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1 (1767) Salon de 1767 « Adressé à mon ami Mr Grimm » pp. 52-65
trer que vous avez cet œil, et que vous vous en servez sans cesse. Ne convenez -vous pas que tout être, surtout animé, a ses fonc
ation si marquée quelquefois, qu’elle ferait deviner la fonction ? Ne convenez -vous pas que cette altération n’affecte pas seule
la masse générale, sans affecter chaque partie prise séparément ? Ne convenez -vous pas que quand vous avez rendu fidèlement, et
odèle premier… un moment, de grâce, et nous y viendrons peut-être. Ne convenez -vous pas encore que les parties molles intérieure
es premières dévelopées, disposent de la forme des parties dures ? Ne convenez -vous pas que cette influence est générale sur tou
ez-vous pas que cette influence est générale sur tout le système ? Ne convenez -vous pas qu’indépendamment des fonctions journali
nu, que rien n’eût péché d’aucun côté, ni par excès, ni par défaut ? Convenez que, si vous n’êtes pas frappé de ces observation
teinture d’anatomie, de physiologie, la première notion de la nature. Convenez du moins que sur cette multitude de têtes dont le
vue dans un miroir concave ait un seul point pareil à un autre point. Convenez qu’il parlait en grand artiste et en homme de sen
grands, larges et beaux ; mais songez que vous ne les reverrez plus. Convenez donc qu’il n’y a et qu’il ne peut y avoir ni un a
ubsistant que vous puissiez prendre à la rigueur pour modèle premier. Convenez donc que ce modèle est purement idéal, et qu’il n
er servilement, à moins que vous ne veuillez vous faire portraitiste. Convenez donc que, quand vous faites beau, vous ne faites
, vous ne faites rien de ce qui est, rien même de ce qui puisse être. Convenez donc que la différence du portraitiste et de vous
l n’y a, mon ami, aucune espèce de poëte à qui la leçon de Garrick ne convienne . Son propos bien réfléchi, bien approfondi, conti
2 (1707) Discours sur la poésie pp. 13-60
poserai ensuite mes conjectures sur l’ode, et sur les beautés qui lui conviennent . J’examinerai cet enthousiasme, ce beau désordre
s mêmes à quoi ils la bornent, une preuve de sa dignité. Mais il faut convenir que cette idée n’a point de fondement solide : el
s des hommes ordinaires, ils ne doivent qu’exprimer les sentimens qui conviennent à leurs acteurs ; et prendre pour cela les tours
yrique, et lui font perdre même toute sa grace. Dans ce sens, il faut convenir que le désordre est un effet de l’art : mais auss
op simples, proposer les deux autres, comme le modéle de la pompe qui convient à l’ode. Pourquoi ce caprice apparent ? Tâchons d
peut l’en séparer, sans en tronquer le véritable sujet. Il faut donc convenir que ce précepte de la simplicité de l’exorde, ne
le sentira-t-on, si quelqu’une de ces qualités manque ? Tout le monde convient aujourd’hui que sans le vrai, il ne peut y avoir
ues doivent se faire une loi de cette précision. Le style diffus peut convenir aux orateurs : il leur est permis d’étendre leurs
pour les autres. Voilà les réflexions que j’ai faites sur ce qui peut convenir à l’ode ; sur-tout à l’ode héroïque. J’ai travail
ser ce defaut, Malherbe est assez justifié, puisque tout le monde est convenu avec lui de la perfection de ses vers : mais sa g
surpasser nos maîtres ; et il me semble qu’on est enfin parvenu à en convenir  : mais quand cette idée seroit aussi fausse qu’el
pour atteindre les anciens, qu’on désespérera moins de les passer. Je conviens que qui ne sçait pas les admirer où ils sont admi
3 (1788) Les entretiens du Jardin des Thuileries de Paris pp. 2-212
ce comme en Angleterre, dans la crise des affaires publiques, il faut convenir que tout le public y forme une chambre des commun
une citadelle à l’abri des tempêtes, & l’on ne put s’empêcher de convenir que des hommes célebres avoient illustré cette es
Alors il n’y a rien de fixe, & chacun tremble pour son état. Nous convînmes unanimement de la justesse de cette réflexion, en
urs, même les plus célebres. On finit par être de mon avis, & par convenir que cela rabattoit les fumées de l’orgueil, &
auteurs n’ont point autant d’amabilité qu’ils devroient en avoir. On convint de cette vérité, & l’on crut en trouver la ra
s nous étendîmes sur l’article des livres, & nous fûmes forcés de convenir que les meilleurs n’avoient souvent été qu’un mas
e fassent naître, quand la circonstance le requiert. Je le veux, mais convenons que par notre inconstance, par notre air impérieu
le sais parfaitement, dis-je à un d’entre nous, qui n’en vouloit pas convenir , & ma science sur ce point est toute récente.
du luxe, des noces, des enterremens des diverses nations, & nous convînmes d’un commun accord que la sépulture jadis si reno
ns tous les pays de l’Univers, tout soit à la françoise, mais il faut convenir que les nations sur bien des articles, en sont be
illonage, c’est dénaturer les choses, & vous rendre ridicule ! On convint qu’elle avoit raison, & cela donna lieu à mil
bien agissante, & je brûle sur-le-champ tous mes parchemins. Nous convînmes en effet, qu’il n’y avoit plus de grands, plus d’
les font encore votre parure ; mais ne sortons pas de la these, & convenons qu’il ne se trouve dans aucune ville du monde aut
reprocher, mais combien n’y en a-t-il pas d’autres, si vous voulez en convenir  ? Abus tant qu’il vous plaira, mais je dirai touj
eroit une ressource de plus pour ceux qui n’ont point d’état. Vous en conviendrez , mylord. Je n’en doute nullement, d’autant plus q
n ne peut douter qu’il n’eût été rejeté d’un consentement unanime. Je conviens néanmoins qu’il faut en excepter ce que vous nomm
mblées comparables à celles de Sceaux & de Saint-Cloud ! car vous conviendrez , mylord, que tous ces dehors de Rome & de tan
la maniere de se réjouir, elle est relative à chaque nation, mais je conviens que la vôtre a l’air d’intéresser les spectateurs
égantes, pour savoir quelles seroient ses réflexions sur les voyages. Convenez , madame, que malgré votre enthousiasme pour eux,
iseres qui accompagnent les voyageurs, ne peut être qu’agréable. Mais convenez au moins, messieurs, qu’on est amplement dédommag
des maisons, de sorte qu’il faut être sans cesse sur le qui-vive. On convint qu’il n’y avoit rien d’exagéré dans ma narration,
ttention ; mais si je rencontrois des essaims de guêpes à chaque pas, convenons que la chose ne seroit rien moins qu’amusante. Au
a contre les de Thou, les Cinq-Marc, les Montmorency & autres. Je conviens qu’il se trouva dans des positions cruelles, &
is entiers, avant de l’en instruire… C’étoit autrefois ; mais il faut convenir que sous ce regne beaucoup plus doux, que ceux qu
eaux, ni ciseaux, ni canif, si l’on vouloit les faire périr ? Mais je conviens avec vous, que c’est supplicier de minute en minu
ux, & où il est privé de toute communication avec les vivans ; je conviens que cela est tellement odieux, que si le monarque
rs de pareils ordres… Je ne veux rien diminuer de ce nombre, & je conviendrai même de toutes les vexations, & de toutes les
d’injustice & de brutalité ; mais le gros des nations en frémit. Convenons , néanmoins, que les lettres de cachet ne sont qu’
e ne sais combien d’opération aussi agréables qu’utiles ; car il faut convenir qu’en fait d’agronomie, il y a d’heureuses découv
qu’elle soit le plus beau jardin de la France, comme tout le monde en convient . Nous l’échauffâmes tellement sur cet objet, qu’i
ours sera-t-il vrai de dire que des mots grecs ne sont point ceux qui conviennent en pareils cas. Cela donne un air de pédantisme,
ls ont une abondance de termes au-dessus de ce qu’on peut dire…. J’en conviens , mais leur poésie par cette raison est trop souve
nt de ce qu’on écrit trop tôt, car lorsqu’on sort du college, il faut convenir qu’on n’a guere en partage que des mots. Outre qu
pas, ajouta-t-il, qu’il n’y ait des personnages qui n’en veulent pas convenir , mais des personnages qui, fanatiques pour le sie
ur passion pour les modes, pour les plaisirs, pour les spectacles. Je convins pour la plus grande partie de ces faits, & je
e meilleurs écrivains. Dites la vérité, mon cher monsieur, & vous conviendrez que c’est uniquement pour ne pas penser comme tou
est leur maniere & leur plaisir. Comme le frondeur est vrai, je conviens en partie de ce que vous avancez. Mais qui est-ce
’un chef qui vous permettroit de dogmatiser, de crier, de satyriser ; convenez que ce seroit une belle patente, & qu’il y au
deur finit par me donner gain de cause sur bien des points, & par convenir qu’on étoit souvent entraîné par l’orgueil &
soins. Nous nous entretînmes sur le commerce de la Russie, & nous convînmes que Catherine lui donnoit une superbe extension,
ens, & que sa cour est une des plus éclatantes de l’univers. J’en conviens , me dit le plus âgé des deux négocians ; mais plu
on plus dangereuse qu’on n’imagine, par l’abus qu’on en fait. Il faut convenir , dit le plus jeune de la compagnie, que sans la c
eux-mêmes donné lieu à toutes les calomnies dont on les accable. Nous convînmes unanimement qu’on se plaignoit à tort de ce que l
lumiere pour en découvrir tout le mécanisme & les replis, il faut convenir qu’un habile médecin qui en connoît toutes les pa
combien de fois ne s’est-il pas montré dépourvu de tout intérêt ?… Je conviens qu’il n’est pas toujours impartial, que moi-même,
ions, ils étoient plus propres à corrompre le goût, qu’à l’épurer. On convint que réellement il arrivoit quelquefois que le mer
re réfractaire à dire que l’analyse en étoit très-bien faite, & à convenir enfin qu’il ne faut jamais se laisser prévenir. N
a jamais vu se retracter. Eh ! pourquoi lorsqu’ils se trompent, n’en conviennent -ils pas de bonne foi. L’on seroit enchanté de cet
r des ridicules qui justifioient les siens. Eh bien ! me disoit-elle, convenez donc que je ne suis pas aussi risible que cette p
soit dans la tournure d’esprit… Oh ! madame, mettez-en davantage, ou convenez du moins qu’il y a des personnes qui ont tant de
mens, des équipages plus ridicules les uns que les autres ? Cela nous convient d’autant moins, que nous ne sommes pas nés pour c
e, dont ce petit homme est chargé, ne vous éblouissent-ils pas ; mais convenez que celui qui les porte a l’air de les devoir ou
; comment y porter remede, si l’on n’en a qu’une idée imparfaite ? Je conviens de tout cela, me répondit mon homme prévenu ; mai
4 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » pp. 39-51
Ecrits, en ont fait un Nain, un Pygmée, un Lilliputien, & il faut convenir qu’ils l’ont un peu trop raccourci. Par cette dou
er : Ce jeune homme n’a que cette Piece dans le ventre. Tout le monde convient que Timoléon, Pharamond, Gustave-Vasa, Menzikoff,
mp; même parmi les Philosophes, ses Protecteurs. Le ton avantageux ne convient à personne, moins encore à un Auteur, dont presqu
lique dont il est le Dictateur, bien loin de blâmer sa conduite, nous conviendrons qu’elle est plus sage qu’on ne l’imagine. Il faut
5 (1895) La musique et les lettres pp. 1-84
de ces amateurs qui se succèdent, s’élisant. Une vacance : « un tel ( conviennent -ils) à Londres, quelque part, pourrait être des n
quelque paysage britannique ; ainsi qu’à compulser, dans le fauteuil convenu , un des tomes épaississant sa muraille puis hante
e robe, autour de la marche de quelques messieurs délicieux. Un motif convient , pour se priver ainsi : défiance, où poind un ins
ntre — j’aimerais que ce fût pour — la Littérature, une exception qui convient . Le génie, du reste, se servit de la langue, et d
re », quels seront-ils ? Rien ne presse de les détailler. Avant tout, convenait de poser le principe ; mais je sais que, dans mai
ne s’impose pas avec l’opinion que ce dogme dernier puisse varier. Il convient d’en parler déjà, ainsi qu’un invité voyageur tou
dans l’espoir de s’y mirer.   Je sais que la Musique ou ce qu’on est convenu de nommer ainsi, dans l’acceptation ordinaire, la
j’affectionne cette habitude : il ne faut, dans mon pays ni au vôtre, convînmes -nous, qu’une lacune se déclare dans la succession
comme très subtil nuage : seules, elles, une monnaie si courante. Il convenait de ne pas disjoindre davantage. Le titre, proposé
6 (1782) Plan d’une université pour le gouvernement de Russie ou d’une éducation publique dans toutes les sciences « Plan d’une université, pour, le gouvernement de Russie, ou, d’une éducation publique dans toutes les sciences — Plan, d’une université, pour, le gouvernement de Russie » pp. 433-452
ar sa stupidité décide la sorte d’instruction forte ou faible qui lui convient . La portée commune de l’esprit humain est la règl
nt à tous les autres et leur font croire, au nom de Dieu, tout ce qui convient au démon du fanatisme et de l’orgueil qui les pos
es sujets d’un empire, s’ouvrît par une étude, par une science qui ne conviendrait qu’à la moindre partie d’entre eux. A ces raisons
que je leur donnerai ? la réponse n’est pas difficile. Celle qui leur convient à tous, quelle que soit la condition de la sociét
lle sera la seconde ? Celle qui, d’une utilité un peu moins générale, conviendra au nombre de ceux qui me resteront. Et la troisiè
nt. Et la troisième, celle qui, moins utile encore que la précédente, conviendra au nombre moins grand de ceux qui m’auront suivi
on de l’ordre des études dans une école n’est point du tout celle qui conviendrait dans un ouvrage scientifique. L’écrivain se laiss
dans son esprit et les amène sous sa plume ; mais sa méthode ne peut convenir à un enseignement public. Ou il rapportera toute
7 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 14, qu’il est même des sujets specialement propres à certains genres de poësie et de peinture. Du sujet propre à la tragedie » pp. 108-114
s de poësie et de peinture. Le sacrifice d’Iphigenie, par exemple, ne convient qu’à un tableau où le peintre puisse donner à ses
précations ni imposer les peines dûës aux grands crimes. L’églogue ne convient pas aux passions violentes et sanguinaires. Quelq
en y faire attention, de se méprendre sur le choix des sujets qui lui conviennent . Le but de la tragedie étant d’exciter principale
8 (1911) La morale de l’ironie « Chapitre IV. L’ironie comme attitude morale » pp. 135-174
le réclament de nous des gestes différents. Quelle est l’attitude qui convient à l’homme tel que je l’ai présenté, en face du mo
ni les autres. Il me suffit d’indiquer à peu près dans quel esprit il conviendrait de les étudier, pour leur trouver des solutions a
boutir à résoudre parfaitement le problème de la vie. Quelle attitude convient à un pareil être incohérent et logique, puissant
t, en lui comme en dehors de lui ? Il semble bien qu’une attitude lui convient , en effet, et que c’est une attitude d’ironie. Ce
doute, l’homme et l’être quel qu’il soit restera toujours boiteux. Il convient de se résigner à ce qu’il ait toujours besoin de
ains moments l’ironie trouve en elle-même le frein qui la retient. Il convient d’être ironique même vis-à-vis de l’ironie. Si so
ent pas en cela d’une logique très haute, je n’y contredirai pas. Ils conviennent à la faiblesse de l’homme. Mais elle nous apprend
séparent les uns des autres, sont peu de chose dans le monde et qu’il conviendrait mieux à leur nature de ne pas s’accabler entre eu
us ou moins d’individualisme. Et il est bien difficile de dire ce qui convient même à un peuple donné à un moment donné de son h
9 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 457-512
gue & subordonne entre eux les Hommes célebres ; on sera forcé de convenir , qu'à ce titre M. de Voltaire ne pourra soutenir
n'avoir pu produire de Poëme épique ». Quel que soit le nom qui lui convienne , le Lutrin lui est, sans contredit, très-supérieu
que saura apprécier les traits de l'Art & du Génie, sera forcé de convenir , qu'un seul des Episodes de cet Ouvrage immortel,
, & ont-ils pu espérer qu'on les en croiroit sur leur parole ? On convient sans doute que l'Auteur de Mérope, d'Alzire, de M
squ'à ses défauts, il n'a pu se concilier les suffrages du Public. On convient que l'esprit du genre comique lui est totalement
lus pauvre invention, & d'un style entiérement opposé à celui qui convient à ces sortes de Pieces : Samsom, Pandore, le Temp
; les idées reçues, sacrifiées à l’envie de plaire ; & le ton qui convient aux matieres qu’il traite, défiguré par sa manier
ables dont il les a assaisonnés, l’en rendent comme le Créateur. Nous conviendrons que Candide & le Huron sont de son invention,
beau seul & l’honnête peuvent soutenir les épreuves du temps. Ils conviennent que parmi les Ouvrages de M. de Voltaire, il y en
10 (1911) La morale de l’ironie « Chapitre III. Les immoralités de la morale » pp. 81-134
r qu’elle est imparfaite. Il est déjà très difficile de savoir ce qui convient le mieux à tel peuple donné, à un moment donné. M
s le couvert d’une autorité respectée, les règles de conduite qui lui conviennent . Tel négociant aura pour ses affaires une morale
e qui est « moral » et « obligatoire », c’est, bien souvent, ce qui a convenu à nos arrière-grands-pères. Et ce qui passe pour
Et ce qui passe pour immoral, c’est, bien souvent aussi, ce qui nous conviendrait à nous. L’âme sociale a pris des habitudes et des
, les déviations ont été nombreuses et assez graves. Tout le monde en conviendrait sans doute, et même leurs partisans. Il est tout
nts et provoquent des déviations différentes de la morale. Le premier convient aux timides, aux scrupuleux, aux prétentieux et a
ces passions déborder et s’étaler sans chercher à les contenir. Elles conviennent aussi à ceux qui veulent sincèrement être sincère
e par nécessité. En un sens, toutes les qualifications élogieuses lui conviendraient , mais chacune serait amoindrie par les autres, et
chacune serait amoindrie par les autres, et, en somme, aucune ne lui conviendrait , en ce sens que toute vertu qu’on croirait lui tr
ut à fait exact de dire qu’il a ces qualités mêmes. Nos vertus ne lui conviendraient guère mieux qu’à l’être parfait auquel un anthrop
a reçues et acceptées sur le bien sont tout à fait injustifiables. Il convient de se méfier des « vérités » qui « portent avec e
11 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Seconde partie. De l’état actuel des lumières en France, et de leurs progrès futurs — Chapitre VII. Du style des écrivains et de celui des magistrats » pp. 543-562
sentiments ; il modifie tout son être. Examinons donc quel style doit convenir à des écrivains philosophes, et chez une nation l
les mouvements du cœur de l’homme, et dessèchent son imagination, ne conviennent pas davantage à cette nature universelle dont un
suet, les pensées philosophiques avec les tableaux imposants qui leur conviennent  ; Rousseau, les passions du cœur avec les effets
gination dépourvus de pensée ? Il ne faut rien exclure ; mais on doit convenir que les livres philosophiques qui n’en appellent
t élevé, l’énonciation claire d’un fait, ce style de la raison qui ne convient qu’à la vertu, l’esprit ne peut le feindre : non
12 (1824) Notes sur les fables de La Fontaine « Livre onzième. »
ourquoi commencer par contredire Ésope sur un point où l’on finit par convenir qu’il a raison ? Il était mieux d’entrer tout de
ours des jeunes gens est assez raisonnable, mais il y a un mot qui ne convient qu’à des étourdis, c’est celui du vers 4 : Assur
ées. Quelle force de sens et quelle précision ! V. 12. Tout cela ne convient qu’à nous. Mot important. Voilà le sentiment qui
sensé. Le premier mot de sa réplique annonce un sage : V. 13. Il ne convient pas à vous-mêmes… Cinq ou six vers après, on voi
13 (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Troisième partie. Étude de la littérature dans une époque donnée causes et lois de l’évolution littéraire — Chapitre III. Des moyens de trouver la formule générale d’une époque » pp. 121-124
lieu de tout ce qui l’environne-. Seulement reste à savoir comment il convient de mener cette enquête, portant non seulement sur
vains ou des orateurs. C’est seulement à ce triple point de vue qu’il convient de les envisager. Nous allons donc parcourir lent
r. Nous allons donc parcourir lentement la série des opérations qu’il convient de faire pour étudier dans une époque donnée les
14 (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre premier. Les signes — Chapitre II. Des idées générales et de la substitution simple » pp. 33-54
ment en disant que les premiers, comme César, Tuileries, Cromwell, ne conviennent qu’à un seul objet, tandis que les seconds, comme
n seul objet, tandis que les seconds, comme arbre, triangle, couleur, conviennent à un groupe indéfini d’objets. Ceux-ci sont les p
olygone, est un nom général ou abstrait. — Il est général parce qu’il convient à un genre ou groupe d’objets semblables, le nom
deux caractères du nom ; il est général parce qu’il est abstrait ; il convient à toute la classe parce que l’objet désigné, n’ét
saye les mots de voluptueux, de riche, de facile, d’abondant ; ils ne conviennent pas ou ne conviennent qu’à demi. On recommence al
tueux, de riche, de facile, d’abondant ; ils ne conviennent pas ou ne conviennent qu’à demi. On recommence alors en divisant la rec
15 (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « L’abbé Prevost et les bénédictins. »
nformé de ce contre-temps et qui crut la chose faite, sortit, le jour convenu , de Saint-Germain-des-Prés : « Il se rendit au ja
lettre, et, pour peu que chacun veuille s’expliquer sincèrement, l’on conviendra que telle est à mon égard la disposition de presq
l avoit entendu dire à peu près la même chose à Votre Révérence. Vous conviendrez , mon Révérend Père, que cela est piquant pour un
les conserver jusqu’au tombeau. Qu’on me rende un peu de justice, on conviendra que je n’étois nullement propre à l’état monastiq
sa personne. C’est dans ses ouvrages (et je l’ai fait ailleurs) qu’il convient de prendre une entière et véritable idée de son e
16 (1782) Plan d’une université pour le gouvernement de Russie ou d’une éducation publique dans toutes les sciences « Plan d’une université, pour, le gouvernement de Russie, ou, d’une éducation publique dans toutes les sciences — I. Faculté des arts. Premier cours d’études. » pp. 453-488
érale et les tables sont de moi, comme l’auteur a eu l’honnêteté d’en convenir . Mon manuscrit s’est égaré à sa mort. On n’orient
distinctement ; que quand ils n’auraient pas cette dose de raison qui convient aux sciences que je viens de nommer, ce n’est poi
rs n’ont-ils pas été traduits et retraduits cent fois ? Mais quand je conviendrais de l’avantage de ces langues pour certains états,
car il ne s’agit point ici de leur utilité, mais bien du temps où il convient de les apprendre : est-ce lorsqu’on est enfant et
naissance du grec et du latin est utile au médecin, et de l’âge où il convient de se livrer à cette étude, je puis le dire du li
jours difficile. — Mais c’est que le grec est plus étendu. — J’en conviens . — C’est qu’on s’en occupe moins. — J’en conv
tendu. — J’en conviens. — C’est qu’on s’en occupe moins. — J’en conviens encore. — Et voilà les raisons pour lesquelles
s, qu’on achèvera de se convaincre combien leur connaissance précoce convient peu à la jeunesse69. Caractère des auteurs gre
a jeunesse. Lucien, l’élégant, l’ingénieux et le plaisant Lucien, lui conviendrait davantage ; mais il est impie, mais il est sale,
la belle nature. Mais qu’est-ce que la belle nature ? C’est celle qui convient à la circonstance. Ici, la même nature est belle 
de ce travail que le mot qu’on trouvera sera nécessairement celui qui convient  ? Un écolier aura à rendre cette expression, mais
17 (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « [Errata] — Fautes à corriger dans le second Volume. » p. 366
, l. 23, qu’avoit faite, lis qu’avoit fait pag. 408, l. 25, ut mieux convenu , lis. eut mieux convenu. Ibid, l. 27, il eut tri
lis qu’avoit fait pag. 408, l. 25, ut mieux convenu, lis. eut mieux convenu . Ibid, l. 27, il eut triste, lis. il est triste.
18 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 30, de la vrai-semblance en peinture, et des égards que les peintres doivent aux traditions reçuës » pp. 255-265
ce poëtique consiste à donner à ses personnages les passions qui leur conviennent suivant leur âge, leur dignité, suivant le temper
pour son maître, doivent être exprimez par des demonstrations qui ne conviennent pas à l’attention de la suite d’un consul romain
et même de celle qu’on donne ordinairement à S. Paul, quoiqu’elle ne convienne pas trop avec le portrait que cet apôtre fait de
19 (1833) De la littérature dramatique. Lettre à M. Victor Hugo pp. 5-47
notre fortune. J’ai dit notre gloire, Monsieur, parce qu’il est bien convenu entre nous que tout auteur a de la gloire. Vous a
la gloire. Vous avez la vôtre, et moi j’ai la mienne. La mienne, j’en conviens , mal servie par les trompettes de la renommée, s’
criminations je me mets trop en cause, que je parle trop de moi. J’en conviens de bonne foi, et tel n’était pas mon projet. En m
s de rappeler un passé qui me fut honorable ; puisqu’il est également convenu que tout auteur a de l’amour-propre, je ne craind
eaucoup plus nouvelle, mais à coup sûr est beaucoup plus immorale. Je conviens cependant qu’il y a dans le viol et la prostituti
er si souvent des personnages qui ne sont point amusants est, vous en conviendrez , un grand défaut de goût. Il en est de même de vo
re les anciens auteurs, vous savez très bien leur prendre ce qui vous convient . Mais, comme l’a dit M. le marquis Voltaire15, po
es vous avez dit que vous aviez fait le public . Cette idée, vous en conviendrez , a dû paraître bien singulière à celui qui, depui
20 (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « Vie de Maupertuis, par La Beaumelle. Ouvrage posthume » pp. 86-106
urs niant le talent et le génie de quiconque le méprise. La Beaumelle convient de tous les avantages de M. de Voltaire, et il at
de son commerce, et le félicite sur sa philosophie dont la tolérance convient à l’humanité. Il lui semble que le stoïcisme tout
on 48e d’Euclide à laquelle on puisse trouver le degré d’évidence qui convient à la vérité. Peut-être y a-t-il encore outre cela
u sujet d’un fait tronqué et embelli de l’Histoire de Charles XII : «  Convenez que les choses ne se passèrent pas ainsi » ; vous
se passèrent pas ainsi » ; vous lui répondîtes : « Et vous, milord20, convenez que cela est bien mieux comme je le rapporte. » M
t’outragent pas. » Adieu, mon cher ; quand Marc Aurèle a parlé, il me convient de me taire. Je fais mille vœux pour votre reconv
21 (1870) Nouveaux lundis. Tome XII « Essai sur Talleyrand (suite.) »
is suivants une singulière lenteur. Il avait mal au foie quand il lui convenait , et c’était, selon lui, « le premier devoir d’un
nt que, pour le dehors, il n’y avait que ces deux noms-là qui pussent convenir . J’ai fait, comme je le pense, l’éloge de Sainte-
ans cette lettre que vous avez remise, de Durant comme le seul qui me convenait et qui conviendrait à la Hollande, à la Belgique
que vous avez remise, de Durant comme le seul qui me convenait et qui conviendrait à la Hollande, à la Belgique et à l’Angleterre :
un soulèvement intérieur : c’est un régicide et un prêtre marié », on conviendra qu’il eut à y mettre du sien. On raconte que la p
en deux scènes qu’on ne trouvera pas mauvais que je présente comme il convient et que je développe. On n’étrangle pas de si bons
22 (1823) Racine et Shakspeare « Chapitre premier. Pour faire des Tragédies qui puissent intéresser le public en 1823, faut-il suivre les errements de Racine ou ceux de Shakspeare ? » pp. 9-27
e que vous dites, Monsieur, vous me donnez un avantage immense ; vous convenez donc que le spectateur peut se figurer qu’il se p
able de raisonner d’une manière serrée. Il est impossible que vous ne conveniez pas que l’illusion que l’on va chercher au théâtr
dat en faction au théâtre de Baltimore. Il est impossible que vous ne conveniez pas que les spectateurs savent bien qu’ils sont a
relève. Je voulais chasser l’ennui en vous mettant un peu en colère. Convenez que j’ai réussi. Ici finit le dialogue des deux a
23 (1861) La Fontaine et ses fables « Deuxième partie — Chapitre III. Les dieux »
naïf qui dégénère quelquefois en gentillesse enfantine, mais qui n’en convient que mieux à l’historien de Jupin et de la fourmi.
la fable, et ce n’est pas sans raison : car partout les dieux doivent convenir à leur peuple. Ils ne sont les dieux de ce peuple
ssi les dieux païens, imités par le fabuliste, sont-ils les seuls qui conviennent à la fable. D’abord on ne croit guère en eux, non
l sait quelles bêtes peuvent exprimer les hommes, quels dieux peuvent convenir aux bêtes, quel ton général doit assembler ces tr
24 (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome II « Querelles générales, ou querelles sur de grands sujets. — Troisième Partie. De la Poësie. — La déclamation. » pp. 421-441
de Valère-Maxime & de Lucien sont favorables à M. Duclos. Il faut convenir que si son explication n’est pas la véritable, el
ctre, Ariane, Médée, Idamé. Les rôles de tendresse, Inès & Zaïre, conviennent à mademoiselle Gaussin. Quel son de voix intéress
chaire. Les écrivains ne sont pas d’accord sur la déclamation qui convient le mieux à l’orateur sacré, & sur les défauts
s hors celle dont il est ici question, se soulevèrent contre lui. Ils conviennent qu’on débite au barreau d’une manière propre au g
25 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 33, de la poësie du stile dans laquelle les mots sont regardez en tant que les signes de nos idées, que c’est la poësie du stile qui fait la destinée des poëmes » pp. 275-287
la vrai-semblance que le témoin oculaire de pareils évenemens, qu’il convient d’emploïer pour en faire le recit, ait été frappé
articulier dans la poësie de son stile. La plûpart des images dont il convient que le stile de la tragedie soit nourri, pour ain
pucelle, mais dont il faut, suivant M. Despreaux, que ses défenseurs conviennent  : qu’on ne la sçauroit lire.
26 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 245-247
. M. de la Beaumelle a publié un Livre intitulé Mes Pensées. Ses amis conviennent , & il en est convenu lui-même, que l’inexpéri
un Livre intitulé Mes Pensées. Ses amis conviennent, & il en est convenu lui-même, que l’inexpérience de la jeunesse, la t
27 (1823) Racine et Shakspeare « Préface » pp. 5-7
ité, il s’aperçut que le genre niais de l’ancienne école française ne convenait plus au goût sévère d’un peuple chez, qui commenç
e l’appareil inattaquable de ces formes dubitatives et élégantes, qui conviennent si bien à tout homme qui a le malheur de ne pas a
28 (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Le Roman de Renart. Histoire littéraire de la France, t. XXII. (Fin.) » pp. 308-324
nt le blé… Si laboureurs n’étaient, je vous dis ma pensée, Les nobles conviendrait travailler en l’airée (aux champs), Au fléau, à l
on du droit. Bombourg consent à la proposition de Beaumanoir ; il est convenu qu’on sera trente de chaque côté, et que l’on com
ieu important appelé Thyrée, que réclamaient les deux peuples. Il fut convenu que trois cents hommes seulement de part et d’aut
ique. Le mot est piquant, un peu humiliant pour la nation (il faut en convenir ), et singulièrement honorable pour le bonhomme. D
audrait plus aujourd’hui le louer comme du temps de Chamfort, mais il convient de l’apprécier en se souvenant du Moyen Âge qu’il
29 (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Le cardinal de Bernis. (Fin.) » pp. 44-66
e je prendrai à cet égard le temps, les réflexions et la droiture qui conviennent à mes principes et à mon caractère… Je serai touj
évêché, soit celui de Lisieux, soit celui de Condom ; ce dernier lui convenait mieux comme situé dans sa contrée natale. Une dif
ne faut point les prendre par telle ou telle phrase détachée, mais il convient de les lire dans leur ensemble. La première lettr
de lui-même, il est modeste. Voltaire, en cela moins humain qu’il ne convient , se met à rire par moments de voir le roi de Prus
sous votre direction, et s’écarteront de votre plan autant qu’il leur conviendra de le faire. Le pauvre architecte jeta là son pla
l’esprit humain et du goût particulier des nations. Il faut pourtant convenir que ces tragédies, tout extravagantes ou grossièr
30 (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Madame de La Vallière. » pp. 451-473
, fort douce et fort naïve ». Le jeune roi était occupé plus qu’il ne convenait de Madame, sa belle-sœur. La reine mère, Anne d’A
telle intimité : pour la mieux entretenir et pour la couvrir, il fut convenu entre Madame et Louis XIV que le roi ferait l’amo
a de se taire, et le roi sortit de plus en plus irrité. « Ils étaient convenus plusieurs fois, dit Mme de La Fayette, que, quelq
ns : « Il est certain, dit Mme de Caylus, que le style de la dévotion convenait mieux à son esprit que celui de la Cour, puisqu’e
évêque, et, dans la circonstance présente, il sentit à quel point il convenait d’être grave, de ne prêter en rien au sourire, ni
à lui-même. » Il ne regarde pas à droite et à gauche, à qui elle peut convenir  ; il se l’applique à lui-même, et il en fait son
31 (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XXX » pp. 126-128
ce cœur généreux, libéral, affectueux, ami désintéressé du bien, qui conviendrait dans la direction de la jeunesse, qu’avait, par e
ment d’études et fanatiseraient ou abêtiraient les jeunes esprits. Or convient -il maintenant, par scrupule excessif et par tendr
32 (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Deuxième partie. Ce qui peut être objet d’étude scientifique dans une œuvre littéraire — Chapitre premier. La question de fait et la question de goût » pp. 30-31
ait et la question de goût Supposons que nous ayons dressé comme il convient , la liste des différentes périodes, qui sont comm
équent, qu’il faut déterminer tout d’abord les procédés d’étude qu’il convient d’appliquer à une œuvre littéraire, prise isoléme
33 (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « Poésies complètes de Théodore de Banville » pp. 69-85
ctions saxonnes et mérovingiennes. Il n’en aurait peut-être pas voulu convenir  ; mais le classique Daunou le tenait pour tel et
e, en s’en tenant à la rénovation lyrique, il est difficile de ne pas convenir que celle-ci a fini par avoir gain de cause et pa
bien lestement les honneurs, je ne dis pas de M. de Lamartine (il est convenu qu’on l’excepte à volonté et qu’on le met en deho
et les bleus sont bleus. Voilà que vous vous retranchez dans le beau convenu et dans le noble, fût-il ennuyeux, et moi je me d
34 (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « HOMÈRE. (L’Iliade, traduite par M. Eugène Bareste, et illustrée par M.e Lemud.) —  premier article .  » pp. 326-341
toiles. On a beaucoup parlé d’art dans ces derniers temps, et il faut convenir , en effet, que jamais peut-être l’art n’a été mie
en définitive de toutes ces inquiétudes. Au point de vue de l’art il convient de choisir, il importe peu de tout embrasser. Que
te dispersé. Elle-même n’a pas prétendu faire autre chose, et il faut convenir qu’elle aurait été dupe d’une bien étrange illusi
e serait au nom du scepticisme même, de ce scepticisme légitime qu’il convient d’opposer aux conjectures systématiques des Moder
35 (1913) Le bovarysme « Quatrième partie : Le Réel — IV »
e réalisent jamais un surcroît de bien-être, il semblerait donc qu’il convienne do substituer cette autre qui se montre sans cess
cette morale s’exprime, tirent leur consistance et leur crédit. Or il convient de noter que ces vérités, tandis qu’elles atteign
lle confère la puissance aux vérités propres à constituer le réel, il convient de faire remarquer que ces vérités ne survivent p
velles seront un jour inventées pour réglementer dans les limites qui conviennent le nombre des naissances sur une planète où il es
36 (1895) Les règles de la méthode sociologique « Chapitre I : Qu’est-ce qu’un fait social ? »
-ce qu’un fait social ? Avant de chercher quelle est la méthode qui convient à l’étude des faits sociaux, il importe de savoir
e doit être donnée et réservée la qualification de sociaux. Elle leur convient  ; car il est clair que, n’ayant pas l’individu po
ations professionnelles, etc. D’autre part, c’est à eux seuls qu’elle convient  ; car le mot de social n’a de sens défini qu’à co
De plus, on peut se demander si le mot d’imitation est bien celui qui convient pour désigner une propagation due à une influence
37 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » pp. 264-267
e, elle a joint celui d’un style naturel, élégant, correct, tel qu’il convient à ces sortes d’Ouvrages. On lit encore avec plais
sent, le seul qui ait su conserver la douceur & la simplicité qui conviennent à ce genre de Poésie, flattoient peu son amour-pr
38 (1763) Salon de 1763 « Peintures — La Grenée » pp. 206-207
vez ni cette variété de pensées, ni cette chaleur, ni ce terrible qui convient à un peintre de batailles. Pour trouver le geste
ipité du Capitole et assassiné est mieux. Pour votre Christ en croix, convenez que le professeur qui retouche les élèves qui von
39 (1824) Notes sur les fables de La Fontaine « Livre sixième. »
l’est, pour ainsi dire, de bonne foi, et en se trompant lui-même. Il convenait , ce me semble, que La Fontaine exprimât cette dif
ncertain, et qu’on a de la peine à saisir. V. dernier. A peu de gens convient le diadème, dit La Fontaine ; mais il y avait bi
Fable XI. V. 20…. Quoi donc ! dit le Sort en colère… Il faut convenir que l’âne n’a pas tout-à fait tort de se plaindre
40 (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXXIe entretien. Littérature russe. Ivan Tourgueneff » pp. 237-315
— Pourquoi dans les uhlans ? — Il me semble que c’est là ce qui vous conviendrait le mieux. — Vous, pourtant, vous avez servi dans
ment de surprise. « Oui, continua Boris, trouvez-moi une femme qui me convienne et je l’épouse. — En vérité ? — En vérité ! — No
rre alluma sa pipe ; puis, se tournant vers Boris : « Eh bien ! c’est convenu , dit-il, je vous trouverai une femme. — À merveil
Quelle jeune femme ? — Avez-vous donc déjà oublié ce dont nous sommes convenus avant-hier ? — Mais, mon cher Pierre, répondit Bo
ela ne va pas. — Que voulez-vous dire ? demanda Boris. — Cela ne vous convient pas, répéta-t-il avec une expression de dédain. —
-moi une bonne ménagère, que diable ! Je vous le répète, cela ne vous convient pas. Est-ce que ce domestique, avec son gilet rou
de connaître Sophie Cirilovna. — J’en suis charmé. Mais elle ne vous convient pas. » En arrivant à la maison de Boris, Pierre l
trop délicat. Il n’y a pas dans ce district une femme qui puisse vous convenir . — Ah ! ce n’est pas bien à vous, Pierre, de reno
uer encore Viéra Barçoukova. Une très brave fille ! Mais elle ne vous convient pas. — Et pourquoi ? — Parce qu’elle est trop sim
ent de tous les côtés. — Vous plaisantez, répliqua Onufre ; mais vous conviendrez que celui qui donne est libre de donner, et que c
— Précisément. — À merveille. Il y a des gens qui prétendent qu’il ne convient pas de servir de batvine en hiver, parce que c’es
— Oui. — À quoi bon ? Ne vous en avais-je pas prévenu ? Elle ne vous convient pas. — Vous êtes dans l’erreur, elle me plaît bea
t. — À la garde de Dieu ! Je pensais que cette bonne fille ne pouvait convenir qu’à un rustique campagnard comme moi. » À ces mo
cadenas, dont il gardait toujours la clé à sa ceinture, car il ne lui convenait pas qu’on entrât dans sa retraite. Il y avait env
une prise de tabac. Tatiana, voilà notre affaire. Tu entends. — C’est convenu , répliqua Gabriel, et il se retira dans sa chambr
s, reprit-il à haute voix, je ne sais si la femme qu’on te destine te conviendra . — Qui est-ce donc ? — Tatiana. — Tatiana, répéta
ans un cabinet. Puis on se mit à discuter plus librement. D’abord, on convint qu’on en finirait de toutes ces difficultés si l’
le refusa longtemps de jouer ce jeu cruel, puis finit par céder. Elle convenait elle-même qu’elle n’avait pas un autre moyen de s
41 (1765) Articles de l’Encyclopédie pp. 7172-17709
pas dans l’usage ordinaire des Grammairiens, toute l’étendue qui lui convient effectivement. Par formation, ils n’entendent ord
nification de ces dérivés comporte une idée de diminution qui ne peut convenir aux fréquentatifs ; & d’ailleurs les mêmes gr
ent l’avenir avec un rapport spécial au présent ; & voilà en quoi conviennent ces deux futurs : ce qui les différencie, c’est q
aux qui partirent pour cette expédition est incroyable ; mais il faut convenir qu’au moyen de cet arrangement, aucune partie de
i cette matiere pouvoit entrer dans un dictionnaire, elle ne pourroit convenir qu’à celui de l’académie, & nullement à l’Enc
enter à l’esprit des idées générales, pour exprimer des attributs qui conviennent à plusieurs especes ou à plusieurs individus, son
vraie & plus analogue ; c’est celle de génériques ; & il faut convenir que si cette derniere dénomination n’est pas la p
. « Les premiers, pour employer les propres termes de M. du Marsais, conviennent à tous les individus ou êtres particuliers de dif
dus ou êtres particuliers de différentes especes ; par exemple, arbre convient à tous les noyers, à tous les orangers, à tous le
rs, à tous les orangers, à tous les oliviers, &c. Les derniers ne conviennent qu’aux individus d’une seule espece ; tels sont n
peut être regardée comme grammaticale, en ce que les noms génériques conviennent aux individus de plusieurs especes, & que les
especes, & que les noms spécifiques qui leur sont subordonnés, ne conviennent , comme on l’a déjà dit, qu’aux individus d’une se
; ce qui constitue deux manieres d’exprimer bien différentes : animal convient à tous les individus, hommes & brutes ; homme
animal convient à tous les individus, hommes & brutes ; homme ne convient qu’aux individus de l’espece humaine. Si l’on avo
l’idée spécifique de chien ; parce que tous les attributs de l’espece conviennent à l’individu, qui a de plus son suppôt particulie
que l’idée générique d’animal, parce que tous les attributs du genre conviennent à l’espece, & que l’espece a de plus ses prop
teux, & quelques autres hétérogenes. Voilà autant de termes qu’il convient d’expliquer ici pour faciliter l’intelligence des
ndre le genre commun & le genre épicene. Les noms du genre commun conviennent au mâle & à la femelle sans changement dans l
masculin ; & que quand on lui fit appercevoir cette faute, il en convint sur le champ, & s’étonna fort qu’elle eût éch
n’en ont point : c’est donc une chose purement arbitraire. Il faut en convenir  ; mais quelle conséquence ultérieure tirera t-on
e aux lois immuables de la Grammaire générale, & le P. Buffier en convient lui-même dans un autre en droit. « Il se trouve
u’il est employé pour exciter dans l’esprit une autre idée qui ne lui convient que par son analogie avec celle qui est l’objet d
t il faut le dire pour être entendu ; & la Rhetorique, comment il convient de le dire pour persuader. De l’Ortographe. Les
es. Les termes d’élémens, de sons & d’articulations, ne devroient convenir qu’aux élémens de la parole prononcée ; comme ceu
oix des lettres capitales ou courantes ; indiquer les occasions où il convient de varier la forme du caractere & d’employer
qu’un signe d’aspiration. Il est certain que le plus essentiel est de convenir de la valeur de ce caractere ; mais il ne sçauroi
incontestablement la qualité & le nom. Ceux qui ne veulent pas en convenir soûtiennent, dit M. du Marsais, que ce signe ne m
la dénomination générique d’irrégulier. C’est donc sous ce mot qu’il convient d’examiner les causes des irrégularités qui se so
e même sens qu’on lui a d’abord supposé ; parce qu’à coup sûr, ce qui convient à l’un des sens ne convient pas à l’autre, par la
ord supposé ; parce qu’à coup sûr, ce qui convient à l’un des sens ne convient pas à l’autre, par la raison même de leur différe
un sommeil qui cause un oubli géneral. Au surplus, c’est le sens qui convient le mieux à la pensée d’Horace, puisqu’il prétend
a latinité sont pleins d’hellénismes : & si tous les littérateurs conviennent qu’il est plus facile de traduire du grec que du
sensibles par des exemples ; mais en y appliquant les principes qu’il convient de suivre pour en pénétrer le sens, & pour y
afin d’éviter par un principe d’équité, le ton impérieux qui ne peut convenir à un homme qui prie. Au reste le choix entre ces
tel individu, ou la totalité des individus auxquels cette nature peut convenir , il faut y ajouter d’autres mots qui en fassent d
e, qui en avouant que l’infinitif est partie du verbe, ne veulent pas convenir qu’il en soit un mode ; mais malgré les noms impo
e l’idée d’une nature commune à tous les individus auxquels elle peut convenir . Voyez Nom . Dans les langues modernes de l’Europ
e l’idée d’une nature commune à tous les individus auxquels elle peut convenir  ; d’où il suit que l’infinitif est tout-à-la-fois
out-à-la-fois verbe & nom : & ceci est encore un paradoxe. On convient assez communément que l’infinitif fait quelquefoi
une seule analogie : vous voilà sur la bonne voie, la seule voie qui convienne à la raison, dont la parole est le ministre &
l joint avec l’antécédent, il prend la premiere place, & elle lui convient à toute sorte de titres ; alors il garde sa termi
ecte qui. Si ce mot est complément du verbe, la premiere place ne lui convient plus qu’à raison de sa vertu conjonctive, & c
ou le défaut de conformité de la parole avec la pensée ; mais il faut convenir alors que la grande source des inversions de la p
lle ; le coeur est compté pour rien à cet égard. Et en vérité il faut convenir que c’est avec raison ; l’éloquence du coeur n’es
. Vous n’irez pas pour cela défendre d’y suppléer des ellipses ; vous convenez qu’il faut de nécessité y recourir continuellemen
ent des terminaisons, qui sont comme l’étiquette de la place qui leur convient dans la succession naturelle ; tantôt la phrase e
qui peut y rendre bien sensible la succession analytique. M. Chompré convient qu’il faut en établir l’intégrité, en suppléant l
e vient qu’après que la traduction est entierement faite ; & vous conviendrez apparemment que vos remarques grammaticales ne pe
it à se familiariser avec la stupidité. La Logique grammaticale, j’en conviens , a des difficultés, & même très grandes, puis
vent pas même céder à ceux de la raison & de l’intelligence. Mais convenons plutôt que par rapport à la raison toutes les con
parole, & ce tems dont se servent les Italiens & les Latins, convient très bien au point de vûe particulier que l’on ve
jonctif, amené par que : n’est-ce pas une irrégularité ? Il y a, j’en conviens , quelque chose d’irrégulier ; mais ce n’est pas,
ssairement dans son élocution ; le terme d’idiome est alors celui qui convient le mieux à l’expression de cette idée moins génér
langues envisagées sous les aspects les plus généraux, les seuls qui conviennent à la philosophie, & par conséquent à l’Encycl
le en effet doit être l’image sensible de la pensée, tout le monde en convient  ; mais toute image sensible suppose dans son orig
mot est de telle espece plutôt que de telle autre, qui par conséquent convient à chacun des mots de la même espece, & ne con
par conséquent convient à chacun des mots de la même espece, & ne convient qu’aux mots de cette seule espece. C’est la diffé
ngue de tous les autres mots de la même espece, parce qu’elle ne peut convenir qu’à un seul mot de la même espece. Ainsi c’est à
à l’allemand ». Quelles sont les preuves de ceux qui ne veulent pas convenir que le préjugé seul ait décidé leur opinion sur c
un de tous les idiomes : c’est donc le premier rapport sous lequel il convient ici de les envisager pour poser des principes rai
dans lesquelles ils sont écrits ? En attendant que les savans soient convenus entre eux d’un langage de communication, pour s’é
rs une espece de sifflement. Nous en avons quatre, z, s, j, ch, qu’il convient de nommer ze, se, je, che. Les deux premieres exi
(j’aimerois mieux dire d’un mot) à une autre signification qui ne lui convient qu’en vertu d’un comparaison qui est dans l’espri
gard aux convenances des différens styles ; il y a des métaphores qui conviennent au style poétique, qui seroient déplacées dans le
ce. Remarquez que tous ces verbes s’arrêtent, s’attachent, s’amusent, conviennent fort bien avec l’écorce pris au propre ; mais vou
mp; par les yeux tout-à-la-fois. Voilà le fondement de la méthode qui convient aux langues vivantes, décidé d’une maniere indubi
e cette étude, est elle-même analogue. Quelle est donc la méthode qui convient à ces langues ? Mettez dans la tête de vos éleves
us facile & plus prompte l’acquisition des connoissances qui leur conviennent . C’est sur-tout ici que se vérifie la maxime d’Ho
expliquer. Afin d’indiquer à-peu-près l’espece de principes qui peut convenir à la méthode analytique dont je conseille l’usage
point, si traitant un point de grammaire, j’emprunte le langage qui y convient , & descens dans un détail minutieux, si l’on
là au contraire on envisage toujours le terme d’où l’on est parti. Je conviens qu’il faut beaucoup d’exemples pour affermir l’id
d’un volume peu considérable. Voyez ceux des articles déja cités qui conviennent ici, & spécialement Superlatif, Infinitif, G
ut) moriamur & (proinde ut) ruamus in arma media, (decet nos.) Je conviens que cette construction fait disparoître toutes le
le tout au génie de notre langue, par le secours des observations qui conviennent à notre idiome. On peut m’objecter encore la long
au-moins une douzaine à ceux qu’il conduit avec moins d’appareil. Je conviens volontiers de cette différence, pourvu que l’on m
gens, on abandonnât tout-à-coup l’analyse pour ne plus y revenir : il convient , je crois, de les y exercer encore pendant quelqu
les auteurs que l’on doit lire par préférence, ni dans quel ordre il convient de les voir : c’est un point déja examine & d
laquelle est commune à tous les mots de la même espece, & ne peut convenir à ceux des autres especes. Ainsi le même objet po
un attribut n’est pas susceptible des mêmes modifications qui peuvent convenir à un autre : ce qui caractérise nos modes n’appar
ans le second exemple, ou de l’adjectif nos dans le troisieme. Ce qui convient proprement à nos lois ne peut convenir ni à la lo
nos dans le troisieme. Ce qui convient proprement à nos lois ne peut convenir ni à la loi évangélique ni à la loi en général ;
venir ni à la loi évangélique ni à la loi en général ; de même ce qui convient proprement à la loi évangélique, ne peut convenir
al ; de même ce qui convient proprement à la loi évangélique, ne peut convenir ni à nos lois ni à la loi en général : c’est que
permette un langage étranger sans doute à la grammaire, mais qui peut convenir à la Philosophie, parce qu’elle s’accommode de dr
laquelle est commune à tous les mots de la même espece, & ne peut convenir à ceux des autres especes. Le même objet pouvant
érits ou par l’auxiliaire avoir, ou par l’auxiliaire être ; tels sont convenir , demeurer, descendre, monter, passer, repartir :
; la plûpart dans ce cas changent de sens en changeant d’auxiliaire. Convenir se conjuguant avec l’auxiliaire avoir, signifie ê
avec l’auxiliaire avoir, signifie être convenable : si cela m’av oit convenu , je l’aurois fait ; c’est-à-dire, si ce’a m’avoit
e avec l’auxiliaire être, il signifie avouer ou consentir : vous etes convenu de cette premiere vérité, c’est-à-dire, vous avez
commune à plusieurs : tels sont homme, brute, animal, dont le premier convient à chacun des individus de l’espece humaine ; le s
e factice & abstraite, plus il y a d’individus auxquels elle peut convenir  ; & plus au contraire il y entre d’idées part
dées partielles, moins il y a d’individus auxquels la totalité puisse convenir . Par exemple, l’idée de figure convient a un plus
s auxquels la totalité puisse convenir. Par exemple, l’idée de figure convient a un plus grand nombre d’individus que celle de t
, déterminant les êtres par une nature individuelle, & ne pouvant convenir qu’à un seul individu, ont l’étendue la plus rest
nom appellatif, par l’indication de quelque point de vûe qui ne peut convenir qu’à une partie des individus. Cette indication p
elon que l’on fait attention à la totalité des individus auxquels ils conviennent , ou à une totalité plus grande dont ceux-ci ne so
s établir l’opinion du philosophe génevois. Il est lui-même obligé de convenir qu’il ne conçoit pas les moyens par lesquels les
ci, quandoque bonus dormitat Homerus. Ces deux excellens grammairiens conviennent l’un & l’autre que les cas d’un nom sont les
s les langues, on trouvera à l’article Ponctuation tout ce qui peut convenir à cette partie. (B. E. R. M.) ORTHOLOGIE
ns, parce qu’on ne diroit pas tout, ou l’on excéderoit les bornes qui conviennent à des élémens. Dans la quatrieme déclinaison, il
e ? Je sais bien que si elle le faisoit en effet, il faudroit bien en convenir & admettre ce principe, quand même on n’en po
axe usuelle, prouve directement que l’accusatif est le cas propre qui convient au complément objectif du participe, puisque c’es
constances de la phrase. Voyez Tems & Présent . Eh ! il faut bien convenir que le participe conserve la nature du verbe, pui
t un participe, & qu’il est gérondif dans la seconde, comme on en convient assez aujourd’hui, & comme je le ferai voir t
um suem in Arcadiâ, (je sai avoir vu), car la méthode latine de P. R. convient que spectatum est pour spectasse, & elle a ra
on lui suppose dans l’interprétation, & que ceux à qui l’on parle conviennent de chacun de ces sens. Ce détour peut les conduir
l’autre, selon la diversité des sens que l’on vout exprimer ; ce sont convenir , demeurer, descendre, monter, passer, repartir, d
ections, appartiennent exclusivement au langage du coeur, & il en convient en d’autres termes ; chacune d’elle vaut un disco
rce que quelque ellipse dérobe aux yeux les caracteres de syntaxe qui conviennent naturellement à ce mot : le mot après, dit M. de 
nfond les élémens dont il s’agit ici avec l’espece de mots à laquelle convient exclusivement le nom de préposition : 2°. elle pr
soulage & conduit le lecteur. Elle lui indique les endroits où il convient de se reposer pour prendre sa respiration, &
nce pour la vie civile. Cependant, ajoute-t-il, on n’est point encore convenu tout-à-fait de l’usage des divers signes de la po
de faire sur la ponctuation un système juste & dont tout le monde convienne  ; soit à cause de la variété infinie qui se renco
es. Le choix de ces caracteres devant dépendre de la proportion qu’il convient d’établir dans les pauses, l’art de ponctuer se r
ispensable de prendre garde aux différens degrés de subordination qui conviennent à chacun de ces sens partiels dans l’ensemble d’u
cher qu’on ne cherche à rapporter à la seconde un mot qui ne peut lui convenir . Il suit de cette remarque que, quand l’apostroph
fait employer dans ces occasions est pour éviter la cacophonie : j’en conviens  ; mais cette raison n’empêche pas qu’ils n’y soie
fondre & bouleverser ce que la syntaxe a de plus constant, que de convenir d’une chose dont la preuve est dans l’évidence du
haque rapport à tel terme, soit antécédent, soit conséquent, qui peut convenir aux différentes vûes de l’énonciation : dureste,
res séparés, pour ajouter aux substantifs la maniere de signifier qui convient à l’adverbe… Vous dites justement ; c’est la dern
peut exprimer en vertu de l’usage de notre langue. Ce détail ne peut convenir qu’à une grammaire françoise, & ne doit pas p
la grammaire de l’abbé Regnier, in-12. p. 607. in-4. p. 639. en quoi conviennent & en quoi différent les deux prépositions syn
oin d’une définition plus étendue. Or une définition du pronom qui ne convient pas à ceux de toutes les langues, & qui n’exp
’employent pour les noms particuliers & en leur place ». Il faut convenir avec le P. Buffier que tous les mots qui sont emp
isoit un individu de l’espece des hommes m’a dit, & tout le monde convient que personne dans cette phrase est un nom : mais
.), soit enfin que ces deux manieres d’envisager l’étymologie de dont convienne en effet à n’en assigner qu’une seule origine. L’
mp; si on ne prétend réduire les hommes à être des automates, il faut convenir qu’il leur est plus avantageux d’être éclairés su
e d’être ; car ce n’est que par-là qu’un objet est tel. Ainsi il faut convenir qu’il n’y a en effet qu’un jugement qui puisse êt
p; que vivre en païen en soit un second : mais l’attribut ne peut pas convenir séparément à chacun de ces deux prétendus sujets,
croire à l’Evangile est une extravagance inconcevable ; ainsi il faut convenir que le véritable sujet est l’idée unique de la ré
ec le simple, quand il donnoit de celui-ci une définition qui ne peut convenir qu’à l’autre. En effet il définit de suite le suj
auroit justement deux tems. & la plus longue un peu au de-là. Je conviens que tel est le système de la prosodie françoise :
r arrangement de l’exemple proposé : il n’y a point d’équivoque, j’en conviens , parce qu’il ne s’y présente pas deux sens dont l
d’un même mot, à raison de leur étendue respective ; il faudroit donc convenir que le même complément est sujet à différens régi
sieurs adjectifs, de quantité de verbes, &c. Ce détail ne sauroit convenir à l’Encyclopédie ; mais on trouvera pourtant sur
le verbe est employé à la voix passive avec un sujet au nominatif, je conviens qu’il suppose alors une voix active qui a le sens
de sujet à la voix passive ; cependant Périzonius ne veut pas même en convenir dans ce cas ; il prétend (ibid. not. 10.) que de
entes terminaisons génériques, pour prendre dans l’occasion celle qui convient au genre & à la nature de l’objet au nom duqu
: cognosces ex iis litteris qu as liberto tuo dedi. Mais cet écrivain convient sur le champ que cela est dit pour ex litteris, q
, & qu’il renferme dans sa signification l’idée d’une qualité qui convient non omni sed soli naturae humanae, comme parlent
ppellent à minori ad majus ; ainsi je croirois que la conjonction qui convient ici doit être la conclusive igitur (donc) ; qui m
oi bon le désigner par la dénomination du relatif, qui est vague, qui convient également à tous les adjectifs, qui convient même
atif, qui est vague, qui convient également à tous les adjectifs, qui convient même à tous les mots d’une phrase, puisqu’ils son
’a considéré les choses que d’après le système vocal de sa langue. Il convient lui-même que la langue est nécessaire à cette art
laquelle est commune à tous les mots de la même espece, & ne peut convenir à ceux des autres especes : la signification obje
e, parce que les circonstances fixent assez l’acception précise qui y convient , & que l’usage n’a mis dans ce cas aucun des
uelque auteur profane, pour en faire une application particuliere qui convient au sujet dont on veut parler, mais qui n’est pas
nt comme des paroles connues, auxquelles on donne un sens nouveau qui convient au sujet dont on veut parler : dans le premier ca
ou ils en trouveront de toutes les especes avec les correctifs qui y conviennent  ; mais je finirai par deux observations. La premi
n que ce n’étoit pas l’intention de Corneille, & M. du Marsais en convient  ; mais la seule chose qui s’ensuive de-là, c’est
a regle générale exige ce mode : il faut se servir….. Eh ! messieurs, convenez plutôt de bonne foi qu’on ne doit pas dire ici la
ut devant ce tems. Sanct. Minerv. 1. 13. not. 6. Mais enfin, il faut convenir que c’est abuser de l’ellipse : elle ne doit avoi
tes les occasions où elles paroissent employées directement, comme il convient en effet au mode impératif, il y a nécessairement
e ne me donne pas pour l’apologiste de ce grammairien philosophe : je conviens au contraire qu’avec des vues générales très bonn
terminé par l’idée de sa nature ; la véritable nature à laquelle peut convenir l’atribut énoncé par le verbe persuade, c’est cel
employant le superlatif au lieu du positif. En effet, puisqu’il faut convenir que la comparaison doit être marquée par quelque
iserrima ; sed ego sum miserior quam tu ; vous êtes malheureuse, j’en conviens , & très-malheureuse ; cependant je le suis en
ixois pas les especes de mots qui en sont susceptibles. Tout le monde conviendra sans doute que grand nombre d’adjectifs & d’a
autres semblables qui n’y sont pas exprimées… L’adverbe très ne peut convenir avec ces manieres de parler ». J’ajouterai à cet
quemment au sujet objectif, qu’à la puissance qui produit l’acte ; il convient plutôt de le mettre dans le paradigme de la conju
t y avoir de supprimé dans la construction analytique, & ce qu’il convient de suppléer pour en rétablir l’intégrité. L’art d
me par la dénomination de conditionnel : ces deux modes, à la vérité, conviennent en ce qu’ils sont directs, mais ils different en
du subjonctif latin. Mais examinons cette conséquence. Tout le monde conviendra sans doute, que je ferois & je fisse, ne sont
es que nous regardons comme directes & conditionnelles ; & je conviens moi-même de la vérité du fait ; mais cela ne se f
e de plus fort. Qu’on examine la maniere dont s’épelle le mot axe, on conviendra que l’x tout entier est de la seconde syllabe, qu
n’est qu’une sorte d’ellipse. Les Grammairiens eux-mêmes semblent en convenir , quand ils disent qu’on y fait la construction se
roient pu être remplacées par des terminaisons ; ensorte qu’elle peut convenir également à ce qu’on appelle des tems simples, de
ité du système méthaphysique des Tems avec les usages des langues. On conviendra peut-être que le systeme que je présente ici, est
oir assez peu d’analogie avec les usages des langues. La raison, j’en conviens , autorise ce soupçon ; mais elle exige un examen
ns-les disputer sur ce qui les divise, & profitons de ce dont ils conviennent sur l’emploi de ce tems ; ils sont à cet égard de
usuelle. Or en le regardant comme un prétérit, tous les Grammairiens conviennent qu’il n’exprime que les choses passées dans un pé
par le terme de comparaison qu’ils different, & c’est delà qu’il convient de tirer la différence de leurs dénomitions. Je d
uction totale de l’homme, que l’on suppose future ; & que rien ne convient mieux pour cela, que le prétérit postérieur, qui
ormation des tems d’un autre verbe, pour ne lui laisser que celle qui convient aux rapports d’existence qu’il est alors chargé d
t le premier de tous : cette racine subissant ensuite l’inflexion qui convient à chaque conjugaison, prend un b pour désigner le
erminaison i ajoutée à la racine commune modifiée par l’inflexion qui convient en propre à chaque verbe, caractérise le premier
les idées que ces dénominations présentent naturellement, il faut en convenir , les censeurs de notre langue en jugent raisonnab
des définis, n’est pourtant pas arbitraire : il n’a lieu que quand il convient de rendre en quelque sorte plus sensible le rappo
turel & vrai : les Italiens se servent du présent postérieur, qui convient en effet au point de vue particulier que l’on veu
mais on ne peut pas dire, après que je m’ai été promené long-tems ». conviens qu’avec cette sorte de verbes on ne peut pas empl
naires ceux dont il est ici question ; & la dénomination qui leur convient doit indiquer, s’il est possible, ce caractere qu
er est destiné par l’usage à exprimer le rapport d’existence, qui lui convient , à l’égard d’une époque envisagée comme actuelle
ésent postérieur ; au lieu que le second n’exprime le rapport qui lui convient , qu’à l’égard d’une époque envisagée comme actuel
u’il appelle notre aoriste comme un présent, & sans être forcé de convenir que notre prétérit exprime plus souvent une chose
s pensées, plus attentive à les présenter sous la forme qui peut leur convenir dans la langue nouvelle, & plus assujettie da
absolu de ses pensées & de ses expressions : si la pensée ne lui convient pas, ou si l’expression ne convient pas à la pens
expressions : si la pensée ne lui convient pas, ou si l’expression ne convient pas à la pensée, il peut rejetter l’une & l’a
us précis, mais le plus lumineux & le plus vrai, des regles qu’il convient de suivre dans la traduction ; & il peut teni
hose la plus élevée de toute la nature, l’idée de ce mot menacer, qui convient à un homme qui est au-dessus des autres, forment
e discernement nécessaires pour rejetter les idées accessoires qui ne conviennent point au sujet, aux circonstances & aux idées
des auteurs qu’on leur fait lire. Il est plus facile d’admirer, j’en conviens  ; mais une critique sage, éclairée, exempte de pa
par la propriété de présenter à l’esprit un être : cette propriété ne convient pas à toutes les especes de mots ; il n’y a que l
es êtres déterminés. Voyez Nom & Pronom . Cette idee générique ne convient donc plus qu’aux adjectifs & aux verbes ; le
ir une définition complette ? Un dernier caractere qui ne puisse plus convenir qu’à l’espece que l’on définit ; en un mot, il fa
propre à celui qui parle ; & l’auteur de la grammaire générale en convient lui-même. (Part. Il. c. xiij. édit. 1756.) « Et
, qui est reconnue propre à celui qui parle, & qui ne peut jamais convenir au sujet dont on parle, qu’autant qu’il existe da
ble avec la clarté, l’universalité & la proprieté qui doivent lui convenir  ; clarté qui doit la rendre propre à faire connoî
mp; c’est ce nom qui est féminin ; mais cette dénomination ne sauroit convenir à l’épellation ; & pour désigner ce caractere
42 (1888) La critique scientifique « Avant-propos »
ces divergentes, dont on peut aujourd’hui constater l’antagonisme. Il convient de ne plus confondre des travaux aussi différents
désigner par un vocable propre ; celui d’esthopsychologie by pourrait convenir à un ordre de recherches où les œuvres d’art sont
43 (1841) Matinées littéraires pp. 3-32
ecueillir le fruit de leurs doctes leçons. Mais ces leçons ne peuvent convenir à une classe nombreuse de la société. Les femmes
order ces études, n’avons-nous pas quelques questions à résoudre ? Ne convient -il pas, lorsque je me hasarde à vous entretenir d
ent des lettres détermine la prononciation des mots : certains signes convenus fixent les repos. Mais ces lettres même sont loin
songe à acquérir un talent dont l’absence paraît si regrettable ? On convient sans peine de son agrément, de son utilité ; on r
nd il faut déployer, par mille tons divers, « Le poétique accent qui convient à des vers. « Je veux vous émouvoir, et je vous f
rde-champêtre ? Dès qu’il est avocat, un Français peut tout être. On convient aussitôt du poète lecteur, Que de droit l’avocat
our former des hommes de science et de talent. Mais l’instruction qui convient aux gens du monde et répand tant de charme sur le
44 (1875) Premiers lundis. Tome III «  À propos, des. Bibliothèques populaires  »
use, il n’a parlé et pu parler que de M. Renan, comme lui-même en est convenu aussitôt après, à moi parlant. Il n’est donc poin
e qu’il est, est celle de bien des gens. (Mouvement.) Faute de mieux, convenez -en, croire en Dieu comme Jean-Jacques Rousseau, c
ntifs, que j’ai essayé et que j’essayerai encore d’expliquer comme il convient quelques-unes de ses violences et de ses extrémit
uelle il se voyait compris. Ce n’est point au Sénat, messieurs, qu’il convient de parler comme les théologiens. Et laissez-moi v
ause même que je défends, et qui savent les moyens et les armes qui y conviennent . Cette affaire, d’ailleurs, est claire comme le j
s, et, retranché comme je le suis dans mon isolement, il ne m’eût pas convenu de rien provoquer en ce sens-là. « Je ne vois don
45 (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Introduction »
nt point passionnés se placent d’eux-mêmes dans la situation qui leur convient le mieux, c’est presque toujours celle que le has
t aisément que toutes les combinaisons sociales les plus despotiques, conviendraient également à des hommes inertes qui seraient conte
oir. Il faudrait examiner les institutions dans leur essence même, et convenir qu’il n’existe plus qu’une grande question qui di
ards votre sort est fixé, et les hommes réfléchissent alors s’il leur convient d’y lier le leur ; s’ils y voient moins d’avantag
timents généreux ; quoique je ne sois pas entièrement de cet avis, je conviens qu’il y a quelque chose de grand dans la passion 
sent les espérances de bonheur positif dans cette vie : ce système ne convient qu’aux caractères naturellement passionnés, et qu
46 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Discours préliminaire, au lecteur citoyen. » pp. 55-106
périra * De l’Hom. de ses facult. & de son éduc. pref. pag. 6.. Convenez , Lecteur impartial, que jamais les ennemis de not
rent ou feignent d’ignorer la véritable signification de ce terme. Je conviens que je me suis élevé contre les Philosophes, &
Chantre des Saisons, &c. ont été relégués dans la classe qui leur convient , il n’existe plus dans l’Europe aucun souvenir de
du masque d’un bas scélérat, que l’Auteur du Drame savoit ne pas lui convenir , & dont peut-être lui seul connoissoit le mod
conde édition. *. Qu’on se dépouille de toute prévention, & l’on conviendra que, si on excepte M. de Voltaire, aucun Ecrivain
’autre mes jugemens sur les Pieces de Théatre, sous prétexte qu’il ne convient pas à un Abbé de lire ces sortes de Productions.
47 (1767) Sur l’harmonie des langues, et en particulier sur celle qu’on croit sentir dans les langues mortes
nous des termes usités, après y avoir attaché l’idée précise qui leur convient . Pour bien analyser le plaisir qui résulte d’une
i résulte des mots pris en eux-mêmes et de la suite des mots, il faut convenir de bonne foi que nous ne la sentons guère. Je dis
t de l’harmonie dans la langue et dans la poésie latine. Mais il faut convenir en même temps et par les mêmes principes, que le
r ferait éprouver, s’il était chanté dans le goût et l’esprit qui lui conviennent , et surtout exécuté par le compositeur même, et d
u’il avait vus. Je veux croire, car je ne sais pas si les Italiens en conviendraient , que Ménage écrivait très bien en leur langue. Il
il avait vus ; cela n’est guère vraisemblable, mais passe encore : on conviendra du moins qu’il avait eu avec ces Italiens de fréq
48 (1875) Premiers lundis. Tome III « Sur le sénatus-consulte »
e, quand vous y auriez apporté plus de soins et de ménagements ; mais convenez qu’alors elle se serait réveillée un peu moins in
tus-consulte ; il n’y a pas à cet égard d’illusions à se faire, et il convient de se résigner à l’avance, sinon de se dévouer à
dit et compris tout d’abord, qu’à un ordre de choses tout nouveau, il convient d’apporter un nouvel esprit. Il faut bien se dire
lus simple expression : c’est surtout quand on se sent inutile, qu’il convient d’abréger. » 69. Ce que je dis là est si peu un
49 (1913) Les antinomies entre l’individu et la société « Chapitre XIII. Conclusions » pp. 271-291
ues questions d’ordre général. 1º Dans quelle mesure le mot antinomie convient -il pour désigner les conflits ou désaccords entre
nflits ou désaccords entre l’individu et la société ? 2º En quel sens convient -il d’entendre l’antinomie ? 3º Les antinomies pro
e question est celle de savoir si le mot antinomie est bien celui qui convient pour désigner les conflits qui peuvent s’élever c
se supposent l’une l’autre, tout en s’opposant l’une à l’autre. — Il convient de remarquer d’ailleurs que dans l’ordre concret,
50 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVI » pp. 279-297
us avoue que je ne m’y crois nullement propre. Je vis tranquille ; me convient -il de sacrifier mon repos et ma liberté ? D’aille
qu’elle serait à ses gages et à sa merci. Cette condition ne pouvait convenir à la petite-fille d’Agrippa d’Aubigné, le compagn
t dans madame Scarron une femme qui lui plaisait et une femme qui lui convenait . Pour la seconde fois, il choisissait en prince q
ttendre ici à l’emploi de semblables moyens. Non, rien de vulgaire ne convient à un esprit de cette distinction, à l’honnêteté d
51 (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre premier. Des principes — Chapitre IV. De la méthode » pp. 81-92
ts imprimés à l’âme par le corps, de manière à les étouffer, comme il convient à l’homme sage, ou à les tourner à un meilleur us
nvient à l’homme sage, ou à les tourner à un meilleur usage, comme il convient à l’homme social, au membre de la société37. Cepe
au lieu où elles doivent naître, comme elles sont différées quand il convient qu’elles le soient38 ; c’est l’ouvrage de la sage
52 (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre quatrième. Du cours que suit l’histoire des nations — Chapitre IV. Trois espèces de jugements. — Corollaire relatif au duel et aux représailles. — Trois périodes dans l’histoire des mœurs et de la jurisprudence » pp. 309-320
s ; ils sont garantis par la bonne foi, fille de la civilisation. Ils conviennent à l’esprit de franchise, qui caractérise les répu
ennemies des mystères dont l’aristocratie aime à s’envelopper ; elles conviennent encore plus à l’esprit généreux des monarchies :
e, et la laisser paraître tout à découvert, toute généreuse, comme il convenait à la civilisation où les peuples étaient parvenus
53 (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Troisième partie. Disposition — Chapitre premier. Rapports de l’invention et de la disposition »
nvention et de la disposition Il y a quelque chose de factice et de convenu dans la distinction nécessaire qu’on fait des div
te certaines expressions : il est impossible de trouver les idées qui conviennent à un sujet, sans prendre déjà, une sorte de parti
54 (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre XXII. L’affichage moderne » pp. 283-287
l. Tôt les bons agents se sont aperçus qu’à la publicité typographiée convenait la description minutieuse, détaillée, convaincant
traits appropriés. Cela posé, je crois, indubitablement, il faut bien convenir que les artisans, même en vogue, de nos récentes
55 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » pp. 202-207
bles d’assurer une réputation. Le style qui y regne, annonce, nous en convenons , une plume exercée, le ton d’un Critique pénétran
que. Quoique M. Duclos estimât peu les Philosophes, il faut néanmoins convenir qu’il en avoit toute la morgue. « Quand je dîne à
56 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 47, quels vers sont les plus propres à être mis en musique » pp. 479-483
squ’ils sont chantez, préfereront, avec raison, Racine à Quinault. On convient donc generalement aujourd’hui que les vers lyriqu
s mots regardez en tant que de simples sons, c’est de quoi il a fallu convenir dans tous les temps.
57 (1716) Réflexions sur la critique pp. 1-296
e. Dès qu’ils ont avancé une opinion, il ne leur est plus possible de convenir qu’elle soit fausse ; ils se croiroient même desh
’ils se sont trompez, que le peuvent être ceux qui les réduisent à en convenir . Ce caractere me paroît si estimable, que je me l
l’égard du style de cette ode, Me D me reproche plusieurs fautes. Je conviens de bonne foy avec elle, que je ne me suis pas exp
nt pas opéré de si grands prodiges. Quoiqu’il en soit, dès que je ne conviens pas qu’Homere ait perfectionné l’art qu’il a inve
alelle ; elle trouveroit sans doute que j’aurois mauvaise grace, j’en conviens , cela ne sied bien qu’à elle. Je pense donc avec
poëmes. Appellez-les d’ailleurs comme il vous plaira, pourvû que vous conveniez qu’ils peuvent faire autant de plaisir que ceux d
ant de noblesse. Si je rapportois cela, sans qu’elle fût en état d’en convenir , ses amis qui sçavent ses sentimens, me soûtiendr
me épique, peuvent être violens, perfides, dénaturez et brutaux. J’en conviens , me, et je sçai la différence qu’Aristote établit
. En vérité ce préliminaire est bien difficile à passer. Le moyen de convenir qu’il ne soit pas mieux de dire qu’un messager s’
les discours d’Homere ; j’y ai trouvé plusieurs défauts dont Me D ne convient pas ; elle veut même, à son ordinaire, que ces dé
à examiner ; sçavoir d’abord si le discours étoit long : car je suis convenu que dans ces occasions, il pouvoit échapper quelq
s diligemment, n’en doutons point, ceux que vous menez, outre le prix convenu , me donneront encore de quoi boire, et ils se ser
Me D et moi. Elle prétend qu’Homere excelle en cette partie, et j’en conviens sans peine, sur la foi de tant de grands hommes q
ption de l’infirmité humaine. Voilà l’excès. Ses plus zêlez partisans conviennent eux-mêmes qu’elle a trahi sa cause, en la voulant
ard des originaux qu’ils commentent ; ils ne sçauroient se résoudre à convenir d’un seul défaut, ils se reprochent même d’en avo
certaines circonstances, je suis obligé alors de n’en dire que ce qui convient à l’action de mon héros, et si je m’emporte au-de
re. Cela me paroît si évident, que je ne doute pas que Me D même n’en convienne . Il semble cependant qu’elle a pris son parti, et
a force consiste à ne rien employer d’inutile, à choisir entre ce qui convient , ce qui convient le mieux, et à observer même dan
à ne rien employer d’inutile, à choisir entre ce qui convient, ce qui convient le mieux, et à observer même dans son choix, une
et de freres. ce dernier sentiment est certainement très-beau, et je conviens même avec plaisir qu’Homere en a quelques uns de
la crainte du reproche des troyens n’est pas le prémier sentiment qui convienne à Hector, pour le résoudre à aller rejoindre ses
là un air trop sententieux, et de plus, une petite énumeration qui ne convient point du tout dans un moment si pathétique. Me D
tique. Me D dit qu’Homere veut faire entendre que la quenoüille seule convient aux femmes, et elle craint, dit-elle, que sur sa
ance avec lui. Il s’en offre heureusement une occasion importante. Il convient qu’il n’y a pas trop de prise aux allégories qu’o
comme un outrage pour Homere le secours qu’on lui prête aujourd’hui. Convenir qu’il a bien des défauts leur auroit semblé un bl
58 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — J. — article » pp. 519-526
plusieurs traits d’une éloquence vive, noble, & digne du ton qui convient à la Chaire. Ses Poésies Chrétiennes sont plus di
, fut préférée à celle de M. de Voltaire, qui avoit concouru. Il faut convenir que celui-ci méritoit de l’emporter sur son concu
59 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 381-387
nsées ingénieuses sont trop prodiguées & trop éloignées de ce qui convient au genre pastoral, M. la Mothe pourra passer enco
eau ne les a pas faits, il est incontestable que cette imputation lui convient  ; mais en attendant que ce mystere soit débrouill
60 (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Le père Bouhours, et Barbier d’Aucour. » pp. 290-296
r de rendre justice à son judicieux Aristarque. D’Aucour commence par convenir de tout le bien qui s’y trouve : mais, après avoi
. Les armes tombèrent d’elles-mêmes des mains des combattans. Il faut convenir que personne, par son caractère, ne méritoit moin
61 (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Seconde partie. Poétique du Christianisme. — Livre premier. Vue générale des épopées chrétiennes. — Chapitre II. Vue générale des Poèmes où le merveilleux du Christianisme remplace la Mythologie. L’Enfer du Dante, la Jérusalem délivrée. »
de beaucoup de choses communes, qu’une belle troupe de pensées qui se conviennent , et qui ont toutes comme un air de parenté : c’es
couronne de fleurs. D’après la Jérusalem, on sera du moins obligé de convenir qu’on peut faire quelque chose d’excellent sur un
62 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 49, qu’il est inutile de disputer si la partie du dessein et de l’expression, est préferable à celle du coloris » pp. 486-491
loris, sont des choses réelles, et sur lesquelles on peut disputer et convenir à l’aide d’un compas ou de la comparaison. Ainsi
d’un compas ou de la comparaison. Ainsi les personnes intelligentes, conviendront bien entr’elles du rang que Le Brun tient entre l
63 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre XI. De la littérature du Nord » pp. 256-269
ards différents ; celui-là seul constitue son être. La poésie du Nord convient beaucoup plus que celle du Midi à l’esprit d’un p
ques fables absurdes dans l’Edda ; mais les idées religieuses du Nord conviennent presque toutes à la raison exaltée. Les ombres pe
ion. Un enthousiasme réfléchi, une exaltation pure, peuvent également convenir à tous les peuples ; c’est la véritable inspirati
64 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VI. La commedia sostenuta » pp. 103-118
MAMFURIO. Miséricorde ! à vous les écus, la robe et tout ce qui vous convient , dimittam vobis. SANGUINO. Prenez, puisqu’il vous
st dans le ciel, et moi je suis une pauvre pécheresse, et ainsi il ne convient pas de m’appeler madonna. ALBERTO. Je me sers de
’ai cherché dans toute la ville, et n’ai trouvé personne qui pût vous convenir . Elle me paraît toute pleine de Lucifers. Dans mo
65 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXVIII » pp. 305-318
s femmes savantes, c’eut été s’exposer à de dangereuses inimitiés. Il convint donc à Molière de supposer que des femmes, qui jo
te des détails partout où il en trouve qui rient à son imagination et conviennent à ses vues ; il les rapproche, il les sépare de m
n côté et un trait d’un autre, et de ces divers traits, qui pouvaient convenir à une même personne, j’en ai fait des peintures v
66 (1867) Nouveaux lundis. Tome VII « Dominique par M. Eugène Fromentin »
assique par trop respectueuse. Ce n’est pas à nous, d’ailleurs, qu’il conviendrait de lui reprocher son admiration pour les maîtres,
ême en voyant du nouveau et en faisant du neuf, il ne croit pas qu’il convienne de rompre en visière avec le passé ; il n’est nul
de rompre en visière avec le passé ; il n’est nullement d’avis qu’il convienne de changer absolument de méthode selon les lieux
sité mal entendue. Il faut regarder ce peuple à la distance où il lui convient de se montrer : les hommes de près, les femmes de
Nous avons à parler du roman de M. Fromentin, et à en parler comme il convient , à loisir et tout à notre aise. *** 23. Un vol.
67 (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « M. Necker. — II. (Fin.) » pp. 350-370
senti le besoin d’une occupation. Entre toutes celles qui pouvaient convenir à une âme élevée, à un homme public jeté avant l’
cluait qu’il fallait recourir « aux idées immuables », à celles qui «  conviennent également aux moments de triomphe et aux jours de
t au ministère. J’ai prononcé le mot de sermonnaire ; c’est celui qui convient le mieux au genre de talent que déploie M. Necker
Richelieu, ce furent mes propres expressions, dès ce moment-là je ne conviendrais plus aux affaires publiques. Et en effet, les hom
ments qui m’ont guidé, je ne trouve nulle part une association qui me convienne . » C’est en ces termes que l’honnête homme blessé
68 (1905) Les œuvres et les hommes. De l’histoire. XX. « Innocent III et ses contemporains »
blessure que ce doive être pour ses convictions ou ses espérances, on conviendrait qu’on n’a pas le droit d’apporter, comme preuve d
générale ou à une direction supérieure de l’opinion vers le but qu’il convient le mieux de lui donner ? Et cependant telle est l
sie et à système, plus capables d’admirer le passé que de dire ce qui conviendrait au présent ; mais l’Allemagne n’est pas plus cath
ussé les choses au profit de ces sentiments opposés. Mais, il faut en convenir , la haine, en ceci, a été plus aveugle que l’amou
que ne les tient même l’opinion de leurs ennemis ; car leurs ennemis conviennent volontiers de la force qui était en eux, et se co
69 (1865) Nouveaux lundis. Tome III « Chateaubriand, jugé par un ami intime en 1803, (suite et fin) » pp. 16-34
time en 1803 (suite et fin) Mardi 22 juillet 1862 II. Il est donc convenu que, pour aujourd’hui, on m’accorde d’entrer dans
e le moins dupe possible des phrases, des mots ; des beaux sentiments convenus , et atteindre au vrai comme dans une étude nature
passé impunément. Je dis donc que, pour bien connaître un talent, il convient de déterminer le premier centre poétique ou criti
la sincérité ne se fait pas sentir. Ils ont des talents royaux, j’en conviens  ; mais là-dessous, au lieu de ces âmes pleines et
70 (1868) Nouveaux lundis. Tome X « Les cinq derniers mois de la vie de Racine »
Racine. Il l’agréa fort. On a fait ensuite toutes les démarches qu’il convient pour parvenir à ces bons comptes qui font les bon
n’y eut point de souper chez le père de l’époux, avec lequel on était convenu qu’il donnerait plutôt un dîner le lendemain, afi
ême pour un temps, et que l’exhortation à une pratique si respectable convenait au pasteur conjoignant, et n’était nullement du r
e belle circonstance de l’histoire de ces anciens enfants des Saints, convient tout à fait à la haute idée qu’une religion aussi
71 (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « M. de Sénancour — Note »
ne me plaît point à moi, et pour d’autres raisons, mais qui peut lui convenir , et dans lequel, au fond, l’on n’a que les misère
puisque la difficulté des premiers pas à faire était justement ce qui convenait à ses moyens.  « Il ne faut pas dire : « Il n’y a
ture même. À plus forte raison des livres dont le sujet et la manière conviennent très-peu au xixe siècle français ne peuvent-ils f
dées dominantes. Celle que je n’abandonnai point, celle qui peut-être convenait le plus à mon caractère, et qui bientôt s’accorda
72 (1761) Salon de 1761 « Peinture —  Carle Vanloo  » pp. 117-119
eût rendu la caverne sauvage ; si on l’eût couverte d’arbustes, vous conviendrez qu’on n’aurait pas eu besoin de ces deux mauvaise
, ni crainte ni pudeur ni ingénuité. On ne sait ce que c’est. Il faut convenir que rendre l’idée de la première guirlande, du pr
73 (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre troisième. Découverte du véritable Homère — Chapitre VII » pp. 278-283
mœurs, tout en les condamnant, n’est-ce pas enseigner à les imiter ? Convenons plutôt que l’auteur de l’Iliade dut précéder de l
e des diverses philosophies de la Grèce. Aucun de ces trois titres ne convenait à Homère, tel qu’on se l’était figuré jusqu’ici.
74 (1868) Cours familier de littérature. XXVI « CLIIe entretien. Madame de Staël »
s cesse, sans la résoudre jamais, cette question en effet insoluble : Convient -il aux femmes d’écrire et d’aspirer à la gloire d
question d’une manière absolue, nous aimerions presque autant dire : Convient -il à la nature de donner du génie aux femmes ? Ma
es délibérantes, ou dans les tribunaux, ou dans les temples, pourrait convenir à un être voué par son sexe à de si douces et si
ns Vittoria Colonna en Italie et madame de Sévigné en France. Mais il convient de remarquer que leur célébrité involontaire n’a
femmes ; leurs œuvres ne sont que leurs tendresses, seules œuvres qui conviennent au sexe fait pour aimer. VIII La femme dont
bœuf de ces pâturages, un peu plus de matière et de solidité qu’il ne convient à la délicatesse des traits. Les pommettes de ses
crédit du ministre dont on briguait les faveurs, on était tacitement convenu de respecter cette équivoque. On s’extasiait égal
75 (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « Chamfort. » pp. 539-566
. On le voit successivement d’ailleurs s’exercer dans tous les genres convenus  ; il n’a pas la force ni l’idée de les renouveler
nces avec le talent que reine et femme pouvait l’être78. Jusqu’ici on conviendra que Chamfort ne semble pas avoir eu tant à se pla
out d’un coup par une retraite subite. Les deux premiers partis ne me convenaient pas : j’ai pris intrépidement le dernier. On a be
our ta vanité, sur laquelle je compte, et non pour l’amour-propre qui convient à un homme de sens. Tu écriras, tu feras des vers
elle de Satan dans le Paradis perdu. » Mais il était difficile, on en conviendra , à l’ancienne société de deviner cet orgueil de S
l ne l’avait pris tout à côté sur un ton beaucoup plus élevé qu’il ne convenait au cas particulier et, j’ajouterai, à son rôle, e
76 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 22, que le public juge bien des poëmes et des tableaux en general. Du sentiment que nous avons pour connoître le mérite de ces ouvrages » pp. 323-340
est question de juger si les accens d’un récit sont touchans ou s’ils conviennent aux paroles, et si le chant en est mélodieux. Lor
qu’en jugeant de cet ouvrage sur les dissertations des critiques, qui conviennent rarement touchant l’importance de chaque regle. A
dit, je ne crains pas que mon lecteur se trompe sur l’extention qu’il conviendra de donner à la signification du mot de public, su
77 (1911) La valeur de la science « Première partie : Les sciences mathématiques — Chapitre III. La notion d’espace. »
amorphe, on peut imaginer un réseau de lignes et de surfaces, on peut convenir ensuite de regarder les mailles de ce réseau comm
la géométrie non-euclidienne. De sorte que, demander quelle géométrie convient -il d’adopter, c’est demander ; à quelle ligne con
elle géométrie convient-il d’adopter, c’est demander ; à quelle ligne convient -il de donner le nom de droite ? Il est évident qu
as d’ordinaire dans un sens aussi large ; c’est ainsi cependant qu’il conviendrait de l’entendre. Si l’un de ces univers est notre m
de moi divers objets et un homme qui est extérieur à moi, mais que je conviens d’appeler moi. La difficulté sera-t-elle résolue
78 (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « Voltaire et le président de Brosses, ou Une intrigue académique au XVIIIe siècle. » pp. 105-126
que chacun peut lire, et je ne vais qu’à l’esprit des choses. Il faut convenir que cette vente viagère, qui se faisait sous form
l’Ain), avertissent le président. Celui-ci ne se presse pas ; on est convenu de faire un inventaire et une reconnaissance de l
en écrit au président, il le somme d’agir comme si le président était convenu avec lui de le faire exempter du payement de ce d
pareil cas, et encore moins ce que c’est que d’en faire usage. Il ne convient pas de parler ainsi : soyez assez sage à l’avenir
s belles choses à l’Académie, et je ne crois pas qu’un tel homme vous convienne . D’Alembert, comme tout homme de parti, sans ex
79 (1872) Les problèmes du XIXe siècle. La politique, la littérature, la science, la philosophie, la religion « Introduction »
seur est généralement entendu dans un sens assez équivoque. Il semble convenu qu’il est synonyme de sceptique et d’incrédule. D
éclairés pour les gérer eux-mêmes, c’est-à-dire pour juger de ce qui convient et de ce qui ne convient pas à leurs intérêts. Il
eux-mêmes, c’est-à-dire pour juger de ce qui convient et de ce qui ne convient pas à leurs intérêts. Ils ont des conseillers, di
t donc la seule méthode qui puisse établir la vérité religieuse. Elle convient aux apologistes aussi bien qu’aux critiques et au
e la vraie religion. Que l’on ne nous dise pas que le libre examen ne convient qu’à certaines confessions religieuses, et non po
80 (1824) Notes sur les fables de La Fontaine « Livre troisième. »
honnêtes gens. Fable IV. V. 14. Or c’était un soliveau… Il faut convenir que la conduite de Jupiter, dans cet Apologue, n’
lesque, qui s’emploie, comme on le sait, pour louveteau. V. 27. J’en conviens  ; mais de quoi sert-elle, Avec des ennemis sans f
81 (1763) Salon de 1763 « Peintures — Vernet » pp. 227-230
ceau, ce n’est pas pour dire ou pour montrer une chose commune ? J’en conviens . Mais considérez que les grandes compositions de
faut lui dire, Faites-moi un tableau, et choisissez le sujet qui vous conviendra  ; encore serait-il plus sûr et plus court d’en pr
82 (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 31, de la disposition du plan. Qu’il faut diviser l’ordonnance des tableaux en composition poëtique et en composition pittoresque » pp. 266-272
ment la moitié de la tête ni d’autres parties du corps, lesquelles il convient au sujet que le peintre fasse voir. Il faut enfin
lance, tous les personnages doivent faire les démonstrations qui leur conviennent , et l’expression de chacun d’eux doit être confor
83 (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Léopold Robert. Sa Vie, ses Œuvres et sa Correspondance, par M. F. Feuillet de Conches. — II. (Fin.) » pp. 427-443
et dans le renouvellement de l’art ? À quel rang et dans quels rangs convient -il de le placer ? Ayant toujours habité en Italie
du Romulus ou du Léonidas, quelque chose de théâtral : lui-même il en convient  ; il aurait désiré que ce fût simplement mâle et
ées, dans la seconde partie de la vie : « Une vie matérielle qui peut convenir à beaucoup n’a jamais pu m’accommoder ; et, à pré
c M. Marcotte il s’ouvrait encore davantage. La société italienne lui convenait peu ; au milieu d’un agrément extérieur, il n’y t
84 (1869) Cours familier de littérature. XXVII « CLXe Entretien. Souvenirs de jeunesse. La marquise de Raigecourt »
le prouver en venant lui-même chez moi solliciter mon amitié. Il fut convenu que, sans me prévenir, Genoude l’y amènerait le l
le duc me donna pour en faire mon habitation personnelle, quand il me conviendrait de m’y fixer pendant la belle saison. Je crois qu
ndant mes compagnons de voyage vanter les douceurs de la dévotion, je convins avec eux qu’elle avait ses charmes, quand elle ét
nomma M. de Montmorency gouverneur du duc de Bordeaux, emploi qui lui convenait parfaitement, qui honorait son royalisme et qui u
85 (1900) Le lecteur de romans pp. 141-164
fiques, la chronique mondaine, les pages d’histoire où de mémoires ne conviennent pas à leurs enfants, ces abonnés l’admettent ou p
e de la vie sans mensonge, avec la sévérité, l’ironie ou la pitié qui convient , il peut être assuré de recevoir des lettres indi
en chacune de ses parties. J’en tombe d’accord. Est-ce à dire qu’elle convienne à des jeunes filles ? Je me permets d’en douter,
ncore. J’en ai assez dit pour prouver que la lecture du roman ne peut convenir à tout le monde, puisqu’elle demande une expérien
86 (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XIX. Panégyriques ou éloges composés par l’empereur Julien. »
sans idées étrangères, ne marche appuyé que sur lui-même, et il faut convenir que sa démarche n’en est pas moins ferme. Ce morc
ommandent sous lui dans ses États. Qu’il confie à chacun la place qui convient à son caractère ; les emplois militaires à l’âme
ques qui sont de tous les pays et de tous les temps : mais il faut en convenir , le fond intéresse peu. Que nous font aujourd’hui
87 (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXX. De Fléchier. »
, pour nous inspirer la sainte résolution de bien vivre71. Il faut en convenir , cette marche est loin de celle de Bossuet : on a
à qui il donne son cheval, et qu’il suit lui-même à pied. Il faut en convenir , on a regret que la dignité de l’oraison funèbre
elever son crédit, tout cet esprit de dissimulation et d’imposture ne convint pas à sa vertu. Ne pouvant encore s’autoriser con
88 (1874) Premiers lundis. Tome I « M. de Ségur : Mémoires, souvenirs et anecdotes. Tome III. »
peuple, desquelles les siennes au fond se rapprochaient beaucoup. Il convenait à Potemkin d’épargner à l’impératrice philosophe
nombreuses anecdotes dont sa riche mémoire était meublée, et il faut convenir que personne ne racontait mieux que lui. Il attac
89 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Seconde partie. De l’état actuel des lumières en France, et de leurs progrès futurs — Chapitre premier. Idée générale de la seconde Partie » pp. 406-413
stitutions. Il n’est qu’une nation dans l’univers à laquelle puissent convenir dès à présent quelques-unes de ces réflexions : c
ffets déjà produits par la révolution même : ces effets, l’on doit en convenir , sont au détriment des mœurs, des lettres et de l
90 (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « Appendice. Note concernant M. Laurent-Pichat, et Hégésippe Moreau. (Se rapporte à la page 395.) » pp. 541-544
analyses pointillées. — Une gloire marchandée, versée à petits coups, convient peut-être aux écrivains à teintes grises dont vou
d’un esprit sain (mens sana) sont rares, même parmi ceux à qui il est convenu d’accorder du talent ! 76. [NdA] C’est moi-même
91 (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Clément Marot, et deux poëtes décriés, Sagon & La Huéterie. » pp. 105-113
énérale. Lorsqu’on eut épuisé les injures & les personnalités, on convint , entre les deux partis, d’une suspension d’armes.
x genoux de Marot, lui demande pardon. Il confesse tous ses torts. Il convient que le démon de l’envie & de la rime l’a jett
92 (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « [Appendice] » pp. 417-422
t songez que je ressuscite ! Cependant Fléchier sentit bientôt qu’il convenait de mettre fin à ces tendres jeux, bien qu’ils fus
jeux, bien qu’ils fussent purement platoniques ; car, ainsi qu’il en convient lui-même dans un dialogue en vers entre Climène e
93 (1874) Premiers lundis. Tome I « Mémoires de madame de Genlis sur le dix-huitième siècle et la Révolution française, depuis 1756 jusqu’à nos jours — III »
uelle elle pouvait prétendre. Est-ce bien encore à notre auteur qu’il convient de relever si impitoyablement ce qu’elle appelle
r dès lors un rôle politique, qu’il lui faudrait soutenir, et qui lui convenait moins qu’à aucune autre femme. Si madame Roland e
94 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome I « Bibliotheque d’un homme de goût. — Chapitre I. Des poëtes anciens. » pp. 2-93
sans art, sans invention & sans autre agrément que celui qui peut convenir au genre d’écrire médiocre ; mais Hésiode écrivoi
iantes. On les accuse d’avoir un stile un peu trop fleuri, & j’en conviendrai bien à l’égard d’un petit nombre d’endroits ; mai
des églogues de Virgile les Idilles de Théocrite ; mais tout le monde convient que dans les Georgiques il a effacé Hésiode. Ses
plus parfaits des ouvrages de Virgile, comme tous les connoisseurs en conviennent . Mais le mérite principal de ce poëme consiste da
pas autant que les autres, c’est qu’il est impossible, & qu’il ne convient pas même dans un long ouvrage que tout soit égale
artie d’après l’Abbé des Fontaines. Il n’y a personne, dit-il, qui ne convienne que Marolles dans sa traduction est ridicule &
es critiques en ont dit, je vois, dit l’Abbé Goujet, que presque tous conviennent qu’en général elle est écrite avec pureté ; qu’il
n plaisir innocent. Quelque peu scrupuleux que fût Scarron, il semble convenir lui-même qu’il avoit un peu de honte de son ouvra
en des termes qu’on lit toujours avec plaisir, mais qui, comme il en convient lui-même, sont détachés & indépendans des phr
95 (1904) Prostitués. Études critiques sur les gens de lettres d’aujourd’hui « Chapitre IX. Le trottoir du Boul’ Mich’ »
be d’Henry Fouquier ? Henry Barbusse, gendre de Mendès, est, comme il convient , critique à Femina. Écoutez-moi, gendres qui remp
et, critique, condamne le style de Rousseau et le style de Balzac, il convient peut-être de juger ce triple juge et d’indiquer q
ui quelque simplicité et quelque correction. Un peu d’humilité semble convenir aussi au parasite qui peut avouer en une heure de
c. S’il en parle à Paris, il revêt l’air détaché et demi-railleur qui convient . En Occitanie, l’enthousiasme populaire et le son
mple, dès que M. le docteur se met à résumer les livres de Cyrano, il convient de fermer sa thèse ; seul un mathématicien pourra
é écrit trop vite. S’il est beau de concevoir de nobles ambitions, il convient de les réaliser sans hâte. Camille Mauclair — je
96 (1887) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Troisième série « (Chroniqueurs parisiens I) MM. Albert Wolff et Émile Blavet »
les plus beaux livres ne sont pas autre chose. Mais cette définition convient aussi au moindre article de journal, avec cette d
 ! que M. Wolff connaît bien son public ! Et comme il sait ce qui lui convient , à ce public, et ce qu’il peut supporter ! Comme
l s’attendrit. S’il parle de Mgr l’archevêque de Paris, il sait qu’il convient que le digne prélat soit « un fin prélat », et il
97 (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XI. Le royaume de Dieu conçu comme l’événement des pauvres. »
ants de Dieu, vivant en confiance sur le sein de leur père, pouvaient convenir à une secte naïve, persuadée à chaque instant que
ves de si fortes impatiences, fut, à son jour et sous le ciel qui lui convenait , pleine de charme. Elle offrit à une foule d’âmes
rit à une foule d’âmes contemplatives et douces le seul état qui leur convienne . Avoir fait de la pauvreté un objet d’amour et de
98 (1904) Prostitués. Études critiques sur les gens de lettres d’aujourd’hui « Chapitre V. Chanteuses de salons et de cafés-concerts »
et triomphant, Alexandre dit tout haut à quelqu’un de sa suite : « Il convient de récompenser cet homme selon ses mérites : vous
démarche légère du petit trottin si amusant à regarder. La rime riche convient au vers ferme, solide, rigide, tout d’une pièce,
e. Pauvre qui vivait d’expédients, il faisait envier son opulence. Il convient d’admirer son habileté et de s’intéresser à sa ca
99 (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre troisième. De la sympathie et de la sociabilité dans la critique. »
dre. C’est donc aux littérateurs, non moins qu’aux philosophes, qu’il convient d’appliquer le précepte par excellence de la mora
but, ce n’est pas la critique systématique et irritée des défauts qui convient , c’est la critique impartiale et calme des beauté
a ici deux termes en présence, l’auteur et le lecteur, qui peuvent se convenir l’un à l’autre sans être plus vrais tous les deux
100 (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre V. Les contemporains. — Chapitre VI. La poésie. Tennyson. »
—  Il faut que le sujet et le talent soient d’accord. —  Quels sujets conviennent à l’artiste dilettante. —  The Princess. —  Compa
—  L’élégance. —  L’éducation. —  Les habitudes. —  En quoi Tennyson convient à un pareil monde. —  Le monde en France. —  La v
a conversation. —  La hardiesse d’esprit. —  En quoi Alfred de Musset convient à un pareil monde. —  Comparaison des deux mondes
La grande affaire pour un artiste est de rencontrer des sujets qui conviennent à son talent. Celui-ci n’y a pas toujours réussi.
nérosité, la courtoisie, tous les spectacles et toutes les vertus qui conviennent aux instincts de nos races européennes, se sont a
mblés pour leur offrir l’épopée qu’elles aiment et le modèle qui leur convient . IV La Princesse est une féerie sentimenta
ent la générosité et la hauteur d’un cœur jeune et épris du beau ! On convient que la querelle sera décidée par un combat de cin
hent de regarder ailleurs. Y a-t-il un poëte qui, mieux que Tennyson, convienne à un pareil monde ? Sans être pédant, il est mora
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