres dans l’encéphale : le premier, qui
comprend
la protubérance annulaire, les pédoncules cérébra
iques, et qui est le siège des « sensations brutes » ; le second, qui
comprend
les lobes cérébraux proprement dits et où se fait
sible aujourd’hui, notamment dans l’histoire. On s’aperçoit que, pour
comprendre
les transformations que subit telle molécule huma
il faut en faire la psychologie. Il faut faire celle du puritain pour
comprendre
la Révolution de 1649 en Angleterre, celle du jac
comprendre la Révolution de 1649 en Angleterre, celle du jacobin pour
comprendre
la Révolution de 1789 en France. Carlyle a écrit
erdu son temps. L’érudit a l’esprit court : l’épigraphie l’empêche de
comprendre
l’histoire ; la philologie l’empêche de comprendr
aphie l’empêche de comprendre l’histoire ; la philologie l’empêche de
comprendre
la littérature ; l’archéologie l’empêche de compr
e l’empêche de comprendre la littérature ; l’archéologie l’empêche de
comprendre
l’art. L’érudit, confiné dans sa tâche méticuleus
ité est un titre d’admission plus indispensable que l’habileté. Ainsi
comprises
, les études communes, poursuivies avec le même es
science, de sa vie entière. Vous y verrez que non seulement M. Paris
comprend
le moyen âge, mais qu’il le sent, qu’il a pénétré
nts ans, nous sommes cependant beaucoup plus capables de goûter et de
comprendre
son art et sa littérature et nous nous en sentons
in que les écrivains des siècles classiques. En êtes-vous sûrs ? Pour
comprendre
et pour aimer certains sentiments, il faut du moi
e Mme de Goethe, qui a en elle le sentiment du réel et le bon sens, a
compris
tout d’abord que cet amour de la jeune fille pour
il avait eu, lui aussi, la générosité d’embrasser si pleinement et de
comprendre
. Ces paroles de Goethe sur Schiller allèrent jusq
ethe lui posa la main sur la bouche et lui dit : « Parle des yeux, je
comprends
tout. » Et quand il s’aperçut que les yeux de la
onne n’a mieux parlé que lui de Voltaire même, ne l’a mieux défini et
compris
comme le type excellent et complet du génie franç
un père ou un frère. Il appelait Schiller un être magnifique. Goethe
comprenait
tout dans l’univers, — tout, excepté deux choses
s au milieu de la nature, dont votre esprit, lui écrit-elle, m’a fait
comprendre
la vie intime, souvent je confonds et votre espri
tu nous jettes à l’improviste une couronne. » C’est qu’aussi elle le
comprend
si bien, elle sait si bien l’admirer ! On extrair
s cesse ; où tu parais, paraît avec toi la sainte Harmonie. » Elle le
comprend
sous les différentes formes qu’a revêtues son tal
’écriait avec douleur et sympathie : « Chère, très chère Bettine, qui
comprend
l’art ? Avec qui s’entretenir de cette grande div
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