e passe en ce moment quelque chose d’analogue dans toutes les grandes
doctrines
: toutes sont partagées et tiraillées, pour ainsi
le des croyances et des consciences rattache les esprits droits à une
doctrine
déterminée et fixe : d’un autre côté, le besoin d
Ce problème se produit d’une manière différente suivant la nature des
doctrines
; mais il existe dans toutes sous une forme ou so
de citoyens est tous les jours déchirée par le conflit des anciennes
doctrines
et des nouvelles, et c’est là-dessus qu’on les la
nt d’intermédiaires entre l’homme et Dieu pour l’interprétation de la
doctrine
. Bien souvent, dans l’Église protestante, on a es
’examen ; mais il semble que les uns attachent plus d’importance à la
doctrine
qu’à la liberté, aux conclusions déjà trouvées qu
ont pas disposés à se contenter aussi facilement ; l’immobilité d’une
doctrine
une fois faite ne leur paraît guère conforme à la
tes, soit à l’égard des croyances traditionnelles, soit à l’égard des
doctrines
nouvelles. Les spiritualistes que j’appellerai or
avec les religions positives contre ce qu’ils appellent les mauvaises
doctrines
. Les spiritualistes que j’appellerai libéraux son
hique a été considéré, lui aussi, par la théologie comme une mauvaise
doctrine
, qu’il fut un temps, encore peu éloigné de nous,
iser nos services et que nous étions une bonne avant-garde contre des
doctrines
bien autrement menaçantes. Néanmoins nous ne pouv
out à fait placés au même point de vue que leurs amis par rapport aux
doctrines
nouvelles. Pour les spiritualistes orthodoxes, to
x doctrines nouvelles. Pour les spiritualistes orthodoxes, toutes ces
doctrines
, quelles qu’elles soient, ne sont autre chose que
trines, quelles qu’elles soient, ne sont autre chose que de mauvaises
doctrines
, des doctrines basses, odieuses, désespérantes. D
qu’elles soient, ne sont autre chose que de mauvaises doctrines, des
doctrines
basses, odieuses, désespérantes. Dans cette prosc
. La philosophie n’a autre chose à faire qu’à combattre ces mauvaises
doctrines
, à les refouler, et c’est surtout pour cette entr
la même manière, Ils sont tout aussi ennemis que qui que ce soit des
doctrines
basses et avilissantes ; ils sont surtout révolté
ns de démonstration sont insuffisants, qu’il y a des lacunes dans nos
doctrines
, qu’elles ne sont pas complètement appropriées au
de et le monde en Dieu. Il n’est pas dans la nature des choses qu’une
doctrine
philosophique reste immobile et stagnante comme u
ple ou complexe. Interdire tel ou tel système anatomique au nom d’une
doctrine
philosophique, ce serait raisonner comme les théo
nant l’innéité organique des instincts. En un mot, on reprochait à la
doctrine
de Gall de conduire au matérialisme et au fatalis
esprit. L’imputation de fatalisme, qui est la plus répandue contre la
doctrine
de Gall, ne me paraît pas non plus très-fondée. Q
ne me paraît pas non plus très-fondée. Que l’on accepte ou non cette
doctrine
, on est bien obligé de reconnaître que nos inclin
incts, puisque c’est principalement sur cette donnée qu’elle fonde la
doctrine
du péché originel. La phrénologie n’était donc nu
n’était point par là plus contraire au spiritualisme que toute autre
doctrine
physiologique. On aurait donc dû se dispenser de
nient : c’est que si à un jour donné la science venait à démontrer la
doctrine
des localisations (ce qui n’a rien d’impossible),
ns son livre récent sur la Phrénologie spiritualiste, soutient que la
doctrine
de Gall peut se concilier avec le plus pur spirit
ur spiritualisme. Le docteur Castle défend solidement sur ce point la
doctrine
de son école, souvent compromise, il faut le dire
ucune de ses facultés. La question la plus importante soulevée par la
doctrine
phrénologique, et qui même aujourd’hui n’est pas
eure. C’est certainement là un des arguments les plus forts contre la
doctrine
phrénologique. D’autres faits non moins graves dé
té. Telles sont les raisons générales qui ont été invoquées contre la
doctrine
phrénologique, et il est impossible d’en méconnaî
ation. Il est inutile d’insister sur les faits qui ont renversé cette
doctrine
; mais il n’y en a pas de mieux réfutée48. L’orga
’organe du meurtre chez le mouton. Broussais a essayé de justifier la
doctrine
de Gall sur ce point, et soutenu que la destructi
équilibre, de l’harmonie, de la coordination des mouvements, et cette
doctrine
, quoique contestée, paraît de plus en plus autori
tte hypothèse, et l’on reviendrait ainsi par un chemin détourné à une
doctrine
qui ne serait pas très éloignée de celle de Gall.
doctrine qui ne serait pas très éloignée de celle de Gall. Enfin, une
doctrine
très-répandue assigne à la faculté du langage art
rit, commente et développe heureusement quelques-uns des points de la
doctrine
philosophique de M. Guizot. Elle ne détruit pas,
aussi expresse, il est impossible d’imputer au positivisme une autre
doctrine
que celle que nous venons d’exposer ; mais alors
ophie, porte contre le spiritualisme aussi bien que contre les autres
doctrines
; autrement, s’il y a une doctrine qui ne soit pa
aussi bien que contre les autres doctrines ; autrement, s’il y a une
doctrine
qui ne soit pas impuissante, il y a une science d
l’infini. Si au contraire il n’y a pas de science de l’infini, toute
doctrine
est impuissante, y compris la nôtre. Qu’avons-nou
Cela n’empêche pas qu’elle ne puisse faire valoir en faveur de telle
doctrine
des raisons solides et considérables, propres à e
d’opinion. Il a ses opinions comme les philosophes ont les leurs. Les
doctrines
philosophiques ne le satisfont pas ; mais les phi
t pas ; mais les philosophes ne sont pas satisfaits davantage par ses
doctrines
. Il n’y a donc pas lieu d’argumenter d’une préten
je comprends très-bien que l’on puisse prendre une moyenne entre des
doctrines
diverses, que l’on puisse s’entendre sur un minim
lors pourquoi ne pas résoudre les difficultés qui s’élèvent contre la
doctrine
réformée ? Pourquoi ne pas répondre aux objection
l’église de Luther et de Calvin offre plus de sécurité, de fixité de
doctrine
. Si nous n’avons pas d’autorité, vous n’en avez p
sur la théologie. M. Guizot accepte pour son propre compte la célèbre
doctrine
des dogmes fondamentaux, si souvent et si justeme
t chrétien, ni même exclusivement religieux ; c’est en même temps une
doctrine
philosophique. On pourrait tout aussi bien compte
hrétiens. Si l’on s’étonne de voir au nombre des dogmes chrétiens une
doctrine
toute philosophique, on s’étonne aussi de certain
et des œuvres. Encore une fois, qu’est-ce que le christianisme, si la
doctrine
de la grâce, la doctrine de la justification, son
fois, qu’est-ce que le christianisme, si la doctrine de la grâce, la
doctrine
de la justification, sont des doctrines lâches et
si la doctrine de la grâce, la doctrine de la justification, sont des
doctrines
lâches et arbitraires dont on prend ce qu’on veut
n philosophe ne l’a jamais satisfait sur le problème du mal. Ainsi la
doctrine
de l’épreuve, la doctrine de l’optimisme, les bel
satisfait sur le problème du mal. Ainsi la doctrine de l’épreuve, la
doctrine
de l’optimisme, les belles et profondes considéra
la mérite à peine l’honneur d’une discussion. Prenons au contraire la
doctrine
du péché originel : quelle clarté ! quelle simpli
ées, d’où il n’y a rien à conclure en faveur du dogme en question. La
doctrine
de la chute n’explique rien de ce qu’il s’agit d’
couvre la terre, la douleur chez les animaux, leur appliquera-t-on la
doctrine
du péché originel, et, pour rappeler le mot de Ma
onséquence du péché de l’homme. Une extension aussi exorbitante de la
doctrine
du péché ne peut être avancée que par un fanatism
un fanatisme aveugle. Que devient d’ailleurs dans cette hypothèse la
doctrine
de la contagion héréditaire ? Ce n’est point par
ux dans cette vie. Nous ne prétendons pas expliquer ce fait ; mais la
doctrine
du péché originel ne l’explique pas davantage. Si
échi, qui a soutenu récemment à un point de vue tout philosophique la
doctrine
de la chute, M. Ernest Naville a très-bien vu la
rs le péché inné rend inutile l’hypothèse du péché transmis. Ainsi la
doctrine
de la chute, présentée comme une solution au myst
u les devoirs de l’homme envers son semblable, dans la douceur de ses
doctrines
sur l’esclavage, au principe duquel il ne songea
ions de Nicolas Cop furent dénoncées ; il se défendit, et maintint sa
doctrine
; mais la Sorbonne était la plus forte, et Cop du
t au scandale des indulgences, qui n’étaient que l’extrême abus de la
doctrine
catholique sur le mérite des œuvres66. Le protest
œuvres. Toutefois Luther, quoique placé le plus près des abus de la
doctrine
des bonnes œuvres, ne leur avait pas ôté toute pa
uther transigeait ; et, quelque effort qu’il fît pour s’arracher à la
doctrine
des œuvres et remplacer dans l’homme la vertu par
rouvés, qui faisaient nécessairement le mal. Telle est cette terrible
doctrine
de la prédestination, la grande nouveauté de Calv
A ceux qui objectaient qu’une fois élus, c’est à savoir croyant à la
doctrine
de Calvin, peu importait qu’ils vécussent dissolu
font pas bien ne sont pas élus. Quant à ceux qui, ne croyant pas à la
doctrine
tâchaient néanmoins de vivre innocemment, il le l
-ils pas hors de l’élection de Dieu, puisqu’ils ne croyaient pas à la
doctrine
? Il se déchargeait sur les conseils secrets de D
rejetant parmi les réprouvés ceux dont la conduite aurait démenti la
doctrine
. Calvin n’imagina rien de mieux que d’imposer la
comme indifférentes. « C’est ainsi, dit M. Mignet, que Calvin fit une
doctrine
exagérée de logiciens un culte et une morale de p
s indépendants d’Angleterre67. » Le caractère le plus frappant de la
doctrine
et du gouvernement de Calvin, c’est l’exagération
e Calvin, étaient livrés au bourreau. Quant aux contradicteurs sur la
doctrine
, on sait de quelle façon Calvin s’en débarrassait
; parlant et écrivant sans avoir rien changé, diminué ni ajouté à la
doctrine
qu’il avait annoncée dès le premier jour de son m
lui a donnée Théodore de Bèze, de n’avoir rien changé ni ajouté à sa
doctrine
, si ce n’est plutôt marque de médiocrité que titr
as la conduite morale. En effet, Calvin ne changea rien au fond de sa
doctrine
; c’est par le nombre et le développement des pre
ponses qu’il eut à faire aux objections que suscitait incessamment sa
doctrine
, et qui s’autorisaient du nom de quelque contradi
e à laquelle l’objection se rattachait. Ainsi se forma le corps de la
doctrine
calviniste, le Livre-Somme, qui, de 1536 jusqu’à
’explications si hautes de la parole de Dieu, de ses prophètes, de la
doctrine
des Pères ; toute l’antiquité chrétienne rendue f
, est elle-même un modèle de composition. C’est un exposé de toute la
doctrine
, sous la forme d’une brève réponse aux reproches
ne l’appliqua pi un corps de discours si serré et si plein, ni à des
doctrines
qui lui fussent propres. Luther, quoique moins do
t faite à Luther ; et encore ne le nomme-t-il pas. Triste fruit d’une
doctrine
qui avait renié les traditions, et institué chaqu
e la méthode. Le même art de composition qui, dans l’exposition de la
doctrine
, range les choses dans leur ordre et leur proport
er ; mais de profiter de son labeur, et de tirer de ses ouvrages, des
doctrines
, des théories applicables, en les modifiant, au g
nt, et les méditons. Énorme nous paraîtra, d’abord, la différence des
doctrines
. Le livre du comte Tolstoï, Ma Religion, est une
gage à devenir chrétiens, opposant toujours aux préceptes mauvais, la
doctrine
, seule et textuelle, de Jésus. Elle condamne, par
, la doctrine, seule et textuelle, de Jésus. Elle condamne, par cette
doctrine
même, les modernes théories philosophiques, les p
pâtir, épargner aux animaux, être tempérant, renoncer l’amour sexuel.
Doctrines
diverses, diverses conclusions. Telles paraissent
s œuvres ; alors nous les pourrons juger. Et les différences dans les
doctrines
, qui, tout à l’heure nous frappaient, s’évanouiro
est secondaire, le résultat d’une antérieure théorie personnelle. La
doctrine
de Tolstoï ne vaut nullement, pour lui, comme éta
e désir du salut, le désir qui donne le salut. Et Tolstoï a repris la
doctrine
de Jésus, parce que Jésus a compris, jadis, ce qu
jadis, ce qui, à nos méditations modernes, apparaît la Vérité. La
doctrine
de Jésus-Christ est la doctrine de la vérité. C’e
s modernes, apparaît la Vérité. La doctrine de Jésus-Christ est la
doctrine
de la vérité. C’est pourquoi la foi en Christ n’e
nnaissance de la vérité. On ne peut persuader personne de croire à la
doctrine
du Christ, on ne peut stimuler personne par aucun
er personne par aucune promesse à la pratiquer. Quiconque comprend la
doctrine
du Christ aura foi en Lui, parce que cette doctri
onque comprend la doctrine du Christ aura foi en Lui, parce que cette
doctrine
est la vérité. Et quiconque connaît la vérité, in
ur croire ? est une question qui témoigne que l’on n’a pas compris la
doctrine
de Jésus-Christ (p. 175). Qu’était donc Jésus ?
cette question indifférente à la compréhension — à l’adoption — de la
doctrine
chrétienne. Mais alors, Jésus qu’enseigne-t-il ?
ins claire de l’Évangile. En quoi consiste donc tout le reste de la
doctrine
de Jésus ? Impossible de nier, et tous les chréti
ossible de nier, et tous les chrétiens l’ont toujours reconnu, que la
doctrine
de Jésus règle en substance la vie des hommes, le
eilleuse clarté : C’est terrible à dire, mais il me paraît que si la
doctrine
de Jésus et celle de l’Église qui a poussé dessus
hui chrétiens auraient été beaucoup plus près qu’ils ne le sont de la
doctrine
de Jésus, c’est-à-dire de la doctrine rationnelle
us près qu’ils ne le sont de la doctrine de Jésus, c’est-à-dire de la
doctrine
rationnelle qui enseigne le vrai bien de la vie (
elle qui enseigne le vrai bien de la vie (p. 178). Tolstoï expose sa
doctrine
, dit Sa religion, heureux, seulement, de ce qu’el
soucieux, aussi, de la méprisable gloire, il rattache constamment sa
doctrine
à la philosophie de Schopenhauer, en reconnaissan
héologique des Évangiles lui est un symbole ; seule est chrétienne la
doctrine
morale de Jésus, et parce qu’elle dit la Rationne
ut le Sauveur, qui enseigne le chemin de la guérison non plus par des
doctrines
, mais par des exemples (R. et A ) La Vérité est
trines, mais par des exemples (R. et A ) La Vérité est conforme à la
doctrine
de Jésus : Tolstoï et Wagner sont, ainsi, chrétie
nelle du vrai ; mais l’Église chrétienne a repris la Loi Juive, et la
doctrine
de Jésus a été annulée (Ma Religion. p. 55-60). D
ésus a été annulée (Ma Religion. p. 55-60). De même, Wagner montre la
doctrine
chrétienne disparaissante sous le retour de la cr
ite de votre bonheur pratique et terrestre ; et vous pouvez suivre sa
doctrine
sans perdre vos métaphysiques illusions. Êtes-vou
ier. Sa religion traite des tout autres problèmes (p. 242-250). La
doctrine
de Jésus ne peut contrarier en aucune façon les h
es ? Ayons donc devant nous la Vie, dans sa réalité (R. et A.). La
doctrine
de Jésus, dit Tolstoï, a un seul but : donner à l
us avons vu Tolstoï et Wagner amenés, par de mêmes raisons, à la même
doctrine
morale. Que nous importent, maintenant, les diffé
ant, les différences dans les préceptes particuliers fondés sur cette
doctrine
? Ne les voyons-nous pas nécessairement superfici
bertin ». Le renoncement de la femme par le mariage c’est, encore, la
doctrine
de Wagner. Parsifal connaît, compatit, et sauve —
le fidèle (R. et A.). Identité du principe religieux, identité de la
doctrine
morale, identité des préceptes déontologiques. Id
II Tolstoï et Wagner ont, en des termes divers, dit, pareillement, la
doctrine
pareille. La seule Religion, toute la Religion, e
urs, vos mains ! » Stériles sont les affections ; funestes, aussi. La
doctrine
de Tolstoï les devait condamner. L’Amour est un D
issant à tous les désirs et à toutes les affections. C’est la vieille
doctrine
d’Épicure : combien plus profonde ? Et cependant
ertile et grasse, que n’éclaireraient point les soleils. C’est que la
doctrine
d’Épicure doit être complétée par celle de Platon
disait Jésus, et la vérité vous rendra libres. » Et c’est, encore, la
doctrine
de Wagner. Beethoven devient le Mage Divin, parce
o du 8 juillet). [NdA] 47. L’éminent et vénérable continuateur de la
doctrine
Wagnérienne, M. le baron Jean de Wolzogen, n’a-t-
polémique corps à corps et mortelle contre des hommes célèbres et des
doctrines
malheureusement professées ; mais cette discussio
sme de la Renaissance et l’expérimentalisme de Bacon, qui en a été la
doctrine
, les médecins ont été et sont encore, par le mode
n supposant que l’intelligence humaine soit un jour nettoyée de cette
doctrine
immonde, les médecins seront les derniers à en es
et nous en sommes resté accablé. On y trouve exposées et réfutées les
doctrines
des professeurs les plus influents sur l’enseigne
sseurs les plus influents sur l’enseignement et sur l’opinion, et ces
doctrines
sont matérialistes. — immuablement matérialistes,
Cabanis ou de La Mettrie. Quant à la politique mise au service de la
doctrine
, c’est différent ! Cabanis, qui a la froideur et
cendre par-dessus la flamme, afin qu’on ne crie pas « au feu ! », la
doctrine
, l’immuable doctrine, qui a bien pu modifier des
flamme, afin qu’on ne crie pas « au feu ! », la doctrine, l’immuable
doctrine
, qui a bien pu modifier des vues de détail, mais
bilité de logique, auxquelles rien n’échappe, les conséquences de ces
doctrines
dont la science est empoisonnée, et, Dieu merci !
yeux de ceux qui savent jusqu’où peut porter une idée. En effet, les
doctrines
matérialistes sont scientifiquement ce que sont,
s matérialistes sont scientifiquement ce que sont, politiquement, les
doctrines
démagogiques, troublant également la tradition, e
e générale. — Première partie. De l’influence du matérialisme sur les
doctrines
médicales de l’école de Paris. — De la fixité des
la couronne de la Victoire sur la tête de la Vérité. La nouveauté des
doctrines
, le courant de l’opinion publique, la naissance d
ans la philosophie. Et voyez comme il y fut retenu. Tour à tour vingt
doctrines
se présentèrent pour réveiller sa curiosité et no
uis Platon, Plotin, Descartes, Leibnitz, qu’il retrouve. Ces diverses
doctrines
ont brillé tour à tour dans cette vive imaginatio
phie. Il a tort. Est-ce un si extrême malheur que d’avoir accepté une
doctrine
grandiose enseignée par de grands génies ? Il la
l’a supprimée dans les dernières éditions, depuis qu’ayant changé de
doctrine
, il s’est fait horreur à lui-même. Il s’agit du s
n âge, aux temps modernes, il distribuait en quatre compartiments les
doctrines
qu’il connaissait et les doctrines qu’il ne conna
ibuait en quatre compartiments les doctrines qu’il connaissait et les
doctrines
qu’il ne connaissait pas39. Telle fut sa première
it pas d’elle le but de ses recherches, ou la pierre de touche de ses
doctrines
. Il est logicien ou métaphysicien, à toutes les m
phies, il n’y a qu’une différence de style. S’il expose de nouveau sa
doctrine
, il ira chercher un de ses plus anciens cours, ce
avoue, à élever et à agrandir l’homme. » Elle n’est pas seulement une
doctrine
, elle est « un drapeau. » C’est « une cause saint
ntribuent à nourrir dans l’homme les mêmes sentiments. Je prends pour
doctrine
« cette philosophie qui commence avec Socrate et
philosophie, qui vous prêche le matérialisme et l’athéisme, comme des
doctrines
nouvelles destinées à régénérer le monde : elles
aux pères de famille. C’est là pour elle l’unique marque du vrai. Une
doctrine
a-t-elle ce caractère, elle l’accepte. Ne l’a-t-e
le besoin oratoire de prêcher la morale y explique tout, le choix des
doctrines
, le manque d’invention et la faiblesse des preuve
ité, de la justice et de l’art. Il n’était point inutile de voir deux
doctrines
contraires naître en lui tour à tour du développe
Défense de ce livre, et Avertissements aux protestants. — § XIII. Des
doctrines
politiques de Bossuet. — Comment ce grand homme a
finements de spiritualité des mystiques ; il ne les souffre pas comme
doctrine
de l’Eglise. Vainement on ouvre à cette imaginati
age à la possession de la nature, le révoltent ; il ne veut pas d’une
doctrine
où Dieu sert de pâture à des imaginations affamée
J’engagerais ceux que la guerre déclarée, en ces derniers temps, aux
doctrines
spiritualistes, a jetés dans le trouble, à s’alle
âce, c’est-à-dire le suprême acquiescement de la nature humaine à une
doctrine
qui lui apprend sa grandeur et lui révèle son imm
radition, de la suite de l’Eglise, dans le gouvernement comme dans la
doctrine
, personnifié et contemplé sous la figure de l’Égl
rd’hui, dans l’ordre ecclésiastique, toutes les consciences. C’est la
doctrine
de saint Louis ; c’est celle des Gerson, des Pith
stre de ces Eglises, la Bastide, l’avait accusé d’avoir varié dans la
doctrine
de l’Exposition de la foi catholique. Ce livre ét
fférences de rédaction n’étaient rien moins que des contradictions de
doctrine
. A cette calomnie, Bossuet répondit par l’Histoir
imputant à honneur ces variations mêmes, les autres en renvoyant à la
doctrine
catholique le reproche de varier. Personne ne put
ré avec le doute, je me demande par quelles causes, vainqueur dans la
doctrine
, dans l’événement il a été vaincu. Il n’est plus
ti. C’est un livre impuissant, soit pour ramener les protestants à la
doctrine
catholique, soit pour décréditer, aux yeux des ca
catholique, soit pour décréditer, aux yeux des catholiques sages, la
doctrine
protestante, et leur ôter l’esprit de tolérance e
vues de l’intelligence ; comment les hommes de parti exploitent leurs
doctrines
ou en sont dupes ; il y faut chercher leurs contr
roportion étonne et fatigue, comme toute lutte inégale. § XIV. Des
doctrines
politiques de Bossuet. — Comment ce grand homme a
eprendre pour leur défense. Bossuet exposant « l’absurdité » de cette
doctrine
, met dans la bouche de l’Église naissante cette v
son imagination et ses couleurs, pour rendre à la fois plus claire la
doctrine
du théologien protestant, et sa propre réfutation
oversiste, par laquelle il fait ressortir avec plus de force la vraie
doctrine
des martyrs, celle qui prescrit le devoir de la p
itique de la discussion avec Jurieu, où Bossuet invente à la fois les
doctrines
et la langue, il ne s’occupe que du principal, c’
e de l’Eglise de France et institué comme l’interprète officiel de sa
doctrine
et le gardien de son unité. C’est à ce titre qu’a
, l’historien des Variations dut reprendre la plume pour combattre la
doctrine
du pur amour ressuscitée du quiétisme, et défendu
ité humaine par de vaines recherches de perfection, la morale par une
doctrine
qui rend la volonté innocente des brutalités du c
ançaise l’aridité de leur logique. Une certaine conformité entre leur
doctrine
de la grâce et la prédestination de Calvin les fa
mande et ne rappelle formellement aucune des promesses divines. Cette
doctrine
fort délicate était facultative, ceux qui la prof
onfesser. Il est vraisemblable que pour beaucoup de ces mystiques, la
doctrine
n’était qu’une couverture pour des désordres comm
urs expériences. Fénelon, non moins attaché que Bossuet au fond de la
doctrine
catholique, mais né avec un esprit ardent et subt
ouvelle spiritualité, et Fénelon, qui ne cachait ni son goût pour ces
doctrines
, ni son amitié pour Mme Guyon. Les explications f
i devait le sacrer, la prenait à témoin qu’il n’aurait jamais d’autre
doctrine
que celle de son consécrateur. Fénelon a nié ce f
de perfection enseigné par les quiétistes. Quand Fénelon rendit cette
doctrine
publique dans son fameux livre des Maximes des sa
» Tout le monde pensait comme Mme de Maintenon. Assurément, les deux
doctrines
ne se ressemblaient pas plus par le fond des inte
our les parfaits. On sent combien, malgré leurs différences, les deux
doctrines
sont près de se toucher. Si ce n’était pas trop d
lle139 à l’hérésiarque Montan, ne condamnait-elle pas tout d’abord la
doctrine
du pur amour, puisqu’il fallait à Fénelon, pour y
n tous les termes de sa spiritualité ? Lui-même reconnaissait dans sa
doctrine
certains caractères qui auraient dû l’en garantir
noms aux hypocrites ? N’est-ce point par les effets que se jugent les
doctrines
? Or quelles marques plus sûres du danger d’une d
jugent les doctrines ? Or quelles marques plus sûres du danger d’une
doctrine
que son inutilité pour le plus grand nombre, et l
e d’Arras, qui se croyait dans cet état particulier où, selon lui, la
doctrine
du pur amour porte ses fruits : « On ne se trompe
. Bossuet avait donc bien raison de se déclarer ouvertement contre la
doctrine
du pur amour, et de la condamner pour les effets
nt du catholicisme, c’est-à-dire de l’universel, devait repousser une
doctrine
à l’usage d’esprits de choix, d’âmes placées dans
n, homme d’esprit et de vertu d’ailleurs, écrivait que le crime de la
doctrine
était sa sublimité même, et que le tort de Fénelo
soutenu par une société qui avait toujours subordonné la vérité de la
doctrine
à l’intérêt de la compagnie et qui favorisait tou
mes faibles qui s’y laissaient séduire142. Ce fut un autre tort de la
doctrine
du pur amour d’avoir pour champion le protecteur
vers défendit les Maximes des saints dans des vers aussi secs que les
doctrines
de ce livre, aussi prosaïques que ceux de son pro
a combien Leibniz avait vu juste. Parlant de sa condamnation et de la
doctrine
qui avait triomphé, il dit : « Celui qui errait a
st un historique vif et intéressant de l’origine et des progrès de la
doctrine
des auteurs mystiques. Bossuet se donne d’ailleur
s saints, pour peu que leurs expériences ne se concilient pas avec la
doctrine
de l’Église. Ni saint François de Sales, ni saint
i cherche la philosophie morale sous la théologie reconnaît, dans les
doctrines
défendues par Bossuet, le cœur et l’esprit de l’h
a personne, la polémique de Bossuet n’avait pas quitté le terrain des
doctrines
. Les lenteurs du saint-siège, auprès duquel Fénel
humain. Quoi qu’il en soit, Bossuet perdit patience, et, passant des
doctrines
aux faits, il publia la Relation sur le quiétisme
réponses de Fénelon ne purent affaiblir l’effet. Ce livre ruinait les
doctrines
de l’archevêque de Cambrai, d’abord par les vrais
tait pour l’esprit français comme pour la religion. Orthodoxe dans la
doctrine
, Bossuet ne le fut pas moins dans la méthode ; il
e. Il semble qu’il ne cherche qu’un succès personnel dans un débat de
doctrine
, et son ardeur à se montrer sous un beau jour lui
ains esprits de choix, s’appliquant à revoir et à refondre toutes les
doctrines
, une certitude nouvelle. Il y mettait pour premiè
lui donnait d’abord pour de simples scrupules est tout le fond de la
doctrine
, et que ces nuages sont des murailles, il force l
t des scandales que suscita dans la ville de Dijon la propagation des
doctrines
et des désordres du quiétisme, à la suite de deux
sieurs endroits, après s’y être appliqué ; ce qui est la marque d’une
doctrine
sans principe et sans suite, où l’on ne cherche,
les êtres sur ses idées. En face de cette conception s’est élevée la
doctrine
moderne de l’évolution et de la sélection naturel
riage séculaire des combinaisons les plus capables de survivre. Cette
doctrine
étend de nos jours la même explication aux espèce
dehors, il se mettrait à exister une seconde fois ». En face de cette
doctrine
, l’idéalisme représente le sujet pensant comme le
is comme l’expression la plus récente et la plus remarquable de cette
doctrine
. Le monde de la connaissance, dit Schopenhauer, n
intellectuelle » est un moment et une manifestation incomplète. Cette
doctrine
d’unité, que Schopenhauer lui-même poursuivait et
assons Schopenhauer lui-même, dépassons aussi Spencer. En adoptant la
doctrine
de révolution, nous ne la prendrons plus dans ce
la pensée que le rôle d’un appareil enregistreur ; mieux entendue, la
doctrine
de l’évolution doit faire à la pensée sa place lé
n, pour tout dire, que le Globe est le journal reconnu et avoué de la
doctrine
saint-simonienne ; nous, qui ne l’avons abandonné
t de plan se faisait à chaque instant sentir. Il fallait un centre de
doctrine
auquel on pût ramener ces investigations : la lib
séquences en économie politique, en philosophie, en art, telle fut la
doctrine
générale du Globe jusqu’à la révolution de Juille
f et sur une foule d’autres sujets, avait sourdement lutté contre les
doctrines
économiques d’indifférence et de laisser-faire pr
isation à venir ; on en était déjà à sentir le besoin de préciser les
doctrines
, et à prévoir le moment de les appliquer. Cependa
nants dans cette crise avaient de beaucoup rapproché l’avènement. Une
doctrine
jeune et pleine d’ardeur, le Saint-Simonisme, se
l’avenir. Plus d’une fois, auparavant, nous avions approché de cette
doctrine
et de ces communications imparfaites il nous éta
ment profond de sympathie et d’estime. Cette fois les promesses de la
doctrine
perfectionnée étaient plus attrayantes que jamais
et des sentiments les plus larges. Nous interrogeâmes de plus près la
doctrine
; et à mesure que nous la connûmes davantage, nos
peur l’âme humaine. Jusqu’ici pourtant la lutte n’était qu’entre des
doctrines
spéculatives, et l’esprit s’agitait dans les haut
physique. Galien met toute sa science physiologique au service de la
doctrine
de Platon. Descartes fait résider le principe mêm
hèse générale, mais sans suite et sans conséquence pour une véritable
doctrine
scientifique. Cabanis lui-même, dans son grand ou
et Spurheim, même en des recherches qui ne devaient aboutir qu’à une
doctrine
bientôt abandonnée, essayèrent de montrer, à la s
des rapports du physique et du moral qu’il en est sorti, non plus une
doctrine
vague et conjecturale, mais une véritable science
heureusement ni la psychologie ni la physiologie n’ont confirmé cette
doctrine
. On a constaté par des exemples nombreux des état
s, il n’y aurait qu’à l’en féliciter. Que cela contrarie ou non telle
doctrine
métaphysique sur les rapports de l’âme et du corp
par une réserve toute scientifique, les autres par attachement à une
doctrine
spiritualiste. Une école cependant pousse la nouv
tre encore qu’une question de mots. Un terme impropre ne fait pas une
doctrine
. C’est dans les développements et les explication
purzheim n’avait porté atteinte ni à la méthode psychologique ni à la
doctrine
spiritualiste. Gall était un esprit trop observat
itualiste. Gall était un esprit trop observateur pour s’en tenir à la
doctrine
de Cabanis et de l’école de la sensation, qui ne
pas précisément doué de ce que Pascal appelle l’esprit de finesse, la
doctrine
de Gall dégénéra en un matérialisme tranchant. Br
ysiologistes n’ont pas, comme MM. Vulpian et Lhuys, embrassé dans une
doctrine
générale l’ensemble des phénomènes de la vie psyc
elles, l’est aussi par l’analyse physiologique9. » Avec une pareille
doctrine
, les mots de responsabilité, de mérite et de démé
ion, M. Littré montre fort bien qu’elle est toujours possible dans sa
doctrine
, mais en changeant de caractère et de méthode. Si
reux et systématique qui suit son principe jusqu’au bout. Au fond, sa
doctrine
est le sentiment de bien des médecins de tous les
faits moraux ? Flourens se récrie à bon droit contre de tels excès de
doctrine
; mais lui-même, pour un physiologiste aussi spir
e le libre arbitre. III Si l’on veut soumettre à la critique la
doctrine
dont nous venons de parler, il y faut distinguer
Elles constatent des faits que nulle spéculation métaphysique, nulle
doctrine
morale ne saurait nier. Elles établissent d’une m
un sentiment, une idée, une volition ? On peut à la rigueur, dans la
doctrine
des physiologistes, soutenir que les uns ne sont
ait impossible à l’école physiologique dont nous venons de résumer la
doctrine
. Faire de l’organe le sujet et la cause des phéno
de la pensée et même de la science. Les vieilles écoles, les vieilles
doctrines
métaphysiques, peuvent être emportées par le cour
t de parler au nom de la science ? Ce qui fait la popularité de cette
doctrine
, c’est la simplicité et la clarté des explication
d’Aristote, lequel fait de l’âme la cause finale du corps ; c’est la
doctrine
de Stahl, qui enseigne que toute âme crée son cor
té aussi capitale et aussi féconde, et pour en faire sortir toute une
doctrine
appelée, selon nous, à vaincre et à remplacer déf
ie moderne dérive de Descartes 2. Nous n’essaierons pas de résumer sa
doctrine
: chaque progrès de la science et de la philosoph
ilosophie de la liberté ». À Descartes remontent donc les principales
doctrines
de la philosophie moderne. D’autre part, quoique
cartésianisme offre des ressemblances de détail avec telles ou telles
doctrines
de l’antiquité ou du moyen âge, il ne doit rien d
es anneaux intermédiaires de la chaîne, qu’à Pascal se rattachent les
doctrines
modernes qui font passer en première ligne la con
’aristotélisme, du platonisme ou du néo-platonisme. De fait, les deux
doctrines
métaphysiques qui surgirent hors de France dans l
philosophie française au XVIIe siècle. Ils ont fourni trois types de
doctrines
que nous rencontrons dans les temps modernes. Ess
es Anglais y ont contribué pour une part plus large encore, et que la
doctrine
de Locke n’avait pas été sans influence sur l’idé
ranche : Maine de Biran 26. Peu remarquée au moment où elle parut, la
doctrine
de Maine de Biran a exercé une influence croissan
la philosophie universitaire à un moment où elle s’endormait dans la
doctrine
, facile et aimable, de Victor Cousin 28. Sa thèse
era classique, comme tout ce qui porte la marque de la perfection. Sa
doctrine
, qui se réclame du kantisme, dépasse en réalité l
réseau de lois que notre pensée étend sur l’univers. Analogue est la
doctrine
de Milhaud 30. Et l’on pourrait ranger du même cô
e réduction, ou qu’au moins il ne nous ait pas donné son avis sur les
doctrines
courantes. II « Le sentiment, dit-il, comp
la contenance, etc., etc. « Elle constitue un appui considérable à la
doctrine
de l’unité de la conscience. Plusieurs excitation
aurait été découvert. D’ailleurs, nous autres modernes habitués à la
doctrine
de la pluralité des causes, nous ne répugnons nul
nulle part ailleurs, il ne s’est plus fermement appuyé sur sa grande
doctrine
de la continuité des phénomènes naturels, en vert
nés et rejetés par l’auteur. Il a très bien montré l’insuffisance des
doctrines
égoïstes et utilitaires. Il n’est pas vrai que to
e sa famille et choisir plutôt une vie de privations et de misère. La
doctrine
d’une loi morale indépendante, qui serve de crité
distincte et indépendante des voix particulières. On traduirait cette
doctrine
dans la langue de Kant en disant : les vérités sc
son temps de l’autorité d’un législateur moral. » A l’appui de cette
doctrine
, on peut invoquer le mode de promulgation des loi
t d’exposer, non de critiquer, je ne m’arrêterai pas à discuter cette
doctrine
, quelque contestable qu’elle me paraisse à beauco
e est né d’une effusion des cœurs vers la charité, la tendresse et la
doctrine
du non-agir. Solon et Lycurgue ont donné un corps
e, sans en décrire résolution ? Évidemment, on ne peut accepter ni la
doctrine
qui soutient l’immutabilité absolue de la morale,
morale, à laquelle les faits donnent le plus éclatant démenti, ni la
doctrine
de sa mobilité absolue qui n’est pas moins contre
r que « le point de vue auquel s’est placé M. H. Spencer, celui de la
doctrine
d’évolution, a dû amener une différence de plan.
de la philosophie régnante, je ne pense point avoir oublié une seule
doctrine
originale ou importante. Les disciples récents n’
tte préférence pour la morale a fortifié M. de Biran dans son étrange
doctrine
des forces, et l’a plongé90 dans sa théorie mysti
in. Ainsi métamorphosé, il a réfuté par une équivoque le scepticisme,
doctrine
immorale ; réduit la psychologie à l’étude de la
u dix-septième siècle lui eut plus tard enseigné le style simple, ses
doctrines
n’ont plus eu d’appui que le préjugé public, sa g
s philosophies précédentes, la science gouvernante et rénovatrice. Sa
doctrine
métaphysique des forces est restée sur l’arrière-
bordonnait la vérité, qui asservissait la science, qui commandait des
doctrines
exactement comme on commande un habit ; de l’autr
z ardemment la patrie. Si vous voulez la sauver, embrassez nos belles
doctrines
. Assez longtemps nous avons poursuivi la liberté
e fut plus heureuse et plus habile que la variation perpétuelle de sa
doctrine
et l’allure ondoyante de son esprit. Toujours que
est riche, et le dictionnaire manquant, on peut inventer. Refaire des
doctrines
est plus difficile, et il fallait en refaire. On
losophie démêle le sens, bon pour le peuple, simple préparation à une
doctrine
plus claire et plus haute. Tout cela était à prop
e caractères. — D’autres causes de durée sont plus fortes. D’abord la
doctrine
, telle qu’elle est aujourd’hui, est fort voisine
estations politiques que sa philosophie couvre et ne cache pas100. La
doctrine
est impuissante et respectée, souveraine et oubli
plus contraire à la théorie des forces, individus spirituels, que la
doctrine
de Geoffroy Saint-Hilaire et les découvertes réce
quelque opinion qu’on ait personnellement sur telle ou telle de leurs
doctrines
, ils présentent évidemment le double caractère qu
dre de plein droit aux esprits philosophiques et scientifiques et aux
doctrines
qu’ils professent en toute sincérité. L’heure de
s tous. Essayez seulement. Mais j’entends dire qu’il y a telle de ces
doctrines
qui, si elle était poussée à ses dernières conséq
s, que je ne conçoive qu’il y ait, pour les politiques eux-mêmes, des
doctrines
philosophiques plus acceptables, plus désirables
losophiques plus acceptables, plus désirables que d’autres ; mais ces
doctrines
-là, si vous prétendez les imposer et les exiger,
étend s’appuyer. Le pétitionnaire n’a voulu, dit-il, dénoncer que les
doctrines
, non les hommes. Comme pourtant les doctrines ne
it-il, dénoncer que les doctrines, non les hommes. Comme pourtant les
doctrines
ne se posent point toutes seules et qu’elles dont
(M. le docteur Broca), mis en cause pour avoir fait l’apologie de la
doctrine
de Malthus, n’avait point fait l’apologie de Malt
omme une réaction providentielle contre le principe morbifique. Cette
doctrine
a encore des partisans aujourd’hui… Pour nous, la
puis peu par le plus ardent des évêques adversaires62, je vois que la
doctrine
de l’école de Montpellier est exceptée de l’anath
de l’anathème lancé contre l’école physiologique ; que dis-je ? cette
doctrine
(la doctrine ancienne et non actuelle de l’école
lancé contre l’école physiologique ; que dis-je ? cette doctrine (la
doctrine
ancienne et non actuelle de l’école de Montpellie
vous de l’imiter et, sous peine de ridicule, n’allons pas décréter la
doctrine
vitaliste en médecine au préjudice de la méthode
en porte. L’Université a été trop longtemps habituée à vivre sous la
doctrine
philosophique de M. Cousin, doctrine spécieuse, œ
ngtemps habituée à vivre sous la doctrine philosophique de M. Cousin,
doctrine
spécieuse, œuvre d’éloquence et de talent, mais e
et de se mettre tant bien que mal au courant. Quoi qu’il en soit, la
doctrine
dite éclectique (il est bon de le savoir et de le
— se contenta de glisser un mot d’exhortation paternelle au sujet des
doctrines
antispiritualistes qui ressortaient ouvertement d
s Facultés qui jusqu’à ce jour avait été respectée dans sa liberté de
doctrine
. — Je sais qu’on établit des distinctions entre d
a liberté de doctrine. — Je sais qu’on établit des distinctions entre
doctrine
et doctrine, et qu’il s’est élevé, depuis une qua
doctrine. — Je sais qu’on établit des distinctions entre doctrine et
doctrine
, et qu’il s’est élevé, depuis une quarantaine d’a
nir l’expression ouverte, la profession déclarée et la prédication de
doctrines
philosophiques que vous considérez comme dangereu
ns contre le libertinage naturaliste de la Renaissance que contre les
doctrines
hétérodoxes des sectes protestantes. Les années d
’abord parce que seul il est hétérodoxe, ce qui veut dire qu’il a une
doctrine
, une personnalité intellectuelle, une conception
éculiers et parmi les personnes pieuses de tout caractère. Il est une
doctrine
, et non pas un ordre : par là même, comme on s’y
curisme relevé par Gassendi ; les autres suivaient, avec Le Vayer, la
doctrine
sceptique. Le second groupe était celui des monda
ire les braves » contre Dieu. Ces libertins du monde n’avaient pas de
doctrine
arrêtée : ils se moquaient des mystères et des dé
les Matha. Mais surtout le libertinage fut contenu et vaincu par des
doctrines
philosophiques et religieuses qui donnèrent à la
e superbe de la raison, qui faisait le péril, il opposa fortement les
doctrines
de la grâce et de la Providence. Par l’une, il so
térité de la morale évangélique. Jansénius tira de saint Augustin une
doctrine
rigoureuse, assez approchante du calvinisme : tan
e Saint-Cyran, directeur de la maison à partir de 1636, y implanta la
doctrine
de Jansénius avec qui il était lié, et fit de ces
isme est tout entière dans sa morale. Comment cette dure et désolante
doctrine
, qui niait la liberté, et vouait l’immense majori
it long de l’expliquer : mais j’ai déjà fait remarquer que toutes les
doctrines
qui ont demandé le plus à la volonté humaine ont
la toute-puissance de la grâce sur les ruines du libre arbitre ; leur
doctrine
est une tentative pour reculer la limite de l’inc
représente pour nous toute la hauteur intellectuelle et morale de la
doctrine
janséniste, qu’il agrandit de la vaste originalit
ire au jeune Blaise Jansénius, Saint-Cyran, Arnauld. La logique de la
doctrine
séduisit l’esprit du savant : il se jeta dans le
iques ; il propose à la raison laïque de décider sur tel dogme, telle
doctrine
, entre tels et tels théologiens. D’autres appliqu
robabilité de son adaptation aux faits constatés. Seule de toutes les
doctrines
philosophiques et religieuses, la doctrine de la
atés. Seule de toutes les doctrines philosophiques et religieuses, la
doctrine
de la chute explique le contraste incompréhensibl
e et par les prophéties, puis par la personne même, les miracles, les
doctrines
, la vie du Rédempteur ; enfin il montrera dans la
ion dit le mot. D’autres théories de Pascal sont celles du temps : sa
doctrine
politique, au fond, se réduit à des opinions asse
Le mot de Pascal contient, deux siècles avant Darwin, l’essence de la
doctrine
évolutionniste. Mais il n’y a rien peut-être de p
unetière, Études critiques, t. IV. 331. À consulter : Le P. Garasse,
Doctrine
curieuse des beaux esprits de ce temps, 1623 ; Mé
haute des questions morales. Enfin M. Cousin ne cesse de réfuter les
doctrines
par leurs conséquences morales, argument contrair
doute l’existence des corps. Si Royer-Collard a cru devoir réfuter la
doctrine
de Condillac et de Hume, c’est qu’elle lui parais
se, une critique ? A d’autres points de vue, n’est-elle pas aussi une
doctrine
, une croyance, une foi ? Est-il possible d’assimi
losophie, chez celles-là mêmes où il paraîtrait le moins naturel ? La
doctrine
épicurienne chez Lucrèce ne ressemble-t-elle pas
’est pas seulement une science et une recherche, mais qu’elle est une
doctrine
et une foi. Nos pensées ne servent pas seulement
telles qu’on les exposait il y a quarante ans ; il a supposé que les
doctrines
qu’on leur a substituées sont absolument fausses,
science. Alors voici mon doute, et où je cesse de comprendre. Si les
doctrines
spiritualistes sont si fausses, et les doctrines
e comprendre. Si les doctrines spiritualistes sont si fausses, et les
doctrines
condillaciennes si vraies, pourquoi donc celles-c
s inventeurs. Sur la plupart des autres points où M. Taine combat les
doctrines
spiritualistes, on peut faire les mêmes remarques
e les mêmes remarques. Partout il substitue purement et simplement la
doctrine
condillacienne et sensualiste à la doctrine qu’il
purement et simplement la doctrine condillacienne et sensualiste à la
doctrine
qu’il repousse. Celle-ci soutient-elle qu’il y a
utant que je puis la comprendre, je ne vois là jusqu’à présent qu’une
doctrine
toute condillacienne et non hégélienne. Suivant C
nts, d’impulsions do toute nature, donne naissance aux croyances, aux
doctrines
, aux systèmes qui changent indéfiniment aussi, co
traits ? C’est ce que je n’oserais affirmer. Pour exprimer une telle
doctrine
, il faut une langue souple et mobile, fine et flo
oureuse lui paraît faux. A ce titre le matérialisme doit lui être une
doctrine
fausse ; la prétendue clarté de ce système est pr
récédente ? Je ne le pense pas. M. Renan a quelque part interprété la
doctrine
de Hegel dans le sens de ses propres idées ; il a
plus infidèle que celle qui transforme en philosophie du relatif une
doctrine
dont toute la prétention, je dirais presque la fo
d’être la métaphysique de l’absolu. Quelle fiction de lui imposer la
doctrine
contraire, à savoir que l’homme ne connaît rien d
ngeant des phénomènes ! Je viens de caractériser l’esprit général des
doctrines
de M. Renan. Quant à son système philosophique (s
vers « un feu artiste », belle formule qui résume merveilleusement la
doctrine
de M. Renan, et même son talent avec ses trois ca
agents transcendants jouent un rôle si vague et si obscur dans leurs
doctrines
, qu’il est difficile de bien saisir la part qui l
our mesurer la force de leur esprit et même la valeur exacte de leurs
doctrines
, il faudrait entrer avec eux dans leurs études sp
a philosophie nouvelle au platonisme et au spiritualisme ; mais cette
doctrine
d’un idéal non réel ne me paraît pas un moyen ter
vre les savants sur leur propre terrain, qu’il fasse l’épreuve de ses
doctrines
en les confrontant avec les faits physiques et ph
n’est pas démontré, et il voudrait se tenir à égale distance de cette
doctrine
et de la doctrine opposée ; mais d’un autre côté
, et il voudrait se tenir à égale distance de cette doctrine et de la
doctrine
opposée ; mais d’un autre côté les habitudes de l
ester ce titre à un philosophe dont nous ne partageons pas toutes les
doctrines
, mais qui mérite plus qu’aucun autre le respect e
questions de la psychologie et de la morale, M. Vacherot soutient les
doctrines
spiritualistes, à sa manière à la vérité, mais sa
idence ? C’est ce que nous essayerons d’expliquer. Il est un point de
doctrine
qui, dans l’école cartésienne et dans l’école spi
e parfait. L’être et le bien s’identifient par définition même. Cette
doctrine
est celle de tous les cartésiens, de Descartes d’
e chose de plus. Je suppose que vous ayez à juger le stoïcisme. Cette
doctrine
admet un certain type, un certain modèle que la v
conduite humaine. Or je conçois très bien que l’on critique une telle
doctrine
, qu’on lui reproche d’avoir pour type de vertu un
ore par équité. On prétend que l’idéal ne suffit pas à distinguer une
doctrine
d’une autre, car quel philosophe n’admet pas un c
les, comme la géométrie à toutes les sciences physiques. Telle est la
doctrine
de M. Vacherot, et quoique je ne puisse y souscri
eurt avec nous, et dont le seul lieu est la pensée ! Mais enfin cette
doctrine
prouve qu’il faut un ciel, en quelque endroit qu’
tteigne jamais à cette grandeur ! Avant de discuter plus à fond cette
doctrine
, reconnaissons le service qu’elle rend à la scien
cise et sûre ses perfections. Nous sommes loin de vouloir soutenir la
doctrine
alexandrine d’un Dieu sans attributs, et nous cro
ion sans connaître précisément ni pouvoir mesurer les perfections. La
doctrine
du Dieu caché (Deus absconditus) est une doctrine
les perfections. La doctrine du Dieu caché (Deus absconditus) est une
doctrine
qui se concilie avec le plus pur spiritualisme. U
ar de prudentes et circonspectes inductions ? Fénelon a exprimé cette
doctrine
dans l’une des phrases les plus belles et les plu
le et obscur dans toutes les écoles. M. Vacherot est très dur pour la
doctrine
de la création (qui, bien entendu, n’est pas une
e. Nul espoir, nul avenir, nul idéal. Il n’en est pas de même dans la
doctrine
de Hegel ni dans celle de M. Vacherot : la nature
ppement de son essence dans un progrès constant. Sans doute une telle
doctrine
est plus élevée, plus religieuse, plus haute que
n âme. J’ai dit déjà combien il serait injuste de confondre une telle
doctrine
avec l’athéisme et le matérialisme ; mais enfin a
épicurien ou spinoziste et l’optimisme platonicien ou leibnitzien, la
doctrine
de la finalité instinctive ne peut se suffire à e
e qui est : or, je le demande, s’aperçoit-on qu’il germe de nouvelles
doctrines
religieuses à côté des doctrines politiques dont
aperçoit-on qu’il germe de nouvelles doctrines religieuses à côté des
doctrines
politiques dont l’invasion tourmente en ce moment
use enfin de cette confiance à ses propres lumières qui rejette toute
doctrine
imposée : mais nos mœurs religieuses sont catholi
Ce pas a été bientôt franchi sous les auspices du jansénisme et de la
doctrine
des libertés de l’Église gallicane. Le principe d
publiciste de Genève vient de publier un ouvrage qui contient la même
doctrine
. M. de Constant, en France, n’admet la souveraine
blissement du sentiment religieux, sans qu’on puisse entrevoir aucune
doctrine
nouvelle préparée d’avance, et croissant derrière
ent général du genre humain se fait mieux entendre. C’est lorsque des
doctrines
finissent, et que d’autres doctrines commencent.
ieux entendre. C’est lorsque des doctrines finissent, et que d’autres
doctrines
commencent. À présent nous éprouvons une bien aut
e vous en conjure, voyez à quel danger vous nous avez exposés par vos
doctrines
antireligieuses ! Bonaparte, l’homme le plus anti
Chapitre III : Examen de la
doctrine
de Tocqueville Après avoir exposé les doctrines
e III : Examen de la doctrine de Tocqueville Après avoir exposé les
doctrines
de M. de Tocqueville et en avoir fait, je l’espèr
s publicistes qui se sont le moins trompés, je pense cependant que sa
doctrine
pourrait gagner en étendue et en solidité. Un pre
principe contraire à celui de la souveraineté du peuple, que ces deux
doctrines
s’expliquent l’une par l’autre. En droit, la soci
e, pour compléter cette étude, à interroger M. de Tocqueville sur ses
doctrines
philosophiques et religieuses. Chose remarquable,
u métaphysicien qu’il fût, il avait bien pénétré le sens de certaines
doctrines
, en particulier du panthéisme, et il expliquait p
gereux. L’esprit de nos contemporainscourt de lui-même de ce côté. La
doctrine
des réalistes, introduite dans le monde politique
despotisme, la centralisation, le mépris des droits particuliers, la
doctrine
de la nécessité, toutes les institutions qui perm
n Amérique. C’est en se plaçant au même point de vue qu’il attaque la
doctrine
du fatalisme historique, trop répandue à cette ép
d contre elle l’idée de la responsabilité des nations. « Une pareille
doctrine
, dit-il, est particulièrement dangereuse à l’époq
ur, mais je n’approuve pas autant sa conclusion. Il montre comment la
doctrine
de l’intérêt bien entendu est conforme à l’esprit
pour qu’il en soit ainsi ; je ne sais cependant s’il faut dire : « La
doctrine
de l’intérêt bien entendu me semble la mieux appr
ntéressée. Il semble même qu’il n’est pas ici entièrement fidèle à sa
doctrine
, qui consiste en toutes choses et partout à reven
siècle. Depuis la Révolution, les passions se mêlaient sans cesse aux
doctrines
, et il était presque impossible de séparer les éc
de l’âme, c’est le froid. » Sa vie même a été une confirmation de ses
doctrines
; c’était une nature noble et haute, admirablemen
daient les anciens. Là est l’écueil où viendra toujours échouer toute
doctrine
matérialiste. Que si on nous dit que la matière p
aimons les idées précises, nous réservons le nom de matérialisme à la
doctrine
qui, partant de l’idée de matière telle qu’elle e
pondance, de ce qui doit être attribué à Ampère ou à Biran dans cette
doctrine
commune30 ; mais un travail critique d’une telle
tout porte à croire qu’elle était plutôt un sentiment de l’âme qu’une
doctrine
rigoureusement philosophique. C’est donc en dehor
st l’essence même, il est impossible, tant qu’on reste fidèle à cette
doctrine
, de ne pas attribuer à Dieu l’étendue infinie aus
s rien ajouter, dit Fénelon. Ce n’est point là une personne. Ainsi la
doctrine
cartésienne aboutissait de toutes parts à la néga
absolu, et ce n’est pas le lieu ici de controverser sur le sens de sa
doctrine
. Nous en prenons, quant à nous, ce qui nous convi
isme. Pour nous, le panthéisme ne consiste essentiellement ni dans la
doctrine
de l’unité de substance ni dans la négation de la
vague, aussi vague que l’est elle-même la notion de substance. Cette
doctrine
répond à un besoin d’imagination, non de raison.
ne nions l’unité de substance, nous ne la comprenons pas plus que la
doctrine
opposée. Que l’on pense là-dessus ce qu’on voudra
Doctrine
de Saint-Simon3 13 février 1831. Ces lettres,
historiques au reste, ces interprétations diverses d’un passé que la
doctrine
nouvelle embrasse et domine, ne sont, sous la plu
jourd’hui, lui mort, sous les auspices et pour l’édification de cette
doctrine
même qu’il servit si religieusement ; qu’elles fu
Eugène, est-il dit dans l’Introduction, n’a point seulement servi la
doctrine
par des efforts purement intellectuels ; il voula
pour ainsi dire, si grosses d’une théologie inconnue. Inspirées de la
doctrine
, la doctrine s’en inspire elle-même chaque jour,
re, si grosses d’une théologie inconnue. Inspirées de la doctrine, la
doctrine
s’en inspire elle-même chaque jour, et ces pensée
igion. Nous recommandons la dernière lettre à ceux qui demandent à la
doctrine
une vive expression de son Dieu, et qui seraient
hapitre I : Principe de la métaphysique spiritualiste De toutes les
doctrines
philosophiques qui se partagent les esprits au te
es esprits au temps où nous sommes, la moins étudiée est peut-être la
doctrine
spiritualiste. Nous ne croyons pas avancer un par
qu’Ampère était son collaborateur philosophique et qu’ils avaient une
doctrine
commune ; c’est d’hier seulement et par les soins
; mais il n’avait pas le goût de la publication, il la craignait. Sa
doctrine
ne se faisait jour que dans un cercle assez étroi
’ennuyer, plus occupé d’ailleurs de se défendre que de développer ses
doctrines
, n’a pas rendu jusqu’ici à son vrai maître, Maine
nos jours à côté de nous. Si Maine de Biran a combattu partout cette
doctrine
, on ne peut pas dire que ce soit pour l’avoir ign
r en avoir été séparé par des préjugés théologiques. C’est dans cette
doctrine
précisément qu’il a été élevé et nourri, c’est ce
lide, revêtu de ses attributs comme un homme de son manteau. Voilà la
doctrine
de l’esprit telle que se la représentent le sens
ujet s’apercevant lui-même. En un mot, on peut résumer ainsi les deux
doctrines
: pour Kant, le moi est un produit de la pensée ;
tre : il plonge dans l’être, avons-nous dit, — et c’est par là que la
doctrine
de Biran se sépare du pur empirisme, — mais jusqu
i nous mettrait sur la voie de fournir quelques épreuves de plus à la
doctrine
de la solidarité. Mais cette haute doctrine, qui
ues épreuves de plus à la doctrine de la solidarité. Mais cette haute
doctrine
, qui fait la base de toutes les religions, qui a
ique à la fois le sacrifice, le dévouement et le malheur, cette haute
doctrine
ne doit pas, en ce moment, attirer notre attentio
ctes, d’autres sont établis gardiens des traditions, dépositaires des
doctrines
primitives. Les peuples, dès leur origine, ont le
t servi auparavant à préparer, par la culture des lettres, et par des
doctrines
morales, un grand nombre de nations barbares à re
ieu même le type de l’homme et de ses facultés, fut étendue, dans les
doctrines
platoniciennes, de l’intelligence aux sentiments.
er ; mais, en même temps, il a placé au milieu de nous des maîtres de
doctrines
. L’esprit humain forme comme un vaste firmament é
rances. On propageait dans les journaux et dans les écrits les bonnes
doctrines
littéraires, qui tiennent de si près aux bonnes d
les bonnes doctrines littéraires, qui tiennent de si près aux bonnes
doctrines
de la société. Le siècle de Louis XIV fut goûté d
mpléments nécessaires ; et peut-être en résultera-t-il un ensemble de
doctrines
, mais seulement par inductions, et non point dogm
es de Boileau. — 3. L’Art poétique : défauts et lacunes. Valeur de la
doctrine
: définition du naturalisme classique. Alliance d
é ses coupes plus qu’on ne le remarque d’ordinaire. Entendons bien sa
doctrine
de la rime asservie à la raison ; cela veut dire
attaque la littérature à la mode ; dans l’Art poétique, il définit sa
doctrine
; dans les Réflexions sur Longin, il la défend. B
ntinuait leur œuvre. Chapelain fut en son temps un des ouvriers de la
doctrine
classique. Mais, en 1660, il arrêtait le mouvemen
t de Boileau y apparaît. Son exposition est incohérente, alors que sa
doctrine
est d’une parfaite cohésion. Il pense par saillie
, aux imperfections de l’Art poétique, il y reste une grande et forte
doctrine
, faite de deux pièces finement ajustées : elle co
rficiels, pose seulement en principe le respect du modèle naturel. La
doctrine
qu’il établit est franchement « naturaliste ». Qu
y a plus d’un siècle par Ronsard, et fait triompher définitivement la
doctrine
qui voulait régler la poésie moderne sur l’idéal
isme esthétique ne se fit pas sans quelque peine. La soudure des deux
doctrines
n’est pas toujours très bien faite, et l’on sent
ances particulières : elles n’altèrent point la portée générale de sa
doctrine
. Il faut en le lisant bien définir les mots dont
l’intensité expressive du langage. Voilà, dans ses grandes lignes, la
doctrine
de l’Art poétique. Le poème eut un très grand suc
bles, plaisir, beauté, vérité : il se pourrait que ce fut en somme la
doctrine
littéraire la plus appropriée aux qualités et aux
e plusieurs siècles à Minos. La musique, dans ce premier âge, fut une
doctrine
tout entière ; c’était l’ensemble même des lois s
à ceux qui avaient autorité sur les peuples. Telle est l’origine des
doctrines
secrètes et des langues sacrées. Plus tard il y e
sommes sous la dictature des circonstances, et dans l’interrègne des
doctrines
. Ainsi donc je crois que les différentes magistra
é de connaître l’intérieur de l’Afrique. Lorsque Pythagore avait deux
doctrines
, ce n’était point qu’il voulût en celer une, mais
, sans le petit nombre de pythagoriciens qui sont restés fidèles à la
doctrine
des épreuves et des ménagements ; qui savent que
un si grand nombre de collèges s’exprimait ainsi : « Les frères de la
doctrine
chrétienne, qu’on appelle ignorantins, sont venus
ien ; maintenant je vais entrer dans des considérations générales. Ma
doctrine
résultera de tous les enseignements de l’antiquit
uence. On comprendrait mal le caractère de l’action qu’exercèrent les
doctrines
de Boileau après sa mort, si l’on n’examinait que
it pas d’hostilité contre Despréaux, ni de résistance consciente à sa
doctrine
, dans les marques d’estime et d’honneur que recev
t général du siècle : mais Boileau y a mis quelque chose de plus, une
doctrine
originale et personnelle, qui, dans la vaste unit
on que les compatriotes du poète avaient de lui. Ce n’étaient pas les
doctrines
de Boileau, c’était le goût français, qu’on cherc
ui-même, son goût personnel, ses secrètes tendances, qu’il déifia. La
doctrine
de Boileau fut amputée précisément de ce qu’elle
du vrai Boileau et des grands artistes auxquels la haute partie de sa
doctrine
s’appliquait, que quand nous y rencontrons un cla
re lui par l’acharnement qu’on mit au temps du romantisme à rendre sa
doctrine
responsable des misérables productions de l’art p
ont fourni leurs méthodes et leurs systèmes pour fonder de nouvelles
doctrines
esthétiques et critiques. Une conception relativi
qui sortira de ce mouvement : il n’y a rien pour ainsi dire dans les
doctrines
de la nouvelle école, autant qu’on peut les compr
e la flétrissure du temps, ce sont les parties conformes au fond à la
doctrine
de l’Art poétique : et les vices intimes ou les d
ralités peuvent être conçues sous deux aspects, ou comme aperçu d’une
doctrine
à établir, ou comme résumé d’une doctrine établie
ects, ou comme aperçu d’une doctrine à établir, ou comme résumé d’une
doctrine
établie. Si c’est seulement sous ce dernier point
t pendant une longue suite de siècles, soit comme méthode, soit comme
doctrines
provisoires, la philosophie théologique ; philoso
rellement adopter, comme philosophie transitoire, les méthodes et les
doctrines
métaphysiques. Cette dernière considération est i
ives, ainsi que son éloignement désormais irrévocable pour ces vaines
doctrines
et pour ces méthodes provisoires qui ne pouvaient
ence de leur prétendue science qu’en se ravisant pour présenter leurs
doctrines
comme étant aussi fondées sur l’observation des f
d’écoles qui disputent sans cesse sur les premiers éléments de leurs
doctrines
. L’observation intérieure engendre presque autant
it nécessaire. Un tel inconvénient doit se présenter surtout pour les
doctrines
les plus essentielles de chaque science positive
ns encore pendantes. Je me bornerai ici à choisir, dans la chimie, la
doctrine
si importante des proportions définies. Certainem
imistes qui ont le plus puissamment contribué à la formation de cette
doctrine
, on peut dire tout au plus qu’elle se vérifie con
unanime à un certain nombre d’idées générales capables de former une
doctrine
sociale commune, on ne peut se dissimuler que l’é
e des phénomènes sociaux, et ensuite à la résumer en un seul corps de
doctrine
homogène. Quand ce double travail sera suffisamme
ant pour but à la philosophie positive de résumer en un seul corps de
doctrine
homogène l’ensemble des connaissances acquises, r
ment exister, et se trouve déjà établie en majeure partie. Quant à la
doctrine
, il n’est pas nécessaire qu’elle soit une ; il su
e double point de vue de l’unité des méthodes et de l’homogénéité des
doctrines
que nous considérerons, dans ce cours, les différ
prouvée psychologiquement et anatomiquement, et ruine dans sa base la
doctrine
de Condillac. Voyons maintenant celle de Kant202.
res idées, nous aurions pu sans trop d’effort réunir ces fragments de
doctrine
épars et en faire un tout : il nous a semblé qu’i
les théories sur la connaissance, faire ressortir le côté négatif des
doctrines
. Peut-être quelques philosophes des écoles advers
s progrès de la science aient donné un haut degré de probabilité à la
doctrine
générale des vibrations ; cependant, même mainten
ns est beaucoup plus certaine que celle des vibrations impliquées. La
doctrine
des vibrations serait utile si, des lois connues
coup de choses qu’on y peut étudier, elle est entièrement morte comme
doctrine
. Elle est morte et devait mourir, car elle n’avai
ivement terme à la dispute entre les partisans des idées innées et la
doctrine
de la sensation, en montrant qu’il y a des tendan
tres qui évidemment ne sont point du tout des facultés originales. La
doctrine
est donc très faible sur ce point. Cependant le g
ise. Elle a commencé, dit-il, par un mouvement de réaction contre les
doctrines
du xviiie siècle : réaction vigoureuse parce que
Diderot, Cabanis. On a eu peur des conséquences, et l’on a rejeté ces
doctrines
en bloc, sans s’inquiéter de ce qu’elles contenai
t appel au « patriotisme » de son auditoire en faveur « de nos belles
doctrines
»234. Il y eut dans cette réaction quatre courant
’éloquence les remplace, l’émotion tient lieu de démonstration. » Une
doctrine
, une seule, l’éclectisme est sorti de ce mouvemen
de Thalès à Comte, l’auteur a payé de sa personne, et il y a assez de
doctrine
émise pour contenter les uns, pour mécontenter le
é, Boileau nous dit ou nous fait deviner comment cela s’est fait : sa
doctrine
met en lumière et ramène à son principe ce qui fa
eauté propre de la littérature classique et en assure la durée. Cette
doctrine
ne repose pas sur une profonde métaphysique : ce
ement, n’a pas été étranger à la forme définitive qu’il a donnée à la
doctrine
classique. Mais lorsque, amenant la littérature a
actère nettement naturaliste et artistique de leurs œuvres et de leur
doctrine
. Sur ce xviie siècle essentiellement précieux et
leurs ouvrages s’ajoutait le sentiment qu’en eux, et en eux seuls, sa
doctrine
trouvait une confirmation éclatante et complète,
dans cet ouvrage, mais pour les voir il faut se représenter toute la
doctrine
de Boileau, et les y rapporter sans cesse pièce p
lt était imbu de l’esprit cartésien, Boileau ne l’était pas moins. La
doctrine
de Perrault, c’était la conséquence du rationalis
, pressé d’échapper à l’argumentation de Perrault, introduire dans sa
doctrine
une notion nouvelle et bien inattendue, celle du
ant des choses, et ni plus ni moins qu’introduire dans la critique la
doctrine
de l’évolution. Mais si l’on songe que jusque-là,
leur à notre égard des pensées qui nous sont devenues familières, des
doctrines
où notre siècle a enfermé ses croyances et son gé
r aux philosophes bien des faiblesses, et leurs personnes comme leurs
doctrines
sont loin d’être inattaquables ; mais il suffit p
rien. Tout ce qui a l’esprit ouvert et généreux est entamé par leurs
doctrines
, séduit au moins par quelque portion de leur idéa
respect des passions. Lui qui a l’air d’un stoïcien, il n’y a pas de
doctrine
qu’il combatte plus énergiquement, que l’ataraxie
e, et par leurs mandements tâchaient de barrer la route aux mauvaises
doctrines
: mais l’épiscopat n’avait plus de Bossuet ni mêm
ulgence les coups qui pleuvaient à côté de lui, sur ses amis et leurs
doctrines
. Il leur offrit seulement la consolation de se ve
fit des philosophes un parti, et des idées individuelles un corps de
doctrine
. Elle fut la Somme de la philosophie rationnelle,
e hardiment des théories communistes. Rien n’était plus contraire aux
doctrines
libérales et individualistes du groupe économiste
riotes tels que Vauban et Boisguilbert à chercher, en dehors de toute
doctrine
politique et de toute intention révolutionnaire,
it de la maison. Nous pouvons donc négliger toutes les divergences de
doctrine
et les incompatibilités d’humeur : ce qui lie le
sait que sur ce point ses travaux laissaient beaucoup à désirer63. La
doctrine
de Gall a été reprise depuis par MM. Bouillaud, D
particulière sur la question, exposons chacune d’elles séparément. La
doctrine
de M. Broca, est la plus précise de toutes. Il af
gauche cérébral. Il est impossible d’être plus catégorique : mais une
doctrine
aussi affirmative court grande chance de n’avoir
rs, et il se prononce très-nettement, ainsi que M. Velpeau, contre la
doctrine
de M. Bouillaud. M. Gratiolet a également cité, à
du cerveau, sans indiquer la place d’une manière plus précise. Cette
doctrine
a un point de commun avec celle de M. Broca : c’e
e gauche n’a donné que dix cas d’aphasiques. On peut donc dire que la
doctrine
de M. Dax est appuyée jusqu’ici par l’expérience
siologie du système nerveux, M. le docteur Vulpian n’a discuté que la
doctrine
de M. Broca et celle de M. Bouillaud : il a négli
Chapitre I : Une
doctrine
littéraire12 Faut-il une doctrine en littératu
Chapitre I : Une doctrine littéraire12 Faut-il une
doctrine
en littérature ? On le croyait autrefois ; beauco
trefois ; beaucoup d’esprits sont aujourd’hui tentés d’en douter. Une
doctrine
, n’est-ce pas une règle qui s’impose, et par cons
le génie renverse et déplace continuellement ? Point de loi, point de
doctrine
, l’instinct est le seul juge ; le sentiment et le
leur sont communes. Rechercher ces raisons communes, c’est faire une
doctrine
littéraire ; rechercher ces raisons particulières
a donc aucune raison pour renoncer, même de nos jours, à établir une
doctrine
littéraire ; reconnaissons toutefois que cette tâ
trop oubliées des critiques contemporains, ne trouve-t-on pas dans sa
doctrine
un esprit de restriction qui rappelle telle époqu
ive23 [Le Pays, 29 mai 1860] I Est-ce elle qui s’élève, cette
doctrine
, si cela peut s’appeler une doctrine ? — ou plutô
Est-ce elle qui s’élève, cette doctrine, si cela peut s’appeler une
doctrine
? — ou plutôt est-ce le monde philosophique qui s
prêtres positivistes, des philosophes qui prétendent tirer une grande
doctrine
des six volumes de fatras qu’Auguste Comte a légu
n coin de l’École polytechnique, d’où on l’avait chassé pour cause de
doctrine
malséante et malsaine. Puis, dans un cercle fort
talage scientifique. L’exposer suffira, car elle est justement de ces
doctrines
auxquelles la meilleure réponse qu’il y ait à fai
t diable est le mot) ! le matérialisme a donné à M. Auguste Comte une
doctrine
, car on peut demander ce que serait M. Comte sans
onnaissance de cette distinction des pouvoirs et l’abolition de toute
doctrine
officielle ? Est-ce l’idée que le gouvernement ac
nte de toute philosophie. Parce que la sociologie est née des grandes
doctrines
philosophiques, elle a gardé l’habitude de s’appu
, mais de toute une philosophie, l’idée d’association ? Vis-à-vis des
doctrines
pratiques, notre méthode permet et commande la mê
er à nous affranchir de tous les partis, non pas tant en opposant une
doctrine
aux doctrines, qu’en faisant contracter aux espri
ranchir de tous les partis, non pas tant en opposant une doctrine aux
doctrines
, qu’en faisant contracter aux esprits, en face de
principe se retrouve, sous une forme un peu différente, à la base des
doctrines
de Comte et de M. Spencer. Mais ces grands penseu
et il aurait été lui-même. Gens de même école, de même étude, de même
doctrine
chétive, car une doctrine doit être une affirmati
Gens de même école, de même étude, de même doctrine chétive, car une
doctrine
doit être une affirmation, sous peine de maigreur
M. Saisset, passé toute sa vie à citer des textes et à commenter des
doctrines
, tombées en désuétude et dans le mépris de l’hist
on que le plus sûr est toujours d’égorger celui que l’on pille, et la
doctrine
assassine se revêt de la morale de la doctrine as
que l’on pille, et la doctrine assassine se revêt de la morale de la
doctrine
assassinée, et nous soutient que c’est à elle, ce
la morale chrétienne, que seul le christianisme a trouvée, et qu’une
doctrine
humaine, philosophique ou naturelle, ne peut remp
ophie, en histoire, en littérature, en politique théorique, certaines
doctrines
réfléchies, certaines solutions déjà accréditées
réfléchies, certaines solutions déjà accréditées ; ces solutions, ces
doctrines
, ces hommes, se trouvèrent subitement mis à l’épr
ssement passé, la comparaison ne tourna pas à l’avantage du moins des
doctrines
; il apparut clairement qu’elles n’avaient pas la
raversé. Chez quelques-uns, la secousse avait été si violente que les
doctrines
qui commençaient à prendre corps dans leur cervea
hommes, mais à l’influence prolongée, à l’importance absolue de leurs
doctrines
, n’ont pas été perdus pour beaucoup d’esprits et
undi. Le Tiers et le Quart. Livre de Rabelais : sa prudence. — 2. La
doctrine
de Rabelais : naturalisme, ni nouveau ni profond.
émina adroitement sous la satire morale et la bouffonne fantaisie une
doctrine
positive : dans le cinquième livre seul, les prop
ie y cèdent presque toute la place à la polémique agressive. 2. La
doctrine
de Rabelais La doctrine de Rabelais avait de q
a place à la polémique agressive. 2. La doctrine de Rabelais La
doctrine
de Rabelais avait de quoi le mener plus loin que
hristianisme enfin, dans son essence originale, est détruit par cette
doctrine
: elle est donc hardie, mais historiquement plutô
te, ou de quelque nom qu’on veuille appeler cette assez superficielle
doctrine
, lui sert surtout à fonder en raison son amour im
« toutes disciplines restituées », et cette « manne céleste de bonne
doctrine
» par laquelle pourra Pantagruel largement profit
triomphant ne s’est vu. Non pas ce méticuleux réalisme, cette petite
doctrine
d’art qui prend les mesures de toutes choses, et
par son impartiale représentation de la vie, dont nulle étroitesse de
doctrine
, nul scrupule de goût, nul parti pris d’art ne l’
pour auxiliaire affectionné et constant dans toutes les questions de
doctrine
, de foi, de morale et de discipline de l’Église,
treprend des réfutations, il conseille et presse des condamnations de
doctrines
; il pousse et stimule par son zèle les prélats l
ses comptes et de son budget, comme nous dirions. Telle n’est pas la
doctrine
de Bossuet, qui remontre dès le premier jour à l’
ur à l’Assemblée qu’elle a tout pouvoir de s’occuper des questions de
doctrine
, et qu’il est séant qu’elle le fasse ; que c’est
x. Chacun le dit, mais lui ne vise qu’au principal, au triomphe de la
doctrine
; il conseille et inspire M. de Noailles comme il
re de La Chaise ne soit point écouté ; car il s’agit de condamner des
doctrines
chères aux amis et confrères du père de La Chaise
ique de la dernière moitié du siècle, qu’elle ne s’attaquait qu’à des
doctrines
déjà frappées et bientôt stériles, bien qu’elles
’elle n’obviait en rien (et ce ne pouvait être son rôle) à ces autres
doctrines
bien autrement dangereuses qui s’insinuaient part
ieurs de Port-Royal fournit un aliment à son activité morale, et leur
doctrine
, qui était quelque chose de neuf et de hardi, dev
ux, et, dans ce qu’on donna, des scrupules de diverse nature, soit de
doctrine
, soit même de grammaire, firent corriger, adoucir
e ; et, sans chercher à approfondir la différence (s’il en est) de la
doctrine
, j’ai senti avant tout celle des caractères et de
rend la plume, et il expose avec une haute tranquillité les points de
doctrine
, la double nature de l’homme ; la noble origine,
ascal peut offrir au premier moment des duretés et des étroitesses de
doctrine
qui nous choquent. Non content de croire avec Bos
e côté affectueux de Pascal, se faisant jour à travers tout ce que sa
doctrine
et son procédé ont d’âpre et de sévère, a d’autan
deur, de quoi faire plus que racheter ses duretés et ses outrances de
doctrine
. Pascal est à la fois plus violent que Bossuet et
e impression élevée, et à la débarrasser des questions de secte où la
doctrine
particulière de Pascal pouvait engager. Sa conclu
oin, je pense, d’avertir que nous écarterons de cet examen toutes les
doctrines
qui tendent plus ou moins au matérialisme ; et qu
ystème que mes lecteurs voudraient lui substituer. Ce n’est point une
doctrine
métaphysique que je prétends établir : je ne veux
ophocle (Œdipe, act. III), et que je transcris comme expression d’une
doctrine
non contestée alors : « Selon les règles qui nous
tous les enseignements que l’on peut tirer de l’étude approfondie des
doctrines
anciennes. Il est très probable que la seconde cl
Le discrédit de la parole traditionnelle a dû amener le discrédit des
doctrines
mystérieuses et sacrées. Mais le sentiment religi
nous nous trouverions de nouveau sur la route du développement d’une
doctrine
que nous avons déjà regardée comme au-dessus de n
ir de l’homme. Ceux qui, dans ce moment, professent, à cet égard, les
doctrines
anciennes, croient jeter dans la société une lumi
ar d’êtres parfaits, il n’y en a point dans ce monde. Mais il y a des
doctrines
parfaites à s’assimiler, un idéal de perfection à
es à s’assimiler, un idéal de perfection à poursuivre, et ce sont ces
doctrines
, c’est cet idéal que n’a point l’excellente et ai
ier mot du livre, ce qui lui manque, c’est le robuste et le net d’une
doctrine
, d’une doctrine qui empêcherait un esprit aussi d
, ce qui lui manque, c’est le robuste et le net d’une doctrine, d’une
doctrine
qui empêcherait un esprit aussi distingué que Cor
faiblesse est radicale et incurable. Elle tient à cette absence d’une
doctrine
et d’une foi bien déterminées nécessaires à l’édu
un embrassement d’horizon qu’il n’a pas plus que la supériorité de la
doctrine
. L’idée chrétienne, fortement et savamment entend
avec eux et les cite fort longuement. Bornons-nous donc à résumer la
doctrine
en quelques mots. La sensation de mouvement muscu
son existence et n’est qu’une transformation. Or, si on examine cette
doctrine
de Hamilton, on verra que poussée à ses dernières
pas comme un automate, mais que je participe à mes actions. Ces deux
doctrines
ont en partie tort et en partie raison. La confus
tant que ce terme impropre de nécessité n’aura pas été supprimé. « La
doctrine
du libre arbitre met en évidence précisément cett
pas d’autre moyen de s’en débarrasser. On voit donc qu’en poussant la
doctrine
de la nécessité même à sa plus complète exagérati
cela soit qu’ils jouissent l’un et l’autre de leur liberté ou non. La
doctrine
de M. Mill, comme on le voit, c’est que, même à m
oint, M. Mill distingue, relativement à l’influence des motifs, trois
doctrines
: deux qu’il repousse et une qu’il accepte : Le f
uit, et que nous tenterions vainement de le modifier. Enfin, la vraie
doctrine
de la causalité des actions humaines maintient, c
ci lui avait appliqué, formule ainsi sa critique en se fondant sur la
doctrine
des conditions d’existence : « Je diffère des Uti
mer, sans estimation directe. » L’auteur que nous citons éclaircit la
doctrine
par une comparaison : l’astronomie a parcouru deu
y a eu, ajoute Herbert Spencer (et ceci s’expliquera plus tard par sa
doctrine
générale), et il y a encore dans la race certaine
gouvernement, jusqu’à l’Éclectisme lui-même ; depuis le canapé de la
Doctrine
, commode Trépied, sans enthousiasme et sans oracl
contrer dans son livre ? La pureté du regard qui discerne le vice des
doctrines
, quand il s’agit des systèmes, est-elle, quand il
rave, car les hommes tiennent plus de place qu’on ne croit dans leurs
doctrines
, et la meilleure manière d’atteindre ces dernière
il y avait pour M. Nettement, écrivain catholique, d’appartenir à une
doctrine
constituée, car les doctrines constituées sont co
écrivain catholique, d’appartenir à une doctrine constituée, car les
doctrines
constituées sont comme de grands bureaux de bienf
ent et doctement. Il devait être hardi avec les hommes comme avec les
doctrines
. Il devait s’appuyer sur les idées pour juger les
vec l’orgueil de la pauvreté « de ne juger la littérature qu’avec des
doctrines
littéraires ». Des doctrines littéraires ne se fo
« de ne juger la littérature qu’avec des doctrines littéraires ». Des
doctrines
littéraires ne se font pas toutes seules. Elles d
férieurs à celui-là. Pour un écrivain qui a la prétention d’avoir des
doctrines
, que sont quelques bévues de fait comme celles qu
indiquer. Ainsi, voyez où nous en sommes ! Nul criterium déduit d’une
doctrine
première et fondamentale, et quand il s’agit de j
on de la vie intérieure et sentimentale. — 4. Diverses objections aux
doctrines
de Rousseau : ce qu’il y a de vrai, d’efficace, d
pour sa patrie et pour les petits États constitués comme elle. Si sa
doctrine
pouvait être aux autres de quelque utilité, c’est
échie, je m’arrêtai pourtant moins d’abord à l’examen direct de cette
doctrine
, qu’à son rapport avec le caractère de celui dont
au L’œuvre de Jean-Jacques est éminemment individualiste. Toute sa
doctrine
sort de la constitution particulière de son moi,
ité. Les propres événements de sa vie lui ont fourni les formes où la
doctrine
s’est coulée. Il a vu lever le soleil au Monte en
té : de lui aussi, et de Bossuet, et de Hobbes, Rousseau emportait la
doctrine
que tous les droits ont leur origine, leur fondem
: tout cela est superficiel. Il a l’âme foncièrement protestante. Sa
doctrine
politique n’exprime pas seulement la république d
glise Réformée. Cette différence d’origine diversifie étrangement des
doctrines
qui, abstraitement, sont à peu près identiques. V
rs de son être moral. Nous tenons donc les causes déterminantes de la
doctrine
de Rousseau, du caractère surtout et des propriét
doctrine de Rousseau, du caractère surtout et des propriétés de cette
doctrine
: elles se résument dans le tempérament sentiment
stantisme de l’homme. Essayons maintenant de juger sommairement cette
doctrine
. 4. Portée de la doctrine On dit communémen
s maintenant de juger sommairement cette doctrine. 4. Portée de la
doctrine
On dit communément que cette doctrine est fond
doctrine. 4. Portée de la doctrine On dit communément que cette
doctrine
est fondée sur des postulats non nécessaires, qu’
ar l’orme un groupe qui s’interpose entre l’État et l’individu, et la
doctrine
du Contrat ne subsiste plus dans sa pureté. Et en
amnée, mais seulement des procédés de gouvernement. Et en ce sens, la
doctrine
de la souveraineté du peuple est une vérité incon
littérature. Nous avons vu déjà quelle trace profonde ont laissée ses
doctrines
politiques et sociales. A mesure que la Révolutio
. Contrat social, l. I, chap. VIII. 561. On voit s’amorcer aussi la
doctrine
de l’Emile sur le Discours de l’inégalité, éd. Le
tudes astronomiques auront ensuite fréquemment recours. Suivant cette
doctrine
fondamentale, toutes nos spéculations quelconques
ui de notre intelligence, soit pour constituer primitivement quelques
doctrines
communes, sans lesquelles le lien social n’aurait
a forme des orbites planétaires, etc. Ainsi, quoique, d’une part, les
doctrines
scientifiques soient nécessairement d’une nature
saine appréciation générale. Longtemps habitué à une sorte d’unité de
doctrine
, quelque vague et illusoire qu’elle dût être, sou
spirant seulement à l’homogénéité et à la convergence des différentes
doctrines
. Il en est tout autrement sous l’autre aspect, c’
fondamental, également indispensable quant à la méthode et quant à la
doctrine
, comme je l’expliquerai ci-dessous. C’est uniquem
durable entre les deux philosophies, soit quant à la méthode, ou à la
doctrine
; en sorte que toute incertitude à ce sujet peut
égard des plus difficiles questions. Toutefois, c’est surtout par les
doctrines
que l’incompatibilité des deux philosophies doit
aitement prévaloir, dans la dernière période du Moyen Âge, la célèbre
doctrine
scolastique qui assujettit l’action effective du
ique a fourni, en effet, la base rationnelle du type politique. Cette
doctrine
contradictoire, qui ruine l’efficacité sociale du
s prononcer jamais aucune négation absolue, même quand il s’agit, des
doctrines
les plus antipathiques à l’état présent de la rai
propriétés. On conçoit, en effet, que la nature absolue des anciennes
doctrines
, soit théologiques, soit métaphysiques, détermina
ne sépare donc jamais la logique d’avec la science ; la méthode et la
doctrine
ne pouvant, en chaque cas, être bien jugées que d
complissement de la décomposition préalable exigeait la désuétude des
doctrines
purement négatives qui l’avaient dirigée, une fat
tre situation révolutionnaire, jusqu’à l’avènement décisif des seules
doctrines
qui puissent désormais convenir à l’ensemble de n
différence politique, motivée sur l’impuissance radicale des diverses
doctrines
en circulation, et qui doit toujours persister ta
ble, l’harmonie logique, en régénérant d’abord les méthodes avant les
doctrines
, par une triple conversion simultanée de la natur
rd’hui l’équivalent parmi nos psychologues ou idéologues ; aucune des
doctrines
controversées n’ayant pu, pendant ces vingt siècl
nt à la nouvelle philosophie. Car, on peut assurer aujourd’hui que la
doctrine
qui aura suffisamment expliqué l’ensemble du pass
ntre l’essor intellectuel et le développement moral. Ainsi liée à une
doctrine
qui ne pouvait longtemps rester progressive, la m
exclusive de la morale usuelle, il suffit d’envisager directement la
doctrine
dangereuse et contradictoire que l’inévitable pro
iale oblige à maintenir indéfiniment leur empire. Malgré qu’une telle
doctrine
puisse devenir respectable chez ceux qui n’y ratt
peut finalement aboutir qu’à laisser indéfiniment dépourvus de toute
doctrine
morale la plupart des esprits actifs, comme on le
préliminaire des deux derniers siècles ont dû mêler profondément aux
doctrines
vraiment positives, qu’elles altéreront nécessair
son grand avantage journalier, autorise chacun, au nom d’une commune
doctrine
fondamentale, à rappeler convenablement les plus
ble destination. Or, tel est, évidemment, le caractère spontané de la
doctrine
sociale propre à la nouvelle école philosophique
essentiellement destinée aux prolétaires, afin d’y préparer une saine
doctrine
sociale. Les divers observateurs qui peuvent s’af
sacrées, préconiser, à son gré, l’excellence absolue de son éternelle
doctrine
, et vouer tous ses adversaires quelconques à une
scientifique, la méthode étant, de nos jours, plus essentielle que la
doctrine
elle-même, et d’ailleurs seule immédiatement susc
pas non plus atteint jusqu’ici à une vraie positivité, puisqu’aucune
doctrine
capitale n’y est aujourd’hui suffisamment ébauché
tre dignement préparée par une saine appréciation des méthodes et des
doctrines
relatives aux divers phénomènes moins compliqués
plue et reconnue. » En ces quelques lignes se trouvent exprimées une
doctrine
et une méthode, qui ne marchent pas nécessairemen
archent pas nécessairement ensemble. Je dirai plus loin quelle est la
doctrine
. Parlons d’abord de la méthode. Si elle est juste
chologie des plus géniaux à ceux qui le sont au degré moindre, et une
doctrine
, qui peut tenir en deux mots. Une théorie des hér
du reste, et cela seulement m’importe à dire, effectivement liée à la
doctrine
qui la soutenait dans son esprit. Cette méthode p
ui la soutenait dans son esprit. Cette méthode peut être bonne, si la
doctrine
est mauvaise, et défectueuse au moins, si la doct
re bonne, si la doctrine est mauvaise, et défectueuse au moins, si la
doctrine
est assurée. Le principe de ressemblance entre le
réalisation actuelle de cet infini. Kant opère une révolution dans la
doctrine
de l’intelligibilité en admettant deux logiques :
tes empiristes, qu’elle est entièrement a posteriori ? Soutenir cette
doctrine
, c’est dire qu’à proprement parler il n’y a pas d
éelle, on a, avant toutes choses, l’être identique au non-être. De la
doctrine
éléatique et de la doctrine de Hégel, laquelle es
oses, l’être identique au non-être. De la doctrine éléatique et de la
doctrine
de Hégel, laquelle est la vraie ? Ni l’une ni l’a
ductible aux secondes. Pour d’autres, au contraire, conformément à la
doctrine
de Kant, ces deux espèces de lois sont irréductib
ommun entre nous et la réalité extérieure. Telle fut, par exemple, la
doctrine
d’Ampère. Cette conception est simple et claire,
par l’esprit ? Il semble que l’on ait trop vite accordé ce point à la
doctrine
kantienne. En effet, penser les choses, c’est com
s permettent d’expliquer si rigoureusement les choses, et la première
doctrine
que nous rencontrons à ce sujet est le dogmatisme
ctrine que nous rencontrons à ce sujet est le dogmatisme. Selon cette
doctrine
, les lois mécaniques sont, comme telles, inhérent
se peuvent ramener aux phénomènes mécaniques. Le changement, dans la
doctrine
dont il s’agit, implique une destruction et une p
des phénomènes à l’être. Mais, pour pouvoir être considérée comme une
doctrine
de l’être, la théorie atomique devrait d’abord êt
isme ? Il est à remarquer que, dans l’antiquité, l’atomisme était une
doctrine
d’athéisme, ou du moins de non-intervention des d
rcher les causes premières de l’ordre du monde. Or le monde, selon la
doctrine
aristotélicienne, est formé de deux éléments : un
e durable les bornes de l’espèce à laquelle il appartient. Dans cette
doctrine
, les cas tératologiques eux-mêmes trouvent leur e
e. Parfois elle s’en écarte d’une façon considérable. Si telle fut la
doctrine
d’Aristote, cela tient-il à ce qu’il n’avait pas
caractères dominateurs. D’après ces idées directrices, il repousse la
doctrine
de l’unité de plan et admet quatre plans fondamen
in même de la philosophie cartésiano-baconienne s’étaient élevées des
doctrines
tendant à voir, non plus dans l’ordre immuable, m
fluence, mais une véritable causalité à l’égard du présent. De là, la
doctrine
du progrès, brillamment soutenue par Condorcet, d
, Linné, Geoffroy Saint-Hilaire et Cuvier des lois de coexistence, la
doctrine
moderne de l’évolution poursuit des lois de causa
génération dans le temps. Ses arguments sont : 1° la réfutation de la
doctrine
des créations séparées, comme liée à la finalité
uvent que tenir pour la variabilité, c’est répudier par là même toute
doctrine
de finalité, s’en tenir à la causalité proprement
esprit scientifique. Mais il ne semble pas du tout nécessaire que la
doctrine
de la fixité implique la croyance à la Providence
st que Lamarck, l’auteur du transformisme, rattachait expressément sa
doctrine
à la croyance en un principe suprême d’ordre et d
on a établi une solidarité entre l’irréductibilité des espèces et la
doctrine
de la création. Dès lors, tenir pour la fixité, c
selon eux, était essentiellement sujet au mouvement. C’était donc une
doctrine
classique que celle qui rapprochait le fixe et le
e possible, l’explication est plus ou moins finaliste. En général, la
doctrine
de la fixité des espèces manifeste moins de préte
xité des espèces manifeste moins de prétentions philosophiques que la
doctrine
adverse. Elle se réclame uniquement de l’observat
fixité par l’action de la Providence, elle est plutôt superposée à la
doctrine
qu’elle n’en fait partie intégrante. Sans doute,
est pourquoi elle ne peut guère donner une portée philosophique à ses
doctrines
qu’en en modifiant le caractère et l’esprit. Les
la connaissance, distingués par Locke, correspondent deux groupes de
doctrines
. La première direction est représentée par les ph
elles-mêmes la raison de leur liaison, tel est le sens du progrès des
doctrines
dans cette école. Ainsi Berkeley démontre qu’il e
activité même de l’esprit qu’on se proposait d’éliminer ? Que vaut la
doctrine
, si ses principes supposent cela même dont elle p
dehors. Ainsi s’est formée, par l’emploi de la méthode analytique, la
doctrine
dite des facultés. Par une autre voie, à savoir p
tourner dans un cercle vicieux. De plus, ni l’une ni l’autre des deux
doctrines
, prise en elle-même, ne satisfait vraiment aux co
de Locke. Les autres lois, celles qui ont leur premier modèle dans la
doctrine
cartésienne, établissent un rapport entre un phén
prétendrait être radicale. Examinons maintenant le côté positif de la
doctrine
, à savoir le type de loi qu’elle a en vue. Ce typ
XVIIIe siècle, un troisième point de vue se dégage. Les adeptes de la
doctrine
du progrès se proposent de montrer que le cours n
pouvoir être qu’approximative. Qu’est-ce, dans ces conditions, que la
doctrine
du déterminisme ? C’est une généralisation et un
ité d’un savant théologien anglais dont il accepte pour son compte la
doctrine
. Les limites du monde fini, pour l’un et pour l’a
positivisme. Pour le positivisme, toute croyance religieuse et toute
doctrine
spiritualiste sont mises à l’écart comme hypothès
à cette parole, qui semble n’être sous une autre forme que sa propre
doctrine
, lorsqu’il nous dit que l’infini est objet de cro
recours à la puissance surnaturelle du Créateur ; mais d’une part la
doctrine
de la génération spontanée, de l’autre la doctrin
mais d’une part la doctrine de la génération spontanée, de l’autre la
doctrine
de la transformation des espèces, sont des hypoth
ude ; ce ne sont pas des questions résolues. Il semble fâcheux qu’une
doctrine
qui doit résoudre tous les problèmes commence par
arti parmi les hommes. Voilà ce qui condamnerait la Providence, si la
doctrine
du péché originel ne nous autorisait à rejeter la
ce objective et indépendante. Un bon exemple de cette tendance est la
doctrine
jadis populaire du principe vital, qui maintenant
ubstituait des mots à des idées. On en peut dire presque autant de la
doctrine
moderne d’une force vitale ou de forces vitales ;
rphologique ; la disposition de l’organe est donc secondaire. « Cette
doctrine
diffère de la doctrine courante des physiologiste
ition de l’organe est donc secondaire. « Cette doctrine diffère de la
doctrine
courante des physiologistes qui est celle-ci : La
sensation dans le centre, aucun mouvement n’aura lieu246. » Dans la
doctrine
ordinaire, la conscience étant considérée comme a
e l’action réflexe, à laquelle il n’épargne pas même la raillerie. La
doctrine
des écoles, dit-il, est celle-ci : « Les actions
sans cerveau puisse éprouver une sensation252. » A l’appui de cette
doctrine
, on cite des faits et des expériences. « Les rech
un centre de sensation : 1° Opinion des physiologistes antérieurs. La
doctrine
qui reconnaît au cordon spinal des fonctions sens
er ces faits comme le résultat d’un ajustement, mécanique. Mais cette
doctrine
même n’a pas manqué d’opposants. J.-W. Arnold l’a
terminons ici l’exposé sommaire des opinions de notre auteur, sur la
doctrine
courante des actions réflexes. Peut-être aura-t-e
ver la théorie des idées innées ; il sert beaucoup mieux à appuyer la
doctrine
de l’évolution. Par son caractère merveilleux et
yance à la réalité objective de nos idées et de nos sensations. Cette
doctrine
, qui s’accorde avec celle des écrivains français
a ayant vivement ému la jeune école littéraire qui s’inspire de cette
doctrine
, nous avons cru intéressant et utile, pour la loy
cet « humanisme », auquel il attribue d’ailleurs des torts dont cette
doctrine
ne me paraît pas coupable. La réfutation de M. Cl
l’homme. Eh bien, soit ! Examinons. J’ose leur objecter qu’à mon avis
doctrine
pèche par la base et qu’on en voit, du premier co
désireux de bien faire, et séparés par d’irréductibles divergences de
doctrines
. Dans ce drame généreux, où M. Coquelin a révélé
à toutes les métamorphoses, M. Paul Bourde a mis en présence les deux
doctrines
qui se disputent l’adhésion de l’humanité civilis
i aussi, avec toutes les âmes jeunes et hardies de notre temps, cette
doctrine
de l’humanisme, qui s’empare actuellement de tout
cisse d’égoïsme lâche s’applaudissait lui-même en retrouvant dans des
doctrines
plus hautes que lui les traits épars de son image
ent catholiques, qui vivront toujours, comme le cœur de l’homme et la
doctrine
de vérité qui s’applique à ce cœur immortel : Im
la citerne tarie, mais le livre, c’est le puits d’eau de source où la
doctrine
et la science doivent être éternellement puisées
examine l’Église telle qu’elle est dans le monde, il en interroge la
doctrine
générale et ses sources. Puis, pénétrant plus ava
t ses sources. Puis, pénétrant plus avant, il arrive aux effets de la
doctrine
catholique sur l’esprit, sur l’âme et sur la soci
saint Thomas d’Aquin, il a appliqué aux besoins du siècle présent la
doctrine
de ce génie incomparable. Cela seul ferait de ses
. Mezangui. Il est vrai que les Jésuites y ont trouvé le poison de la
doctrine
jansénienne ; mais qu’il nous soit permis de dire
er les faits certains qui peuvent servir à établir, ou à éclaircir la
Doctrine
de l’Eglise, sa discipline & ses mœurs, omet
gie. Il y fait des extraits exacts des ouvrages des Peres touchant la
doctrine
, la discipline & les mœurs. Il donne les Acte
s ces monumens ne suffisent pas. Il faut puiser la connoissance de la
doctrine
de la morale de l’Eglise dans les Peres qui l’ont
qu’une narration historique des différens changemens arrivés dans la
doctrine
des Protestans ; leurs erreurs y sont mises dans
gé de ce qu’ils renferment, un jugement sur leur style & sur leur
doctrine
, & le dénombrement des différentes éditions d
econd volume des œuvres posthumes de cet illustre soutien de la saine
Doctrine
. On ne se borna pas à trouver des fautes dans le
leurs principaux ouvrages, les endroits les plus remarquables de leur
doctrine
sur le dogme, la morale & la discipline, &
adition ; le jugement des critiques sur la personne, le caractère, la
doctrine
, la méthode & le style des différens Auteurs
leurs vertus dans ses Vies des Peres des déserts d’Orient, avec leur
doctrine
spirituelle & leur discipline monastique, à A
e du Monastère & des Moines distingués par leur sainteté par leur
doctrine
ou par leurs travaux pour l’établissement, l’avan
tre le lait des vainqueurs, elles ont assez battu le lait de la bonne
doctrine
pour qu’il se répande, par-dessus leurs mains ins
grossier. Aussi, en Allemagne, quand Luther commença d’y répandre sa
doctrine
de contradiction et d’erreur, il émut autour de l
ti, chaque jour grossissant par le nombre comme il se complète par la
doctrine
, dont Pusey et Newman ont été les plus ardents pr
l’a remarqué avec un reproche sévère l’auteur du Développement de la
doctrine
chrétienne, les historiens ecclésiastiques n’avai
e de l’Église vis-à-vis de l’État : « Ils professent et enseignent la
doctrine
catholique de la justification ; ils reconnaissen
l’évêque de Londres, et cette lettre était un manifeste en faveur des
doctrines
et des interprétations de l’éloquent auteur de l’
e était Oxford, puisqu’elle avait sous sa rigoureuse surveillance des
doctrines
qu’elle devait garder inaltérables, elle ne pouva
t d’écrits et tant d’actes qui ont remué si profondément les vieilles
doctrines
anglicanes ? Et s’ils en doutaient, — car la pass
e terreur, l’Université dépassait son droit. Instituée pour garder la
doctrine
, elle n’a jamais eu pour mission de la déterminer
, ce retour au catholicisme par l’étude de ses développements dans la
doctrine
et dans l’histoire. À cette cause interne et spon
te tomberait alors, sinon par la forme, au moins par l’identité de la
doctrine
, dans l’apostasie romaine, et, certainement, si l
es, et le XVIIIe siècle a prouvé que l’on peut allier les plus laides
doctrines
avec la conduite la plus pure et le caractère le
fier sur soi-même les lois observées dans le développement des autres
doctrines
, et comment concilier avec une telle vue réfléchi
on et de crédulité apparaît tout d’un coup, on ne sait d’où, dans les
doctrines
qui semblaient les plus rationnelles, la rêverie
es qui seules désormais entraîneront l’humanité. Les temples de cette
doctrine
, ce sont les écoles, non pas, comme aujourd’hui,
sens qu’on attache à ce mot. Si on entend par religion un ensemble de
doctrines
léguées traditionnellement, revêtant une forme my
ternellement religieuse. Mais ce qui ne l’est pas moins, c’est qu’une
doctrine
n’a désormais quelque chance de faire fortune qu’
à-dire l’humain, tel doit être désormais le critérium extérieur d’une
doctrine
qui s’offre à la foi du genre humain. Tout ce qui
tre à une branche de la famille du Prophète et prêchant avec cela les
doctrines
d’égalité ou de fraternité, si susceptibles d’êtr
ble dans nos entraves, une volonté animant de son unité souveraine la
doctrine
, les affections et les mœurs ; véritables hommes
lement soumises, si ardemment employées aux conséquences efficaces de
doctrines
en apparence délaissées, et aussi compromises qu’
rts, une facilité périlleuse à adopter, à professer prématurément des
doctrines
qu’on conçoit, qu’on aime, mais dont certaines pa
connu. Une grande confusion, à cette époque, couvrait l’état réel des
doctrines
; l’émotion tumultueuse des partis pouvait donner
ar endroits d’une invective de missionnaire, catholique d’ailleurs en
doctrine
comme Du Perron et Bellarmin. Le surnom de Bossue
’une volte-face, de ce qui n’était que la conséquence naturelle d’une
doctrine
déjà manifeste, une évolution conforme aux circon
pour les points essentiels, avec cette géométrie transcendante d’une
doctrine
sainte aux mains du génie ; il en avait induit le
is ici plus frugale en goût que chez saint Augustin, plus enhardie en
doctrine
que chez Bossuet, et aussi, il faut le dire, moin
s de naissance, et nonobstant toute manière d’user ou d’abuser. Cette
doctrine
servile, vraiment idolâtre et charnelle, avait pr
théâtre ; elle s’étendra partout où domine le libéralisme, soit comme
doctrine
, soit comme sentiment, et sous cette dernière for
; car la première nécessité de l’enseignement, c’est l’unité dans la
doctrine
et l’autorité qui ressort toujours de cette unité
nettement rayonné ? Lui, le doctrinaire de la critique, quelle fut sa
doctrine
? en avait-il une ? à quelle loi supérieure remon
inue, sera tristement remarquable dans l’histoire par l’indigence des
doctrines
générales et des principes absolus. Construits au
les qualités les plus sensibles du critique, parce qu’il n’a point de
doctrine
. On le résume en deux mots : Anecdotes et détails
n’est pas Sainte-Beuve, — aurait, lui, en sa qualité de chrétien, une
doctrine
… s’il savait fermement s’en servir. Oui ! Pontmar
ue dans leur perfection, vient l’honneur d’avoir, par des ouvrages de
doctrine
, initié le gros de la nation aux raisons et comme
t les maîtres, ne se réunissaient pas pour se mettre d’accord sur des
doctrines
. Il ne sortait de cette confraternité que des élo
t écrivain distingué, s’était fait mettre à la Bastille pour quelques
doctrines
sur la grâce, qui sentaient fort la prédestinatio
ne croyait pas faire tort à un écrit, en le retouchant au profit des
doctrines
communes ou de la paix chrétienne. C’est ce que n
est partout où est Dieu, partout où l’on peut emporter le dépôt de la
doctrine
. Tel autre aspire sans cesse au repos, préfère à
les mots toujours subordonnés aux choses ; toujours quelque point de
doctrine
à démontrer, quelque vérité à enseigner ; chacun
e troublée par la contradiction, et à conserver intact le dépôt de la
doctrine
. La plume d’Arnauld est la plume d’un parti. Tout
on. Comme il s’agit toujours de réfuter quelque maxime contraire à la
doctrine
, la maxime est mise en tête à la manière d’un thé
ne réfutation du règlement de Saint-Cyran, et y établit, entre autres
doctrines
, que plus on est dépourvu de grâce, plus hardimen
ce, plus hardiment on doit s’approcher de la sainte table. C’était la
doctrine
catholique proscrite à Port-Royal, où l’on enseig
Il écrivit le livre de la Fréquente Communion, où il rétablissait la
doctrine
de saint Augustin. Depuis l’Introduction à la vie
moins occupés que les théologiens. Il fit beaucoup de conquêtes à la
doctrine
, et le nombre des solitaires de Port-Royal s’en a
personne de celui qui avait tenu la plume au nom de la compagnie, une
doctrine
qui ruinait leur empire en substituant, comme fon
it collectif, ce sacrifice de la personne qui faisaient le fond de la
doctrine
de Port-Royal, ont été des qualités originales :
l pensa qu’il était peut-être appelé par là à rendre témoignage de sa
doctrine
et à briser quelque lance contre l’ennemi : Il e
est pour y subir une nouvelle épreuve spirituelle dans l’ordre de la
doctrine
qui fait mon élément… Je serai là comme un métal
r distingué et disert, mais esprit vague et peu précis, professait la
doctrine
du jour, celle de Condillac, qui se réduisait à l
ettre motivée qu’il lut à haute voix, trois nouveaux amendements à la
doctrine
du professeur : 1º sur le sens moral dont il récl
os sensations. » Il attaque l’idée matérialiste qui est le fond de la
doctrine
adverse, et la force à reculerg. Garat avait dit
ifle même sur cette dextérité et cette adresse d’exposition dont leur
doctrine
a grand besoin ; il établit avec un haut et paisi
ise traversait au moment où il écrit, il est dans le vrai de sa haute
doctrine
. Selon lui, l’âme humaine, toute déchue et altéré
ne définit pas, mais qui sera le triomphe plus ou moins complet de sa
doctrine
secrète. Il tend à refaire, avec les hommes, des
10 Août. 54. [NdA] En matière de propriété, Saint-Martin avait une
doctrine
très large et qui ne diffère guère de celles que
Insistons sur ces deux points qui contiennent virtuellement toute sa
doctrine
. Nous avons vu que s’il est une idée qui tende à
de l’intelligence et ceux de la vie en général. » L’autre base de la
doctrine
, c’est la corrélation nécessaire de l’être et de
sme et l’idéalisme. M. Herbert Spencer n’est ni pour Locke ni pour la
doctrine
contraire des « formes de la pensée. » « S’en ten
’expériences est tout à fait inexplicable146. » D’un autre côté si la
doctrine
des formes de la pensée est inacceptable, au sens
t à des rapports dans le milieu environnant, « il y a du vrai dans la
doctrine
des formes de la pensée, non le vrai que soutienn
omme très probable, est encore celle de la loi de progrès continu, la
doctrine
de l’évolution. Que ce ne soit qu’une hypothèse :
celle de séquence, comme l’idée d’espace de celle de coexistence. La
doctrine
que le temps ne nous est connu que par la success
, « positivistes. » Que Comte ait donné une exposition générale de la
doctrine
et de la méthode des sciences, cela est vrai. Mai
s, cela est vrai. Mais il n’est pas vrai que ceux qui acceptent cette
doctrine
et suivent cette méthode sont disciples de Comte.
disciples. Quel est le cas pour M. Comte ? Quelques-uns acceptent ses
doctrines
avec peu de réserves : ce sont là ses disciples p
proprement dits. D’autres approuvent quelques-unes de ses principales
doctrines
, mais point le reste : ceux-là font une adhésion
t une adhésion partielle. Il y en a d’autres qui rejettent toutes les
doctrines
qui lui sont propres ; ceux-là doivent être consi
ent été si Comte n’avait jamais écrit. Rejetant sa réorganisation des
doctrines
scientifiques, ils possèdent ces doctrines scient
tant sa réorganisation des doctrines scientifiques, ils possèdent ces
doctrines
scientifiques dans leur état préexistant, comme l
ommun héritage légué par le passé au présent ; et leur adhésion à ces
doctrines
scientifiques n’implique en rien qu’ils adhèrent
distinctes, — qu’il y a dans la nature des lois invariables. Mais ces
doctrines
sont entrées bien avant lui dans le domaine philo
uant aux dissentiments de M. Herbert Spencer et d’Aug. Comte, sur les
doctrines
propres à ce dernier, on peut s’en convaincre par
i a bien fait rire. Le Semeur est inconséquent quand il soutient les
doctrines
de Quinet et de Michelet qui mènent à la non-libe
et de l’État : mais c’est ainsi qu’on fait toujours ; on est pour la
doctrine
absolue jusqu’à ce que la passion ou l’intérêt s’
fléchit tout doucement. Je reviens. — Le fait est qu’il n’y a pas de
doctrine
absolue pour les États et que tout est relatif, s
ion, tout son esprit, toute sa logique à rendre révoltante cette âpre
doctrine
. C’est un lieu commun théologique, que le problèm
n dite naturelle sur la seule raison, le protestantisme et toutes les
doctrines
latitudinaires, qui, reconnaissant une révélation
en versets, tour à tour violent et tendre, sombre et serein, où nulle
doctrine
positive ne se formulait, mais où éclataient tout
en retenant les éléments utiles de la thèse et de l’antithèse, par la
doctrine
de l’auteur. Pareillement, thèse, liberté ; antit
à tous les partis parce qu’il conservait quelque chose de toutes les
doctrines
: logicien vigoureux, écrivain passionné et parfo
achant de la forme républicaine, il se montra tout prêt à réaliser sa
doctrine
par l’empire, contrepesèrent l’influence que le t
me, philosophie oratoire, libéralisme philosophique, juste et commode
doctrine
bien taillée sur l’intelligence et les intérêts d
iablement légitimiste : la légitimité est une pièce essentielle de la
doctrine
. Il lui faut une dynastie séculaire pour avoir un
jours toute discussion aux principes, et déduisant de la Charte toute
doctrine
, comprenant bien au reste son temps, et les deux
échiseur et pasteur autoritaire. Expurgeant bravement ses cours et sa
doctrine
, il organisa le spiritualisme en Église philosoph
ature : son cours n’était pas comme celui de Guizot une profession de
doctrine
libérale, comme celui de Cousin un jaillissement
tre ni protestant, ni philosophe, vaguement suspendu entre toutes les
doctrines
, de personnalité insuffisante pour subsister hors
nt que pouvait-il faire ? Nouveau en philosophie, il n’avait point de
doctrine
à lui, et, bon gré mal gré, il devait en professe
es matérialistes et les sceptiques. Son penchant inné lui faisait une
doctrine
préconçue ; et toujours une doctrine préconçue fa
on penchant inné lui faisait une doctrine préconçue ; et toujours une
doctrine
préconçue fausse, invente ou omet les faits. Son
phes de les recevoir comme règles. Le sens commun devint pour lui une
doctrine
toute faite ; M. Royer-Collard la subit ; ce fut
la règle. À son insu, l’habitude et l’inclination le guident vers les
doctrines
qui nous courbent et qui nous retiennent. Il aime
les mœurs. J’appelle intempérance et témérité tout ce qui ébranle les
doctrines
spiritualistes ; j’arrête d’avance les séditions
es savants, et que votre autorité les arrête sur le bord des funestes
doctrines
qui, insensiblement, goutte à goutte, vont faire
rrivons chez M. Élie de Beaumont. « Ah ! monsieur, quelle pernicieuse
doctrine
que celle du soulèvement des montagnes ! Quoi ! i
théorie par certains points que je réduirai à deux : l’influence des
doctrines
allemandes, des tendances religieuses et métaphys
devoir à Herbart ou à ses disciples, Drobisch, Waitz et Volkmann, la
doctrine
de l’élaboration des idées, de leur action et réa
donc, sous ce rapport, des psychologues précédemment étudiés, dont la
doctrine
est presque tout entière indigène. Les théories s
l’expérience de la race et non de l’expérience individuelle. « Cette
doctrine
qui réconcilie Locke et Kant sera, dans une génér
s dans l’ordre chronologique ? Elle dit aux partisans de Kant : votre
doctrine
transcendante des formes de la pensée, bonne en l
e. En somme, cette solution est la transformation physiologique de la
doctrine
kantienne des formes de la pensée. Les deux rappo
u nom de l’auteur, le titre toujours suspect jusqu’à l’inventaire des
doctrines
de celui qui le porte, « de professeur de philoso
ù il en était au dix-huitième siècle, et M. Caro, nous développant la
doctrine
de Saint-Martin, cette mystérieuse et nuageuse do
éveloppant la doctrine de Saint-Martin, cette mystérieuse et nuageuse
doctrine
qui partit de Boëhm pour aboutir misérablement à
quelques pages pressées et pleines, toute la substance médullaire des
doctrines
de Saint-Martin. En les lisant, on est surtout fr
t ! En effet, pour nous dégoûter de l’erreur de son principe et de sa
doctrine
, le protestant a la sécheresse de sa raison et la
9. Du mysticisme au dix-huitième siècle. — Essai sur la vie et les
doctrines
de Saint-Martin, le philosophe inconnu, par M. Ca
gue oreille que la dépouille lumineuse de ces lions de sainteté et de
doctrine
, les Chrysostôme, les Basile, les Pacôme, ne saur
lus vulgaire des appréciations ; car c’est révéler qu’on a cédé à des
doctrines
fortes ou faibles, enchaînées ou éparses dans des
de la vérité. C’est un livre dont le mérite vient, avant tout, d’une
doctrine
que l’auteur n’a pas faite et qui lui communique
e la charité, n’a été l’objet que d’une mention honorable. Puisque la
doctrine
d’un tel livre n’était pas couronnée, la mention
sa main dans la sienne, est discret, agressif, incompatible avec les
doctrines
socialistes contemporaines, et il ajoute souvent
mêlés à l’erreur, et à les réunir pour en former un système dont les
doctrines
seront la vérité même. Mais où trouver le critéri
mesurable. Voici les calculs de Fechner, le principal adepte de cette
doctrine
: Pour mesurer une chose, il faut : 1. avoir un é
ce manque est douloureux : le plaisir sort donc de la douleur. Cette
doctrine
a de tristes conséquences : si le plaisir n’est q
ce. Au nom de ces diverses objections, il y a donc lieu de rejeter la
doctrine
qui ne donne au plaisir qu’une valeur négative. D
ine qui ne donne au plaisir qu’une valeur négative. D’après une autre
doctrine
, la cause du plaisir serait dans la libre activit
ntés communes : le stoïcisme, le christianisme, ont été au nombre des
doctrines
qui ont surtout répandu l’amour de l’humanité. On
a théorie de Stuart Mill sur l’origine de l’idée de l’extériorité. La
doctrine
de Mill est sujette à de graves objections : Tout
. Le réalisme l’accepte au contraire comme existant réellement. Notre
doctrine
est donc une doctrine réaliste. Mais il y a diffé
e au contraire comme existant réellement. Notre doctrine est donc une
doctrine
réaliste. Mais il y a différentes sortes de réali
ent éteinte. Le réalisme s’appelle alors spiritualisme. D’après cette
doctrine
, que nous avons acceptée, il n’y a pas dans la na
tes, n’existent pas. Tout dans la nature est vivant, est animé. Cette
doctrine
a ses fondements chez Aristote. Mais le plus gran
être pleinement conscients. Cette idée de Leibniz a fait fortune. Une
doctrine
entière s’est formée de nos jours en l’ayant pour
ssant de côté les tristes conséquences métaphysiques et morales de la
doctrine
de Hartmann, on peut facilement faire voir que ce
plus ou moins mystérieuses. Platon est un des représentants de cette
doctrine
. Le [mot grec] ne fait, dit-il, que réfléchir le
ter à l’absolu. Le fini, à l’infini. L’imparfait au parfait. C’est la
doctrine
acceptée de tout temps par les partisans de la ra
s partisans de la raison impersonnelle. Nous allons montrer que notre
doctrine
ne nous permet pas d’accepter ces idées comme éta
notre métaphysique. Leçon 21 La raison : L’empirisme Il y a une
doctrine
qui nie l’existence de la raison, et n’admet que
s corps dont elles émanent. Ces empreintes sont les idées. Mais cette
doctrine
se perfectionnant, on a vu que cette théorie étai
e nos connaissances dérivaient de l’expérience et d’elle seule. Cette
doctrine
, construite pour la première fois par Locke, est
’importance du principe de l’association des idées. Depuis lui, cette
doctrine
a fait fortune. « La loi de l’association des idé
ous retrouvons ici en effet, appliquée à la théorie de la raison, une
doctrine
que nous avons déjà réfutée. C’est la doctrine qu
orie de la raison, une doctrine que nous avons déjà réfutée. C’est la
doctrine
qui cherche à ramener nos états de conscience les
s elle ne peut la détruire. Ce qui est différent reste tel malgré les
doctrines
. Avec des sensations subjectives, disions-nous, l
nt transmises par voie héréditaire des ascendants aux descendants. La
doctrine
dont nous parlons explique ainsi toute la connais
éorie de l’hérédité, théorie qui n’est elle-même qu’un chapitre de la
doctrine
célèbre qui découle de l’hypothèse de Darwin, et
on nomme l’évolutionnisme. Le plus grand philosophe partisan de cette
doctrine
et l’ayant étendue de l’histoire naturelle, son d
ransformiste remplace la théorie des créations spéciales. C’était une
doctrine
antique et très répandue que chaque règne et dans
émarcation infranchissables entre les mondes ainsi créés. C’est cette
doctrine
que l’évolutionnisme déclare inconcevable. Selon
inférieur, le point de départ d’où s’élèvera le supérieur. D’après la
doctrine
des créations spéciales, le monde serait fait d’é
chez l’individu la raison, ou faculté d’intégrer. Pour réfuter cette
doctrine
, nous pouvons d’abord répéter à son propos ce que
aux tendances générales de l’évolutionnisme. Nous retrouverons cette
doctrine
en métaphysique, et là, nous l’examinerons à fond
té de la vérifier expérimentalement ne suffit pas à faire rejeter une
doctrine
. Il y a contre la théorie de l’hérédité une objec
ir ; le moi phénoménal, que nous percevons, mais qui n’existe pas. La
doctrine
de Kant a reçu de son auteur le nom d’idéalisme t
e sauver le principe de contradiction, dit Kant, est d’admettre cette
doctrine
. Mais cet argument ne vaut que si l’on reconnaît
ngage, il n’y a plus d’idées générales. Tel est le nominalisme. Cette
doctrine
est toujours restée dans la discussion. Condillac
restée dans la discussion. Condillac, M. Taine se rattachent à cette
doctrine
. Au contraire, nous trouvons le réalisme dès l’an
des genres substantialisés. Platon est donc un réaliste. De ces deux
doctrines
, il y en a une dont l’expérience montre l’absurdi
nt [sic] donc en opposition avec les faits. Mais il y a entre deux la
doctrine
d’Abélard, qu’on appelle le conceptualisme. Suiva
ible l’idéal conçu par l’artiste. On a souvent distingué deux grandes
doctrines
dans l’art : l’idéalisme et le réalisme. L’idéali
ques, il en déduisait que les bêtes n’étaient que des machines. Cette
doctrine
se réfute par l’exagération de ses conséquences.
tains animaux : l’expérience à ce sujet leur aurait coûté la vie. Une
doctrine
beaucoup plus importante, explique l’instinct par
t l’instinct est commun à tous les individus de la même espèce. Cette
doctrine
soulève les objections suivantes : D’abord, elle
passe en lui suivant des lois bien déterminées. De là vient pour ces
doctrines
le nom de déterminisme. On confond souvent le fat
fort l’emporte et détermine l’action. Les déterministes résument leur
doctrine
dans cette comparaison : Une balance inclinant du
otre constitution entraînent nécessairement les actions. Telle est la
doctrine
déterministe de Stuart Mill et Leibniz par exempl
éterministe de Stuart Mill et Leibniz par exemple. Pour réfuter cette
doctrine
on a examiné la question de savoir s’il y avait d
t guidées et déterminées. Jouffroy a donné une nouvelle forme à cette
doctrine
. Il distingue deux sortes de causes à nos actions
nt les motifs sont libres. Il y a donc des actions libres. Mais cette
doctrine
affirme ce qui est contestable, que nous pouvons
cipe de causalité, appliqué au monde extérieur. En effet, selon cette
doctrine
, si nous pensons les choses extérieures sous la f
, mais le moi nouménal est le siège de la liberté. On peut faire à la
doctrine
de Kant une objection extrêmement grave. Cette do
ut faire à la doctrine de Kant une objection extrêmement grave. Cette
doctrine
conserve une liberté non point réelle, mais possi
l’avons vu, le contraire de la certitude. On appelle dogmatisme toute
doctrine
d’après laquelle la certitude est l’état normal d
seulement une probabilité plus grande que les autres. Telle était la
doctrine
d’Arcésilas et de Carnéade, philosophes de la nou
ade, philosophes de la nouvelle Académie. Nous éliminerons d’abord la
doctrine
probabiliste. Cet état d’esprit qui n’est ni l’af
existence même de l’incertitude n’est pas certaine. Mais une pareille
doctrine
n’est plus philosophique ; c’est une défaillance,
tre un mode spécial de raisonnement. Entre deux il y a place pour une
doctrine
qui sans s’astreindre à aucune affirmation a prio
recherche de la vérité ; la méthode de synthèse est une méthode « de
doctrine
» suivant une expression de Port-Royal. Depuis Ka
ce qui concerne la philosophie dogmatique et toutes les questions de
doctrine
, et s’il est vrai de dire que l’indépendance abso
’existence de peines et de récompenses peut bien se concilier avec la
doctrine
déterministe. Nous ne le contesterons pas, mais l
éclaré tel par la majorité. M. Herbert Spencer a repris et rajeuni la
doctrine
de Mill. Ce qui le distingue de celui-ci, c’est c
de celui-ci, c’est comme il le dit lui-même, moins une différence de
doctrine
que de méthode. Il reproche à son prédécesseur de
si je recherche, comme il me le conseille, mon plus grand intérêt. La
doctrine
de Mill est exposée à la même objection : il trou
à comment le bien nous semblera devoir être pratiqué. Voyons si cette
doctrine
répond à toutes les conditions de la loi morale.
êle le plus petit calcul d’intérêt. Devons-nous nous en tenir à cette
doctrine
? Mais d’abord il est manifestement impossible qu
ue la loi morale soit respectée à la lettre ? Évidemment une pareille
doctrine
entraîne des conséquences devant lesquelles le se
eux qu’on appelle les Communistes. Nous trouvons déjà chez Platon des
doctrines
analogues. Lui aussi veut supprimer la famille, n
ité de ce don lui permet seule d’échapper à cette conséquence (Kant :
Doctrine
du droit). Toute association entre l’homme et la
ervenir pour limiter le pouvoir paternel. À cette théorie s’oppose la
doctrine
libérale de Rousseau (Émile). Pour ce philosophe,
e la liberté humaine. En présence de cette théorie, nous trouvons une
doctrine
toute contraire, la théorie libérale ou individua
ndividu à ne pas empiéter sur la liberté d’autrui. La première de ces
doctrines
est évidemment immorale, car elle porte atteinte
rai pas moins commis une action immorale. Admettons-nous donc l’autre
doctrine
? Si elle n’est pas contraire à la loi morale, el
rnement devra respecter la liberté de penser : peu importe le nom des
doctrines
et leurs conséquences théoriques ; toutes ont le
ense. Leçon 71 De la spiritualité de l’âme. Du matérialisme. La
doctrine
opposée au spiritualisme est le matérialisme ; ap
coïncident. Le nom de théorie des causes occasionnelles donné à cette
doctrine
vient de ce que les individus n’y sont pas les ca
et tous les cartésiens, bien que s’écartant sur plus d’un point de la
doctrine
du maître, il ne pense pas que l’âme et le corps
spéciales qui la distinguent. Certainement si l’on s’en tient à cette
doctrine
, il est difficile d’expliquer les rapports de cho
ie par le mécanisme et l’âme guidée par le dynamisme. Mais il y a des
doctrines
qui admettent pour la vie des propriétés un princ
t ce que l’école de Montpellier a nommé le principe vital. Aussi leur
doctrine
a-t-elle reçu le nom de vitalisme. On explique al
pensante, peuvent agir l’une sur l’autre. C’est pourquoi une dernière
doctrine
a simplifié la précédente et expliqué les rapport
qu’une des facultés de l’âme. C’est l’âme qui dirige le corps : cette
doctrine
a reçu le nom d’animisme. Son fondateur, Stahl, l
e fait vivre le corps. C’était là un paradoxe qui a beaucoup nui à la
doctrine
de l’animisme. De nos jours, elle a été reprise a
ment. Il peut fort bien en être ainsi de l’univers. Nous trouvons une
doctrine
de ce genre dans la théorie du désir d’Aristote.
me, comme on a dit. Mais là n’est pas la critique importante de cette
doctrine
; son grand défaut est d’être irreprésentable. To
nde ? Pourquoi l’univers ne serait-il pas Dieu se développant ? Cette
doctrine
, le panthéisme, enlève toute existence propre aux
une grande partie de l’Europe. Les deux grands noms attachés à cette
doctrine
sont ceux de Schopenhauer et de Hartmann. Le prem
adversaires du libéralisme, le point à surveiller. Le libéralisme,
doctrine
d’une société des idées Il y a en France un co
ntérêt humain. Cependant, quels que soient les rapports étroits de la
doctrine
de Saint-Simon, Enfantin et Bazard, avec la mysti
omme la chose acquise, la fortune acquise, un système d’intérêts, une
doctrine
d’intérêts, une volonté d’intérêts à défendre. Po
n, voilà la forteresse du principe héréditaire. Or l’agrarisme, comme
doctrine
, subsiste, de même que la France agricole, comme
se, n’a pas creusé nettement son courant d’idées, n’aboutit pas à une
doctrine
, n’arrive pas à dépasser le cercle où il est bien
ique du personnel doublant dans l’école la démocratie théorique de la
doctrine
, telles furent les conséquences de l’Affaire, le
maintenue avec une certaine constance. Mais si le parti radical a une
doctrine
, une politique, a-t-il une idéologie ? Représente
c’était cela, et le radicalisme, c’est encore cela. Le parti et la
doctrine
de la nation Le nationalisme, dont le nom, les
ne de la nation Le nationalisme, dont le nom, les attitudes et les
doctrines
sont dus à Barres et à d’anciens boulangistes, ap
ît : la nation jacobine est une nation doctrinaire, doctrinaire d’une
doctrine
nouvelle. La doctrine, la voici. Nation, la Franc
e est une nation doctrinaire, doctrinaire d’une doctrine nouvelle. La
doctrine
, la voici. Nation, la France a, pour truchement e
est ensuite, peut-être surtout, ceci : les comités. Le parti et la
doctrine
des sociétés de pensée Le comité ou l’anti-Cle
e, qui soutiennent effectivement et même qui figurent formellement la
doctrine
radicale. Aujourd’hui cet héritage révolutionnair
a civilisation française. Mais enfin, comme la mystique héritière, la
doctrine
, la philosophie et la politique de l’héritage, fo
auché devant les chaises curules du Luxembourg par les gardiens de la
doctrine
républicaine. Non seulement comme rappel insidieu
: la Justice dans la Révolution et dans l’Église, les Éléments d’une
doctrine
radicale sont les deux livres qu’il faudrait fair
t girondin, comme M. Herriot. Dès qu’il pense et parle école, la pure
doctrine
jacobine apparaît. Il pose en préface à son Éduca
de créer cette unité des esprits et des consciences. » C’est la pure
doctrine
du fascisme et la pure doctrine de Moscou. L’écol
s et des consciences. » C’est la pure doctrine du fascisme et la pure
doctrine
de Moscou. L’école unique actuelle doit-elle suiv
ges dans le socialisme, lequel remplit de plus en plus la fonction de
doctrine
politique maçonnique tenue naguère par le radical
Guesde : Maurras. La socialisation des moyens de production était une
doctrine
claire pour l’ouvrier. Dans le pays même de Jaurè
solidarité qui coulait à pleins bords dans l’éloquence républicaine.
Doctrine
ouvrière, ayant pour évangile le livre écrit en A
onctionnaires, surtout des paysans. En même temps qu’il dépassait une
doctrine
élaborée sous l’influence trop exclusive de la ré
au paysan un autre langage, un langage à lui. Il fallut assouplir la
doctrine
en matière de propriété, rendre le socialisme non
-dire le faire moins radical. À mesure que le socialisme devenait une
doctrine
de propriétaires, les propriétaires de la doctrin
lisme devenait une doctrine de propriétaires, les propriétaires de la
doctrine
le tempéraient et l’assouplissaient. Une légende
es du Gaulois. Il n’en illustre pas moins la situation délicate de la
doctrine
socialiste, lorsqu’elle veut distinguer entre la
considérable de la pensée socialiste, il est aussi une pensée ou une
doctrine
d’ancêtre, aujourd’hui vieillie, et le rappel aux
sée ou une doctrine d’ancêtre, aujourd’hui vieillie, et le rappel aux
doctrines
du marxisme, le Manifeste communiste cite à la ma
l du parti socialiste, M. Léon Blum, n’a encore publié qu’un livre de
doctrine
socialiste : les Problèmes de la Paix. Ce sont en
ouvarine faisait remarquer que le socialisme n’a pas toujours été une
doctrine
pacifiste, qu’il y a eu un socialisme belliciste,
llemandes, n’oublions pas que c’est d’elle que le socialisme tient la
doctrine
qui est aujourd’hui au centre de son prestige et
me. Par l’infatigable prédication de Jaurès, le socialisme devint une
doctrine
pacifiste et son tribun le Forgeron de la Paix, d
problème de la paix Dès lors le socialisme demeure le parti, et la
doctrine
socialiste demeure la doctrine, du pacifisme cons
le socialisme demeure le parti, et la doctrine socialiste demeure la
doctrine
, du pacifisme constructif, ouvert et résolu. Il r
ste. Le socialisme doit pratiquer le même opportunisme que toutes les
doctrines
qui ont contact avec la pratique et que tous les
qui permet de conserver de hauts salaires, ne doit être tenue par la
doctrine
que pour une préparation à la Révolution sociale.
qui ont créé Tartuffe et Pecksniff. Le libéralisme a toujours été une
doctrine
de propriétaires, dont les lumières font ménage a
nt en somme la même nature de passivité. Comme le libéralisme est une
doctrine
de propriétaire, soit une catégorie de possession
une catégorie de possession dans l’espace, le traditionalisme est une
doctrine
d’héritier, soit une catégorie de possession dans
isposition littéraire. Ce n’est plus assez aujourd’hui de réfuter une
doctrine
, il faut encore la comprendre, et il est plus uti
que dans un coin du monde une race privilégiée gardait le dépôt de la
doctrine
révélée, qui, je vous prie, a enseigné aux hommes
au hasard, mais toutes importantes, car chacune d’elles contient une
doctrine
. Que penser de la doctrine, si on la juge par l’e
ortantes, car chacune d’elles contient une doctrine. Que penser de la
doctrine
, si on la juge par l’expression ? Page 14. C’es
eçons. Où est le style exact qu’ils enseignent ? Qu’est devenue cette
doctrine
des signes, vérifiée dans toutes les sciences ? A
nts ; la justesse des raisonnements mesure l’autorité méritée par les
doctrines
. Quelle autorité méritent les doctrines de M. Cou
re l’autorité méritée par les doctrines. Quelle autorité méritent les
doctrines
de M. Cousin ? C’est que, pour être orateur, on n
tée à faire. D’une pareille méthode, on a pu tirer une belle ou forte
doctrine
morale, quelque chose qui, comme le platonisme ou
es au principe de la raison suffisante, Leibniz a ouvert la voie à la
doctrine
du déterminisme universel, doctrine qui est d’ail
te, Leibniz a ouvert la voie à la doctrine du déterminisme universel,
doctrine
qui est d’ailleurs la sienne, et dont il a donné
t ces choses, au grand profit de la civilisation universelle37. Cette
doctrine
est si bien dans le génie de la pensée allemande
un ni avec la morale du succès, ni même avec la morale de l’utile. La
doctrine
de la moralité du succès n’est pas française, on
rie des hommes providentiels ? En y regardant de près pourtant, si la
doctrine
de la moralité de la victoire a trouvé si peu d’é
st au nom de cette dernière autorité que protestent contre toutes les
doctrines
qui lui portent atteinte MM. Michelet, Quinet et
ls sont les deux excès de la nouvelle méthode historique. La première
doctrine
n’est pas moins contredite en histoire qu’en psyc
le fatalisme enlève à l’histoire, c’est encore toute vertu morale. La
doctrine
de la nécessité a pour effet d’énerver le sens mo
est pas le jouet. Voilà ce qui fait la popularité et le danger de la
doctrine
de la nécessité. Elle n’est pas nouvelle ; de tou
Nous avons vu comment l’expérience physiologique tend à en faire une
doctrine
scientifique. On essaie de nous montrer également
montrer également comment l’expérience historique tend à en faire une
doctrine
qui ait la rigueur et la précision d’une science.
conséquences du fatalisme. Il faut bien l’avouer, même en écartant la
doctrine
de la nécessité, qui lui ôte tout son relief dram
es particuliers. Lettres spirituelles. — § VI. Du chimérique dans les
doctrines
littéraires de Fénelon. — § VII. Par quelles qual
aiguillon de ses grandes qualités et la cause de ses erreurs, soit de
doctrine
, soit de conduite : c’est cette confiance au sens
’endroits, faillit où ne se tromperait pas un esprit ordinaire. Cette
doctrine
des parfaits, cet impossible amour de Dieu, cette
s raffinés ? Nous le voyons pour les opinions profanes : adhérer à la
doctrine
commune n’est pas le premier mouvement. Différer,
la nature humaine d’aimer sans partialité, et si dans un ensemble de
doctrines
il en est une douteuse ou combattue, à laquelle n
le reste. Regardez dans le fond d’un janséniste, vous y verrez que la
doctrine
de saint Augustin sur la grâce est à elle seule,
r de Dieu rend le christianisme inutile. En religion, il n’y a pas de
doctrine
particulière qui ne devienne un schisme, pas de d
n. Fénelon n’obtint pas de son petit troupeau l’impartialité entre la
doctrine
du pur amour et la religion de tout le monde, et
guère que les mystiques, et ne s’autorise, dans leurs livres, que des
doctrines
que la sainteté des auteurs ou l’obscurité de la
. Dans la religion, par quelle pratique le royal élève répond-il à la
doctrine
du pur amour que lui a enseignée son précepteur ?
Fénelon contre un M. Hubert, janséniste déguisé, qui substituait à la
doctrine
de la prédestination pure celle de l’impuissance
a gloire personnelle. La dureté est l’inévitable conséquence de toute
doctrine
née du sens propre ; plus on a de vertu, moins on
, avec le mélange du désir de plaire. § VI. Du chimérique dans les
doctrines
littéraires de Fénelon. A la chimère d’une per
écadence. Heureusement, les écrits de Fénelon donnent un démenti à sa
doctrine
; car, en même temps qu’il s’interdit tout ce qu’
tième siècle l’a-t-il si fort vanté ? Parce qu’il s’y est reconnu. Sa
doctrine
de l’amour pur et désintéressé, qui se conforme a
droits des peuples, et le grand caractère de ce livre, c’est que les
doctrines
en sont formées d’un doux mélange de la charité c
ville, du 13 août 1731, Voltaire signale le parti qu’on tirait de ces
doctrines
contre la poésie en général. « Cette opinion de M
secondaires et d’ailleurs antérieures en date, la principale ligne de
doctrine
de l’abbé de La Mennais, surtout depuis son Essai
s et avril 1829), on l’y voit ne jamais séparer dans son anathème les
doctrines
libérales ou démocratiques d’avec les doctrines h
dans son anathème les doctrines libérales ou démocratiques d’avec les
doctrines
hérétiques et impies, subordonner le prince au Pa
e, personne ne peut dire quels destins Dieu réserve à la société. Les
doctrines
religieuses, morales et politiques, les lois et l
e cardinal Lambruschini, autrefois approbateur de ses actes et de ses
doctrines
, ne le soit plus, comme si l’Avenir et le Conserv
lever, c’est ce qui tient à la logique même, à la série d’idées et de
doctrines
du grand écrivain. Or, je trouve que, dans ses gr
is donner à un jeune homme de vingt ans, enthousiaste, enorgueilli de
doctrines
absolues, la plus haute leçon de philosophie prat
lpes l’imagination italienne plus inflammable au feu de ses nouvelles
doctrines
, elle envoya son disciple Lacombe prêcher sa foi
iques de Salomon, et quelques autres écrits sur la contemplation. Ces
doctrines
, renouvelées de Platon et des premiers contemplat
sé de toute récompense comme de toute crainte. L’Église s’émut de ces
doctrines
. Madame Guyon et le père Lacombe, qui venait de r
Bourdaloue, orateur célèbre et vénéré de la chaire, consulté sur ces
doctrines
, répondit avec la même austérité. « Le silence su
hesses de l’Église. Le roi l’adjoignit aux évêques qui scrutaient les
doctrines
de madame Guyon. Mais déjà la conférence était di
lui fut défendu d’aller à Rome solliciter un jugement du pape sur ces
doctrines
, et le roi écrivit au souverain pontife pour lui
contre Fénelon. L’abbé Bossuet ne cessait de répandre à Rome, sur les
doctrines
et le caractère de Fénelon, les ombres de la calo
uyon, afin de faire rejaillir cette flétrissure, non-seulement sur la
doctrine
, mais sur la vertu de l’archevêque de Cambrai. La
éternellement l’humanité. Depuis lors, certaines croyances, certaines
doctrines
morales sur la vie, sur les hommes, sur l’âme et
la philosophie chrétienne. Mais au-dessous et dans les limites de la
doctrine
universelle, la liberté humaine, l’esprit de curi
lus toujours leurs vues particulières sur la nature et sur la vie aux
doctrines
suprêmes du christianisme ; souvent la contradict
orial dans l’église ou dans la famille, et qui trouve en répétant ces
doctrines
de tous les jours une sublimité sans efforts et p
e connaît pas) peut agir sur la matière (qu’on ne connaît pas). « La
doctrine
de deux substances, dit M. Bain190, — une substan
« que l’esprit et le corps agissent l’un sur l’autre ». Quoique cette
doctrine
se rapproche plus de la vérité que celle des deux
s l’une à l’autre, M. Bain lui adresse plusieurs reproches : 1° Cette
doctrine
suppose que nous avons le droit de considérer l’e
pe et celle de la corrélation des forces. On sait en quoi consiste la
doctrine
appelée persistance ou équivalence des forces, et
devait particulièrement porter sur les erreurs morales et les fausses
doctrines
qu’avait pu émettre ou propager la littérature. C
emblait finie. Une réaction énergique avait éclaté contre les tristes
doctrines
du siècle précédent et tandis qu’un beau génie, d
oint vue du moins se faire, dans le domaine de la morale, l’apôtre de
doctrines
corruptrices. Si des drames violents, des spectac
iècle dernier, le roman et le drame, prosélytes ardents de toutes les
doctrines
nouvelles, s’enrôler sous cent drapeaux divers. P
ttants. Nous nous y conformerons donc : nous nous demanderons quelles
doctrines
la littérature a enseignées touchant ces deux par
de la morale. Nous essaierons ensuite de montrer quelle influence ces
doctrines
ont eue sur les mœurs. Première partie. Morale
la littérature contemporaine Chapitre premier. Morale privée. —
Doctrines
philosophiques de la littérature contemporaine
u les moins habiles, — se sont bornés à jeter sur le vieux fond de la
doctrine
un vernis de poésie et des enluminures de style.
nt ce masque de spiritualisme, ce manteau de religion dont toutes les
doctrines
, même les plus perverses, ont pris soin de s’affu
ce qui affecte une forme philosophique, que de ce qui ressemble à une
doctrine
sérieuse. Lélia reconnaît un Dieu, mais quel Dieu
. II. Destinée humaine. — Suicide Quelle morale peut sortir des
doctrines
philosophiques et religieuses que nous venons d’e
nsualiste du xviiie siècle, tire ici la conclusion très légitime des
doctrines
qu’il a héritées d’Helvétius et de Cabanis. Comme
ce à dire, et que signifient ces grands mots ? Nous connaissons cette
doctrine
; les sensualistes viennent de nous l’apprendre.
tres passages de ses écrits nous fournissent la confirmation de cette
doctrine
. Fernande, la femme de Jacques (dans le roman de
la rigueur dogmatique d’un système, n’est-il pas évident qu’une telle
doctrine
ne détruit pas moins dans sa racine le dogme de l
contemporaine, non pas seulement celle qui s’inspire ouvertement des
doctrines
sensualistes, mais celle-là même qui se donne pou
le prêtre selon le Christ, ainsi que l’appelle l’auteur, expose cette
doctrine
: « Les oppresseurs de tous les temps, de tous le
ns la peinture des caractères que leurs idées se dévoilent, que leurs
doctrines
morales, ou, à défaut de doctrines, leurs tendanc
eurs idées se dévoilent, que leurs doctrines morales, ou, à défaut de
doctrines
, leurs tendances s’accusent. C’est donc là, c’est
a fois sociale et religieuse, contre laquelle se heurte d’abord toute
doctrine
qui proclame la légitimité de la passion, et à qu
éputé criminel par la conscience et par la loi, pour lequel ces mêmes
doctrines
ne peuvent avoir que de l’indulgence, disons mieu
théories du matérialisme physiologique de Cabanis, pour sa morale des
doctrines
utilitaires de Bentham ; où l’auteur, ne reconnai
tion de ce livre : ce serait lui faire trop d’honneur. Il n’y a là ni
doctrine
, ni rien qui y ressemble ; c’est de l’immoralité
ue de s’y abandonner ? ils sont donc parfaitement logiques. Dans leur
doctrine
, il est évident que le mariage n’a qu’un but, le
s n’ont pas porté jusqu’à ce point le mépris de la morale. Souvent la
doctrine
, bien qu’analogue au fond, prend soin de se voile
e d’une façon un peu plus claire. Il commence par nous dire à quelles
doctrines
contemporaines il l’a emprunté ; et cet aveu n’es
ociété, de cette obscure phraséologie, il ressort en définitive cette
doctrine
: que la seule loi, la loi suprême du mariage, c’
e au mariage et appliquée avec une étrange intrépidité de logique, la
doctrine
exposée plus haut de la légitimité et de la saint
tantôt chrétien, sous lequel nos romanciers essaient de déguiser leur
doctrine
, tout cela n’est qu’un vain appareil qui voile ma
lus incroyables prétentions du roman moderne, de vouloir mettre cette
doctrine
sous la protection de l’Évangile. On n’a pas crai
immonde de l’amour libre, de la passion sans frein. Nulle part cette
doctrine
n’est plus audacieusement posée que dans le roman
égarée ; en un mot cet esprit même de Jésus, qui ressort de toute sa
doctrine
et qui plane sur toutes ses paroles, à savoir que
’est pourtant ce que nous avons vu ; et ici encore, à l’appui de leur
doctrine
, le roman et le drame modernes ont invoqué l’auto
nde dans toutes ses productions ; qui, sans enseigner ouvertement des
doctrines
perverses, répand des idées fausses et suggère de
it appeler la poétique du laid, se transforma chez ses successeurs en
doctrine
philosophique : telle fut du moins la prétention
mesure exacte de sa vertu. Beau criterium moral, n’est-il pas vrai ?
Doctrine
bien faite pour relever le culte du bien et forti
mariage honni, le libertinage exalté ; voilà les points principaux de
doctrine
qui nous ont apparu. De là à maudire la société,
horribles et stupides pour les individus173. » Le principe de cette
doctrine
, le voici : la société n’est point un fait normal
evé, que le caprice peut renverser. Nous retrouverons plus loin cette
doctrine
dans ses applications et ses développements ; nou
75. » Le théâtre énonce, à peu près dans les mêmes termes, les mêmes
doctrines
. Dans Antony, Adèle d’Hervey, la femme mariée, di
ous n’inventons rien, nous ne hasardons rien. Sur ce dernier point la
doctrine
est très nette, très explicite. Nous la trouvons
ce qu’il nous importait de mettre en lumière, c’est uniquement cette
doctrine
qui, reportant à la société la responsabilité des
le noble souci des destinées du genre humain. Il s’en faut que cette
doctrine
soit neuve. Dans l’antiquité, déjà, les Stoïciens
ues de la littérature contemporaine. Un écrivain, partisan exalté des
doctrines
socialistes, a fait ouvertement à ce double point
e des castes210. » Le livre est le développement dramatique de cette
doctrine
. À la place de l’autorité paternelle, de l’éducat
é. Un écrivain dont l’autorité n’est pas suspecte quand on combat les
doctrines
socialistes, a dit avec justesse : « La propriété
doit rien de plus à son fils221. » Nous sommes, on le voit, en pleine
doctrine
saint-simonienne. Voilà l’abolition de l’héritage
re dans sa phase de philosophie sociale : ses idées se précisent, ses
doctrines
s’accusent. Écoutez Le Compagnon du tour de Franc
les bornes des enclos 227. » Dans Le Meunier d’Angibault, les mêmes
doctrines
se reproduisent sous une forme plus philosophique
par elle à la morale publique, il nous reste, après avoir exposé ses
doctrines
philosophiques et sociales, à montrer quels senti
lus libre, plus franche et plus acerbe, l’expression de cette funeste
doctrine
. Il a un titre significatif : Riche et Pauvre. Or
ses fictions, qui ont pris à tâche de mettre en œuvre ces détestables
doctrines
. L’exploitation de l’ouvrier par le maître a four
: interrogez les faits. Regardez où nous ont conduits les idées, les
doctrines
morales, les théories philosophiques et sociales
timité d’une telle induction ? La loi qui rattache les événements aux
doctrines
, comme l’effet à la cause, n’est-elle pas une de
les mettre pour une bonne part à la charge de notre littérature. Ses
doctrines
, ses maximes y ont, sans nul doute, singulièremen
tation de la passion. — Sensualisme pratique Ce qui caractérise la
doctrine
morale prêchée par notre littérature, ce n’est ni
lité, sinon en théorie, par nos goûts et nos habitudes, sinon par nos
doctrines
, fortement enclins au sensualisme, ou, si on veut
les maux, mais encore de tous les vices de ses membres. Qu’une telle
doctrine
soit destructive de toute morale, cela est trop é
’elle fait du citoyen. De citoyens, il n’y en a plus en face de cette
doctrine
: il n’y a que les éléments matériels, que les mo
développer davantage. Comment n’eût-on pas accueilli avec faveur une
doctrine
qui s’accordait si bien avec nos préjugés et avec
ont une morale tout autre, qui est justement le contre-pied de cette
doctrine
de la responsabilité universelle de l’État ; car
Cet abaissement des âmes n’est pas le seul mal qu’engendre une telle
doctrine
. En même temps qu’elle énerve les volontés, elle
En quel temps le monde a-t-il jamais ouï prêcher de plus effrayantes
doctrines
? Et quel autre enseignement eût-on donné à un pe
hilosophiques et aux théories gouvernementales ? N’est-ce point cette
doctrine
attrayante du droit au bonheur, cette perspective
s années déjà, un écrivain dont nous avons eu souvent à critiquer les
doctrines
, mais à qui on ne saurait refuser un talent charm
à emporter voulait un assaut. Il faut bien se représenter l’état des
doctrines
en France au moment où M. Cousin, âgé de vingt-qu
e ne saurait ni se transmettre ni s’enseigner. Quoi qu’il en soit, la
doctrine
du xviiie siècle en était à ce moment extrême et
ardemment la patrie : si vous voulez la sauver, embrassez nos belles
doctrines
. Assez longtemps nous avons poursuivi la liberté
s de la philosophie de M. Cousin, c’est bien moins encore le fond des
doctrines
sur lesquelles un esprit naturellement sceptique
tion légère on ne tient nul compte de cette autre méthode et de cette
doctrine
d’analyse et de description intérieure qu’institu
cie, il se réfugiait dans son royaume idéal ; il fondait cette grande
doctrine
du dédain transcendant 353, vraie doctrine de la
; il fondait cette grande doctrine du dédain transcendant 353, vraie
doctrine
de la liberté des âmes, qui seule donne la paix.
ections qui se mêlent à toute chose réalisée par l’humanité, c’est la
doctrine
de la liberté des âmes. Déjà la Grèce avait eu su
ésus ne savait pas assez l’histoire pour comprendre combien une telle
doctrine
venait juste à son point, au moment où finissait
âmes au milieu de l’empire de la force brutale. Assurément, une telle
doctrine
avait ses dangers. Établir en principe que le sig
». Mais cette critique ne me paraît pas très heureuse qui rétrécit la
doctrine
, qui n’aperçoit que la forme joyeuse et conquéran
pparents de l’intense lutte pour la vie que se sont livrée en lui les
doctrines
. Même ils ne restent point tout à fait seuls ; ce
erche le bonheur ? Je recherche mon œuvre. » Il va créer surtout deux
doctrines
: la doctrine du surhomme et la doctrine du grand
r ? Je recherche mon œuvre. » Il va créer surtout deux doctrines : la
doctrine
du surhomme et la doctrine du grand retour. Tout
» Il va créer surtout deux doctrines : la doctrine du surhomme et la
doctrine
du grand retour. Tout être doit « se surmonter »,
l’infini. L’éternité pour lui n’est pas une ligne droite. D’après la
doctrine
du grand retour, nous reviendrons au point même o
sommes plus au temps des théories consacrées par l’expérience, et des
doctrines
revêtues de l’autorité imposante des traditions :
bligé de se livrer à ces périlleux examens. Le siècle se refuse à une
doctrine
imposée : les croyances sociales non seulement so
t bonne, il suffit qu’elle soit inévitable ; on n’a pas de choix. Les
doctrines
sociales ne peuvent jamais être mises entièrement
onsolider, et il n’est question ici que de cela, prouve en faveur des
doctrines
anciennes contre les doctrines nouvelles ; car l’
ici que de cela, prouve en faveur des doctrines anciennes contre les
doctrines
nouvelles ; car l’utilité toute seule ne pourrait
n’eût pas commencé par jouer avec soin le rôle d’un restaurateur des
doctrines
sociales. Ne l’avons-nous pas vu, en effet, au mo
aut déjà la partager. Or, tout le monde n’a pas le front ouvert à des
doctrines
si effroyablement absolues. Abreuvés de christian
qu’aura toujours l’œuvre d’un prêtre quand il s’agira d’histoire, de
doctrine
et de tradition. L’abbé Cadoret a bien compris ce
. Son livre, qui est l’exposé lucide, dans un style vif et pur, de la
doctrine
catholique sur les rapports éternels de deux puis
s que par quelques personnes à l’imagination vive et portées vers les
doctrines
étrangères. L’auteur étroit et sec du livre d’Est
supériorité et la vue de ses humiliations 153. Si Israël avait eu la
doctrine
, dite spiritualiste, qui coupe l’homme en deux pa
ergique protestation n’aurait pas eu sa raison d’être. Mais une telle
doctrine
, sortie de la philosophie grecque, n’était pas da
e les autres les malheurs publics, suite de l’impiété générale. Cette
doctrine
, léguée par les sages de l’époque patriarcale, ab
adducéen, qui n’y croyait pas, était, en réalité, fidèle à la vieille
doctrine
juive ; c’était le pharisien, partisan de la résu
de l’immortalité de l’âme, sortait d’ailleurs très naturellement des
doctrines
antérieures et de la situation du peuple. Peut-êt
162. En tout cas, se combinant avec la croyance au Messie et avec la
doctrine
d’un prochain renouvellement de toute chose, elle
r de la tête et du cœur, de vagabonder dans ses écrits à tout vent de
doctrine
, et, comme déjà nous l’avons dit, de vivre, enfan
ou lettré jettent par-dessus leurs mauvaises mœurs ou leurs mauvaises
doctrines
. Ni Joseph de Maistre, ni Mirabeau, ne connurent
ont eux-mêmes que des apprentis conservateurs ! À l’identité de leurs
doctrines
littéraires et à l’ambiguïté de leurs doctrines p
À l’identité de leurs doctrines littéraires et à l’ambiguïté de leurs
doctrines
politiques, on ne comprend pas le contraste de le
ntinuer encore ce caractère collectif de notre sensibilité : c’est la
doctrine
de l’évolution et des effets de l’hérédité accumu
ce qu’il y a aussi d’incomplet dans les explications empruntées à la
doctrine
de la sélection naturelle : nous rechercherons la
. Insuffisance du darwinisme. On ne pouvait manquer d’appliquer la
doctrine
biologique de la sélection au plaisir et à la dou
conque, mais seulement des rapports et des changements32. Selon cette
doctrine
, une simple notion, une simple conception se trou
ers. Dans cette intéressante tentative d’explication, on reconnaît la
doctrine
qui fait le fond de la morale pessimiste et de la
e la peine comme moteur unique de la volonté est intimement liée à la
doctrine
qui admet que le plaisir a pour essence, ou tout
t s’est lui-même réfuté par les conséquences outrées qu’il tire de sa
doctrine
. Selon lui, un plaisir ne peut succéder immédiate
s, la comparaison, le souvenir, le raisonnement. Voilà, d’après cette
doctrine
, bien des cérémonies nécessaires pour jouir ! Il
a un prix intrinsèque dans la vie. Nous ne saurions donc admettre la
doctrine
de Leslie et de Delbœuf, qui placent le plaisir d
et unique moteur de révolution universelle, est-ce la douleur ? Cette
doctrine
de découragement ne se retrouve pas seulement che
les plus importants de la psychologie et de la morale. Selon nous, la
doctrine
de la peine comme moteur de l’action, — de la pei
e mouvement. Comme Darwin, dont il voulait cependant perfectionner la
doctrine
, il a considéré surtout l’entretien et le dévelop
que les anciens appelaient l’universel « désir », est donc, selon la
doctrine
profonde de Platon dans le Banquet, « l’enfant de
ce n’était pas le philosophe profond dont il partageait volontiers la
doctrine
sur la parole, qu’il allait surtout visiter ; lui
e nouveauté un peu étrange et de cette phraséologie essentielle à une
doctrine
, et que la poésie ne réclame pas. Les plaintes du
rtion avec le but, le caractère général l’emporte suffisamment, et la
doctrine
philosophique y obtient une belle part. Dans la p
our moi, le plus complet, le plus fidèle et satisfaisant résumé de sa
doctrine
est encore la Vision d’Hébal où le prisme poétiqu
et des intérêts contraires, il y avait chez les uns et les autres une
doctrine
radicalement contraire aussi sur la fondation de
lus profonde du Christianisme dans la sphère politique et civile. Une
doctrine
de conciliation si haute en des instants si irrit
ie des Prolégomènes par cette sorte d’hymne funéraire : « L’homme des
doctrines
anciennes, le prophète du passé vient de mourir….
plana dans des cercles indéfinis. C’est même à partir de 1830 que les
doctrines
de M. Ballanche ont fait le plus de chemin par le
tres de Saint-Simon et de Fourier, contre ces pays de Cocagne que les
doctrines
matérialistes de progrès font voyager devant nous
l’individu dans la vie confuse de l’humanité, autre excès où vont les
doctrines
progressives panthéistiques : lui, il était et il
le lieu, si nous le voulions, d’offrir une exposition générale de la
doctrine
de M. Ballanche ; mais assez d’autres l’ont fait
nformé plutôt qu’affecté, il a continué de tirer tout de lui-même. La
doctrine
de Saint-Martin semble assurément très-voisine de
tés dans ce qu’a dit M. de Ségur d’Aguesseau. Il a parlé de certaines
doctrines
, mais il n’a nommé personne. « Voix nombreuses .
portent l’incendie dans la société, en répandant dans les masses des
doctrines
d’athéisme et d’irréligion. C’est là un danger so
unir toutes les forces des hommes de bien. Nous protestons contre ces
doctrines
funestes de toute l’énergie de nos convictions. (
. Vous serez alors tout seul dans le Sénat pour défendre de pareilles
doctrines
. « Un sénateur. Tous les honnêtes gens doivent pr
de vue le livre de cet écrivain, je proteste formellement contre les
doctrines
qui y sont émises, et je suis persuadé que ma voi
que M. le Président Troplong m’assurait que, lorsque ces questions de
doctrine
se représenteraient par leur côté légal et politi
ettrez-vous donc à l’Index également tous ces sots livres imbus d’une
doctrine
ultramontaine que repoussait la religion de Bossu
nt tout le crime consiste à chercher à se rendre compte en matière de
doctrines
. Le propre et l’honneur de l’Empire est de mainte
aient pu hésiter sur le but des Satires : Boileau y exposait toute sa
doctrine
, ramassée en un corps de préceptes. C’est cet Art
blime, pompeux, et tant d’autres, qui sont comme les étiquettes de sa
doctrine
, ont été affectés par nous à d’autres emplois ou
La réalité détermine et limite la conception poétique, et dans cette
doctrine
, comme dans tout art naturaliste, l’imagination n
base du respect de l’antiquité, qui est un des traits apparents de la
doctrine
de Boileau. Car, si tous les hommes sentent la na
ion d’Aristote que Boileau s’approprie et qui s’ajuste très bien à sa
doctrine
. L’artiste n’est pas condamné à tronquer la natur
as de poésie lyrique, ne soit amoindrie et découronnée. Pour être une
doctrine
complète et suffisante, le naturalisme doit s’éla
’une très vague notion et ne sut pas la rattacher aux principes de sa
doctrine
: il n’eut même pas le sentiment de la difficulté
s ou fausses, qui même nous semblent contradictoires à l’esprit de sa
doctrine
, et restreignent ou infirment l’excellent princip
est laide et mauvaise et embrassent avec une sorte de frénésie toute
doctrine
qui humilie l’homme et le tient fortement sous la
té dangereuse. Le raisonnement de Gamaliel 196 est invincible. Si une
doctrine
est vraie, il ne faut pas la craindre ; si elle e
usse, encore moins, car elle tombera d’elle-même. Ceux qui parlent de
doctrines
dangereuses devraient toujours ajouter dangereuse
dehors. La passion suppose exclusion, antagonisme, partialité. Toute
doctrine
, comme toute institution, porte en elle le germe
a question de l’avenir de l’humanité est tout entière une question de
doctrine
et de croyance, et que la philosophie seule, c’es
tingués ; cela prouve enfin que le règne a passé de l’esprit et de la
doctrine
à l’intrigue et à la petite activité. Mais cette
ystères et d’odieuses orgies ? Nos beaux esprits eussent eu contre la
doctrine
nouvelle toute l’antipathie qu’ils ont contre les
façon claire et superficielle, ont fait une meilleure fortune que les
doctrines
elles-mêmes. Telle est la manière française ; on
ive à distance, et qu’il suffit ensuite de nourrir au-dedans de forte
doctrine
, d’étude et de saines pensées, pour que tout cela
t développent les points importants, et toujours intelligibles, de sa
doctrine
de piété. Les stoïciens, Épictète par exemple, po
ible à l’ennemi ; c’est devenir invulnérable. Qu’il y ait eu dans la
doctrine
des derniers stoïciens, d’Épictète même et de Mar
istianisme et dans l’idée de Dieu qu’il est venu révéler au monde. La
doctrine
de Fénelon, dégagée de quelques subtilités d’expr
s particuliers à sa manière de sentir et d’écrire, n’est autre que la
doctrine
chrétienne dans sa plus spirituelle vivacité. Qu’
est pour vous dans une simplicité très délicate4. » C’est dans cette
doctrine
de silence et de quiétude en priant qu’est le ger
d’enthousiasme, et cet Hérode Atticus qui unissait à la fois tant de
doctrine
, d’éloquence suave et d’humanité. C’est lui qui,
dans son esprit et dans sa racine. Autre chose, d’ailleurs, sont les
doctrines
auxquelles on n’arrive et l’on n’atteint à grand
même et le fond d’une société tout entière. Mais il y a mieux, et les
doctrines
, malgré des ressemblances et des rencontres de pe
mourant arrosée de son sang, comment, bientôt armée et revêtue de la
doctrine
et de la théorie de saint Paul, est-elle sortie d
ement à cette religion des pauvres et des souffrants ? Puis, quand la
doctrine
fut sortie de dessous terre et eut levé en mille
qu’il serait sans miracles, il y a quelque chose de si divin dans sa
doctrine
et dans sa vie, qu’il en faut au moins être charm
iété polie. Il a essayé, selon ses propres paroles, « de civiliser la
doctrine
en la dépaysant des collèges et la délivrant des
re Ronsard et Boileau, comme ayant fait faire un progrès décisif à la
doctrine
classique. Chapelain est très complexe ou, pour m
ite. Non seulement Descartes, par prudence, accommoda de son mieux sa
doctrine
à la théologie catholique : il la rassura par le
r que dans le cours du xviie siècle, la philosophie irréligieuse, la
doctrine
des libertins qui veulent faire de la théorie, c’
christianisme, pendant le xviie siècle, utilisa les forces de cette
doctrine
dont le principe était capable de le ruiner, et p
reignit pendant le cours du siècle les effets du rationalisme dont la
doctrine
cartésienne est l’expression philosophique. La pe
éraire. — 2. Les œuvres et les hommes. Critique : M. Brunetière et la
doctrine
de révolution ; MM. Faguet et Lemaître : M. Sarce
r nous affermir dans le goût du principe essentiel et excellent de la
doctrine
, dans le goût de l’objectivité, de l’expression i
li un chapitre nouveau de l’histoire de la critique. En appliquant la
doctrine
de l’évolution à la critique, il a obtenu deux ré
d dans le même journal sa vérité : et cette vérité, au fond, c’est la
doctrine
de l’art pour l’art. Ceci est du théâtre, cela ne
t pas du théâtre : bon à siffler. Il y a un fond de vérité dans cette
doctrine
: c’est la valeur de la technique, et de la techn
ts romantiques et surtout classiques, une sorte de synthèse des trois
doctrines
d’art à travers lesquelles s’est faite depuis la
e et toujours prête à retourner à la barbarie, Rousseau préludait aux
doctrines
de son Contrat social par son Discours contre les
homme est bon, et les hommes sont mauvais. » Fénelon a fait contre la
doctrine
d’un contrat primitif des arguments qui sont rest
ale qu’il faut guérir. Mais alors il arrive que les conservateurs des
doctrines
sociales sont eux-mêmes atteints de cette cruelle
nds pas nier cet état de souffrance et de combat qui a enfanté et les
doctrines
perverses de Hobbes, et les plaintes de Rousseau,
le comme les autres nécessités sociales. M. Ancillon, qui professe la
doctrine
des systèmes politiques fondés sur l’expérience,
ctrine des systèmes politiques fondés sur l’expérience, au lieu de la
doctrine
des systèmes fondés sur une théorie spéculative ;
terruption des théories les plus contraires à la Révolution jusqu’aux
doctrines
les plus révolutionnaires. Je néglige, pour ne pa
lège de porter les armes. Comparez maintenant ces idées surannées aux
doctrines
politiques de M. de Chateaubriand ; vous ne vous
ne faisait que substituer une tyrannie à une autre, ils opposaient la
doctrine
de la souveraineté de la raison. Ils croyaient la
llicitude, il ruine la liberté et la propriété4. » Telles étaient les
doctrines
de l’école économiste, telles qu’on les trouve ex
paraître à son tour comme étant le dernier des privilégiés : c’est la
doctrine
du laisser-faire poussée à ses dernières limites.
La Foi nouvelle du Poète et sa
doctrine
. L’Intégralisme. Plusieurs des collaborateurs
é par les principaux initiateurs de ce mouvement, l’exposé même de la
doctrine
nouvelle. Si l’on considère un instant dans son e
opinion. Et nous entrerons immédiatement dans l’exposé même de notre
doctrine
. À propos des vers libres modernes, que nous n’en
que d’orienter ensemble ses regards vers des sommets nouveaux. Notre
doctrine
ne s’oppose systématiquement à aucune autre. Au c
i au fond des âmes ! Nos prédécesseurs immédiats ont déclaré que leur
doctrine
répondait aux nécessités du moment. En invoquant
oire orientale n’est qu’un vague empâtement d’hommes, de choses et de
doctrines
. Elle est anonyme et impersonnelle. Excepté Mahom
e obscurités, jusqu’à la première lueur qu’on y voit poindre de cette
doctrine
chrétienne, en définitive étouffée par cette mass
tions de l’Europe sont des innocences, la Chine, indifférente à toute
doctrine
religieuse, quoiqu’elle ait joué avec les nôtres
’a pas déformé la tête humaine pendant des milliers d’années dans des
doctrines
de perdition pour qu’elle se courbe, au premier m
être spiritualiste et adorateur du divin au milieu du débordement des
doctrines
naturalistes ou matérielles. En face du monde enc
on et de sagesse. On a beaucoup écrit de nos jours pour déterminer la
doctrine
et le caractère de Saint-Martin. Un de nos ancien
depuis considéré Saint-Martin dans le fond même et le principe de ses
doctrines
, et s’est attaché à montrer comment il avait serv
a repris à fond et a exposé l’ensemble de cette existence et de cette
doctrine
singulière en son temps47. En pressant les idées
de vingt-trois ans, à cette date où il devint l’innocente proie d’une
doctrine
secrète. Il était d’une organisation délicate et
itualité divine, il en participe sur d’autres points essentiels de sa
doctrine
, et il en porte le cachet. Témoin des désordres e
aris, chez Jacques Lecoffre, 1850.) 47. [NdA] Essai sur la vie et la
doctrine
de Saint-Martin le Philosophe inconnu, par E. Car
, qui se plaît à retrouver dans ces écrits ses principes et sa propre
doctrine
, est un homme de l’école américaine, à prendre le
alement vrai chez toute nation civilisée et à tous les moments. Cette
doctrine
libérale, au sens le plus étendu du mot, Benjamin
t de lui le publiciste par excellence aux yeux de M. Laboulaye. Cette
doctrine
suppose un grand fonds de confiance dans la natur
communions, à toutes les sectes anciennes ou nouvelles, ce serait la
doctrine
chrétienne, évangélique et noblement spiritualist
urnagerait, et non pas même à la longue, mais presque aussitôt. Cette
doctrine
est en tout l’opposé de celle de l’État. Il y a l
que l’homme public, et en n’envisageant dans cet homme public que les
doctrines
et les théories64. Il est ainsi arrivé à des juge
de son parti et de ses amis ; Benjamin Constant se raille plutôt des
doctrines
et de la sottise humaine : leur masque, à tous de
ction idéaliste ou la direction naturaliste de la morale, — celle des
doctrines
de la dignité ou celle des doctrines de l’utilité
aliste de la morale, — celle des doctrines de la dignité ou celle des
doctrines
de l’utilité, celle de Rousseau et de Kant ou cel
connaître : la théorie de la souveraineté nationale, substituant à la
doctrine
de l’État-maître la doctrine de l’État-serviteur,
souveraineté nationale, substituant à la doctrine de l’État-maître la
doctrine
de l’État-serviteur, est pleinement acceptée en F
rsonne humaine y comptait pour bien peu de chose25. Et l’histoire des
doctrines
a confirmé sur ce point l’histoire des institutio
rc Aurèle ne pouvait manquer d’exercer, tant par l’exemple que par la
doctrine
, une large influence égalitaire33. De fait, tandi
s a pas semblé se manifester partout : suivant sa trace à travers les
doctrines
et les institutions, nous l’avons rencontrée, non
rapidité. Rien ne s’y débite. L’Université divisée n’a pas d’unité de
doctrine
et renvoie ses disciples désemparés. J’en veux pr
la Revue spirite et il n’était que l’introducteur en France de cette
doctrine
, déjà professée en Amérique, mais si exploitée pa
. Son enquête, publiée à Londres vers 1880, ramène l’attention sur la
doctrine
d’Allan Kardec, qu’un événement impressionnant va
les manifestations de l’Au-delà et de porter des coups redoublés à la
doctrine
du matérialisme officiel. C’est en s’autorisant d
éné d’affranchissement qui leur vient d’une autre source, du fond des
doctrines
libertaires. * * * C’est en 1864 que commence l’
jorité des intellectuels est sinon acquise, du moins sympathique à la
doctrine
anarchiste et l’effet s’en produit par l’ouvertur
un peu pédantesque de jeunes disciples qui se sont mis à chercher une
doctrine
arrêtée dans les charmantes fantaisies philosophi
bataille de la vie, la lutte vaut mieux que le prix de la lutte. Les
doctrines
sont peu de choses, comparées aux sentiments et à
. Aristote, s’il eût assisté aux débats de l’école, eût répudié cette
doctrine
étroite ; il eût été du parti de la science progr
Schopenhauer lnfluence de Schopenhauer : discussion autour de sa
doctrine
dénaturée par ses disciples. Dans le courant d
dans cette tendance de l’esprit contemporain. Les uns apportaient sa
doctrine
comme le dernier résidu de la suprême sagesse ; l
théorie de la douleur. Le pessimisme est plutôt un état d’âme qu’une
doctrine
. Le premier problème que soulève l’étude de Sc
le pessimisme sera pour le moins autant un état psychologique qu’une
doctrine
; comme état psychologique, il variera avec chacu
e doctrine ; comme état psychologique, il variera avec chacun ; comme
doctrine
, il manquera de fixité. Chacun des disciples de S
e réconcilie avec l’idée du Bien. Développement de cette partie de sa
doctrine
par M. de Hartmann. C’est ici le moment d’étab
sister, entre le pessimisme et la misanthropie. Le pessimisme est une
doctrine
inoffensive et triste, plus spéculative que prati
. Plus encore que le pessimisme, elle est un état d’âme plutôt qu’une
doctrine
; mais elle est malsaine et s’explique presque to
infiniment variées, la même idée, laquelle est elle-même l’axe de la
doctrine
morale de Schopenhauer, à savoir que la souffranc
ient rejoindre le mysticisme : parties de points différents, les deux
doctrines
se rencontrent au terme de leur périple et s’unis
à montrer que le pessimisme, tel qu’il l’a professé, n’est point une
doctrine
d’aveugle découragement ; qu’au contraire, dégagé
rni ses adeptes. Comme l’a fort bien remarqué M. Challemel-Lacour, sa
doctrine
est apparue à une époque de foi, d’espérance, on
s satisfaire qu’au prix d’une satiété fastidieuse. Ils acceptèrent sa
doctrine
et ils en exagérèrent la misanthropie latente. Ce
les clients les plus dévoués du sage de Francfort ont été amenés à sa
doctrine
par des causes tout extérieures ; encore ne l’ont
n’est pas scientifique et ne nous apporte aucun renseignement sur la
doctrine
de l’hérédité ; mais elle est littéraire et fait
lle est littéraire et fait pénétrer en nous les conséquences de cette
doctrine
, qui sont la négation radicale de la liberté et d
ne à ses personnages. Cette inconséquence prouve l’insuffisance de la
doctrine
qui l’a provoquée. Il faut rendre à M. Zola ce
i l’on y regarde de près, c’était peut-être aussi significatif que la
doctrine
nouvelle. Quoi qu’il en soit, arrivé au terme de
’on puisse, en les connaissant, dominer le bien et le mal » ; mais sa
doctrine
démontrait clairement que nous poursuivons le bie
ur. Cependant, M. Zola ne se contente pas d’être inconséquent avec sa
doctrine
« scientifique » en haïssant les personnages vici
deviner ses sympathies intimes, inconséquent une fois de plus avec sa
doctrine
qui devrait l’entourer d’une triple cuirasse d’im
et un jongleur d’idées ! Dans ce temps de consciences troublées et de
doctrines
contradictoires, attache-toi, comme à la branche
de quelque métaphysique. Nul, pas même Aristippe, n’a pu formuler une
doctrine
des mœurs, c’est-à-dire proposer aux hommes une r
ont des espèces de « traités », dont le but unique est de répandre la
doctrine
morale et religieuse à laquelle il s’est rallié ;
. Le mysticisme, en effet, comme le mot l’indique, a toujours été une
doctrine
transcendantale. Les mystiques, surtout les mysti
le de l’exposer sans détails et dans ses grandes lignes seulement, la
doctrine
morale de Tolstoï. Elle est d’une extrême simplic
mes qui rient et qui raillent sur chaque point, pris isolément, de la
doctrine
, ils en reconnaîtraient peut-être la justesse. Qu
existe, et qu’il faut compter avec elle. Aussi, tout en acceptant la
doctrine
, ils l’atténuent. Ils lui enlèvent ce qu’elle a d
es mobiles de l’infortunée. Je pense qu’il faut les chercher dans les
doctrines
désolantes dont se nourrissent ces pauvres femmes
ent égoïste et borné. Aussi, M. de Vogüé rompt-il franchement avec la
doctrine
de l’art pour l’art, qui fut certainement la doct
chement avec la doctrine de l’art pour l’art, qui fut certainement la
doctrine
littéraire favorite de la période actuelle, celle
hé jette la première pierre ! Mais il est inconcevable qu’on érige en
doctrine
ce qui doit rester une exception, un délassement
rigoureux, suffisent à peine, ainsi réunis, à exprimer ma pensée. La
doctrine
devait être d’autant plus contagieuse que, comme
ppée de formules exquises, qu’elle a adopté toute la terminologie des
doctrines
traditionnelles et joue plus agréablement avec de
elles font son danger. En soi, en effet, le pessimisme est plutôt une
doctrine
saine et forte : M. Brunetière l’a démontré quelq
Schopenhauer avait jusqu’à un certain point résisté aux dangers de sa
doctrine
: ses élèves, surtout ceux qui se sont chargés de
ait pas longtemps le satisfaire, a produit aussi le naturalisme : une
doctrine
mal mûrie, faite d’un grand besoin de certitude e
! Pour être complet, il n’aurait pas fallu se contenter d’exposer les
doctrines
négatives telles qu’elles se dégagent des œuvres
ermettent au critique de les rapprocher, comme ils ont permis à leurs
doctrines
d’exercer ensemble une action parallèle. D’abord,
rt peut lui prêter Cette indifférence les conduit naturellement à la
doctrine
de l’art pour l’art, qu’ils acceptent et professe
ajorités se jettent, ont compris ou pressenti les dangers sociaux des
doctrines
qui triomphaient. Ils ont alors cherché à les con
. À peine est-il besoin d’ajouter qu’ils sont unanimes à repousser la
doctrine
de l’art pour l’art, que même, non contents de la
cette réaction a été si vite qu’elle risque déjà d’emporter, avec les
doctrines
corruptrices qu’elle a trouvées sur son chemin, q
de ces périodes d’ordre solide qui reposent et se prolongent sur des
doctrines
vivaces, sur des caractères stables, comme fut, p
▲