Chapitre II : Variations des
espèces
à l’état de nature I. Variabilité. — II. Diffé
ité. — II. Différences individuelles. — III. Genres polymorphes. — IV
Espèces
douteuses. — V. Les espèces communes, très répand
iduelles. — III. Genres polymorphes. — IV Espèces douteuses. — V. Les
espèces
communes, très répandues dans une vaste station,
répandues dans une vaste station, sont les plus variables. — VI. Les
espèces
des plus grands genres varient plus que les espèc
iables. — VI. Les espèces des plus grands genres varient plus que les
espèces
de genres moins importants. — VII. Beaucoup d’esp
nt plus que les espèces de genres moins importants. — VII. Beaucoup d’
espèces
des plus grands genres ressemblent à des variétés
plus discuter ici les diverses définitions qu’on a données du terme d’
espèce
. Aucune de ces définitions n’a encore satisfait p
uraliste sait au moins vaguement ce qu’il entend quand il parle d’une
espèce
. En général, cette expression sous-entend l’éléme
d’un organe, déviation généralement nuisible, ou au moins inutile à l’
espèce
. Quelques auteurs emploient le mot de variation,
erfectionnements successifs. Je n’ai pu trouver un seul exemple d’une
espèce
sauvage présentant des particularités d’organisat
on peut supposer une souche identique, comme représentants de la même
espèce
dans une même localité fermée. Personne ne suppos
ocalité fermée. Personne ne suppose que tous les individus de la même
espèce
soient jetés absolument dans le même moule. Or, c
la classification, varient quelquefois parmi des individus de la même
espèce
. Les naturalistes les plus expérimentés seraient
de, et qui les comparent chez un grand nombre de spécimens de la même
espèce
. Qui aurait jamais supposé, par exemple, que les
grand ganglion central d’un insecte, fussent variables dans une même
espèce
? Qui n’aurait cru au moins que des changements d
r ranger empiriquement, au nombre des caractères importants de chaque
espèce
, tous ceux qui, chez cette espèce, sont invariabl
des caractères importants de chaque espèce, tous ceux qui, chez cette
espèce
, sont invariables : or, en partant de ce principe
ux parler de ces genres qu’on a nommés protéiques ou polymorphes. Les
espèces
qui les composent présentent des différences extr
ralistes sont d’accord sur les formes qu’on doit considérer comme des
espèces
et sur celles qu’on doit ranger parmi les simples
usques Brachiopodes. Dans la plupart des genres polymorphes, quelques
espèces
ont un caractère fixe et défini. Les genres qui s
des variations de structure qui, n’étant ni utiles, ni nuisibles aux
espèces
qu’elles ont affectées, n’ont pas été rendues déf
par sélection naturelle, ainsi que nous l’expliquerons bientôt. IV.
Espèces
douteuses. — Mais les formes les plus importantes
us sont celles qui, possédant jusqu’à un certain degré le caractère d’
espèces
, présentent cependant de profondes ressemblances
rmédiaires, que les naturalistes hésitent à les ranger comme autant d’
espèces
distinctes. Nous avons toutes raisons pour croire
, autant que nous en pouvons juger, aussi longtemps que de véritables
espèces
. Dans la pratique, quand un naturaliste peut reli
formes présentant des caractères intermédiaires, il donne le titre d’
espèce
à la plus commune, même parfois à la première déc
que lorsqu’il s’agit de déterminer si une forme doit prendre le nom d’
espèce
ou de variété, l’opinion des naturalistes doués d
s bien marquées et bien connues qui n’aient été rangées au nombre des
espèces
au moins par quelques juges compétents. On ne sau
surprenant de formes ont été rangées par les uns comme de véritables
espèces
et par d’autres comme de pures variétés. M. H. C.
étés, mais qui ont toutes été mises par quelques botanistes au rang d’
espèces
. Encore a-t-il omis beaucoup de variétés de peu d
p de variétés de peu d’importance, qui, néanmoins, sont rangées comme
espèces
par certains botanistes, et il a entièrement omis
mis plusieurs genres polymorphes. Dans les genres qui comprennent les
espèces
les plus polymorphes, M. Babington compte 251 esp
comprennent les espèces les plus polymorphes, M. Babington compte 251
espèces
, et M. Bentham seulement 112 : c’est une différen
ré de la faculté de locomotion, les formes douteuses, mises au rang d’
espèces
par un zoologiste et de variétés par un autre, se
autres, ont été rangés par quelque naturaliste éminent comme autant d’
espèces
bien définies, et par un autre comme des variétés
appé du vague et de l’arbitraire de toutes les distinctions entre les
espèces
et les variétés. Sur les îlots du petit groupe de
rage de M. Wollaston, mais qui certainement seraient élevés au rang d’
espèces
par beaucoup d’entomologistes. Même l’Irlande a q
énéralement comme des variétés, mais qui ont été considérés comme des
espèces
par quelques zoologistes. Plusieurs des ornitholo
écossais (Tetrao Scoticus) seulement comme une race bien marquée de l’
espèce
norvégienne, tandis que le plus grand nombre en f
de l’espèce norvégienne, tandis que le plus grand nombre en fait une
espèce
bien distincte et particulière à la Grande-Bretag
dispose beaucoup de naturalistes à les ranger l’une et l’autre comme
espèces
distinctes. Mais quelle distance doit être regard
contre en deux contrées éloignées, ils vont jusqu’à supposer que deux
espèces
distinctes sont cachées sous le même vêtement. En
par des juges hautement compétents ont si parfaitement le caractère d’
espèces
, qu’elles sont rangées comme telles par d’autres
si des formes qui diffèrent si légèrement sont à juste titre appelées
espèces
ou variétés, avant qu’une définition de ces terme
étés, au surplus, sont souvent rangées par quelques auteurs comme des
espèces
. Ainsi, combien le Chêne commun n’a-t-il pas été
ment étudié ! Cependant un auteur allemand fait plus d’une douzaine d’
espèces
d’autant de formes presque universellement consid
que le Chêne à fleurs pédonculées et le Chêne sessiliflore sont deux
espèces
bien distinctes selon les uns, deux simples varié
es formes douteuses. Il aura une tendance générale à faire beaucoup d’
espèces
, parce que, comme l’amateur de Pigeons ou d’autre
le à la fin de déterminer à peu près ce qu’il doit appeler variété ou
espèce
; mais il n’y parviendra qu’à la condition d’adme
ertain qu’aucune ligne de démarcation n’a encore été tracée entre les
espèces
et les sous-espèces, c’est-à-dire les formes qui,
tes, s’approchent beaucoup, mais n’arrivent pas tout à fait au rang d’
espèces
, de même qu’entre celles-ci et les variétés bien
ces dernières enfin comme formant le passage aux sous-espèces et aux
espèces
. La transition d’un degré de différence à un autr
s d’une variété, qui passe d’un état très peu différent de celui de l’
espèce
mère à une forme qui en diffère davantage, à la s
rois donc qu’une variété bien tranchée doit être considérée comme une
espèce
naissante ; mais on ne pourra juger de la valeur
Il n’est pas besoin, du reste, de supposer que toutes les variétés ou
espèces
naissantes atteignent nécessairement le rang d’es
es variétés ou espèces naissantes atteignent nécessairement le rang d’
espèce
. Elles peuvent s’éteindre à l’état naissant ou pe
adère. Si une variété vient à s’accroître jusqu’à excéder en nombre l’
espèce
mère, celle-ci prendra alors le rang de variété e
mère, celle-ci prendra alors le rang de variété et la variété celui d’
espèce
. Une variété peut même arriver à exterminer et à
’espèce. Une variété peut même arriver à exterminer et à supplanter l’
espèce
mère, ou l’une et l’autre peuvent coexister comme
supplanter l’espèce mère, ou l’une et l’autre peuvent coexister comme
espèces
indépendantes. Mais nous reviendrons plus loin su
ce sujet. Il suit de ces observations, que je ne considère le terme d’
espèce
que comme arbitrairement appliqué pour plus de co
oins arbitrairement et encore par pute convenance de langage. V. Les
espèces
dominantes, c’est-à-dire les espèces communes, tr
e convenance de langage. V. Les espèces dominantes, c’est-à-dire les
espèces
communes, très répandues sur un vaste habitat, so
ir d’intéressants résultats, concernant la nature et les rapports des
espèces
qui varient le plus, en dressant des tables de to
de ces difficultés, ainsi que les tables des nombres proportionnels d’
espèces
variables. Je suis, du reste, autorisé par le doc
is, de plus, mes tables prouvent que, dans toute contrée limitée, les
espèces
les plus communes, c’est-à-dire les plus nombreus
plus communes, c’est-à-dire les plus nombreuses en individus, et les
espèces
les plus répandues dans leur contrée natale, circ
mention particulière dans des ouvrages de botanique. Ce sont donc les
espèces
les plus florissantes ou, comme on pourrait les a
espèces les plus florissantes ou, comme on pourrait les appeler, les
espèces
dominantes, c’est-à-dire celles qui ont une grand
le plus souvent ces variétés bien marquées que je considère comme des
espèces
naissantes. La théorie aurait pu prévoir ces résu
ement à lutter avec les autres habitants de la même contrée ; or, les
espèces
qui sont déjà dominantes ont aussi plus de chance
iée en quelque degré, hérite cependant des avantages qui assurent à l’
espèce
mère la domination sur les autres espèces ses com
s avantages qui assurent à l’espèce mère la domination sur les autres
espèces
ses compatriotes. Ces observations sur la prédomi
es espèces ses compatriotes. Ces observations sur la prédominance des
espèces
ne s’appliquent, on doit le comprendre, qu’aux fo
t à peu près les mêmes habitudes de vie. Ainsi, ce n’est qu’entre les
espèces
d’un même groupe qu’il faut établir la comparaiso
lus nombreux en individus et plus généralement répandu ; mais, si une
espèce
de Conferve ou de Champignon surpasse ses alliés
onferve ou de Champignon surpasse ses alliés à tous égards, ce sera l’
espèce
dominante de sa classe. VI. Les espèces des plus
liés à tous égards, ce sera l’espèce dominante de sa classe. VI. Les
espèces
des plus grands genres varient partout plus que l
VI. Les espèces des plus grands genres varient partout plus que les
espèces
de genres moins riches. — Si l’on divise en deux
l’autre tous les genres de moindre importance, un nombre supérieur d’
espèces
dominantes très communes et très répandues se tro
it encore pu le présumer d’avance : ce seul fait qu’un grand nombre d’
espèces
du même genre habitent une même contrée, montre q
genres, c’est-à-dire parmi ceux qui renferment le plus grand nombre d’
espèces
, un nombre proportionnellement plus grand d’espèc
us grand nombre d’espèces, un nombre proportionnellement plus grand d’
espèces
dominantes. Mais tant de causes tendent à contreb
n’a que peu ou point de rapport à la grandeur des genres auxquels ces
espèces
appartiennent. De plus, des plantes placées très
ns de la distribution géographique. En partant de ce principe que les
espèces
ne sont que des variétés bien tranchées et bien d
és bien tranchées et bien définies, je fus conduit à supposer que les
espèces
des plus grands genres en chaque contrée doivent
trée doivent aussi présenter un plus grand nombre de variétés que les
espèces
des plus petits genres ; car, partout où un grand
es espèces des plus petits genres ; car, partout où un grand nombre d’
espèces
étroitement alliées, c’est-à-dire du même genre,
c’est-à-dire du même genre, ont été formées, beaucoup de variétés ou
espèces
naissantes doivent, en règle générale, être actue
on peut s’attendre à trouver beaucoup de jeunes plants ; où plusieurs
espèces
d’un genre se sont formées par voie de variation,
ncore actuellement favorables. D’autre part, si l’on considère chaque
espèce
comme le produit d’un acte spécial de création, i
e un plus grand nombre de variétés en un groupe renfermant beaucoup d’
espèces
, qu’en un groupe qui en renferme peu. Pour vérifi
tères de deux districts en deux masses à peu près égales, plaçant les
espèces
des plus grands genres d’un côté et celles des pl
e l’autre. Il s’est invariablement trouvé une proportion supérieure d’
espèces
variables du côté des plus grands genres. De plus
’espèces variables du côté des plus grands genres. De plus, parmi les
espèces
des grands genres qui présentent des variétés, le
ces variétés est invariablement supérieur à celui que renferment les
espèces
des plus petits genres. Ces résultats restent enc
lorsque tous les plus petits genres qui ne renferment qu’une à quatre
espèces
, sont retranchés des tables. Ces faits ont une ha
tables. Ces faits ont une haute signification, s’il est vrai que les
espèces
ne soient que des variétés permanentes et bien tr
ariétés permanentes et bien tranchées : car, partout où de nombreuses
espèces
du même genre ont été formées, c’est-à-dire parto
e nous avons toute raison pour croire que le procédé de formation des
espèces
nouvelles est extrêmement lent. Tel est certainem
trêmement lent. Tel est certainement le cas, si les variétés sont des
espèces
naissantes ; car mes tables établissent clairemen
es établissent clairement qu’en règle générale, partout où beaucoup d’
espèces
d’un genre se sont formées, les mêmes espèces pré
, partout où beaucoup d’espèces d’un genre se sont formées, les mêmes
espèces
présentent un nombre de variétés ou d’espèces nai
sont formées, les mêmes espèces présentent un nombre de variétés ou d’
espèces
naissantes au-dessus de la moyenne. Ce n’est pas
ellement très variable et en train d’accroître ainsi le nombre de ses
espèces
, ou qu’aucun petit genre ne soit en voie de varia
il nous est nécessaire de constater, c’est que, partout où beaucoup d’
espèces
d’un genre ont été formées, beaucoup se forment g
t encore, et il y a là pour nous un solide argument. VII. Beaucoup d’
espèces
des plus grands genres ressemblent à des variétés
circonscrites. — Il est encore d’autres rapports importants entre les
espèces
des grands genres et les variétés qui en dépenden
point de critère infaillible à l’aide duquel on puisse distinguer les
espèces
des variétés bien tranchées, et que, dans les cas
tes pour donner à l’une d’entre elles ou à toutes les deux le titre d’
espèce
. La somme de ces différences est donc l’un des pl
nous ayons pour décider si deux formes doivent être considérées comme
espèces
ou comme variétés. Maintenant Fries a remarqué pa
sectes, que dans les grands genres la somme des différences entre les
espèces
est parfois excessivement petite. J’ai essayé d’é
près mûr examen, ils ont confirmé ces résultats. Sous ce rapport, les
espèces
des plus grands genres ont donc plus de ressembla
re que dans les genres les plus riches, où un nombre de variétés ou d’
espèces
naissantes, supérieur à la moyenne, sont en train
tes, supérieur à la moyenne, sont en train de se former, beaucoup des
espèces
déjà formées ressemblent encore en une certaine m
es par une somme de différence au-dessous de la moyenne. De plus, les
espèces
des grands genres ont entre elles les mêmes rappo
t entre elles les mêmes rapports que les variétés dans chacune de ces
espèces
. Aucun naturaliste ne prétend que toutes les espè
s chacune de ces espèces. Aucun naturaliste ne prétend que toutes les
espèces
d’un genre soient également distinctes les unes d
encore. Ainsi que Fries l’a remarqué avec raison, de petits groupes d’
espèces
sont généralement pressés comme des satellites au
ces sont généralement pressés comme des satellites autour de quelques
espèces
centrales. Et que sont les variétés, sinon des gr
, il y a une distinction importante à faire entre les variétés et les
espèces
: c’est que la somme des différences entre les va
tre les variétés, qu’on les compare, soit entre elles, soit avec leur
espèce
mère, est beaucoup moins grande qu’entre les espè
s, soit avec leur espèce mère, est beaucoup moins grande qu’entre les
espèces
du même genre. Mais lorsque nous en viendrons à d
accroître pour former les différences plus profondes qui séparent les
espèces
. Il est un autre point digne d’attention. Les var
ariété se trouverait-elle avoir une extension supérieure à celle de l’
espèce
qu’on lui attribue pour souche, que leurs dénomin
oquement inverses. Mais il y a aussi quelque raison de croire que les
espèces
qui sont très voisines de quelque autre, et qui s
ement dressé, soixante-trois plantes qu’on y trouve mentionnées comme
espèces
, mais qu’il considère comme si semblables à d’aut
es comme espèces, mais qu’il considère comme si semblables à d’autres
espèces
voisines, que leur valeur spécifique est fort dou
nes, que leur valeur spécifique est fort douteuse. Ces soixante-trois
espèces
s’étendent en moyenne sur 6.9 des provinces ou di
pour telles, qui s’étendent sur 7.7 de ces provinces, tandis que les
espèces
dont ces variétés dépendent s’étendent sur 14.3 p
plus élevée que ces formes alliées que M. Watson m’a indiquées comme
espèces
douteuses, mais qui sont presque universellement
considérées par des botanistes anglais comme de bonnes et véritables
espèces
. VIII. Résumé. — Finalement, les variétés ne peu
Finalement, les variétés ne peuvent avec certitude se distinguer des
espèces
, excepté : premièrement, par la découverte de for
ences considérée comme nécessaire pour donner à deux formes le rang d’
espèces
est complétement indéfinie. Dans les genres qui p
est complétement indéfinie. Dans les genres qui possèdent un nombre d’
espèces
au-dessus de la moyenne, en quelque contrée que c
’espèces au-dessus de la moyenne, en quelque contrée que ce soit, les
espèces
de ces genres renferment un nombre de variétés au
de variétés aussi supérieur à la moyenne. Dans les grands genres, les
espèces
sont susceptibles d’être étroitement, mais inégal
es unes aux autres, formant de petits amas autour de certaines autres
espèces
. Les espèces étroitement alliées à d’autres espèc
utres, formant de petits amas autour de certaines autres espèces. Les
espèces
étroitement alliées à d’autres espèces paraissent
certaines autres espèces. Les espèces étroitement alliées à d’autres
espèces
paraissent avoir une extension restreinte. Sous c
aissent avoir une extension restreinte. Sous ces divers rapports, les
espèces
des grands genres présentent de fortes analogies
variétés. Et nous pouvons concevoir aisément ces analogies, si chaque
espèce
a existé d’abord comme variété, et s’est formée d
e la même manière ; elles sont inexplicables, au contraire, si chaque
espèce
a été créée séparément. Nous avons vu aussi que c
ue espèce a été créée séparément. Nous avons vu aussi que ce sont les
espèces
les plus florissantes, c’est-à-dire dominantes, d
iétés, ainsi que nous le verrons plus tard, tendent à se convertir en
espèces
nouvelles et distinctes. Les plus grands genres o
ns ici comme renseignements : « Plusieurs variétés bien distinctes ou
espèces
douteuses méritent une attention particulière ; c
généralement adoptée parmi les naturalistes que les croisements entre
espèces
distinctes sont frappés de stérilité en vertu d’u
premier abord, cette opinion semble, en effet, très probable, car les
espèces
qui vivent dans une même contrée demeureraient bi
d’autres différences peu connues successivement développées chez les
espèces
de même genre et de même origine121. Presque tous
es : c’est d’une part la stérilité d’un premier croisement entre deux
espèces
bien distinctes, et d’autre part la stérilité des
stérilité des hybrides qui proviennent de ce premier croisement. Des
espèces
pures ont leurs organes reproducteurs en parfait
ce qu’on préjugeait en général que la stérilité des croisements entre
espèces
différentes était une loi absolue dont les causes
s, est d’aussi grande importance pour ma théorie que la stérilité des
espèces
; car ces deux ordres de phénomènes si opposés se
ligne de démarcation large et bien définie entre les variétés et les
espèces
. Examinons d’abord la stérilité des croisements e
et les espèces. Examinons d’abord la stérilité des croisements entre
espèces
différentes, ainsi que la stérilité de leur desce
la conviction profonde que le plus généralement les croisements entre
espèces
sont jusqu’à un certain point frappés de stérilit
ux formes, considérées par le plus grand nombre des auteurs comme des
espèces
distinctes, étaient parfaitement féconds, il a, e
compare toujours le nombre maximum des graines produites par les deux
espèces
croisées et par leur postérité hybride, avec le n
par leur postérité hybride, avec le nombre moyen produit par les deux
espèces
pures à l’état de nature. Mais il me semble qu’il
à la fécondité d’une plante. La preuve en est que sur une vingtaine d’
espèces
que Gærtner a fécondées artificiellement avec leu
de même permis de douter que les croisements entre beaucoup d’autres
espèces
soient réellement aussi stériles que Gærtner para
— Il est certain, d’une part, que la stérilité des croisements entre
espèces
diverses varie considérablement en degré et dispa
egré et disparaît insensiblement ; d’autre part, que la fécondité des
espèces
pures est très aisément affectée par diverses cir
les résultats absolument contradictoires obtenus à l’égard des mêmes
espèces
, par deux observateurs aussi inexpérimentés que K
es, au sujet de certaines formes douteuses, que les uns rangent comme
espèces
et les autres comme variétés d’après les expérien
i la fécondité ne peuvent fournir le moyen de distinguer sûrement les
espèces
des variétés : les preuves qu’on en peut tirer s’
réservant avec soin de tout croisement avec l’une ou l’autre des deux
espèces
pures, il affirme cependant que jamais leur fécon
élevés en grand nombre par les expérimentateurs ; et, comme les deux
espèces
mères, ou d’autres hybrides alliés, croissent gén
ire que la loi universelle de la nature est que tout croisement entre
espèces
distinctes soit frappé d’un certain degré de stér
plus parfaite qu’à l’ordinaire dans un premier croisement entre deux
espèces
distinctes. Cet exemple m’amène à rappeler ce fai
Cet exemple m’amène à rappeler ce fait singulier que, dans certaines
espèces
de Lobélies ou de quelques autres genres, il se r
qui peuvent beaucoup plus aisément être fécondés par le pollen d’une
espèce
distincte que par leur propre pollen. Tous les in
que par leur propre pollen. Tous les individus de presque toutes les
espèces
d’Hippéastrum sont en ce cas. On a constaté que c
aient des graines lorsqu’elles étaient fécondées avec du pollen d’une
espèce
distincte, quoique complétement stériles sous l’a
bien que celui-ci fût en parfait état et capable de féconder d’autres
espèces
. De sorte que certains sujets, ou même tous les i
De sorte que certains sujets, ou même tous les individus de certaines
espèces
, se prêtent mieux à un croisement qu’à la féconda
urement fécondée avec le pollen d’un hybride descendu de trois autres
espèces
distinctes. « Les ovaires des trois premières fle
nt sains et actifs sous l’action réciproque des ovules et du pollen d’
espèces
distinctes ; cependant, comme chacun de ces deux
peut dépendre la plus ou moins grande fécondité des croisements entre
espèces
, en comparaison de la fécondité des mêmes espèces
s croisements entre espèces, en comparaison de la fécondité des mêmes
espèces
naturellement fécondées par elles-mêmes. Les expé
nt cependant quelque attention. Il est notoire que presque toutes les
espèces
de Pelargonium, Fuchsia, Calceolaria, Pétunia, Rh
rme qu’un hybride de Calceolaria integrifolia et C. plantaginea, deux
espèces
aussi dissemblables qu’il est possible par leurs
générales, « s’est reproduit aussi régulièrement que si c’eût été une
espèce
naturelle des montagnes du Chili. » J’ai voulu m’
é croisé avec neuf autres Passereaux ; mais, comme aucune de ces neuf
espèces
ne se reproduit en réclusion, nous ne pouvons nou
lle toujours croissant. Si l’on agissait de même à l’égard de quelque
espèce
pure que ce soit, ayant, pour une cause ou pour u
, sont parfaitement féconds123. Il est certain que ces deux dernières
espèces
, c’est-à-dire le Faisan commun et le Faisan à col
sulter d’expériences faites récemment sur une grande échelle, que des
espèces
aussi distinctes que le Lièvre et le Lapin, si l’
s hybrides entre l’Oie commune et l’Oie de Chine (A. cygnoïdes), deux
espèces
si différentes qu’on les range généralement comme
seule couvée, qui se trouvaient être ainsi les petits enfants de deux
espèces
pures. Dans l’Inde, ces Oies de races croisées do
garde pour leur produit, dans des endroits où ni l’une ni l’autre des
espèces
mères n’existent, il faut nécessairement qu’elles
la plupart de nos animaux domestiques descendent de deux ou plusieurs
espèces
sauvages mélangées par voie de croisement. À ce p
ces sauvages mélangées par voie de croisement. À ce point de vue, les
espèces
originales devraient avoir produit tout d’abord d
ensemble ; et l’analogie m’oblige à douter beaucoup que les diverses
espèces
originelles aient tout d’abord croisé librement e
é communiqués par. M. Blyth, qu’ils doivent être considérés comme des
espèces
distinctes. En tout cas, si l’on suppose à la plu
er de croire à la stérilité presque universelle des croisements entre
espèces
animales distinctes, ou considérer la stérilité,
ossible, de déterminer jusqu’à quel point ces règles s’appliquent aux
espèces
animales ; et, considérant combien nous savons pe
que. Depuis ce zéro absolu de la fécondité, le pollen des différentes
espèces
du même genre déposé sur le stigmate de l’une de
férentes espèces du même genre déposé sur le stigmate de l’une de ces
espèces
produit un nombre de graines qui varie de manière
seule graine féconde, même sous l’action du pollen de l’une des deux
espèces
pures. Mais quelquefois on voit en pareil cas se
e que la fleur de l’hybride, ainsi à demi fécondée par l’une des deux
espèces
mères, se flétrit un peu plus tôt qu’elle n’eût f
érable jusqu’à une fécondité parfaite. Les hybrides provenant de deux
espèces
très difficiles à croiser et dont les premiers cr
n’est pas d’une stricte exactitude. On connaît beaucoup d’exemples d’
espèces
qui peuvent être croisées avec la plus grande fac
ndant ces hybrides sont absolument stériles. D’autre côté, il y a des
espèces
qu’on ne peut, au contraire, que très rarement ré
isément affectée par des conditions de vie défavorables que celle des
espèces
pures. Mais le degré de cette fécondité est égale
; car elle n’est pas toujours égale chez tous les individus des mêmes
espèces
, croisés dans les mêmes conditions, et paraît dép
, on entend les ressemblances de structure et de constitution que les
espèces
ont entre elles, et plus particulièrement dans de
ute importance physiologique qui, en général, diffèrent peu entre des
espèces
proche-alliées. Or la fécondité des premiers croi
spèces proche-alliées. Or la fécondité des premiers croisements entre
espèces
distinctes et celle des hybrides qui en provienne
évidemment du fait que jamais on n’a vu obtenir d’hybrides entre des
espèces
rangées par nos classifications en des familles d
s par nos classifications en des familles distinctes ; tandis que des
espèces
très proche-alliées peuvent, en général, être cro
une exacte corrélation. On pourrait citer une multitude d’exemples d’
espèces
très voisines qu’on n’a que très rarement ou même
amais pu faire se reproduire ensemble ; tandis que, d’autre part, des
espèces
très tranchées s’allient avec la plus grande faci
dans la même famille un genre, tel que les Dianthus, dont beaucoup d’
espèces
croisent très aisément, et un autre genre, tel qu
persévérants n’ont jamais pu obtenir un seul hybride, même entre les
espèces
les plus semblables. Dans les limites du même gen
u même genre, on rencontre les mêmes différences. Ainsi, les diverses
espèces
de Nicotiana (tabac) ont peut-être donné lieu à d
à ses expériences, et se refusait à féconder non moins de huit autres
espèces
de Nicotiana ou à se laisser féconder par elles.
fférences apparentes, ou du moins reconnaissables, qui empêchent deux
espèces
de pouvoir s’allier. On peut prouver que des plan
uefois être facilement croisées. Par croisement réciproque entre deux
espèces
, il faut entendre, par exemple, le cas où, d’une
é avec une ânesse, et, d’autre part, un âne avec une jument. Ces deux
espèces
peuvent alors être dites réciproquement croisées.
grandes inégalités possibles dans la facilité avec laquelle diverses
espèces
se prêtent aux croisements réciproques. Ces inéga
la plus haute importance ; car elles prouvent que la faculté que deux
espèces
possèdent de pouvoir s’allier peut être complétem
btenus par un croisement réciproque, bien que provenant de deux mêmes
espèces
, chacune d’elles ayant alternativement fourni le
t. Quelques autres lois ont encore été établies par Gærtner. Quelques
espèces
ont une facilité remarquable à se croiser avec d’
s ont une facilité remarquable à se croiser avec d’autres ; certaines
espèces
d’un même genre ont le don particulier de léguer
efois des individus exceptionnels, très ressemblants à l’une des deux
espèces
pures ; et, comme dans le cas précédent, ils sont
urs ressemblances extérieures avec l’un ou l’autre de leurs parents d’
espèce
pure. IV. La stérilité n’est pas une propriété s
ides, nous voyons que, lorsque des formes, considérées comme autant d’
espèces
bien distinctes, sont croisées, leur fécondité cr
s ; et qu’enfin la facilité d’opérer un premier croisement entre deux
espèces
quelconques ne dépend pas toujours de leurs affin
ar les résultats si différents des croisements réciproques entre deux
espèces
; car, selon que l’une ou l’autre fournit le père
complexes et si singulières indiquent-elles que les croisements entre
espèces
ont été frappés de stérilité, afin d’empêcher que
-il si différent, selon que le croisement a lieu entre telle ou telle
espèce
? N’est-il pas également important d’empêcher le
-il variable, par prédisposition innée, chez les individus de la même
espèce
? Pourquoi quelques espèces croisent-elles avec f
ition innée, chez les individus de la même espèce ? Pourquoi quelques
espèces
croisent-elles avec facilité, et cependant ne pro
et cependant ne produisent que des hybrides stériles, quand d’autres
espèces
, très difficiles à croiser, produisent des hybrid
e dans les résultats des croisements réciproques entre les deux mêmes
espèces
? Enfin, on peut demander pourquoi la production
t demander pourquoi la production d’hybrides est possible ? Douer les
espèces
de la faculté toute spéciale de produire des hybr
inconnues, affectant principalement le système reproducteur des deux
espèces
croisées. Ces différences sont d’une nature si pa
t si bien déterminée que, dans les croisements réciproques entre deux
espèces
, il arrive souvent que l’élément mâle de l’une ag
eux organisations génératrices et non une propriété spéciale dont les
espèces
seraient douées. La faculté que possèdent certain
re deux arbres appartenant à des familles distinctes ; tandis que des
espèces
proche-alliées, et les variétés de la même espèce
s ; tandis que des espèces proche-alliées, et les variétés de la même
espèce
, se prêtent ordinairement, mais non pas invariabl
même famille aient été greffés l’un sur l’autre, en d’autres cas des
espèces
du même genre se refusent à une semblable opérati
ré comme un genre distinct, que sur la Pomme, qu’on regarde comme une
espèce
du même genre. Même les diverses variétés de la P
Gærtner a trouvé des différences individuelles innées dans les mêmes
espèces
sous le rapport de la faculté de croisement, de m
même aussi Sageret pense que les différents individus des deux mêmes
espèces
ne se prêtent pas également bien à la greffe ; et
oin d’être égale chez les deux couples d’éléments sexuels, aussi deux
espèces
réciproquement greffées l’une sur l’autre ne réus
ts et impuissants, est tout autre chose que la difficulté d’unir deux
espèces
pures dont les organes reproducteurs sont en parf
ue s’observe à l’égard de la greffe : car Thouin a constaté que trois
espèces
de Robinia (Acacia) qui donnaient des graines en
leur propre tige pouvaient se greffer assez facilement surfine autre
espèce
, mais qu’alors elles devenaient stériles. D’autre
riles. D’autre côté, certains Sorbiers (Sorbus), greffés sur d’autres
espèces
, donnaient deux fois autant de fruit que sur leur
, à donner plus de graines, quand on les féconde avec le pollen d’une
espèce
distincte, que sous l’action de leur propre polle
n parallélisme dans les effets de la greffe et de l’hybridation entre
espèces
distinctes. Et comme les lois curieuses et comple
de qu’on trouve à greffer l’une sur l’autre ou à croiser ensemble des
espèces
différentes, soit une propriété ou un don spécial
ales ; car, ainsi que nous venons de le voir, dans l’alliance de deux
espèces
pures les deux éléments sexuels sont en parfait é
nt atteindre l’ovaire. On a observé aussi que lorsque le pollen d’une
espèce
est placé sur le stigmate d’une espèce très éloig
si que lorsque le pollen d’une espèce est placé sur le stigmate d’une
espèce
très éloignée par ses affinités, bien que les tub
es mêmes conditions de vie contre nature, comme des groupes entiers d’
espèces
ont une disposition innée à produire des hybrides
ition innée à produire des hybrides stériles. D’autre côté, une seule
espèce
dans tout un groupe supportera de grands changeme
nditions de vie, sans que sa fécondité diminue ; et de même, certaine
espèce
d’un genre peut quelquefois produire des hybrides
l’état de culture ; également nul ne peut dire, avant preuve, si deux
espèces
d’un genre produiront des hybrides et si ces hybr
hybrides sont produits par le croisement aussi contre nature de deux
espèces
distinctes, le système reproducteur des uns et de
es preuves qu’un croisement entre individus très distincts de la même
espèce
, c’est-à-dire entre des membres de différentes so
part, quelques croisements entre les mâles et les femelles de la même
espèce
, qui ont varié et sont devenus légèrement différe
doit nécessairement exister quelque distinction essentielle entre les
espèces
et les variétés, et qu’il ne peut manquer de s’êt
stériles dans leur croisement, elles sont aussitôt élevées au rang d’
espèces
par la plupart des naturalistes. Ainsi, le Mouron
es parfaitement fécondes dans leur croisement, il les range comme des
espèces
distinctes. Si nous argumentons ainsi en tournant
t probablement la vraie, c’est que chacune de ces races descend d’une
espèce
originairement distincte. Néanmoins, la fécondité
ore plus frappant, lorsqu’on songe qu’il y a un nombre considérable d’
espèces
dont les croisements sont complétement stériles,
rilité en général, qu’elle provienne, du reste, d’un croisement entre
espèces
ou d’un changement dans les conditions de vie des
toute évidence que les dissemblances purement extérieures entre deux
espèces
ne suffisent pas à décider de la plus ou moins gr
t jamais et même ne peuvent être l’objet de son action sélective. Les
espèces
domestiques sont moins étroitement adaptées au cl
x autres conditions physiques de la contrée qu’elles habitent que les
espèces
sauvages, car elles peuvent en général se transpo
odifier le système reproducteur de quelques-uns des descendants d’une
espèce
. Si l’on songe à ces différences entre les procéd
tats. J’ai considéré jusqu’ici les croisements entre variétés de même
espèce
comme constamment féconds ; pourtant il est impos
rièvement. On admet la stérilité d’une multitude de croisements entre
espèces
sur des preuves qui ne sont certainement pas plus
donna que cinq. L’opération ne peut guère avoir été nuisible chez une
espèce
dioïque. Cependant, je ne pense pas que nul ait j
e nul ait jamais soupçonné que ces deux variétés de Maïs fussent deux
espèces
distinctes ; et les plantes hybrides provenant de
sidérable d’expériences continuées pendant de longues années sur neuf
espèces
de Molènes (Verbascum), par Gærtner. Ce naturalis
bservateur, a constaté que les variétés jaunes et blanches de la même
espèce
, étant croisées ensemble, produisent moins de gra
ffirme de plus que lorsque des variétés jaunes et blanches d’une même
espèce
sont croisées avec les variétés jaunes et blanche
’une même espèce sont croisées avec les variétés jaunes et blanches d’
espèces
distinctes, les croisements entre fleurs de même
commun est plus féconde que les autres en cas de croisement avec une
espèce
très distincte. Il expérimenta sur cinq formes, c
stériles en cas de croisement seraient aussitôt considérées comme des
espèces
distinctes. D’autre part, il est évident que dans
ne loi universelle établissant une distinction fondamentale entre les
espèces
et les variétés. Dans l’ignorance complète où nou
st-à-dire que cette stérilité n’est pas une propriété distinctive des
espèces
, mais une simple conséquence des modifications le
r fécondité. — La question de fécondité mise à part, la postérité des
espèces
ou des variétés croisées peut donner lieu à d’aut
r eût été de trouver une ligne de démarcation bien tranchée entre les
espèces
et les variétés, n’a pu constater qu’un très peti
lon moi, n’ont aucune importance, entre la postérité dite hybride des
espèces
et la postérité dite métisse des variétés. D’autr
variables que les hybrides, mais Gærtner admet que les hybrides entre
espèces
depuis longtemps cultivées sont souvent très vari
e de frappants exemples. Gærtner admet de plus que les hybrides entre
espèces
proche-alliées sont plus variables que ceux qui p
espèces proche-alliées sont plus variables que ceux qui proviennent d’
espèces
très tranchées ; ce qui montre avec toute évidenc
a forme mère. Or, les hybrides de la première génération descendent d’
espèces
qui, à l’exception des espèces depuis longtemps d
de la première génération descendent d’espèces qui, à l’exception des
espèces
depuis longtemps domestiquées, n’ont souffert auc
a rien d’absolu. Gærtner insiste surtout sur le fait que lorsque deux
espèces
quelconques, bien que très proches alliées, sont
ques, bien que très proches alliées, sont croisées avec une troisième
espèce
, les hybrides diffèrent considérablement les uns
es uns des autres, tandis que, si deux variétés très distinctes d’une
espèce
sont croisées avec une autre espèce, les hybrides
ux variétés très distinctes d’une espèce sont croisées avec une autre
espèce
, les hybrides sont peu différents. Mais, autant q
ts respectifs, et plus particulièrement chez les hybrides provenant d’
espèces
proche-alliées, suivent, selon lui, des lois iden
s proche-alliées, suivent, selon lui, des lois identiques. Quand deux
espèces
sont croisées, l’une d’elles est quelquefois doué
er sa ressemblance au produit commun, que le croisement s’opère entre
espèces
ou qu’il ait lieu entre variétés, Ainsi c’est, je
monstrueuses dans leurs caractères, que chez les hybrides descendus d’
espèces
déjà anciennes, et formées lentement et naturelle
la même variété, entre deux variétés différentes, ou enfin entre deux
espèces
distinctes. Laissant donc de côté la question de
le y avoir une identité générale, étroite, entre la postérité de deux
espèces
croisées et celle de deux variétés. Si l’on consi
eux espèces croisées et celle de deux variétés. Si l’on considère les
espèces
comme provenant d’actes créateurs spéciaux, et le
e, avec l’idée qu’il n’existe aucune différence essentielle entre les
espèces
et les variétés. IX. Résumé. — Nous venons de vo
entre des formes suffisamment distinctes pour être rangées comme des
espèces
tranchées, ainsi que les hybrides qui en provienn
’elle leur a fourni. La stérilité varie chez les individus de la même
espèce
, en vertu de prédispositions innées ; et elle est
euses que complexes. Les croisements réciproques entre les deux mêmes
espèces
sont généralement affectés d’une stérilité différ
viennent. De même qu’à l’égard de la greffe la faculté dont jouit une
espèce
ou une variété de prendre sur une autre dépend de
les croisements, la facilité plus ou moins grande avec laquelle deux
espèces
s’allient dépend de différences inconnues dans le
teur. Mais il n’est aucune raison de penser que les croisements entre
espèces
aient été spécialement frappés d’un degré de stér
forêts. Il semble que la stérilité des premiers croisements entre des
espèces
pures dont les organes reproducteurs sont en parf
en rapport étroit avec la stérilité qui affecte très fréquemment les
espèces
de race pure, quand leurs conditions de vie natur
en aucune façon surprenant que la difficulté qu’on trouve à unir deux
espèces
, et la stérilité de leur postérité hybride se cor
la somme des différences de toute nature qui existent entre les deux
espèces
croisées. Il n’est point étonnant non plus que la
nt non plus que la facilité d’opérer un premier croisement entre deux
espèces
, la fécondité des hybrides qui en naissent, et mê
toutes les ressemblances ou différences qui groupent où séparent les
espèces
entre elles. Les premiers croisements entre des f
’il n’existe aucune distinction essentielle et fondamentale entre les
espèces
et les variétés. 121. La stérilité des hybride
, n’est point un avantage pour les individus, mais c’en est un pour l’
espèce
dont elle maintient la pureté typique et les adap
acquise par sélection naturelle, comme la stérilité des neutres ; les
espèces
rebelles à tout mélange avec des espèces alliées
stérilité des neutres ; les espèces rebelles à tout mélange avec des
espèces
alliées ayant généralement dû être élues de préfé
es espèces alliées ayant généralement dû être élues de préférence aux
espèces
folles ou polymorphes. (Trad.) 122. L’auteur a
lor a donné des croisements avec le Ph. colchicus, et que « ces trois
espèces
de faisans se sont mélangés dans les bois de l’An
as en rapport constant avec celle de greffement, c’est-à-dire que les
espèces
capables d’être greffées les unes sur les autres
que la faculté générale, mais inégalement constatée chez les diverses
espèces
, de pouvoir être greffées les unes sur les autres
que des êtres organisés I. De l’apparition lente et successive des
espèces
nouvelles. — II. De leur différente vitesse de tr
elles. — II. De leur différente vitesse de transformation. — III. Les
espèces
une fois éteintes ne reparaissent plus. — IV. Les
s espèces une fois éteintes ne reparaissent plus. — IV. Les groupes d’
espèces
suivent dans leur apparition et leur disparition
ivent dans leur apparition et leur disparition les mêmes lois que les
espèces
isolées. — V. De l’extinction des espèces. — VI.
tion les mêmes lois que les espèces isolées. — V. De l’extinction des
espèces
. — VI. Des changements simultanés des formes orga
des formes organiques dans le monde entier. — VII. Des affinités des
espèces
éteintes, soit entre elles, soit avec les espèces
. Des affinités des espèces éteintes, soit entre elles, soit avec les
espèces
vivantes. — VIII. Du degré de développement des f
hapitre et du précédent. I. De l’apparition lente et successive des
espèces
nouvelles. — Examinons maintenant si les divers f
rnent, s’accordent mieux avec l’opinion commune de l’immutabilité des
espèces
, ou avec celle, de leur modification lente et gra
ction naturelle. Ce qui frappe tout d’abord, c’est que la plupart des
espèces
ont toujours apparu très lentement et les unes ap
ssives de cette période, et à montrer que le nombre proportionnel des
espèces
qui s’éteignent est graduel, comme celui des espè
roportionnel des espèces qui s’éteignent est graduel, comme celui des
espèces
qui naissent. Dans quelques-unes des couches les
l doute fort anciennes, si on mesure leur âge par années, une ou deux
espèces
seulement cessent de se montrer : et de même une
deux espèces seulement cessent de se montrer : et de même une ou deux
espèces
seulement sont nouvelles, c’est-à-dire apparaisse
ns continue ; cependant, ainsi que l’a remarqué Brown, les nombreuses
espèces
qui les caractérisent n’ont jamais apparu ou disp
férente vitesse de transformation. — Il est à remarquer aussi que les
espèces
de genres distincts et de classes différentes ne
anciennes, on peut encore trouver quelques coquillages analogues aux
espèces
actuellement vivantes, au milieu d’une multitude
emple de ces faits. La Lingule silurienne ne diffère que très peu des
espèces
vivantes de ce même genre, tandis que la plupart
l’autre en rapports étroits de succession, on constate que toutes les
espèces
qu’elles présentent ont-subi quelques altérations
qu’elles présentent ont-subi quelques altérations. Quand une fois une
espèce
a disparu de la surface de la terre, nous n’avons
lonies » décrites par M. Barrande, c’est-à-dire d’un certain nombre d’
espèces
qui font tout à coup invasion dans le milieu d’un
dification doit être extrêmement lent et que la variabilité de chaque
espèce
est complétement indépendante de la variabilité d
somme plus ou moins considérable de modifications définitives dans l’
espèce
variable. Le résultat final dépend d’abord de la
la nature des autres habitants de cette même contrée avec lesquels l’
espèce
variable entre en concurrence. Il n’est donc en a
entre en concurrence. Il n’est donc en aucune façon surprenant qu’une
espèce
garde parfois la même forme beaucoup plus longtem
sujette à extermination. De là nous pouvons voir pourquoi toutes les
espèces
d’une même région finissent par se transformer au
e au hasard dans ce drame perpétuel et lentement changeant. III. Les
espèces
une fois éteintes ne reparaissent plus. — Il nous
s ne reparaissent plus. — Il nous est aisé de comprendre pourquoi une
espèce
, une fois éteinte, ne saurait reparaître, même da
ient à se reproduire de nouveau. En effet, quoique la postérité d’une
espèce
puisse parfaitement s’adapter de manière à rempli
tement s’adapter de manière à remplir exactement la place d’une autre
espèce
dans l’économie de la nature et parvenir ainsi à
le qu’un Pigeon-Paon, identique aux nôtres, pût sortir d’aucune autre
espèce
sauvage, ou même des autres races de Pigeons dome
urs quelques légères différences caractéristiques. IV. Les groupes d’
espèces
suivent dans leur apparition et leur disparition
ivent dans leur apparition et leur disparition les mêmes lois que les
espèces
isolées. — Les groupes d’espèces, c’est-à-dire le
r disparition les mêmes lois que les espèces isolées. — Les groupes d’
espèces
, c’est-à-dire les genres ou les familles, suivent
es genres ou les familles, suivent les mêmes règles générales que les
espèces
elles-mêmes dans leur apparition ou leur disparit
loi, si remarquablement d’accord avec ma théorie. Car, si toutes les
espèces
d’un même groupe descendent d’une seule et même e
si toutes les espèces d’un même groupe descendent d’une seule et même
espèce
antérieure, il est évident qu’aussi longtemps que
et même espèce antérieure, il est évident qu’aussi longtemps que des
espèces
appartenant à ce groupe apparaissent dans la long
voir constamment existé pendant une suite continue de générations des
espèces
du genre Lingule depuis les couches Siluriennes l
nos jours142. Nous avons vu dans le dernier chapitre que parfois les
espèces
d’un même groupe semblent faussement apparaître t
e de même graduellement à décroître. Si l’on représente le nombre des
espèces
d’un genre ou des genres d’une famille par une li
finale du genre ou de la famille. Cette multiplication graduelle des
espèces
d’un groupe est parfaitement d’accord avec ma thé
groupe est parfaitement d’accord avec ma théorie, selon laquelle les
espèces
d’un même genre et les genres d’une même famille
un grand nombre de formes alliées est lent et graduel. On a vu qu’une
espèce
donne d’abord naissance à deux ou trois variétés
naissance à deux ou trois variétés qui se convertissent par degrés en
espèces
; que celles-ci à leur tour produisent avec la mê
-ci à leur tour produisent avec la même lenteur et pas à pas d’autres
espèces
; et ainsi de suite jusqu’à ce que le groupe atte
roviennent toutes d’un premier rameau unique. V. De l’extinction des
espèces
. — Nous n’avons encore parlé qu’incidemment de la
ces. — Nous n’avons encore parlé qu’incidemment de la disparition des
espèces
et de leurs divers groupes. D’après la théorie de
Il résulte au contraire de l’étude des formations tertiaires, que les
espèces
et groupes d’espèces disparaissent graduellement,
re de l’étude des formations tertiaires, que les espèces et groupes d’
espèces
disparaissent graduellement, l’un après l’autre,
e, le procédé d’extinction peut avoir été comparativement rapide. Les
espèces
considérées isolément, de même que les groupes en
Aucune loi fixe ne semble donc gouverner la durée de l’existence des
espèces
et des genres. Il y a seulement quelques motifs d
y a seulement quelques motifs de croire que l’extinction complète des
espèces
d’un groupe est généralement plus lente que leur
mment, l’on représentait l’apparition et la disparition d’un groupe d’
espèces
par une ligne verticale d’épaisseur variable, cet
apparition première du groupe et la multiplication progressive de ses
espèces
. En quelques cas, pourtant, la destruction de gro
lle de la plupart des autres groupes. Ce problème de l’extinction des
espèces
a été jusqu’ici fort gratuitement obscurci d’inut
’individu n’a qu’une existence d’une longueur déterminée, de même les
espèces
ont une durée limitée. Nul, je crois, n’a plus qu
que moi été frappé d’étonnement par le phénomène de l’extinction des
espèces
. Quelle ne fut pas ma surprise, par exemple, lors
à celle de nos Chevaux actuels, devait pourtant avoir appartenu à une
espèce
éteinte. Cette espèce eût été vivante, mais assez
actuels, devait pourtant avoir appartenu à une espèce éteinte. Cette
espèce
eût été vivante, mais assez rare, aucun naturalis
e, aucun naturaliste n’aurait été surpris de sa rareté ; car nombre d’
espèces
sont rares dans toutes les classes et dans tous l
ême région, que sous des conditions de vie plus favorables cette même
espèce
aurait pu en peu d’années peupler le continent to
, sont cependant très suffisantes pour causer d’abord la rareté d’une
espèce
et finalement son extinction. On comprend si peu
donner la victoire dans la bataille de la vie. La grande taille d’une
espèce
, au contraire, peut quelquefois en amener plus vi
ier. Je puis répéter ici ce que j’écrivais en 1845 : admettre que les
espèces
deviennent généralement rares avant de s’éteindre
dée sur ce que chaque nouvelle variété et, par suite, chaque nouvelle
espèce
, se forme et se maintient à l’aide de quelque ava
les pertes d’autres genres ; car nous savons que le nombre total des
espèces
n’a pas indéfiniment continué de s’accroître, au
a concurrence est en général d’autant plus sévère, entre les diverses
espèces
d’une même contrée, qu’elles sont plus semblables
ds. Il suit de là que les descendants modifiés et perfectionnés d’une
espèce
doivent presque toujours causer l’extinction de l
, si un grand nombre de formes nouvelles sortent successivement d’une
espèce
quelconque, les formes les plus proche-alliées de
d’une espèce quelconque, les formes les plus proche-alliées de cette
espèce
, c’est-à-dire les autres espèces du même genre, s
rmes les plus proche-alliées de cette espèce, c’est-à-dire les autres
espèces
du même genre, seront les plus exposées à être ex
ées à être exterminées. C’est ainsi, je crois, qu’un certain nombre d’
espèces
nouvelles, descendues d’une seule espèce antérieu
ois, qu’un certain nombre d’espèces nouvelles, descendues d’une seule
espèce
antérieure, arrivent à former un genre qui suppla
nant à la même famille. Mais il peut aussi être souvent arrivé qu’une
espèce
nouvelle, appartenant à un groupe, ait pris la pl
une espèce nouvelle, appartenant à un groupe, ait pris la place d’une
espèce
appartenant à un groupe distinct, et causé ainsi
alliées héritent en commun des mêmes infériorités. Du reste, que les
espèces
ainsi supplantées par d’autres, mieux adaptées au
ù ils ont échappé à la concurrence de leurs ennemis. Ainsi, une seule
espèce
de Trigonia, l’un des genres de mollusques les pl
ne ou d’un développement extraordinairement rapide, un grand nombre d’
espèces
d’un nouveau groupe ont pris possession d’une nou
désavantage en commun. Il me semble donc que le mode d’extinction des
espèces
, ou de leurs divers groupes, s’accorde parfaiteme
nce des formes vivantes dépend. Si nous oublions un moment que chaque
espèce
tend à se multiplier à l’infini, mais que quelque
’à ce qu’il nous soit possible de dire précisément pourquoi une telle
espèce
est plus nombreuse en individus que tel autre, et
c droit de ne pouvoir nous rendre compte de l’extinction de certaines
espèces
ou de certains groupes. VI. Des changements simu
rmations crayeuses. Ce n’est pas cependant qu’on y retrouve les mêmes
espèces
; car parfois pas une espèce n’est parfaitement i
as cependant qu’on y retrouve les mêmes espèces ; car parfois pas une
espèce
n’est parfaitement identique ; mais elles apparti
rtiaires de cette dernière contrée. Enfin, lors même que les quelques
espèces
fossiles qui sont communes au vieux monde et au n
de leur position géologique, nul n’aurait soupçonné que ces diverses
espèces
eussent coexisté avec des mollusques encore vivan
s, nous devrons regarder comme certain que toutes ces modifications d’
espèces
, leur extinction et l’introduction d’espèces nouv
utes ces modifications d’espèces, leur extinction et l’introduction d’
espèces
nouvelles, ne sauraient être uniquement ducs à de
explique aisément par la théorie de sélection naturelle. De nouvelles
espèces
se forment de variétés qui naissent douées de que
ui naturellement produisent le plus souvent des variétés nouvelles ou
espèces
naissantes. Celles-ci doivent avoir encore plus d
oportionnellement beaucoup plus riches en formes subordonnées que les
espèces
végétales confinées dans une patrie étroite. Il e
tales confinées dans une patrie étroite. Il est aussi naturel que les
espèces
dominantes, variables, répandues dans de nombreus
ire qui ont déjà envahi fréquemment une partie du territoire d’autres
espèces
, soient celles qui ont le plus de chances de s’ét
, en de nouvelles contrées, à de nouvelles variétés et à de nouvelles
espèces
. Leur diffusion peut quelquefois être très lente,
bserve en effet, un parallélisme de succession moins parfait chez les
espèces
terrestres que chez les espèces marines. Des espè
de succession moins parfait chez les espèces terrestres que chez les
espèces
marines. Des espèces, déjà dominantes dans une ré
parfait chez les espèces terrestres que chez les espèces marines. Des
espèces
, déjà dominantes dans une région quelconque, peuv
elconque, peuvent, en s’étendant, rencontrer sur leur chemin d’autres
espèces
plus dominantes encore, ce qui arrêtera leur marc
elles sont les conditions les plus favorables à la multiplication des
espèces
nouvelles et dominantes ; mais nous pouvons cepen
eut avoir été particulièrement favorable à la production de nouvelles
espèces
dominantes sur la terre, et quelque autre aux esp
on de nouvelles espèces dominantes sur la terre, et quelque autre aux
espèces
dominantes de la mer. Si deux régions ont présent
l, s’accorde parfaitement avec le principe selon lequel les nouvelles
espèces
seraient surtout produites parmi les espèces domi
lon lequel les nouvelles espèces seraient surtout produites parmi les
espèces
dominantes, variables et en voie de grande et rap
bles et en voie de grande et rapide extension. Et comme les nouvelles
espèces
ainsi formées héritent des qualités qui ont assur
nt déjà remporté quelque avantage sur leurs parents ou sur les autres
espèces
, elles peuvent à leur tour s’étendre, varier et p
espèces, elles peuvent à leur tour s’étendre, varier et produire des
espèces
nouvelles. De même, les formes vaincues, qui ont
n l’autre la même succession générale des formes de la vie ; mais les
espèces
peuvent bien ne pas se correspondre exactement, c
nce, bien qu’il trouve entre eux un curieux accord dans le nombre des
espèces
de chaque même genre, cependant les espèces elles
accord dans le nombre des espèces de chaque même genre, cependant les
espèces
elles-mêmes diffèrent d’une manière très difficil
andinavie ; néanmoins il trouve des différences surprenantes dans les
espèces
. Si les diverses formations de ces deux régions n
aux périodes d’inactivité de l’autre, et si dans les deux régions les
espèces
ont lentement continué de changer pendant les pér
la vie, et cet ordre semblerait faussement parallèle ; néanmoins les
espèces
ne seraient pas toutes les mêmes dans les étages
n apparence, correspondants des deux régions. VII. Des affinités des
espèces
éteintes entre elles et avec les espèces vivantes
ons. VII. Des affinités des espèces éteintes entre elles et avec les
espèces
vivantes. — Considérons un peu maintenant quelles
onsidérons un peu maintenant quelles sont les affinités mutuelles des
espèces
éteintes et vivantes. Il est évident qu’elles se
e époque reculée qu’aujourd’hui. Quelques écrivains ont nié qu’aucune
espèce
éteinte, ou aucun groupe d’espèce pût être consid
uelques écrivains ont nié qu’aucune espèce éteinte, ou aucun groupe d’
espèce
pût être considéré comme intermédiaire entre des
ucun groupe d’espèce pût être considéré comme intermédiaire entre des
espèces
ou des groupes vivants. Si l’on entend dire par l
ulement que dans une classification parfaitement naturelle beaucoup d’
espèces
fossiles devraient être placées entre des espèces
aturelle beaucoup d’espèces fossiles devraient être placées entre des
espèces
vivantes, et quelques genres éteints entre nos ge
, et que les lignes pointées qui s’en écartent en divergeant sont les
espèces
de chacun de ces genres. La figure se trouve ains
rop simple, en ce qu’elle représente trop peu de genres et trop peu d’
espèces
; mais ceci est sans importance pour la question.
saire ; il n’a de valeur qu’autant que les descendants modifiés d’une
espèce
deviennent ainsi plus capables de s’emparer de st
me nous l’ayons vu dans le cas de quelques formes siluriennes, qu’une
espèce
puisse se perpétuer avec de très légères modifica
igure par la lettre F14. Ainsi que nous venons de le dire, toutes les
espèces
éteintes et vivantes descendues de A forment un o
raux entre celle qui l’a précédée et celle qui l’a suivie. Ainsi, les
espèces
qui ont vécu pendant la sixième époque de filiati
ur existence ; et ces deux séries ne concordent pas parfaitement. Les
espèces
les plus extrêmes en caractères ne sont ni les pl
s, que le témoignage de la première et de la dernière apparition de l’
espèce
soit juste, nous n’avons aucune raison pour suppo
u’une forme produite autre part plus récemment, surtout dans le cas d’
espèces
terrestres habitant des districts séparés. Si l’o
ale des restes organiques des divers étages de la Craie, bien que les
espèces
de chaque étage soient distinctes. Cette loi seul
é, semble l’avoir ébranlé dans sa ferme croyance à l’immutabilité des
espèces
. Quiconque est un peu familiarisé avec la distrib
uiconque est un peu familiarisé avec la distribution géographique des
espèces
vivantes à la surface du globe, n’essayera pas de
globe, n’essayera pas de rendre compte de l’étroite ressemblance des
espèces
, cependant bien distinctes, de deux formations, r
iles de formations rigoureusement consécutives, bien que rangés comme
espèces
distinctes, ont cependant des affinités étroites.
apparence consécutives, toutes les variétés intermédiaires entre les
espèces
qui apparurent au commencement et à la fin de ces
étroitement alliées, ou, comme les ont nommées quelques auteurs, des
espèces
représentatives. Or, c’est ce que nous constatons
nt pourtant il résulte, de la théorie de sélection naturelle, que les
espèces
les plus récentes doivent tendre à prospérer et à
rer et à s’élever plus haut que leurs souches mères, parce que chaque
espèce
ne peut se former qu’à l’aide de quelques avantag
époques : si, par exemple, nous comptons aujourd’hui cinquante mille
espèces
d’animaux vertébrés, et si nous savons qu’à une é
le plus habile naturaliste, même à l’aide d’un scrupuleux examen des
espèces
des deux contrées, n’aurait pu prévoir ce résulta
tends, c’est que dans les cavernes du Brésil il y a un grand nombre d’
espèces
étroitement alliées par la taille et par d’autres
èces étroitement alliées par la taille et par d’autres caractères aux
espèces
qui vivent actuellement dans l’Amérique du Sud ;
elques-unes de ces formes fossiles peuvent avoir été les ancêtres des
espèces
vivantes. Il ne faut pas oublier que d’après ma t
es vivantes. Il ne faut pas oublier que d’après ma théorie toutes les
espèces
du même genre descendent d’une espèce unique ; de
d’après ma théorie toutes les espèces du même genre descendent d’une
espèce
unique ; de sorte que, si l’on trouve, dans une f
ans une formation géologique quelconque, six genres ayant chacun huit
espèces
, et dans la formation suivante six autres genres
autres genres alliés ou représentatifs ayant chacun le même nombre d’
espèces
que les premiers, nous en pouvons conclure qu’une
me nombre d’espèces que les premiers, nous en pouvons conclure qu’une
espèce
seulement de chacun des genres les plus anciens a
endants modifiés qui forment les six nouveaux genres. Les sept autres
espèces
comprises dans les anciens genres ont dû périr sa
r de postérité. Mais il serait plus probable encore que deux ou trois
espèces
, de deux ou trois seulement des anciens genres, e
, eussent servi de souche aux six genres nouveaux ; et que les autres
espèces
ou genres entiers eussent été complétement exterm
erminés. Dans des ordres en voie de décadence, dont les genres et les
espèces
décroissent peu à peu en nombre, comme il semble
ntés de l’Amérique du Sud, un plus petit nombre encore de genres et d’
espèces
doivent avoir laissé des descendants modifiés. X
res organisés ont été conservées à l’état fossile ; que le nombre des
espèces
et de leurs spécimens individuels, conservés dans
ntre la plupart de nos formations successives ; que les extinctions d’
espèces
ont probablement été plus fréquentes et plus rapi
comparaison de la durée des formes spécifiques ; que les migrations d’
espèces
ont joué un rôle important dans la première appar
es formes nouvelles en chaque région et en chaque formation ; que les
espèces
très répandues sont les plus variables, et, consé
mment, celles qui doivent avoir le plus souvent donné naissance à des
espèces
nouvelles ; enfin que les variétés ou espèces nai
t donné naissance à des espèces nouvelles ; enfin que les variétés ou
espèces
naissantes ont presque toujours commencé par être
vent avoir autrefois formé les liens de transition entre les diverses
espèces
alliées ou représentatives qu’on découvre dans le
; on peut enfin arguer de l’apparition soudaine de groupes entiers d’
espèces
nouvelles, bien que ces brusques invasions aient
nous devient facile de comprendre, à son aide, comment les nouvelles
espèces
apparaissent lentement et successivement, comment
uvelles espèces apparaissent lentement et successivement, comment les
espèces
de différentes classes ne changent pas nécessaire
s nouvelles. Nous pouvons comprendre encore pourquoi, une fois qu’une
espèce
a disparu, elle ne saurait plus reparaître avec d
saurait plus reparaître avec des caractères identiques. Les groupes d’
espèces
s’accroissent lentement en nombre, et se perpétue
dépend d’un concours de circonstances accidentelles et complexes. Les
espèces
dominantes des groupes les plus considérables ten
Au fur et à mesure que ces nouveaux groupes dominants se forment, les
espèces
des groupes les moins vigoureux, ayant hérité d’u
surface de la terre. Mais l’extinction complète d’un groupe entier d’
espèces
peut souvent être beaucoup plus lente que sa prem
lement de même à envahir les stations occupées par d’autres groupes d’
espèces
qui leur seront inférieures dans la concurrence v
la paléontologie proclament hautement, à ce qu’il me semble, que les
espèces
se sont produites successivement par une générati
§ VIII. 142. Il n’est pas impossible qu’une variété descendue d’une
espèce
mère, et modifiée au point de présenter avec elle
qui ont autrefois déterminé la formation par sélection naturelle de l’
espèce
mère elle-même. On conçoit qu’un pareil concours
concours soit possible pour que, si le fait de la réapparition d’une
espèce
perdue était quelque jour bien constaté, il ne pu
éteintes sans exception ; mais tant qu’une seule variété subsiste, l’
espèce
mère peut renaître ; tant que le genre a des repr
e serait cependant faire erreur que de confondre la supériorité d’une
espèce
, considérée relativement à d’autres espèces, ou m
ondre la supériorité d’une espèce, considérée relativement à d’autres
espèces
, ou même la supériorité de chacun de ses individu
a vie, contre d’autres individus, avec la supériorité d’un ensemble d’
espèces
coordonnées de manière à ne laisser entre elles a
des flores tertiaires. Il est possible que ce soit un progrès pour l’
espèce
, ou, pour parler plus exactement, une condition d
ueur, la force, la grandeur des proportions individuelles soit pour l’
espèce
elle-même un signe de vitalité, de jeunesse, de p
le. — VI. De la généralité des croisements entre individus de la même
espèce
. — VIII. Circonstances favorables ou défavorables
ommun, résultant de la divergence des caractères et des extinctions d’
espèces
. — XII. Elle rend compte du groupement des êtres
res. — XV. Examen des objections. — XVI. Multiplication indéfinie des
espèces
. — XVII. Résumé. I. Sélection naturelle : compa
tilité, des déviations qui ne sauraient nuire ni aux individus ni à l’
espèce
, ne peuvent être affectées par cette loi et demeu
état d’éléments variables : c’est ce qu’on observe peut-être chez les
espèces
polymorphes. Plusieurs écrivains ont critiqué ce
e climat. Les nombres proportionnels des représentants de chacune des
espèces
qui l’habitent changeraient presque immédiatement
l’habitent changeraient presque immédiatement : quelques-unes de ces
espèces
prendraient une plus grande extension, tandis que
changement dans les proportions numériques des individus de quelques
espèces
affecterait sérieusement la plupart des autres, t
de se perpétuer, pourvu qu’elle fût de quelque façon avantageuse à l’
espèce
en l’adaptant plus exactement à ses conditions d’
pourront souvent accroître encore cet avantage, aussi longtemps que l’
espèce
continuera de vivre dans les mêmes conditions et
puisse en quelque chose être plus parfait ; car en toute contrée les
espèces
natives ont été si complétement vaincues par des
contrée les espèces natives ont été si complétement vaincues par des
espèces
naturalisées qu’elles ont laissé ces étrangères p
s tout entières ? Nous ne pouvons donc nous émerveiller de ce que les
espèces
naturelles soient beaucoup plus franchement accus
n généralement adoptée que la quantité de variation possible chez une
espèce
est strictement limitée, n’est pareillement qu’un
il faut bien admettre que ces nuances particulières sont utiles à ces
espèces
qu’elles protègent contre certains dangers. Si le
sélection naturelle n’ait été cause de la couleur affectée par chaque
espèce
de Tétras, et n’ait continué d’agir pour la rendr
isse souffrent beaucoup plus que ceux à peau velue des attaques d’une
espèce
de Charençon ; que les Prunes pourprées sont plus
s autres. Lorsqu’il s’agit d’évaluer de légères différences entre les
espèces
, il ne faut pas oublier que le climat, la nourrit
mières, soient en quelque chose, et si peu que ce soit, nuisibles à l’
espèce
: car, sans cela, elles en amèneraient l’extincti
ce que la sélection naturelle ne saurait faire, c’est de modifier une
espèce
sans lui donner aucun avantage propre et exclusiv
donner aucun avantage propre et exclusivement au bénéfice d’une autre
espèce
. Quoique des ouvrages d’histoire naturelle fassen
ujet ont. constaté une ardente rivalité entre les mâles de beaucoup d’
espèces
pour attirer les femelles par leurs chants. Les M
rles de roche de la Guyane, les Oiseaux de Paradis et quelques autres
espèces
encore s’assemblent en troupe ; et tour à tour le
ui était tout particulièrement préféré par toutes les femelles de son
espèce
. Il peut sembler puéril d’attribuer quelque effet
nos Coqs Bantam, d’après le type idéal que nous concevons pour cette
espèce
, je ne vois pas pourquoi les femelles des oiseaux
pouvoir dire que, toutes les fois que les mâles et les femelles d’une
espèce
animale ont les mêmes habitudes, mais diffèrent e
teurs la permission de leur donner un ou deux exemples. Supposons une
espèce
de Loup, se nourrissant de divers animaux, s’empa
t naître avec une tendance innée à poursuivre de préférence certaines
espèces
. Une telle supposition n’a rien d’improbable : ca
e procédé naturel une nouvelle variété peut se former et supplanter l’
espèce
mère ou coexister avec elle. De même, encore, les
insi perdus, ce fut cependant un avantage immense pour chacune de ces
espèces
; il dut en résulter que les individus qui produi
ères de plus en plus grosses, furent successivement élus. Lorsque ces
espèces
, par suite de cette conservation ou sélection nat
travail physiologique. On en peut inférer qu’il est avantageux à une
espèce
végétale que les étamines et les pistils soient p
peut être plus ou moins puissante. Ainsi, nous pouvons supposer que l’
espèce
chez laquelle la quantité de nectar s’est accrue
ure. VI. De la généralité des croisements entre individus de la même
espèce
. — Je dois permettre ici une courte digression. À
u moins de temps à autre, doivent concourir à la reproduction de leur
espèce
. Cette idée me fut suggérée pour la première fois
pour cela que les Abeilles produisent une multitude d’hybrides entre
espèces
distinctes ; car, s’il se trouve sur la même bros
sur la même brosse du pollen de la plante mêlé avec celui d’une autre
espèce
, le premier annulera complétement l’influence du
lle-même ; et cependant, lorsque plusieurs variétés ou même plusieurs
espèces
de ce même genre sont plantées les unes près des
çant du pollen d’une fleur sur le stigmate d’une autre. Un Lobelia, d’
espèce
différente qui croît tout à côté, mais qui est vi
antageux ou même indispensables de temps à autre à la perpétuité de l’
espèce
ou à sa vigueur. J’ai observé que, si plusieurs v
selon laquelle le croisement entre des individus distincts de la même
espèce
est propice à sa multiplication. Au contraire, qu
a multiplication. Au contraire, quand le croisement s’opère entre des
espèces
distinctes, l’effet est inverse, parce que le pro
; et, parmi eux, comme parmi les fleurs, je n’ai pu trouver une seule
espèce
chez laquelle les organes reproducteurs fussent s
t-il pas étrange de voir, parmi les animaux et parmi les plantes, des
espèces
, non seulement de la même famille, mais du même g
isent de temps à autre, la différence entre les hermaphrodites et les
espèces
unisexuelles devient peu de chose, au moins sous
écessité absolue pour chaque fécondation ; que chez beaucoup d’autres
espèces
elle n’est indispensable qu’à intervalles plus ou
comme un élément de haute importance dans la formation des nouvelles
espèces
. Quoique la nature emploie de longs siècles à son
tion, cependant elle ne laisse pas un laps de temps indéfini à chaque
espèce
pour se transformer ; car, tous les êtres vivants
our se saisir des places vacantes dans l’économie de la nature, toute
espèce
qui ne se modifie pas à son avantage, aussi vite
ns de vie ; et la sélection naturelle modifierait et améliorerait les
espèces
d’une manière différente dans chacun d’eux. Il es
mmunes des croisements fréquents entre ces variétés nouvelles de même
espèce
. En pareil cas, les effets de ces croisements ser
ne multiplient pas dans une progression très rapide. Parmi de telles
espèces
, par exemple chez les oiseaux, les variétés serai
de faits montrant que, dans une même région, les variétés d’une même
espèce
animale peuvent rester longtemps distinctes, soit
dans la nature, en ce qu’ils conservent chez les individus de la même
espèce
ou de la même variété la pureté et l’uniformité t
on croisés, qu’ils ont toutes chances de survivre et de propager leur
espèce
au détriment de ces derniers. Par suite du cours
ares qu’ils soient, doit avoir un effet puissant sur les progrès de l’
espèce
. S’il existe des êtres organisés chez lesquels il
ement est encore un élément de haute importance dans la formation des
espèces
par sélection naturelle. Ainsi, dans une région f
que la sélection naturelle tend à y modifier tous les individus d’une
espèce
variable de la même manière. De plus, les croisem
la même manière. De plus, les croisements entre les individus de même
espèce
, qui autrement eussent habité les districts envir
e qui peut être d’une haute importance dans la formation de nouvelles
espèces
. Si pourtant une région isolée était très étroite
ps lui-même une part importante dans le procédé de transformation des
espèces
, comme si elles se modifiaient constamment et néc
telle, par exemple, qu’une île océanique, quoique le nombre total des
espèces
qui l’habitent soit très petit, ainsi que nous le
re sur la distribution géographique, cependant un grand nombre de ces
espèces
se trouvent être autochtones69, c’est-à-dire form
t, d’après cela, qu’une île dût être très favorable à la production d’
espèces
nouvelles ; mais une pareille généralisation pour
l’isolement d’une région soit certainement favorable à la formation d’
espèces
nouvelles, cependant, en somme, je crois qu’une c
rée vaste et ouverte est plus favorable encore, surtout à l’égard des
espèces
capables de se perpétuer pendant de longues pério
ganisme y sont infiniment plus compliqués par suite du grand nombre d’
espèces
rivales qu’il renferme. Et si quelques-unes d’ent
s ont pu être quelquefois très favorables à la formation de nouvelles
espèces
, mais que pourtant l’œuvre de transformation doit
a plus rapide, qui donneront naissance à plus de variétés et à plus d’
espèces
et qui joueront ainsi le rôle le plus important d
erres plus étendues d’Europe et d’Asie, et pourquoi aussi ce sont des
espèces
continentales qui partout se sont naturalisées en
’un problème aussi compliqué le permet, je conclurai qu’à l’égard des
espèces
terrestres un vaste continent, qui a subi plusieu
mière période continentale, ses habitants nombreux en individus et en
espèces
ont été soumis à une vive concurrence. Lorsqu’il
oie d’affaissement en de vastes îles, beaucoup d’individus de la même
espèce
ont dû se maintenir sur chacune d’elles, de sorte
aire faire de nouveaux progrès à ses habitants et former de nouvelles
espèces
. VIII. Action lente. — Que la sélection naturell
r rapport à leurs conditions physiques d’existence. IX. Extinction d’
espèces
. — Nous examinerons la question d’extinction avec
ent en voie de se produire, à moins qu’on n’admette que le nombre des
espèces
peut s’accroître indéfiniment, il faut bien qu’il
quoi ce nombre ne pouvait toujours s’accroître. Nous avons vu que les
espèces
les plus nombreuses en individus ont aussi plus d
ême laps de temps donné. Cela résulte, du reste, de ce fait : que les
espèces
les plus communes sont celles qui offrent le plus
nt celles qui offrent le plus grand nombre de variétés reconnues ou d’
espèces
naissantes. Il suit de là que les espèces rares v
de variétés reconnues ou d’espèces naissantes. Il suit de là que les
espèces
rares varient et progressent moins dans le même t
être vaincues dans le combat de la vie par les descendants modifiés d’
espèces
plus répandues. Il me paraît donc suffisamment ét
nc suffisamment établi par ces considérations que, comme de nouvelles
espèces
se sont formées dans le cours des temps par sélec
t aussi devenir de plus en plus rares et finalement s’éteindre. Toute
espèce
qui entre en vive concurrence avec une autre espè
s’éteindre. Toute espèce qui entre en vive concurrence avec une autre
espèce
en voie de subir des modifications avantageuses a
sont les formes les plus étroitement alliées, les variétés de la même
espèce
, les espèces de même genre ou de genres voisins,
mes les plus étroitement alliées, les variétés de la même espèce, les
espèces
de même genre ou de genres voisins, et plus génér
a plus ardente concurrence. Conséquemment, chaque nouvelle variété ou
espèce
en voie de formation luttera surtout contre ses p
que certaines variétés présentent à un si haut degré les caractères d’
espèces
, qu’on se perd souvent en des doutes insolubles s
ieux marquées, diffèrent moins les unes des autres en général que les
espèces
bien distinctes. À mon point de vue ces variétés
les espèces bien distinctes. À mon point de vue ces variétés sont des
espèces
en voie de formation ou, comme je les ai nommées,
ont des espèces en voie de formation ou, comme je les ai nommées, des
espèces
naissantes. Comment alors les moindres différence
les jusqu’à produire les différences plus grandes qui distinguent les
espèces
? Il faut cependant présumer que cette transforma
ellement, puisque nous voyons dans la nature un nombre considérable d’
espèces
bien tranchées, tandis que les variétés, prototyp
èces bien tranchées, tandis que les variétés, prototypes supposés des
espèces
distinctes futures, ne présentent généralement qu
ales que celles qui distinguent les variétés bien marquées de la même
espèce
et les espèces du même genre. Ainsi que je l’ai t
s qui distinguent les variétés bien marquées de la même espèce et les
espèces
du même genre. Ainsi que je l’ai toujours fait da
s embarrassantes, cherchons la lumière dans ce que nous savons de nos
espèces
domestiques. Nous y trouverons quelque chose d’an
ion ressort pour moi de ce seul fait : que plus les descendants d’une
espèce
quelconque se diversifient dans leur structure, l
imaux dont les habitudes sont assez simples. Prenons pour exemple une
espèce
de quadrupède Carnivore, arrivée depuis longtemps
ces diverses contrées ne subissent aucun changement physique et que l’
espèce
y déploie librement sa puissance de multiplicatio
mparer de places actuellement occupées par les représentants d’autres
espèces
. Quelques individus, par exemple, peuvent devenir
u, enfin, quelques-uns peuvent devenir moins carnivores. En ce cas, l’
espèce
pourra s’accroître en nombre ; et plus ses représ
eront de places vacantes à remplir. Ce qui s’applique ici à une seule
espèce
animale peut s’appliquer à toutes les espèces dan
applique ici à une seule espèce animale peut s’appliquer à toutes les
espèces
dans la suite des temps, à condition toutefois qu
un poids plus considérable de foin que si l’on n’y sème qu’une seule
espèce
. On est arrivé au même résultat en semant une seu
urs en d’égales portions de terrain. Il résulte de là que, si quelque
espèce
végétale se met à varier avec continuité et que c
ue cette variété nouvelle, ainsi produite, ne diffère pas autant de l’
espèce
mère que des espèces ou des genres distincts le f
velle, ainsi produite, ne diffère pas autant de l’espèce mère que des
espèces
ou des genres distincts le feraient entre eux, ce
ation aura pour résultat qu’un plus grand nombre d’individus de cette
espèce
, y compris tous ses descendants modifiés, pourron
pourront vivre sur la même étendue de sol. Or, nous savons que chaque
espèce
et chaque variété végétale sèment annuellement su
rs milliers de générations, les variétés les plus tranchées de chaque
espèce
auront toujours les plus grandes chances de s’acc
us distinctes les unes des autres, prendront successivement le rang d’
espèces
. Que la plus grande diversification possible d’or
re très vive, on remarque toujours une très grande diversité dans les
espèces
qui l’habitent. J’ai trouvé qu’une surface gazonn
dant de longues années aux mêmes conditions de vie, nourrissait vingt
espèces
de plantes, appartenant à dix-huit genres et à hu
férences correspondantes de constitution et d’habitudes, font que les
espèces
qui parviennent à s’y établir, après avoir jouté
les flores gagnent proportionnellement beaucoup plus de genres que d’
espèces
. J’en donnerai une seule preuve. Dans la dernière
individus qui peuvent y vivre est considérable. Un certain ensemble d’
espèces
, peu différentes les unes des autres par leur org
ommun, résultant de la divergence des caractères et des extinctions d’
espèces
. — L’examen de la question précédente aurait pu a
lure de ce que nous en avons dit : que les descendants modifiés d’une
espèce
quelconque réussissent d’autant mieux à se multip
ficile. Supposons que les lettres depuis A jusqu’à L représentent les
espèces
d’un genre très nombreux en espèces dans une cert
puis A jusqu’à L représentent les espèces d’un genre très nombreux en
espèces
dans une certaine contrée. Ces espèces sont suppo
es d’un genre très nombreux en espèces dans une certaine contrée. Ces
espèces
sont supposées inégalement différentes les unes d
es à inégales distances. J’ai dit à dessein un genre très nombreux en
espèces
, parce que nous avons vu71 que, proportionnelleme
que nous avons vu71 que, proportionnellement, un plus grand nombre d’
espèces
varient dans les grands genres que dans les petit
spèces varient dans les grands genres que dans les petits, et que les
espèces
variables des grands genres présentent un plus gr
sentent un plus grand nombre de variétés. Nous avons vu aussi que les
espèces
les plus communes et les plus répandues varient p
espèces les plus communes et les plus répandues varient plus que les
espèces
rares dont la station est très limitée. Que A soi
s espèces rares dont la station est très limitée. Que A soit donc une
espèce
commune, variable, très répandue dans une vaste s
représentait dix mille. On suppose donc qu’après mille générations l’
espèce
A a produit deux variétés bien tranchées, représe
’être exposées aux mêmes conditions d’existence qui ont fait varier l’
espèce
mère ; et, la variabilité étant par elle-même hér
ifiées, auront toutes chances d’hériter des avantages qui ont rendu l’
espèce
mère, A, dominante dans la contrée. Elles partici
qui ont fait du genre auquel elles appartiennent un genre nombreux en
espèces
dans cette même région. Et nous savons que toutes
iment compliqués. Mais, en règle générale, plus les descendants d’une
espèce
peuvent se diversifier, plus ils sont aptes à rem
de variations divergentes. Comme tous les descendants modifiés d’une
espèce
commune, très répandue et appartenant à un grand
ou race. Au bout de dix mille générations, on peut donc considérer l’
espèce
A comme ayant produit trois formes, c’est-à-dire
ts ou plus fréquemment renouvelés, pour convertir ces trois formes ou
espèces
bien définies : la figure donne donc un exemple d
jusqu’à présenter les différences plus profondes qui distinguent les
espèces
. En continuant le même procédé pendant un grand n
upérieure de la figure sous une forme plus simple, nous obtenons huit
espèces
indiquées par les lettres a14 à m14, espèces qui
mple, nous obtenons huit espèces indiquées par les lettres a14 à m14,
espèces
qui descendent toutes de A. Tel serait donc, à ce
ait donc, à ce que je crois, le mode naturel de la multiplication des
espèces
et de la formation des genres. Mais, dans un gran
des genres. Mais, dans un grand genre, il est probable que plus d’une
espèce
varie. Sur la figure, j’ai supposé qu’une seconde
e plus d’une espèce varie. Sur la figure, j’ai supposé qu’une seconde
espèce
I a produit de même, après dix mille générations
par un procédé analogue, soit deux variétés bien marquées, soit deux
espèces
(W10 et z10), selon la valeur des changements qu’
gne horizontale ; et, après quatorze mille générations, six nouvelles
espèces
, indiquées par les lettres n14 à z14, seront form
es lettres n14 à z14, seront formées. Dans un même genre, ce sont les
espèces
déjà très différentes par leur structure ou leurs
nomie de la nature ; c’est pourquoi, dans la figure, ce sont les deux
espèces
A et I, dont l’une occupe l’extrémité de la série
séquemment donner naissance à de nouvelles variétés et à de nouvelles
espèces
. Les neuf autres espèces du genre originel que no
ce à de nouvelles variétés et à de nouvelles espèces. Les neuf autres
espèces
du genre originel que nous considérons, peuvent c
igure indique par les lignes pointées droites qui partent de ces neuf
espèces
indiquées par des lettres majuscules et que je n’
l y aura une tendance constante chez les descendants en progrès d’une
espèce
quelconque à supplanter et à exterminer à chaque
t-à-dire entre le plus et le moins parfait des états successifs d’une
espèce
, aussi bien que la souche originelle elle-même, d
récentes et plus parfaites. Si cependant la postérité modifiée d’une
espèce
s’introduit dans quelque contrée distincte ou par
ède est censée représenter une somme considérable de modifications, l’
espèce
A et toutes ses variétés les plus anciennes se se
s se seront éteintes successivement et auront été remplacées par huit
espèces
nouvelles (de a14 à m14), et l’espèce I aura été
auront été remplacées par huit espèces nouvelles (de a14 à m14), et l’
espèce
I aura été remplacée par six autres espèces (de n
elles (de a14 à m14), et l’espèce I aura été remplacée par six autres
espèces
(de n14 à z14). XII. La sélection naturelle rend
ons pousser notre argumentation plus loin. Nous avons supposé que les
espèces
originelles de notre genre se ressemblent les une
x autres inégalement, ainsi qu’il arrive en général dans la nature. L’
espèce
A aurait donc été plus étroitement alliée à B, C
A aurait donc été plus étroitement alliée à B, C et D, qu’aux autres
espèces
, et l’espèce 1 plus semblable à G, H, K, L, qu’au
été plus étroitement alliée à B, C et D, qu’aux autres espèces, et l’
espèce
1 plus semblable à G, H, K, L, qu’aux premières.
u’aux premières. D’autre part, nous avons encore supposé que les deux
espèces
A et I étaient très communes et très répandues, d
eulement de leurs souches-mères (A et I), mais aussi de plusieurs des
espèces
originelles qui étaient le plus étroitement allié
es les unes et les autres. Il est donc probable que quelques-unes des
espèces
originelles seulement auront transmis leur postér
e génération. Il nous est même permis de supposer qu’une seule de ces
espèces
F, élue parmi les moins proches alliées des neuf
envoyé des descendants jusqu’à cette lointaine époque. Les nouvelles
espèces
qui, selon la figure, descendent des onze espèces
oque. Les nouvelles espèces qui, selon la figure, descendent des onze
espèces
originelles, seraient donc, d’après cela, au nomb
n naturelle, la somme totale des différences d’organisation entre les
espèces
extrêmes a14 et z14 serait devenue beaucoup plus
grande qu’elle n’était en principe entre les plus tranchées des onze
espèces
originelles. De plus, ces nouvelles espèces serai
s plus tranchées des onze espèces originelles. De plus, ces nouvelles
espèces
seraient alliées les unes aux autres d’une manièr
manière toute différente. Parmi les huit descendants de A, les trois
espèces
a14, q14 et p14 seraient très voisines, s’étant t
aient de même deux sous-genres ou peut-être deux genres. Mais comme l’
espèce
originelle I différait beaucoup de l’espèce origi
deux genres. Mais comme l’espèce originelle I différait beaucoup de l’
espèce
originelle A, ces deux espèces étant placées pres
ce originelle I différait beaucoup de l’espèce originelle A, ces deux
espèces
étant placées presque aux deux extrémités de la s
ntes. De même, et ceci est une considération de haute importance, les
espèces
intermédiaires qui reliaient les espèces originel
ion de haute importance, les espèces intermédiaires qui reliaient les
espèces
originelles A et I se seront toutes éteintes, exc
té E, sans laisser de descendants modifiés. Il suit de là que les six
espèces
nouvelles descendues de I et les huit procédant d
ntinué, deux ou plusieurs genres peuvent dériver de deux ou plusieurs
espèces
d’un genre unique, et les deux ou plusieurs espèc
deux ou plusieurs espèces d’un genre unique, et les deux ou plusieurs
espèces
mères peuvent descendre elles-mêmes d’une seule e
ou plusieurs espèces mères peuvent descendre elles-mêmes d’une seule
espèce
d’un genre antérieur. Cette ramification généalog
s partent de chacune des lettres majuscules qui représentent les onze
espèces
considérées jusqu’ici comme originelles, et conve
s, et convergent par en bas vers un seul point représentant une seule
espèce
. Cette espèce éteinte et peut-être inconnue serai
nt par en bas vers un seul point représentant une seule espèce. Cette
espèce
éteinte et peut-être inconnue serait la souche un
-nous un instant à considérer quel serait le caractère de la nouvelle
espèce
F14. Nous supposons qu’elle ne s’est pas beaucoup
érée seulement. En pareil cas, ses affinités avec les quatorze autres
espèces
seront curieuses et compliquées. Dérivant d’une f
urieuses et compliquées. Dérivant d’une forme intermédiaire entre les
espèces
mères A et I, que nous supposons alors inconnues
e sera encore en quelque degré intermédiaire entre les deux groupes d’
espèces
descendues de ces deux souches. Mais, comme ces d
n divergeant et en s’éloignant du type de leurs ancêtres, la nouvelle
espèce
F14 ne sera pas directement intermédiaire entre e
es groupes existants. Ce fait s’explique si l’on songe que toutes les
espèces
éteintes ont vécu à des époques de plus en plus r
Or, ces deux nouvelles familles, ou ordres, seront descendues de deux
espèces
du genre originel ; de même que ces deux espèces
t descendues de deux espèces du genre originel ; de même que ces deux
espèces
mères seront elles-mêmes dérivées d’une seule for
peut-être inconnu. Nous avons vu que dans chaque contrée ce sont les
espèces
des plus grands genres qui présentent le plus sou
des plus grands genres qui présentent le plus souvent des variétés ou
espèces
naissantes. On aurait pu préjuger cette loi ; car
l’étendue ou la richesse de formes d’un groupe est une preuve que les
espèces
qui le composent ont hérité en commun quelque ava
ans laisser de descendants modifiés et, conséquemment, que, parmi les
espèces
vivantes à une époque donnée, il en est seulement
principes : premièrement, qu’un très petit nombre des plus anciennes
espèces
ont laissé des descendants ; secondement, que tou
sé des descendants ; secondement, que tous les descendants de la même
espèce
, par une évolution lente et successive, arrivent
t du règne animal ; et quoiqu’un très petit nombre des plus anciennes
espèces
aient encore de nos jours une postérité vivante e
es époques géologiques, la terre peut avoir été peuplée d’un nombre d’
espèces
, de genres, de familles, d’ordres ou de classes a
t de toute variation qui se présente, lorsqu’elle est avantageuse à l’
espèce
ou à ses représentants par rapport à leurs relati
férentes fussent produites77. Des variations survenues chez une seule
espèce
confinée dans une région isolée peuvent lui être
qu’il reste encore beaucoup de choses inexpliquées sur l’origine des
espèces
, si l’on songe à notre profonde ignorance concern
dant ces derniers trois mille ans, on a voulu inférer qu’aucune autre
espèce
ne s’était modifiée en d’autres parties du monde.
que seulement que des variations, accidentellement produites dans une
espèce
quelconque entre toutes, se conservent sous de fa
savant paléontologiste me prête à tort l’idée erronée que toutes les
espèces
d’une contrée se transforment en même temps, et d
ion naturelle, qu’une variété nombreuse en individus vive à côté de l’
espèce
mère dont elle descend : puisque cette variété, p
ation, doit avoir supplanté les formes intermédiaires entre elle et l’
espèce
mère, on ne peut comprendre qu’elle n’ait pas sup
et l’espèce mère, on ne peut comprendre qu’elle n’ait pas supplanté l’
espèce
mère elle-même. Mais si la variété et son espèce
’ait pas supplanté l’espèce mère elle-même. Mais si la variété et son
espèce
mère se sont adaptées à des habitudes de vie légè
souvent très répandues à côté de la forme mère ? Laissant de côté les
espèces
polymorphes, dont les innombrables variations ne
ns séparées. Le professeur Bronn observe encore avec justesse que les
espèces
distinctes ne diffèrent pas les unes des autres e
estiques : quoiqu’elles puissent différer des autres races de la même
espèce
en l’un de leurs organes principalement, cependan
rce : comment la sélection naturelle explique-t-elle que les diverses
espèces
de Souris ou de Lièvres, qui descendent, je dois
explique-t-elle encore qu’une plante ait des feuilles pointues, et l’
espèce
voisine, des feuilles obtuses ? Je ne saurais tro
mpliquée que je ne puis examiner ici. Je dirai seulement que, si deux
espèces
ou deux genres étroitement alliés produisent un g
spèces ou deux genres étroitement alliés produisent un grand nombre d’
espèces
nouvelles et divergentes, il est possible que par
ce du principe d’hérédité, il semble difficile que ces deux groupes d’
espèces
nouvelles ne forment pas au moins deux sections b
de vie purement inorganiques, il me semble qu’un nombre assez borné d’
espèces
suffirait à s’adapter à toutes les combinaisons p
ne beaucoup plus grande importance ; et qu’à mesure que le nombre des
espèces
en chaque contrée va s’accroissant, les condition
ure, et, par conséquent, aucune borne à l’accroissement du nombre des
espèces
. Nous ignorons si même la contrée la plus féconde
de Bonne-Espérance et en Australie, où vivent un nombre si étonnant d’
espèces
, beaucoup de plantes européennes se sont néanmoin
u moins pendant la longue durée de la période tertiaire le nombre des
espèces
de Mollusques, et probablement de Mammifères, ne
itions physiques locales ; et je ne veux pas parler ici du nombre des
espèces
, mais du nombre des individus en masse79. Si donc
masse79. Si donc une contrée était habitée par un très grand nombre d’
espèces
, chacune d’elles, ou au moins le grand nombre, ne
représentées que par un très petit nombre d’individus. Or, de telles
espèces
seraient très exposées à être exterminées, ne ser
tinction en pareil cas serait donc rapide, tandis que la production d’
espèces
nouvelles serait très lente. Qu’on se représente
on se représente le cas extrême où l’Angleterre contiendrait autant d’
espèces
différentes qu’elle contient aujourd’hui d’indivi
, de même que le premier été un peu sec, exterminerait des milliers d’
espèces
. Dans toute contrée où le nombre des espèces s’ac
rminerait des milliers d’espèces. Dans toute contrée où le nombre des
espèces
s’accroîtrait indéfiniment, chaque espèce deviend
e contrée où le nombre des espèces s’accroîtrait indéfiniment, chaque
espèce
deviendrait rare ; et, d’après les principes que
eviendrait rare ; et, d’après les principes que nous avons posés, les
espèces
rares doivent, dans une période donnée, présenter
enter très peu de variations favorables ; de sorte que la formation d’
espèces
nouvelles se trouverait ralentie d’autant. Lorsqu
ation d’espèces nouvelles se trouverait ralentie d’autant. Lorsqu’une
espèce
devient très rare, les croisements entre proches
es avaient été rares, il n’aurait été d’aucun avantage à de pareilles
espèces
d’être si bien adaptées à leur proie, de sorte qu
pèces d’être si bien adaptées à leur proie, de sorte que de pareilles
espèces
n’auraient pu être formées par sélection naturell
on naturelle. Mais l’argument le plus important de tous, c’est qu’une
espèce
dominante, qui a déjà vaincu beaucoup de concurre
s encore ; car, ainsi que l’a démontré Alphonse de Candolle, plus une
espèce
se répand, plus elle tend généralement à se répan
à se répandre. Conséquemment, elle aura chance d’exterminer plusieurs
espèces
en diverses régions, et d’arrêter ainsi l’accrois
nus de différents points du monde se sont successivement établis, les
espèces
indigènes ont été de beaucoup réduites en nombre.
accorder à chacune de ces diverses causes de limitation du nombre des
espèces
? Je ne prétends pas le décider, mais elles doive
ulte de la haute progression géométrique, en raison de laquelle toute
espèce
tend à se multiplier, que tout individu, à certai
is nous voyons déjà comment elle implique l’extinction successive des
espèces
, et la géologie nous apprend quel rôle important
reuve chez les habitants d’un district limité quelconque, et chez les
espèces
naturalisées. Il en résulte que durant la période
n résulte que durant la période de modification des descendants d’une
espèce
quelconque, et en raison de la lutte incessante d
espèce quelconque, et en raison de la lutte incessante de toutes les
espèces
pour s’accroître en nombre, chacune au détriment
, chacune au détriment des autres, plus les descendants de cette même
espèce
variable se diversifieront, plus aussi ils auront
Aussi les petites différences qui distinguent les variétés de la même
espèce
tendent constamment à s’accroître, jusqu’à ce qu’
à ce qu’elles égalent les différences plus profondes qui séparent les
espèces
du même genre, ou même les genres distincts. Nous
me genre, ou même les genres distincts. Nous avons vu que ce sont les
espèces
communes, très répandues dans de vastes et nombre
d’autres groupes. Ainsi, nous voyons d’abord les variétés de la même
espèce
aussi étroitement alliées que possible entre elle
e espèce aussi étroitement alliées que possible entre elles, puis les
espèces
de même genre moins étroitement et plus inégaleme
èces de même genre moins étroitement et plus inégalement alliées. Les
espèces
de genres distincts sont beaucoup moins proches e
les presque sans fin. Au point de vue de la création indépendante des
espèces
, je ne saurais trouver aucune explication raisonn
raison est très exacte. Les rameaux et les bourgeons représentent les
espèces
vivantes ; ceux qui ont végété et fleuri pendant
fleuri pendant les années précédentes représentent la succession des
espèces
éteintes. À chaque saison de croissance, tous les
rmination les branches et rameaux voisins, de la même manière que les
espèces
et groupes d’espèces se sont efforcés de vaincre
s et rameaux voisins, de la même manière que les espèces et groupes d’
espèces
se sont efforcés de vaincre d’autres espèces dans
les espèces et groupes d’espèces se sont efforcés de vaincre d’autres
espèces
dans la grande bataille de la vie. Les bifurcatio
es ramifiées, représente parfaitement la classification de toutes les
espèces
vivantes et éteintes en groupes subordonnés à d’a
nt aujourd’hui encore toutes les autres branches ; de même, parmi les
espèces
qui vécurent à des époques géologiques très recul
a race sans considération des milieux, aborigène comme signifiant une
espèce
que l’on peut croire créée dans une localité, pou
rt lors de la première exploration de la contrée ; indigène, pour les
espèces
qui se sont acclimatées dans un pays et y vivent
en pareille matière, ce terme peut rendre une idée fausse, ainsi une
espèce
peut paraître indigène dans sa patrie natale par
r suite de sa rapide extension en d’autres contrées ; par contre, une
espèce
peut paraître aborigène en une contrée, par suite
C’est pourquoi, en nous servant du terme aborigène, pour désigner les
espèces
spéciales à une contrée, nous lui laisserons un c
laisserons un certain sens indéterminé à l’égard de l’origine de ces
espèces
, et nous garderons celui d’autochtone pour désign
ifiées, comme le montre la figure ; car de deux choses l’une : ou ces
espèces
ont une organisation invariable dont l’inflexibil
qu’un seul cas où elles puissent se perpétuer aussi longtemps que les
espèces
variables ; c’est celui où elles occuperaient des
nt les documents géologiques qui montrent une aussi grande richesse d’
espèces
avec une pauvreté relative de types extrême. (Tra
ue tous les êtres vivants étaient plus uniformes ; et comme, plus les
espèces
sont placées bas dans l’échelle des organismes, p
ce des caractères permet bien une certaine augmentation du nombre des
espèces
qui vivent dans un même lieu, de même qu’une augm
avorables. — III. Causes de la croyance générale à l’immutabilité des
espèces
. — IV. Jusqu’où la théorie de sélection naturelle
quelconque peut avoir existé, chacun de ces degrés étant bon dans son
espèce
. La vérité de ces propositions ne peut, je pense,
peuvent être surmontées. Quant à la stérilité presque universelle des
espèces
lors d’un premier croisement, stérilité qui contr
de différences de constitution dans le système reproducteur des deux
espèces
croisées. La vérité de cette conclusion est établ
des résultats obtenus au moyen de croisements réciproques où les deux
espèces
fournissent alternativement le père et la mère. B
ssants, tandis que dans les premiers croisements les organes des deux
espèces
sont en parfait état. Puisque l’on voit continuel
cendance modifiée sont assez sérieuses. Tous les individus de la même
espèce
, et toutes les espèces du même genre ou même les
assez sérieuses. Tous les individus de la même espèce, et toutes les
espèces
du même genre ou même les groupes encore plus éle
ependant, comme nous avons de fortes raisons pour croire que quelques
espèces
ont gardé la même forme spécifique pendant des pé
ns qu’on peut tirer de la diffusion parfois considérable de ces mêmes
espèces
; car, pendant de si longues périodes, elles auro
dispersion lointaine. L’extension discontinue et brisée de certaines
espèces
peut souvent s’expliquer par leur extinction dans
té grande l’influence de la période glaciaire sur la distribution des
espèces
identiques ou représentatives dans le monde entie
resque rien des divers moyens accidentels de transport. À l’égard des
espèces
distinctes d’un même genre, qui habitent des régi
fficulté qu’on pourrait trouver dans la grande extension de certaines
espèces
d’un même genre est en quelque chose amoindrie. C
édiaires doivent avoir existé, reliant les unes aux autres toutes les
espèces
de chaque groupe par des degrés de transition aus
de vie changent insensiblement en allant d’un district habité par une
espèce
à un autre district occupé par des espèces étroit
’un district habité par une espèce à un autre district occupé par des
espèces
étroitement alliées, nous ne pouvons prétendre qu
médiaires. Car nous avons des motifs de croire que seulement quelques
espèces
d’un genre subissent des changements, tandis que
s espèces d’un genre subissent des changements, tandis que les autres
espèces
s’éteignent entièrement sans laisser de postérité
s’éteignent entièrement sans laisser de postérité modifiée. Parmi les
espèces
qui varient, un petit nombre seulement dans la mê
monde, extermination renouvelée à chaque période successive entre des
espèces
aujourd’hui éteintes et des formes encore plus an
s de nombreuses formes vivantes, elles ne nous montrent pas entre les
espèces
passées et présentes les degrés de transition inf
es celles qu’on peut lui faire. Pourquoi encore des groupes entiers d’
espèces
alliées semblent-ils apparaître soudain dans les
nt absolument rien auprès des innombrables générations d’innombrables
espèces
qui ont certainement existé. La forme mère de deu
es qui ont certainement existé. La forme mère de deux ou de plusieurs
espèces
ne serait pas directement intermédiaire dans tous
e gorge et le Pigeon-Paon. Il nous serait impossible de reconnaître l’
espèce
mère d’une ou de plusieurs autres espèces, lors m
impossible de reconnaître l’espèce mère d’une ou de plusieurs autres
espèces
, lors même que nous pourrions comparer l’une avec
uvertes, qu’elles seraient tout simplement considérées comme autant d’
espèces
nouvelles, surtout si elles étaient trouvées en d
erver à l’état fossile, au moins en nombre de quelque importance. Les
espèces
très répandues sont celles qui varient le plus, e
é soudainement créées, et on les classe simplement comme de nouvelles
espèces
. La plupart des formations fossilifères sont le r
es suffisamment longues, la géologie prouve clairement que toutes les
espèces
ont changé, et qu’elles ont changé comme le requi
st bien difficile de déterminer avec certitude jusqu’à quel point nos
espèces
domestiques ont été modifiées ; mais nous pouvons
us utiles. Il est certain qu’on peut transformer les caractères d’une
espèce
en choisissant à chaque génération successive des
es produites par l’homme aient, dans une large mesure, le caractère d’
espèces
naturelles, il n’en faut pas d’autres preuves que
nous sommes, si quelques-unes d’entre elles sont des variétés ou des
espèces
originairement distinctes. Il n’est aucune bonne
rminer quel individu vivra et lequel mourra, quelle variété ou quelle
espèce
s’accroîtra en nombre, et laquelle diminuera ou s
lle diminuera ou sera finalement éteinte. Comme les individus de même
espèce
entrent à tous égards en plus étroite concurrence
ux. Elle est presque également sérieuse entre les variétés de la même
espèce
, et grave encore entre les espèces du même genre
ieuse entre les variétés de la même espèce, et grave encore entre les
espèces
du même genre ; mais la lutte peut exister souven
anchées ou entre les variétés mieux marquées, les sous-espèces et les
espèces
. Qu’on observe enfin combien les naturalistes dif
x faits et aux arguments qui me sont favorables. En admettant que les
espèces
sont seulement des variétés fortement tranchées e
ulement des variétés fortement tranchées et permanentes et que chaque
espèce
a existé d’abord comme variété, nous pouvons comp
prendre pourquoi aucune ligne de démarcation n’est possible entre les
espèces
, qu’on suppose communément avoir été formées par
ons comprendre comment il se fait que, dans toute région où plusieurs
espèces
d’un genre ont été produites et où elles florisse
enre ont été produites et où elles florissent actuellement, ces mêmes
espèces
présentent de nombreuses variétés ; car, où la fo
espèces présentent de nombreuses variétés ; car, où la formation des
espèces
a été active, nous pouvons nous attendre, en règl
action : or, tel est en effet le cas, si les variétés ne sont que des
espèces
à l’état naissant. De plus, les espèces des plus
les variétés ne sont que des espèces à l’état naissant. De plus, les
espèces
des plus grands genres, qui contiennent le plus g
us grands genres, qui contiennent le plus grand nombre de variétés ou
espèces
naissantes, gardent elles-mêmes, jusqu’à un certa
les diffèrent les unes des autres par de moindres différences que les
espèces
de genres moins nombreux. Les espèces étroitement
de moindres différences que les espèces de genres moins nombreux. Les
espèces
étroitement alliées des plus grands genres parais
rs affinités, elles sont renfermées en petits groupes autour d’autres
espèces
: sous ces divers rapports elles ressemblent donc
alogies sont étranges au point de vue de la création indépendante des
espèces
; mais, si toutes les espèces existèrent d’abord
de vue de la création indépendante des espèces ; mais, si toutes les
espèces
existèrent d’abord comme variétés, elles sont ais
d’abord comme variétés, elles sont aisées à comprendre. Comme chaque
espèce
, en vertu de la progression géométrique de reprod
e désordonnément en nombre, et que les descendants modifiés de chaque
espèce
se multiplieront d’autant plus qu’ils se diversif
constante à conserver les descendants les plus divergents de quelque
espèce
que ce soit. Il suit de là que, durant le cours l
s, les légères différences, qui caractérisent les variétés de la même
espèce
, tendent à s’accroître jusqu’aux différences plus
s’accroître jusqu’aux différences plus grandes qui caractérisent les
espèces
du même genre. Des variétés nouvelles et plus par
iennes, moins parfaites et intermédiaires, et il en résultera que les
espèces
deviendront ainsi mieux déterminées et plus disti
s espèces deviendront ainsi mieux déterminées et plus distinctes. Les
espèces
dominantes, appartenant aux principaux groupes de
vations. Mais pourquoi cette loi de nature existerait-elle, si chaque
espèce
avait été indépendamment créée ? Nul ne saurait l
ou d’un Grèbe, et ainsi de suite en mille autres cas. Mais si chaque
espèce
s’efforce constamment de croître en nombre, si la
res qui lui sont propres. À l’égard des variétés, comme à l’égard des
espèces
, l’usage ou le défaut d’exercice des organes semb
lus ou moins complétement atrophié. Chez les variétés, comme chez les
espèces
, la corrélation de croissance semble avoir eu une
autres se modifient nécessairement. Chez les variétés, comme chez les
espèces
, des caractères perdus depuis longtemps sont suje
on variable de rayures sur les épaules et sur les jambes de plusieurs
espèces
du genre Cheval ou de leurs hybrides ? Combien, a
n, au contraire, ce fait s’explique simplement, si l’on admet que ces
espèces
soient descendues d’un ancêtre rayé, de la même m
biset bleu rayé de noir. Du point de vue ordinaire, qui admet chaque
espèce
comme indépendamment créée, pourquoi les caractèr
urquoi les caractères spécifiques, c’est-à-dire ceux par lesquels les
espèces
du même genre différent les unes des autres, sera
couleur d’une fleur serait-elle plus sujette à varier dans certaines
espèces
d’un genre, si les autres, qu’on suppose avoir ét
ées séparément, ont des fleurs de couleurs diverses, que sitoutes les
espèces
du genre n’ont que des fleurs de même couleur ? S
es les espèces du genre n’ont que des fleurs de même couleur ? Si les
espèces
sont seulement des variétés bien tranchées, dont
réation, pourquoi un organe développé d’une manière anormale chez une
espèce
quelconque d’un genre et conséquemment de grande
uelconque d’un genre et conséquemment de grande importance pour cette
espèce
, ainsi qu’il est naturel de l’inférer, est éminem
subi une somme inaccoutumée de modifications depuis que les diverses
espèces
du genre se sont séparées de leur ancêtre commun
géniture pour hériter des effets d’une longue habitude. Si toutes les
espèces
d’un même genre sont descendues d’un même parent
arent et ont hérité beaucoup en commun, on peut concevoir comment des
espèces
alliées, placées dans des conditions d’existence
erle de l’Amérique du Sud enduit son nid avec de la boue, comme notre
espèce
britannique. Si les instincts s’acquièrent lentem
d nombre soient une cause de souffrance pour d’autres animaux. Si les
espèces
sont seulement des variétés permanentes et bien t
dans le degré ou la nature de ses ressemblances avec l’une ou l’autre
espèce
mère que la postérité métisse issue de variétés r
nalogies. Ces faits seraient, au contraire, des plus étranges, si les
espèces
avaient été indépendamment créées et les variétés
nous offre sont à l’appui de la théorie de descendance modifiée. Les
espèces
nouvelles ont apparu sur la scène du monde lentem
aux est très différente dans les différents groupes. L’extinction des
espèces
et des groupes entiers d’espèces, qui a joué un r
différents groupes. L’extinction des espèces et des groupes entiers d’
espèces
, qui a joué un rôle si important dans l’histoire
vent être supplantées par des formes nouvelles plus parfaites. Ni les
espèces
isolées ni les groupes d’espèces ne peuvent repar
mes nouvelles plus parfaites. Ni les espèces isolées ni les groupes d’
espèces
ne peuvent reparaître, quand une fois la chaîne d
es exemples, devient compréhensible ; car dans une contrée isolée les
espèces
récentes doivent naturellement être alliées aux e
ée isolée les espèces récentes doivent naturellement être alliées aux
espèces
éteintes par un lien généalogique. Quant à la dis
de vie aussi semblables qu’il est nécessaire à l’existence des mêmes
espèces
, il n’est point surprenant que leurs habitants di
explique pourquoi des îles océaniques doivent être peuplées de rares
espèces
et comment la plupart d’entre elles leur sont par
stres, ne peuvent habiter ces îles, et pourquoi, d’un autre côté, des
espèces
nouvelles et particulières de Chauves-Souris, gen
quemment sur des îles éloignées de tout continent. La présence de ces
espèces
particulières de Chauves-Souris et l’absence d’au
d’après la théorie des actes de création indépendants. L’existence d’
espèces
alliées ou d’espèces représentatives en deux aire
es actes de création indépendants. L’existence d’espèces alliées ou d’
espèces
représentatives en deux aires organiques quelconq
eption que, lorsque deux régions séparées sont habitées par plusieurs
espèces
analogues, quelque espèce identique, commune à to
gions séparées sont habitées par plusieurs espèces analogues, quelque
espèce
identique, commune à toutes les deux, y existe en
toutes les deux, y existe encore. Partout où l’on rencontre plusieurs
espèces
étroitement alliées, mais cependant distinctes, b
ndant distinctes, beaucoup de formes douteuses et de variétés de même
espèce
se montrent pareillement. C’est une règle de haut
orie de sélection naturelle, avec ses conséquences, les extinctions d’
espèces
et la divergence des caractères, est la seule qui
es nous expliquent comment il se fait que les affinités mutuelles des
espèces
et des genres de chaque classe soient si complexe
ons à le comprendre. III. Causes de la croyance à l’immutabilité des
espèces
. — Je viens de récapituler les considérations et
fondément convaincu que, pendant une longue suite de générations, les
espèces
se sont modifiées par la conservation ou la sélec
naturalistes et géologues ont rejeté cette idée de la mutabilité des
espèces
. On ne peut affirmer que les êtres organisés ne s
Aucune distinction absolue n’a été et ne peut être établie entre les
espèces
et les variétés bien tranchées. On ne peut souten
s espèces et les variétés bien tranchées. On ne peut soutenir que les
espèces
croisées soient invariablement stériles et les va
pécial et un signe de création indépendante. Mais la croyance que les
espèces
sont d’immuables productions était presque inévit
pour devoir nous fournir l’entière certitude de la transformation des
espèces
, si elles en ont en effet subi la loi. Mais la pr
ais la principale cause de notre mauvais vouloir à reconnaître qu’une
espèce
a donné naissance à d’autres espèces distinctes,
vais vouloir à reconnaître qu’une espèce a donné naissance à d’autres
espèces
distinctes, c’est que nous répugnons toujours à a
e et qui d’eux-mêmes ont déjà commencé à douter de l’immutabilité des
espèces
, peuvent être influencés par cet ouvrage ; mais j
alité. Tous ceux qui ont déjà été amenés à croire à la mutabilité des
espèces
rendront un vrai service à la science en expriman
listes éminents ont exprimé depuis peu la croyance qu’une multitude d’
espèces
admises dans chaque genre ne sont pas de vraies e
e multitude d’espèces admises dans chaque genre ne sont pas de vraies
espèces
, mais que d’autres sont bien réelles, c’est-à-dir
qui, conséquemment, ont tous les caractères extérieurs de véritables
espèces
. Ils admettent qu’elles sont le produit d’une sui
osés ait produit un seul individu ou plusieurs ? Le nombre infini des
espèces
animales ou végétales ont-elles été créées à l’ét
peut se demander jusqu’où s’étend la doctrine de la modification des
espèces
. La question est difficile à résoudre, parce que,
cependant construites sur le même plan ; et à l’âge embryonnaire les
espèces
se ressemblent les unes aux autres de fort près.
sque des vues analogues seront généralement admises sur l’origine des
espèces
, on peut vaguement prévoir qu’il s’accomplira une
our savoir si une cinquantaine de Ronces anglaises sont de véritables
espèces
. Les systématistes auront seulement à décider, et
ralistes, comme suffisantes pour les élever toutes les deux au rang d’
espèces
. Plus tard, nous serons obligés de reconnaître qu
ns obligés de reconnaître que la seule distinction possible entre les
espèces
et les variétés bien tranchées consiste seulement
d’accord avec la langue vulgaire. En somme, nous aurons à traiter les
espèces
, comme sont traités les genres par ceux d’entre l
auxquelles donne lieu l’essence inconnue et indécouvrable du terme d’
espèce
. Une autre branche plus générale de l’histoire na
homme sera un sujet d’étude plus intéressant et plus important qu’une
espèce
nouvellement découverte et ajoutée encore au nomb
espèce nouvellement découverte et ajoutée encore au nombre infini des
espèces
déjà connues. Nos classifications deviendront, au
aillibles, quant à la nature des organes perdus depuis longtemps. Les
espèces
et groupes d’espèces, qu’on nomme aberrants, et q
nature des organes perdus depuis longtemps. Les espèces et groupes d’
espèces
, qu’on nomme aberrants, et qu’on pourrait appeler
lasse. Lorsque nous serons certains que tous les individus de la même
espèce
, et toutes les espèces alliées de la plupart des
rons certains que tous les individus de la même espèce, et toutes les
espèces
alliées de la plupart des genres, sont descendus
tion d’exacte contemporanéité entre deux formations, renfermant peu d’
espèces
identiques, d’après la seule succession générale
ssion générale des formes organiques qu’elles nous livrent. Comme les
espèces
se forment et s’éteignent par des causes toujours
re du laps de temps écoulé entre elles. Cependant un certain nombre d’
espèces
, se maintenant en corps, pourraient se perpétuer
longues périodes, tandis que, pendant le même temps, plusieurs de ces
espèces
, venant à émigrer en d’autres contrées et à entre
ents auteurs semblent pleinement satisfaits de l’hypothèse que chaque
espèce
a été indépendamment créée. À mon avis, ce que no
jugeant l’avenir du passé, nous pouvons prédire avec sûreté qu’aucune
espèce
vivante ne transmettra sa ressemblance inaltérée
oupement des êtres organisés nous montre que le plus grand nombre des
espèces
de chaque genre n’ont laissé aucun descendant, ma
r un regard prophétique dans l’avenir jusqu’à prédire que ce sont les
espèces
communes et très répandues, appartenant aux group
prévaudront ultérieurement et qui donneront naissance à de nouvelles
espèces
dominantes. Comme toutes les formes vivantes actu
luxuriant, couvert de nombreuses plantes appartenant à de nombreuses
espèces
, avec des oiseaux chantant dans les buissons, des
du défaut d’exercice des organes ; c’est la loi de multiplication des
espèces
en raison géométrique, qui a pour conséquence la
nique, rien de plus. Ce serait donc bien d’un type, d’une forme d’une
espèce
unique, mais non d’un seul individu que tous les
été le parallélisme, doit nécessairement avoir été trop différent. L’
espèce
ou plutôt la race aurait donc ainsi un fondement
la communauté d’origine aurait une valeur absolue pour délimiter les
espèces
. La difficulté serait de l’établir sur des preuve
ait de l’établir sur des preuves. Mais il est fort présumable que ces
espèces
, ainsi déterminées par les lois de la nature elle
eur mouvement en raison contraire, comme on l’observe chez toutes les
espèces
sociales que forment généralement les degrés les
endant les faits prouvent tout le contraire. Non seulement beaucoup d’
espèces
d’eau douce, appartenant aux classes les plus dif
classes les plus différentes, ont une extension très vaste ; mais des
espèces
alliées prévalent, dans le monde entier, de la ma
iques, les plus grandes analogies, fait d’autant plus étrange que les
espèces
terrestres étaient complétement différentes de no
ge que les espèces terrestres étaient complétement différentes de nos
espèces
européennes. Cette grande faculté d’extension des
à cours d’eau. Il en résulte presque nécessairement que de semblables
espèces
sont plus propres que d’autres à une dispersion l
les de cette loi. À l’égard des poissons, je ne crois pas que la même
espèce
se soit rencontrée dans les eaux douces de contin
s de continents séparés et distants. Mais, sur le même continent, les
espèces
s’étendent souvent beaucoup et presque capricieus
pricieusement ; car deux systèmes de rivières auront parfois quelques
espèces
en commun et quelques autres très différentes. Ce
jà peuplée de coquillages terrestres et d’eau douce appartenant à des
espèces
encore vivantes. La grande différence des poisson
nts cours d’eau, semble conduire aux mêmes conclusions. À l’égard des
espèces
alliées de poissons d’eau douce, qu’on retrouve s
t confinés dans les eaux douces ; de sorte qu’on peut admettre qu’une
espèce
marine appartenant à un groupe composé, en généra
pter, en se modifiant, aux eaux douces d’une terre éloignée. Quelques
espèces
de coquillages d’eau douce ont aussi une vaste ex
èces de coquillages d’eau douce ont aussi une vaste extension, et des
espèces
alliées, qui, d’après ma théorie, descendent d’un
par l’eau de mer. Je ne pouvais pas même comprendre comment quelques
espèces
naturalisées s’étaient rapidement répandues dans
, on sait depuis longtemps quelle est l’extension immense de quelques
espèces
d’eau douce et même de marais, sur les deux conti
te à mesure qu’elle croissait. Ces plantes appartenaient à beaucoup d’
espèces
différentes, et j’en comptai en tout 537. Cependa
uce à de grandes distances, et si, en conséquence, l’extension de ces
espèces
n’était pas considérable. La même intervention pe
oué leur rôle. J’ai dit que les poissons d’eau douce mangent quelques
espèces
de graines, mais ils en rejettent beaucoup d’autr
quelques espèces de graines, mais ils en rejettent beaucoup d’autres
espèces
après les avoir avalées ; et même de petits poiss
it toujours une certaine concurrence entre les individus des diverses
espèces
, si peu nombreuses qu’elles soient, qui occupent
mbreuses qu’elles soient, qui occupent un étang, cependant, comme ces
espèces
sont en petit nombre en comparaison de celles qui
nt sur la terre, la concurrence est probablement moins vive entre les
espèces
aquatiques qu’entre les espèces terrestres. Consé
est probablement moins vive entre les espèces aquatiques qu’entre les
espèces
terrestres. Conséquemment un immigrant, venu des
ient moins vite que d’autres plus élevés, il doit on résulter que les
espèces
aquatiques jouissent en moyenne d’un temps plus l
our accomplir leurs migrations. Il ne faut pas oublier que beaucoup d’
espèces
d’eau douce ont probablement eu antérieurement un
ouce et des animaux lacustres ou fluviatiles inférieurs, soit que les
espèces
demeurent identiques ou qu’elles se modifient plu
s qu’on puisse élever contre l’idée que tous les individus de la même
espèce
, ou même d’espèces alliées, sont descendus d’un p
ver contre l’idée que tous les individus de la même espèce, ou même d’
espèces
alliées, sont descendus d’un premier parent uniqu
eux théories de création indépendante et de descendance modifiée. Les
espèces
de tout ordre qui habitent les îles océaniques so
nes. Si l’on adopte l’hypothèse de la création indépendante de chaque
espèce
distincte, il faut alors admettre que sur chaque
s îles océaniques soient en général peuplées d’un très petit nombre d’
espèces
, la proportion des espèces autochtones, c’est-à-d
général peuplées d’un très petit nombre d’espèces, la proportion des
espèces
autochtones, c’est-à-dire qu’on ne trouve nulle a
seaux tout particuliers de l’archipel des Galapagos, avec le nombre d’
espèces
appartenant à ces mêmes classes qui sont spéciale
une loi générale qu’on aurait pu prévoir d’après ma théorie ; car des
espèces
arrivant de temps à autre, et peut-être à de long
descendants modifiés. Mais parce que dans une île presque toutes les
espèces
d’une certaine classe sont particulières à cette
sont particulières à cette station, il ne s’ensuit nullement que les
espèces
d’une autre classe ou d’une autre section de la m
lasse doivent être nécessairement locales. Cette différence entre les
espèces
d’une même station semble dépendre en partie de c
ait le prévoir. Ainsi, les îles Galapagos sont habitées par vingt-six
espèces
d’oiseaux terrestres, dont vingt et une, ou peut-
ingt-trois, sont particulières à ces îles ; tandis que parmi les onze
espèces
marines on n’en compte que deux qui soient propre
M. E.-V. Harcourt. Aussi cette île, habitée par quatre-vingt-dix-neuf
espèces
d’oiseaux, n’en compte-t-elle qu’un qui lui soit
i soit particulier, encore est-il en relation étroite avec une de nos
espèces
européennes. Trois ou quatre autres espèces sont
n étroite avec une de nos espèces européennes. Trois ou quatre autres
espèces
sont confinées à Madère et aux Canaries162. Les B
s uns aux autres. Une fois établie dans leur nouvelle station, chaque
espèce
aura été maintenue par les autres dans ses propre
’aura pas dû subir beaucoup de modifications. Si quelques-unes de ces
espèces
avaient manifesté quelque tendance à se modifier,
ée. Mais Madère est, d’autre côté, habitée par un nombre surprenant d’
espèces
particulières de mollusques terrestres, tandis qu
èces particulières de mollusques terrestres, tandis que pas une seule
espèce
de coquilles marines n’est confinée exclusivement
èrement tout en gardant néanmoins ses graines typiques, et former une
espèce
autochtone, pourvue d’un appendice aussi inutile
rs strates tertiaires. D’ailleurs, le temps a suffi à la production d’
espèces
autochtones appartenant à d’autres classes, et l’
sur l’océan Atlantique à une très grande distance des côtes, et deux
espèces
de l’Amérique du Nord, régulièrement ou de temps
Tomes, qui a fait une étude spéciale de cette famille, que beaucoup d’
espèces
ont une extension considérable, et se trouvent ég
oignées. Il ne reste donc plus qu’à supposer que quelques-unes de ces
espèces
voyageuses se sont modifiées par sélection nature
erme la plus voisine, et la présence en l’une et en l’autre des mêmes
espèces
de Mammifères ou d’espèces alliées plus ou moins
présence en l’une et en l’autre des mêmes espèces de Mammifères ou d’
espèces
alliées plus ou moins modifiées. M. Windsor Earl
brasses, et nous trouvons encore ici des formes américaines, mais les
espèces
on même les genres sont distincts. Comme la somme
d des habitants des îles océaniques, c’est-à-dire le petit nombre des
espèces
, et la richesse proportionnelle des formes autoch
, sont habitées par des coquilles terrestres, et généralement par des
espèces
autochtones, mais quelquefois aussi par des espèc
éralement par des espèces autochtones, mais quelquefois aussi par des
espèces
qu’on trouve autre part. Le Dr Aug. A. Gould a fa
erser ainsi des bras de mer assez larges. J’ai constaté que plusieurs
espèces
peuvent en cet état résister à une immersion de s
rta encore ce traitement sans paraître en avoir souffert. Comme cette
espèce
possède un épais opercule calcaire, je l’enlevai,
terres fermes les plus voisines, sans cependant qu’ils soient de même
espèce
. On pourrait donner d’innombrables exemples de ce
y trouve, vingt et un et peut-être vingt-trois sont rangés comme des
espèces
distinctes qu’on suppose créées dans le lieu même
lus manifeste que les affinités de la plupart de ces oiseaux avec des
espèces
américaines, dans leurs habitudes, leurs mouvemen
sur une terre américaine. Pourquoi en serait-il ainsi ? Pourquoi les
espèces
qu’on suppose créées dans l’archipel Galapagos, e
Ainsi les diverses îles du groupe des Galapagos sont habitées par des
espèces
dont les affinités sont réellement étonnantes, ai
rtante à leur succès dans la vie. Laissant de côté pour un moment les
espèces
autochtones qui ne peuvent être comprises ici ave
elle aura favorisé dans chaque île des variétés différentes. Quelques
espèces
cependant ont pu s’étendre dans tout l’archipel,
mêmes caractères, de même que nous voyons sur nos continents quelques
espèces
prendre une grande extension et demeurer partout
indre degré en quelques autres cas analogues, c’est que les nouvelles
espèces
formées dans chacune des diverses îles de cet arc
mons souvent une opinion fort erronée, lorsque nous supposons que des
espèces
proche-alliées envahissent nécessairement le terr
ibres communications s’établissent entre elles. Sans doute que si une
espèce
a quelques avantages sur une autre, elle la suppl
our quelque période que ce soit. Parce que nous savons que beaucoup d’
espèces
, naturalisées par l’intermédiaire de l’homme, se
trées nouvelles, nous sommes disposés à en inférer que la plupart des
espèces
doivent se répandre de même ; mais il faut se sou
cependant distincts dans chacune d’elles ; ainsi l’on y connaît trois
espèces
du Merle moqueur, confinées chacune dans une île
r ? On doit croire que l’île Charles est suffisamment peuplée par son
espèce
locale d’autant de Merles moqueurs qu’elle en peu
l ne peut être élevé d’oiseaux ; et il est supposable également que l’
espèce
particulière à l’île Charles est au moins aussi b
île Charles est au moins aussi bien adaptée à sa propre station que l’
espèce
particulière à l’île Chatham l’est à la sienne. S
voisin de Porto-Santo possèdent beaucoup de coquillages terrestres d’
espèces
distinctes, mais représentatives, parmi lesquelle
Porto-Santo à Madère, cependant Madère n’a point été colonisé par les
espèces
de Porto-Santo, bien que l’une et l’autre île aie
ne et l’autre île aient reçu des colonies de coquillages terrestres d’
espèces
européennes, qui sans doute avaient quelque avant
es considérations que nous aurions tort de nous étonner de ce que les
espèces
autochtones et représentatives qui habitent les d
robablement joué un rôle important en mettant obstacle au mélange des
espèces
proche-alliées sous les mêmes conditions de vie.
néral que la faune et la flore des îles océaniques, lors même que les
espèces
n’en sont pas identiques, soient cependant en rel
sur chaque montagne, dans chaque lac et dans chaque marais ; car les
espèces
alpines, avec cette réserve toutefois que les mêm
ette réserve toutefois que les mêmes formes, principalement parmi les
espèces
végétales, se sont répandues par le monde entier
s terres environnantes. Ainsi nous avons, dans l’Amérique du Sud, des
espèces
alpines d’Oiseaux-mouches, de rongeurs, de plante
lque éloignées qu’elles soient l’une de l’autre, on trouve beaucoup d’
espèces
proche-alliées ou représentatives, ou y trouve ég
ces proche-alliées ou représentatives, ou y trouve également quelques
espèces
identiques, montrant, d’accord avec les remarques
e migration réciproque. De même, partout où l’on rencontre beaucoup d’
espèces
proche-alliées, on observe aussi beaucoup de form
aussi beaucoup de formes rangées par quelques naturalistes comme des
espèces
et par d’autres comme des variétés : ces formes d
édé de modification. Ce rapport entre la puissance de migration d’une
espèce
, soit dans les temps actuels, soit à une époque a
ence en des points du monde très éloignés les uns des autres d’autres
espèces
proche-alliées, peut se démontrer encore d’une au
genres d’oiseaux les plus répandus dans le monde entier, beaucoup des
espèces
qui les composent ont aussi une extension très va
i lesquelles tant de genres sont répandus partout, et dont beaucoup d’
espèces
ont une extension si vaste. Ce n’est pas cependan
endant que, dans les genres répandus dans le monde entier, toutes les
espèces
aient toujours une grande extension, ni même qu’e
te faculté de se répandre partout ; car la facilité avec laquelle les
espèces
très répandues varient et donnent naissance à de
t limiter leur extension moyenne. Ainsi, que deux variétés de la même
espèce
habitent l’Europe et l’Amérique, et l’espèce aura
deux variétés de la même espèce habitent l’Europe et l’Amérique, et l’
espèce
aura conséquemment une grande extension ; mais qu
ion soit plus considérable, et les deux variétés seront rangées comme
espèces
distinctes, de sorte que leur extension commune s
ux dans des contrées éloignées. En partant du principe que toutes les
espèces
d’un même genre descendent d’un ancêtre unique, q
transformation de sa postérité, d’abord en variétés, puis ensuite en
espèces
distinctes. Quand on considère la vaste extension
plusieurs d’entre eux sont extrêmement anciens, et que leurs diverses
espèces
doivent s’être séparées de l’ancêtre commun à une
ent pu se présenter, et, conséquemment, pour que quelques-unes de ces
espèces
aient pu émigrer dans tous les coins du monde, où
nantes, en dépit de la grande différence des stations ; c’est que les
espèces
distinctes qui habitent les îlots d’un même archi
le d’après la théorie ordinaire de la création indépendante de chaque
espèce
; mais elles sont aisément explicables au point d
de la région la plus voisine et la plus favorable aux migrations des
espèces
, combinées avec la faculté de modification et d’a
tentées ; si nous songeons combien il peut être arrivé souvent qu’une
espèce
se soit étendue sur de vastes régions continues,
nsurmontable qui empêche d’admettre que tous les individus de la même
espèce
, en quelque lieu qu’ils vivent actuellement, ne s
ution géographique des sous-genres, genres et familles. À l’égard des
espèces
distinctes du même genre, qui, d’après ma théorie
en ce cas comme dans celui de la dispersion des individus de la même
espèce
. Comme exemple des effets des changements climaté
admettre que dans le cours prolongé du temps les individus de la même
espèce
, de même que les espèces alliées, aient procédé d
rs prolongé du temps les individus de la même espèce, de même que les
espèces
alliées, aient procédé de la même source ; alors,
le montrer, pourquoi les îles océaniques ne doivent compter que peu d’
espèces
, mais comment il se fait que, parmi ces espèces,
ent compter que peu d’espèces, mais comment il se fait que, parmi ces
espèces
, un grand nombre soient particulières et autochto
des moyens de migrations, un groupe d’êtres peut ne renfermer que des
espèces
autochtones, tandis que les espèces d’un autre gr
d’êtres peut ne renfermer que des espèces autochtones, tandis que les
espèces
d’un autre groupe de la même classe sont communes
ques ; tandis que même les plus isolées d’entre elles possèdent leurs
espèces
particulières de mammifères aériens, c’est-à-dire
ne de l’autre, il existe une certaine corrélation entre la présence d’
espèces
identiques, de variétés ou d’espèces douteuses, e
corrélation entre la présence d’espèces identiques, de variétés ou d’
espèces
douteuses, et celle d’espèces distinctes, mais re
d’espèces identiques, de variétés ou d’espèces douteuses, et celle d’
espèces
distinctes, mais représentatives. Il est un point
nombre de faits établissent cette analogie. Ainsi, la durée de chaque
espèce
et groupe d’espèce est continue dans la successio
blissent cette analogie. Ainsi, la durée de chaque espèce et groupe d’
espèce
est continue dans la succession des âges : du moi
l est certainement de règle générale que les régions habitées par une
espèce
isolée ou par un groupe d’espèces alliées soient
ale que les régions habitées par une espèce isolée ou par un groupe d’
espèces
alliées soient continues : les exceptions, assez
moyens de transports occasionnels, et par l’extinction partielle de l’
espèce
immigrante en quelques-unes des stations interméd
s des stations intermédiaires. Dans le temps comme dans l’espace, les
espèces
et groupes d’espèces ont leur point maximum de dé
édiaires. Dans le temps comme dans l’espace, les espèces et groupes d’
espèces
ont leur point maximum de développement. Les grou
upes d’espèces ont leur point maximum de développement. Les groupes d’
espèces
qui appartiennent spécialement, soit à une certai
absolue, puisqu’il n’y aurait eu qu’une seule forme vivante à la fois
espèce
, genre, classe, etc. Mais, d’autre côté, il faut
dire chaque individu, tendit par cela même à faire race, et par suite
espèce
; de sorte qu’il en dut résulter une différenciat
naturelle dut commencer à agir pour fixer, déterminer et limiter les
espèces
qui restèrent encore longtemps très variables. Le
fait qu’un grand nombre d’individus peuvent être détruits sans que l’
espèce
périsse, parce qu’il suffit d’un petit nombre d’i
oyens de transport et de dispersion plus difficiles, surtout pour les
espèces
terrestres, en général supérieures dans toutes le
spèces terrestres, en général supérieures dans toutes les classes aux
espèces
marines, ne leur permettent pas de prendre une ex
les souches-mères ne s’éteignent pas pour cela ; tandis que parmi les
espèces
supérieures terrestres, enfermées dans des limite
organisation s’élève et s’élève de plus en plus rapidement au moyen d’
espèces
progressives, formant comme les bourgeons termina
e vitale plus sérieuse entre les individus et les variétés de la même
espèce
, souvent sérieuse entre les espèces du même genre
dividus et les variétés de la même espèce, souvent sérieuse entre les
espèces
du même genre. — X. Les rapports d’organisme à or
te fort peu qu’une multitude de formes douteuses reçoivent les noms d’
espèces
, sous-espèces ou variétés, et quel rang, par exem
pèces ou variétés, et quel rang, par exemple, les deux ou trois cents
espèces
douteuses de plantes anglaises doivent tenir, si
e nous est cependant que de peu de secours pour expliquer comment les
espèces
arrivent à se former naturellement. Comment se so
On peut encore se demander comment les variétés, que j’ai nommées des
espèces
naissantes, se transforment plus tard en des espè
j’ai nommées des espèces naissantes, se transforment plus tard en des
espèces
bien distinctes, qui, dans les cas les plus nombr
es beaucoup plus que ne le font ordinairement les variétés d’une même
espèce
; comment aussi se forment ces groupes d’espèces
s variétés d’une même espèce ; comment aussi se forment ces groupes d’
espèces
qui constituent ce que l’on appelle des genres di
des genres distincts et qui diffèrent les uns des autres plus que les
espèces
de chaque genre ne diffèrent entre elles. Tous ce
de chances de survivance ; car, entre les nombreux individus de toute
espèce
qui naissent périodiquement, un petit nombre seul
maturité, plus véritablement encore doit lutter contre les plantes d’
espèces
semblables ou différentes qui recouvrent déjà le
our que ceux-ci en disséminent les graines plutôt que celles d’autres
espèces
. En ces différentes acceptions, qui se fondent le
struggle for life). III. Progression géométrique d’accroissement des
espèces
. — La concurrence vitale résulte inévitablement d
ines années ; autrement, d’après la loi de progression géométrique, l’
espèce
atteindrait à un nombre d’individus si énorme, qu
exister une concurrence sérieuse, soit entre les individus de la même
espèce
, soit entre les individus d’espèces distinctes, s
oit entre les individus de la même espèce, soit entre les individus d’
espèces
distinctes, soit enfin une lutte contre les condi
s, ni aucune abstention prudente dans les mariages. Bien que quelques
espèces
soient actuellement en voie de s’accroître en nom
seul couple, si des causes de destruction n’intervenaient pas. Même l’
espèce
humaine, dont la reproduction est si lente, peut
tres l’année suivante, et ainsi de suite, en vingt années seulement l’
espèce
possédera un million d’individus. On sait que l’É
raient incroyables. Il en est de même des plantes : on peut citer des
espèces
végétales nouvellement introduites en certaines î
te de l’accroissement extraordinaire et de la grande diffusion de ces
espèces
naturalisées dans leur nouvelle patrie. À l’état
pas annuellement. On peut en toute sécurité en inférer que toutes les
espèces
de plantes ou d’animaux tendent à se multiplier e
ne vingtaine ; et cependant en une même contrée le Condor peut être l’
espèce
la plus nombreuse des deux. Le Fulmar Pétrel (Pro
el (Procellaria glacialis) ne pond qu’un seul œuf ; néanmoins c’est l’
espèce
la plus nombreuse que l’on connaisse parmi les oi
s cette différence ne décide nullement du nombre d’individus des deux
espèces
qu’un même district peut nourrir. Il est de quelq
qu’un même district peut nourrir. Il est de quelque utilité pour les
espèces
qui se nourrissent d’aliments dont la quantité es
en produire qu’un petit nombre, et cependant le contingent moyen de l’
espèce
demeurera au complet ; mais si beaucoup d’œufs ou
ruits, il faut qu’il en soit produit une grande quantité, autrement l’
espèce
s’éteindrait. Pour maintenir constamment en même
it. Pour maintenir constamment en même nombre les représentants d’une
espèce
d’arbres, vivant mille ans en moyenne, il suffira
u convenable : de sorte qu’en tous cas, le contingent moyen de chaque
espèce
animale ou végétale ne dépend que très indirectem
mme s’efforçant dans toute la mesure de son pouvoir de multiplier son
espèce
; que chaque individu ne vit qu’en raison d’un co
ou que les causes de destruction diminuent, si peu que ce soit, et l’
espèce
s’accroîtra presque instantanément en nombre, san
rselle. — Les causes qui mettent obstacle à la tendance naturelle des
espèces
à se multiplier sont fort obscures. Plus une espè
ce naturelle des espèces à se multiplier sont fort obscures. Plus une
espèce
est vigoureuse, plus elle se multiplie, et aussi
erne l’Humanité, que nous connaissons cependant mieux qu’aucune autre
espèce
. Plusieurs auteurs ont habilement traité ce sujet
outes parvenues qu’elles soient à la force de l’âge adulte. Sur vingt
espèces
croissant sur une petite place gazonnée de trois
e librement les autres. La quantité des subsistances propres à chaque
espèce
marque donc naturellement la limite extrême de so
it d’autres animaux qui détermine le nombre moyen des individus d’une
espèce
. Ainsi, on ne peut douter que la quantité des Per
cas assez rares, tel que l’Éléphant, par exemple, aucun individu de l’
espèce
ne devient la proie d’autres animaux, car même le
important dans la détermination du nombre moyen d’individus de chaque
espèce
, et le retour périodique de saisons extrêmement f
l cause une lutte des plus intenses entre les individus, soit de même
espèce
, soit d’espèces diverses, qui vivent des mêmes al
te des plus intenses entre les individus, soit de même espèce, soit d’
espèces
diverses, qui vivent des mêmes aliments. Même lor
ion humide à une région sèche, on observe invariablement que quelques
espèces
deviennent de plus en plus rares, et finissent pa
ction directe. Mais ce serait faire erreur : nous oublions que chaque
espèce
, même dans les lieux où elle est le plus répandue
région est déjà peuplée d’un nombre suffisant d’habitants, les autres
espèces
devront décroître. Si, voyageant vers le sud, nou
espèces devront décroître. Si, voyageant vers le sud, nous voyons une
espèce
décroître en nombre, nous pouvons demeurer certai
e, nous pouvons demeurer certains que c’est autant parce que d’autres
espèces
se trouvent favorisées par le climat, que parce q
rs le nord, mais en un degré un peu moindre : car le nombre total des
espèces
de toutes sortes, et par conséquent des concurren
at agit principalement d’une manière indirecte en favorisant d’autres
espèces
, c’est que nous voyons dans nos jardins une prodi
s. Quand, par suite de circonstances particulièrement favorables, une
espèce
se multiplie extraordinairement dans un district
s en résultent souvent ; du moins c’est ce qu’on a constaté parmi les
espèces
qui composent notre gibier. Il y a donc ici une c
côté, il arrive fréquemment qu’un grand nombre d’individus de la même
espèce
, relativement au nombre de ses ennemis, est absol
te nécessité d’une grande masse d’individus pour la conservation de l’
espèce
explique, je pense, quelques faits singuliers dan
es pour que beaucoup puissent exister ensemble afin de sauver ainsi l’
espèce
d’entière destruction. Je dois ajouter que les he
êtres organisés et les obstacles réciproques à la multiplication des
espèces
qui ont à lutter les unes contre les autres en un
portionnel des pieds de Bruyère était complétement changé, mais douze
espèces
de plantes, sans compter les Graminées et les Car
a population des insectes devait encore avoir été plus grand, car six
espèces
d’oiseaux insectivores étaient communs dans la pl
nt point la lande qui, par contre, était fréquentée par deux ou trois
espèces
distinctes. Nous voyons donc ici combien l’introd
si haute, que nous nous émerveillons d’apprendre la destruction d’une
espèce
; et parce que nous n’en voyons pas la cause, nou
es visites des Abeilles sont nécessaires à la fécondation de quelques
espèces
de Trèfle : par exemple 20 têtes de Trèfle hollan
de certaines fleurs dans ce même district. La multiplication de toute
espèce
est donc toujours entravée par diverses causes qu
éterminer le nombre moyen des individus ou l’existence même de chaque
espèce
. En quelques cas on peut prouver que dans des dis
très différentes causes qui mettent obstacle à l’existence d’une même
espèce
. Quand on considère les plantes et les arbustes q
n fourré, on est tenté d’attribuer leur nombre proportionnel et leurs
espèces
à ce que l’on appelle le hasard. Mais quelle erre
mbat doit s’être livré pendant de longs siècles entre les différentes
espèces
d’arbres, chacune d’elles répandant annuellement
miné, pendant le cours des siècles, les nombres proportionnels et les
espèces
des arbres qui croissent maintenant sur les ruine
e vitale plus sérieuse entre les individus et les variétés de la même
espèce
; souvent sérieuse encore entre les espèces du mê
et les variétés de la même espèce ; souvent sérieuse encore entre les
espèces
du même genre. — La dépendance d’un être organisé
lutte est encore beaucoup plus intense entre les individus de la même
espèce
, car ils fréquentent les mêmes districts, exigent
ure, et sont exposés aux mêmes dangers. Entre les variétés d’une même
espèce
, la lutte doit être en général presque également
si les graines et les petits ne sont annuellement assortis. Comme les
espèces
du même genre ont habituellement, mais non pas in
rs dans leur structure, la lutte est généralement plus vive entre ces
espèces
proches alliés, lorsqu’elles entrent en concurren
ces proches alliés, lorsqu’elles entrent en concurrence, qu’entre les
espèces
de genres distincts. Nous voyons un exemple de ce
dans l’extension récente en certaines provinces des États-Unis d’une
espèce
d’Hirondelle qui a causé la décadence d’une autre
s-Unis d’une espèce d’Hirondelle qui a causé la décadence d’une autre
espèce
. L’accroissement récent de la Draine (Turdus visc
ommune (Turdus musicus). Combien n’arrive-t-il pas fréquemment qu’une
espèce
de Rat prenne la place d’une autre sous les plus
rapidement la petite Abeille sans aiguillon qui y est indigène61. Une
espèce
de Moutarde en supplante une autre, et ainsi de s
le que nous ne pourrions dire en un seul cas précisément pourquoi une
espèce
a remporté la victoire sur une autre dans la gran
but de favoriser la jeune plante, pendant qu’elle lutte avec d’autres
espèces
qui croissent vigoureusement autour d’elle. Pourq
sèche, et cependant il y aura concurrence encore entre quelques rares
espèces
, et enfin entre les individus de la même espèce p
entre quelques rares espèces, et enfin entre les individus de la même
espèce
pour les endroits les plus humides ou les plus ch
climat serait parfaitement identique, les conditions d’existence de l’
espèce
n’en sont pas moins généralement changées d’une m
IX. Les caractères sexuels secondaires sont très variables. — X. Les
espèces
de même genre varient d’une manière analogue ou r
admettre que les conditions de vie auxquelles les représentants d’une
espèce
sont exposés pendant plusieurs générations ont qu
d’autres exemples analogues. Ce fait que, lorsque les variétés d’une
espèce
viennent à s’éteindre dans la zone habitée par d’
d’une espèce viennent à s’éteindre dans la zone habitée par d’autres
espèces
, elles acquièrent parfois quelques-uns des caract
ues ne sont que des variétés permanentes et bien tranchées. Ainsi les
espèces
de Mollusques qui sont confinées dans des mers tr
nt colorés que ceux des îles. Tous les collectionneurs savent que les
espèces
d’insectes propres aux côtes sont souvent cuivrés
mment charnues. Selon la théorie des créations distinctes pour chaque
espèce
, il faudrait admettre, par exemple, que tel mollu
moins profondes. Quand une variation est de la moindre utilité à une
espèce
, il nous est absolument impossible de déterminer
de vie. Ainsi, les pelletiers savent bien que les animaux de la même
espèce
ont une fourrure d’autant plus belle et plus épai
, d’autre côté, différentes variétés sont parfois dérivées de la même
espèce
sous des conditions toutes semblables, au moins e
directement. Tout naturaliste sait encore qu’il existe d’innombrables
espèces
demeurées pures, sans aucune variation, quoique v
; et cependant il en est un certain nombre qui sont dans ce cas. Une
espèce
de Canard de l’Amérique du Sud, le Microptère d’E
ger ; de sorte que l’état presque rudimentaire des ailes de certaines
espèces
, confinées aujourd’hui ou autrefois dans quelques
relle. M. Wollaston a découvert ce fait remarquable ; que sur les 550
espèces
de coléoptères qui habitent l’île de Madère, 200
s qui sont particuliers à cette île, non moins de 23 ont toutes leurs
espèces
en cet état. Plusieurs faits m’ont amené à penser
e que le vent tombe et que le soleil brille, et que la proportion des
espèces
dépourvues d’ailes est plus grande dans les îles
des yeux, et que cet organe n’est en aucune façon indispensable à des
espèces
qui ont des habitudes souterraines, une réduction
er leur perte qu’au défaut d’exercice. Deux individus de l’une de ces
espèces
aveugles, le Rat des cavernes (Néotoma), ont été
t local ; et que la ressemblance qu’on trouve entre quelques-unes des
espèces
de la caverne du Mammouth dans le Kentucky et que
transition entre le domaine de la lumière et celui des ténèbres ; des
espèces
adaptées aux lueurs crépusculaires viennent ensui
s de Schiœdte s’appliquent, bien entendu, non pas à une seule et même
espèce
, mais à des espèces considérées comme distinctes.
liquent, bien entendu, non pas à une seule et même espèce, mais à des
espèces
considérées comme distinctes. Pourtant, lorsqu’un
environnante. D’après l’hypothèse de la création indépendante de ces
espèces
, il serait impossible de trouver aucune explicati
s de ces deux régions géographiques. Comme on trouve en abondance une
espèce
aveugle de Bathyscia à l’ombre des rochers qui en
t l’entrée des cavernes, on peut croire que la perte de la vue chez l’
espèce
qui en habite l’intérieur n’a point pour cause l’
et ne compte de représentants nulle autre part. De plus, les diverses
espèces
qui le composent habitent chacune des cavernes di
st pas impossible que le progéniteur des progéniteurs de ces diverses
espèces
ait été autrefois répandu sur les deux continents
ues mots de l’acclimatation. Comme il est extrêmement commun chez les
espèces
du même genre d’habiter des contrées très chaudes
des ou très froides, s’il est vrai, comme je le crois, que toutes les
espèces
d’un même genre soient les descendants modifiés d
’une longue suite de générations. Pourtant, il est notoire que chaque
espèce
est adaptée au climat de sa patrie : les espèces
st notoire que chaque espèce est adaptée au climat de sa patrie : les
espèces
des zones polaires ou même des régions tempérées
euvent endurer un climat humide. Mais le degré d’adaptation de chaque
espèce
au climat sous lequel elle vit est souvent exagér
z nous d’une bonne santé. Nous avons toutes raisons de croire que les
espèces
à l’état sauvage sont étroitement limitées dans l
À l’égard des animaux, on pourrait citer plusieurs cas authentiques d’
espèces
qui, pendant la durée des temps historiques, se s
de supporter les climats les plus divers, et le fait que d’anciennes
espèces
d’Éléphants et de Rhinocéros ont été capables de
céros ont été capables de supporter un climat glacial, tandis que les
espèces
vivantes sont aujourd’hui tropicales ou subtropic
ticulières, est amenée à entrer en jeu. Mais dans l’acclimatation des
espèces
quelle part est due seulement à l’habituation ou
Ombellifères, le Dr Hooker a constaté que ce n’est nullement chez les
espèces
où les ombelles sont le plus serrées que les fleu
autant du moins que nous pouvons en juger, du plus léger service à l’
espèce
. Nous sommes cependant exposés à attribuer fausse
tion des particularités de structure communes à des groupes entiers d’
espèces
, et qui, en réalité, sont dues à l’hérédité. Car
e l’autre. » Cette règle me paraît s’appliquer assez exactement à nos
espèces
domestiques. Si la sève afflue avec excès vers un
icile d’établir que cette loi soit d’application universelle chez les
espèces
à l’état sauvage, mais de bons observateurs, et p
il manifeste, parce qu’il doit être avantageux à chaque individu de l’
espèce
de ne plus perdre autant de forces nutritives à c
tre décidément avantageuse à chacun des représentants successifs de l’
espèce
. Dans la lutte que chaque être doit soutenir cont
l semble que ce soit une règle, soit chez les variétés, soit chez les
espèces
, que ce nombre varie très fréquemment. Ce nombre
e réversion. VII. Les organes extraordinairement développés chez une
espèce
, en comparaison des antres espèces du même genre,
raordinairement développés chez une espèce, en comparaison des antres
espèces
du même genre, sont très variables. — Il y a plus
pement n’a rien d’anormal par rapport à celui du même organe chez des
espèces
proches alliées. Ainsi, l’aile de la Chauve-Souri
vues d’ailes analogues. Elle pourrait s’appliquer seulement à quelque
espèce
particulière de Chauves-Souris ayant des ailes re
is ayant des ailes remarquablement développées par rapport aux autres
espèces
du même genre. Elle est encore d’une grande valeu
mement peu, même dans les différents genres ; mais, dans les diverses
espèces
du genre Pyrgoma, ces valves présentent une étonn
rsité : c’est au point que les valves homologues dans les différentes
espèces
sont quelquefois totalement dissemblables de form
ement dissemblables de forme ; chez les individus de plusieurs de ces
espèces
, elles présentent de telles différences qu’on peu
de ces importants organes, que ne font dans la même famille certaines
espèces
de genres distincts. Comme les oiseaux dans une m
rés relatifs de cette variabilité. Lorsqu’un organe présente chez une
espèce
un développement considérable ou en quelque chose
rmal, il y a grande présomption qu’il est de haute importance à cette
espèce
; néanmoins il est encore en pareil cas éminemmen
as éminemment sujet à varier. Et pourquoi en est-il ainsi ? Si chaque
espèce
a été créée séparément et avec tous ses organes t
ation de ce fait. Mais si nos groupes spécifiques descendent d’autres
espèces
qui se sont modifiées par la sélection naturelle,
. Quand un organe est développé d’une manière extraordinaire chez une
espèce
quelconque, en comparaison des autres espèces du
extraordinaire chez une espèce quelconque, en comparaison des autres
espèces
du même genre, on peut en conclure que cet organe
bi une somme extraordinaire de modifications depuis l’époque où cette
espèce
s’est détachée du progéniteur commun du genre. Ce
mmun du genre. Cette époque est rarement fort reculée, puisque chaque
espèce
ne vit guère au-delà d’une période géologique. Un
ageux se sont accumulés par sélection naturelle pour le bénéfice de l’
espèce
. Mais, par cette raison même que la variabilité d
l exemple suffira pour expliquer ce que j’entends par là. Si quelques
espèces
d’un grand genre de plantes ont des fleurs bleues
t un caractère spécifique, et nul ne serait surpris de voir l’une des
espèces
à fleurs bleues varier de manière à produire des
re à produire des fleurs rouges ou réciproquement. Mais si toutes ces
espèces
, sans exception, ont, au contraire, des fleurs bl
e organe important, en général très constant chez plusieurs groupes d’
espèces
, diffère considérablement en quelques espèces pro
hez plusieurs groupes d’espèces, diffère considérablement en quelques
espèces
proches alliées, ce même organe est aussi variabl
organe est aussi variable chez les individus de quelques-unes de ces
espèces
. Un pareil fait suffit à prouver qu’un caractère
douter que plus un organe diffère régulièrement chez les différentes
espèces
du même groupe, plus aussi il est sujet à des ano
upe, plus aussi il est sujet à des anomalies individuelles. Si chaque
espèce
a été créée indépendamment de toutes ses congénèr
congénères, pourquoi un organe très différent chez deux ou plusieurs
espèces
du même genre serait-il plus variable que les org
s variable que les organes qui sont presque semblables chez ces mêmes
espèces
? Je ne vois pas qu’on puisse trouver une explica
vois pas qu’on puisse trouver une explication de ce fait. Mais si les
espèces
ne sont que des variétés mieux marquées et plus f
e assez récente, et qui sont venues par cela même à différer chez des
espèces
proches alliées. J’exposerai le fait d’une autre
’une autre manière. Les points communs de ressemblance que toutes les
espèces
d’un même genre ont entre elles, et les points co
elles, et les points communs de dissemblance qui les distinguent des
espèces
des autres genres, constituent ce qu’on appelle l
oit être extrêmement rare que la sélection naturelle modifie diverses
espèces
, adaptées à des habitudes de vie plus ou moins di
une époque très reculée, c’est-à-dire depuis l’époque où ces diverses
espèces
se séparèrent de leur progéniteur commun, il n’es
t, les points de dissemblance qui distinguent les unes des autres les
espèces
du même genre constituent leurs caractères spécif
ccessivement à différer plus ou moins depuis l’époque où ces diverses
espèces
se sont séparées de leur progéniteur commun, il e
sexuels secondaires sont très variables. On accordera encore que les
espèces
du même groupe diffèrent plus les uns des autres
t avoir son large champ d’action, et peut ainsi donner rapidement aux
espèces
du même groupe une plus grande somme de différenc
uable que les différences secondaires entre les deux sexes de la même
espèce
affectent généralement les mêmes organes par lesq
affectent généralement les mêmes organes par lesquels les différentes
espèces
du même genre diffèrent les unes des autres. Je d
arie considérablement et diffère aussi chez les deux sexes de la même
espèce
. De même, chez les Hyménoptères fouisseurs, la ne
cifiques ; mais, en certains genres, la nervation diffère chez chaque
espèce
, et pareillement chez les deux sexes de la même e
re chez chaque espèce, et pareillement chez les deux sexes de la même
espèce
. M. Lubbock a remarqué récemment que plusieurs pe
n’ont rien de surprenant pour moi. Partant du principe que toutes les
espèces
d’un même genre sont aussi sûrement descendues d’
sûrement descendues d’un progéniteur commun que les deux sexes d’une
espèce
quelconque, quel que soit l’organe qui, chez ce c
sexuelle et spécifique, l’occasion d’agir ; de sorte que les diverses
espèces
auront pu s’adapter successivement à diverses sit
ns dans l’économie de la nature, de même que les deux sexes de chaque
espèce
l’un à l’autre ; les mâles et les femelles d’une
e chaque espèce l’un à l’autre ; les mâles et les femelles d’une même
espèce
auront pu prendre des habitudes différentes ; et
est-à-dire que les caractères qui distinguent les unes des autres les
espèces
du même genre sont moins fixes que les caractères
nt en commun ; que les organes extraordinairement développés chez une
espèce
, en comparaison avec l’état des mêmes organes che
l présente ce même développement extraordinaire chez tout un groupe d’
espèces
plus ou moins alliées ; que les caractères sexuel
caractères sexuels secondaires ont une grande variabilité dans chaque
espèce
; mais que ces mêmes caractères présentent aussi
es mêmes caractères présentent aussi de grandes différences entre les
espèces
proche-alliées, et que, chez un même groupe d’esp
ences entre les espèces proche-alliées, et que, chez un même groupe d’
espèces
, les différences sexuelles affectent généralement
. Elles dérivent toutes de quelques principes : c’est d’abord que les
espèces
du même groupe descendent d’un même progéniteur,
étement, en raison du laps de temps écoulé, surmonté la tendance de l’
espèce
à revenir à d’anciens caractères ou à présenter d
variations sont devenues à la fois caractéristiques des sexes et des
espèces
. X. Les espèces de même genre varient d’une mani
devenues à la fois caractéristiques des sexes et des espèces. X. Les
espèces
de même genre varient d’une manière analogue ; le
ces de même genre varient d’une manière analogue ; les variétés d’une
espèce
assument les caractères d’une espèce alliée ou re
re analogue ; les variétés d’une espèce assument les caractères d’une
espèce
alliée ou reviennent à d’anciens caractères perdu
, ou des plumes aux pieds. Or, ces caractères n’appartiennent pas à l’
espèce
originelle, le Pigeon Biset (C. livia) ; ce sont
e identique, c’est alors un exemple de variations analogues chez deux
espèces
distinctes, auxquelles on peut en ajouter une tro
. D’après l’hypothèse ordinaire de la création indépendante de chaque
espèce
, il nous faudrait attribuer le renflement de la t
produire. Comme, d’après ma théorie, il faut supposer que toutes les
espèces
du même genre descendent d’un parent commun, il f
souvent varier d’une manière analogue ; de sorte qu’une variété d’une
espèce
peut revêtir quelques-uns des caractères d’une au
été d’une espèce peut revêtir quelques-uns des caractères d’une autre
espèce
, cette autre espèce n’étant, selon moi, qu’une va
t revêtir quelques-uns des caractères d’une autre espèce, cette autre
espèce
n’étant, selon moi, qu’une variété bien marquée e
être gouvernée par la sélection naturelle, d’après les habitudes des
espèces
, et ne peut être abandonné à l’action mutuelle de
mblances héréditaires de constitution. On peut encore prévoir que les
espèces
du même genre manifesteront de temps en temps leu
par l’une ou l’autre de ces deux causes, la postérité variable d’une
espèce
assume des caractères qui se trouvent déjà en que
plus grandes difficultés qu’il y ait à reconnaître dans la nature une
espèce
variable décrite dans nos ouvrages systématiques
ques provient de ce que ses variétés miment en quelque sorte d’autres
espèces
du même genre. On pourrait dresser un immense cat
mes, qui pourraient elles-mêmes avec un doute égal être rangées comme
espèces
et comme variétés. Il faut donc, à moins de consi
r en une certaine mesure les caractères de ces mêmes organes chez des
espèces
alliées. J’ai recueilli une longue liste de cas s
e aucun organe important, mais en ce qu’il se présente chez plusieurs
espèces
du même genre, en partie à l’état domestique et e
pulaire, qui est un signe si fréquent et presque caractéristique de l’
espèce
, est quelquefois double ; elle est au moins certa
tre des traces ; et je tiens du colonel Poole que les petits de cette
espèce
sont généralement rayés sur les jambes et légèrem
ujet, croit que les diverses races chevalines descendent de plusieurs
espèces
originelles, dont l’une, d’un pelage gris-brun, é
s aussi distantes. Venons aux effets du croisement entre les diverses
espèces
du genre Cheval. Rollin assure que la Mule commun
devons-nous conclure de ces différents faits ? Nous voyons plusieurs
espèces
très distinctes du genre Cheval qui deviennent, p
is-brun, celle qui approche le plus de la couleur générale des autres
espèces
du genre. L’apparition des rayures n’est accompag
te avec plus de force encore chez les hybrides provenant de plusieurs
espèces
trèsdistinctes. Or, qu’avons-nous observé, en par
verses races de Pigeons ? C’est qu’elles sont toutes descendues d’une
espèce
comprenant deux ou trois sous-espèces ou races gé
est qu’il existe chez chacune des jeunes générations successives de l’
espèce
une tendance perpétuelle à reproduire ces caractè
quelquefois. Ainsi que nous l’avons vu tout à l’heure chez plusieurs
espèces
du genre Cheval, les rayures sont plus apparentes
s fréquentes chez les jeunes sujets que chez les vieux. Qu’on appelle
espèces
nos races de Pigeons, ou celles du moins qui sont
ont-ils pas des analogies frappantes avec les faits observés chez les
espèces
du genre Cheval ? Quant à moi, j’ose en toute con
d’une ou de plusieurs souches sauvages92. Lorsqu’on admet que chaque
espèce
du genre Cheval a été séparément créée, il faut a
e manière à présenter souvent les rayures qu’on observe chez d’autres
espèces
du genre ; et qu’elles ont toutes été douées d’un
ouées d’une forte tendance à produire, en cas de croisements avec des
espèces
habitant des contrées très éloignées, des hybride
t par leurs rayures, non pas à leurs propres parents, mais aux autres
espèces
du genre. Or, admettre une pareille manière de vo
es plus grandes qui caractérisent et séparent les unes des autres les
espèces
du même genre. Les conditions extérieures de la v
re les caractères qui sont arrivés à différer depuis que les diverses
espèces
d’un même genre se sont séparées de leur souche c
l’individu tout entier ; car dans un district où coexistent plusieurs
espèces
d’un genre quelconque, et où, par conséquent, il
ive, on peut s’attendre à trouver, dans ce même district et parmi ces
espèces
, un nombre moyen de variétés proportionnellement
xuels secondaires sont très variables, et diffèrent beaucoup dans les
espèces
du même groupe. La variabilité des mêmes organes
ement fourni les différences sexuelles entre les individus d’une même
espèce
et les différences spécifiques entre les espèces
individus d’une même espèce et les différences spécifiques entre les
espèces
du même genre. Tout organe qui atteint une grande
ormal, par rapport à sa taille ou à ses caractères réguliers chez des
espèces
alliées, doit avoir passé par une série considéra
it la tendance à produire des variations ultérieures. Mais lorsqu’une
espèce
pourvue d’un organe particulier extraordinairemen
fixes à cet organe, quelle que soit l’anomalie de ses caractères. Les
espèces
descendues d’un parent commun, héritant presque d
lorsque l’influence d’un climat est nuisible aux représentants d’une
espèce
, ils meurent le plus souvent sans se reproduire,
ier au moyen de croisements entre individus distincts chez toutes les
espèces
uni-sexuelles ; ces croisements devant produire n
sements entre individus favorisant certaines variations brusques, les
espèces
unisexuelles, ou les hermaphrodites qui croisent
’Oméga de la série des causes qui contribuent à la transformation des
espèces
. Dans le paragraphe suivant, que l’auteur nous a
servations. (Trad.) 82. N’est-il pas plus naturel de supposer que l’
espèce
aveugle de Bathyscia qui vit au dehors des cavern
pèce aveugle de Bathyscia qui vit au dehors des cavernes descend de l’
espèce
aveugle qui en habite l’intérieur ; et que si la
raines sont différentes, plus ces chances heureuses augmentent pour l’
espèce
qui les produit. (Trad.) 84. C’est que ces deux
rraient être soit avantageuses, soit nuisibles aux représentants de l’
espèce
. (Trad.) 87. L’invariabilité des caractères gén
emarquer que ces caractères sont presque toujours analogues, dans une
espèce
, aux différences purement individuelles qui disti
tion sexuelle de plus fréquentes occasions d’agir. C’est pourquoi les
espèces
qui présentent de grandes différences sexuelles d
ne ces mêmes caractères, présenter de nombreuses variétés dans chaque
espèce
, et de nombreuses espèces assez tranchées sous ce
présenter de nombreuses variétés dans chaque espèce, et de nombreuses
espèces
assez tranchées sous ce même rapport en chaque ge
Cerfs, les Moutons confirment cette règle. Lorsque ce grand nombre d’
espèces
n’existe pas, on peut être à peu près certain que
identiques sans doute. On peut présumer que lorsqu’une variété d’une
espèce
revêt quelque caractère d’une espèce alliée, ou q
mer que lorsqu’une variété d’une espèce revêt quelque caractère d’une
espèce
alliée, ou que dans deux espèces il se produit de
espèce revêt quelque caractère d’une espèce alliée, ou que dans deux
espèces
il se produit des variations analogues, c’est tou
e un zèbre, qui lui-même serait descendu d’une ou de plusieurs autres
espèces
sauvages du genre. J’ajoutais : « Il est beaucoup
genre. J’ajoutais : « Il est beaucoup plus supposable que toutes les
espèces
du genre cheval descendent d’un progéniteur commu
ion des formes. — VIII. De l’apparition soudaine de groupes entiers d’
espèces
. — IX. De leur apparition soudaine, même dans les
graduellement différentes. J’ai montré comment l’existence de chaque
espèce
dépend beaucoup moins du climat que de la présenc
ntérieurement. J’ai eu moi-même de la difficulté, en considérant deux
espèces
quelconques, à ne pas me représenter leur souche
devons toujours chercher, ce sont des formes intermédiaires entre les
espèces
actuelles et un ancien progéniteur commun peut-êt
ure, si elles descendent du Pigeon Biset (C. livia) ou de toute autre
espèce
alliée, telle que la C. œnas. De même, à l’égard
ute autre espèce alliée, telle que la C. œnas. De même, à l’égard des
espèces
naturelles, si nous considérons deux formes très
est donc impossible de reconnaître la forme mère de deux ou plusieurs
espèces
quelconques, même en comparant minutieusement la
emeurées fixes. D’après la théorie de sélection naturelle, toutes les
espèces
aujourd’hui vivantes sont en connexion avec la so
s égales à celles qui distinguent aujourd’hui les variétés de la même
espèce
; comme chacune de ces souches mères, maintenant
intenant éteintes, en général, a été à son tour en connexion avec des
espèces
encore plus anciennes ; et ainsi de suite, selon
e que le nombre des chaînons intermédiaires et transitoires entre les
espèces
vivantes et éteintes doit avoir été immense. Mais
grand paléontologiste, Edward-Forbes : c’est qu’une multitude de nos
espèces
fossiles sont décrites et nommées, d’après un seu
nt la période d’émersion de ces couches. Quelques-unes des nombreuses
espèces
d’animaux qui vivent sur les côtes entre les limi
eaux semblent devoir rarement se conserver. Par exemple, les diverses
espèces
de Chthamalinées, sous-famille de Cirripèdes sess
ibus ; elles sont exclusivement littorales, à l’exception d’une seule
espèce
méditerranéenne, qui vit dans les eaux profondes,
eaux profondes, et qu’on a trouvée fossile en Sicile. Or, nulle autre
espèce
ne s’est rencontrée jusqu’ici dans une formation
sques, le genre Chiton offre un cas en partie analogue. À l’égard des
espèces
terrestres qui vécurent pendant la période second
l’une ou à l’autre de ces longues périodes, à l’exception d’une seule
espèce
, découverte par sir Ch. Lyell et le docteur Dawso
istes, qui, comme F. Forbes, nient formellement la transformation des
espèces
. En étudiant la série des formations géologiques,
de pareilles stations ne sont habitées que par un très petit nombre d’
espèces
, bien que les sondages opérés récemment, pour l’é
s vu autre part, à la formation de nouvelles variétés et de nouvelles
espèces
; mais, pendant ce même temps, nous avons vu auss
e de leurs habitants doit décroître, si l’on en excepte toutefois les
espèces
qui vivent sur le littoral d’un continent, quand
dant ces mêmes périodes, il devra y avoir de nombreuses extinctions d’
espèces
et peu de nouvelles formes pourront se produire.
as une série étroitement graduée de variétés intermédiaires entre les
espèces
qui vivaient au commencement et celles qui ont vé
s qui ont vécu à la fin. On connaît bien quelques exemples d’une même
espèce
présentant des variétés distinctes dans les diver
e pas les traces d’une série graduée de formes transitoires entre les
espèces
qui vivaient alors ; mais je ne puis en aucune fa
er à aucune conclusion certaine sur ce point. Lorsque nous voyons une
espèce
apparaître pour la première fois vers le milieu d
e n’a pas existé auparavant quelque autre part. Et de même, quand une
espèce
semble avoir disparu avant que les strates supéri
l’influence des changements climatériques ou autres ; et, lorsqu’une
espèce
apparaît pour la première fois dans une formation
et non une création. Il est bien constaté, par exemple, que certaines
espèces
ont quelquefois apparu plutôt dans les couches pa
les plus récents des diverses parties du monde, on a trouvé quelques
espèces
encore aujourd’hui vivantes, mais qui se sont éte
ferment leurs restes fossiles ; et, réciproquement, quelques-unes des
espèces
, très rares ou même absentes dans ces mêmes dépôt
dernière apparition à différents niveaux, en raison des migrations d’
espèces
et des changements géographiques environnants. Si
strates, il sera peut-être tenté de présumer que la durée moyenne des
espèces
fossiles qu’il y trouvera enfouies a été inférieu
réalité elle aura été au contraire beaucoup plus longue, puisque ces
espèces
ont apparu avant cette époque et qu’elles ont pou
n puisse trouver une série de formes parfaitement graduées entre deux
espèces
propres aux étages supérieurs et inférieurs de la
e dépôt devrait en général être très épais. Il faudrait de plus que l’
espèce
en voie de se modifier eût continué à vivre dans
peu près la même profondeur, condition nécessaire pour que les mêmes
espèces
continuent à vivre dans le même lieu, la vitesse
ssus des autres, à soixante-huit niveaux différents. Lors donc qu’une
espèce
se montre au bas, au milieu et au sommet d’une te
is, pendant cette même période géologique. De sorte que, si de telles
espèces
subissaient une certaine somme de modifications p
ici que les naturalistes n’ont aucune règle d’or pour distinguer les
espèces
de variétés. Ils reconnaissent tous quelque varia
èces de variétés. Ils reconnaissent tous quelque variabilité à chaque
espèce
; mais aussitôt qu’ils rencontrent des différence
ces un peu plus grandes entre deux formes, ils les rangent comme deux
espèces
distinctes, à moins qu’ils ne puissent les relier
dans une coupe géologique : car, si l’on suppose que B et C sont deux
espèces
, et qu’une troisième espèce, A, se trouve dans un
ar, si l’on suppose que B et C sont deux espèces, et qu’une troisième
espèce
, A, se trouve dans une couche inférieure plus anc
ire entre B et C, il serait tout simplement rangé comme une troisième
espèce
distincte, à moins qu’il ne puisse être étroiteme
tre eux dans tous ses caractères. De sorte que nous pouvons trouver l’
espèce
mère et les diverses variétés modifiées qui en de
s serons par conséquent sollicités à les ranger toutes comme autant d’
espèces
distinctes. On sait sur quelles différences presq
nces presque insensibles beaucoup de paléontologistes ont fondé leurs
espèces
, et ils se montrent surtout disposés à les multip
imentés font aujourd’hui descendre au rang de variétés bon nombre des
espèces
établies par d’Orbigny et tant d’autres : ce qui
oquilles que la majorité des naturalistes croient identiques avec des
espèces
vivantes ; mais d’autres savants paléontologistes
léontologistes, tels que M. Agassiz et M. Pictet, soutiennent que les
espèces
tertiaires sont spécifiquement distinctes, tout e
listes aussi éminents ont été égarés par leur imagination, et que ces
espèces
tertiaires récentes ne présentent réellement aucu
admettre que la grande majorité des naturalistes ont tort, et que les
espèces
tertiaires sont toutes très distinctes des espèce
t tort, et que les espèces tertiaires sont toutes très distinctes des
espèces
vivantes, nous avons la preuve que de légères mod
eaucoup plus étroitement alliés les uns aux autres que ne le sont les
espèces
enfouies dans des formations chronologiquement pl
s d’une contrée quelconque toutes les formes de transition entre deux
espèces
successives : car chaque variété doit avoir été l
rande extension, et nous avons vu que, parmi les plantes, ce sont les
espèces
les plus répandues qui présentent les plus nombre
les Mollusques et autres animaux marins, il est très probable que les
espèces
qui ont une grande extension, surpassant de beauc
t naissance, d’abord à des variétés locales et ensuite à de nouvelles
espèces
: ce qui diminue encore les chances que nous pouv
’autre par des variétés intermédiaires, et attribuées ainsi à la même
espèce
, jusqu’à ce que de nombreux spécimens en aient ét
sile de nombreux liens intermédiaires rattachant l’une à l’autre deux
espèces
éteintes, on peut se demander si les géologues de
de simples variétés de celles-ci, sont réellement des variétés ou des
espèces
. Leurs conclusions dépendraient uniquement du nom
ntièrement erronée. Comme l’a récemment remarqué M. Lubbock, « chaque
espèce
est un lien entre d’autres formes alliées. » Si n
la série graduée des formes d’un genre représenté par une vingtaine d’
espèces
vivantes ou éteintes, et que nous retranchions qu
dant pas en ces divers cas, ou en aucun autre, une série droite d’une
espèce
vivante à l’autre, mais elle dessine un circuit i
serrés que nos variétés actuelles, et reliant entre elles toutes les
espèces
connues : telle est la plus importante des object
plus riches du globe en formes vivantes ; et cependant, si toutes les
espèces
qui y ont vécu dans toute la série des temps étai
ment auront probablement été accompagnées de nombreuses extinctions d’
espèces
; et, au contraire, pendant les périodes de soulè
e à la conservation des formes intermédiaires entre deux ou plusieurs
espèces
. Si toutes ces formes intermédiaires n’étaient pa
s conservées, de simples variétés de transition paraîtraient autant d’
espèces
distinctes. Il est de même probable que toute gra
onserver toutes dans une seule et même formation. Un grand nombre des
espèces
marines de l’archipel s’étendent aujourd’hui à de
s ; et l’analogie nous induit à penser que ce sont principalement ces
espèces
très répandues qui produiront le plus souvent des
éontologistes, suivant les principes actuels, les rangeront comme des
espèces
nouvelles et distinctes. Si ces observations ont
ansitoires qui, d’après ma théorie, ont relié les unes aux autres les
espèces
passées et présentes d’un même groupe dans la cha
ient pas moins rangés par beaucoup de paléontologistes comme autant d’
espèces
distinctes, s’ils se trouvaient enfouis dans les
vivants, si l’absence d’innombrables formes intermédiaires entre les
espèces
qui apparaissent au commencement et à la fin de c
n a tant appuyé. VIII. De l’apparition soudaine de groupes entiers d’
espèces
alliées. — Plusieurs paléontologistes et, entre a
t encore argué de l’apparition soudaine de quelques groupes entiers d’
espèces
en certaines formations, comme d’un fait inconcil
mme d’un fait inconciliable avec l’hypothèse de la transformation des
espèces
. Si, en effet, des espèces nombreuses appartenant
avec l’hypothèse de la transformation des espèces. Si, en effet, des
espèces
nombreuses appartenant aux mêmes genres ou aux mê
avec soin les formations géologiques. Nous oublions que des groupes d’
espèces
peuvent avoir longtemps existé autre part et s’y
mes. Ces intervalles n’ont-ils pas dû suffire à la multiplication des
espèces
sorties d’une ou de plusieurs souches mères, espè
ltiplication des espèces sorties d’une ou de plusieurs souches mères,
espèces
qui apparaîtront tout d’un coup comme un groupe s
nd cette adaptation a été une fois effectuée, et qu’un petit nombre d’
espèces
ont ainsi acquis de grands avantages sur d’autres
sujets à faire erreur, quand nous supposons que des groupes entiers d’
espèces
se sont produits soudainement. Même dans un laps
ns l’Inde, dans le sud de l’Amérique, et même en Europe de nombreuses
espèces
fossiles, qui ont dû vivre à une époque aussi anc
s reptiles, cette époque reculée eût possédé au moins une trentaine d’
espèces
d’oiseaux dont quelques-uns d’une taille gigantes
. Vu le nombre extraordinaire d’individus qui représentent beaucoup d’
espèces
de cette famille dans le monde entier, depuis les
rtain nombre. Mais comme jusque-là on n’en avait pas trouvé une seule
espèce
dans aucune des couches de cette série, j’en avai
uter un exemple de plus aux brusques apparitions de groupes entiers d’
espèces
; du moins le pensais-je ainsi. Mais à peine mon
t la période secondaire ; et il se pouvait dès lors que ces anciennes
espèces
eussent été les ancêtres de nos nombreuses espèce
que ces anciennes espèces eussent été les ancêtres de nos nombreuses
espèces
tertiaires et modernes. Le cas d’apparition subit
rtiaires et modernes. Le cas d’apparition subite d’un groupe entier d’
espèces
sur lequel les paléontologistes insistent le plus
s anciens de l’époque de la Craie. Ce groupe comprend la majorité des
espèces
vivantes. Dernièrement, le professeur Pictet a fa
rie, à moins qu’il ne soit possible de démontrer aussi que toutes les
espèces
de ce groupe ont apparu soudainement et simultané
ations européennes dont nous ne connaissons qu’un très petit nombre d’
espèces
. Quelques familles de poissons ont actuellement u
t se multiplier et où il demeurerait confiné jusqu’à ce qu’une de ses
espèces
, s’adaptant à un climat plus froid, pût doubler l
les plus stériles. IX. De l’apparition soudaine de groupes entiers d’
espèces
alliées dans les strates fossilifères les plus an
e, mais beaucoup plus grave. Je veux parler de ces nombreux groupes d’
espèces
, qui semblent faire soudainement leur apparition
. Cependant la plupart des raisons qui m’ont convaincu que toutes les
espèces
d’un même groupe descendent d’un progéniteur comm
cendent d’un progéniteur commun s’appliquent avec une égale force aux
espèces
les plus anciennes. Je ne puis douter, par exempl
tels que le Nautile, la Lingule, etc., ne diffèrent que très peu des
espèces
vivantes ; et, d’après ma théorie, on ne saurait
es ; et, d’après ma théorie, on ne saurait supposer que ces anciennes
espèces
aient été les ancêtres de toutes les espèces des
pposer que ces anciennes espèces aient été les ancêtres de toutes les
espèces
des ordres auxquels elles appartiennent, car elle
ajouté au système Silurien un autre étage inférieur, très abondant en
espèces
toutes spéciales à cette formation. Des traces de
ions géologiques un grand nombre de chaînons intermédiaires entre les
espèces
qui vivent aujourd’hui et celles qui ont vécu ant
parition brusque dans nos formations européennes de groupes entiers d’
espèces
; troisièmement, c’est l’absence presque complète
ent, et parfois avec force, soutenu le principe de l’immutabilité des
espèces
. J’ai cependant des raisons de croire qu’un homme
le doit aussi progressivement s’enrichir en formes organiques, et les
espèces
doivent encore changer, sans que leur changement
ent les mêmes, ce qu’il faut pour assurer la continuité du dépôt, les
espèces
n’ont aucune raison d’émigrer ou d’immigrer et en
les n’y sauraient trouver avantage. Or, de deux choses l’une : ou les
espèces
changeront, et le dépôt sera probablement interro
espèces changeront, et le dépôt sera probablement interrompu, ou les
espèces
ne changeront pas, et alors il importe peu que le
par l’influence même de ce changement dans les conditions de vie, les
espèces
se modifient dans leur structure ou leurs habitud
ogue qui a vu de ses propres yeux tous les spécimens divers de chaque
espèce
fossile ou vivante ? Et jusqu’à quel point peut-o
errait ses collections, afin qu’il fût fait un classement général des
espèces
dans les genres, des variétés dans les espèces et
classement général des espèces dans les genres, des variétés dans les
espèces
et des individus dans les variétés. De cette faço
chez une classe quelconque d’êtres organisés qu’à l’époque où aucune
espèce
de cette même classe n’en étant encore pourvue, l
peut faire à ceux qui opposent à la théorie de la transformation des
espèces
, que l’Ibis d’Égypte est encore aujourd’hui tel q
productions d’un même continent. — IV. Centres de création. — V. Les
espèces
naissent-elles d’un seul individu ou d’un seul co
eau, du moins jusqu’à cette identité de conditions de vie que la même
espèce
exige en général ; car c’est un cas des plus rare
es soient, ou les obstacles de toute nature aux libres migrations des
espèces
, sont en connexion, de la manière la plus étroite
s les productions d’un même continent ou d’une même mer, bien que les
espèces
elles-mêmes soient quelquefois distinctes en ses
anière, leurs œufs sont de la même couleur ; et cependant ce sont des
espèces
différentes. Les plaines qui avoisinent le détroi
s plaines qui avoisinent le détroit de Magellan sont habitées par une
espèce
de Rhéa, ou d’Autruche américaine, et au nord des
Autruche américaine, et au nord des plaines de la Plata par une autre
espèce
du même genre ; mais on ne rencontre ni la vérita
Si nous gravissons les pics élevés des Cordillères, nous trouvons une
espèce
de Viscache alpestre ; si nous regardons les eaux
nmoins essentiellement américains, bien qu’ils présentent parfois des
espèces
particulières. Nous pouvons reculer jusqu’aux âge
à l’aide du lent procédé de modification par sélection naturelle. Des
espèces
très répandues et abondantes en individus, qui on
ucune loi nécessaire de développement. Comme la variabilité de chaque
espèce
est une faculté indépendante et très variable en
, il en résulte que la somme des modifications subies par différentes
espèces
n’est point une quantité constante. Si, par exemp
st point une quantité constante. Si, par exemple, un certain nombre d’
espèces
, qui ont vécu pendant longtemps en concurrence mu
depuis une période géologique extrêmement éloignée, de même certaines
espèces
ont émigré de contrée en contrée à de grandes dis
n. — En partant de ces principes, il devient évident que les diverses
espèces
du même genre, bien qu’habitant les contrées du m
source, puisqu’elles descendent du même progéniteur. À l’égard de ces
espèces
qui pendant de longues périodes géologiques n’ont
en beaucoup d’autres cas, où nous avons des raisons de penser que les
espèces
d’un genre se sont produites à des époques compar
difficultés. Il est de même évident que tous les individus de la même
espèce
, bien qu’habitant des régions isolées et distante
randes discussions parmi les naturalistes. Il s’agit de savoir si les
espèces
ont été créées sur un seul point de la surface de
’une difficulté extrême, lorsqu’il s’agit d’expliquer comment la même
espèce
peut avoir émigré d’un point unique jusqu’aux con
vons aujourd’hui répandue. Néanmoins cela semble si simple que chaque
espèce
se soit produite d’abord dans une contrée unique,
ement admis que, dans la plupart des cas, l’aire habitée par une même
espèce
est parfaitement continue ; et lorsqu’une plante
lle ne saurait avoir été franchie par les représentants de cette même
espèce
, on considère le fait comme exceptionnel et extra
le possède en conséquence les mêmes quadrupèdes146. Mais si les mêmes
espèces
peuvent être produites en deux points séparés, po
es organisés ne peut se comprendre que dans le cas où la majorité des
espèces
auraient été créées seulement d’un côté de ces ob
remarqué que les genres les plus naturels, c’est-à-dire ceux dont les
espèces
sont le plus étroitement reliées les unes aux aut
ndant un degré plus bas dans la série, jusqu’aux individus de la même
espèce
, une règle tout opposée prévalût, c’est-à-dire qu
la même espèce, une règle tout opposée prévalût, c’est-à-dire que les
espèces
, au lieu d’être locales, fussent formées à la foi
bable, ainsi du reste qu’à beaucoup d’autres naturalistes, que chaque
espèce
se soit produite d’abord dans une seule contrée,
t des cas nombreux où il est impossible d’expliquer comment les mêmes
espèces
peuvent avoir passé d’un point à un autre. Mais l
interrompu et brisé la continuité d’extension primitive de beaucoup d’
espèces
; de sorte que nous n’avons plus qu’à examiner si
plus qu’à examiner si les exceptions à la continuité d’extension des
espèces
sont assez nombreuses et d’une assez grande impor
nce, rendue probable par tant de considérations générales, que chaque
espèce
s’est produite en une seule région, d’où elle a e
fatigant qu’inutile de discuter tous les cas exceptionnels où la même
espèce
vit sur des régions distantes et séparées ; et je
généraux les plus frappants : telle est d’abord l’existence des mêmes
espèces
sur les sommets de chaînes de montagnes très éloi
des productions d’eau douce, et troisièmement, la présence des mêmes
espèces
dans les îles et sur les continents les plus vois
plusieurs centaines de milles de pleine mer. Si la présence des mêmes
espèces
en des points distants et séparés de la surface d
ans les cas les plus nombreux, s’expliquer par l’hypothèse que chaque
espèce
a émigré peu à peu d’un berceau unique ; alors, s
nt, ainsi que des moyens de transport accidentels et variés de chaque
espèce
, le plus sûr parti sera, ce me semble, de croire
question connexe et également importante ; à savoir, si les diverses
espèces
d’un même genre, qui, d’après ma théorie, devaien
t la plupart des habitants sont en relation mutuelle étroite avec des
espèces
d’une autre région ou appartiennent aux mêmes gen
indépendantes. Cette manière d’envisager les relations mutuelles des
espèces
d’une région avec celles d’une autre diffère peu,
e région avec celles d’une autre diffère peu, en substituant le mot d’
espèce
à celui de variété, de celle que M. Wallace a exp
ée dernièrement dans un ingénieux mémoire où il conclut, que « chaque
espèce
à sa naissance coïncide pour le temps et pour le
à sa naissance coïncide pour le temps et pour le lieu avec une autre
espèce
préexistante et proche-alliée. » J’ai su depuis,
lle forme naît de l’ancienne par voie de génération modifiée. V. Les
espèces
naissent-elles d’un seul individu ou d’un seul co
ement une autre question : à savoir, si tous les individus de la même
espèce
descendent d’un seul couple, ou d’un seul hermaph
tres organisés qui ne croisent jamais, si toutefois il en existe, les
espèces
, d’après ma théorie, doivent descendre d’une succ
que, pendant le lent procédé de modification, tous les individus de l’
espèce
se maintiennent à peu près uniformes par suite de
idus pendant de nombreuses générations. VI. Moyens de dispersion des
espèces
résultant de modifications du climat et des chang
créations », je dois dire quelques mots des moyens de dispersion des
espèces
. Sir Ch. Lyell et d’autres auteurs ont déjà trait
climat doivent avoir eu une influence puissante sur les migrations d’
espèces
. Certaine région qui, à une époque où le climat e
e voir tranche le nœud gordien de la question de dispersion des mêmes
espèces
jusqu’aux points les plus distants, et fait dispa
eu lieu dans les limites de la période actuelle et de l’existence des
espèces
aujourd’hui vivantes. Nous avons de nombreuses pr
n admettra pleinement, comme on le fera un jour, je pense, que chaque
espèce
a rayonné d’un berceau unique, et lorsque, dans l
isible de l’eau de mer. À ma grande surprise, j’ai trouvé que, sur 87
espèces
, 64 ont parfaitement germé après une immersion de
ception d’une seule, elles résistèrent assez mal à l’eau salée : sept
espèces
des deux ordres alliés, les Hydrophyllacées et le
s soin de faire sécher, mais qui n’appartenaient pas toutes aux mêmes
espèces
que dans l’expérience précédente, 1/229 flottèren
quelquefois à une entière destruction ; or, les graines de beaucoup d’
espèces
peuvent retenir longtemps leur vitalité dans le j
gés. Dans le cours de deux mois, j’ai recueilli dans mon jardin douze
espèces
de graines, provenant des excréments de petits oi
erre ferme, ne pût recevoir de colons par les mêmes moyens. Sur vingt
espèces
de graines ou d’animaux transportés dans une île,
s unes des autres par des centaines de milles de basses terres où ces
espèces
alpines ne pourraient vivre, est l’un des cas les
urraient vivre, est l’un des cas les plus frappants qu’on connaisse d’
espèces
vivant en divers points du globe très distants, s
aits qui, dès l’année 1747, amenèrent Gmelin à conclure que les mêmes
espèces
devaient avoir été créées à la fois en plusieurs
t. Les montagnes se couvriront de neige et de glace, et les anciennes
espèces
alpines descendront dans les plaines. Lorsque le
vers le pôle. Quand la chaleur sera complétement de retour, les mêmes
espèces
arctiques qui auront vécu ensemble en grandes mas
de l’Amérique, que lorsqu’en d’autres régions nous trouvons les mêmes
espèces
sur les sommets de montagnes éloignées les unes d
trement. Car il n’est guère probable que précisément toutes les mêmes
espèces
arctiques soient restées sur des chaînes de monta
vivre depuis lors. Elles ont dû sans doute aussi se mélanger avec des
espèces
alpines plus anciennes qui doivent avoir existé s
fférentes chaînes de montagnes de l’Europe, bien qu’un grand nombre d’
espèces
soient identiques, cependant quelques-unes présen
cependant quelques-unes présentent des variétés, et beaucoup sont des
espèces
distinctes, bien qu’étroitement alliées et représ
nt à quelques formes exclusivement arctiques, mais aussi à beaucoup d’
espèces
subarctiques ou même à des formes septentrionales
dant la chaleur décroissante de la période pliocène, aussitôt que les
espèces
, alors communes aux deux mondes, commencèrent leu
que avec les productions américaines indigènes, et en Europe avec les
espèces
européennes ; de sorte qu’une vive concurrence du
ons tempérées du Nouveau Monde et de l’Ancien, l’on trouve très peu d’
espèces
identiques, bien qu’un plus grand nombre cependan
de simples races géographiques et que d’autres considèrent comme des
espèces
distinctes, et de plus une armée de formes proche
des Crustacés, quelques Poissons et quelques autres animaux marins d’
espèces
proche-alliées se trouvent, d’un côté, dans la Mé
autre, on peut jeter quelque lumière sur la distribution actuelle des
espèces
identiques ou alliées. En Angleterre, le docteur
ngleterre, le docteur Hooker a montré qu’environ quarante à cinquante
espèces
de plantes phanérogames de la Terre de Feu, forma
ux points du globe ; et que, de plus, on y constate encore beaucoup d’
espèces
proche-alliées. Sur les hautes montagnes de l’Amé
hautes montagnes de l’Amérique équatoriale se montre une multitude d’
espèces
particulières appartenant à des genres européens.
illa de Caracas, l’illustre Humboldt a vu, il y a déjà longtemps, des
espèces
appartenant à des genres caractéristiques des Cor
sent plusieurs formes de caractère tout européen et un petit nombre d’
espèces
représentatives de la flore du cap de Bonne-Espér
flore du cap de Bonne-Espérance. Au Cap même on trouve aussi quelques
espèces
d’Europe, que l’on ne croit pas introduites par l
ontagnes du sud de l’Australie, le docteur F. Millier a découvert des
espèces
européennes ; d’autres espèces, qui n’ont point n
le docteur F. Millier a découvert des espèces européennes ; d’autres
espèces
, qui n’ont point non plus été introduites par l’h
ue dans les Algues ; car le docteur Hooker m’a informé que vingt-cinq
espèces
sont communes à la Nouvelle-Zélande et à l’Europe
es mers tropicales intermédiaires. Il faut observer que les formes ou
espèces
septentrionales découvertes dans les contrées les
dire. Peut-être qu’anciennement les tropiques nourrissaient autant d’
espèces
que nous en voyons aujourd’hui rassemblées en fou
sines de l’équateur aient souffert récemment beaucoup d’extinctions d’
espèces
. Jusqu’à quel point ces faits peuvent-ils s’expli
dans leur nouvelle patrie comme autant de variétés bien marquées ou d’
espèces
distinctes. C’est un fait remarquable et sur lequ
outes les difficultés que présentent l’extension et les affinités des
espèces
alliées qui vivent dans les zones tempérées du no
les routes et les moyens d’émigration, pour quelles raisons certaines
espèces
plutôt que d’autres ont émigré, et pourquoi certa
rtaines espèces plutôt que d’autres ont émigré, et pourquoi certaines
espèces
se sont modifiées et ont donné naissance à de nou
mpte de tels faits, jusqu’à ce que nous puissions dire pourquoi telle
espèce
plutôt que telle autre s’est naturalisée par l’in
le triple d’individus sur un même espace, comparativement à une autre
espèce
, également considérée dans sa patrie naturelle. J
ne sauraient être discutées ici. Je dirai seulement qu’à l’égard des
espèces
identiques qu’on trouve en des points aussi éloig
ispersion, ainsi que l’a suggéré Lyell. Mais l’existence de plusieurs
espèces
tout à fait distinctes, appartenant à des genres
e vue de ma théorie de descendance modifiée. Car quelques-unes de ces
espèces
sont si distinctes, que nous ne saurions supposer
si différentes de leur souche. Les faits me semblent indiquer que des
espèces
particulières et très distinctes ont émigré en ra
ou même un seul couple, mais en général une même variété ou une même
espèce
. Or, d’après le principe des analogies de variati
rincipe des analogies de variation entre les représentants de la même
espèce
ou du même genre, et surtout d’après la loi de ré
oi de réversion aux caractères des aïeux, il se peut fort bien qu’une
espèce
, répandue dans une vaste région qui vient à être
urra y émigrer et y produire à son tour d’autres variétés et d’autres
espèces
qui se répandront de proche en proche jusqu’aux c
he en proche jusqu’aux contrées les plus éloignées. Mais ces diverses
espèces
, ainsi peu à peu répandues par le monde, et peut-
sion aux caractères des aïeux, et donner lieu à des variétés et à des
espèces
convergentes vers l’ancien type de la race. De so
que ces lois présentent. Il est donc évident d’après cela qu’une même
espèce
peut quelquefois naître ou se reproduire, soit d’
ême espèce peut quelquefois naître ou se reproduire, soit d’une seule
espèce
antérieure, soit de deux espèces proche-alliées,
re ou se reproduire, soit d’une seule espèce antérieure, soit de deux
espèces
proche-alliées, dans plusieurs districts très sép
. Il doit donc être beaucoup plus fréquent que l’ancêtre commun d’une
espèce
soit, non pas un seul couple ou un seul individu,
pourrait donc dire avec toute rigueur que le centre de création de l’
espèce
ou do la variété qui en résulte par la sélection
en cercles vicieux auxquelles on s’est si souvent livré à propos des
espèces
et de leurs variétés. Si l’espèce n’est qu’une va
’est si souvent livré à propos des espèces et de leurs variétés. Si l’
espèce
n’est qu’une variété agrandie, et chaque variété
tés. Si l’espèce n’est qu’une variété agrandie, et chaque variété une
espèce
naissante, et si enfin les espèces elles-mêmes so
été agrandie, et chaque variété une espèce naissante, et si enfin les
espèces
elles-mêmes sont la souche des genres subséquents
nt la souche des genres subséquents, il est évident que la variété, l’
espèce
et le genre lui-même ont toujours eu un berceau u
é dans la série des temps géologiques ; même dans le cas où une seule
espèce
, parfaitement identique, résulterait de deux vari
identique, résulterait de deux variétés convergentes sorties de deux
espèces
distinctes, il faudrait admettre chez l’une et ch
n est insoluble au point de vue pratique, à moins qu’il ne s’agisse d’
espèces
, de variétés et de races domestiques formées sous
Mais, à l’état de nature, le centre de création d’une variété, d’une
espèce
ou d’un genre ne peut être indiqué que d’une mani
des conditions locales. Tout ce qu’on peut affirmer, c’est que toute
espèce
ou toute variété établie dans une contrée depuis
ement. (Trad.) 146. Dans l’hypothèse de l’invariabilité absolue des
espèces
et de leur création indépendante, renouvelée à ch
pothétiques, et croire à la formation indépendante, non seulement des
espèces
, mais des variétés locales même les plus circonsc
oit avec celles du Sud, et comment il se peut faire qu’une partie des
espèces
qui la peuplent ont des parents en Islande et d’a
). 149. Lorsqu’on nie la possibilité de la migration successive des
espèces
alpines d’une chaîne de montagnes à l’autre, c’es
e chaîne de montagnes à l’autre, c’est qu’on part du principe que les
espèces
sont invariables dans leur structure, leur consti
s migrations sont même d’autant plus probables que presque toutes les
espèces
alpines ont actuellement, ou ont eu autrefois des
ersions à d’anciens caractères, ou de variations analogues entre deux
espèces
ou variétés proche-alliées. Ainsi une espèce de p
ns analogues entre deux espèces ou variétés proche-alliées. Ainsi une
espèce
de plaine en montant simultanément ou successivem
es causes de variations par sélection naturelle. D’un autre côté, une
espèce
alpine peut encore avoir varié en descendant peu
oir de s’élever de nouveau et de conquérir cette station. Enfin, si l’
espèce
, la variété, ou même le genre vient à être peu à
par d’autres concurrents, la présence des mêmes variétés ou des mêmes
espèces
, demeurées sur des montagnes distantes, semble au
te de tous les faits si complexes de la distribution géographique des
espèces
vivantes, et expliquer, soit leurs migrations en
habitudes. — IV. Habitudes différentes parmi les individus de la même
espèce
, et très différentes entre espèces proche-alliées
ntes parmi les individus de la même espèce, et très différentes entre
espèces
proche-alliées. — V. Organes très parfaits ou trè
ctions peuvent se ranger sous quelques chefs : D’abord, si toutes les
espèces
descendent d’autres espèces antérieures, par des
s quelques chefs : D’abord, si toutes les espèces descendent d’autres
espèces
antérieures, par des transitions graduelles insen
rtout d’innombrables formes transitoires ? Comment se fait-il que les
espèces
soient si bien définies et que tout ne soit pas c
athématiciens ? Quatrièmement, comment pouvons-nous expliquer que les
espèces
croisées soient stériles, ou ne produisent qu’une
lle marcheront de pair. Il suit de là que, si nous considérons chaque
espèce
comme descendant de quelque autre forme inconnue,
s les uns des autres. Mais actuellement, dira-t-on, lorsque plusieurs
espèces
proche-alliées habitent un même territoire, ne de
e continent, on rencontre généralement, à intervalles successifs, des
espèces
représentatives, c’est-à-dire étroitement alliées
de chacune des contrées qu’elles habitent plus particulièrement. Ces
espèces
représentatives se rencontrent souvent et s’entre
ce que l’une remplace complétement l’autre. Mais, si l’on compare ces
espèces
dans les contrées où elles s’entremêlent, elles s
imens choisis dans le centre de leur habitat. D’après ma théorie, ces
espèces
alliées descendent d’un parent commun, et, pendan
îles pendant la dernière époque tertiaire. Or, en de telles îles, des
espèces
distinctes peuvent s’être formées séparément sans
aujourd’hui disparu n’ait joué un rôle important dans la formation d’
espèces
nouvelles, et plus spécialement parmi les animaux
ce moyen d’échapper à la difficulté, car je crois que la formation d’
espèces
très distinctes est possible dans de vastes régio
parfaitement continues. Si l’on observe la distribution actuelle des
espèces
dans une vaste région, on voit qu’en général elle
issent entièrement. Il suit de là que le territoire neutre entre deux
espèces
représentatives est généralement très limité en c
able, ainsi que l’observe Alph. De Candolle, combien la disparition d’
espèces
alpines très communes est quelquefois soudaine. E
l’action est le plus importante dans la distribution géographique des
espèces
, doivent s’étonner de semblables effets, puisque
graduellement. Mais, au contraire, si nous nous rappelons que chaque
espèce
, même au centre de sa station, s’accroîtrait imme
ion, s’accroîtrait immensément en nombre sans la concurrence d’autres
espèces
; que presque toutes, ou se nourrissent d’autres
nce d’autres espèces ; que presque toutes, ou se nourrissent d’autres
espèces
, ou leur servent elles-mêmes de pâture ; enfin, q
ques de la vie, mais résulte en grande partie de la présence d’autres
espèces
dont ils se nourrissent, qui les détruisent ou qu
urrissent, qui les détruisent ou qui leur font concurrence. Comme ces
espèces
sont déjà bien définies, de quelque manière qu’el
s dans les autres par des dégradations insensibles, l’extension d’une
espèce
quelconque, dépendant toujours de l’extension de
tendre aussi à être parfaitement définie et limitée. De plus, chaque
espèce
sur les confins de son habitat, où elle existe en
us rigoureusement définies. S’il est vrai, comme je le crois, que les
espèces
alliées ou espèces représentatives qui habitent u
éfinies. S’il est vrai, comme je le crois, que les espèces alliées ou
espèces
représentatives qui habitent une aire continue so
rare ; alors, comme les variétés ne diffèrent pas essentiellement des
espèces
, la même règle doit, sans nul doute, s’appliquer
te, s’appliquer aux unes comme aux autres. Si donc nous imaginons une
espèce
variable quelconque, adaptée à une vaste région,
aste région, il nous faudra aussi supposer que deux variétés de cette
espèce
seront adaptées à deux districts également vastes
riétés sont, d’après ma théorie, converties et perfectionnées en deux
espèces
distinctes, les deux formes qui existent en plus
t perfectionnées96. C’est, je crois, d’après le même principe que les
espèces
les plus communes dans chaque contrée présentent,
, en moyenne, un plus grand nombre de variétés bien tranchées que les
espèces
plus rares, ainsi que nous l’avons déjà vu autre
ermédiaire qui sera totalement supplantée. En somme, je crois que les
espèces
arrivent assez vite à se définir et à se distingu
plus encore, des lentes modifications de quelques-unes des anciennes
espèces
indigènes : les nouvelles formes ainsi produites
n et en tout temps, nous ne pouvons trouver qu’un très petit nombre d’
espèces
en voie de subir des modifications légères, mais
venues suffisamment distinctes pour compter dorénavant comme autant d’
espèces
représentatives. Cette supposition a de la valeur
motion. En pareil cas, les variétés intermédiaires entre ces diverses
espèces
représentatives, ainsi que leur parent commun, do
, entre autres de ce que nous savons sur la distribution actuelle des
espèces
étroitement alliées ou représentatives, ainsi que
és intermédiaires, reliant étroitement les unes aux autres toutes les
espèces
d’un même groupe, doivent assurément avoir existé
u deux exemples de transitions dans les habitudes ou la structure des
espèces
étroitement alliées dans un même genre, et d’habi
habitudes diverses, soit constantes, soit accidentelles, dans la même
espèce
. Cependant, une longue liste de tels faits pourra
le des Écureuils, nous trouvons la série la plus parfaite, depuis les
espèces
à queue légèrement aplatie, ou qui ont seulement,
soit individuellement de quelque avantage aux représentants de chaque
espèce
d’Écureuils, chacune dans sa contrée natale, en c
nalogies nous solliciteront à croire qu’au moins quelques-unes de ces
espèces
d’Écureuils décroîtront en nombre ou seront exter
des caractères intermédiaires rattachant le Galéopithèque aux autres
espèces
du groupe, cependant rien n’empêche d’admettre qu
autres espèces du groupe, cependant rien n’empêche d’admettre que ces
espèces
de transition n’aient existé à des époques antéri
ction naturelle. Bien plus, nous pouvons présumer que les variétés ou
espèces
transitoires entre des formes appropriées à des h
é en moins grand nombre, relativement au nombre des représentants des
espèces
dont la structure est plus parfaite et mieux cara
ctérisée99. IV. Habitudes différentes parmi les individus de la même
espèce
, et très différentes entre les espèces proche-all
parmi les individus de la même espèce, et très différentes entre les
espèces
proche-alliées. — Je citerai maintenant un ou deu
des variables ou même très différentes parmi les individus de la même
espèce
. Lorsque l’un et l’autre cas se présentent à la f
quelques modifications de structure, tous les représentants de cette
espèce
, soit en général à des habitudes variables, soit
es aquatiques. Puisque l’on voit quelquefois certains individus d’une
espèce
affecter des habitudes très différentes de celles
e que ces individus donnent accidentellement naissance à de nouvelles
espèces
, ayant des habitudes anormales et une organisatio
droit et fort, et quoiqu’un peu moins fort et moins droit que chez l’
espèce
européenne commune, il peut cependant lui permett
ol ondulatoire, tout enfin m’assure de son étroite parenté avec notre
espèce
commune ; cependant, non seulement d’après mes pr
le et celui de sélection naturelle, il faut admettre aussi que chaque
espèce
vivante s’efforce constamment de se multiplier, e
espèce vivante s’efforce constamment de se multiplier, et que si une
espèce
quelconque varie, si peu que ce soit, dans ses ha
rt ainsi quelque avantage sur d’autres habitants de la contrée, cette
espèce
modifiée s’emparera de la place occupée dans l’éc
squels un organe a passé successivement en se perfectionnant chez une
espèce
quelconque, il faudrait considérer exclusivement
telle condition. Nous sommes obligé de faire nos observations sur les
espèces
du même groupe, c’est-à-dire sur les descendants
isson Amphioxus ait un œil extrêmement simple et sans cristallin. Les
espèces
fossiles ne peuvent rien nous apprendre sur cette
nos crustacés vivants ; et si l’on se rappelle combien le nombre des
espèces
vivantes est peu de chose par rapport au nombre d
ombre des espèces vivantes est peu de chose par rapport au nombre des
espèces
éteintes, je ne puis trouver de difficulté réelle
nismes très parfaits, et plus particulièrement à l’égard de certaines
espèces
isolées autour desquelles, suivant ma théorie, il
ivant ma théorie, il doit y avoir eu déjà de nombreuses extinctions d’
espèces
. Il en est de même d’un organe commun à tous les
et transformer ainsi, plus ou moins complétement, les caractères de l’
espèce
par insensibles degrés. Quelques plantes, telles
que certaines Légumineuses et certaines Violacées, etc., portent deux
espèces
de fleurs ; les unes présentent la structure norm
Les Cirripèdes pédonculés ont déjà subi beaucoup plus d’extinctions d’
espèces
que les Cirripèdes sessiles ; si les premiers éta
s sérieuse encore ; car ils s’observent seulement chez une douzaine d’
espèces
, parmi lesquelles il en est plusieurs dont les af
ent depuis quelque ancien progéniteur qui en était pourvu, toutes les
espèces
de poissons électriques devraient être assez étro
terminé par une glande visqueuse. Cependant, toutes les fois que deux
espèces
très distinctes sont pourvues d’un organe anormal
ions en soient identiques, il présente toujours dans l’une et l’autre
espèce
des différences fondamentales. Je suis porté à cr
e cause inconnue, elle peut n’avoir été d’aucun avantage immédiat à l’
espèce
; mais elle peut être devenue postérieurement ava
antes qui ne sont nullement grimpantes, ceux qu’on observe chez cette
espèce
peuvent s’être produits en vertu de lois de crois
sur les causes précises des différences analogues qui distinguent les
espèces
sauvages. Je pourrai en appeler encore, à ce même
rganes n’ont aucune relation directe avec les habitudes actuelles des
espèces
qui en sont pourvues. Ainsi nous ne saurions adme
tion naturelle ne peut absolument causer aucune modification chez une
espèce
exclusivement pour le bien d’une autre espèce, bi
e modification chez une espèce exclusivement pour le bien d’une autre
espèce
, bien que dans la nature certaines espèces profit
nt pour le bien d’une autre espèce, bien que dans la nature certaines
espèces
profitent incessamment des avantages que leur off
duire et produit souvent des organes directement nuisibles à d’autres
espèces
, comme nous l’observons dans les crochets à venin
pouvait prouver qu’un organe a pu quelquefois se développer chez une
espèce
quelconque, exclusivement pour le bien d’une autr
er chez une espèce quelconque, exclusivement pour le bien d’une autre
espèce
, cela renverserait ma théorie, car un tel organe
difie ; ou si les modifications nécessaires ne peuvent s’effectuer, l’
espèce
s’éteint, comme des myriades se sont déjà éteinte
equises par la sélection naturelle qui agit surtout pour le bien de l’
espèce
au moyen de chacun des individus qui la représent
création, demeurent entièrement inexplicables. Nous avons vu que les
espèces
, à quelque époque que ce soit, ne sont ni indéfin
iaires, continuellement supplantées par des variétés supérieures. Les
espèces
proche-alliées qui vivent aujourd’hui dans une ré
pouvait seulement se soutenir dans l’air. Nous avons vu encore qu’une
espèce
peut, sous des conditions de vie nouvelles, chang
rgane quelconque est de si peu d’importance pour le bien général de l’
espèce
, que des modifications dans sa structure ne peuve
dues aux lois de la croissance, et d’abord sans aucune utilité à une
espèce
, sont devenues plus tard avantageuses à ses desce
le frappant de cette loi. La sélection naturelle ne peut modifier une
espèce
quelconque exclusivement pour le bien ou le mal d
ne espèce quelconque exclusivement pour le bien ou le mal d’une autre
espèce
, quoiqu’elle puisse parfaitement contribuer à for
ions très nuisibles ou très utiles, et même indispensables à d’autres
espèces
, mais en même temps toujours utiles à leurs propr
rence vitale et à la sélection naturelle. (Trad.) 96. Cependant une
espèce
ou une variété peu nombreuse en individus, mais t
reuse en individus, mais très variable, peut avoir l’avantage sur des
espèces
ou des variétés très fixes, surtout dans le cas d
onque dans les conditions locales. En pareille circonstance, plus une
espèce
ou une variété très — variable serait exposée à u
rapides. Il faut bien qu’il en soit ainsi, d’ailleurs, puisque toute
espèce
doit commencer par une variété, et toute variété
ombre d’individus variables ne pouvait l’emporter sur des variétés ou
espèces
très nombreuses, mais plus fixes, toute la théori
et leur transformation lente en squelette d’oiseau. Chez une série d’
espèces
, les vertèbres ont pu se souder ; chez d’autres a
et en différents sens, dut multiplier rapidement ses variétés et ses
espèces
; chaque variété et chaque espèce avantageusement
ier rapidement ses variétés et ses espèces ; chaque variété et chaque
espèce
avantageusement modifiée ayant chance de se multi
ifiée ayant chance de se multiplier et de former d’autres variétés et
espèces
à leur tour avantageusement modifiables, de maniè
l’un l’autre en se substituant complétement à la souche mère. Car ces
espèces
de vertébrés ichthyo-erpétoïdes, ichthyo-ornithoï
our diminuer de beaucoup le nombre de leurs représentants et de leurs
espèces
. Ce nouvel ordre vainqueur dut promptement se rés
encore dans ces retraites profondes. Du reste, pendant que certaines
espèces
de reptiles volants, ou seulement aériens, abando
se des reptiles volants, dut elle-même se diviser en partis rivaux ou
espèces
ennemies. De sorte que plusieurs d’entre les form
des mammifères elle-même, déjà formée, commençait à diviser entre les
espèces
alors dominantes de son rameau inférieur, les Mar
l des représentants de ces formes transitoires, non comme variétés ou
espèces
, mais comme individus, peut ne représenter qu’une
i a été contestée par plusieurs naturalistes, au moins chez certaines
espèces
. Ce serait, en réalité, un organe devenu rudiment
organe devenu rudimentaire en fonction par défaut d’exercice chez des
espèces
autrefois semi-aquatiques, semi-aériennes, et dev
exclusivement sub-aquatiques ; tandis qu’au contraire, chez d’autres
espèces
de mieux en mieux et de plus en plus exclusivemen
e pourrait donc qu’il eût toujours existé à peu près le même nombre d’
espèces
de poissons électriques. De plus, toutes ces souc
de la transmission héréditaire des organes électriques chez quelques
espèces
seulement depuis un ou plusieurs ancêtres communs
t, en même temps, à se localiser dans des organes spéciaux à quelques
espèces
; que ces espèces ont dû être autrefois beaucoup
à se localiser dans des organes spéciaux à quelques espèces ; que ces
espèces
ont dû être autrefois beaucoup plus nombreuses qu
suffisant de prototypes électriques pour expliquer la présence de nos
espèces
actuelles. Par suite de la division du travail ph
sélection naturelle, cette faculté a dû devenir spéciale à certaines
espèces
, de moins en moins nombreuses, mais en se perfect
rophiait de plus en plus chez les autres : à peu près aussi comme les
espèces
ailées, aujourd’hui vivantes, sont admirablement
té dans certains états ou dans certains organes spéciaux de certaines
espèces
, par la vertu de la loi de sélection naturelle. (
élection naturelle. (Trad.) 104. Il paraîtrait aussi probable que l’
espèce
grimpante le soit devenue en acquérant par sélect
uérant par sélection les crampons qu’elle possède ; et que les autres
espèces
qui sont aujourd’hui pourvues de crampons sans êt
es de crampons sans être grimpantes soient les descendants modifiés d’
espèces
qui, dans des circonstances favorables, ont peu à
inités générales, complexes et divergentes. — VIII. Les extinctions d’
espèces
séparent et déterminent les groupes en les limita
dans le quatrième, j’ai montré que, dans chaque contrée, ce sont les
espèces
communes et très répandues dans de nombreuses sta
munes et très répandues dans de nombreuses stations, c’est-à-dire les
espèces
dominantes appartenant aux plus grands genres de
res de chaque classe, qui varient le plus. Selon moi, les variétés ou
espèces
naissantes, ainsi produites, sont plus tard conve
ou espèces naissantes, ainsi produites, sont plus tard converties en
espèces
nouvelles bien distinctes, qui, en vertu du princ
vertu du principe d’hérédité, tendent à devenir à leur tour autant d’
espèces
dominantes. Conséquemment, les groupes aujourd’hu
aujourd’hui considérables, et qui, en général, comprennent beaucoup d’
espèces
dominantes, tendent à continuer encore à s’accroî
nombre. J’ai, de plus, établi que les descendants variables de chaque
espèce
ont une tendance constante à diverger de caractèr
de la ligne supérieure peut représenter un genre renfermant plusieurs
espèces
; et tous les genres de cette ligne peuvent forme
ous les genres descendus de I. De sorte que nous avons ici beaucoup d’
espèces
descendues d’un seul progéniteur est groupées en
II. Système naturel. — Les naturalistes s’efforcent de disposer les
espèces
, genres et familles de chaque classe d’après ce q
sition de plus, d’arriver à donner une description complète de chaque
espèce
de Chiens. L’ingénieuse utilité de ce système est
quelque importance qu’elles soient au bien-être de l’individu ou de l’
espèce
. Peut-être est-ce en partie pour cela que presque
ganes dépend de leur plus grande constance dans des groupes entiers d’
espèces
; et cette constance résulte justement de ce que
s à moins de modifications, par suite de l’adaptation de ces diverses
espèces
à leurs différentes conditions de vie. Il est un
istoire naturelle. Il s’ensuit, comme on l’a souvent remarqué, qu’une
espèce
peut s’éloigner de ses alliées sous plusieurs rap
sait A. de Jussieu, « le plus grand nombre des caractères propres à l’
espèce
, au genre, à la famille, à la classe même, s’effa
définir un groupe, ou pour désigner la place que doit occuper quelque
espèce
particulière. S’ils observent un caractère à peu
bservent un caractère à peu près uniforme, commun à un grand nombre d’
espèces
, et qui n’existe pas chez d’autres, ils s’en serv
ssifications doivent comprendre tous les âges des individus de chaque
espèce
. Mais il est bien loin d’être aussi évident, au p
es de la série qui ont à peine un caractère commun ; et cependant les
espèces
les plus extrêmes des deux bouts de la chaîne éta
en considération. Quant à la valeur comparative des divers groupes d’
espèces
, tels que les ordres, sous-ordres, familles, sous
structure d’abord négligées à tort, mais seulement que de nombreuses
espèces
alliées, présentant divers degrés de différences,
par les naturalistes comme prouvant des affinités réelles entre deux
espèces
ou plusieurs, sont ceux qu’elles ont hérités d’un
ui vécurent pendant l’époque silurienne, et qui descendent tous d’une
espèce
qui existait à une période antérieure inconnue. C
’une espèce qui existait à une période antérieure inconnue. Certaines
espèces
appartenant à trois de ces genres (A, F et 1) ont
gne horizontale supérieure. Tous ces descendants modifiés d’une seule
espèce
sont représentés ici comme parents au même degré
de celles qui descendent de I, divisées de même en deux familles. Les
espèces
actuelles, descendues de A, ne sauraient non plus
lassification des variétés qu’on croit ou qu’on sait descendues d’une
espèce
quelconque confirmera encore cette manière de voi
era encore cette manière de voir. Les variétés sont groupées sous les
espèces
, et se divisent elles-mêmes en sous-variétés. À l
groupement hiérarchique est la même parmi les variétés que parmi les
espèces
; elle dépend toujours de la connexion généalogiq
on des variétés suit enfin à peu près les mêmes règles que celles des
espèces
. Plusieurs auteurs ont insisté sur la nécessité d
est toujours consultée en matière de classification. — À l’égard des
espèces
à l’état de nature tout naturaliste fait toujours
le dernier degré de ses groupements subordonnés, c’est-à-dire dans l’
espèce
, il comprend toujours les deux sexes. On sait cep
e songerait à les séparer. Les naturalistes comprennent dans une même
espèce
les diverses phases de la larve d’un même individ
proquement, les range, en conséquence, l’un et l’autre comme une même
espèce
, et en donne une seule définition. Aussitôt que l
ur la même tige, elles furent immédiatement regardées comme une seule
espèce
. De même que la généalogie a constamment et unive
alogie a constamment et universellement servi à classer sous une même
espèce
les individus d’origine identique, malgré les dif
également dirigé à leur insu les naturalistes dans le classement des
espèces
dans les genres, et des genres dans des groupes p
fiés sous l’influence directe des conditions de vie auxquelles chaque
espèce
s’est récemment trouvée exposée. À ce point de vu
articularité soit caractéristique et constante chez un grand nombre d’
espèces
distinctes, et surtout parmi celles qui ont des h
classification. Il devient ainsi aisé d’expliquer pourquoi une seule
espèce
, dans tout un groupe, peut quelquefois s’éloigner
ndre quelques services dans le classement des genres très nombreux en
espèces
et très répandus, c’est parce que toutes les espè
très nombreux en espèces et très répandus, c’est parce que toutes les
espèces
du même genre, qui habitent une région distincte
es nombreux Papillons qui habitent la grande vallée de l’Amazone, les
espèces
d’un genre, et même les variétés de ces mêmes esp
l’Amazone, les espèces d’un genre, et même les variétés de ces mêmes
espèces
, revêtent souvent la parure d’espèces appartenant
même les variétés de ces mêmes espèces, revêtent souvent la parure d’
espèces
appartenant à des genres complétement distincts,
Il ajoute ce fait remarquable : c’est que presque invariablement les
espèces
copistes ne comptent que peu d’individus, tandis
les espèces copistes ne comptent que peu d’individus, tandis que les
espèces
copiées sont des espèces communes, qui évidemment
comptent que peu d’individus, tandis que les espèces copiées sont des
espèces
communes, qui évidemment ont eu le succès pour el
eu le succès pour elles dans la bataille de la vie. Il pense que les
espèces
copistes ont acquis lentement et par sélection na
elle, qui a pour effet de les faire passer pour des représentants des
espèces
communes victorieuses, et qu’elles échappent ains
aire et septénaire ont été trouvées. Comme les descendants modifiés d’
espèces
dominantes, appartenant aux plus grands genres, t
; car elles sont généralement représentées par un très petit nombre d’
espèces
; et ces espèces sont le plus souvent très distin
généralement représentées par un très petit nombre d’espèces ; et ces
espèces
sont le plus souvent très distinctes les unes des
ns aberrants, si chacun d’eux avait été représenté par une douzaine d’
espèces
au lieu d’une seule170 ; mais un examen plus appr
relient avec tous les Marsupiaux en général, et nullement avec telle
espèce
particulière plutôt qu’avec toute autre. Et comme
u que tous les Rongeurs, y compris la Viscache, descendent de quelque
espèce
très ancienne de l’ordre des Marsupiaux, qui aura
résenté des caractères jusqu’à certain point intermédiaires entre les
espèces
et les genres actuels, ou que les Rongeurs et les
ux c’est le Phascolomys qui ressemble de plus près, non pas à quelque
espèce
particulière de Rongeurs, mais en général à tous
sieurs familles de plantes distinctes. En partant du principe que les
espèces
, descendues d’un commun parent, se multiplient en
oupe encore plus élevé. Car le commun ancêtre d’une famille entière d’
espèces
, maintenant rompue en groupes et sous-groupes dis
l est vrai, à divers degrés et de diverses manières ; et ces diverses
espèces
doivent en conséquence être alliées les uns aux a
longueurs, se relevant à chacune de leurs extrémités pour aboutir aux
espèces
vivantes à travers la série de leurs nombreux pré
vivants d’une même grande classe naturelle. VIII. Les extinctions d’
espèces
séparent et déterminent les groupes en les limita
nsi que nous l’avons vu dans le quatrième chapitre, les extinctions d’
espèces
ont joué un rôle important dans le monde organiqu
es manquent seulement d’endroit en endroit. Mais si les extinctions d’
espèces
ont séparé les groupes, elles ne les ont nullemen
ence vitale, et qui implique presque nécessairement les extinctions d’
espèces
et la divergence des caractères chez les nombreux
s et la divergence des caractères chez les nombreux descendants d’une
espèce
mère dominante, explique les grands traits généra
assons les individus des deux sexes et de tous les âges dans une même
espèce
, bien qu’ils aient parfois peu de caractères comm
t par le terme d’Unité de type. C’est-à-dire que chez les différentes
espèces
de cette même classe les divers organes sont cons
enir. Au point de vue ordinaire de la création indépendante de chaque
espèce
, nous ne pouvons que constater ce fait, en ajouta
, bien que l’on puisse trouver des homologies entre les organes d’une
espèce
et ces mêmes organes chez d’autres espèces distin
ies entre les organes d’une espèce et ces mêmes organes chez d’autres
espèces
distinctes ; par contre, on ne peut constater qu’
aitement identiques chez l’embryon. De même, les embryons d’animaux d’
espèces
distinctes, mais de même classe, sont souvent pre
chetées du groupe des Merles. Dans la tribu des Chats, la plupart des
espèces
sont rayées ou tachetées par lignes ; et la fourr
les, la ressemblance des larves ou embryons actifs, appartenant à des
espèces
alliées, est quelquefois fortement altérée ; et l
altérée ; et l’on pourrait citer des cas où les larves, soit de deux
espèces
, soit de deux groupes d’espèces de même classe, d
r des cas où les larves, soit de deux espèces, soit de deux groupes d’
espèces
de même classe, diffèrent autant et même plus les
ment identiques ? Comment expliquer que les, embryons des différentes
espèces
de la même classe se ressemblent généralement, ma
des nombreuses modifications successives, au moyen desquelles chaque
espèce
a acquis sa structure actuelle, peut ne s’être pa
que les diverses races de Pigeons domestiques descendent d’une seule
espèce
sauvage, j’ai comparé de jeunes Pigeons de divers
dant se sont transmises un peu plus tôt171. Appliquons maintenant aux
espèces
à l’état de nature ces divers faits, ainsi que le
ons un genre d’oiseaux ; qui, d’après ma théorie, descend d’une seule
espèce
mère, et dont les diverses espèces actuelles se s
rès ma théorie, descend d’une seule espèce mère, et dont les diverses
espèces
actuelles se sont modifiées par sélection naturel
ion qu’à un âge correspondant, que les jeunes individus des nouvelles
espèces
de notre genre supposé tendront d’une façon manif
ères. Les membres antérieurs, par exemple, qui servaient de pieds aux
espèces
mères, peuvent, par le cours prolongé des modific
odifications survenues plus tard. Mais, dans chacune de nos nouvelles
espèces
, les membres antérieurs de l’embryon différeront
classe des insectes, tels que les Aphis. Pourquoi, chez ces diverses
espèces
, les jeunes individus ne subissent-ils aucune mét
’abord de ce que, durant le cours des modifications successives que l’
espèce
a subies pendant un grand nombre de générations,
ts ? Car, en pareil cas, il serait indispensable à l’existence de ces
espèces
que les descendants se modifient dès le jeune âge
par la structure de leurs larves. Comme l’état embryonnaire de chaque
espèce
et groupe d’espèces nous révèle, en partie du moi
leurs larves. Comme l’état embryonnaire de chaque espèce et groupe d’
espèces
nous révèle, en partie du moins, la structure d’a
iennes et éteintes ressemblent aux embryons de leurs descendants, nos
espèces
actuelles. M. Agassiz pense que c’est une loi gén
on connaît des Coléoptères du même genre, et mieux encore de la même
espèce
, qui se ressemblent parfaitement sous tous les ra
mêmes se développent et donnent du lait. Dans des plantes de la même
espèce
, les pétales restent quelquefois à l’état de rudi
istil, et Kœlreuter a trouvé qu’en croisant ces fleurs mâles avec une
espèce
hermaphrodite, le rudiment du pistil prenait un g
naissantes. Les organes rudimentaires, chez les individus de la même
espèce
, sont très sujets à varier dans leur degré de dév
r degré de développement ou sous d’autres rapports. De plus, chez des
espèces
proche-alliées qui possèdent toutes un même rudim
se présentent que de temps à autre chez des individus monstrueux de l’
espèce
. Ainsi, dans le Muflier ou Antirrhinum, on ne tro
prouvent que ces rudiments peuvent se produire : car je doute que des
espèces
à l’état de nature subissent jamais de brusques c
odifications par sélection naturelle, qui résultent des extinctions d’
espèces
et de la divergence des caractères. Pour bien pes
néalogiques ont toujours et partout fait ranger ensemble dans la même
espèce
les deux sexes, les divers âges et même les varié
vers des différences acquises s’expriment par les termes de variétés,
espèces
, genres, familles, ordres et classes. En partant
ions le même plan déployé dans les organes homologues des différentes
espèces
d’une même classe, quelles que soient du reste le
lance de l’embryon et de ses parties homologues, chez les différentes
espèces
d’une classe, bien que les individus adultes et l
ns ce chapitre me semblent établir si clairement que les innombrables
espèces
, genres et familles d’êtres organisés, qui peuple
logique ne représente pas un individu et la durée de sa vie, mais une
espèce
et la durée de son existence géologique. Aussi M.
éré dans la deuxième édition allemande. (Trad.) 170. On compte deux
espèces
de Lépidosirènes. (Trad.) 171. Cette exception
vé d’animaux amphibies, fluviatiles ou lacustres, au rang inférieur d’
espèces
exclusivement marines. M. Agassiz a soutenu habil
e que les formes aquatiques et les formes d’eau douce supérieures aux
espèces
pélagiques. Ce fait de l’existence de dents rudim
Chapitre I : Variations des
espèces
à l’état domestique I. Causes de la variabilit
es origines de nos variétés domestiques attribuées à une ou plusieurs
espèces
. — IV. Pigeons domestiques ; leurs différences et
’en général ils diffèrent plus les uns des autres que les individus d’
espèces
ou de variétés sauvages. La grande diversité des
ns uniformes et en quelque chose différentes de celles auxquelles les
espèces
mères ont été exposées à l’état de nature. Il y a
de nature. D’autre part, on pourrait dresser une longue liste de ces
espèces
cultivées essentiellement variables, que les jard
rquoi une particularité qui apparaît chez divers individus de la même
espèce
, ou chez des individus d’espèces différentes, que
raît chez divers individus de la même espèce, ou chez des individus d’
espèces
différentes, quelquefois s’hérite et d’autres foi
e des particularités qui apparaissent seulement chez les mâles de nos
espèces
domestiques, se transmettent soit exclusivement,
tés domestiques. — Difficulté de distinguer entre les variétés et les
espèces
. — Origine de nos variétés domestiques attribuée
s. — Origine de nos variétés domestiques attribuée à une ou plusieurs
espèces
. — J’ai fait allusion aux tendances de réversion
rais que nous ne pouvons rien induire de nos variétés domestiques aux
espèces
à l’état de nature. Mais il n’est pas l’ombre d’u
rse, notre bétail à cornes longues ou courtes, nos volailles de toute
espèce
et nos légumes succulents pendant un nombre infin
ace domestique une moins grande uniformité de caractères que dans les
espèces
sauvages. Certaines races domestiques d’une même
que dans les espèces sauvages. Certaines races domestiques d’une même
espèce
ont souvent un aspect en quelque sorte monstrueux
est-à-dire que, différentes les unes des autres, ainsi que des autres
espèces
du même genre, dans leur organisation générale, e
t qu’on les compare ensemble, soit surtout qu’on les compare avec les
espèces
sauvages qui sont leurs alliées naturelles les pl
ujet que nous discuterons plus tard, les races domestiques de la même
espèce
diffèrent les unes des autres de la même manière,
même manière, mais dans la plupart des cas à un moindre degré que les
espèces
voisines ou proches alliées du même genre à l’éta
nsidérées, par des juges compétents, comme les descendants d’autant d’
espèces
originelles distinctes, et par d’autres, non moin
uelque distinction tranchée existe entre les races domestiques et les
espèces
, cette source de doutes ne se représenterait pas
érences de structure qui distinguent nos races domestiques de la même
espèce
, on se perd aussitôt dans le doute si elles sont
rd aussitôt dans le doute si elles sont descendues d’une ou plusieurs
espèces
mères. Ce problème offrirait le plus grand intérê
tre connaissance, propagées si pures, sont les descendants de quelque
espèce
unique ; alors de pareils faits auraient un grand
nd poids pour nous faire douter de l’immutabilité d’un grand nombre d’
espèces
sauvages étroitement alliées, comme seraient, par
ifférences est due à ce que nos races canines descendent de plusieurs
espèces
sauvages distinctes. À l’égard de quelques autres
i d’autres animaux ou d’autres plantes, en nombre égal à celui de nos
espèces
domestiques et appartenant de même à diverses cla
e de générations, ils ne varient autant, en moyenne, qu’ont varié les
espèces
mères de nos races domestiques actuelles. Pour la
ible de décider définitivement s’ils descendent d’une ou de plusieurs
espèces
sauvages. L’argument principal sur lequel s’appui
ui n’ait domestiqué au moins le Chien. L’origine de la plupart de nos
espèces
domestiques restera probablement à jamais douteus
men de tous les faits connus, je suis arrivé à conclure que plusieurs
espèces
sauvages de Canides ont été domptées et que leur
D’après cela, il aurait dû exister, en Europe seulement, une foule d’
espèces
de Bœufs sauvages, autant d’espèces de Moutons, p
en Europe seulement, une foule d’espèces de Bœufs sauvages, autant d’
espèces
de Moutons, plusieurs sortes de Chèvres. Il en au
e-Bretagne : un auteur a affirmé que ce pays doit avoir renfermé onze
espèces
de Moutons sauvages qui lui étaient propres ! Lor
diverses contrées qu’elle renferme ne possèdent pas un nombre égal d’
espèces
sauvages particulières qu’on puisse considérer co
estiques du monde entier, que je regarde comme descendus de plusieurs
espèces
sauvages, on ne saurait douter que là encore il n
pour des oiseaux sauvages, les rangerait certainement comme autant d’
espèces
bien distinctes. Aucun ornithologiste ne voudrait
ces races plusieurs sous-variétés de descendance pure, c’est-à-dire d’
espèces
, comme il les appellerait sans aucun doute. Si gr
pourrait-on arriver à faire un Grosse-Gorge par le croisement de deux
espèces
, à moins que l’une d’elles ne possédât l’énorme j
upposés doivent tous avoir été des Pigeons de roche, c’est-à-dire des
espèces
qui ne perchaient ou ne nichaient pas volontiers
sous-espèces géographiques, on connaît seulement deux ou trois autres
espèces
de Pigeons de roche, et elles ne présentent aucun
un des caractères des races domestiques. Il faudrait donc, ou que les
espèces
originelles supposées existassent encore dans les
de la Méditerranée. L’hypothèse de la destruction complète de tant d’
espèces
, ayant des habitudes semblables à celles du Biset
ltiples de nos Pigeons, il faudrait admettre qu’au moins sept ou huit
espèces
ont été assez complétement apprivoisées, dans les
mmes à demi civilisés ont réussi à apprivoiser complétement plusieurs
espèces
de Pigeons, mais que, par hasard, ou avec une int
que, par hasard, ou avec une intention déterminée, ils ont choisi les
espèces
les plus extraordinaires et les plus anormales ;
plus anormales ; de plus, il faudrait encore admettre que toutes ces
espèces
se sont éteintes depuis ou sont demeurées inconnu
divers signes ne se retrouvent jamais tous ensemble chez aucune autre
espèce
sauvage de la famille : tandis que chez chacune d
cune autre espèce sauvage de la famille : tandis que chez chacune des
espèces
domestiques, même en ne considérant que des oisea
inaux étaient colorés et marqués comme le Biset, bien que nulle autre
espèce
existante ne présente les mêmes caractères, de ma
tre impossible, de citer un seul exemple d’hybrides provenant de deux
espèces
évidemment distinctes qui se soient montrés cepen
e présente un haut degré de probabilité, si on ne l’applique qu’à des
espèces
étroitement alliées, bien que pourtant il faille
ne expérience. Mais quant à l’étendre si loin que de supposer que des
espèces
originairement aussi distinctes que les Messagers
oute improbabilité à supposer que l’homme eût apprivoisé sept ou huit
espèces
de Pigeons capables de se reproduire entre elles
geons capables de se reproduire entre elles à l’état domestique ; ces
espèces
supposées sont inconnues à l’état sauvage ; elles
C’est enfin une circonstance des plus favorables pour la production d’
espèces
distinctes que les Pigeons mâles et femelles puis
utant de répugnance à croire qu’elles descendissent toutes d’une même
espèce
mère, que pourrait en ressentir tout naturaliste
naturaliste pour admettre la même conclusion à l’égard des nombreuses
espèces
de l’ordre des Passereaux, ou de tout autre group
uelles chacun d’eux s’est attaché spécialement, descendent d’autant d’
espèces
originales distinctes. Demandez, ainsi que je l’a
Lapins qui ne fût convaincu que chaque race principale descend d’une
espèce
distincte. Van Mons, dans son Traité sur les pomm
prudence, et en tenir compte au moment de se railler de l’idée qu’une
espèce
à l’état de nature puisse être la postérité direc
e espèce à l’état de nature puisse être la postérité directe d’autres
espèces
? V. Principe de sélection depuis longtemps appl
ces domestiques ont été produites, soit qu’elles dérivent d’une seule
espèce
, soit qu’elles procèdent de plusieurs. On peut at
le Coq de combat (game Cock), si obstiné à la bataille, avec d’autres
espèces
si peu querelleuses, avec les pondeuses perpétuel
grande diversité des fleurs chez les variétés différentes d’une même
espèce
et l’analogie de leur port et de leur feuillage ;
fleurs ; enfin, dans les vergers, la diversité des fruits de la même
espèce
en comparaison de l’uniformité des feuilles et de
bien les feuilles sont uniformes ! combien les fruits des différentes
espèces
de Groseilliers sont variés en grosseur, en coule
ce que chacun s’efforce de posséder les meilleurs individus de chaque
espèce
, et d’en multiplier la race, est d’une beaucoup p
e variétés distinctes, et qu’il y ait eu ou non croisement entre deux
espèces
ou deux races. Ces progrès se manifestent avec év
nte digne de culture. Ce n’est pas dire que ces contrées si riches en
espèces
ne puissent posséder peut-être les types originau
entes sous le rapport des conditions de vie, des individus de la même
espèce
, ayant quelques légères différences de constituti
estiques qu’on trouve chez les races sauvages ont plus le caractère d’
espèces
que les variétés domestiques des contrées civilis
rd à de légères différences accidentelles chez un seul individu d’une
espèce
, par celle que prend la race, lorsqu’elle s’est u
lles et précieuses. Pour rassembler un grand nombre d’individus d’une
espèce
en une contrée, il est nécessaire qu’ils soient p
les reproduire ; alors, avec l’aide de quelques croisements entre des
espèces
distinctes, apparurent ces admirables variétés qu
nts de plaines ouvertes possèdent rarement plus d’une race de la même
espèce
. Les Pigeons peuvent être appariés à vie, et c’es
nal devient ainsi très complexe. En quelques cas, le croisement entre
espèces
, originairement distinctes, a probablement joué u
greffes, écussons, etc., l’importance des croisements, soit entre les
espèces
distinctes, soit entre les variétés, est immense
rad. 52. En France, le nom de Biset sert à désigner non seulement l’
espèce
sauvage du C. livia, mais encore la variété domes
listes, parce que ce dernier terme, tiré des mœurs particulières de l’
espèce
, pourrait aussi bien s’appliquer à quelques espèc
particulières de l’espèce, pourrait aussi bien s’appliquer à quelques
espèces
sauvages très différentes, mais ayant des mœurs a
que M. Darwin cite comme un exemple de variations analogues chez les
espèces
d’un même genre (voir plus loin, Chap. V, Lois de
faible que ce soit, à les produire ; ou bien que le sang d’une autre
espèce
de Colombins huppés et pattus est mêlé dans toute
lutôt comme des zébrures que l’on voit réapparaître chez les diverses
espèces
du genre Cheval, et qui tendent à reproduire chez
adaptés, sinon complétement incompatibles, avec les habitudes de ces
espèces
. De sorte qu’en face de tels faits, on ne voit ri
téristiques du Pigeon-Paon, du Grosse-Gorge ou du Culbutant, chez des
espèces
sauvages ; et l’on peut admettre que toutes ces v
lish Pointer) et de l’Épagneul. Trad. 58. Peut-être parce que cette
espèce
s’était déjà perpétuée pendant très longtemps san
al ne peut être qualifié de normal ou d’anormal que par rapport à une
espèce
sociale déterminée, ce qui précède implique qu’un
u’une branche de la sociologie est consacrée à la constitution de ces
espèces
et à leur classification. Cette notion de l’espèc
nstitution de ces espèces et à leur classification. Cette notion de l’
espèce
sociale a, d’ailleurs, le très grand avantage de
e, mais idéal, de l’humanité, il y a des intermédiaires : ce sont les
espèces
sociales. Dans l’idée d’espèce, en effet, se trou
y a des intermédiaires : ce sont les espèces sociales. Dans l’idée d’
espèce
, en effet, se trouvent réunies et l’unité qu’exig
scientifique et la diversité qui est donnée dans les faits, puisque l’
espèce
se retrouve la même chez tous les individus qui e
chez tous les individus qui en font partie et que, d’autre part, les
espèces
diffèrent entre elles. Il reste vrai que les inst
rise à la pensée scientifique. C’est pour avoir méconnu l’existence d’
espèces
sociales que Comte a cru pouvoir représenter le p
lations distinctes49 ». C’est qu’en effet, s’il n’existe qu’une seule
espèce
sociale, les sociétés particulières ne peuvent di
résentent plus ou moins complètement les traits constitutifs de cette
espèce
unique, suivant qu’elles expriment plus ou moins
ais sans vérité. Mais comment faut-il s’y prendre pour constituer ces
espèces
? I Il peut sembler, au premier abord, qu’il
marquer qu’elle seule est recevable dans une science d’observation. L’
espèce
, en effet, n’est que le résumé des individus ; co
ire de procéder ainsi quand il s’agit de constituer des genres et des
espèces
. Car faire l’inventaire de tous les caractères qu
établie sur ce principe, pour savoir si un fait est général dans une
espèce
, il ne sera pas nécessaire d’avoir observé toutes
l ne sera pas nécessaire d’avoir observé toutes les sociétés de cette
espèce
; quelques-unes suffiront. Même, dans bien des ca
t dite, et à faire de celle-ci la souche d’où sont sorties toutes les
espèces
sociales. Une fois posée cette notion de la horde
, viendraient les sociétés formées par un assemblage de sociétés de l’
espèce
précédente, c’est-à-dire les sociétés polysegment
ent inférieur. Or, il n’y a rien d’impossible à ce que des sociétés d’
espèces
différentes, situées inégalement haut sur l’arbre
généalogique des types sociaux, se réunissent de manière à former une
espèce
nouvelle. On en connaît au moins un cas ; c’est l
question que le lecteur s’est peut-être posée en nous voyant parler d’
espèces
sociales comme s’il y en avait, sans en avoir dir
, tout au moins, doivent se répéter. Il se trouve ainsi qu’il y a des
espèces
sociales. Il reste, d’ailleurs, possible que cert
e se produisent qu’une seule fois. Cela n’empêche pas qu’il y ait des
espèces
. On dira seulement dans les cas de ce genre que l
l y ait des espèces. On dira seulement dans les cas de ce genre que l’
espèce
ne compte qu’un individu56. Il y a donc des espèc
de ce genre que l’espèce ne compte qu’un individu56. Il y a donc des
espèces
sociales pour la même raison qui fait qu’il y a d
donc des espèces sociales pour la même raison qui fait qu’il y a des
espèces
en biologie. Celles-ci, en effet, sont dues à ce
st de règle, en effet, que les sociétés engendrées soient d’une autre
espèce
que les sociétés génératrices, parce que ces dern
groupe des colons n’aille pas se mêler à quelque société d’une autre
espèce
ou d’une autre variété. Les attributs distinctifs
e autre espèce ou d’une autre variété. Les attributs distinctifs de l’
espèce
ne reçoivent donc pas de l’hérédité un surcroît d
pas au problème posé dans ce chapitre. On y trouve classées, non des
espèces
sociales, mais, ce qui est bien différent, des ph
ible d’admettre qu’une même individualité collective puisse changer d’
espèce
trois ou quatre fois. Une espèce doit se définir
idualité collective puisse changer d’espèce trois ou quatre fois. Une
espèce
doit se définir par des caractères plus constants
organisation politique ; il ne laissera pas d’appartenir à une autre
espèce
sociale que la France et l’Allemagne. Ajoutons qu
tres de cet ouvrage, semblent jeter quelque lumière sur l’origine des
espèces
, « ce mystère des mystères », ainsi que l’a appel
vé presque exactement aux mêmes conclusions que moi sur l’origine des
espèces
. En 1858, il m’envoya un mémoire à ce sujet, en m
excellent jugement. Quand on réfléchit à ce problème de l’origine des
espèces
, en tenant compte des rapports mutuels des êtres
e naturel tout d’abord qu’un naturaliste arrive à conclure que chaque
espèce
ne peut avoir été créée indépendamment, mais doit
éée indépendamment, mais doit descendre, comme les variétés, d’autres
espèces
. Néanmoins, une telle conclusion, serait-elle fon
, jusqu’à ce qu’il fût possible de démontrer comment les innombrables
espèces
qui habitent ce monde ont été modifiées de manièr
ves, des variations légères. Je passerai ensuite à la variabilité des
espèces
à l’état de nature ; mais je serai malheureusemen
on naturelle cause presque inévitablement de fréquentes extinctions d’
espèces
parmi les formés de vie moins parfaites, et condu
ux ; troisièmement, l’hybridité ou la stérilité des croisements entre
espèces
et la fécondité des variétés croisées ; quatrième
este encore beaucoup de choses inexpliquées au sujet de l’origine des
espèces
et des variétés. Qui peut dire pourquoi une espèc
de l’origine des espèces et des variétés. Qui peut dire pourquoi une
espèce
est nombreuse et répandue, et pourquoi une autre
pourquoi une espèce est nombreuse et répandue, et pourquoi une autre
espèce
alliée est rare ou n’habite qu’un étroit espace ?
naturalistes, et quelque temps par moi-même, c’est-à-dire que chaque
espèce
a été indépendamment créée, est erronée. Je suis
dépendamment créée, est erronée. Je suis pleinement convaincu que les
espèces
ne sont pas immuables, mais que toutes celles qui
’on appelle le même genre, sont la postérité directe de quelque autre
espèce
généralement éteinte, de la même manière que les
ralement éteinte, de la même manière que les variétés reconnues d’une
espèce
quelconque descendent en droite ligne de cette es
reconnues d’une espèce quelconque descendent en droite ligne de cette
espèce
. Enfin, je suis convaincu que le mode principal,
ra que les instincts sont d’aussi grande importance au bien de chaque
espèce
, sous ses conditions de vie particulières, que pe
le que de légères modifications d’instincts soient avantageuses à une
espèce
; et si l’on peut prouver que les instincts varie
ment toute variation d’instinct en quelque chose avantageuse à chaque
espèce
, sans qu’il soit possible de poser une limite fix
vent avoir existé que dans la lignée des ascendants directs de chaque
espèce
, mais seulement quelques vestiges de transitions
ts d’instincts peuvent être surtout rendus faciles, lorsque les mêmes
espèces
ont des instincts très différents à différentes é
la sélection naturelle : or cette diversité d’instincts chez la même
espèce
se rencontre encore assez fréquemment108. III. A
e, et conformément à ma théorie, tout instinct est toujours utile à l’
espèce
qui en est douée ; mais, autant que nous en pouvo
s, autant que nous en pouvons juger, aucun instinct n’est donné à une
espèce
pour le bien exclusif d’autres espèces. Parmi les
ucun instinct n’est donné à une espèce pour le bien exclusif d’autres
espèces
. Parmi les exemples, à moi connus, d’animaux qui,
apparence, accomplissent un acte quelconque à l’avantage d’une autre
espèce
, l’un des plus remarquables, c’est celui des Aphi
elconque accomplisse un acte exclusivement pour le bien d’une autre d’
espèce
distincte, néanmoins, chaque espèce essaye de tir
vement pour le bien d’une autre d’espèce distincte, néanmoins, chaque
espèce
essaye de tirer quelque avantage des instincts de
des différences très remarquables entre les nids d’oiseaux de la même
espèce
dans les États-Unis du Nord et du Sud. Mais si l’
Égypte. Une multitude de faits établissent que les individus de même
espèce
, nés à l’état sauvage, diffèrent extrêmement dans
naires qui se manifestent seulement chez quelques représentants d’une
espèce
, et qui, dans le cas où elles leur seraient avant
démarche toute particulière ; si nous voyions au contraire une autre
espèce
tourner autour d’un troupeau de Daims, au lieu de
ve chez le Chien. Les Loups, les Renards, les Chacals et les diverses
espèces
félines qu’on a essayé d’apprivoiser, se montrent
tralie et la Terre-de-Feu, où les sauvages ne possèdent aucune de ces
espèces
d’animaux domestiques. Au contraire, combien est-
crainte des Chiens et des Chats originairement instinctive dans leur
espèce
. Je tiens du capitaine Hutton que dans l’Inde cet
nclure de l’ensemble de ces faits qu’à l’état domestique nos diverses
espèces
d’animaux familiers ont perdu quelques-uns de leu
faite grâce à l’habituation lente, successive, mais héréditaire, de l’
espèce
à ses nouvelles conditions de vie, et surtout grâ
et quelques autres animaux à déposer leurs œufs dans le nid d’autres
espèces
; c’est ensuite l’instinct esclavagiste de certai
erronée. Néanmoins, je pourrais citer plusieurs exemples d’oiseaux d’
espèces
très diverses qu’on a vus quelquefois déposer leu
bord accidentel ait pu devenir peu à peu une habitude avantageuse à l’
espèce
. Car toute analogie nous sollicite à croire que l
tte habitude d’aller pondre dans les nids d’autres oiseaux de la même
espèce
ou d’espèces distinctes n’est pas rare chez les G
d’aller pondre dans les nids d’autres oiseaux de la même espèce ou d’
espèces
distinctes n’est pas rare chez les Gallinacés. Ce
ve chez le groupe voisin des Autruches. On a observé, du moins chez l’
espèce
américaine, que plusieurs femelles s’entendent po
sont de même parasites et déposent leurs œufs dans les nids d’autres
espèces
. C’est un cas encore plus remarquable que celui d
elles avaient à prendre le soin de nourrir leur progéniture. Quelques
espèces
de Sphégides sont également parasites d’autres es
ture. Quelques espèces de Sphégides sont également parasites d’autres
espèces
. La Tachytes nigra construit en général son propr
permanent par sélection naturelle, s’il profite en quelque chose à l’
espèce
parasite, sans toutefois causer l’extinction de l
ue chose à l’espèce parasite, sans toutefois causer l’extinction de l’
espèce
dont elle s’approprie ainsi traîtreusement le nid
bsolue des services de leurs esclaves au point que, sans leur aide, l’
espèce
s’éteindrait certainement tout entière dans une s
n’en est point de plus authentiques. Si nous ne connaissions d’autres
espèces
de Fourmis douées d’instincts esclavagistes un pe
ccessifs. Pierre Huber fut encore le premier à constater qu’une autre
espèce
, la Fourmi sanguine, avait aussi des esclaves, bi
sanguine, avait aussi des esclaves, bien qu’en moindre nombre. Cette
espèce
est très répandue dans le sud de l’Angleterre, et
t au moins quelques esclaves. Les mâles et les femelles fécondes de l’
espèce
esclave, la Fourmi noir-cendré (F. fusca), ne se
ont très courageuses, et je les ai vues attaquer avec fureur d’autres
espèces
. Une fois, par exemple, je trouvai à ma grande su
i d’ordinaire ne font point d’esclaves, emporter des nymphes d’autres
espèces
, lorsqu’elles les trouvent éparses aux alentours
nt capables. Si leurs services se sont trouvés de quelque utilité à l’
espèce
au milieu de laquelle elles sont ainsi nées par h
ont ainsi nées par hasard, au point qu’il fût plus avantageux à cette
espèce
de capturer des travailleurs que de les procréer,
ours dans l’hypothèse que chaque modification ait été avantageuse à l’
espèce
, jusqu’à ce qu’il se soit enfin produit une varié
, peuvent avoir été avantageuses aux progéniteurs successifs de cette
espèce
. La réponse est aisée. On sait combien les Abeill
mportants pour une famille d’Abeilles. Naturellement les succès d’une
espèce
d’Abeille peuvent dépendre aussi du nombre de ses
de la salive de plus en plus abondamment ait pu produire à la fin une
espèce
que son instinct a conduite à négliger tous les a
l’état de nature, se trouvent parfois frappés de stérilité. De telles
espèces
auraient vécu à l’état social, et il eût été avan
duit entre les femelles fécondes et les ouvrières stériles de la même
espèce
la prodigieuse différence que nous observons aujo
prodigieuse différence que nous observons aujourd’hui chez beaucoup d’
espèces
sociales. Mais nous n’avons pas encore abordé le
tal de la difficulté, c’est-à-dire ce fait étrange que chez plusieurs
espèces
de Fourmis les neutres diffèrent, non seulement d
tant aussi différentes les unes des autres que pourraient l’être deux
espèces
du même genre ou même deux genres de même famille
leur abdomen énorme sécrète une sorte de miel qui remplace pour cette
espèce
la sécrétion des Aphis, c’est-à-dire du bétail do
de voir est juste, nous devons trouver de temps à autre, dans la même
espèce
et dans le même nid, des neutres présentant diver
e. M. F. Smith a constaté qu’il existe entre les neutres des diverses
espèces
de Fourmis anglaises de surprenantes différences,
s ouvrières appartinssent à la petite caste, il en serait résulté une
espèce
de Fourmi dont les neutres eussent présenté la pl
plus grande analogie avec celle des Myrmica ; les ouvrières de cette
espèce
n’ayant pas même d’yeux rudimentaires, quoique le
ertain de trouver, entre les différentes castes de neutres de la même
espèce
, des traces de gradations de structure, même dans
ant sur les parents féconds, peut arriver successivement à former une
espèce
qui produira régulièrement des neutres, toutes de
erreurs ; que nul instinct n’a jamais pour but exclusif le bien d’une
espèce
différente, mais que chaque animal fait tourner l
différente, mais que chaque animal fait tourner l’instinct des autres
espèces
à son profit toutes les fois qu’il le peut ; que
ent encore appuyer plus fortement mes opinions. Tel est le cas où des
espèces
étroitement alliées, mais pourtant bien distincte
de coqs » où ils perchent comme les mâles de nos Roitelets communs, d’
espèce
bien distincte, habitude qu’on n’a constatée chez
tte abondante excrétion, qui les tient dans la dépendance d’une autre
espèce
, est donc un désavantage ; mais il se peut que l’
e d’une autre espèce, est donc un désavantage ; mais il se peut que l’
espèce
même doive sa conservation et sa multiplication à
des Fourmis. Le professeur Heer n’en a pas compté moins de cinquante
espèces
dans les seuls gisements de Radoboj et d’Œningen,
qui, on n’en peut douter, était originairement instinctive dans leur
espèce
, comme on la voit encore si évidemment instinctiv
lent près d’elle. On comprend donc qu’aussitôt que les cellules d’une
espèce
ont commencé à affecter une forme régulière, elle
des sphères ; car, une fois cette habitude devenue héréditaire chez l’
espèce
, il faudrait de nouvelles variations et de nouvea
déviation et un perfectionnement de l’instinct constructeur d’autres
espèces
antérieures, analogues à la Mélipone ou au Bourdo
l’on conçoit aisément que la présence d’individus neutres de la même
espèce
puisse exercer, par suite d’une longue habitude e
sité, la même influence sur les individus féconds, que les esclaves d’
espèce
différente sur les maîtres qu’elles avertissent.
ortée, ou plus généralement de la raison géométrique selon laquelle l’
espèce
tend à se multiplier. De sorte que plus les anima
nt en général qu’une postérité très peu nombreuse, au point que, si l’
espèce
ne comptait que de ces intelligences supérieures,
qu’inspire à quelques personnes le système de la perfectibilité de l’
espèce
humaine. L’on m’a reproché d’avoir donné la préfé
rs acquis de nouvelles forces à travers les malheurs sans nombre de l’
espèce
humaine. Mon goût en poésie est peu de chose à cô
plus ; et c’est un grand tort dans l’esprit de ceux qui condamnent l’
espèce
humaine au supplice de Sisyphe, à retomber toujou
être élevée. D’où vient donc que ce système de la perfectibilité de l’
espèce
humaine déchaîne maintenant toutes les passions p
nir leur opinion en conscience ? Le système de la perfectibilité de l’
espèce
humaine a été celui de tous les philosophes éclai
e de l’infortune, écrivait encore en faveur de la perfectibilité de l’
espèce
humaine, tant les esprits penseurs ont attaché d’
toujours représenté la morale religieuse comme un moyen d’améliorer l’
espèce
humaine ; j’ai tâché de prouver que les préceptes
nt despotique, qui puisse s’avouer contraire à la perfectibilité de l’
espèce
humaine. Quels sont donc les dangers qu’un esprit
rang que ce qui est bien mérite ? et faut-il dégrader toujours plus l’
espèce
humaine, à mesure qu’elle abuse d’une idée génére
es préjugés, les bassesses et les mensonges n’ont pas fait de mal à l’
espèce
humaine, tant on se montre sévère pour la philoso
lutôt, c’est que les détracteurs du système de la perfectibilité de l’
espèce
humaine n’ont pas médité sur les véritables bases
ins. Il importe d’ailleurs de distinguer entre la perfectibilité de l’
espèce
humaine et celle de l’esprit humain. L’une se man
l’Amérique, la Russie, etc. fait des progrès vers la civilisation, l’
espèce
humaine s’est perfectionnée ; chaque fois qu’une
e classe inférieure est sortie de l’esclavage ou de l’avilissement, l’
espèce
humaine s’est encore perfectionnée. Les lumières
e avec les siècles. Secondement, en parlant de la perfectibilité de l’
espèce
humaine, je ne fais nullement allusion aux rêveri
ce caractère sensible dans l’individu, l’est bien plus encore dans l’
espèce
: car peut-être n’est-il pas impossible de dire d
il pouvait atteindre, et il le sera éternellement de l’affirmer de l’
espèce
entière, dont la richesse intellectuelle et moral
j’aie mise dans le mien, excepté le système de la perfectibilité de l’
espèce
humaine, qui heureusement n’appartient pas plus à
intitulée Le Mondain, qui ait donné l’idée de la perfectibilité de l’
espèce
humaine, et qui contienne l’extrait de tout ce qu
a produire ce résultat. Les fonctions de reproduction, dans certaines
espèces
inférieures, entraînent fatalement la mort et, mê
espèces inférieures, entraînent fatalement la mort et, même dans les
espèces
plus élevées, elles créent des risques. Cependant
ésultat à la diathèse rhumatismale. Mais, en sociologie, comme chaque
espèce
sociale ne compte qu’un petit nombre d’individus,
est de deux sortes. Les unes sont générales dans toute l’étendue de l’
espèce
; elles se retrouvent, sinon chez tous les indivi
e d’individualité abstraite, les caractères les plus fréquents dans l’
espèce
avec leurs formes les plus fréquentes, on pourra
est pas autrement du sociologue. Une fois qu’on sait reconnaître les
espèces
sociales les unes des autres — nous traitons plus
elle est la forme la plus générale que présente un phénomène dans une
espèce
déterminée. On voit qu’un fait ne peut être quali
u’un fait ne peut être qualifié de pathologique que par rapport à une
espèce
donnée. Les conditions de la santé et de la malad
i est normal pour un mollusque le soit aussi pour un vertébré. Chaque
espèce
a sa santé, parce qu’elle a son type moyen qui lu
é, parce qu’elle a son type moyen qui lui est propre, et la santé des
espèces
les plus basses n’est pas moindre que celle des p
auquel on peut juger de l’état de santé ou de maladie varie avec les
espèces
, il peut varier aussi pour une seule et même espè
e varie avec les espèces, il peut varier aussi pour une seule et même
espèce
, si celle-ci vient à changer. C’est ainsi que, au
nir compte parce qu’elles se produisent régulièrement dans toutes les
espèces
, ce sont celles qui tiennent à l’âge. La santé du
des sociétés35. Un fait social ne peut donc être dit normal pour une
espèce
sociale déterminée, que par rapport à une phase,
se présente dans la généralité des sociétés qui appartiennent à cette
espèce
, il faut encore avoir soin de les considérer à la
t, pour tout le monde, le type de la santé se confond avec celui de l’
espèce
. On ne peut même pas, sans contradiction, concevo
i de l’espèce. On ne peut même pas, sans contradiction, concevoir une
espèce
qui, par elle-même et en vertu de sa constitution
s dont la réunion forme le type normal ont pu se généraliser dans une
espèce
, ce n’est pas sans raison. Cette généralité est e
uée par cela seul qu’il sera rattaché aux conditions d’existence de l’
espèce
considérée, soit comme un effet mécaniquement néc
nduire en erreur. C’est ce qui arrive aux périodes de transition où l’
espèce
tout entière est en train d’évoluer, sans s’être
d’existence. Un fait peut ainsi persister dans toute l’étendue d’une
espèce
, tout en ne répondant plus aux exigences de la si
nsi dire, pas pour le biologiste. Il est, en effet, bien rare que les
espèces
animales soient nécessitées à prendre des formes
st encore ainsi en sociologie pour les sociétés qui appartiennent aux
espèces
inférieures. Car, comme nombre d’entre elles ont
uvons bien être certains que les états qui se sont généralisés dans l’
espèce
sont plus utiles que ceux qui sont restés excepti
déborde celle du normal ; elle est à celle-ci ce que le genre est à l’
espèce
. Or, il est impossible de déduire le plus du moin
est à l’espèce. Or, il est impossible de déduire le plus du moins, l’
espèce
du genre. Mais on peut retrouver le genre dans l’
s du moins, l’espèce du genre. Mais on peut retrouver le genre dans l’
espèce
puisqu’elle le contient. C’est pourquoi, une fois
eloppement, quand il se produit dans la moyenne des sociétés de cette
espèce
, considérées à la phase correspondante de leur év
3° Cette vérification est nécessaire, quand ce fait se rapporte à une
espèce
sociale qui n’a pas encore accompli son évolution
’observe pas seulement dans la plupart des sociétés de telle ou telle
espèce
, mais dans toutes les sociétés de tous les types.
ion que dans l’espace ; elle ne se rencontre pas dans la moyenne de l’
espèce
, mais elle dure toute la vie des individus où ell
s se trouve en rapport avec celle des effets ; et si entre toutes ces
espèces
nosologiques il y a pourtant quelque chose de com
e dépend de plus d’une cause, c’est que, en réalité, il y a plusieurs
espèces
de suicides. Il en est de même du crime. Pour la
histoire de l’humanité est autrement claire et complète que celle des
espèces
animales. De plus, il existe une multitude de phé
és ou à une seule et unique société — ou à plusieurs sociétés de même
espèce
— ou à plusieurs espèces sociales distinctes. Le
que société — ou à plusieurs sociétés de même espèce — ou à plusieurs
espèces
sociales distinctes. Le premier procédé peut suff
tats par d’autres observations faites sur d’autres peuples de la même
espèce
. Mais on ne peut se contenter de comparaisons aus
ation. En faisant entrer en ligne de compte plusieurs peuples de même
espèce
, on dispose déjà d’un champ de comparaison plus é
conséquent ne peut être expliqué si l’on ne sort pas des limites de l’
espèce
dont elle fait partie. Seules, les additions qui
uent, pour rendre compte d’une institution sociale, appartenant à une
espèce
déterminée, on comparera les formes différentes q
différentes qu’elle présente, non seulement chez les peuples de cette
espèce
, mais dans toutes les espèces antérieures. S’agit
non seulement chez les peuples de cette espèce, mais dans toutes les
espèces
antérieures. S’agit-il, par exemple, de l’organis
condition d’en suivre le développement intégral à travers toutes les
espèces
sociales. La sociologie comparée n’est pas une br
arrivé qu’on a simplement comparé ce qui se passe au déclin de chaque
espèce
avec ce qui se produit au début de l’espèce suiva
passe au déclin de chaque espèce avec ce qui se produit au début de l’
espèce
suivante. En procédant ainsi, on a cru pouvoir di
omène social, on comparera ce qu’il est pendant la jeunesse de chaque
espèce
avec ce qu’il devient pendant la jeunesse de l’es
nesse de chaque espèce avec ce qu’il devient pendant la jeunesse de l’
espèce
suivante, et suivant que, de l’une de ces étapes
ui a tout de suite éclaté en fragments, lesquels, étant eux-mêmes des
espèces
d’obus, ont éclaté à leur tour en fragments desti
al y oppose. Ainsi pour la fragmentation de la vie en individus et en
espèces
. Elle tient, croyons-nous, à deux séries de cause
urqué en grandissant. Elle crée, avec elles, des séries divergentes d’
espèces
qui évolueront séparément. Ces séries pourront d’
milieu, nous ne le contestons aucunement. Il est trop évident qu’une
espèce
disparaît quand elle ne se plie pas aux condition
. Cet élan est pourtant visible, et un simple coup d’œil jeté sur les
espèces
fossiles nous montre que la vie aurait pu se pass
gonistes et incompatibles entre elles. Ainsi la désharmonie entre les
espèces
ira en s’accentuant. Encore n’en avons-nous signa
la cause essentielle. Nous avons supposé, pour simplifier, que chaque
espèce
acceptait l’impulsion reçue pour la transmettre à
lue, la propagation s’effectuait en ligne droite. En fait, il y a des
espèces
qui s’arrêtent, il en est qui rebroussent chemin.
d’un pareil résultat. Les généalogies qu’on propose pour les diverses
espèces
sont, le plus souvent, problématiques. Elles vari
comme le naturaliste, à retrouver l’ordre de succession des diverses
espèces
, mais seulement à définir les directions principa
it caractéristique de l’animal qu’on n’ait pu observer chez certaines
espèces
, ou à certains moments, dans le monde végétal. On
sont, pourrait-on dire, les avortons du monde végétal. Leurs diverses
espèces
constituent autant d’impasses, comme si, en renon
le protoplasme des animaux. Inversement, on noterait dans une foule d’
espèces
animales (généralement parasites) des phénomènes
ixité, chez l’animal, apparaît le plus souvent Comme une torpeur où l’
espèce
serait tombée, comme un refus d’évoluer plus loin
i pleine, si débordante que puisse en effet paraître l’activité d’une
espèce
animale, la torpeur et l’inconscience la guettent
iel, une somme considérable d’énergie chimique, elles constituent des
espèces
d’explosifs, qui n’attendent qu’une étincelle pou
nsmettre au moment voulu, la force qu’ils mettront en liberté par une
espèce
d’explosion. Le rôle de l’aliment chez les animau
une discontinuité fonctionnelle, car chacun d’eux se termine par une
espèce
de carrefour où, sans doute, l’influx nerveux peu
sées en vue du meilleur fonctionnement possible de la machine. Chaque
espèce
aurait sa raison d’être, sa fonction, sa destinat
ourrait dire que la vie tend à agir le plus possible, mais que chaque
espèce
préfère donner la plus petite somme possible d’ef
dans ce qui est son essence même, c’est-à-dire comme une transition d’
espèce
à espèce, la vie est une action toujours grandiss
ui est son essence même, c’est-à-dire comme une transition d’espèce à
espèce
, la vie est une action toujours grandissante. Mai
espèce, la vie est une action toujours grandissante. Mais chacune des
espèces
, à travers lesquelles la vie passe, ne vise qu’à
tence, cette adaptation est nécessairement suffisante du moment que l’
espèce
subsiste. En ce sens, chacune des espèces success
t suffisante du moment que l’espèce subsiste. En ce sens, chacune des
espèces
successives que décrivent la paléontologie et la
Mais les choses prennent un tout autre aspect quand on compare chaque
espèce
au mouvement qui l’a déposée sur son chemin, et n
e les autres en se rendant, autant que possible, indévorables. Chaque
espèce
, dans l’acte par lequel elle se constitue, va à c
s aux organismes déjà aiguillés sur la vie végétale, ainsi, parmi les
espèces
animales elles-mêmes, beaucoup s’arrangèrent pour
e et s’en repaître, tout aussi bien que des végétaux. Ainsi, plus les
espèces
se faisaient mobiles, plus sans doute elles deven
ciens Poissons ont probablement eu pour origine commune un effort des
espèces
animales pour se protéger contre les espèces enne
ne commune un effort des espèces animales pour se protéger contre les
espèces
ennemies. Mais cette cuirasse, derrière laquelle
toujours expliquer par leur intérêt particulier la transformation des
espèces
. On donnera ainsi la cause immédiate de la variat
er, dans l’évolution des Arthropodes et dans celle des Vertébrés, les
espèces
qui marquent, de part et d’autre, le point culmin
ste pas de signe unique et simple auquel on puisse reconnaître qu’une
espèce
est plus avancée qu’une autre sur une même ligne
es, de manière à couvrir la plus vaste étendue possible de terre. Une
espèce
qui revendique pour domaine la terre entière est
ce qui revendique pour domaine la terre entière est véritablement une
espèce
dominatrice et par conséquent supérieure. Telle e
ment une espèce dominatrice et par conséquent supérieure. Telle est l’
espèce
humaine, qui représentera le point culminant de l
la terre, comme l’homme est maître du sol. D’autre part, un groupe d’
espèces
apparu sur le tard peut être un groupe de dégénér
eur à l’Hyménoptère que le Lépidoptère, c’est-à-dire, sans doute, une
espèce
de dégénéré, véritable parasite des plantes à fle
nous pouvions nous dépouiller de tout orgueil, si, pour définir notre
espèce
, nous nous en tenions strictement à ce que l’hist
ent souvent, de la part de la larve, des démarches appropriées et une
espèce
d’initiative, il n’y a pas de ligne de démarcatio
ariable, puisque sa modification ne va pas sans une modification de l’
espèce
. L’instinct est donc nécessairement spécialisé, n
e étude. Disons donc que l’intelligence et l’instinct impliquent deux
espèces
de connaissance radicalement différentes. Mais qu
s il faut signaler ici une différence, trop peu remarquée, entre deux
espèces
d’inconscience, celle qui consiste en une conscie
dépose ses oeufs à l’entrée des galeries souterraines que creuse une
espèce
d’Abeille, l’Anthophore. La larve du Sitaris, apr
ix, dans le domaine de la connaissance naturelle ou innée, entre deux
espèces
de limitation, l’une portant sur l’extension de l
e connaissance devient relative, du moment que l’intelligence est une
espèce
d’absolu. Au contraire, nous tenons l’intelligenc
autres, il faut s’être essayé, au moins en imagination, à doter toute
espèce
de matière de la forme de l’objet conçu. En d’aut
déterminé, et chacun d’eux rester invariablement attaché, une fois l’
espèce
constituée, à un certain objet ou à une certaine
ns l’ombre. Il semble que la vie, dès qu’elle s’est contractée en une
espèce
déterminée, perde contact avec le reste d’elle-mê
e d’elle-même, sauf cependant sur un ou deux points qui intéressent l’
espèce
qui vient de naître. Comment ne pas voir que la v
que côté notre situation actuelle. La connaissance instinctive qu’une
espèce
possède d’une autre espèce sur un certain point p
tuelle. La connaissance instinctive qu’une espèce possède d’une autre
espèce
sur un certain point particulier a donc sa racine
de l’instinct une intelligence dégradée : l’action jugée utile par l’
espèce
ou par quelques-uns de ses représentants aurait e
d’où l’instinct procède un effort individuel. L’effort par lequel une
espèce
modifie ses instincts et se modifie aussi elle-mê
e elles, en effet, les diverses formes du même instinct dans diverses
espèces
d’Hyménoptères. L’impression que nous avons n’est
n seul et même sens, comme s’il montait les degrés d’une échelle, les
espèces
que leur instinct classe ainsi en série linéaire
t l’instinct paralyseur de certaines Guêpes. On sait que les diverses
espèces
d’Hyménoptères paralyseurs déposent leurs oeufs d
nerveux de leur victime pour l’immobiliser sans la tuer, ces diverses
espèces
d’Hyménoptères se règlent sur les diverses espèce
tuer, ces diverses espèces d’Hyménoptères se règlent sur les diverses
espèces
de proie auxquelles elles ont respectivement affa
ste vise à ressaisir en se replaçant à l’intérieur de l’objet par une
espèce
de sympathie, en abaissant, par un effort d’intui
droit, un champ énorme, mais qu’elle est comprimée, en fait, dans une
espèce
d’étau : chaque progrès des centres nerveux, en d
signalé par M. F. Marin dans un remarquable article sur l’Origine des
espèces
(Revue scientifique, nov. 1901, p. 580). 51. De
du progrès soit un des caractères essentiels et distinctifs de notre
espèce
, l’homme dut en avoir une vague conscience dès le
lus tard, se développant par degrés, donnèrent naissance à toutes les
espèces
actuellement vivantes. Les ancêtres de l’homme fu
ce et dont le terme est la réalisation, dans l’individu, du type de l’
espèce
. Mais la croissance de cette plante libre et resp
ssi, a risqué quelques conjectures sur les destinées futures de notre
espèce
; mais, plus généreux, il consentait à laisser vi
vieille, et toute tentative pour retrouver dans le développement de l’
espèce
les différentes phases de l’existence individuell
mises un naturaliste éminent, M. Naudin. Selon M. Naudin, chacune des
espèces
, primitivement peu nombreuses, d’êtres vivans est
atal de son évolution. Cette force évolutive, énorme à l’origine de l’
espèce
, s’affaiblit à mesure que l’adaptation aux milieu
e limitée, quoique fort inégale, de tous les individus, de toutes les
espèces
, de tous les types d’organisation, dont aucun ne
ganisation, dont aucun ne peut être regardé comme éternel. Beaucoup d’
espèces
sans doute ont disparu par le concours des circon
ion humaine, plusieurs sont en train de mourir. Il y a plus, « dans l’
espèce
humaine elle-même, certaines races sont en voie d
e plus rien du tronc qui l’a nourrie. » Ce que M. Naudin dit ici des
espèces
animales et végétales, et des races humaines, de
ointaine espérance, une conquête réservée aux derniers jours de notre
espèce
. Ainsi le voyageur qui gravit péniblement la mont
ent, comme l’a montré M. de Quatrefages, le caractère distinctif de l’
espèce
humaine, on s’explique aisément pourquoi, de tous
mpêche les chiens d’aboyer, que l’oie bernache riait des glands d’une
espèce
de chêne ; quand, en 1680, Pierre Rommel affirme
scrupuleusement les êtres, déterminer ce qui est particulier à chaque
espèce
avant de rechercher ce qui est commun à un grand
dans la mesure où il est possible qu’il le soit… Au point de vue de l’
espèce
, cette éternité est possible, et c’est ainsi que
éorie anthropocentrique, qui fait du bien-être et des commodités de l’
espèce
humaine l’objet unique des préoccupations du Créa
r un art inné dont elle n’a pas conscience, s’ordonne elle-même, et d’
espèce
en espèce, de règne en règne, poursuit et réalise
nné dont elle n’a pas conscience, s’ordonne elle-même, et d’espèce en
espèce
, de règne en règne, poursuit et réalise le mieux.
ment embryogénique suffiraient donc à rendre compte de la variété des
espèces
. N’est-ce pas là l’hypothèse des variations accid
de ces rapprochemens. Au fond, Aristote tient pour l’immutabilité des
espèces
, ou tout au moins de certains types essentiels qu
tent un tableau intéressant, parfois brillant, des mœurs de plusieurs
espèces
, des luttes que provoque la compétition pour la n
s animaux privés et des animaux sauvages. Il va sans dire que là même
espèce
peut de la sorte se retrouver dans plusieurs caté
venons de nommer, n’est pas précisément de faire connaître toutes les
espèces
différentes d’animaux ; ce qu’il a voulu faire, c
nombreux échelons de la hiérarchie animale ; en sorte que ce qui est
espèce
relativement à un groupe supérieur ou genre, est
grec a démêlé avec une singulière pénétration le vrai caractère de l’
espèce
, celui même qui sert à la déterminer encore aujou
est tiré de la reproduction. « Les hémiones, dit-il, constituent une
espèce
distincte (dans le genre des lophures), puisqu’il
plement est fécond. » Et il ne considère comme appartenant à une même
espèce
que les individus descendus d’ancêtres communs, c
ristote comme pour nous, les élémens essentiels de la définition de l’
espèce
. Mais cette conception si nette devient souvent o
its où il y a de l’eau. Là les mâles s’accouplent avec les femelles d’
espèces
différentes (μή όμόφυλα) et ces familles nouvelle
op différente et la durée de la gestation trop inégale entre les deux
espèces
. » Il n’est pas suffisamment incrédule à l’égard
upuleusement la méthode. Il a observé par lui-même environ cinq cents
espèces
de plantes ; il a des vues remarquables, emprunté
ure n’est pas assez abondante, ils se battent, fussent-ils de la même
espèce
. » 6. Aristote admet cependant que la nature n’
vent trois sortes de mœurs ; de ces mœurs elles-mêmes découlent trois
espèces
de droits naturels qui donnent lieu à autant de g
de langues et de caractères. Aux trois âges répondirent encore trois
espèces
de jurisprudences appuyées d’autant d’autorités e
d’autant d’autorités et de raisons diverses, donnant lieu à autant d’
espèces
de jugements, et suivies dans trois périodes (sec
, et suivies dans trois périodes (sectæ temporum). Ces trois unités d’
espèces
avec beaucoup d’autres qui en sont une suite, se
qu’elles suivent dans le cours des affaires humaines. § II. Trois
espèces
de natures Maîtrisée par les illusions de l’i
r l’honneur dans l’accomplissement des devoirs civils. § IV. Trois
espèces
de droits naturels Droit divin. Les hommes v
in, dicté par la raison humaine entièrement développée. § V. Trois
espèces
de gouvernements Gouvernements divins, ou th
semble naturel que l’on puisse mesurer l’intelligence des différentes
espèces
animales en comparant leur cerveau, et les faits
mammifères, et que dans cette dernière classe on remonte la série des
espèces
dans l’ordre de leurs facultés intellectuelles. C
ure la supériorité d’un cerveau sur un autre, de l’intelligence d’une
espèce
sur l’intelligence d’une autre espèce. On est d’a
autre, de l’intelligence d’une espèce sur l’intelligence d’une autre
espèce
. On est d’abord conduit à penser que cette circon
cette échelle de poids avec l’échelle d’intelligence des différentes
espèces
. Or, cette comparaison ne donne pas des résultats
ssurer que cette partie soit plus ou moins grande dans telle ou telle
espèce
, la taille n’étant elle-même qu’une indication tr
absolu, car d’après cette mesure l’homme serait inférieur à plusieurs
espèces
de singes (le saïmiri, le saï, le ouistiti), et s
le nombre des circonvolutions est en raison de la taille des diverses
espèces
; les plus grandes en ont plus, les plus petites
t ainsi, par exemple, que dans le groupe des singes, les plus petites
espèces
, les ouistitis ont le cerveau entièrement lisse,
ntièrement lisse, et les saïmris presque entièrement. Or, ces petites
espèces
ont une intelligence au moins égale à celle des g
rveau par rapport à la masse du corps est plus grand chez les petites
espèces
que chez les grandes, toujours dans un même group
groupe naturel. Aussi n’est-il pas éloigné d’affirmer que les petites
espèces
ont, en général, plus d’intelligence que les gran
’autre à la quantité de matière ; mais en général les organes de même
espèce
contiennent d’autant plus de matière qu’ils sont
l’unité de la personne. II. Le Bovarysme passionnel ou le Génie de l’
espèce
: l’homme, en proie à la passion de l’amour, tand
ndis qu’il croit assurer son bonheur personnel, accomplit le vœu de l’
espèce
. III. Le Bovarysme scientifique ou le Génie de la
tandis qu’il croit poursuivre un but personnel accomplit le vœu de l’
espèce
. Cette fin, d’une importance majeure, et qui dépa
ous les autres intérêts et le sacrifiée qu’ils en font. Le Génie de l’
Espèce
qui les possède leur promet un bonheur hors de pr
traint à réaliser son propre vœu qui est unique : assurer la vie de l’
espèce
, faire naître des êtres en abondance dont le type
s êtres en abondance dont le type perpétue celui des êtres de la même
espèce
, de ces vivants qui vont mourir et qui, s’il n’y
dissipe ou s’amoindrit lorsque le dessein poursuivi par le Génie de l’
Espèce
a été réalisé, lorsque l’individu nouveau, celui
renaît après s’être atténué, c’est une exigence nouvelle du vœu de l’
espèce
qui veut être de nouveau satisfaite, qui réclame
acceptable pour l’individu une liaison que noua le seul intérêt de l’
espèce
. Le plus souvent, l’intérêt individuel est, à vra
t, à vrai dire, en antagonisme avec l’intérêt supérieur du Génie de l’
Espèce
. Le vœu du Génie de l’Espèce ne serait donc pas r
e avec l’intérêt supérieur du Génie de l’Espèce. Le vœu du Génie de l’
Espèce
ne serait donc pas rempli s’il n’usait de ruse :
our un avantage personnel l’acte par lequel il va combler le vœu de l’
espèce
et se charger lui-même de liens. Qui ne voit d’ai
seulement se désintéresse des conséquences qui en résulteront pour l’
espèce
mais qu’il les redoute. C’est le cas, dans une so
sser peu à peu jusqu’à ce qu’elle s’effondre, cette vie profonde de l’
espèce
se construit d’autres demeures humaines, d’autres
ps où elle va persister et fleurir. III En regard du Génie de l’
Espèce
qu’imagina Schopenhauër, un Génie de la Connaissa
l’humanité, une autre forme de la finalité. Tandis que le Génie de l’
Espèce
asservit les hommes, par l’attrait de la volupté,
tentement. C’est là ce qui le distingue vraiment de toutes les autres
espèces
et c’est à cause de cette humeur spéciale qu’il c
t n’agir qu’en vue de son bonheur, remplit les desseins du Génie de l’
Espèce
, de même, avec la recherche scientifique, croyant
Il y a un grand nombre de faits semblables, quoique différents par l’
espèce
et le degré. Telles sont les sensations de contac
quides ou volatiles, des vibrations aériennes ou lumineuses, tantôt l’
espèce
bien connue des sensations que ces corps, particu
guisée à tous les étages de notre pensée. — Ces fils primitifs sont d’
espèces
diverses. Depuis longtemps, selon la méthode ordi
il ou la fonction qui les provoque, on les a divisées en genres et en
espèces
: ici l’effort, la fatigue, et diverses douleurs
de l’ouïe et de la vue. Dans chacun de ces genres, on a introduit des
espèces
. Dans les sensations du goût, on a distingué les
e, par exemple celle de l’odeur de rose, on la trouve comprise dans l’
espèce
des odeurs parfumées avec celle de lis, de violet
vons énumérer et préciser ses éléments comme lorsqu’il s’agit de deux
espèces
minérales ou végétales ; nous n’avons pas ici d’é
mum et un minimum au-delà desquels elle cesse ou entre dans une autre
espèce
. — Mais chacune d’elles est une sorte de corps si
il et de la vapeur d’arsenic à côté de l’odeur de l’étain ; ainsi les
espèces
sont innombrables, et les genres presque nuls ; à
uellement irréductibles, comme les corps simples en chimie, comme les
espèces
animales en zoologie, comme les espèces végétales
simples en chimie, comme les espèces animales en zoologie, comme les
espèces
végétales en botanique, mais avec ce désavantage
nte indique la solution générale qu’on atteindra. — En apparence, les
espèces
de sons sont fort nombreuses, et l’observation, o
on semblables entre elles. Enfin ce dernier genre contient beaucoup d’
espèces
qui paraissent irréductibles l’une à l’autre, exp
e et continuent à être distincts, elle se dégage comme un événement d’
espèce
différente ; entre les diverses sensations élémen
tion de petites sensations subsidiaires et complémentaires de la même
espèce
, qui, se collant sur la sensation principale, lui
s personnages romains, et qui délivrerent ainsi la scene latine d’une
espece
de tyrannie que des personnages étrangers y venoi
de leurs poësies dramatiques ont confondu quelquefois le genre avec l’
espece
. Je crois néanmoins devoir tâcher de debroüiller
oient à Rome. Quoiqu’il ne nous soit demeuré qu’une tragedie de cette
espece
, l’ Octavie qui passe sous le nom de Seneque, no
hassa les tarquins, et le Decius du poëte Attius. La satire étoit une
espece
de pastorale que quelques auteurs disent avoir te
our s’ôter le masque. Tous ces comediens joüoient chaussez avec cette
espece
de souliers particuliers qu’on appelloit Soque .
e viens de dire en écrivant : quarta species est… etc. . La quatriéme
espece
de comedie est celle qu’on appelle comedie déchau
premiers genres. Les grecs donnent le nom de mimes à cette quatriéme
espece
de comedie. Nous voïons par l’avanture qui arriva
mon cadavre dans la riviere. Nous parlerons plus bas des pantomimes,
espece
de comediens qui déclamoient sans rien prononcer.
nts de notre vie, dont nous sommes les artisans. Chacun d’eux est une
espèce
de création. Et de même que le talent du peintre
’importe quel vivant, Il n’y a que des directions où la vie lance les
espèces
en général. Chaque espèce particulière, dans l’ac
y a que des directions où la vie lance les espèces en général. Chaque
espèce
particulière, dans l’acte même par lequel elle se
firmer la constante accumulation ou la perte constante d’une certaine
espèce
de matière, alors que, dans la détermination de c
à celles par lesquelles on passerait, d’après l’évolutionnisme, d’une
espèce
à une autre espèce. Une seule cellule, obtenue pa
lles on passerait, d’après l’évolutionnisme, d’une espèce à une autre
espèce
. Une seule cellule, obtenue par la combinaison de
là où elle retrouve avec quelque précision l’ordre de succession des
espèces
, cet ordre est justement celui que des considérat
sons qu’on arrive à établir, par inférence ou par expérience, que les
espèces
sont nées par un processus discontinu, dont nous
formes, il y a aussi un rapport de succession chronologique entre les
espèces
où ces formes se matérialisent. Cette double thès
elque part — soit dans une Pensée créatrice où les idées des diverses
espèces
se seraient engendrées les unes les autres exacte
es les unes les autres exactement comme le transformisme veut que les
espèces
elles-mêmes se soient engendrées sur la terre, —
r à tour, passant de génération en génération, s’est divisé entre les
espèces
et éparpillé entre les individus sans rien perdre
ouvelle, incommensurable avec ses antécédents. Que l’apparition d’une
espèce
végétale ou animale soit due à des causes précise
lyse y découvre. Mais ce qui est vrai de la production d’une nouvelle
espèce
l’est aussi de celle d’un nouvel individu, et plu
ortance et une certaine généralité pour qu’elle donne naissance à une
espèce
nouvelle, elle se produit à tout moment, continue
nous arrivions enfin à quelque chose qui se puisse traiter comme une
espèce
de système solaire, astronomiquement. Si vous le
à ce système naturel qu’est le tout de l’univers. Que la vie soit une
espèce
de mécanisme, je le veux bien. Mais est-ce le méc
r, ils seraient moins envoyés par elle qu’attirés hors d’elle par une
espèce
d’aspiration ou de succion du milieu ambiant 13.
» n’explique pas grand-chose : du moins a-t-il l’avantage d’être une
espèce
d’écriteau posé sur notre ignorance et qui pourra
ite qu’on l’a dit. Elle admet bien des discordances, parce que chaque
espèce
, chaque individu même ne retient de l’impulsion g
te énergie dans son intérêt propre ; en cela consiste l’adaptation. L’
espèce
et l’individu ne pensent ainsi qu’à eux, — d’où u
favorisant, dans la concurrence vitale, ceux des représentants d’une
espèce
que le hasard de la naissance a mieux adaptés au
tain ordre des milliers de cellules différentes, dont chacune est une
espèce
d’organisme ? Passons donc à la seconde hypothè
ation de variations insensibles qu’il rendait compte de la genèse des
espèces
25. Telle est encore l’opinion de beaucoup de nat
ères nouveaux, assez différents des anciens, que se constituerait une
espèce
nouvelle. Cette dernière hypothèse, déjà émise pa
tenu, au bout de quelques générations, un certain nombre de nouvelles
espèces
. La théorie qu’il dégage de ses expériences est d
théorie qu’il dégage de ses expériences est du plus haut intérêt. Les
espèces
passeraient par des périodes alternantes de stabi
e fois, comment admettre qu’il la répète au cours de l’histoire d’une
espèce
, de manière à susciter chaque fois, tout d’un cou
gitime en botanique, là précisément où la théorie de la formation des
espèces
par variation brusque repose sur la base expérime
ns insensibles, il faudra faire appel à un bon génie, — le génie de l’
espèce
future, — pour conserver et additionner ces varia
sez différents qui avaient été considérés pendant longtemps comme des
espèces
indépendantes, Vanessa levana et Vanessa prorsa :
sous nos yeux, la nature aboutit à des résultats identiques, chez des
espèces
quelquefois voisines les unes des autres, par des
igne des directions définies à l’évolution des divers organes par une
espèce
de composition mécanique entre les forces extérie
ertain nombre de biologistes. La variation qui aboutit à produire une
espèce
nouvelle ne serait pas une variation accidentelle
celle-là même qui a fait choisir pour la domestication telle ou telle
espèce
particulière ou certains de ses représentants. A
tres parties naissantes de celui-ci jouissent, par rapport à C, d’une
espèce
d’immunité : la même partie sera alors modifiée d
ême temps, sous la même forme, chez tous les représentants d’une même
espèce
ou du moins chez un certain nombre d’entre eux. D
t. Elle dit qu’à un moment donné, après une longue période écoulée, l’
espèce
tout entière est prise d’une tendance à changer.
ries, dans des sens différents chez les différents représentants de l’
espèce
. Mais, d’abord, il faudra voir si la théorie se c
abord, il faudra voir si la théorie se confirme sur beaucoup d’autres
espèces
végétales (De Vries ne l’a vérifiée que sur l’Oen
n expliquerait autrement la similitude de structure de l’œil dans des
espèces
qui n’ont pas du tout la même histoire. Où nous n
ne de plus en plus compliquée, doit sans doute se rapporter à quelque
espèce
d’effort, mais à un effort autrement profond que
t des circonstances, commun à la plupart des représentants d’une même
espèce
, inhérent aux germes qu’ils portent plutôt qu’à l
qui se transmettent régulièrement, qui s’additionnent, qui créent des
espèces
nouvelles. En général, quand des espèces ont comm
additionnent, qui créent des espèces nouvelles. En général, quand des
espèces
ont commencé à diverger à partir d’une souche com
et ordre aurait pu être réalisée, que sa réalisation complète est une
espèce
de grâce. Cette grâce, les finalistes se la font
ésenteront nécessairement une égale coordination. C’est pourquoi deux
espèces
animales auront beau être fort éloignées l’une de
’en a pas moins pris place dans la science. 28. Darwin, Origine des
espèces
, trad. Barbier, p. 198. 29. Origine des espèces
Darwin, Origine des espèces, trad. Barbier, p. 198. 29. Origine des
espèces
, pp. 11 et 12. 30. Sur cette homologie des poil
ignalés, toujours dans le monde végétal. Voir Blaringhem, La notion d’
espèces
et la théorie de la mutation (Année psychologique
, animée par les regards du monarque, sortit, quoique lentement, de l’
espèce
de prison où l’imbécillité et la superstition l’a
cillité et la superstition l’avaient enfermée ; des préjugés de toute
espèce
lui ont cédé peu à peu sans bruit et sans violenc
les autres. Il n’est pas surprenant que la société des grands ait une
espèce
d’attrait pour les gens de lettres. L’utilité rée
r quels principes, et de quelle manière on tâche de se procurer cette
espèce
de gloire qui est fondée sur les talents. Plus on
matières de goût et de belles-lettres, elle ne consiste que dans une
espèce
d’estime, toujours un peu arbitraire, sinon dans
que l’amour-propre peut désirer pour son repos. Néanmoins comme cette
espèce
même de demi-connaisseurs est encore assez rare p
ui paraissent les plus éclairés ; on est flatté d’en envahir de toute
espèce
, parce qu’on espère que ceux qui les accordent ét
ses sont d’elles-mêmes assez marquées, et les gens de lettres par une
espèce
de convention tacite les forment presque sans le
vaincre, mais non celui d’user de la victoire. » La renommée est une
espèce
de jeu de commerce où le hasard fait sans doute q
ar être leur dupe. C’est à ce métier que tant d’écrivains se font une
espèce
de nom. Voulez-vous passer pour homme d’esprit ?
naire et nouveau : on a été tout étonné qu’un géomètre ne fût pas une
espèce
d’animal sauvage. Bientôt, comme on n’observe guè
ux que d’aucun autre. Il semble que nous soyons actuellement dans une
espèce
d’échange avec l’Angleterre ; instruits et éclair
de nouveaux ennemis. On a beau se flatter que les étrangers sont une
espèce
de postérité vivante dont le suffrage impartial e
n suis formée. On arrive à ce vaste temple par une forêt immense, une
espèce
de labyrinthe semé de petits sentiers tortueux et
ister, ou pour les tenir en respect pendant leur marche. La renommée,
espèce
de spectre composé de bouches et d’oreilles sans
croient acquérir dans la société des grands. Il est encore une autre
espèce
d’avantage qu’ils croient trouver dans ce commerc
et réels sont d’ailleurs parfaitement égaux pour tous, quoique d’une
espèce
différente. En effet, pour ne parler que des état
nsistance de leurs sentiments et de leurs démarches en fait comme des
espèces
d’amphibies mal décidés, qui ne cesseront jamais
lettres, ceux qui ont quelques prétentions au bel esprit, forment une
espèce
singulière ; la vanité leur a donné ces prétentio
maine. Un grand prince, sensible, comme il le doit être, à toutes les
espèces
de gloire, recherchera toujours celle qui vient d
onde de l’état des gens de lettres, il suffira de faire attention à l’
espèce
d’accueil qu’ils y reçoivent pour l’ordinaire. Il
es objets de leurs études, doivent se borner aux sociétés (de quelque
espèce
qu’elles puissent être) où ils trouvent dans les
es, et il faut s’attendre à en rencontrer dans un siècle ou c’est une
espèce
d’héroïsme que de célébrer les génies supérieurs
ssédait trop, et qui sans Athalie, Phèdre, et Britannicus, serait une
espèce
de tache à sa gloire, ne l’a pas empêché d’essuye
mmes orgueilleux et vils, qui regardent les gens de lettres comme des
espèces
d’animaux destinés à combattre dans l’arène pour
ais un contrat ; parce que je ne veux pas que vous dépendiez de moi.
Espèce
d’héroïsme bien digne d’être proposé pour modèle
lables, qu’un bienfait accordé est regardé pour l’ordinaire comme une
espèce
de titre, une prise de possession de celui qu’on
ette règle, comme il y en a à tout ; mais ces exceptions seraient une
espèce
de phénomène. Les Romains disaient : du pain et
audace. Peut-être est-ce le seul genre de succès qui ne prouve aucune
espèce
d’esprit ; car l’esprit d’intrigue et de manège n
de lettres, serait à mon avis un plus grand mal que les hommages et l’
espèce
d’idolâtrie à laquelle l’intérêt les oblige ; et
animaux de l’Égypte étaient pareils à ceux d’aujourd’hui ; plusieurs
espèces
de plantes et d’animaux n’ont pas varié à travers
ou variété, c’est-à-dire du nègre ou de l’Indo-Européen, on passe à l’
espèce
, c’est-à-dire à l’homme. — Continuez et suivez le
Continuez et suivez les classifications de l’histoire naturelle de l’
espèce
au genre, puis à la famille, puis à l’ordre, jusq
tenu décroît, en même temps que son extension croît. — Par exemple, l’
espèce
est moins durable que le genre. Telle espèce d’an
croît. — Par exemple, l’espèce est moins durable que le genre. Telle
espèce
d’animaux, celle des mégalosauriens, a péri, aprè
que, et le genre auquel elle appartient subsiste encore dans d’autres
espèces
qui sont nées depuis ou qui ont survécu ; mais le
cu ; mais les caractères du genre ne sont qu’un fragment de ceux de l’
espèce
, et le genre qui survit dans les sauriens moderne
les sauriens modernes ne présente qu’une portion des caractères de l’
espèce
qui a disparu. — Partout la règle est la même. Si
t individu et dans beaucoup d’autres. Un extrait de ce reliquat est l’
espèce
, c’est-à-dire un caractère présent dans plusieurs
xtrait est le genre, c’est-à-dire un caractère présent dans plusieurs
espèces
; et ainsi de suite. — Par cette série de suppres
ints du temps et de l’espace, correspondent en nous des pensées d’une
espèce
distincte et que nous appelons idées générales et
inctive du son entendu, on connaît les perroquets et plusieurs autres
espèces
d’animaux imitateurs. Mais il y a ceci de particu
ain allongée, reste toujours ouverte ; et l’idée que nous avons d’une
espèce
, d’un genre, bref d’une file quelconque de caract
et proportionnée à l’extension du type, elle s’applique à toutes les
espèces
qui présentent le même groupe de caractères, quel
ature. Sitôt que l’analyse approfondie et prolongée constate dans une
espèce
d’objets un caractère ignoré et important, cette
tate dans une espèce d’objets un caractère ignoré et important, cette
espèce
tend à quitter son compartiment pour entrer dans
es formes animales, toutes les formes végétales, les cent vingt mille
espèces
de plantes, les deux cent soixante mille espèces
les cent vingt mille espèces de plantes, les deux cent soixante mille
espèces
d’animaux, et, dans la plupart des cas, démêler l
la plupart des cas, démêler le type réel et constant qui fait chaque
espèce
, chaque genre, chaque famille, chaque ordre, chaq
a pas encore de classification véritable. — Mais pour la plupart des
espèces
et des genres d’animaux et de plantes, pour les f
bouche et des membres ; et ce plan est si tenace que, chez plusieurs
espèces
, on voit subsister ou apparaître, pour témoigner
ours exacte ; il y a des cas où elle n’est qu’approximative. De cette
espèce
sont les idées géométriques. Cherchons d’abord le
fférent, la ligne qu’il décrit est courbe. Voilà pour les différentes
espèces
de lignes. — À présent, si deux droites parties d
verses des éléments primitifs et de ces premiers composés, toutes les
espèces
possibles de lignes, de surfaces et de solides, p
e telle qualité ou disposition bienfaisante pour l’individu ou pour l’
espèce
, agilité, vigueur, santé, finesse ou énergie93 ;
Chapitre II. Trois
espèces
de langues et de caractères § I. Trois espèce
Chapitre II. Trois espèces de langues et de caractères § I. Trois
espèces
de langues Langue divine mentale, dont les s
articulé, que parlent aujourd’hui toutes les nations. § II. Trois
espèces
de caractères Caractères divins, proprement
certaines images, certains modèles, auxquels elle rapporte toutes les
espèces
particulières qui appartiennent à chaque genre ;
encore des universaux poétiques qui servaient à désigner les diverses
espèces
d’objets qui occupaient l’esprit des héros ; ils
Chapitre III. Trois
espèces
de jurisprudences, d’autorités, de raisons ; coro
laires relatifs à la politique et au droit des Romains § I. Trois
espèces
de jurisprudences ou sagesses Sagesse divine
in et du vrai que nous avons donnée (axiomes 9 et 10). § II. Trois
espèces
d’autorités La première est divine ; elle ne
re ou de rejeter ce qui a été conseillé par le sénat. § III. Trois
espèces
de raisons La première est la raison divine,
égale ; c’est l’æquum bonum, l’intérêt égal, que cherche la troisième
espèce
de raison, la raison naturelle, æquitas naturalis
motifs de justice dans leurs applications directes aux causes selon l’
espèce
individuelle des faits. Dans les monarchies il fa
amentale du Droit romain Ce que nous venons de dire sur les trois
espèces
de raisons peut servir de base à l’histoire du Dr
Introduction Les anciens appelaient les idées des
espèces
, species, et ce sont en effet les espèces du mond
ns appelaient les idées des espèces, species, et ce sont en effet les
espèces
du monde intérieur, qui correspondent à celles du
onne pas lieu, de nos jours, à moins de discussions que la genèse des
espèces
dans le monde extérieur ; la loi qui régit l’une
ettait des embranchements ayant leurs types absolument distincts, des
espèces
irréductibles à quelque ancêtre commun, créations
e survivre. Cette doctrine étend de nos jours la même explication aux
espèces
intérieures, aux idées. Elle les attribue à une l
visoire et fugitive plusieurs formes arrêtées et permanentes dans les
espèces
inférieures : il traverse à la hâte, en quelque s
res, l’amour de la nature, l’intelligence du monde et de notre propre
espèce
, comme membres de la création, réjouissent notre
s quand on a construit ses ponts sur le vide d’une étoile à l’autre ;
espèce
de voyageur gratuit, non pour le commerce, mais p
ites limites de l’étude des formes et de leur réunion en genres et en
espèces
, elle conduit l’observateur qui parcourt, sous di
nais de décrire ici également, en quelques traits caractéristiques, l’
espèce
humaine considérée dans ses nuances physiques, da
euse flexibilité d’organisation qui se plie à tous les climats, notre
espèce
échappe plus aisément aux puissances de la nature
s les plus importantes que soulève l’histoire de la civilisation de l’
espèce
humaine, se rattachent aux notions capitales de l
inion, des raisons plus puissantes militent en faveur de l’unité de l’
espèce
humaine, savoir, les nombreuses gradations de la
gation sur la face de la terre, entre les limites qui déterminent les
espèces
et les genres. Elles se perpétuent organiquement
es. Elles se perpétuent organiquement comme types de la variation des
espèces
. Du concours de différentes causes, de différente
s considérable sur la terre. Les races humaines sont les formes d’une
espèce
unique, qui s’accouplent en restant fécondes, et
nt fécondes, et se perpétuent par la génération. Ce ne sont point les
espèces
d’un genre ; car, si elles l’étaient, en se crois
hiques sur le siège primordial, ou, comme on dit, sur le berceau de l’
espèce
humaine, ont dans le fait un caractère purement m
, ni historiquement, ni par aucune tradition certaine, le moment où l’
espèce
humaine n’ait pas été séparée en groupes de peupl
mène en dehors de toute expérience, celui de la première origine de l’
espèce
humaine, d’une manière conforme à l’expérience de
lème de cette première origine ; l’homme est si étroitement lié à son
espèce
et au temps, que l’on ne saurait concevoir un êtr
rit une prétendue tradition, est réellement historique, ou bien que l’
espèce
humaine, dès son principe, couvrit la terre en fo
r les rapports des races et des langues. « En maintenant l’unité de l’
espèce
humaine, nous rejetons, par une conséquence néces
testé, mais plus encore incompris, de la perfectibilité générale de l’
espèce
, c’est l’idée de l’humanité. C’est elle qui tend
ncts les plus sublimes, cette union bienveillante et fraternelle de l’
espèce
entière devient une des grandes idées qui préside
les régions les plus élevées du monde organique, dans la sphère de l’
espèce
humaine avec ses conformations diverses, avec l’é
rouve redescendu sans transition de ces mondes incommensurables à une
espèce
de littérature cosmique qui ne s’enchaîne en rien
la culture plus répandue des plantes tropicales et les collections d’
espèces
exotiques dans les jardins et dans les serres. Ch
tre, saisit son esclave d’une main, et il tient dans l’autre main une
espece
de sangle dont il veut le frapper. Deux autres ac
s de ces instrumens, dont les cordes étoient placées à vuide dans une
espece
de bordure creuse, et dont la concavité faisoit u
droite. C’étoit dans cette main que les joüeurs de lyre portoient une
espece
d’archet court et qui ne consistoit qu’en un morc
re à ceux qui voudroient les remettre au théatre. La portée de chaque
espece
de flutes étoit très-bornée du temps de Terence,
e de trous. Ainsi cet enseignement empêchoit qu’on ne se méprît sur l’
espece
de flute dont il falloit se servir, et par conseq
eoit encore dans les recits. Donat nous apprend qu’on se servoit de l’
espece
de flutes que les anciens appelloient tibiae dext
t leur inspirer, — sa valeur. Ce sont des jugements de cette dernière
espèce
que nous plaçons sous les mots : idées égalitaire
té de nature. Est-ce à dire que nous devions nier, par là même, toute
espèce
de distinction réelle entre les hommes ? L’idée d
ectives, et parquer, en quelque sorte, les individus en classes ou en
espèces
hétérogènes, auxquelles on attribuerait des valeu
onc l’idée de l’égalité exclut à nos yeux celles de la classe ou de l’
espèce
, elle réunit celles de l’individualité et de l’hu
les mesures qu’une société doit prendre pour ajuster, aux différentes
espèces
d’actions qui l’intéressent, les différentes espè
aux différentes espèces d’actions qui l’intéressent, les différentes
espèces
de sanctions dont elle dispose, Il faudrait déter
e des forces purement motrices à l’idée d’un esprit distinct de toute
espèce
de matière, mais intimement mêlé à toutes les mol
était sorti d’un autre, et ainsi de suite jusqu’à l’origine de cette
espèce
d’êtres appelés hommes. — Mais le premier de cett
-seulement la forêt vierge ne s’accommode point au développement de l’
espèce
humaine, mais encore elle serait plutôt faite pou
périeure ; le sipo va donc chercher un appui sur un arbre d’une autre
espèce
. En cela il ne diffère point essentiellement des
s’est couvert de fleurs et de fruits, il a reproduit et disséminé son
espèce
; il va mourir avec le tronc pourri dont il a cau
s ces forêts épaisses où l’individu est aux prises avec l’individu, l’
espèce
avec l’espèce, dans le seul but de se frayer une
paisses où l’individu est aux prises avec l’individu, l’espèce avec l’
espèce
, dans le seul but de se frayer une voie vers l’ai
déployer ses feuilles et de mûrir ses organes de reproduction. Aucune
espèce
ne saurait être autrement victorieuse qu’aux dépe
venir grimpeurs. Que la tendance à grimper se soit imposée à diverses
espèces
par une nécessité de circonstance, celle d’arrive
tude pour ainsi dire adoptive, ce caractère forcé, sont communs à des
espèces
d’une foule de familles distinctes qui, en généra
ttirent. Le Brésil entier est pauvre en mammifères terrestres, et les
espèces
sont toutes de petite taille ; elles ne se détach
e les voit jamais que sur la cime des arbres. Beaucoup de genres ou d’
espèces
de géophiles, c’est-à-dire d’insectes carnivores
mbreux partout, et encore appartiennent-ils la plupart du temps à des
espèces
sans venin. Il n’arriva qu’une fois à M. Bates de
ctes murinus, est plus redoutable que les serpents des bois (hors les
espèces
les plus venimeuses, comme le javaraca, craspedoc
nombre des plus communs et des plus curieux serpents les amphisbènes,
espèce
inoffensive, voisine des orvets d’Europe, qui vit
ir une haute muraille. Elle n’est point particulière à telle ou telle
espèce
, mais commune à la plupart des grands troncs. On
t à l’autre. Ici il se compose surtout de jeunes individus de la même
espèce
que les grands arbres ; plus loin, de diverses so
; mais, comme il disait une fois, il s’y mêle une amertume de la pire
espèce
, une amertume que je n’ai pas connue dans mes ann
e crée pas les religions, les métaphysiques et les principes de toute
espèce
, du moins les conserve. C’est un fait qu’autour d
d’âmes moyennes et qui n’ont pas encore reconnu qu’elles sont de même
espèce
. Ces âmes, c’est le fondateur de religion qui les
étiens comme de disposition naturelle. Les prêtres chrétiens sont « l’
espèce
la plus farouche des nains », des créatures soute
D’abord cela est douteux que ce qui est créé pour la propagation de l’
espèce
soit trompeur en soi et funeste. Ensuite c’est un
is de la vie et de la beauté, des déchéances et des dégradations de l’
espèce
humaine ; en tout cas des obstacles encore à la c
comptant plus de pédants qu’aucune autre classe de la société et de l’
espèce
humaine. — Nietzsche parle toujours des savants c
nd possible pour nous la curiosité et la rigueur scientifiques, cette
espèce
de vertu qui nous est propre. » La curiosité est
et il se dit : « Je ne suis pas seul et je ne suis pas le seul de mon
espèce
. J’ai un compagnon sublime et fort, à qui je ress
ut au moins, me sauve du ridicule et de la terreur d’être seul de mon
espèce
, comme un étranger dans un pays inconnu. » — La m
raversant une place publique, que quelqu’un se moque de nous… Selon l’
espèce
d’homme que nous sommes, ce sera un événement trè
tant il arriverait à le trouver naturel et presque, je dis en chaque
espèce
, nécessaire. — Cependant, quand les magistrats, e
st-à-dire par quelque chose qui était aussi éloigné que possible de l’
espèce
et à qui il était absolument impossible de faire
lconque et à se dominer [impulsifs], l’incapacité de résister à toute
espèce
de suggestion d’une volonté étrangère. Le vice n’
qu’une faiblesse, une lâcheté et une maladie de l’humanité. C’est une
espèce
de neurasthénie générale et contagieuse. Cette ma
savez pas vous aimer assez et comme il faut. « Je voudrais que toute
espèce
de prochains et les voisins de ces prochains vous
et qu’il est prêt à tout abandonner pour son amour, à troubler toute
espèce
d’ordre, à mettre à l’arrière-plan tous les intér
ereuse que n’importe quel vice. Entraver par principe le choix dans l’
espèce
, la purification de celle-ci de tous les déchets,
n ; et, d’après elle, ce qui est appelé bien, c’est ce qui conserve l’
espèce
, et ce qui est appelé mal, c’est ce qui lui est n
en réalité, les mauvais instincts sont opportuns, conservateurs de l’
espèce
et rénovateurs au même titre que les bons. Leur f
nstante devant toutes les impulsions et les penchants naturels, d’une
espèce
de continuelle démangeaison. Quoi qu’il lui advie
raiment le mot : ils connaissent fort bien l’extrême bonheur de cette
espèce
d’hommes ; mais ils s’en sont tus, parce qu’il ét
dre le bien de pareilles choses est très bas, très lâche et c’est une
espèce
de nihilisme déjà, ou quelque chose qui y mène :
phénomènes de plaisir ou de déplaisir. Mais c’est ainsi que parle une
espèce
d’hommes qui n’a pas le courage de se fixer une v
e d’hommes qui n’a pas le courage de se fixer une volonté. Pour toute
espèce
d’hommes plus saine, la valeur de la vie ne se me
une cachette du philosophe devant l’esprit ? » C’est de gens de cette
espèce
, dont les pires sont des impuissants venimeux et
a été ourdi ; Les ruses d’esclaves dont nous parlons sont diverses. L’
espèce
inférieure exploite, par exemple, la pitié, qui e
le plus antisocial qui existe. Quand la pitié entre dans le cœur de l’
espèce
supérieure, celle-ci est perdue, et avec elle la
nation, et avec elle une civilisation, et tout est à recommencer. L’
espèce
inférieure, encore, « désapprenant la modestie, e
confuses de la plèbe vers le bonheur particulier qui lui convient. L’
espèce
inférieure, encore, invente de véritables sophism
e pareille absurdité ait jamais pu s’appuyer. Cette idée d’égalité, l’
espèce
inférieure, soit la tire de la religion, soit inv
n concours réciproque et un mutuel appui, et rivalisent à supprimer l’
espèce
supérieure et à la noyer et dissoudre dans la plè
rimer l’espèce supérieure et à la noyer et dissoudre dans la plèbe. L’
espèce
inférieure, encore, invente l’idée de la pluralit
Telles sont les principales ruses, inconscientes ou conscientes, de l’
espèce
inférieure contre l’espèce supérieure. Notons qu’
ruses, inconscientes ou conscientes, de l’espèce inférieure contre l’
espèce
supérieure. Notons qu’il arrive aussi, et ce n’es
aussi, et ce n’est pas le moindre facteur de cette évolution, que « l’
espèce
supérieure » s’abandonne et finit par « faire déf
’espèce supérieure » s’abandonne et finit par « faire défaut ». — « L’
espèce
supérieure fait défaut, c’est à savoir celle dont
it à Napoléon : presque tous les espoirs supérieurs de ce siècle. » L’
espèce
supérieure disparaît par épuisement consécutif d’
veler au moyen de l’admission en son sein des meilleurs éléments de l’
espèce
inférieure, par oubli de ses principes et de ses
ers l’État, et vous entendez bien que cela veut dire qu’il y a là une
espèce
supérieure qui ne connaît ni devoirs envers l’esc
s Romains sont donc de purs aristocrates et de purs immoralistes. Une
espèce
supérieure s’est formée, on ne sait pas très bien
u d’une grande cité ; elle a attiré à elle de nombreux individus de l’
espèce
inférieure ; elle les a disciplinés, elle les a g
toute consacrée à la cité, toute civique. Les dieux n’étaient qu’une
espèce
de Sénat céleste au-dessus du Sénat d’ici-bas et
antinomie et la même lutte sourde qu’à toute époque possible entre l’
espèce
supérieure et l’espèce inférieure ; mais il resta
utte sourde qu’à toute époque possible entre l’espèce supérieure et l’
espèce
inférieure ; mais il restait toujours dans le Chr
eure ; mais il restait toujours dans le Christianisme, en faveur de l’
espèce
inférieure, l’esprit primitif, profondément plébé
lité qui gouverne, sans aucun correctif, que se passe-t-il ? Ceci : l’
espèce
supérieure, l’élite, les êtres d’exception sont p
l’oppression du plus petit nombre par le plus grand. Elle fait de « l’
espèce
supérieure » une caste de parias. Ce n’est pas du
neurs, ni par instruction plus complète, ni par culture plus forte, d’
espèce
supérieure ; qui veulent supprimer toute exceptio
bord ce n’est pas tout à fait vrai ; car le plébéianisme, empêchant l’
espèce
supérieure de s’affiner et de se fortifier par l’
fier par l’hérédité, la diminue en nombre ; d’autre part, empêchant l’
espèce
supérieure de se développer par une instruction e
tout le monde, la diminue encore en nombre ; le plébéianisme réduit l’
espèce
supérieure à son minimum ; il la ramène à n’être
rêter la force d’ascension. De plus, le plébéianisme diminue encore l’
espèce
supérieure en la décourageant. Quel avantage, le
pprimés ». Ainsi raisonneront beaucoup d’hommes de mérite, et voilà l’
espèce
supérieure encore diminuée. Minimum de minimum. E
it pas eu grand plaisir à voir Renan, Taine et Pasteur n’avoir aucune
espèce
d’influence dans l’État et n’être rien dans la Ci
ême à les repousser et à leur dire : « Je ne vous connais pas. » Si l’
espèce
supérieure était complètement disparue, le plébéi
n de la vie. Donc diminuer, par tous les moyens que nous avons vus, l’
espèce
supérieure et en conserver quelques spécimens, ou
quoi, bien que ce soit un peu burlesque, il a raison ; car pour que l’
espèce
supérieure soit réprimée et diminuée, il faut que
ise ainsi, si cela peut s’appeler organiser, un État destructeur de l’
espèce
supérieure (ou d’une grande partie de l’espèce su
État destructeur de l’espèce supérieure (ou d’une grande partie de l’
espèce
supérieure) et désarmé, d’une part contre l’étran
té. Cet État plébéien est répresseur de la partie la plus élevée de l’
espèce
supérieure, comme nous l’avons vu, et aussi il es
vu, et aussi il est destructeur de la partie un peu moins élevée de l’
espèce
supérieure, en ce que, celle-là, il l’appelle, il
les voleurs et contre le feu, la rendre infiniment commode pour toute
espèce
de commerce et de relations et transformer l’État
ange. Mais elle n’est nullement mortelle pour le grand nombre, pour l’
espèce
inférieure, pour la masse. Elle est sa vie même.
» sont de mise, en un mot comme vertus de troupeau : avec elles cette
espèce
d’hommes, l’espèce des hommes moyens, atteint le
un mot comme vertus de troupeau : avec elles cette espèce d’hommes, l’
espèce
des hommes moyens, atteint le genre de perfection
sme, l’évangile des humbles, le Dieu sur la croix. » Que les hommes d’
espèce
inférieure gardent la morale. Aussi bien c’est eu
que c’est ce que j’ai fait jusqu’ici, en l’attaquant. Aux hommes de l’
espèce
supérieure une morale particulière que je ne fais
renciations de valeurs morales sont nées, ou bien sous l’empire d’une
espèce
dominante qui, avec un sentiment de bien-être, a
il les méprise. Qu’on remarque tout de suite que dans cette première
espèce
de morale l’antithèse « bon » et « mauvais » revi
pirées par la pitié ont-elles été jugées louables ? » Les hommes de l’
espèce
noble sentent que ce sont eux qui définissent les
s égoïstes et de goûts personnels, l’homme noble devient pour eux une
espèce
de fou ; ils le méprisent dans sa joie et se rien
une race supérieure. Aussi, comme les directeurs du Christianisme, l’
espèce
supérieure fera très bien de mettre en usage des
lèmes supérieurs de sa nature ». — L’ascétisme sera une pratique de l’
espèce
supérieure, à la condition qu’il soit considéré,
de cette façon étendue, élargie, et de cette façon spirituelle, par l’
espèce
supérieure, si elle veut être artiste, et elle do
omprendre la fierté, l’impétuosité, l’exubérance ; le mépris de toute
espèce
de sérieux et d’esprit bourgeois ; une divine aff
istianisme l’avait partie repoussée, partie acceptée, partie subie. L’
espèce
supérieure, par l’art fera de la vie une fête éte
il y a apparence. Les matériaux semblent manquer. Quoi qu’en dise « l’
espèce
d’hommes la plus bruyante, peut-être la plus honn
fs et palliatifs impuissants. La décadence c’est la prédominance de l’
espèce
basse sur l’espèce noble et de la morale de l’esp
puissants. La décadence c’est la prédominance de l’espèce basse sur l’
espèce
noble et de la morale de l’espèce basse sur les i
rédominance de l’espèce basse sur l’espèce noble et de la morale de l’
espèce
basse sur les instincts de l’espèce noble, et les
espèce noble et de la morale de l’espèce basse sur les instincts de l’
espèce
noble, et les conséquences de cela c’est « vice,
rte, d’une race qui aurait précisément son excédent dans ce en quoi l’
espèce
amoindrie deviendrait plus faible : volonté, resp
l faut d’abord créer un large fondement sur lequel pourra s’édifier l’
espèce
des hommes forts. » Cette espèce, à un moment don
dement sur lequel pourra s’édifier l’espèce des hommes forts. » Cette
espèce
, à un moment donné, se constituera d’elle-même. E
ipline pour une action commune, et elle dominera et asservira l’autre
espèce
par le seul phénomène bien connu de la prédominan
ominance de la qualité sur le nombre, et par ce seul fait que l’autre
espèce
n’aura pas besoin d’être asservie, s’étant asserv
le plus intellectuel ; une race affirmative qui peut s’accorder toute
espèce
de grand luxe ; assez forte pour n’avoir pas beso
urs de la morale », Nietzsche, par exemple, dira ceci : « Il y a deux
espèces
de négateurs de la moralité. Nier la moralité, ce
du sens artistique et si l’on se demande quelles sont les différentes
espèces
de plaisir engendrées par les premières manifesta
e plaisir de comprendre ce que veut dire un autre ; l’art est ici une
espèce
de devinette qui procure à celui qui en trouve la
ut provoquer un grand plaisir que l’on attribue alors à l’art. » « D’
espèce
plus subtile [intervention de l’intelligence s’un
qui est ordonné et régulier dans la vie, à quoi seul l’on doit toute
espèce
de bien-être. Dans le culte de la symétrie on vén
omme source de tout le bonheur qui nous est venu ; cette joie est une
espèce
d’action de grâce. » « Ce n’est qu’après avoir é
son dans une déraison apparente. Par quoi il apparaît alors comme une
espèce
d’énigme esthétique, catégorie supérieure de la j
lité]. Celui qui poursuivra encore cette considération saura à quelle
espèce
d’hypothèses, pour l’explication du phénomène est
que, on renonce ici par principe. » Cette dernière ligne contient une
espèce
de « devinette » aussi, que je renonce à comprend
nts, opposés, nullement contraires, mais opposés. Il y a deux grandes
espèces
d’art classique, « celle de la grande tranquillit
» [sans doute Virgile et Homère ; Goethe et Shakespeare] et ces deux
espèces
sont légitimes et admirables ; et puis il y a des
ces deux espèces sont légitimes et admirables ; et puis il y a des «
espèces
bâtardes de l’art ». À côté et au-delà de l’art d
-delà de l’art de grand mouvement il y a « l’art agité », et ces deux
espèces
« souhaitent que l’on prenne leur faiblesse pour
prenne leur faiblesse pour de la force et qu’on les confonde avec les
espèces
véritables ». C’est à l’art blasé et avide de rep
ssique, tout aussi bien que les esprits au sens romantique — les deux
espèces
existeront toujours — portent en eux une vision d
ons clairs ! » Mais encore il connaît les nuances, les mesures et les
espèces
, et il sait qu’il y a une clarté décevante et un
par les larmes et le sacrifice de soi. L’homme généreux — du moins l’
espèce
d’hommes généreux qui a toujours fait le plus d’i
Elles élèvent l’esprit et l’âme vers la vision d’un art fait par une
espèce
supérieure et pour une espèce supérieure, et elle
me vers la vision d’un art fait par une espèce supérieure et pour une
espèce
supérieure, et elles expriment à leur manière la
dit quelque part, il a entendu certainement que la dureté qui sauve l’
espèce
est la véritable pitié, la pitié totale et non so
rement deux classes dans l’humanité, alors qu’il n’y a nullement deux
espèces
dans l’humanité, mais cent degrés. La conception
sthétique 32 : serait-il désirable [au point de vue esthétique] que l’
espèce
d’hommes la plus « honorable », c’est-à-dire la p
e rapportaient originairement à la conservation de l’individu et de l’
espèce
. Il résulte de là que l’étude du plaisir et de la
’est transmis par hérédité et est devenu presque infaillible dans les
espèces
inférieures ; mais chez les animaux supérieurs, m
Schneider n’a pas assez insisté ; l’antagonisme de l’individu et de l’
espèce
. Les animaux inférieurs, pour se propager, doiven
il a engendré : tels sont la plupart des insectes. Plus tard, quand l’
espèce
s’élève encore, la race et l’individu se réconcil
as, le plaisir de l’individu est très souvent opposé à l’intérêt de l’
espèce
humaine. Pas plus que Spencer, Schneider n’a trou
ection toute mécanique et biologique se montre insuffisante, chez les
espèces
supérieures, pour produire l’harmonie constante d
armonie constante du plaisir ou de la peine avec la conservation de l’
espèce
. Allons plus loin : la sélection mécanique n’est-
liquer la première origine du plaisir et de la douleur, même chez les
espèces
les plus infimes ? Le darwinisme porte exclusivem
smes tels et tels accidents heureux, telles variations favorables à l’
espèce
; mais peut-on se figurer la sensibilité au plais
ation biologique de Darwin et de Spencer, en faisant appel à l’idée d’
espèce
ou de vie spécifique, et même à l’idée de vie ind
enne, que les actions utiles à sa vie individuelle ou à la vie de son
espèce
; mais comment est-il d’abord capable de jouir et
place l’eau qui y monte. Maintenant, quelle est la relation des deux
espèces
de travail nerveux avec la peine et la douleur ?
nger, les muscles redresseurs ont fini par s’atrophier dans certaines
espèces
et par laisser les oreilles tombantes. Ainsi l’ex
pas la réparation nécessaire à la « survivance de l’individu ou de l’
espèce
. » En fait, toute action normale et proportionnée
nfin ses conquêtes sans perdre ses acquisitions. Dans l’évolution des
espèces
, cette expansion de l’activité fut toujours une c
toujours une condition de survivance et de supériorité sur les autres
espèces
. Maintenant, l’intensité finale de l’action et sa
donne la conscience de soi. Peu importent, il est vrai, les diverses
espèces
de mouvement ; l’enfant s’agite en tous sens et s
de l’organe, conséquemment par la conservation de l’individu et de l’
espèce
, il demeure agréable tant qu’il ne risque pas de
ation. La concurrence pour la nourriture entre les organismes de même
espèce
, qui est la vraie lutte pour la préservation de l
population n’est pas même toujours l’avancement de l’individu ou de l’
espèce
; il est souvent la dégénérescence : on végète au
e ; la douleur même des yeux ou des oreilles n’est dans ce cas qu’une
espèce
de coup et de blessure superficielle. Telles sont
de leurs plaisirs à leurs conditions d’existence ou à celles de leur
espèce
ont dû disparaître. 30. Théorie scientifique de
rie scientifique de la sensibilité, ch. VI. 31. Darwin, Origines des
espèces
, p. 110. 32. « Le plaisir et la douleur ne sont
vous trouviez à votre droite de grandes roches ; sous ces roches une
espèce
de caverne, au devant de laquelle on a laissé des
ds 4 pouces de large. Entrez, et vous verrez à droite sur le fond une
espèce
de chaumière très-pittoresque ; elle est construi
e pierre, puis un second, tous les deux servant de pieds-droits à une
espèce
de fermeture de bois qui occupe l’intervalle qui
ontre sur une troisième fabrique de gros bois arrondis et formant une
espèce
de réservoir d’eau, une auge où un petit courant
u’on voit par derrière. à gauche, du même côté sur le fond, c’est une
espèce
singulière de colombier imitant une grande cage e
s qui se glorifient d’être policées, et où des charlatans d’une autre
espèce
sont plus charlatans, plus honorés, plus crus et
s que les sorciers russes. La scène est au fond d’une forêt. Sous une
espèce
de tente formée d’un grand voile soutenu par des
nches et de gros bois ronds serrés les uns contre les autres avec une
espèce
de petit balcon vers le haut, en saillie et soute
écoutent en effet un jeune musicien qui joue à quelque distance d’une
espèce
de mandoline. Le paysan, la paysane et le musicie
nt ; les cheveux blonds, frisés, ramenés sur son front, y forment une
espèce
de bourelet ébouriffé comme les anciens l’ont fai
à gauche, assis à terre, un esclave qui frappe avec des baguettes une
espèce
de tympanon. Au-dessus de lui, plus sur le fond,
e lui, plus sur le fond, un autre musicien qui pince les cordes d’une
espèce
de mandoline. Au centre du tableau une portion de
e ; et sa gorge entourée de perles est d’un ragoût infini. le caback,
espèce
de guinguette aux environs de Moscou . du même. J
on pourra aussi déduire d’elle les changements que ce groupe subit d’
espèce
à espèce, et dans le même individu. Cela est-il ?
a aussi déduire d’elle les changements que ce groupe subit d’espèce à
espèce
, et dans le même individu. Cela est-il ? L’expéri
s organes qu’il doit réparer, décomposé pour fournira chaque organe l’
espèce
de matière utile, les innombrables détails de tou
la nature d’un groupe de faits. Deuxième vérification : passez d’une
espèce
à l’autre. Quand vous voyez changer une opération
res. Donc de la nutrition on peut déduire les changements que subit d’
espèce
à espèce tout un système de faits. « Troisième vé
de la nutrition on peut déduire les changements que subit d’espèce à
espèce
tout un système de faits. « Troisième vérificatio
Deuxième vérification : si le dépérissement est une cause, lorsque d’
espèce
à espèce une de ses conditions change, les opérat
vérification : si le dépérissement est une cause, lorsque d’espèce à
espèce
une de ses conditions change, les opérations doiv
es et dans les opérations. Donc de la décomposition on peut déduire d’
espèce
à espèce les changements d’une série de faits. Tr
s les opérations. Donc de la décomposition on peut déduire d’espèce à
espèce
les changements d’une série de faits. Troisième v
plus agissante et plus puissante que les autres, qui fixe l’ordre, l’
espèce
et l’intensité de ses sentiments et de ses idées.
que, aristocratique, démocratique ou monarchique. Chapitre II. Trois
espèces
de langues et de caractères. — Langues et caractè
hiques, symboliques et emblématiques, vulgaires. Chapitre III. Trois
espèces
du jurisprudence, d’autorité, de raison. — Coroll
elatif à l’histoire fondamentale du droit romain. Chapitre IV. Trois
espèces
de jugements. — § I. Jugements divins et duels. C
ébauche de la métaphysique légale. Les formules antiques étaient des
espèces
de drames. Les jurisconsultes ont remarqué l’indi
être, ou du moins l’intelligence qui le guide, s’y est formé par une
espèce
de solidification locale. La philosophie ne peut
e nouveau milieu, j’apprendrai à nager. Ainsi, en théorie, il y a une
espèce
d’absurdité à vouloir connaître autrement que par
comment la réalité se soumet à un ordre, c’est que l’absence de toute
espèce
d’ordre paraît possible ou concevable. A cette ab
consiste dans la position de l’autre. Or, supposons qu’il y ait deux
espèces
d’ordre, et que ces deux ordres soient deux contr
gisse dans notre esprit toutes les fois que, cherchant l’une des deux
espèces
d’ordre, nous rencontrons l’autre. L’idée de déso
rait commencer par distinguer, par opposer même l’une à l’autre, deux
espèces
d’ordre que l’on confond d’ordinaire ensemble. Co
est donc naturelle. Il faudrait, pour y échapper, mettre sur les deux
espèces
d’ordre des noms différents, et ce n’est pas faci
commun fait d’ailleurs instinctivement la distinction entre les deux
espèces
d’ordre, au moins dans les cas extrêmes : instinc
e est un acte indivisible. La ressemblance entre individus d’une même
espèce
aurait ainsi un tout autre sens, une tout autre o
eux. Dans l’une et dans l’autre, on groupe sous le même concept deux
espèces
d’ordre qui se ressemblent simplement par la faci
séquent de géométrie. Quoi qu’il en soit, c’est la confusion des deux
espèces
d’ordre qu’on trouve derrière le relativisme des
l’espace ni aux divers moments du temps, les représentants d’une même
espèce
ne se ressemblent tout à fait. L’hérédité ne tran
jectiver l’état d’âme de celui qui se serait attendu à l’une des deux
espèces
d’ordre, et qui rencontre l’autre. Hasard et déso
t qu’involontairement on va et vient comme une navette entre les deux
espèces
d’ordre, passant dans celui-ci au moment précis o
nner ce désordre pour substrat à l’ordre, puisqu’il implique les deux
espèces
d’ordre et qu’il est fait de leur combinaison. Ma
dre qui ne l’intéresse pas, ou une oscillation de l’esprit entre deux
espèces
d’ordre, ou enfin la représentation pure et simpl
re. On l’omet, précisément parce qu’on ne songe pas à distinguer deux
espèces
d’ordre irréductibles l’une à l’autre. Nous disio
ue tout ordre apparaît nécessairement comme contingent. S’il y a deux
espèces
d’ordre, cette contingence de l’ordre s’explique
pu être géométrique. Mais supposons que l’ordre soit partout de même
espèce
, et comporte simplement des degrés, qui aillent d
ement la présence de l’ordre contraire, si, par là même, je pose deux
espèces
d’ordre inverses l’une de l’autre, je m’aperçois
ou même s’il n’y avait, en outre de l’énergie cinétique, qu’une seule
espèce
d’énergie potentielle, l’artifice de la mesure ne
cesse des jets, dont chacun, retombant, est un monde. L’évolution des
espèces
vivantes à l’intérieur de ce monde représente ce
, des nébuleuses en voie de concentration. Si, partout, c’est la même
espèce
d’action qui s’accomplit, soit qu’elle se défasse
i, traversant les générations, relie les individus aux individus, les
espèces
aux espèces, et fait de la série entière des viva
t les générations, relie les individus aux individus, les espèces aux
espèces
, et fait de la série entière des vivants une seul
nt, d’où vient l’énergie ? De l’aliment ingéré, car l’aliment est une
espèce
d’explosif, qui n’attend que l’étincelle pour se
accidents de tout genre. Et il faut se rappeler, surtout, que chaque
espèce
se comporte comme si le mouvement général de la v
possible, — quantité variable avec les individus et surtout avec les
espèces
. Le système nerveux d’un animal dessine les ligne
variation sur le thème de la routine. Enfermé dans les habitudes de l’
espèce
, il arrive sans doute à les élargir par son initi
nature n’a pas été rapporté à l’homme : nous luttons comme les autres
espèces
, nous avons lutté contre les autres espèces. Enfi
luttons comme les autres espèces, nous avons lutté contre les autres
espèces
. Enfin, si l’évolution de la vie s’était heurtée
’évolution s’est accomplie sur plusieurs lignes divergentes, et, si l’
espèce
humaine est à l’extrémité de l’une d’elles, d’aut
émité de l’une d’elles, d’autres lignes ont été suivies avec d’autres
espèces
au bout. C’est dans un sens bien différent que no
lât. Les animaux, si éloignés, si ennemis même qu’ils soient de notre
espèce
, n’en ont pas moins été d’utiles compagnons de ro
. Là est la part de la contingence dans la structure mentale de notre
espèce
. Une évolution autre eût pu conduire à une humani
s l’histoire de la vie est là, qui nous fait assister à la genèse des
espèces
par voie de transformation graduelle et qui sembl
que. Il y a dans la nature quelque chose comme des classes d’êtres ou
espèces
, et quelque chose comme des classes de faits ou l
réalisée dans les choses. Cette nécessité est la liaison au sein de l’
espèce
et du genre. Seules les sciences spéciales nous a
spéciales nous apprendront s’il y a dans la nature des genres et des
espèces
. Toutefois, comme l’homme n’est pas un empire dan
hoses une tendance à l’ordre, à la classification, à la réalisation d’
espèces
et de lois. Déjà nous entrevoyons qu’il pourrait
d’autres, au contraire, conformément à la doctrine de Kant, ces deux
espèces
de lois sont irréductibles l’une à l’autre ; il y
esure insignifiante. On affirme très sérieusement aujourd’hui que les
espèces
ne sont pas éternelles, mais ont leur histoire. P
s se soient formées par évolution, ainsi qu’on le dit aujourd’hui des
espèces
animales et sociales, et que leur fixité soit un
à la reconstitution des corps donnés. La chimie transporte ainsi aux
espèces
des corps la permanence que la mécanique n’attrib
ingue véritablement de la physique, et cela en tant qu’elle admet des
espèces
de corps distincts, substratum de ce profond chan
; et, dans la prochaine leçon, nous nous occuperons des rapports des
espèces
entre elles et de l’évolution. Les lois générales
une science supérieure, où le mécanisme lui-même rentrerait comme une
espèce
dans un genre ? Au fond, on suppose que tout est
qui fixe et ordonne cette matière instable et capricieuse. Comme les
espèces
présentent une stabilité et une harmonie frappant
et va des unes aux autres par des transitions à peine sensibles. Les
espèces
sont-elles fixes ? Pas absolument. Les types idéa
mais qu’elle ne réalise jamais qu’imparfaitement. Donc la fixité de l’
espèce
est une immobilité tout idéale, permettant, appel
e à ce qu’aucun être franchisse d’une manière durable les bornes de l’
espèce
à laquelle il appartient. Dans cette doctrine, le
ture doivent former une chaîne comme nos pensées mêmes, et que chaque
espèce
doit être exactement intermédiaire entre deux aut
sification naturelle. Elle représente la pensée même du Créateur. Les
espèces
sont d’ailleurs fixes et distinctes. On ne peut l
rogrès même de ces recherches vint les mettre en péril. Le nombre des
espèces
augmenta d’une manière inattendue, et les descrip
’accusèrent les uns les autres de fantaisie. Il fallut trouver pour l’
espèce
une définition qui ne prêtât pas à l’arbitraire.
dans un sens contraire à celui de Linné. Pour Buffon, il n’y a pas d’
espèces
dans la nature : seuls les individus existent. So
et celui des rayonnés. Il place dans l’inter-fécondité le signe de l’
espèce
. Mais il ne se borne pas à chercher une méthode d
nu sont en même temps les classificateurs. Ils admettent donc que les
espèces
ne sont pas complètement séparées, mais se rappro
de différents pays, il émet l’hypothèse de la réduction de nombreuses
espèces
à un petit nombre de souches principales dont tou
rpétuent par l’hérédité, et ainsi s’explique l’actuelle diversité des
espèces
. Les changements survenus dans le milieu en sont
it une marche inverse. Il part du fait actuel de la discontinuité des
espèces
, et se propose de rendre compte de cette disconti
es mécaniques. Contrairement à Lamarck, il pose en principe que toute
espèce
est, par elle-même, plastique. C’est, en effet, u
a finalité et comme impuissante à dresser définitivement la liste des
espèces
; 2° des inductions fondées sur la paléontologie,
ologique. Dans l’antiquité, le point de vue métaphysique domine ; les
espèces
sont rattachées au principe qui, pour la pensée,
ature, de présenter le tableau des relations logiques qui relient les
espèces
entre elles. De nos jours, les disciples de Lamar
on plus métaphysique, et cherchent à dresser l’arbre généalogique des
espèces
. Quelle est la signification philosophique du déb
pèces. Quelle est la signification philosophique du débat relatif aux
espèces
? Il faut se garder de confondre ici le problème
fondre ici le problème scientifique et le problème philosophique. Les
espèces
ont-elles une commune origine et descendent-elles
l’être, le problème de l’évolution ou de la séparation primitive des
espèces
. La philosophie n’a pas à intervenir dans la solu
re comme présidant soit à la transformation, soit à la permanence des
espèces
, et de rechercher si ces lois éliminent toute idé
rt à des préjugés. En effet, on dit souvent qu’admettre la fixité des
espèces
, c’est, du même coup, faire appel, pour expliquer
seaux furent créés de telle sorte que chacun portât semence selon son
espèce
. On a pris ce texte au pied de la lettre, et on a
la lettre, et on a établi une solidarité entre l’irréductibilité des
espèces
et la doctrine de la création. Dès lors, tenir po
est plus ou moins finaliste. En général, la doctrine de la fixité des
espèces
manifeste moins de prétentions philosophiques que
lement à affirmer que jusqu’ici nul fait de création ou de fusion des
espèces
n’a été constaté. Quant à l’explication de cette
doute, l’ordre et l’accord avec le milieu qui se rencontrent dans les
espèces
peuvent faire penser à une intelligence dirigeant
ément d’expliquer sans hypothèse finaliste l’existence et l’ordre des
espèces
. C’est donc surtout ce système que nous avons à e
darwinisme. Le point de départ est la constatation de l’existence des
espèces
et de leur adaptation au milieu ; mais, au lieu d
ont considérées comme le point de départ de la diversité actuelle des
espèces
. Dans l’élevage, l’homme parvient, par l’art et l
luence des circonstances, cette faculté passe à l’acte et réalise les
espèces
que nous avons sous les yeux. La finalité plane s
le concert des sciences de la nature. Or, en quoi consistent ces deux
espèces
de lois ? Seront-elles vraiment de même, nature q
ce postulat, qu’il existe et se conserve des éléments de différentes
espèces
. L’acte réflexe de la biologie n’est pas une simp
s les faits qui sont reconnus lui être absolument propres ? Or aucune
espèce
d’observation ne découvre dans la vie des animaux
de moralité et de religiosité chez l’animal, même considéré dans ses
espèces
supérieures, l’expérience de l’histoire humaine é
établit que ces caractères ne manquent à aucune des variétés de notre
espèce
, pas même aux peuplades les plus voisines de l’an
ntime ? Nous fait-elle réellement pénétrer dans le fond même de cette
espèce
humaine dont M. de Quatrefages fait un règne à pa
e l’animal est sociable aussi bien que l’homme, et même que certaines
espèces
le sont essentiellement. Nul doute là-dessus ; ma
s et sous l’influence de milieux différents, tandis que jamais aucune
espèce
animale n’est parvenue à un véritable état politi
nstrunant d’opération ? Rien de pareil ne se remarque même chez cette
espèce
de singes qui occupent le haut de l’échelle anima
uand elle aurait ainsi rassemblé tous les caractères distinctifs de l’
espèce
humaine, tels que nous les révèlent les manifesta
ussi connue que le goût des peuples âryans pour les symboles de toute
espèce
, naturels ou anthropomorphiques. Ajoutez à l’étud
e sa généralité et toute sa profondeur, la formule psychologique de l’
espèce
. On peut bien lui demander ce qui constitue la na
l’observateur. La méthode de Bacon est également bonne pour les deux
espèces
de réalité. C’est ce que veulent dire les philoso
ation de toute spontanéité libre dans le domaine de la volonté. Toute
espèce
de rapport entre les phénomènes se réduit à un ra
ses sur les races, les peuples, les œuvres, les institutions de notre
espèce
, sans pénétrer jusqu’aux éléments simples, aux fa
udrait pour cela qu’on pût identifier la nécessité logique avec cette
espèce
de nécessité propre à l’habitude, c’est-à-dire co
e, la volonté sans motifs, par peur du déterminisme, et rejette toute
espèce
de loi dans la production des phénomènes volontai
déjà précédemment touché la même conclusion en montrant le Génie de l’
Espèce
serviteur et moyeu du Génie do la Connaissance. L
manifeste que celle qui se traduit dans le fait de la perpétuité de l’
espèce
et qui a pour moyen la génération. Aussi voit-on
curer la fin voulue par l’utilité vitale, soit la multiplication de l’
espèce
, pi c’est du fait de cette utilité vitale que les
tandis qu’elles atteignent en réalité ce but, la multiplication de l’
espèce
, s’assignant toujours un autre but, un but chimér
cs et les premiers Romains pourvoyaient à la satisfaction du vœu de l’
espèce
par la croyance que l’on a décrite en une vie pos
us apparaît bien que cette croyance singulière favorisait le vœu de l’
espèce
. Par une voie plus paradoxale encore le christian
r le développement doit être considéré comme utile à la vie même de l’
espèce
. Dès lors, il ne reste qu’à rappeler les considér
, s’effrite peu à peu parmi les consciences. Si la vie abondante de l’
espèce
n’a d’autre intérêt que de rendre la connaissance
eu de suivre la série animale en général, nous nous renfermons dans l’
espèce
humaine, nous trouverons encore, comme tout à l’h
s se sont crus obligés, pour sauver la dignité et la supériorité de l’
espèce
humaine, de trouver dans le cerveau de l’homme de
les exterminer. M. de Quatrefages, dans ses travaux sur l’unité de l’
espèce
humaine, a montré que l’on avait beaucoup exagéré
n’indique-t-il pas qu’il y a entre les degrés les plus distants de l’
espèce
humaine un lien fraternel ? car qui eût pu suppor
il peut y avoir tel individu capable de s’élever au niveau moyen de l’
espèce
humaine. Toute race contient donc en puissance ce
yen, Or, c’est là, ce me semble, un caractère distinctif qui sépare l’
espèce
humaine de toute autre, car jamais, dans aucune f
d’origine ; je ne cherche pas si un seul couple a donné naissance à l’
espèce
tout entière. Ce qui m’importe, c’est qu’il y a u
vre curieux et original du docteur Moret sur les Dégénérescences de l’
espèce
humaine. Paris, 1857, avec atlas. 29. J’ajoute q
30. Lislet Geoffroy, géomètre d’Haïti (voy. Quatrefages, Unité de l’
espèce
humaine, p. 286). On a dit qu’il n’était pas un b
l’homme doit d’être, par excellence, l’animal moral. Dans les autres
espèces
il semble que le lien social soit plus serré parf
ce que nous entendons en général par « morale ». Il est au moins une
espèce
animale, pourtant, où s’ébauchent les rudiments d
bauchent les rudiments d’une moralité analogue à la nôtre, et c’est l’
espèce
canine. Chez le chien, on l’a souvent fait remarq
oraux. C’est qu’ici nous avons changé les conditions d’existence de l’
espèce
et altéré son harmonie mentale. Nous avons imposé
ait pu prolonger, par exemple, la race de l’éléphant ou quelque autre
espèce
analogue et voisine. Il serait plus intéressant,
it advenu si un être supérieur avait surgi par le développement d’une
espèce
très socialisée, des abeilles, par exemple, ou de
reffer assez librement sur la réalité. Mais l’homme paraît issu d’une
espèce
animale où la sociabilité, sans être nulle, n’éta
re moi n’en reste pas moins une chose originale, isolée, seule de son
espèce
. C’est un miroir qui reflète ce qui l’environne,
tains points à tous les êtres, et sur plus de points aux êtres de son
espèce
, de sa race, de sa nation, de son temps et de sa
qui peut lui nuire. C’est la condition nécessaire de la survie d’une
espèce
. Les ancêtres de l’homme n’ont pas pu ne pas la p
amènent la culture des terres, la population, les industries de toute
espèce
, des arts, des sciences, le beau siècle d’une nat
association n’a ni code ni lois. Celle des savants subsiste sous une
espèce
d’anarchie jusqu’à ce qu’un souverain qui en a pr
grès de la population ; la multitude de ces établissements serait une
espèce
de calamité. Peu de collèges, mais bons. A peine
pense pas qu’il soit encore temps, pour la Russie, de susciter cette
espèce
d’émulation parmi les grands ; s’il arrivait qu’e
ue nous ne l’avons fait jusqu’à présent ? Dans tout genre, il y a des
espèces
plus caractéristiques, plus génériques, que les a
’attacher son nom au genre tout entier n’appartient pas à la première
espèce
qui a reçu un nom scientifique, quand cette espèc
pas à la première espèce qui a reçu un nom scientifique, quand cette
espèce
n’est pas dans le genre ou la plus caractéristiqu
érieure fait partie d’un genre dont l’hallucination est également une
espèce
; distinguées séparément et sous deux points de v
istinguées séparément et sous deux points de vue différents, ces deux
espèces
se confondent dans une partie de leur extension ;
, et aussi parce que ce terme semble devoir s’appliquer surtout à une
espèce
du genre, les phénomènes d’ordre visuel ; nous l’
e intérieure n’est pas même, dans le genre dont elle fait partie, une
espèce
entière ; mais, dans la vie psychique, elle a plu
donc la meilleure ; c’est elle qu’il faut adopter pour distinguer les
espèces
de la pseudo-sensation ; les autres ne doivent se
eudo-sensation ; les autres ne doivent servir que pour subdiviser ces
espèces
. Ainsi la parole intérieure n’est pas une variété
i lui est réservée chez la plupart des hommes, à son défaut, d’autres
espèces
de la pseudo-sensation peuvent la remplir : la pa
eudo-sensation, qui, en fait, appartient toujours à quelqu’une de ses
espèces
, et que, néanmoins, les psychologues ont générale
ntinue des idées se développe une série continue d’images d’une seule
espèce
et pures de tout mélange, la série des signes int
Le son, être distinct de nous et de l’objet qui l’a produit, est une
espèce
de création hors de nous et étranger à toute la n
t six, on en trouverait davantage, mais il ne faut pas multiplier les
espèces
, comme disaient nos pères avec beaucoup de raison
Fontaine nous dépeindra la grenouille, il nous la dépeindra, avec une
espèce
de bienveillance rieuse et malicieuse à son égard
nciée, très bien distinguée du rat. Elle est certainement d’une autre
espèce
. Elle tombe dans tous les panneaux avec sa gentil
avoir cru constater de la solidarité entre les animaux de différentes
espèces
, ce qui est faux. Les animaux d’espèces différent
re les animaux de différentes espèces, ce qui est faux. Les animaux d’
espèces
différentes ne connaissent aucune solidarité entr
entre eux, et la loi de nature est, hélas ! le plus souvent, que les
espèces
différentes se nourrissent les unes des autres. P
rrissent les unes des autres. Pas de solidarité entre les différentes
espèces
, mais de la solidarité dans l’intérieur des espèc
e les différentes espèces, mais de la solidarité dans l’intérieur des
espèces
, cela est très vrai, très fréquent. On apporte ma
dans ses fables, et que la solidarité entre des animaux différents d’
espèce
est affirmée. Par exemple, dans le dernier livre,
maux font des sociétés les uns avec les autres même lorsqu’ils sont d’
espèces
différentes. Leurs poèmes abondent en histoires d
La Fontaine, ç’aurait pu être une fable charmante. Le dévouement à l’
espèce
, voilà encore une grande, la plus grande qualité
« Mais vous ajoutez à La Fontaine, qui a peu parlé du dévouement à l’
espèce
chez les animaux, qui n’a presque pas parlé de le
. Les bons moines ont trouvé tout simplement un arbre habité par deux
espèces
de gens, par des souris d’un côté, par un hibou d
tout à la fois dures et monotones, on avait entendu de tous côtés des
espèces
de hurlements sourds succéder à des sons éclatant
t de sa richesse, sans gagner beaucoup du côté du génie ; et, par une
espèce
de hauteur, aspirant à la noblesse, elle fut tout
lle comme les couleurs peignent aux yeux ; l’harmonie qui établit une
espèce
de balancement et d’équilibre entre les différent
ec souplesse, pour savoir les arrêter au besoin. Peut-être même cette
espèce
de pente à l’exagération, tient-elle au génie de
ut surtout avec le caractère national. Ce système de langue forma une
espèce
de secte. Vaugelas, d’Ablancourt et Patru, hommes
ce même orateur, quand César régna dans Rome, voulut lui adresser une
espèce
de discours en forme de lettre, où il conciliât c
s l’esprit. Nous agissons, nous parlons, nous nous conduisons par une
espèce
d’imagination rapide qui nous entraîne, et qui es
son froide, qui est peu susceptible d’illusions. De là, souvent notre
espèce
d’incrédulité pour les mouvements extraordinaires
s tableaux qui viennent frapper l’imagination : alors il s’excite une
espèce
de sève ou de fermentation générale qui anime tou
fs-d’œuvre de tous les arts, les représentations dramatiques de toute
espèce
étaient prodiguées, et où la renommée et la gloir
à qui l’on parle, quelquefois même d’avoir ou de prendre sur eux une
espèce
d’empire ; et l’orateur sacré parlant au nom de D
celui de faire les gestes. Cet auteur ne fait en cela que donner à l’
espece
le nom du genre. Comme nous l’avons dit déja, che
era encore. Suivant Athenée, Thelestes avoit été l’inventeur de cette
espece
de jeu muet ou de danse sans saults et sans pas é
n entend, partent naturellement avec la parole. Mais il y a une autre
espece
de gestes qui ne signifient que parce qu’ils décr
te Quintilien, que d’emploïer dans sa déclamation des gestes de cette
espece
. La déclamation de l’orateur doit être entieremen
’on vouloit leur faire dire, quoiqu’on observât en les instituant une
espece
d’allusion aux choses qu’ils décrivoient. mimus h
de gestes, parce que la saltation étoit le genre, et l’art du geste l’
espece
. L’orateur Hortensius, le contemporain et le riva
aque operation. Il y avoit à Rome des écoles particulieres pour cette
espece
de saltation. Enfin Aristides Quintilianus après
sensation que par un intermédiaire, l’excitation du nerf. — Diverses
espèces
de nerfs sensitifs. — Chacune d’elles a son jeu p
s cellules de type différent, et, par suite, association des images d’
espèce
différente. — Les associations comparées à des cl
de pression, de température ou de pure douleur. Non seulement chaque
espèce
de nerf a son jeu propre, mais le jeu de chaque e
ulement chaque espèce de nerf a son jeu propre, mais le jeu de chaque
espèce
de nerfs est différent. L’événement extérieur a b
ent extérieur a beau être le même : s’il met en mouvement des nerfs d’
espèce
différente, les sensations excitées seront différ
rmillements en agissant sur les nerfs tactiles. — Ainsi chaque nerf d’
espèce
distincte a son mode d’action personnel et distin
lorsqu’on les presse en un certain point, dépourvu en un mot de toute
espèce
de signification. C’est bien là le cri réflexe. M
e. Les mêmes mouvements s’observent chez un autre animal sain de même
espèce
, aussitôt qu’on l’a forcé d’avaler cette décoctio
dont l’action est la condition suffisante et nécessaire de plusieurs
espèces
de sensations. — Il y a d’autres centres semblabl
ogiques portent à croire que, pour elles comme pour les quatre autres
espèces
de sensations, il y a un centre distinct des lobe
es d’un animal dormant ou assoupi, et, quand on l’irritait dans cette
espèce
de léthargie, il affectait encore les allures d’u
es peuvent être plus ou moins compliquées, mais sont toujours de même
espèce
. Un cordon blanc conducteur apporte une excitatio
cérébraux, son action éveille des événements moraux, tous de la même
espèce
, sensations temporaires ou sensations réviviscent
donc admettre que son action éveille partout des événements moraux d’
espèce
voisine ; et puisque d’ailleurs, même dans la pro
Il a plusieurs étages superposés, des bureaux sensitifs de plusieurs
espèces
, des bureaux moteurs, des communications qui reli
céphale est un troisième centre, le cervelet, supérieur aussi, mais d’
espèce
particulière : il n’est subordonné qu’au souverai
, leur composition infiniment complexe, leur division en familles ou (
espèces
qui nous semblent irréductibles l’une à l’autre.
haque famille plusieurs groupes, dans chacun de ces groupes plusieurs
espèces
, et, parmi les sensations du goût et de l’odorat,
èces, et, parmi les sensations du goût et de l’odorat, presque chaque
espèce
. — Du même coup, une lumière jaillit sur la struc
dans chaque type de danse, la diversité des rhythmes introduirait des
espèces
et des variétés correspondantes à celles que, par
autres langues. Voilà une chaîne de dix ou douze anneaux de diverses
espèces
, et l’on a vu les lois qui lient plus ou moins fo
n voisin. En termes physiologiques, cela signifie que deux cellules d’
espèce
différente, par exemple une cellule acoustique et
inférieurs se relie dans l’écorce avec ses répétiteurs, tous de même
espèce
, un système de fibres transversales par lesquelle
, un système de fibres transversales par lesquelles les répétiteurs d’
espèce
différente se relient entre eux ; c’est ce que se
corps calleux en est entièrement composé. Ainsi, entre les cordons d’
espèce
différente, il se trouve un ou plusieurs chemins
me décrit. Mais, si ce n’est par celui-ci, c’est par un autre de même
espèce
; car, quelle que soit l’opération cérébrale, ell
l’intermédiaire explicatif semble au premier aspect d’une tout autre
espèce
. — Tout corps vibrant dont les vibrations sont co
i est la vie de l’individu, et cette succession d’individus qui est l’
espèce
. — Par suite, telle espèce de dents entraîne tell
et cette succession d’individus qui est l’espèce. — Par suite, telle
espèce
de dents entraîne telle espèce d’intestin, et réc
s qui est l’espèce. — Par suite, telle espèce de dents entraîne telle
espèce
d’intestin, et réciproquement. Si vous rencontrez
re, il faut distinguer. — Tantôt les intermédiaires simultanés sont d’
espèce
différente ; tels sont, dans le cas précédent, la
terre au soleil. Tantôt les intermédiaires simultanés sont de la même
espèce
et se ramènent au même intermédiaire répété dans
ffirme que telle donnée construite par l’esprit, tout nombre de telle
espèce
, tout multiplicande, tout carré, toute racine car
tomes éthérés, le savant est comme un myope devant des fourmilières d’
espèces
différentes ; son regard obtus n’atteint que les
tes roches, pour le naturaliste de savoir comment se sont formées nos
espèces
végétales et animales, pour l’historien de démêle
uralistes. Darwin part d’un caractère fondamental commun à toutes les
espèces
animales et végétales, la difficulté de vivre, d’
es mieux adaptés à leur milieu, le privilège qu’ils ont de propager l’
espèce
, l’acquisition successive des caractères utiles,
s caractères utiles, par suite enfin la modification progressive de l’
espèce
, le perfectionnement graduel des organes, et la l
ement fort simples ». Si le type se retrouve le même à travers tant d’
espèces
différentes, c’est que toutes ces espèces, en ver
ve le même à travers tant d’espèces différentes, c’est que toutes ces
espèces
, en vertu de l’hérédité, répètent les traits de l
a structure et sa fonction avec celles des autres, de manière que les
espèces
différentes puissent subsister dans leurs différe
afin de pourvoir là-bas au vol, ici à la natation. Si le type varie d’
espèce
à espèce, c’est que les circonstances ont varié d
ourvoir là-bas au vol, ici à la natation. Si le type varie d’espèce à
espèce
, c’est que les circonstances ont varié de groupe
aujourd’hui un corps organisé. C’est un édifice vivant dans lequel, d’
espèce
à espèce, et sur un type commun transmis par héré
ui un corps organisé. C’est un édifice vivant dans lequel, d’espèce à
espèce
, et sur un type commun transmis par hérédité, la
es d’ancêtres ont travaillé tour à tour pour fabriquer chacune de nos
espèces
. L’une de ces lignées, la plus ancienne de toutes
ite la condensation graduelle de ces mêmes molécules. — Pour former l’
espèce
, il y avait une condition fixe, la transmission d
ssant les ancêtres ultérieurs, ajoutaient au type les caractères de l’
espèce
. — Pour former telle époque historique, il y avai
on pour la formation comme pour les propriétés d’une planète ou d’une
espèce
. — Mais le point le plus remarquable, c’est que c
et des composés de composés, des objets capables d’être classés, des
espèces
, des genres et des familles, des familles de lign
s, accolés aux sensations et les uns aux autres, constituent, selon l’
espèce
et le degré de leur affinité ou de leur antagonis
ratoire un grand nombre de composés naturels. 119. De l’origine des
espèces
, traduction de Clémence Royer, p. 529. Voir, sur
rapprochement des races, la création d’une conscience collective de l’
espèce
humaine ; l’avenir mille fois plus riche encore q
che à s’en saisir ; De là le grand combat, pourvoyeur du désir. Que l’
espèce
à l’espèce avec âpreté livre. Malgré les plainte
saisir ; De là le grand combat, pourvoyeur du désir. Que l’espèce à l’
espèce
avec âpreté livre. Malgré les plaintes touchante
e son enquête. La justice qu’il n’a pas trouvée dans les rapports des
espèces
entre elles va-t-il la rencontrer au sein de l’es
s rapports des espèces entre elles va-t-il la rencontrer au sein de l’
espèce
, dans l’espèce humaine surtout ? Pas davantage. M
espèces entre elles va-t-il la rencontrer au sein de l’espèce, dans l’
espèce
humaine surtout ? Pas davantage. Même là rien qui
openhauer : L’Amour avec la Mort a fait un pacte tel Que la fin de l’
espèce
est par lui conjurée. Meurent donc les vivants !
tâche et semé la vie ? C’est tout ce que voulait d’eux le génie de l’
espèce
; la pudeur n’est qu’un artifice pour vaincre Le
op faible pour se nourrir lui-même. Les états se comportent comme les
espèces
entre elles. Encore y a-t-il une différence à mar
différence à marquer en faveur des animaux ; les individus de la même
espèce
ne se déchirent pas entre eux. La guerre, l’horri
ent pas entre eux. La guerre, l’horrible guerre est le privilège de l’
espèce
humaine : la sentence du meurtre est la seule que
rétablit la justice dans le cœur de l’homme, il soutient que, hors l’
espèce
humaine, elle n’a aucune raison d’être, que nos g
ataire et le gardien de l’honneur de la Terre qui a formé et nourri l’
espèce
humaine, ouvrière inconsciente de ce qu’il y a de
D’élans précoces expiés, D’avortons immolés aux rois de chaque
espèce
, Pour que de race en race, achevé pièce à pièce,
ois, l’humanité prenant conscience d’elle-même dans sa lutte avec les
espèces
animales qu’elle dompte et avec les forces de la
, tandis que les principes du bon dans la Comédie, et dans toutes ses
espèces
, m’ont presque tous été fournis par les seules pi
istophane ne ressembleront pas aux meilleures pièces de Molière, leur
espèce
sera différente autant que diffère le gouvernemen
nc, pour les bien analyser, marquer avant tout cette dissemblance des
espèces
; il ne faut pas les juger sur le même esprit, su
que, dans mon exposition générale, je divisai le genre comique en six
espèces
, j’essayai de répandre la clarté sur ses principe
s principes, en établissant cette distinction. Je séparai la première
espèce
, dont les exemples ne se trouvent que dans le thé
a tendance, ses moyens, et sa fin, ne sont pas les mêmes que dans les
espèces
suivantes. Elle ne peint point tel individu, tel
itutions, et les fauteurs des désordres publics. Niera-t-on que cette
espèce
de comédie ait une importance supérieure à celle
mpruntée aux éclats du rire populaire. Il est incontestable qu’aucune
espèce
de comédie n’a pu exciter de tels transports, et
sujets. Naissance de la comédie moderne, et régularisation de ses
espèces
. La satire dramatique, sous les règnes suivant
a la hauteur de ses vues, et la nature des règles qui la séparent des
espèces
variées de notre genre comique. Celui-ci ne saura
re de notre Molière, pour nous procurer les modèles accomplis de cinq
espèces
de comédies. Génie de Molière Parmi tous l
e tracer l’Homme de cour, et qu’il eût sans doute purgé le monde de l’
espèce
ridicule, la plus difficile à saisir, la plus sou
ndispensable. Quatorzième séance. Utilité de la classification des
espèces
qui composent le genre comique ; analyse de la co
cessité de l’application de ma nouvelle méthode de classification des
espèces
. On verra que l’art des excellents auteurs rem
verra que l’art des excellents auteurs remplit cet objet dans les six
espèces
de comédies dont je vais commencer l’analyse. Ma
mencer l’analyse. Ma division du genre comique en un certain nombre d’
espèces
, inusitée encore dans les poétiques, est, quelque
dispensable pour en traiter les conditions que le fut ma division des
espèces
du genre tragique auxquelles j’assignai une quant
la littérature pour cesser d’être arbitraire et confuse. Chacune des
espèces
, étant différente des autres, ne peut renfermer d
ent fixes qu’autant qu’elles s’appliquent au genre bien défini et aux
espèces
bien distinctes ; et l’invention de la méthode pa
s une juste balance. Par exemple, j’ai premièrement séparé des autres
espèces
du genre comique la comédie grecque, ou satire al
les nous nous assujettissons. Analyse de la comédie satirique, 1re
espèce
du genre. Analysons maintenant la comédie grec
espèce du genre. Analysons maintenant la comédie grecque, première
espèce
que nous traitons avant toutes, non dans le proje
e pas embarrasser notre marche quand nous examinerons les cinq autres
espèces
avec lesquelles celle-ci n’a de commun que peu de
; il n’est rien qui ne le rende inappréciable. Monument unique en son
espèce
, à qui le pourrait-on comparer au théâtre ? Quel
rtient-elle pas à l’Histoire de l’art, et notre analyse de toutes les
espèces
de comique serait-elle complète si nous omettions
rant notre peuple qui a toutes les passions et toutes les manies de l’
espèce
humaine. En ce démêlé comique, force coups de bec
aitaient Ménandre d’Athènes, et Épicharme de Syracuse. Cette dernière
espèce
, la plus parfaite au jugement des philosophes de
die. Délivré maintenant du soin indispensable de vous parler d’une
espèce
de comédie qui ne vous est pas familière et que r
nandre, de Plaute, et de Térence, rendit plus conformes à nos mœurs ;
espèces
bien supérieures à la satire allégorique dont je
Latins que les Italiens et les Espagnols empruntèrent cette nouvelle
espèce
: ce fut chez ces deux peuples que notre Molière
es éléments, et qu’il nous donna les types originaux de la plus belle
espèce
de comédie, dont il n’avait pu trouver primitivem
dée. Les pièces épisodiques et facétieuses, qui dérivent de ces trois
espèces
, furent encore régularisées par Molière : on le n
ne partage avec personne l’honneur de l’avoir accompli dans ses cinq
espèces
différentes. On verra même que l’extension qu’il
uelle je me suis asservi en vous retraçant les divisions que je nomme
espèces
du genre comique. 2º La comédie de mœurs et de ca
appréciées faute d’y savoir distinguer les variétés qui sont dans les
espèces
. Établissez clairement leur division, on les juge
r les opinions avec justesse, si l’on ignore de quelles règles chaque
espèce
de comédie est comptable ? Autant vaudrait-il ref
étal, qui les comprend tous comme genre, sont renfermées toutes leurs
espèces
dont chacune a son degré de valeur et de pureté p
ces dont chacune a son degré de valeur et de pureté particulière. Ces
espèces
une fois bien distinguées, on les évalue séparéme
scènes rachètent ce défaut, que la pièce n’est pas inférieure en son
espèce
à celles dont l’auteur eut droit de s’honorer le
nterie de la comédie ancienne que nous avons classée dans la première
espèce
. Nous l’avons soumise à sept conditions, ou règle
ivement les mœurs et les caractères : c’est, selon nous, la troisième
espèce
de comédie. Celle-ci eut besoin d’une fable qui l
ièces, où ils ne sont que des ornements, se rangent dans la troisième
espèce
. Les Italiens héritèrent de ce mode adopté par le
es devinrent des modèles dans l’art d’intriguer celle de la troisième
espèce
. Ce mode n’exigea pas l’exactitude des trois unit
que. Il eut donc deux conditions de plus que la comédie de la seconde
espèce
, qui n’en a que dix-huit : il en compta vingt, do
die d’intrigues, c’est-à-dire qu’il construisit celle de la quatrième
espèce
, de telle façon que le mouvement des personnages
ondérance. Telle fut créée la comédie mixte, qui est la plus parfaite
espèce
comprise dans le genre, et dont le Tartuffe est l
ons, au nombre desquelles sont renfermées les dix-huit de la deuxième
espèce
et les vingt de la troisième, montent à vingt tro
es pièces épisodiques, ou à tiroir, qui se classent dans la cinquième
espèce
, se formant d’un assemblage de scènes détachées,
naturel ou satirique, sont les seules conditions du comique de cette
espèce
: elles ne vont qu’à six. Je répète, à l’occasion
auteur peut faire réussir par son esprit jusqu’à cinq actes de telle
espèce
, et ne serait pas capable d’en soutenir trois de
l’obtiendra pas même absolument au prix de ces comédies de la sixième
espèce
, que l’on appelle facétieuses, et qui n’ont le pl
s, Énumération des règles de la comédie applicables à ses diverses
espèces
. Lorsque je considère la quantité de divisions
et de sous-divisions que j’établis dans le genre comique et dans ses
espèces
, lorsque je suppute le nombre de ses qualités et
pas raisonnables. Primo, donc ; une, deux, trois, quatre, cinq, six
espèces
dans le genre : mais une de ces espèces est trait
eux, trois, quatre, cinq, six espèces dans le genre : mais une de ces
espèces
est traitée ; c’est la comédie grecque : nous en
six ôte une, reste cinq. Doucement : ne nous trompons pas : ces cinq
espèces
ont été déjà vues, et bien évaluées dans les séan
vos regards. Poursuivons, prenons la liste des conditions. Pour telle
espèce
de comédie, dix-huit. Comment dix-huit règles ! e
tion à des calculs d’arithmétique ? Patience, messieurs ! telle autre
espèce
n’en compte que six, souvenez-vous-en bien, et ne
ce de mœurs ou d’intrigue. D’accord, me direz-vous ; mais si vos cinq
espèces
de comédie exigent chacune une diverse quantité d
ne comprenait qu’une somme déterminée de règles, dont chacune de ses
espèces
employait celles qui lui étaient propres en nombr
que, c’est-à-dire, celle qui tend à corriger par le rire, est de deux
espèces
, simple ou compliquée. Simple dans les pièces de
emples démontrent sur quel fonds mince la fable des comédies de cette
espèce
doit être établie. Il en est autrement des pièces
ques liés secondairement à l’action capitale. Mes citations en chaque
espèce
de comédie confirment assez qu’une fable, convena
? Sa jeunesse, sa beauté, sa contenance, ne vous révèlent-elles pas l’
espèce
de tort qu’on lui faisait payer ? L’ivrogne égaré
édie. La pratique des meilleurs auteurs ne s’étend pas sur les autres
espèces
, et souffrirait trop de gêne à le faire. Aussi le
le vraisemblable théâtral, qui l’est toujours ; d’ailleurs il a deux
espèces
, la vraisemblance ordinaire, et l’extraordinaire.
a bonne comédie ! Dix-huitième séance. Sur le ridicule et sur ses
espèces
. Messieurs, 6e Règle. Le ridicule. Les c
s avons analysées dans la précédente leçon appartiennent à toutes les
espèces
de drames : aussi les avons-nous traitées, moins
ue morale qu’elle paraisse, lui enlève toute la gaîté inhérente à son
espèce
, et la change en représentation ennuyeuse et lang
opinion publique. Tel est son ministère dans la comédie. Les quatre
espèces
du ridicule comique. Le ridicule se divise en
uatre espèces du ridicule comique. Le ridicule se divise en quatre
espèces
; ridicule général et particulier, ridicule étern
rmités dont ils ne se guériront jamais ? Certes on ne réformera pas l’
espèce
humaine entière, mais la maligne censure de Thali
tué par Philaminte devint l’exemplaire de toutes les coteries de même
espèce
. « Nous serons par nos lois les juges des ouvrag
ples. Messieurs, La définition du ridicule et celle de ses quatre
espèces
, ont rempli la leçon précédente : il s’agit à pré
epte de son art. Nous avons dit que le genre comique se divise en six
espèces
, dont les cinq dernières nous restent à décompose
système d’éducation vicieuse n’est qu’un entêtement qui rentre dans l’
espèce
de ridicule passager que j’ai nommé éphémère, tan
eillance tyrannique inspirée par la jalousie est un ridicule éternel,
espèce
de travers plus fécond pour l’intrigue, plus fort
ous côtés dans le monde, en vain je les cherche… Ce qui reste de leur
espèce
, vraiment devenue si rare, fait qu’il en est d’el
prime le sceau de sa folie aux seconds, et ne les rend propres qu’à l’
espèce
de comédie nommée facétieuse : les premiers offre
manière d’exposer philosophiquement au théâtre les quatre principales
espèces
du ridicule. Vingtième séance. Sur les carac
icule. Vingtième séance. Sur les caractères comiques ; sur leurs
espèces
; sur les passions, et sur les mœurs. Messieur
e qu’il ne traita que la comédie d’intrigue. Plaute embrassa les deux
espèces
ainsi que Térence. L’Aulularia et la Miles glorio
es que nous voulons fixer. Je reviens donc à la définition des quatre
espèces
de caractères principaux, accessoires, pareils à
cipaux, accessoires, pareils à eux-mêmes, et changeants. Des quatre
espèces
de caractères comiques. Les principaux sont ce
les autres supportent, prend en une aversion irréconciliable toute l’
espèce
humaine, et s’en éloigne à jamais ; celui-là me p
urent dans l’impénitence finale. Lorsque j’ai compté parmi les quatre
espèces
de caractères, ceux que j’ai nommés changeants, j
cette condition diffère en ce genre de ce qu’elle est dans les autres
espèces
de drames. La plupart ne les présentent que pour
condition des mœurs est indispensable au genre et à la plupart de ses
espèces
, vu la nécessité d’y établir les vraisemblances.
nlève à tous les soins de l’ambition et de la fortune. Il ne doit son
espèce
de grandeur qu’à sa folie, et son courage contre
qu’elle attire sur les caractères ou sur les mœurs, dans telle de ses
espèces
, et qu’à la curiosité des incidents de la fable,
s avons commencé l’examen, celle de l’exposition : il en est de trois
espèces
; simple de faits, compliquée de faits, et enfin
n les faits. Parmi les ouvrages de Plaute qui en renferment des trois
espèces
toutes fort gaies, très précises, et très claires
de ceux du poète latin. Molière et Regnard en ont plusieurs de cette
espèce
. Palinure continue en comparant la vieille entrem
ortent trois actes, et ne se bornent pas à un seul. Toutes les autres
espèces
veulent au moins un nœud : les comédies d’intrigu
dans toutes les fables espagnoles et italiennes, c’est-à-dire dans l’
espèce
des comédies d’intrigues, soit morale, soit facét
é dans les personnages. 13e Règle. Les péripéties et leurs quatre
espèces
. Il est quatre espèces de péripéties dans le c
13e Règle. Les péripéties et leurs quatre espèces. Il est quatre
espèces
de péripéties dans le comique, ainsi que dans le
événements : jamais on n’imagina d’intrigue plus comique. La dernière
espèce
de péripétie qui dépend des changements de volont
résultats, et que, donnant ainsi le signalement de la plus dangereuse
espèce
de scélérats que la société doive attaquer ou fui
Sur l’ordre des actes ; sur celui des scènes capitales ; sur les deux
espèces
de dénouement, et sur la force comique. Messie
onditions les deux dernières ne s’appliquent point nécessairement à l’
espèce
de comédies épisodiques nommées pièces à tiroir,
ont je vais vous parler ne porte aussi son application que sur quatre
espèces
de comédies ; les pièces épisodiques n’ayant poin
es suppléments de prologue, des parasites superflus, ou quelque autre
espèce
de bouffons, leur prêtaient matière aux remplissa
qu’aux courtisans, et aux autres hommes courbés sous le joug de toute
espèce
de domesticité. Ce langage leur est également con
naturelle de tous les intérêts de la fable : mais il n’a point trois
espèces
, il n’en a que deux ; le dénouement heureux, et l
des ridicules moqués, ou des vicieux risiblement punis. Ceux des deux
espèces
doivent s’effectuer par une soudaine péripétie qu
èces du genre, mais elles contribuèrent aux succès de ses principales
espèces
; elles y mettaient en quelque sorte le sceau du
sentielles. Cette condition pourtant n’est pas inhérente à toutes ses
espèces
, et s’attache indispensablement à la comédie mixt
n cachette d’un père. Les poètes ont inventé peu de comédies de cette
espèce
, où les bons apprennent à devenir meilleurs. Pla
et travaillée. Examinons donc en notre théâtre les éléments des deux
espèces
de langage que parle la comédie, c’est-à-dire le
l en savait par cœur, « Il me les récitait tout haut avant l’acteur.
Espèce
de ridicule fréquent très bien exprimé par Éraste
nce. Continuation sur les qualités du style comique ; examen des deux
espèces
de dialogue convenables à la comédie ; tableaux s
e leur humeur. Tous ces auteurs fixèrent, par leur bon goût, les deux
espèces
de style proprement comique, entre lesquelles il
ussi dans le style ; c’est sur elle que nous en avons établi les deux
espèces
très distinctes : nos citations ne touchent encor
lles du style vrai de Molière. 20e Règle. Le dialogue et ses deux
espèces
. La condition du dialogue influe particulièrem
t des scènes dramatiques : nous nous contenterons de définir ses deux
espèces
, sans les appuyer de longs exemples qui seraient
ses vraiment spirituelles et dignes de vos applaudissements. Les deux
espèces
du dialogue sont dans la comédie ce qu’elles sont
le le jeu des passions et des caractères ; ni l’une ni l’autre de ces
espèces
de dialogue ne doit être préférée, mais toutes de
ent de l’art de Thalie, en récapitulant ce que nous avons dit des six
espèces
que son genre comporte. On a vu que, dans son ori
rdu. Ce fut peu : son génie allia depuis, dans un chef-d’œuvre, cette
espèce
de haute comédie aux éléments de la comédie d’int
tement. Malgré le soin que j’avais pris d’écarter de ma comédie toute
espèce
d’intérêt qui l’eut confondue avec le drame, et d
sait bon gré, « Veut nous assassiner avec un fer sacré. Les deux
espèces
de dialogue. C’est là le sublime du style de T
tifient la méfiance généralement professée envers les écrits de cette
espèce
, et de ce que la plupart des gens de métier ont p
gtemps, par expérience, l’urgente nécessité d’avertissements de cette
espèce
. La plupart de ceux qui s’engagent dans la carriè
ire, au collège20 ; parce que l’on éprouve pour les choses du passé l’
espèce
d’attrait romantique qui jadis décida, dit-on, la
s européens ont acquis des pièces, des épaves, des fragments de toute
espèce
et un nombre de documents très petit par rapport
ans tous les dépôts, pour y relever tous les documents d’une certaine
espèce
, ou relatifs au même sujet : c’est ainsi que la S
i auraient été capables de s’employer mieux à des travaux d’une autre
espèce
. Contre ce danger, d’autant plus redoutable pour
e date, ou les caractères communs à toutes les chartes d’une certaine
espèce
dont l’authenticité est certaine. Il serait tenu
lignes générales et les grandes divisions. I. On peut distinguer deux
espèces
de documents. Parfois le fait passé a laissé une
f leur importance relative. — Ce n’est pas ici le lieu d’examiner les
espèces
difficiles où, par suite de la suppression d’un t
d’une rubrique. Ainsi se trouvent rapprochés tous les textes de même
espèce
. — Ce système laisse à désirer, car les intercala
de place : il est facile de grouper ensemble tous les textes de même
espèce
, et de faire, à l’intérieur de chaque groupe des
s cadres ? suivant quel ordre ? Il est clair que c’est une question d’
espèces
et que la prétention de formuler des règles pour
s leur forme98. Ce sont les quatre catégories du temps, du lieu, de l’
espèce
et de la forme ; en les superposant, on obtient à
tous les documents de telle forme (inscriptions latines) ou de telle
espèce
(hymnes latines) à telle époque (dans l’antiquité
, mais une collection disparate de travaux sur des problèmes de toute
espèce
qui ressemble, comme dit Carlyle, à une boutique
nder si elle ne provient pas d’une idée préconçue de l’auteur sur une
espèce
d’hommes ou une espèce de faits. Cette recherche
t pas d’une idée préconçue de l’auteur sur une espèce d’hommes ou une
espèce
de faits. Cette recherche se confond en partie av
il opérait, s’il savait abstraire, raisonner, généraliser, et quelle
espèce
d’erreurs il commettait. — Pour établir la valeur
’altération, sont très probablement exacts. On connaît en général les
espèces
de faits qui sont dans ces conditions favorables,
ns qui garnissaient l’esprit de l’auteur, si c’est un phénomène d’une
espèce
inconnue à l’auteur, un acte ou un usage qui lui
doit se construire la science. Conceptions et affirmations sont deux
espèces
de résultats qu’il faut traiter par deux méthodes
her à dégager ces matériaux de connaissance. Pour les périodes et les
espèces
de faits sur lesquelles les documents sont rares,
bable ou très probable, affirmation de valeur inconnue. De toutes ces
espèces
de résultats une seule est définitive : l’affirma
rd de plusieurs de ces faits, chacun imparfaitement prouvé, donne une
espèce
de certitude ; ils ne se prouvent pas les uns les
t179. Le doute qui pesait sur chacun d’eux se dissipe ; on arrive à l’
espèce
de certitude produite par l’enchaînement des fait
dier, et systématiquement se bornent à observer les faits d’une seule
espèce
. Les sciences documentaires reçoivent les faits t
. Pour les tirer de ce désordre, il faut les trier et les grouper par
espèces
. Mais pour les trier il faudrait savoir avec préc
faudrait savoir avec précision ce qui doit en histoire constituer une
espèce
de faits ; pour les grouper il faudrait un princi
à quel degré de généralité on peut et on doit réduire les différentes
espèces
de faits. Et c’est sur quoi les historiens ne s’e
appelés sentiments et idées). Les documents nous en montrent de trois
espèces
: 1° motifs et conceptions des auteurs qui les on
a liste, — recourir au procédé du questionnaire méthodique. Parmi les
espèces
de faits, les personnages, les sociétés bien conn
hors de l’histoire dans les branches spéciales d’études de certaines
espèces
de faits humains, langue, littérature, arts, droi
e trier et de grouper ensemble les faits qui se rapportent à une même
espèce
d’actes ; chacun de ces groupes devient la matièr
ections chronologiques, géographiques ou nationales. L’histoire d’une
espèce
d’actes (la langue, la peinture, le gouvernement)
temps, ou tous les faits d’un même pays, ou tous les faits d’une même
espèce
. Toute matière historique peut être distribuée su
e espèce. Toute matière historique peut être distribuée suivant trois
espèces
d’ordre différents : l’ordre chronologique (ordre
lieux, qui souvent coïncide avec l’ordre des nations), — l’ordre des
espèces
d’actes appelé d’ordinaire ordre logique . Il est
anches géographiques ou logiques, passer d’un pays à l’autre et d’une
espèce
de faits à une autre et inversement. Mais il faut
se décider par des raisons différentes suivant le sujet et suivant l’
espèce
de public pour lequel on travaille. A ce titre il
nné plus haut peut servir de questionnaire pour déterminer toutes les
espèces
d’habitudes (usages ou institutions) dont on peut
e naturelle est de se représenter le groupe humain sur le modèle de l’
espèce
animale, comme un ensemble d’hommes tous semblabl
s unissait ? quelles habitudes avaient-ils en commun ? et par quelles
espèces
d’activité différaient-ils ? Alors seulement on v
groupe peut servir de cadre d’études, et on sera conduit à choisir l’
espèce
de groupe suivant l’espèce de faits. Pour étudier
e d’études, et on sera conduit à choisir l’espèce de groupe suivant l’
espèce
de faits. Pour étudier les habitudes intellectuel
L’opération ne présente aucune difficulté de méthode pour toutes les
espèces
de faits qui se présentent sous forme d’habitudes
ntral et local), et distinguer chacun des corps spéciaux. Pour chaque
espèce
de gouvernants on doit se demander : comment se r
ns la même condition que la cosmographie, la géologie, la science des
espèces
animales ; elle n’est pas la connaissance abstrai
ois abstraites, mais du concours à chaque moment de plusieurs faits d’
espèce
différente. Ce concours, appelé parfois le hasard
d’ensemble qui a dominé toutes les évolutions spéciales. Chacune des
espèces
de faits qu’on étudie à part (religion, art, droi
ident qui modifie leur état change leurs habitudes à la fois dans les
espèces
les plus différentes. L’invasion des Barbares a a
u la fin d’une période. Ces événements marquants sont parfois de même
espèce
que les faits dont on étudie l’évolution, des fai
dans l’histoire politique. Mais le plus souvent ils sont d’une autre
espèce
et l’histoire spéciale est obligée de les emprunt
les périodes doivent être découpées d’après l’évolution de plusieurs
espèces
de faits ; on trouve des événements qui marquent
on ne l’ait pas vu. Dès qu’on organise un service pour recueillir une
espèce
de faits, on constate combien ce fait est plus fr
pas mentionné voulait systématiquement noter tous les faits de cette
espèce
et devait les connaître tous. (Tacite cherchait à
à ce fait se sont aussi produits. Ce raisonnement s’applique à toute
espèce
de faits, usages, transformations, accidents indi
’homme, sont tous reliés entre eux, non seulement entre faits de même
espèce
, mais entre faits des espèces les plus différente
e eux, non seulement entre faits de même espèce, mais entre faits des
espèces
les plus différentes. Il y a des liens non seulem
es faits d’art, de politique, de mœurs ; en sorte que d’un fait d’une
espèce
on peut inférer des faits de toutes les autres es
d’un fait d’une espèce on peut inférer des faits de toutes les autres
espèces
. Examiner les liens entre les faits qui peuvent s
’elles ont agi. Toutes les branches d’histoire qui étudient une seule
espèce
de faits, isolée de toute autre (langue, arts, dr
pter. Les faits ainsi réunis sous un même chiffre ne sont pas de même
espèce
, ils peuvent n’avoir de commun qu’un seul caractè
est restreint aux cas où l’on peut connaître toutes les unités d’une
espèce
dans les limites données, car il doit se faire en
tre elles. Le procédé est applicable en histoire à des faits de toute
espèce
, soit pour établir la proportion des différentes
r déterminer dans les groupes hétérogènes la proportion des membres d’
espèce
différente. Il donne l’impression approximative d
proportion des éléments d’une société ; il peut même montrer quelles
espèces
de faits se rencontrent le plus souvent ensemble
prendra donc tout un groupe de faits classés dans le même cadre — une
espèce
de faits, un pays, une période, un événement — et
vant le questionnaire général de groupement, de constater sur quelles
espèces
de faits nous ne sommes pas renseignés. Pour les
ns diversement colorées ou une seule ? Possédons-nous des documents d’
espèce
diverse ou d’une seule espèce ? Les renseignement
seule ? Possédons-nous des documents d’espèce diverse ou d’une seule
espèce
? Les renseignements sont-ils vagues ou précis, d
nsuite entre elles. C’est une classification abstraite, qui isole une
espèce
de faits de toutes les autres, renonçant ainsi à
faits simultanés consiste à chercher les liens entre tous les faits d’
espèces
différentes qui se produisent dans une même socié
du droit). En étudiant séparément la succession des faits d’une seule
espèce
, les spécialistes ont été amenés à constater le r
le rôle d’êtres vivants. En comparant les évolutions des différentes
espèces
de faits dans une même société, l’école « histori
8. Ce n’était qu’une hypothèse suggérée par le monde animal où chaque
espèce
a des caractères permanents. Elle eût été insuffi
hommes pensants ou agissants. Là seulement sont réunies les diverses
espèces
d’activité que la langue sépare par abstraction.
à ce que la solidarité ne soit pas également étroite entre toutes les
espèces
d’activité : elle sera plus forte dans celles où
des recherches nouvelles. Il existe aujourd’hui des Manuels de cette
espèce
pour la plupart des branches spéciales de l’histo
plupart des ouvrages de vulgarisation historique, des taches de toute
espèce
, inévitables, que les gens instruits constatent t
familiarise avec les principaux phénomènes sociaux et les différentes
espèces
d’usages et d’institutions qu’il ne serait guère
s ont les connaissances techniques, requises pour les études de cette
espèce
; 2° la preuve d’aptitudes pédagogiques, qui sont
les. Il serait facile d’énumérer un grand nombre d’anomalies de cette
espèce
, qui ne laissent pas, en certains cas, de gêner,
veau d’un spécialiste très familier avec les documents d’une certaine
espèce
ou d’une certaine époque, des associations d’idée
alogies brusquement luisent à l’examen d’un document nouveau de cette
espèce
ou de cette époque, qui échappent à toute autre p
soin d’être éclaircie. Il ne faut pas croire qu’elle s’applique à une
espèce
de faits. Il n’y a pas de faits historiques, comm
ner, par l’examen des confusions commises par le plagiaire, jusqu’à l’
espèce
d’écriture, jusqu’au format et à la disposition m
e la Belgique), ont classé ensemble tous les documents d’une certaine
espèce
qui avaient le caractère commun d’avoir été impri
littéraires. 130. Les sciences d’observation ont besoin aussi d’une
espèce
de critique. On n’admet pas sans vérification les
e, sympathique, honorifique, etc.), et aboutit à classer ensemble des
espèces
de manifestations très différentes des institutio
rts. 194. Les transports, souvent classés dans le commerce, sont une
espèce
d’industrie. 195. La propriété est une instituti
éfléchissent, que les causes de ce penchant sont le mauvais goût, une
espèce
de vanité naïve, parfois le désordre d’esprit. 2
e : « J’ai longtemps vécu avec les documents de ce temps et de cette
espèce
. J’ai l’impression que telles conclusions, que je
rs polypes ! La société qui lit avec plaisir des productions de cette
espèce
a certainement quelque infirmité… Ce n’est plus,
il n’y a pas de héros » (et, vous le savez, la femelle de toutes les
espèces
est, en fait d’observation, de finesse et de tact
e tact, bien au-dessus de tous les mâles de la terre, même dans cette
espèce
supérieure de messieurs les valets !) ; mais les
qu’a fait dernièrement en Angleterre cette fille de compagnie, cette
espèce
de gouvernante anglaise chez un garçon, qui a tir
aux ; et si on ne sait pas le sexe de ces deux oreilles, on en sait l’
espèce
, et cela suffit… L’auteur, quel qu’il soit, n’a p
i la vanité féroce, ni la passion, ni l’astuce, ni le sang-froid de l’
espèce
de femme que l’un ou l’autre a cru singer, a fait
avec les siennes : l’intime liaison de son individu avec ceux de son
espèce
, le prévient qu’il ne saura ce qu’il est qu’en sa
ont les genres sont les premiers chefs sous lesquels se rangent leurs
espèces
, que chacune a ses divisions, ses subdivisions de
, sans leur assigner des titres de races et dénommer généralement les
espèces
. La botanique, afin de mieux définir l’immense rè
nt privés les uns à l’égard des autres, vraiment distinctive de notre
espèce
: cette source de notre bienfaisance honorable ré
e, l’essence, le caractère, et le perfectionnement. 2º Distinguer les
espèces
qui en dérivent, et les ranger dans les classes d
euvent participer d’aucun autre sans en être altérés, ainsi que leurs
espèces
bien différenciées entre elles. 4º Reconnaître le
en. Les convenances de style, ou élocution, suivant les genres et les
espèces
d’ouvrages, nécessiteront de pareilles distinctio
doivent mourir, il faut qu’il ne songe qu’au bien et à la durée de l’
espèce
qui est immortelle. Une telle pensée l’avertira q
ble. L’objet de mes efforts dans une classification des genres et des
espèces
que contiennent leurs classes, est de résoudre le
st encore propre à notre art dramatique. Il en est de même des quatre
espèces
de tragédies qu’il distingue ; la simple, l’imple
celui qui éclate dans un mot, mais non l’essence du sublime de chaque
espèce
. Six espèces de sublime. Or le sublime en a
te dans un mot, mais non l’essence du sublime de chaque espèce. Six
espèces
de sublime. Or le sublime en a six ; celle de
ngement des mots. Faut-il d’abord vous prouver qu’il y en a plusieurs
espèces
? En doutez-vous ? Pascal va le premier vous répo
encore de la grandeur d’âme. Le sublime du sentiment est d’une autre
espèce
: il touche le cœur en soulevant ses passions nat
ve et que toute autre n’est que chimère, et exagération. La cinquième
espèce
de sublime est celle qui règne dans une hauteur c
e ne doute pas qu’il ne l’eût jugé le prototype du beau. La dernière
espèce
est le sublime d’action : celui-ci est particulie
la servitude, je dis la servitude la plus modérément établie, est une
espèce
de prison où l’âme décroît et se rapetisse en que
s auteurs qui, l’ayant étudiée avec soin, se sont acquis sur elle une
espèce
d’autorité dont ils n’usent qu’à son avantage ; e
ligion est visible encore dans le soin qu’il prend de diviser en deux
espèces
l’harmonie de la poésie française : l’une qu’il n
e nos vers échos harmonieux. Louis Racine passe ensuite à la seconde
espèce
d’harmonie. « Voilà l’effet, dit-il, de l’harmon
ifférent, la cadence est toute contraire. Dans la poésie même, chaque
espèce
a sa cadence propre. » Je vous ai dit à quoi Lon
l’art théâtral ; exposition et classification de ses genres et de ses
espèces
tragiques et comiques. Messieurs, Si vous vou
ent les axiomes d’une vraie doctrine. Du genre tragique, et de ses
espèces
. Exposons premièrement le tableau des genres d
des malheurs et des passions des grands personnages. Ce genre a trois
espèces
: la tragédie fabuleuse, la tragédie historique,
t la seule qui mérite le titre d’école des grands hommes. Des deux
espèces
de tragédie d’invention. La tragédie inventée
e tragédie d’invention. La tragédie inventée se subdivise en deux
espèces
; celle de passions, et celle d’événements : dans
complète illusion. Telles sont les définitions des trois principales
espèces
de tragédies : voici les exemples qui les constat
Athalie, et Phèdre, remplissent toutes les conditions de la première
espèce
. Dans l’une, c’est Dieu, c’est Jéhovah qui condui
es Horaces, et Cinna, remplissent toutes les conditions de la seconde
espèce
: l’un éclate par la stature forte et grave des p
les de la tragédie inventée. Toutes les conditions de la troisième
espèce
sont encore remplies par l’auteur des Horaces et
nfin l’attachante pièce de Zaïre nous fournit l’exemple de la seconde
espèce
de tragédie inventée, dont l’objet est moins d’of
pliquerons ceci plus amplement. Tragédie lyrique divisée en quatre
espèces
. Il est un autre genre tragique, la tragédie l
les adversités des dieux, des fées, et des héros : celle-ci a quatre
espèces
; la fabuleuse ou sacrée, l’historique, la magiqu
de la tragédie déclamée, quant à la division des actes, et à la seule
espèce
qu’on nomme historique : ses qualités diffèrent p
de à tous les prestiges d’une belle fable. Principaux exemples des
espèces
de la tragédie lyrique. Alceste est un modèle
modèle parfait, et quelques scènes de Saül donnent aussi l’idée de l’
espèce
profane et sacrée. Le gracieux, le ravissant opér
e. Le gracieux, le ravissant opéra d’Armide est un riche exemple de l’
espèce
magique. Dans la romanesque, en considérant, non
ingué sous les titres de tragi-comédie, et de comédie héroïque. Cette
espèce
de drame est moins élevée par le langage que la t
ons que notre dette à ce grand homme. Du genre comique, et de ses
espèces
. À ce tableau de la série des quatre genres no
ant leurs travers de façon à les corriger par le rire. Ce genre a six
espèces
: la satire allégorique dialoguée ou première com
exposé de ses lois. Poursuivons donc leur classification. Seconde
espèce
de comédie. La comédie de mœurs et de caractèr
rire l’esprit, et à corriger le cœur en le divertissant. Troisième
espèce
de comédie. La comédie d’intrigue peut se pass
s, et à multiplier sur la scène les situations risibles. Quatrième
espèce
de comédie. La comédie composée de caractères
les leur font prendre. Les événements abondent moins aussi dans cette
espèce
de comédie : ils n’y sont pas inventés pour émouv
e sur le théâtre, y est publiquement fouetté par Thalie. Cinquième
espèce
de comédie. La comédie épisodique, ordinaireme
blance des figures passagères avec les originaux du monde. Sixième
espèce
de comédie. Enfin, sous le nom de comédie facé
édie de Plaute, où j’ai superficiellement esquissé cette division des
espèces
de comédie. « Laissons à ce genre, ai-je écrit,
ité du docte Molière me fournira seule tous les types des cinq autres
espèces
de comédie, dans lesquelles se trouve comprise la
re qu’il a embrassé dans toute son étendue. Exemples de la seconde
espèce
comique. Son Misanthrope est l’honneur de son
oire d’ennoblir le brodequin sur la scène. Exemple de la troisième
espèce
comique. C’est dans l’Étourdi qu’il faut aussi
oit de tirer des preuves et des arguments. Exemple de la quatrième
espèce
comique. Où trouver un chef-d’œuvre qui rempli
un chef-d’œuvre qui remplisse mieux les conditions de cette parfaite
espèce
de comédie, unissant les caractères à l’intrigue,
que de Dieu, craint Tartuffe et Molière. Exemples de la cinquième
espèce
comique. Un ouvrage ébauché à la hâte, pour pl
oi que le poète), la comédie des Fâcheux est la meilleure encore de l’
espèce
épisodique, nommée pièce à tiroir : chaque scène
ccessif d’acteurs qu’on ne revoit plus, me ferait ranger dans la même
espèce
la comédie du Festin de Pierre, où tous les perso
elles ont de meilleur ou de désavantageux. Exemples de la sixième
espèce
comique. Il me reste à parler de la dernière e
de la sixième espèce comique. Il me reste à parler de la dernière
espèce
: la comédie facétieuse a ses exemples de deux so
nt Molière par la force des situations. J’ose dire que cette dernière
espèce
qui faisait la joie de nos pères, dont les oreill
gesse que nous avons aujourd’hui dans nos mœurs. Exemples des deux
espèces
de comédie lyrique. Le rapport que nous avons
e la comédie et l’opéra-comique, ou comédie lyrique : ce genre a deux
espèces
, l’opéra sérieux et gai alternativement, et l’opé
se et Colas, et Annette et Lubin, pièces légères qui sont, dans cette
espèce
d’opéra, ce que les Trois Cousines, et d’autres p
r le ton uniformément sérieux qu’il garde quelquefois ; car il a deux
espèces
, l’une qui ne se compose que d’un sujet sombre do
et particuliers qui nous charment dans la lecture des bons mémoires ;
espèce
de livres amusants, instructifs, et curieux, parc
le vaudeville. Ce genre tient aussi sa place au théâtre : il a deux
espèces
; le vaudeville anecdotique, et le vaudeville par
lies, les physionomies peintes d’un trait, et le dénouement enjoué. L’
espèce
parodiste met en jeu les masques des mimes d’Ital
les chefs-d’œuvre des modernes. À la table sommaire des diversités d’
espèces
qui composent le genre dramatique, il faut joindr
inspiration méconnue. Quatrième séance. Du genre tragique, de ses
espèces
, et du nombre de ses règles, ou conditions. Me
tion que j’ai tâché de vous faire des genres dramatiques, et de leurs
espèces
, dans la séance précédente, me conduit présenteme
e plus auguste de tous, par la tragédie ; nous en avons reconnu trois
espèces
: la tragédie sacrée ou mythologique, la tragédie
ne convient qu’à nos tragédies lyriques. La comparaison de l’une des
espèces
de nos grands opéras avec la tragédie fabuleuse,
ent en plusieurs branches ; les voici : 1º La fable ou le fait : deux
espèces
; simple, et composé ; 2º La mesure de l’action ;
ouve exactement que dans l’action simple ; 4º Le vraisemblable : deux
espèces
; naturel ou ordinaire, et extraordinaire ; 5º Le
s ; naturel ou ordinaire, et extraordinaire ; 5º Le nécessaire : deux
espèces
, et qui sont les mêmes que celles du vraisemblabl
pitié et de la terreur ; 9º L’admiration ; 10º Les péripéties : trois
espèces
; de reconnaissances, d’événements, et de changem
tin ; 12º La fatalité des passions ; 13º Le genre des passions : deux
espèces
; principales, et secondaires, qui servent d’inst
qui servent d’instruments aux premières ; 14º Les caractères : quatre
espèces
; grands, vulgaires dans les rôles subalternes, p
s à eux-mêmes, et changeants ; 15º Les mœurs ; 16º L’intérêt : quatre
espèces
; de passions, de politique, d’événements, et de
politique, d’événements, et de caractères ; 17º L’exposition : trois
espèces
; simple de faits, compliquée de faits, exposant
actes ; 20º L’ordre des scènes capitales ; 21º Le dénouement : trois
espèces
; heureux, malheureux, mixte ; 22º Le style : deu
nt : trois espèces ; heureux, malheureux, mixte ; 22º Le style : deux
espèces
; orné dans l’exposition et dans les choses local
s locales, simple et passionné dans l’action ; 23º Le dialogue : deux
espèces
; soutenu, et coupé ; 24º Les tableaux scéniques
bleaux scéniques ou aspects des personnages ; 25º La symétrie : deux
espèces
; de caractères pareils ou contrastants, et de si
ns l’estime du lecteur, par le sarcasme et la parodie des mots, toute
espèce
de grandeur qu’il s’avouait peut-être inaccessibl
ent à la majesté. L’Ajax et le Philoctète présentent deux fables de l’
espèce
simple ; fables difficiles à traiter, parce qu’il
tragédie. En revanche, elles sont plus puissantes que les fables de l’
espèce
composée, parce qu’elles n’apportent nulle divers
en interrompt la suite, et ne vient distraire l’attention captivée. L’
espèce
composée est celle en qui la fable présente le do
tre, ils sont inhérents dans la composition. L’un et l’autre ont deux
espèces
: le nécessaire et le vraisemblable, ordinaires e
e, pour qu’il paraisse conséquent avec soi-même. Telles sont les deux
espèces
du nécessaire dans le discours. Les historiens no
qui venge son pays, devient alors surnaturelle. Telles sont les deux
espèces
du nécessaire dans l’action. Le nécessaire consis
nd sa mort dramatiquement vraisemblable. Le vraisemblable est de deux
espèces
; ordinaire, dans les directions et dans les disc
semblance des portraits. Cette obligation est encore à la gloire de l’
espèce
humaine, puisque un penchant général au bien la r
os semblables. Je crois m’être assez étendu sur les éléments des deux
espèces
du nécessaire et du vraisemblable dans les œuvres
se mutuellement à leurs destinées, distinguait la supériorité de leur
espèce
entre tous les animaux que sépare leur instinct p
èbre, Qui te l’a dit ? La Harpe, s’efforçant de chercher en Racine l’
espèce
de sublime qui ne se trouve qu’en Corneille, et q
andes choses du nom d’actes de démence ; parce que la raison commune,
espèce
d’instinct, marchant terre à terre, ne reconnaît
achetant ses jours, va les condamner à un deuil éternel. Des trois
espèces
de péripéties. On aperçoit dans ces divers exe
ode de la tragédie de Zaïre nous fournit un exemple de cette première
espèce
et de la seconde, dans une même scène. Le vieux L
qui menaçait la tête d’Auguste. Cette pièce s’achève par la dernière
espèce
de péripétie, puisque l’empereur, résolu à punir
ntiments sont extrêmes, qui aime avec fureur, dont la passion est une
espèce
de fièvre ardente qui lui ôte la raison ; enfin,
liberté du monde. Neuvième séance. Sur les caractères, sur leurs
espèces
, et sur les mœurs. Messieurs, L’existence des
Italie, excellèrent dans cet art de particulariser un individu dans l’
espèce
humaine, par un ordre de pensées différent de cel
té, observons premièrement que les caractères au théâtre sont de deux
espèces
: grands, dans les rôles principaux ; vulgaires,
x passions du cœur. Les exemples cités ne touchent que la première
espèce
de caractères constants et sans inégalités : ceux
ité de Shakespeare dans la peinture des caractères tragiques de toute
espèce
. Qu’on me permette désormais de désigner, dans
ictèrent sa brûlante scène de Pygmalion ; œuvre idéale, unique en son
espèce
, et dont l’exquise beauté l’absout de ses opinion
durables et invincibles. Dixième séance. De l’intérêt et de ses
espèces
; de l’exposition ; dit nœud ou intrigue ; de l’o
ments. Messieurs, 16e Règle. De l’intérêt dramatique, et de ses
espèces
. Parmi les conditions que nous avons dénombrée
ns point, cherchons comment l’intérêt se produit, et combien il y a d’
espèces
d’intérêts. J’en découvre principalement quatre :
des autres, on peut faire cette division, pour discerner celle de ces
espèces
qui prédomine dans un ouvrage. De l’intérêt che
curiosité, et l’intéresse à ce que deviendront les événements. Cette
espèce
d’intérêt s’établit en donnant à la marche des ch
’en sont que des circonstances. On sent la difficulté d’établir cette
espèce
d’intérêt qui exige de la part de l’auteur une co
le sort fut le même, et atteste le génie savant du Poussin. Une autre
espèce
d’intérêt est celle qui résulte de la singularité
diquer les moyens de la rendre claire, qu’à désigner le nombre de ses
espèces
, selon ma méthode analytique. Différentes espèc
le nombre de ses espèces, selon ma méthode analytique. Différentes
espèces
d’expositions. J’en trouve trois : l’expositio
ns ou des caractères, et non des actions. On voit que ces différentes
espèces
seront conformes à celles de l’intérêt qu’on voud
ement. 18e Règle. Le nœud, ou intrigue. De la clarté des trois
espèces
d’exposition dépend la beauté du nœud de l’intrig
e tend à sa catastrophe. 21e Règle. Le dénouement et ses diverses
espèces
. Traitons enfin de la condition des dénouement
Traitons enfin de la condition des dénouements. Il en est de trois
espèces
; malheureux, heureux, et mixtes. Les dénouements
, heureux, et mixtes. Les dénouements malheureux sont de la meilleure
espèce
, en ce qu’ils s’accordent mieux au but que se pro
ité des graves sujets que le genre commande. Le style tragique a deux
espèces
: il est orné dans l’exposition de la fable et da
Dialoguer bien, c’est répondre. Or le dialogue a deux formes ou deux
espèces
: il est soutenu, quand l’acteur développe ce qu’
ses arguments, en une réplique suivie, d’une certaine étendue. Cette
espèce
, ordinaire à nos théâtres, n’est pas si commune à
est l’auteur dont les personnages se répondent le mieux dans les deux
espèces
de dialogue. La brillante scène de Rodrigue et du
s les principaux actes tragiques. Le plus dramatique tableau de cette
espèce
qui puisse servir de modèle est celui du troisièm
se dans le genre que nous traitons. La symétrie théâtrale est de deux
espèces
: elle tient à l’ordonnance des caractères pareil
d de toutes, le conseil qu’Aristote donne aux poètes sur les diverses
espèces
de tragédies. Ils doivent tâcher de réussir dans
remier point d’où je partis : je classifiai d’abord les genres et les
espèces
, je me saisis après de l’un d’eux, le genre drama
ntiments, les discours, ont partout, dans ce grand exemple ; les deux
espèces
de vraisemblable et de nécessaire dramatique, si
et lente, n’est point privée de leur mouvement : elle en a des trois
espèces
: péripétie de volonté, dans les irrésolutions de
es secondaires n’y est pas maintenue moins habilement dans leurs deux
espèces
. Le prêtre du Dieu d’Israël n’attend la victoire
e condition de l’intérêt ne soit remplie complètement dans ses quatre
espèces
? Qualités de l’exposition. Eh ! comment, e
e la condition de son dénouement. Remarquons seulement qu’il est de l’
espèce
des dénouements mixtes, puisque l’action est impl
dation naturelle : la seule vérité en constitue l’éloquence. Les deux
espèces
de style, convenables à la tragédie, concourent à
la matière, mais que va ensuite chercher et reprendre, à défaut de l’
espèce
, telle ou telle individualité privilégiée. Cet él
ntermédiaire de certains hommes, dont chacun se trouve constituer une
espèce
composée d’un seul individu. Si l’individu en a p
e. Il faut pourtant poser cette morale originelle en même temps que l’
espèce
humaine, et se donner au début une société close.
té close originelle, dont le plan général adhérait au dessin de notre
espèce
comme la fourmilière à la fourmi, avec cette diff
il ne se répétera sûrement pas assez pour implanter l’habitude dans l’
espèce
. C’est dans les mœurs, dans les institutions, dan
s 22. Quelle conclusion tirer de là ? Puisque les dispositions de l’
espèce
subsistent, immuables, au fond de chacun de nous,
de la vie. Si un tel effort pouvait se généraliser, ce n’est pas à l’
espèce
humaine, ni par conséquent à une société close, q
ociale que le naturaliste ne se renseignerait sur les habitudes d’une
espèce
en ne s’adressant qu’à l’embryon. Il faut prendre
eler que la vie sociale était comprise dans le plan de structure de l’
espèce
humaine comme dans celui de l’abeille, qu’elle ét
a nature, massacreuse des individus en même temps que génératrice des
espèces
, a dû vouloir le chef impitoyable si elle a prévu
é de prendre des décisions particulières. Mais elle ne peut poser une
espèce
animale sans dessiner implicitement les attitudes
de lui fournir des instruments, comme elle l’a fait pour bon nombre d’
espèces
animales, elle a préféré qu’il les construisît lu
créées par voie de dichotomie se développent le plus souvent dans des
espèces
distinctes ; elles vont, chacune de son côté, che
ement il n’en avait rien été prévu dans le plan de structure de notre
espèce
: ce fut une chance unique, la plus grande réussi
ément accru, à l’âme par lui transfigurée. Il voudra faire d’elle une
espèce
nouvelle, ou plutôt la délivrer de la nécessité d
une espèce nouvelle, ou plutôt la délivrer de la nécessité d’être une
espèce
: qui dit espèce dit stationnement collectif, et
le, ou plutôt la délivrer de la nécessité d’être une espèce : qui dit
espèce
dit stationnement collectif, et l’existence compl
ne peuvent pas s’additionner dans la suite (les temps pour modifier l’
espèce
. Sur la thèse de la transmissibilité des caractèr
e nous l’avons déjà fait remarquer, que le saut brusque qui a donné l’
espèce
humaine a pu être tenté sur plus d’un point de l’
e d’exiger des beautés nouvelles, vous n’en voulez que d’une certaine
espèce
: nierez-vous, par exemple, que vous êtes l’ennem
ge ? combien même y en a-t-il, comme les vers de sentiment, que toute
espèce
d’image affaiblirait, qui n’ont que l’expression
exiger la plus grande simplicité dans l’expression, les vers de cette
espèce
n’ont rien de commun avec les vers d’image, ni pa
ez Horace, qui nous fournit des modèles de beautés poétiques de toute
espèce
: vous trouvez dans ses épîtres et ses satires, d
érez. Vous seriez bien fâchée qu’Horace n’en eût fait que d’une seule
espèce
. LA POÉSIE. Mais puisque vous admettez dans les v
ore cela est-il rare ; et je me souviens que Despréaux avait fait une
espèce
de dialogue satirique contre les versificateurs l
s âmes sensibles et qui glissent sur les autres. Les beautés de cette
espèce
ne sont que du second ordre, car ce qui est grand
ent, tantôt à la raison, mais toujours à l’organe ; les vers sont une
espèce
de chant, sur lequel l’oreille est si inexorable,
tribuera à un préjugé dont il est esclave lui-même sans le vouloir, l’
espèce
de langueur que l’ouvrage lui paraît avoir contra
thousiasme froid et stupide qui ne sent rien à force d’admirer tout ;
espèce
de paralysie de l’esprit, qui nous rend indignes
a des limites à nos plaisirs, parce qu’on n’en voudra que d’une seule
espèce
et dans un seul genre ; on tracera autour du tale
ls, par les vices qu’ils remarquent dans l’ensemble. Il est une autre
espèce
d’erreur dont le philosophe doit avoir plus d’att
’énumération de ce qu’ils appellent les accidens des mots, comptent l’
espece
& la figure : ainsi, disent-ils, les mots son
tent l’espece & la figure : ainsi, disent-ils, les mots sont de l’
espece
primitive ou dérivée, & ils sont de la figure
n font une toute autre idée ; & c’est à l’egard de cette nouvelle
espece
d’idées, que la premiere prend le nom de primitiv
’autant mieux fondé, que la plûpart des terminaisons de cette seconde
espece
sont soûmises à des lois générales, & ont d’a
irme que le vieux mot escere est la racine de la terminaison de cette
espece
de verbes, c’est que comme ce verbe n’avoit ni pr
itifs, auxquels l’usage a refusé un supin, sont également privés de l’
espece
de dérivation dont nous parlons, quoique l’action
quoique l’action qu’ils expriment soit susceptible en elle même de l’
espece
de modification qui caractérise les verbes fréque
re, fugitare : mais c’est abandonner gratuitement l’analogie de cette
espece
de formation, puisque rien n’empêche de recourir
; quand on y crée un mot, on lui donne scrupuleusement la livrée de l’
espece
à laquelle il appartient par sa signification ; i
quand la conséquence pourroit s’étendre à tous les verbes de la même
espece
, il ne seroit pas possible d’y comprendre les fré
maire, est pris substantivement : c’est une forme particuliere ou une
espece
d’inflexion qui désigne l’idée accessoire d’un ra
ucune inflexion destinée primitivement à marquer dans ce mode l’autre
espece
de futur ; elle se sert pour cela des inflexions
our propre à la langue françoise ; qu’un gallicisme en un mot est une
espece
de barbarisme. On ne sauroit croire combien cette
es difficultés. Il est évident en premier lieu qu’un recueil de cette
espece
doit faire la matiere d’un ouvrage exprès, dont l
latifs en noms génériques ou de genre, & en noms spécifiques ou d’
espece
. « Les premiers, pour employer les propres terme
ers, &c. Les derniers ne conviennent qu’aux individus d’une seule
espece
; tels sont noyer, olivier, oranger, &c. ».
, ne conviennent, comme on l’a déjà dit, qu’aux individus d’une seule
espece
; ce qui constitue deux manieres d’exprimer bien
ividus, hommes & brutes ; homme ne convient qu’aux individus de l’
espece
humaine. Si l’on avoit appellé communs les noms a
ts que l’idée spécifique de chien ; parce que tous les attributs de l’
espece
conviennent à l’individu, qui a de plus son suppô
rique d’animal, parce que tous les attributs du genre conviennent à l’
espece
, & que l’espece a de plus ses propriétés diff
e que tous les attributs du genre conviennent à l’espece, & que l’
espece
a de plus ses propriétés différencielles & ca
mprises sous le même genre. La gradation ascendante de l’individu à l’
espece
, de l’espece au genre prochain, de celui-ci au ge
le même genre. La gradation ascendante de l’individu à l’espece, de l’
espece
au genre prochain, de celui-ci au genre plus éloi
t la méthode d’analyse. La gradation descendante du genre suprême à l’
espece
prochaine, de celle-ci à l’espece plus éloignée,
on descendante du genre suprême à l’espece prochaine, de celle-ci à l’
espece
plus éloignée, & successivement jusqu’aux ind
ems ce qu’il a de commun avec les autres, ce qui le fixe dans la même
espece
; & nommez-leur cette espece, en les avertiss
autres, ce qui le fixe dans la même espece ; & nommez-leur cette
espece
, en les avertissant que quand on désigne les être
esprit ne porte son attention que sur les attributs communs à toute l’
espece
, & qu’il tire en quelque sorte hors de l’idée
e, en y appliquant les mêmes observations que vous aurez faites sur l’
espece
; savoir que l’idée de genre est encore plus simp
lus simplifiée, qu’on en a séparé les idées différencielles de chaque
espece
, pour ne plus envisager que les idées communes à
i à ramener, par l’analyse, la pluralité des individus à l’unité de l’
espece
& la pluralité des especes à l’unité du genre
ans l’unite du genre la pluralité des especes & dans l’unité de l’
espece
la pluralité des individus ; ces idées deviendron
ra. Ailleurs c’est le rapport de la partie au tout, pes montis ; de l’
espece
à l’individu, oppidum Antiochiae ; du contenant a
le plus unanimement a un juste fondement ; quoiqu’il n’exprime pas l’
espece
de service pour lequel il paroît que ce cas a été
est réellement en elle & s’identifie avec elle. Le rapport de l’
espece
à l’individu, n’est pas toûjours annoncé par le g
rent en quelque sorte stériles, si on ne les allie avec quelque autre
espece
d’arbres fruitiers. Ceux-ci au contraire portent
relative au genre commun pour les occasions où l’on auroit indiqué l’
espece
sans attention au sexe, comme quand on dit l’homm
s employe pour exprimer les individus des deux sexes. C’est une autre
espece
d’irrégularité, opposée encore à la précision qui
ent le mâle, au genre féminin la femelle ; & si on veut marquer l’
espece
, on les rapporte au masculin, comme au plus noble
porte au masculin, comme au plus noble des deux genres compris dans l’
espece
. Au contraire les noms du genre épicene ne change
qu’on donne à leur signification ; vulpes au féminin signifie & l’
espece
, & le mâle, & la femelle. IV. Quant aux n
écessaire à la perfection de cet ouvrage. Au surplus c’est rendre une
espece
d’hommage aux grands hommes que de critiquer leur
On donne communément le nom de tropes aux divers changemens de cette
espece
, qui peuvent se faire dans le sens fondamental de
yez Mot, Nom, Pronom , &c.) On trouve souvent des mots de la même
espece
, qui semblent exprimer la même idée fondamentale
parce qu’il n’y a en effet que les sons qui soient susceptibles de l’
espece
de modulation qu’indiquent les accens, & que
l’union de deux consonnes : ils donnent aux caracteres de la premiere
espece
le nom de consonnes aspirées, φ, χ, θ, & à ce
accoutumés au pur matériel des langues qu’ils n’entendent que par une
espece
de tradition, ont multiplié les principes comme l
ecque de P. R. Notre langue elle-même n’est pas sans exemple de cette
espece
: délice au singulier est du genre masculin ; que
été adopté dans notre langue sans aucun changement, pour signifier l’
espece
de cacophonie qui résulte de l’ouverture continué
mp; de-là la dénomination d’équivoques, pour distinguer cette seconde
espece
. Dans le premier cas, un mot est homonyme absolum
geres à la vérité, mais réelles. L’usage des homonymes de la premiere
espece
, exige que dans la suite d’un raisonnement, on at
source d’une infinité d’erreurs. L’usage des homonymes de la seconde
espece
exige de l’exactitude dans la prononciation &
s s’en rapporter uniquement au matériel d’un mot pour juger de quelle
espece
il est. On trouve en effet des homonymes qui sont
espece il est. On trouve en effet des homonymes qui sont tantôt d’une
espece
& tantôt d’une autre, selon les différentes s
cas, les genres, les tems, les modes, &c. C’est à cette premiere
espece
de changement que M. du Marsais a donné spécialem
lles observations, & principalement a l’article Tems . La seconde
espece
de changement qui tombe directement sur les mots,
ique. Cet adjectif n’est pas le seul mot qui puisse occasionner cette
espece
d’erreur : car, comme l’a très-bien remarqué M. d
deux cas avoient rapport au même ordre, ou s’ils présentoient la même
espece
de renversement. Quintilien (Inst. Lib. VIII. Cap
ure, son autorité seroit ici une raison, & peut-être la meilleure
espece
de raison sur l’usage d’une langue, que nous ne d
nt reconnues pour de véritables figures de Grammaire. 1°. La premiere
espece
est appellée anastrophe, c’est-à-dire proprement
mp; autorisé seulement dans certains cas particuliers. 2°. La seconde
espece
d’hyperbate est nommée tmesis ou tmèse, du grec τ
e, les Grammairiens n’ont pas dû regarder la tmèse comme en étant une
espece
. La tmèse n’est qu’une figure de diction, puisqu’
pportât cette figure à la construction de la phrase. 3°. La troisieme
espece
d’hyperbate prend le nom de parenthèse, du mot gr
nisi quod interponitur breve est. (liv. VIII. cap. ij.) La quatrieme
espece
d’hyperbate s’appelle synchise, mot purement grec
rba moriens (proe) vitio aëris sitit. 5°. Enfin, il y a une cinquieme
espece
d’hyperbate que l’on nomme anacoluthe, & qui
prétendu hyperbate : « c’est, dit-il, une figure de mots qui est une
espece
d’ellipse… par laquelle on sous-entend le corréla
er. On rencontre dans le langage populaire des hébraïsmes d’une autre
espece
: un homme de Dieu, du vin de Dieu, une moisson d
u, qui est le modele & la source de toute perfection. C’est cette
espece
d’hébraïsme qui se trouve au Ps. 35. v. 7. justit
aire, faisoit la nature commune de tous. Mais il y a encore une autre
espece
d’idiotismes qui sont des façons de parler éloign
it. L’infinitif considéré comme nom, sert aussi à expliquer une autre
espece
de latinisme qu’il me semble qu’on n’a pas encore
irréguliers, il faut, pour en pénétrer le sens, discerner avec soin l’
espece
d’écart qui les détermine, & remonter, s’il e
sées, & des moyens qu’il a autorisés. Pour discerner exactement l’
espece
d’écart qui détermine un idiotisme irrégulier, il
lles n’ont d’autre destination que de caractériser en quelque sorte l’
espece
de volonté de celui qui parle. Je crois, par exem
Valle (Elegant. lib. I.) vouloit que l’on donnât aux verbes de cette
espece
le nom d’augmentatifs. Mais ce terme est déja emp
, AMICum, AMICorum, &c. Ce n’est que relativement à cette seconde
espece
que les Grammairiens emploient les termes déclina
dénomination eût été réservée pour désigner la propriété de toute une
espece
, en y ajoûtant, si l’on eût voulu, la distinction
-à-dire qui ne tombe pas précisément sur un individu ou sur toute une
espece
, laisse toujours quelque chose d’indéfini dans le
n dit un grand homme, le mot grand est défini par son application à l’
espece
humaine ; mais ce n’est pas à toute l’espece, ni
par son application à l’espece humaine ; mais ce n’est pas à toute l’
espece
, ni à tel individu de l’espece ; ainsi le sens de
humaine ; mais ce n’est pas à toute l’espece, ni à tel individu de l’
espece
; ainsi le sens demeure encore indéfini à quelque
a, continue l’habile secrétaire de l’Académie françoise, qu’une seule
espece
d’article, qui est le pour le masculin, dont on f
imple. Si l’on veut déterminer un nom, soit en l’appliquant à toute l’
espece
dont il exprime la nature, soit en l’appliquant à
ime la nature, soit en l’appliquant à un seul individu détérminé de l’
espece
, il faut employer l’article ; c’est pour cela seu
cles, l’idée commune du genre devroit encore se retrouver dans chaque
espece
, mais avec quelque autre idée accessoire qui sero
quelque autre idée accessoire qui seroit le caractere distinctif de l’
espece
. Tels sont peut-être les mots tout, chaque, nul,
ut convenir. Voyez Nom . Dans les langues modernes de l’Europe, cette
espece
de nom est employée comme les autres noms abstrai
opre du mot les idées accessoires communes à tous les mots de la même
espece
. Ces additions ne se font point témérairement, &a
rop restraint pour comprendre tous les mots qui appartiennent à cette
espece
: voilà pourquoi j’ai préféré celui de particule,
iennent à la constitution physique de l’organe de la parole : la même
espece
de sentiment doit donc toujours opérer dans la mê
oici ; nous voilà, me voici. Ainsi voici & voilà ne sont d’aucune
espece
, puisqu’ils comprennent des mots de plusieurs esp
n’est plus ce qu’il faut nommer inversion, c’est l’hyperbate & l’
espece
d’hyperbate à laquelle on donne le nom de synchis
on lui a donné une terminaison que, qui est indiquant. Cette seconde
espece
de service certifie en même tems le déplacement,
l’esprit, qui soit inversion grammaticale ; & c’est précisément l’
espece
d’inversion, reconnue comme telle jusqu’à présent
langues transpositives admettent beaucoup plus d’inversions de cette
espece
, que le françois, ni aucune des langues analogues
aut convenir alors que la grande source des inversions de la premiere
espece
est aux petites-maisons, & que celles de la s
emiere espece est aux petites-maisons, & que celles de la seconde
espece
sont traitées trop cavalierement par les moralist
uniformité des procédés les plus libres en apparence. Que la premiere
espece
de sentiment ait suggéré la partie radicale des m
sans me surprendre. Mais c’est assurément un sentiment de la seconde
espece
, qui a amené dans cette même langue le système pl
me né sauvage & sans autre liaison avec les individus même de son
espece
, que celle qu’il avoit avec les brutes, une simpl
état primitif, n’ayant ni maisons, ni cabanes, ni propriété d’aucune
espece
, chacun se logeoit au hasard, & souvent pour
droite raison, & par la foule accablante des temoignages de toute
espece
qui certifient la nouveauté du monde : Nulia igit
r, suggere aux deux sexes cette concupiscence mutuelle qui perpétue l’
espece
, sait passer de générations en générations cette
. Mais rapprochons nous de notre objet : le langage naturel de chaque
espece
de brute, ne voyons nous pas qu’il est inaltérabl
ée, sont des témoignages rendus à la distinction du langage de chaque
espece
, & à l’incorruptibilité, si on peut le dire,
différentes parties de la terre qu’il avoit soumises au domaine de l’
espece
, & qu’il leur vit prendre des mesures pour re
maines, si l’on en croit l’école cartésienne, sont absolument de même
espece
, de même nature ; elles ont les mêmes facultés au
les especes. Je ne parle point ici des interjections, parce que cette
espece
de mot ne sert point à l’énonciation des pensées
ur la terre qu’une seule langue, est-il possible d’assigner de quelle
espece
elle étoit, si elle étoit analogue ou transpositi
es forces de l’Italie. Les irruption fréquentes des Barbares de toute
espece
qui l’inonderent successivement & y établiren
ion des mots, j’entens le point de vue général qui caracterise chaque
espece
de mots, qui fait qu’un mot est de telle espece p
ui caracterise chaque espece de mots, qui fait qu’un mot est de telle
espece
plutôt que de telle autre, qui par conséquent con
telle autre, qui par conséquent convient à chacun des mots de la même
espece
, & ne convient qu’aux mots de cette seule esp
mots de la même espece, & ne convient qu’aux mots de cette seule
espece
. C’est la différence de ces points de vue générau
chaque mot, & qui le distingue de tous les autres mots de la même
espece
, parce qu’elle ne peut convenir qu’à un seul mot
me espece, parce qu’elle ne peut convenir qu’à un seul mot de la même
espece
. Ainsi c’est à la différence de ces idées singuli
ue tient celle des individus de chaque partie d’oraison, on de chaque
espece
subalterne de chacune des parties d’oraison : &am
iduelle est susceptible, que dépend la différence des mots de la même
espece
que l’on appelle synonymes ; par exemple, en fran
ire : l’idée principale peut être commune à plusieurs mots de la même
espece
, qui different alors par les idées accessoires. O
ée principale qui entre dans l’idée individuelle de deux mots de même
espece
, appartenans à deux langues différentes, sans que
le. On peut aux interjections joindre, dans le même rang, les accens,
espece
de chant joint à la parole, qui en reçoit une vie
e mot sac que l’on trouve dans toutes les langues, doit être de cette
espece
. 2°. Nonobstant la réunion de tant de causes géné
anglois, l’espagnol, l’italien tiennent entre ces deux extrémités une
espece
de milieu, parce que les inversions qui y sont ad
ne autre voyelle ; la même suffiroit, pourvu qu’on la surmontât d’une
espece
d’accent, de celui, par exemple, que nous appello
préceder la forte, par la raison du plus de facilité. Voici dans une
espece
de tableau le systême & l’ordre des articulat
ce qu’elles peuvent se continuer quelque-tems & devenir alors une
espece
de sifflement. Nous en avons quatre, z, s, j, ch,
la métalepse, en particulier, est reconnue par M. du Marsais pour une
espece
de métonymie (Voyez Métonymie) ; & peut-être
u’il plaise à chacun d’en décider, ce qui concerne la métalepse, ou l’
espece
de métonymie, que l’on désigne ici sous ce nom, m
fin de cet article. Tropes, part. II. art. 3. « La métalepse est une
espece
de métonymie, par laquelle on explique ce qui sui
e met en état de porter des jugemens sains. La métaphore est donc une
espece
de trope ; le mot, dont on se sert dans la métaph
ux communs en rhétorique & en logique, loci communes. Le genre, l’
espece
, la cause, les effets, &c. sont des lieux com
ori, dit Cicéron, Tusc. II. n. 15. seu 36 ; le travail fait comme une
espece
de calus à la douleur, c’est à-dire que le travai
vrai dans la nature, Il en fait le roman. On peut rapporter à la même
espece
les métaphores qui sont tirées de sujets peu conn
p; l’espagnole ; & l’on ne connoît que trop les méthodes de toute
espece
dont on accable sans fruit la jeunesse qui fréque
ots, vos tropes, vos anomalies, vos licences, vos idiotismes de toute
espece
. Si la langue analogue que vous leur enseignez, e
s élémentaires, puisqu’il en existe une quantité prodigieuse de toute
espece
, & qu’il n’y a d’embarras que sur le choix. I
; qu’ils doivent servir à les expliquer. Afin d’indiquer à-peu-près l’
espece
de principes qui peut convenir à la méthode analy
ccusatif singulier masculin de hic, hoec, hoc, adjectif de la seconde
espece
de la troisieme déclinaison. Voyez Paradigme . Hu
. que la multitude prodigieuse des regles & d’exceptions de toute
espece
qu’il faut mettre dans la tête de ceux que l’on i
é. Les enfans de la populace, des manoeuvres, des malheureux de toute
espece
qui n’ont que le tems d’échanger leur sueur contr
ontagne, l’humeur singeresse, qui dans les plus petits individus de l’
espece
humaine ne demande que des exemples pour s’évertu
ssi-tôt le germe de raison qui tient essentiellement à la nature de l’
espece
. Passez de là à Paris, cette ville imitatrice de
de livres & de titres ; le changement de volume est en effet une
espece
de délassement physique, ou du moins une illusion
ur de l’ennemi victorieux, sa famille exposée à des insultes de toute
espece
; mais il savoit aussi que les passions les plus
tes des sens demeureront fermées, & que les distractions de toute
espece
, si naturelles à cet âge, rendront inutile tout l
il auroit eté possible d’introduire plusieurs autres modes de la même
espece
, par exemple, un mode interrogatif, un mode conce
dont il est le signe, laquelle est commune à tous les mots de la même
espece
, & ne peut convenir à ceux des autres especes
à se vouloir & à se faire du bien les uns aux autres. Mais chaque
espece
de mot & même chaque mot ayant sa maniere pro
is il est évident aussi que ce ne sont pas des modifications de cette
espece
qui caractérisent ce qu’on appelle les modes des
cifique qui les distingue des autres especes : les noms sont donc une
espece
de mots déclinables, qui présentent à l’esprit de
est celle d’une nature qui n’est commune qu’aux individus d’une seule
espece
. Animal, homme, brute, chien, cheval, &c. son
sont également fondées sur l’idée déterminative qui caractérise cette
espece
. La division des pronoms doit avoir un fondement
s métamorphoses auxquelles les usages des langues ont assujetti cette
espece
de mots, puisqu’elle en est ici le résultat analy
es usages de toutes les langues qui ont admis des tems, que c’est une
espece
de variation exclusivement propre au verbe, puisq
e la signification des mots indéclinables sont donc d’une toute autre
espece
, puisque l’aspect en est immuable ; c’est tout ce
ec son complément est un adverbe : d’où il suit qu’aucun mot de cette
espece
ne doit entrer dans le système des conjonctions ;
& que l’on compose un tout de plusieurs portions, qui, sans cette
espece
, ne paroîtroient que comme des énumérations ou de
dont il est le signe, laquelle est commune à tous les mots de la même
espece
, & ne peut convenir à ceux des autres especes
arce qu’ils représentent tous la même idée fondamentale : mais chaque
espece
ayant sa maniere propre de présenter l’objet dont
cipale & les idées accessoires. Lo-sque plusieurs mots de la même
espece
représentent une même idée objective, variée seul
té. Voyez Deshonnête . Quand on ne considere dans les mots de la même
espece
, qui désignent une même idée objective principale
tion formelle, est celle du point de vûe spécifique qui caracterise l’
espece
du mot, adaptée à l’idée totale de la significati
rmes spécifiques, qui, dans chaque idiôme, caractérisent à-peu-près l’
espece
du mot ; & formes accidentelles, que l’usage
vant commence par une voyelle. Il y a des lettres muettes d’une autre
espece
, qui probablement ne disparoîtront jamais de l’éc
ea, l’e ne concourt en rien à la représentation du son : il n’a nulle
espece
de liaison avec l’a suivant, c’est à la seule con
M : comme dentale ; elle est aussi commuable avec les autres de même
espece
, & principalement avec celles qui exigent que
ore vers le canal du nez occasionne dans l’intérieur de la bouche une
espece
de retentissement moins distinct que quand l’émis
mots négatifs sont ceux qui ajoûtent à l’idée caractéristique de leur
espece
, & à l’idée propre qui les individualise l’id
le droit d’innover contre l’usage reçu, & une imitation de cette
espece
de prudence qui fait que l’on cherche à surprendr
, brute, animal, dont le premier convient à chacun des individus de l’
espece
humaine ; le second, à chacun des individus de l’
ndividus de l’espece humaine ; le second, à chacun des individus de l’
espece
des brutes ; & le troisieme, à chacun des ind
u nom appellatif homme, comprend tous & chacun des individus de l’
espece
humaine, possibles ou réels, nés ou à naître ; Ad
s & plus détaillés ; la connoissance des individus d’une certaine
espece
y est plus nécessaire ; ils ont leurs noms propre
le à la distinction individuelle qui étoit l’objet principal de cette
espece
de nomenclature, & l’on a cherché par-tout à
a cherché à distinguer dans la multitude les êtres particuliers que l’
espece
renferme ». M. Rousseau de Genève, dans son Di
ond pas que l’on pensa à distinguer les individus compris sous chaque
espece
. Mais, comme le remarque très-bien M. Rousseau (l
humains. Le seul systeme qui puisse prévenir les objections de toute
espece
, est celui que j’ai établi au mot Langue (artic
à l’égard de plusieurs noms propres : cependant il est certain que l’
espece
des noms propres doit avoir la priorité de nature
occupe de l’un des deux exclusivement à l’autre. Les noms, de quelque
espece
qu’ils soient, sont susceptibles de genres, de no
in de présenter à l’esprit la même idée principale, l’idée de la même
espece
d’animal ; les terminaisons sont differentes, afi
t differentes, afin de désigner, par l’une, un seul individu de cette
espece
, ou cette seule espece, & par l’autre, plusie
désigner, par l’une, un seul individu de cette espece, ou cette seule
espece
, & par l’autre, plusieurs individus de cette
u cette seule espece, & par l’autre, plusieurs individus de cette
espece
. Le cheval est utile à l’homme, il s’agit de l’es
ividus de cette espece. Le cheval est utile à l’homme, il s’agit de l’
espece
; mon cheval m’a coûté cher, il s’agit d’un seul
ce ; mon cheval m’a coûté cher, il s’agit d’un seul individu de cette
espece
; j’ai acheté dix chevaux anglois, on désigne ici
té dix chevaux anglois, on désigne ici plusieurs individus de la même
espece
. Il y a quelques langues, comme l’hébreu, le grec
omes, qu’il y a quatre especes de mots qui sont susceptibles de cette
espece
d’accident, savoir les noms, les pronoms, les adj
s de restriction, qui la rend applicable ou à tous les individus de l’
espece
, ou à plusieurs soit déterminément, ou à deux, ou
, spécifiques ; mais quels individus distincts se trouvent sous cette
espece
? C’est la même chose des noms des vertus ou des
terminé par la précision numérique dans les différens mots de la même
espece
. Il y a des noms, des adjectifs, des verbes &
précision numérique. Nous n’avons en françois aucun adjectif de cette
espece
, qui soit distingué des ordinaux par le matériel
e de toutes ; il n’en faut point d’autre preuve que les mots de cette
espece
: rude, âpre, âcre, roc, rompre, racler, irriter,
s organes appropriés à désigner une certaine classe de choses de même
espece
ou de même qualité. Déterminés par différentes ci
lus aisément & plus fréquemment avec les autres labiales de cette
espece
b & m, qu’avec les sémilabiales v & f. Vo
mp; l’analogie ont soumis aux mêmes variations de l’une ou de l’autre
espece
. Les paradigmes sont des exemples, des modeles po
r en a ou en as, en e ou en es : ainsi après la regle propre à chaque
espece
, il faut un paradigme de chacune. On ajoutera à l
rois genres, & se partagent en trois especes. Ceux de la premiere
espece
n’ont qu’une terminaison au nominatif singulier p
s, & un autre pour ceux dont la finale est x. Ceux de la seconde
espece
ont deux terminaisons au nominatif singulier, l’u
ours comparatifs. Ils se déclinent comme les adjectifs de la premiere
espece
, si ce n’est que ceux en is font l’ablatif singul
s en is, & l’autre pour ceux en or. Les adjectifs de la troisieme
espece
ont trois terminaisons au nominatif singulier, er
f ; du reste ils se déclinent comme les adjectifs en is de la seconde
espece
. Un seul paradigme suffit ici. Il peut être utile
s ce cas, il faudroit trois paradigmes pour les verbes de la premiere
espece
, par exemple, lego, legor & sequor ; il en fa
s, une plaisante raison de ce que l’on regarde le participe comme une
espece
de mot différente du verbe : c’est, dit-il, quòd
’auxiliaire avoir ». que dit ici cet habile académicien n’est qu’une
espece
de doute qu’il propose ; mais c’est un doute dont
immédiat de lû. Lû, comme complément de j’ai, est donc un mot de même
espece
que lettres, c’est un nom ; & comme ayant lui
comme ayant lui-même un complément immédiat, c’est un mot de la même
espece
que j’ai, c’est un verbe relatif au sens actif. V
Des verbes passifs composés. On emploie dans la composition de cette
espece
de verbe, ou des tems simples, ou des tems compos
lacé avant un prétérit en est quelquefois complément ; mais de quelle
espece
? C’est un complément accessoire ; car en est alo
xclamatives, les acclamatives & les imprécatives sous la premiere
espece
; & sous la seconde, les assertives, les admo
ste, il arrive souvent que l’on croit mal-à-propes qu’un mot change d’
espece
, parce que quelque ellipse dérobe aux yeux les ca
cques. On peut dire en général qu’il est très rare qu’un mot change d’
espece
; & cela est tellement contre nature, que si
ne constituent pas pour cela une partie d’oraison, c’est-à-dire, une
espece
particuliere de mots : & en voici la preuve.
ent vicieuse : 1°. elle confond les élémens dont il s’agit ici avec l’
espece
de mots à laquelle convient exclusivement le nom
omination de particule prépositive ou préfixe n’abuse du nom d’aucune
espece
de mot, & présente les idées dans leur ordre
à la tête des mots écolier, épi, éponge, état, étude, espace, esprit,
espece
, &c. & de plusieurs autres qui viennent d
l’on écrivit ensuite, escolier, espi, esponge, estat, espace, esprit,
espece
, &c. l’euphonie dans la suite supprima la let
rthographe : elle subsiste encore dans celle des mots espace, esprit,
espece
, parce qu’on l’y prononce. Si cet e ne s’est poin
personnels dans le systeme ordinaire des Grammairiens ne sont qu’une
espece
particuliere, & l’on y ajoute les pronoms dém
d’hui une faute d’autant plus inexcusable, que c’est soustraire cette
espece
de mots à l’analogie commune, & en confondre
stance du discours ne sert à la restraindre, il faut entendre alors l’
espece
; si l’article est au singulier, il annonce que l
icle est au singulier, il annonce que le sens du nom est appliqué à l’
espece
, sans désignation d’individus ; si l’article est
e sens du nom est appliqué distributivement à tous les individus de l’
espece
. Ainsi l’horreur de ces lieux étonna le soldat, v
de ces lieux étonna le soldat, veut faire entendre ce qui arriva à l’
espece
en général, sans vouloir y comprendre chacun des
tonna les soldats, on marqueroit plus positivement les individus de l’
espece
. Un écrivain correct & précis ne sera pas tou
’elle est consacrée par l’usage. Les Hébraïsans connoissent une autre
espece
de point qu’ils appellent points-voyelles, parce
te : l’autre le réduiroit en particules qui feroient de la parole une
espece
de bégayement dans la bouche de ceux qui voudroie
lavée dans d’autres parties de la proposition. Exemple de la premiere
espece
: Toutes les vérités produites seulement par le c
i se trouve ici à la tête de la phrase entiere. Exemple de la seconde
espece
: La versification des Grecs & des Latins, pa
ncidente déterminative. Une proposition incidente explicative est une
espece
de remarque interjective, qui n’a pas, avec l’ant
la même chose dans la langue allemande. Les possessifs de la premiere
espece
sont mon, ma, mes, pour la premiere personne du s
ur, leurs, pour la troisieme du pluriel. Les possessifs de la seconde
espece
sont le mien, la mienne, les miens, les miennes,
l y a entre les deux especes, c’est que les possessifs de la premiere
espece
me paroissent renfermer dans leur signification c
elas a dit (rem. 513) qu’il faut répéter le… possessif de la premiere
espece
comme on répete l’article, & aux mêmes endroi
comme des pronoms les adjectifs possessifs de l’une & de l’autre
espece
, & voici l’origine de cette erreur : ils rega
service, on doit regarder ceux-ci comme étant à cet égard de la même
espece
. Si on veut regarder tuus comme pronom, parce qu’
onne ne dit pourquoi on appelle absolus les possessifs de la premiere
espece
; & M. l’abbé Regnier paroît avoir voulu évit
& M. Gottsched appelle conjonctifs les possessifs de la premiere
espece
, mon, ton, son, &c. & il nomme absolus ce
la plus assurée qu’il y a alors ellipse d’un nom appellatif, la seule
espece
de mot qui puisse recevoir la détermination qui e
article 2. Cette abstraction de tout terme ne suppose point que cette
espece
de mot doive conserver dans le discours l’indéter
p; tels sont les noms, les pronoms, & les infinitifs qui sont une
espece
de nom. Le terme conséquent servant à completter
e doctrine des ellipses, la longueur, le ridicule, ou si l’on veut, l’
espece
de barbarisme qu’introduiroit dans la phrase la p
r ni de choquant ; mais le troisieme est pour ainsi dire, d’une autre
espece
, & fait un effet desagréable. .. On pourroit
employer dans une même proposition, avec des complémens de différente
espece
ou dans des sens différens, un même mot qui annon
de différentes manieres, ce sont des mots déterminatifs de différente
espece
; les uns déterminent les êtres par l’idée de leu
s noms de celle de la nature, dont l’idée déterminative caractérise l’
espece
des noms ; & de même la différence des person
lation à l’acte de la parole, dont l’idée déterminative caractérise l’
espece
des pronoms : au contraire les nombres & les
s nombres, & sous l’un des rapports marqués par le cas de quelque
espece
que soit l’idée déterminative. Voyez Nombre, Cas
entendue. Cette supposition est née de la dénomination même de cette
espece
de mot, que les Grammairiens ont mal entendue. On
amp; en concordance de cas avec je ? C’est qu’une redondance de cette
espece
me paroît une pure périssologie, si elle ne fait
un synonyme du mot homme, pour les cas où l’on ne veut indiquer que l’
espece
, comme on naît pour mourir, ou une partie vague d
ce, comme on naît pour mourir, ou une partie vague des individus de l’
espece
sans aucune désignation individuelle, comme on no
elle d’homme, & que le mot doit être de même nature & de même
espece
que le mot homme lui-même, nonobstant l’idée acce
iel, mais quant au sens ; c’est comme si l’on disoit un individu de l’
espece
des hommes m’a dit, & tout le monde convient
u’il soit pris dans un sens indéterminé ou général, nul individu de l’
espece
des hommes ne l’a dit. Quiconque . C’est un nom
Adjectif, collectif distributif, qui désigne tous les individus de l’
espece
nommée pris distributivement, communément avec ra
om. Avant le nom il désigne d’une maniere vague quelque individu de l’
espece
marquée par le nom, mais en indiquant en même tem
. Adjectif collectif distributif, qui désigne tous les individus de l’
espece
nommée pris distributivement, avec le rapport à u
le idée de la nature spécifique commune à tous les individus de cette
espece
: la gloire qui vient de la vertu, un sujet déter
cteres prosodiques. 1°. C’est par cette épithete que l’on distingue l’
espece
d’accent qui est du ressort de la prosodie, des a
Olivet, art. 2. & le mot Accent .. L’accent prosodique est cette
espece
de modulation qui rend le son grave ou aigu. « L
ie. (E. R. M. B.) PROSTHESE PROSTHESE, s. f. (Gramm.) c’est l’
espece
de métaplasme qui change le matériel du mot par u
ement du jour, a la premiere breve, & il est sans accent ; mâtin,
espece
de chien, a la premiere longue, & il a le cir
entendre plus nettement les lois que la syntaxe peut imposer à chaque
espece
, & l’ordre que la construction peut leur assi
pour démêler le vrai sens de la phrase. Je trouve une faute de cette
espece
dans la Bruyere (caract. de ce siecle, ch. j.) :
gues transpositives, où la terminaison des mots sert à caractériser l’
espece
de rapport auquel ils sont employés, la nécessité
ont il fait abstraction ; ensorte que si l’on emploie un mot de cette
espece
, sans y joindre l’expression d’un terme conséquen
f en dum, usité dans quelques auteurs. Pour ce qui est de la premiere
espece
de preuve, il faut voir si le verbe est employé à
qui est le principal fondement des lois de la syntaxe par rapport à l’
espece
d’adjectif dont je viens de parler ; il est impor
Ce savant étymologiste regarde cette articulation comme seule de son
espece
, nam unica sui organi littera est (Ib. sect. 3. §
n gutturale ou l’aspiration h, parce que l’aspiration est de même une
espece
de sifflement qui ne differe de ceux qui sont rep
dont il est le signe, laquelle est commune à tous les mots de la même
espece
, & ne peut convenir à ceux des autres especes
les adjectifs & les verbes, sont encore susceptibles d’une autre
espece
d’acceptions que l’on peut nommer déterminatives.
ne acception universelle, parce qu’il désigne tous les individus de l’
espece
humaine ; quelques hommes ont l’ame élevée, ici l
n n’indique qu’une partie indéfinie de la totalité des individus de l’
espece
; cet homme (en parlant de César) avoit un génie
une des phrases, un individu, & dans l’autre douze individus de l’
espece
humaine. On peut voir au mot Nom, art. i. §. 1. n
mune dans l’acception spécifique ; à celle de tous les individus de l’
espece
dans l’acception universelle ; à l’indication d’u
niverselle ; à l’indication d’une partie indéfinie des individus de l’
espece
dans l’acception particuliere ; & à celle d’u
d’un mot, c’est la lettre prise à la rigueur, strictè. 2. La seconde
espece
de sens littéral, c’est celui que les expressions
n origine, fut donc employé dans un sens général, pour désigner toute
espece
de faute contre l’usage de la langue ; & il é
nover dans la langue latine, que d’y imaginer des supplémens de cette
espece
? Ces res est ou erat, ou futura est, ou futura e
re ; c’est, 1°. qu’il falloit bien choisir un genre ; & 2°. que l’
espece
d’êtres que l’on désigne alors n’est jamais animé
transcrirai ici une réponse de Périzonius, qui concerne directement l’
espece
de supplément dont il s’agit ici. (Minerv. III. x
anal. II. 20. nous fournit de la même vérité, une preuve d’une autre
espece
, quoiqu’il en tire une conséquence assez différen
suive l’analogie générale, ou n’en permet que des écarts d’une autre
espece
. Or, s’il est vrai, comme on ne peut pas en doute
er quelque mot qui indique par quelque endroit la suppression & l’
espece
des mots supprimés. Ici, c’est un cas qui est ess
propre ; je prends la partie pour le tout. La synecdoque est donc une
espece
de métonymie, par laquelle on donne une significa
doque du genre, parce qu’alors un mot générique ne s’entend que d’une
espece
particuliere : créature est un mot générique, pui
c. à. d. que sous le nom du genre, on ne conçoit, on n’exprime qu’une
espece
particuliere ; on restreint le mot générique à la
mot générique à la simple signification d’un mot qui ne marque qu’une
espece
. Nombre est un mot qui se dit de tout assemblage
s latins se sont quelquefois servi de ce mot en le restreignant à une
espece
particuliere. 1°. Pour marquer l’harmonie, le cha
de l’arrangement des mots. Il. Il y a au contraire la synecdoque de l’
espece
: c’est lorsqu’un mot qui dans le sens propre ne
pece : c’est lorsqu’un mot qui dans le sens propre ne signifie qu’une
espece
particuliere, se prend pour le genre. C’est ainsi
ampagne. Je sais bien que l’on peut, par la synecdoque même, nommer l’
espece
pour le genre ; mais ce n’est pas dans la traduct
le pluriel ; ce sera substituer la synecdoque du nombre à celle de l’
espece
, & dans le même sens, du moins par le plus. V
la maison, tout le palais, tout le temple. C’est peut-être par cette
espece
de synecdoque qu’on peut donner un sens raisonnab
possession & jouissance de tous ses biens : ce droit, qui est une
espece
de droit de retour, s’appelloit en latin, jus pos
pas pour le tout, & chaque nom générique ne se prend pas pour une
espece
particuliere, ni tout nom d’espece pour le genre
générique ne se prend pas pour une espece particuliere, ni tout nom d’
espece
pour le genre ; c’est l’usage seul qui donne à so
t pere Sanadon, j’avoue que je ne saurois trouver une synecdoque de l’
espece
dans bella matribus detestata. Le pere Sanadon, p
tité . Je ne veux pas dire néanmoins qu’on ne puisse distinguer cette
espece
d’ellipse d’avec les autres par un nom particulie
poque de comparaison ; il est également impossible d’imaginer quelque
espece
de rapport autre que ceux que l’on vient d’expose
s généraux. Je dis trois especes générales de Tems , parce que chaque
espece
peut se soudiviser, & se soudivise réellement
nces de tems. On peut donner le nom d’indéfinis à ceux de la premiere
espece
, parce qu’ils ne tiennent effectivement à aucune
, avec abstraction de toute époque de comparaison. Ceux de la seconde
espece
peuvent être nommés définis, parce qu’ils sont es
; le françois, je fus, je louai, j’admirai. 1°. Voici sur la premiere
espece
, comment s’explique le plus célebre des grammairi
n l’a envisagé. 2°. Le préjugé paroît encore plus fort sur la seconde
espece
de présent antérieur ; mais dépouillons-nous de t
i il est de l’ordre des tems antérieurs. Il reste donc à déterminer l’
espèce
génerale de rapport que ce tems exprime relativem
étérits ; qu’il annonce une analogie commune aux trois tems de chaque
espece
, mais différente d’une espece à l’autre ; enfin q
alogie commune aux trois tems de chaque espece, mais différente d’une
espece
à l’autre ; enfin qu’il distingue ces deux espece
ce que leur signification primitive ne les ayant pas destinés à cette
espece
de service, ils n’ont pû y être assujettis que pa
rticulieres, qui sont communes à chacun des tems compris dans la même
espece
. 1°. Tous ceux dont l’idée caractéristique commun
ero. II. Nous trouvons dans les verbes de la même langue une autre
espece
d’analogie, qui semble entrer encore plus spécial
; que la postériorité y est indiquée par o, lauda-b-o, laudav-er-o. L’
espece
de parallelisme que j’établis ici entre les prése
urs ou postérieurs, se confirme encore par un autre usage qui est une
espece
d’anomalie : c’est que novi, memini, & autres
ne langue ait admis des formes exclusivement propres à exprimer cette
espece
de tems ; mais, comme je l’ai déjà observé, la se
l’époque : il est donc nécessaire que cette forme unique, dans chaque
espece
de suppositif, ne tienne à aucune époque détermin
blement un système & une nomenclature toute différente : si cette
espece
d’innovation a quelques inconvéniens, ils ne sero
st la seule chose que l’on veut exprimer dans ces phrases. Mais cette
espece
de synonymie ne prouve point, comme M. Harduin se
mer ces tems (ibid.) ». Ainsi l’investigation du thême grec, est une
espece
d’analyse par laquelle on dépouille le mot qui se
ue différence particuliere, qui fait qu’on les rapporte chacune à une
espece
à part. Voyez Figure . Il y a dans les tropes une
re & dans le sens propre ; elle avoit un sens figuré… Mais quelle
espece
particuliere de trope ? Cela dépend de la maniere
rès aussi mince qu’une feuille d’arbre. La catachrèse est la premiere
espece
de métaphore ». [Cependant M. du Marsais, en tra
emple de la catachrèse. Voilà donc une catachrèse qui n’est point une
espece
de métaphore, mais une métonymie. Cette confusion
synecdoque avec ses dépendances ; & l’antonomase n’en est qu’une
espece
, désignée en pure perte par une dénomination diff
es sentimens de regret ; & ensuite [par une autre synecdoque de l’
espece
pour le genre] pour tous les sentimens de desir q
ou intellectuelles. Pour leur démontrer qu’il n’y en a point de cette
espece
qui ne viennent d’une image d’un objet extérieur,
ique, juger des choses que l’on ne peut connoître, par celles de même
espece
qui sont si bien connues, en les ramenant à un pr
st constant que les hommes ont eu besoin de très-bonne heure de cette
espece
de termes ; & il n’y a presque pas à douter q
n complette ? Un dernier caractere qui ne puisse plus convenir qu’à l’
espece
que l’on définit ; en un mot, il faut déterminer
m générique, au lieu qu’il étoit spécifique quand on l’appliquoit à l’
espece
dont il est ici question : Praecipuè in hâc dicti
la signification commune à tous les verbe, & propre à cette seule
espece
, lorsqu’après avoir remarque tous les défauts des
s, sont destituées de verbes, puisqu’il n’y a dans ces idiomes aucune
espece
de mot qui y prenne des formes temporelles ; mais
es deux adjectifs numéraux six, dix, ne sont point suivis du nom de l’
espece
nombrée, on y prononce x comme un sifflement fort
ai dix, prenez-en six. 3°. Deux, six, dix, étant suivis du nom de l’
espece
nombrée, commençant par une voyelle, ou par une h
excepté dans six & dix, lorsqu’ils ne sont pas suivis du nom de l’
espece
nombrée : nous prononçons deux hommes, aux enfans
tre Z. (E. R. M. B.) ZEUGME ZEUGME, s. m. (Gram.) c’est une
espece
d’ellipse, par laquelle un mot déja exprimé dans
pudorem libido, timorem vicit audacia, rationem amentia, ce qui est l’
espece
la plus rare : 3°. l’hypozeugme, quand on trouve
rêté ; ces arrêts se traduisent à nos yeux par autant d’apparitions d’
espèces
vivantes, c’est-à-dire d’organismes où notre rega
t multiple dans sa manifestation peut être simple dans sa genèse. Une
espèce
qui surgit apporte avec elle, dans l’indivisibili
t même de l’élan créateur qui s’est traduit par l’apparition de notre
espèce
a donné avec l’intelligence humaine, à l’intérieu
extrême s’est exprime par l’humanité, exige sans doute de toutes les
espèces
créées qu’elles se cramponnent à la vie. Mais, co
Mais, comme nous le montrions jadis, si ce principe donne toutes les
espèces
globalement, à la manière d’un arbre qui pousse d
aussi désirable, plus désirable même pour l’homme que pour les autres
espèces
, puisque celles-ci la subissent comme un effet pr
ouvaient monter aussi haut que cet homme privilégié, ce n’est pas à l’
espèce
humaine que la nature se fût arrêtée, car celui-l
ue serait une individualité qui franchirait les limites assignées a l’
espèce
par sa matérialité, qui continuerait et prolonger
in d’être délivrés. Il traitait donc hommes et dieux en êtres de même
espèce
, soumis a la même fatalité. Cela se concevrait bi
e tourner sur elle-même, échappant un instant à la loi qui veut que l’
espèce
et l’individu se conditionnent l’un l’autre, circ
morale. Il voudrait, avec l’aide de Dieu, parachever la création de l’
espèce
humaine et faire de l’humanité ce qu’elle eût été
n réalisée, convertir en effort créateur cette chose créée qu’est une
espèce
, faire un mouvement de ce qui est par définition
pain à la sueur de son front : en d’autres termes, l’humanité est une
espèce
animale, soumise comme telle à la loi qui régit l
effet comme infra-consciente ou supra-consciente, en tout cas de même
espèce
que la conscience. Elle avait dû contourner bien
der pour devenir instinct, elle s’était hypnotisée sur l’intérêt de l’
espèce
, et ce qu’elle avait conservé de conscience avait
gée de pensée, s’il est vrai, comme nous le disions, qu’il y ait deux
espèces
d’émotion, l’une infra-intellectuelle, qui n’est
e tout entier, de tels êtres, pour se produire, ont dû constituer une
espèce
, et cette espèce en nécessita une foule d’autres,
tels êtres, pour se produire, ont dû constituer une espèce, et cette
espèce
en nécessita une foule d’autres, qui en furent la
sés alors d’un seul coup, et pleinement. Sur la terre, en tout cas, l’
espèce
qui est la raison d’être de toutes les autres n’e
e mouvement que vous sentez indivisible. Ainsi le geste qui suscite l’
espèce
humaine, ou plus généralement des objets d’amour
’ode ? contentez-vous d’en lire de belles. Vous en trouverez de cette
espèce
(et ce sont peut-être les meilleures) ou il n’y a
donc là les définitions, les dissertations, les législations de toute
espèce
; et étudions les modèles. On se plaint que l’ode
er les prétentions avec quelque indulgence, car il en a de toutes les
espèces
. Quoi qu’il en soit, l’épître paraît plus faite p
résies théologiques, si orageux et si humiliant tout à la fois pour l’
espèce
humaine, est heureusement passé ; celui des hérés
e mal reçue, que d’être une vérité nouvelle. Les préjugés, de quelque
espèce
qu’ils puissent être, ne se détruisent point en l
le est toujours suivie d’un autre mot, qui détermine la relation ou l’
espece
de rapport que la préposition indique. Ainsi la p
ons différentes par leur cause particuliere, & uniformes par leur
espece
. Il y a des objets dont l’aspect nous affecte de
différentes impressions ou réflexions particulieres qui sont de même
espece
, & duquel nous écartons tout ce qui n’est pas
ous les individus qui se ressemblent. Ce nom commun est appellé nom d’
espece
, parce qu’il convient à chaque individu d’une esp
st appellé nom d’espece, parce qu’il convient à chaque individu d’une
espece
. Pierre est homme, Paul est homme ; Alexandre &am
est homme ; Alexandre & César étoient hommes. En ce sens le nom d’
espece
n’est qu’un nom adjectif, comme beau, bon, vrai ;
vous tâcherez de vous former aux accens d’une langue étrangere. Cette
espece
de modulation dans les discours, particuliere à c
ix dans le discours, est le genre dont chaque accent national est une
espece
particuliere ; c’est ainsi qu’on dit, l’accent Ga
; par le grave : or le discours ordinaire, poursuit-il, est aussi une
espece
de chant ». Mira est natura vocis, cujus quide
nt autant de dérivés. Cet accident est appellé par les Grammairiens l’
espece
du mot ; ils disent qu’un mot est de l’espece pri
par les Grammairiens l’espece du mot ; ils disent qu’un mot est de l’
espece
primitive ou de l’espece dérivée. 3. On peut obse
spece du mot ; ils disent qu’un mot est de l’espece primitive ou de l’
espece
dérivée. 3. On peut observer si un mot est simple
e fuit point la lumiere, il vit sans crainte & sans remords. 2. L’
espece
est aussi un accident des verbes ; ils sont ou pr
ou dérivés, comme parlementer, buvoter, sautiller, trembloter. Cette
espece
de verbes dérivés en renferme plusieurs autres ;
ation, comme dans tous les autres mots. Ces trois accidens sont, 1. L’
espece
, qui est ou primitive ou dérivative : ici, là, ai
, là, ailleurs, quand, lors, hier, où, &c. sont des adverbes de l’
espece
primitive, parce qu’ils ne viennent d’aucun autre
tement, sensément, poliment, absolument, tellement, &c. sont de l’
espece
dérivative ; ils viennent des noms adjectifs just
ar elle-même qu’un sens appellatif ; elle ne marque qu’une sorte, une
espece
de rapport particulier : mais ce rapport est ensu
’est levé avant, cette préposition avant marque une priorité. Voilà l’
espece
de rapport : mais ce rapport doit être déterminé.
la valeur d’une préposition, & que chaque préposition marque une
espece
de maniere d’être, une sorte de modification dont
E ANACOLUTHE, s. f. (Gramm.) c’est une figure de mots qui est une
espece
d’ellipse. Ce mot vient d’ἀνακόλουθος, adjectif,
s déjà établis d’autres choses, qui sont de même nature & de même
espece
. Les obscurités qui se trouvent dans le langage,
ti ascendimus urbem. Virg. Alors urbs est considéré comme le nom de l’
espece
; nom qui est ensuite déterminé par le nom de l’i
seconde sorte de noms appellatifs ne convient qu’aux individus d’une
espece
; tels sont noyer, olivier, oranger. Ainsi animal
e ou une substance, que l’animal est une substance : de même le nom d’
espece
peut devenir nom de genre, s’il peut être dit de
s d’individus subordonnés à ce nom ; par exemple, chien sera un nom d’
espece
par rapport à animal ; mais chien deviendra un no
à ces especes particulieres, quoiqu’il puisse être en même tems nom d’
espece
, s’il est considéré relativement à un nom plus ét
du, tel qu’animal ou substance ; ce qui fait voir que ces mots genre,
espece
, sont des termes métaphysiques qui ne se tirent q
Portenta de genere hoc. Lucret. liv. V. v. 38. les monstres de cette
espece
. Coerera de genere hoc adfingere, imaginer des p
ne & dans l’autre de ces phrases les deux à me paroissent de même
espece
, & avoir la même origine. En un mot, puisque
n adjectif prépositif qui désigne un individu particulier, tiré d’une
espece
, mais sans déterminer singulierement quel est cet
ion, ne désignent que telle ou telle personne, & non une sorte ou
espece
de personnes. Les objets particuliers auxquels on
i ont entr’eux certaines qualités communes ; ainsi chien est un nom d’
espece
, parce qu’il convient à tous les chiens particuli
individus, qui, à cause de cette ressemblance, sont dits être de même
espece
& ont entr’eux un nom commun, chien. 3°. Il y
-dire, noms plus généraux, plus étendus encore que les simples noms d’
espece
; ce sont ceux qui sont communs à chaque individu
sera pas moins appellé animal. Mais en même tems animal sera un nom d’
espece
subordonnée à être, qui est le genre suprème ; ca
corporels : premierement les animaux, & voilà animal devenu nom d’
espece
: en second lieu il y a les corps insensibles &am
eu il y a les corps insensibles & inanimés, & voilà une autre
espece
de l’être. Remarquez que les especes subordonnées
guées les unes des autres par quelque propriété essentielle ; ainsi l’
espece
humaine est distinguée de l’espece des brutes par
ue propriété essentielle ; ainsi l’espece humaine est distinguée de l’
espece
des brutes par la raison & par la conformatio
les aîles distinguent les oiseaux des autres animaux, &c. Chaque
espece
a donc un caractere propre qui la distingue d’une
Chaque espece a donc un caractere propre qui la distingue d’une autre
espece
, comme chaque individu a son suppôt particulier i
, cette raison qui nous a donné lieu de nous former ces divers noms d’
espece
, est ce qu’on appelle la différence. On peut remo
res especes sous elles. Mais remarquez bien que tous ces noms, genre,
espece
, différence, ne sont que des termes métaphysiques
notre esprit, sans qu’il y ait hors de nous d’objet réel qui soit ou
espece
ou genre ou humanité, &c. L’usage où nous som
idée particuliere, nous a donné lieu d’inventer, d’un côté les noms d’
espece
, & de l’autre les adjectifs prépositifs, qui
propres, se trouvent confondus avec tous les autres individus de leur
espece
. Le nom de cette espece leur convient également à
fondus avec tous les autres individus de leur espece. Le nom de cette
espece
leur convient également à tous : chacun de ces êt
ent dans la vaste mer, est également appellé poisson : ainsi le nom d’
espece
tout seul, & par lui-même, n’a qu’une valeur
rent l’objet particulier dont on parle, de l’indétermination du nom d’
espece
, & en font ainsi une sorte de nom propre. Par
& que nous eussions à en parler, nous prendrions d’abord le nom d’
espece
astre ; ensuite nous nous servirions du prépositi
our faire connoître que nous ne voulons parler que d’un individu de l’
espece
d’astre ; ainsi nous dirions cet astre, ou l’astr
jour ; l’ame de la nature, &c. Autre exemple : livre est un nom d’
espece
dont la valeur n’est point appliquée : mais si je
ou mots ajoûtés, que je parle d’un tel livre, d’un tel individu de l’
espece
de livre. Observez que lorsque nous avons à appli
ue nous avons à appliquer quelque qualification à des individus d’une
espece
; ou nous voulons faire cette application 1° à to
nous voulons faire cette application 1° à tous les individus de cette
espece
; 2° ou seulement à quelques-uns que nous ne voul
à-dire, s’il applique quelque qualificatif à tous les individus d’une
espece
, alors l’étendue de la proposition est universell
mme est animal ; chaque homme est animal : voilà chaque individu de l’
espece
humaine qualifié par animal, qui alors se prend a
rs du nom, par exemple d’homme, est censé dit de chaque individu de l’
espece
, ainsi la proposition est universelle. Nous compt
proposition est universelle. Nous comptons parmi les individus d’une
espece
tous les objets qui nous paroissent conformes à l
paroissent conformes à l’idée exemplaire que nous avons acquise de l’
espece
par l’usage de la vie : cette idée exemplaire n’e
autre nous a affectés, nous disons que cet objet nouveau est de même
espece
que tel ancien : s’il nous affecte différemment,
e tel ancien : s’il nous affecte différemment, nous le rapportons à l’
espece
à laquelle il nous paroît convenir, c’est-à-dire,
venir d’un sentiment pareil qui nous fait rapporter tel objet à telle
espece
: le nom d’une espece est le nom du point de réun
areil qui nous fait rapporter tel objet à telle espece : le nom d’une
espece
est le nom du point de réunion auquel nous rappor
haque individu passé, présent & à venir, & même possible de l’
espece
humaine ; & voilà le veritable fondement du s
n’est que foiblesse. ; tout homme, c’est-à-dire, chaque individu de l’
espece
humaine, quelque individu que ce puisse être de l
ndividu de l’espece humaine, quelque individu que ce puisse être de l’
espece
humaine ; alors tout est un pur adjectif. Tous le
un homme n’est immortel, je nie l’immortalité de chaque individu de l’
espece
humaine ; la proposition est universelle, mais né
s sont indéfinies. III°. Quelque, un, marquent aussi un individu de l’
espece
dont on parle : mais ces prénoms ne désignent pas
me est riche, un savant m’est venu voir : je parle d’un individu de l’
espece
humaine ; mais je ne détermine pas si cet individ
ent que l’on parle 1°. ou d’un tel individu réel que l’on tire de son
espece
, comme quand on dit le roi, la reine, le soleil,
éral, la substance, le néant, &c. C’est ainsi que l’on parle de l’
espece
tirée du genre auquel elle est subordonnée, lorsq
e, que sous un nom singulier ils comprennent tous les individus d’une
espece
; ensorte que ces mots ne sont proprement que les
observations à l’occasion de ces noms spécifiques. 1°. Quand un nom d’
espece
est pris adjectivement, il n’a pas besoin d’artic
que nous disons d’un homme sans esprit, qu’il est bête. 2°. Le nom d’
espece
n’admet pas l’article lorsqu’il est pris selon sa
à-dire, qu’alors le nom est considéré indéfiniment comme sorte, comme
espece
, & non comme un individu spécifique ; c’est c
n individu spécifique ; c’est ce qui arrive sur-tout lorsque le nom d’
espece
précédé d’une préposition, forme un sens adverbia
aire pitié, &c. Ainsi on dira sans article : cheval, est un nom d’
espece
, homme, est un nom d’espece ; & l’on ne dira
dira sans article : cheval, est un nom d’espece, homme, est un nom d’
espece
; & l’on ne dira pas le cheval est un nom d’e
, est un nom d’espece ; & l’on ne dira pas le cheval est un nom d’
espece
, l’homme est un nom d’espece, parce que le prénom
l’on ne dira pas le cheval est un nom d’espece, l’homme est un nom d’
espece
, parce que le prénom le marqueroit que l’on voudr
considéré individuellement. 3°. C’est par la même raison que le nom d’
espece
n’a point de prépositif, lorsqu’avec le secours d
de la préposition de il ne fait que l’office de simple qualificatif d’
espece
, c’est-à-dire, lorsqu’il ne sert qu’à désigner qu
dire, lorsqu’il ne sert qu’à désigner qu’un tel individu est de telle
espece
: une montre d’or ; une épée d’argent ; une table
clémence ; une femme de vertu, &c. 4°. Mais quand on personifie l’
espece
, qu’on en parle comme d’un individu spécifique, o
git que d’un individu particulier tiré de la généralité de cette même
espece
, alors le nom d’espece étant considéré individuel
articulier tiré de la généralité de cette même espece, alors le nom d’
espece
étant considéré individuellement, est précédé d’u
d’un tel or, c’est un qualificatif individuel, c’est un individu de l’
espece
de l’or. On dit d’un prince ou d’un ministre qu’i
’un or que, c’est un qualificatif individuel ; c’est un individu de l’
espece
de l’or. Mon esprit est occupé de deux substantif
n’a donc pas besoin d’article pour les tirer de la généralité de leur
espece
, & en faire des individus. Coulez, ruisseau,
I. Si par figure on donne à un nom propre une signification de nom d’
espece
, & qu’on applique ensuite cette signification
s si par rapport à ses divers attributs on en fait une sorte de nom d’
espece
, on dira le Dieu de miséricorde, &c. le Dieu
e certaines femmes, on se sert du prénom la, parce qu’il y a un nom d’
espece
sousentendu ; la le Maire, c’est-à-dire l’actrice
re idée, ou que le nom dans sa premiere origine a été tiré d’un nom d’
espece
, ou d’un qualificatif qui a été adapté à un objet
il faut observer que ces mots beaucoup, peu, pas, point, rien, forte,
espece
, tant, moins, plus, que, lorsqu’il vient de quant
de bon ou de beau étant pris dans un sens qualificatif de sorte ou d’
espece
, ils n’ont point l’article ; au lieu que si l’on
uantité de pain. J’ai un coquin de frere, c’est-à-dire, qui est de l’
espece
de frere, comme on dit, quelle espece d’homme ête
ere, c’est-à-dire, qui est de l’espece de frere, comme on dit, quelle
espece
d’homme êtes-vous ? Térence a dit : quid hominis
eroit tomber dans le sophisme que les Logiciens appellent passer de l’
espece
à l’individu, passer du général au particulier. A
e que animal, dans le premier membre étant sans article, est un nom d’
espece
pris adjectivement & dans un sens qualificati
ui n’en ont point. L’article le tire un nom de la généralité du nom d’
espece
, & en fait un nom d’individu, le roi ; ou d’i
individus, les rois ; le nom sans article ou prépositif, est un nom d’
espece
; c’est un adjectif. Les Latins qui n’avoient poi
.) on peut traduire si vous êtes fils de Dieu, & voilà fils nom d’
espece
, au lieu qu’en traduisant si vous êtes le fils de
, 3. fils du roi, 4. le fils du roi. En fils de roi, roi est un nom d’
espece
, qui avec la préposition, n’est qu’un qualificati
rlé, c’est le fils de quelque roi ; 3. fils du roi, fils est un nom d’
espece
ou appellatif, & roi est un nom d’individu, f
ssi dans la langue Latine des augmentations de l’une & de l’autre
espece
, sans que le mot d’augment y soit en usage : par
autant de barbarismes par rapport au françois. Il y a aussi une autre
espece
de barbarisme ; c’est lorsqu’à la vérité le mot e
t, j’aime mieux croire que ce mot a été formé par onomatopée de bath,
espece
d’interjection en usage quand on veut faire conno
t du chaph des Hébreux, à cause que la figure de cette lettre est une
espece
de quarré ouvert par un côté ; ce qui fait une so
es premiers caracteres par lesquels on les désigna, & la premiere
espece
d’écriture, qui a du naître à-peu-près dans le mê
plus ou moins nombreux, des formules d’abréviation, formant comme une
espece
de langue à l’usage de ceux qui étoient initiés d
losophiques, un plan d’un alphabet ou caractere universel d’une autre
espece
. Il devoit contenir une énumération de tous les s
yn, zr, &c. désignent les puissances indéterminées de différente
espece
; m x, n y, r z, les différens multiples ou sous-
oir. (O). Caracteres de Chimie. Les caracteres chimiques font une
espece
d’écriture hiéroglyphique & mystérieuse ; c’e
nces ; mais ces mots terminaison, desinance, sont le genre. Cas est l’
espece
, qui ne se dit que des noms ; car les verbes ont
CEDILLE CEDILLE, s. f. terme de Grammaire ; la cedille est une
espece
de petit c, que l’on met sous le C, lorsque par l
, d’un ensemble formé par l’assemblage de plusieurs individus de même
espece
; par exemple, armée est un nom collectif, il nou
appellent genre commun, il faut observer que les individus de chaque
espece
d’animal sont divisés en deux ordres ; l’ordre de
sur ce mot, & ce que je dis ailleurs sur quelques autres de même
espece
, n’est que pour les personnes pour qui ces mots o
en Latin par la terminaison du génitif destinée à déterminer un nom d’
espece
, soror Apollinis ; au lieu qu’en François le mot
on de la chose donnée ; mais comme pension est un nom appellatif ou d’
espece
, on le détermine encore plus précisément en ajoût
sion de cent pistoles : c’est la détermination du nom appellatif ou d’
espece
. On demande encore, à qui ? on répond, à N. c’est
sont aussi directes l’une que l’autre. Un nom détermine 1°. un nom d’
espece
, soror Apollinis. 2°. Un nom détermine un verbe,
un rapport ou d’accompagnement, ou d’opposition, ou de quelque autre
espece
: l’esprit rapproche alors en lui-même ces objets
ours deux idées & deux propositions, & elles font connoître l’
espece
d’idée accessoire que l’esprit conçoit entre l’un
yen a la signification active & la passive, & qu’il tient une
espece
de milieu entre l’actif & le passif : mais co
fférentes entr’elles, énoncent également des vûes de l’esprit de même
espece
: amavi, j’ai aimé ; monui, j’ai averti ; legi, j
verbes par rapport à la conjugaison ; chaque verbe est rapporté à son
espece
suivant la terminaison du thême. On appelle thême
in de parvenir aux formations régulieres des autres tems. La premiere
espece
de conjugaison est celle des verbes qu’on appelle
n ω à la premiere personne du présent de l’indicatif. 3. La troisieme
espece
de verbes grecs, est celle des verbes en μι, parc
faire une classe à part ; la particule prépositive to, est comme une
espece
d’article destiné à marquer l’infinitis ; desorte
les muscles de la partie supérieure de la trachée-artere forment une
espece
de tête, ou une sorte de couronne oblongue qui do
ou plus pleine. Il faut observer qu’au-dessus de la glotte il y a une
espece
de soûpape, qui dans le tems du passage des alime
errein, célebre anatomiste, a observé à chaque levre de la glotte une
espece
de ruban large d’une ligne, tendu horisontalement
hique, dit que « dans les mots pa-yer, emplo-yer, &c. yé est une
espece
d’i mouillé consonne ou demi-consonne ». Biblio
e mémoire dont j’ai parlé, c’est qu’elles peuvent se lier avec chaque
espece
de consonne, soit avec les foibles, soit avec les
rononcée la derniere change celle qui est devant en une lettre de son
espece
, la forte change la foible en forte, & la foi
rver qu’il y a six sortes de figures qui sont d’un grand usage dans l’
espece
de construction dont nous parlons, & auxquell
e, le génitif est un cas oblique qui ne sert qu’à déterminer un nom d’
espece
. Quel est ce nom que peccati détermine ? Le fond
n’ont pas eu d’abord cette premiere sorte de construction. Il y a une
espece
de métaphysique d’instinct & de sentiment qui
ne d’elles restreint la signification d’homme à un seul individu de l’
espece
humaine ; & je ne puis pas dire simplement l’
son étendue, c’est-à-dire qu’il seroit dit de tous les individus de l’
espece
humaine. Les hommes qui sont créés pour aimer Die
c’est-à-dire que dans étant une préposition, n’indique d’abord qu’une
espece
, une sorte de modification, qui doit être ensuite
la phrase ; ensorte que la préposition est, pour ainsi dire, un mot d’
espece
ou de sorte, qui doit ensuite être déterminé indi
nécessaires & aussi directes l’une que l’autre, chacune dans son
espece
. On peut, à la vérité, ajoûter d’autres circonsta
il faut remarquer que lorsque le nom déterminant est un individu de l’
espece
qu’il détermine, on peut considérer le nom d’espe
un individu de l’espece qu’il détermine, on peut considérer le nom d’
espece
comme un adjectif, & alors on met les deux no
indéfini, indéterminé ; une personne quelconque, un individu de votre
espece
. Ne vous force point à répandre des larmes. Voi
cede le substantif, il tient lieu d’article, & marque la sorte ou
espece
, vous formez d’inutiles desirs ; on qualifie d’in
déterminer tels ou tels desirs singuliers ; on ne fait que marquer l’
espece
ou sorte de desirs que vous formez. Dans vos tra
pour signifier par abréviation le nombre de mille. Or ils avoient une
espece
de M qu’ils faisoient ainsi CIO, en joignant la p
le, si je dis de quelqu’un qu’il demeure dans, ce mot dans énonce une
espece
ou maniere particuliere de demeurer, différente d
dividuel : un palais de roi, c’est un sens indéfini, indéterminé ou d’
espece
, parce qu’il n’est dit d’aucun roi en particulier
ute préposition, tout individu qu’on ne désigne que par le nom de son
espece
, a besoin d’être suivi d’un déterminatif : il aim
nous leur donnons des noms qui sont autant de diminutifs ; c’est une
espece
d’interjection qui marque notre tendresse pour eu
e sens collectif, c’est-à-dire quand on parle en général de toute une
espece
; & qui seroient très-fausses si l’on en fais
très-fausses si l’on en faisoit l’application à chaque individu de l’
espece
, ce qui seroit le sens distributif. Par exemple o
que comme une preuve de l’ancienne prononciation, & non comme une
espece
particuliere d’e. Le premier e dans les mots empe
qu’on dise Pâques, on dit pascal, Pasquin, pasquinade. Nous avons une
espece
de chiens qu’on appelloit autrefois espagnols, pa
udo, psalmus, psittacus ; & entre l’m & l’n de mna, une mine,
espece
de monnoie ; Mnemosyne, la mere des Muses, la dée
qui résultent de leur combinaison & de leur jeu. Voyez-vous cette
espece
de boule de cuivre (l’éolipile) ? elle est vuide
par rapport à l’esprit. Il y a sur-tout l’état du sommeil qui est une
espece
d’infirmité périodique, & pourtant nécessaire
s pris dans un sens individuel, qu’il est pris dans un sens général d’
espece
ou de sorte. En repos. En mouvement. En colere.
uper communis, au-dessus du commun. Les noms épicenes sont des noms d’
espece
, qui sous un même genre se disent également du mâ
illeurs que les langues se sont formées par usage & comme par une
espece
d’instinct, & non après une délibération rais
rtes ou especes de figures, & savoir les noms de celles de chaque
espece
qui sont le plus en usage. Il y a d’abord deux es
ans l’ame ; & consistent dans la forme de la pensée, & dans l’
espece
du sentiment. A l’égard des figures de mots, il y
chacune de ces figures de mots, ou du moins des principales de chaque
espece
. Des figures de diction qui regardent le matérie
mp; ailleurs. 3. La parenthèse est aussi considérée comme causant une
espece
d’hyperbate, parce que la parenthèse est un sens
une hirondelle ; ulula, une choüette ; bubo, un hibou ; graculus, une
espece
particuliere de corneille. Paranomasie, ressembl
lle. Paranomasie, ressemblance que les mots ont entr’eux ; c’est une
espece
de jeu de mots : amantes funt amentes, les amans
s de tout homme, je le dis de Pierre & de tous les individus de l’
espece
humaine. Ainsi quand je dis que tout homme est su
dont il est le signe, laquelle est commune à tous les mots de la même
espece
, & ne peut convenir à ceux des autres especes
les adjectifs & les verbes, sont encore susceptibles d’une autre
espece
d’acceptions que l’on peut nommer déterminatives.
ne acception universelle, parce qu’il désigne tous les individus de l’
espece
humaine ; quelques hommes ont l’ame élevée, ici l
n n’indique qu’une partie indéfinie de la totalité des individus de l’
espece
; cet homme (en parlant de César) avoit un génie
une des phrases, un individu, & dans l’autre douze individus de l’
espece
humaine. On peut voir au mot Nom, art. i. §. 1. n
mune dans l’acception spécifique ; à celle de tous les individus de l’
espece
dans l’acception universelle ; à l’indication d’u
niverselle ; à l’indication d’une partie indéfinie des individus de l’
espece
dans l’acception particuliere ; & à celle d’u
d’un mot, c’est la lettre prise à la rigueur, strictè. 2. La seconde
espece
de sens littéral, c’est celui que les expressions
ir du plaisir & éloigner le mal, qu’en nous procurant la premiere
espece
d’objets, & qu’en nous mettant à couvert de l
-là ce que les autres moralistes appellent instinct moral, sentiment,
espece
de penchant ou d’inclination naturelle qui nous p
se triomphante ; selon le moral, l’ame fidele, dont Jerusalem est une
espece
de figure. Voyez Allégorie, Anagogique, Litteral,
ne certaine distance, & que le goût ne peut la donner que par une
espece
de contact, qui s’opere au moyen de la fonte de c
sonore se trouvent réunies en très-grande quantité, elles forment une
espece
de corps solide qui produit différentes especes d
dans le reste du corps, la sensation de la chaleur qui est une autre
espece
de sentiment différent du premier, quoiqu’il soit
oup de tonnerre ébranle les maisons, nous frappe & communique une
espece
de tremblement à tous les corps voisins ; c’est p
du son que nous sentons nous-mêmes, lorsque le bruit est violent, une
espece
de trémoussement fort différent de la sensation d
s agréables l’invitent à la conservation de son individu & de son
espece
. Peut-être que des sens plus multipliés que les n
e ces étincelles pures qui petillent au sein du diamant, seroient une
espece
de collyre pour la vue ? Les lustres & les gl
ur le visage le rouge qu’on a nommé le vermillon de la vertu, est une
espece
de petite crainte qui resserre la veine temporale
le garantir par quelque rempart. C’étoit-là une sorte de vertige de l’
espece
de celui de Haller ayant la fievre. Le sang agité
’ils y ont été engagés, & autres chimeres : c’est dans ce cas une
espece
de manie, mal qui demande des remedes, & qui
propre ; je prends la partie pour le tout. La synecdoque est donc une
espece
de métonymie, par laquelle on donne une significa
doque du genre, parce qu’alors un mot générique ne s’entend que d’une
espece
particuliere : créature est un mot générique, pui
c. à. d. que sous le nom du genre, on ne conçoit, on n’exprime qu’une
espece
particuliere ; on restreint le mot générique à la
mot générique à la simple signification d’un mot qui ne marque qu’une
espece
. Nombre est un mot qui se dit de tout assemblage
s latins se sont quelquefois servi de ce mot en le restreignant à une
espece
particuliere. 1°. Pour marquer l’harmonie, le cha
de l’arrangement des mots. Il. Il y a au contraire la synecdoque de l’
espece
: c’est lorsqu’un mot qui dans le sens propre ne
pece : c’est lorsqu’un mot qui dans le sens propre ne signifie qu’une
espece
particuliere, se prend pour le genre. C’est ainsi
ampagne. Je sais bien que l’on peut, par la synecdoque même, nommer l’
espece
pour le genre ; mais ce n’est pas dans la traduct
le pluriel ; ce sera substituer la synecdoque du nombre à celle de l’
espece
, & dans le même sens, du moins par le plus. V
la maison, tout le palais, tout le temple. C’est peut-être par cette
espece
de synecdoque qu’on peut donner un sens raisonnab
possession & jouissance de tous ses biens : ce droit, qui est une
espece
de droit de retour, s’appelloit en latin, jus pos
pas pour le tout, & chaque nom générique ne se prend pas pour une
espece
particuliere, ni tout nom d’espece pour le genre
générique ne se prend pas pour une espece particuliere, ni tout nom d’
espece
pour le genre ; c’est l’usage seul qui donne à so
t pere Sanadon, j’avoue que je ne saurois trouver une synecdoque de l’
espece
dans bella matribus detestata. Le pere Sanadon, p
anifestations de la vie. « La vie du corps et la vie mentale sont des
espèces
dont la vie proprement dite est le genre. » Et ta
la précédente qui est plutôt objective, a pour but de ramener chaque
espèce
de connaissance à ses derniers éléments. Elle exa
andeur et la forme, mais la distance dans l’espace, le mouvement, son
espèce
, sa direction, sa rapidité. « Tel est le cas du m
conscience rentre instantanément dans la classe, l’ordre, le genre, l’
espèce
, la variété des états de conscience antérieurs se
classe (épipériphérique), son ordre (visuel), son genre (rouge), son
espèce
(écarlate), etc. Bref, il n’y a qu’une seule loi
ion d’un état de conscience avec sa classe, son ordre, son genre, son
espèce
, correspond à la localisation du changement nerve
’association d’un rapport avec sa classe, son ordre, son genre et son
espèce
répond à la localisation de la décharge nerveuse
vie domestique, n’arriveraient-ils pas à un degré égal et à une même
espèce
d’intelligence ? Comprise sous sa forme courante,
’appartiennent l’un à l’autre, — se réclament mutuellement, comme une
espèce
de propriété. En sus, dans le sentiment de l’amou
incontestable, c’est qu’il ne s’applique pas à des rapports de toute
espèce
, mais à un nombre restreint. Identité de nature d
tité et celui qui s’applique à la qualité, pas plus qu’entre les deux
espèces
de raisonnement qualitatif, le parfait et l’impar
e le sujet et l’objet, dans l’acte de la perception, est d’une triple
espèce
. Il prend trois aspects distincts, selon qu’il y
la figure, la forme, la position), alors la propriété perçue est de l’
espèce
qu’on nomme communément premières, mais qu’on app
sa main ou quelque objet également proche, et qu’il se demande quelle
espèce
de connaissance il a de l’espace compris entre se
ur se montrent capables d’éprouver ; en ce sens qu’il est la première
espèce
d’impression que l’enfant reçoive ; en ce sens qu
is qui étaient précédemment confondus ensemble comme étant de la même
espèce
, cela implique une différenciation d’états de con
un ordre de filiation. Toute recherche sur l’origine des êtres et des
espèces
est inutile. Toute analyse subjective de nos idée
rmes de l’un sont exactement semblables aux deux fermes de l’autre en
espèce
et en degré, mais exactement l’inverse dans leur
ssaire, Messieurs, de bien fixer notre point de vue pour comprendre l’
espèce
de liberté dans notre exposition, de variété dans
vous comprenez, Messieurs, qu’on pourra faire dans nos sciences deux
espèces
de découvertes : Les unes prévues par le raisonne
du terrain vital, on apportera dans les recherches physiologiques une
espèce
de précision beaucoup plus spécieuse que réelle ;
rées animales et végétales. — Sucres de la première et de la deuxième
espèce
. — Réactifs propres à distinguer les sucres et à
s morbides dont l’explication était jusqu’alors restée obscure. Cette
espèce
de revue rétrospective nous permettra d’ailleurs
’ammoniaque et des phosphates. Mais on ignorait encore quelle était l’
espèce
de sucre qui existe dans l’urine des diabétiques,
me moyen principal, à supprimer dans l’alimentation des malades toute
espèce
de matière féculente et sucrée. Mais peu à peu, l
ces sucres, quelle que soit leur origine, se divisent ensuite en deux
espèces
, suivant la manière dont ils se comportent en pré
des acides et en présence des alcalis. Les sucres dits de la première
espèce
sont ceux sur lesquels les alcalis n’ont aucune a
acides les transforment en sucres intervertis ou sucres de la seconde
espèce
. Ce sont : les sucres de canne, de betterave, d’é
de canne, de betterave, d’érable, etc. Les sucres dits de la seconde
espèce
, qui comprennent le sucre de fécule ou glucose, l
lieu si le sucre n’était pas pur et contenait du sucre de la seconde
espèce
. L’alcali caustique n’a pas coloré la liqueur ni
devenir jaune, puis brun, absolument comme pour le sucre de deuxième
espèce
. Ceci vous prouve que, sous l’influence de l’ébul
llition avec l’acide, le sucre de betterave appartenant à la première
espèce
s’est changé en sucre de la seconde espèce, et a
appartenant à la première espèce s’est changé en sucre de la seconde
espèce
, et a offert alors la réaction qui lui est propre
tasse. Lorsqu’on fait agir ainsi un alcali sur un sucre de la seconde
espèce
, le sucre s’oxyde en s’emparant de l’oxygène de l
e, puis brune, et ce sucre se détruira comme les sucres de la seconde
espèce
, en se transformant en matière acide brune. C’est
rouvé que cette réduction ne s’opère qu’avec les sucres de la seconde
espèce
, et qu’elle n’a pas lieu avec les sucres de la pr
econde espèce, et qu’elle n’a pas lieu avec les sucres de la première
espèce
. Sur ces données, M. Barreswil a composé un liqui
rovenant d’un diabétique, en un mot, avec tous les sucres de deuxième
espèce
. Vous comprenez qu’au moyen de telles épreuves, i
diverses transformations du sucre de canne, et de distinguer les deux
espèces
de sucres. Quand on essaye par le tartrate cuprop
lange essayé ne renferme pas de glucose ni aucun sucre de la deuxième
espèce
. Mais il pourrait se faire qu’il contint du sucre
re qu’il contint du sucre de canne ou tout autre sucre de la première
espèce
. Pour le savoir, il faudra préalablement faire bo
’il n’y avait pas de principe sucré, ni à l’état de sucre de deuxième
espèce
, ni à l’état de sucre de la première espèce. Si,
état de sucre de deuxième espèce, ni à l’état de sucre de la première
espèce
. Si, au contraire, il y a réduction, il faudra ad
audra admettre que le sucre existait à l’état de sucre de la première
espèce
puisqu’il n’a opéré la réduction du sel de cuivre
u sel de cuivre qu’après avoir été transformé en sucre de la deuxième
espèce
par l’action de l’acide sulfurique. Enfin, si l’o
des deux sucres, on commencerait par détruire le sucre de la deuxième
espèce
par l’ébullition avec le lait de chaux, puis, sat
veau la liqueur rendue acide pour transformer le sucre de la première
espèce
en sucre de la seconde, qui réagira à une dernièr
te réaction du liquide cupro-potassique sur les sucres de la deuxième
espèce
? On l’explique en disant que le sucre de raisin,
x les réactions indiquées ne contient aucun des sucres de la deuxième
espèce
. Mais quand cette réaction existe, on n’est pas a
stingue aucune par l’analyse chimique ; tous les sucres de la seconde
espèce
sur lesquels agissent les alcalis ne sont pas ide
le et celui de diabète le dévient à droite. Les sucres de la première
espèce
dévient tout le plan de polarisation à gauche. To
u contraire, qui était dans les liquides animaux, quelle que soit son
espèce
, n’a été aucunement retenu par le charbon, et il
sera beaucoup plus certain d’avoir affaire à du sucre de la deuxième
espèce
, parce que le charbon a aussi la propriété de ret
oduit chez tous ces animaux de la matière sucrée, indépendamment de l’
espèce
de nourriture à laquelle ils sont soumis. On a li
yde de cuivre qui est un signe de la présence du sucre de la deuxième
espèce
; nous faisons bouillir le même liquide avec de l
t que la fonction qui produit cette substance appartient à toutes les
espèces
, quelle que soit leur place dans la série. La pro
nce de la levure de bière, devait appartenir aux sucres de la seconde
espèce
, et était analogue au sucre de diabète. L’examen
tion de la matière sucrée. — Le sucre existe dans le foie avant toute
espèce
d’alimentation. — La fonction glycogénique ne com
duit dans le foie. Cependant nous avons accumulé des preuves de toute
espèce
autour de cette proposition, et nous vous avons f
ogénique du foie. Et d’abord le sucre existe dans le foie avant toute
espèce
d’alimentation, lorsque les animaux sont encore d
lativement à cette proportion, des expériences faites sur des fœtus d’
espèces
différentes. Vous voyez, ainsi que nous l’avon
i, pour être plus comparables, ont été faites sur des animaux de même
espèce
, sur des chiens, dans les conditions normales de
observées uniquement dans les fractions ne sont à l’avantage d’aucune
espèce
d’alimentation. Il n’y a donc pas de rapport dire
gestions, revient peu à peu sur elle-même ; elle se transforme en une
espèce
de canal excréteur qui s’ouvre au dehors par la p
qu’elle est, lorsque le même individu est à jeun. Le foie, comme une
espèce
d’éponge, se gorge de sang et devient à ce moment
ang et devient à ce moment beaucoup plus volumineux, il s’y opère une
espèce
de congestion physiologique. La circulation, très
la digestion ne fût due, en grande partie, à un déplacement de cette
espèce
, et que, d’un autre côté, le sucre qu’ils peuvent
’organisme, si l’animal est laissé à l’abstinence. Il existe donc une
espèce
d’oscillation physiologique dans la fonction prod
’il en soit, dans les circonstances ordinaires de la digestion, cette
espèce
de débordement sucré se manifeste également avec
heures tout rentre dans l’état physiologique signalé plus haut. Cette
espèce
d’oscillation que présente la fonction glycogéniq
monter de la racine dans la tige, s’y changer de sucre de la première
espèce
en sucre de la seconde espèce, enfin disparaître
ge, s’y changer de sucre de la première espèce en sucre de la seconde
espèce
, enfin disparaître peu à peu ; et à l’époque de l
st variable suivant l’âge et la taille des animaux, leur classe, leur
espèce
, et la faculté de résister plus ou moins longtemp
présente la matière grasse. C’est à travers le foie, placé comme une
espèce
de filtre organique entre le système circulatoire
incipes fondamentaux sont seulement, comme nous l’avons dit, de trois
espèces
, savoir : les matières azotées ou albuminoïdes, l
ang de la veine porte ne renferment jamais de matière sucrée d’aucune
espèce
. Ni la gélatine ni la viande ne produisent de mat
ce liquide avec le tartrate de cuivre et de potasse, il n’y a aucune
espèce
de réduction ; par conséquent absence de matière
il n’y a donc dans l’intestin ni fécule ni principe sucré de deuxième
espèce
. Il n’y a pas non plus du sucre de la première es
cré de deuxième espèce. Il n’y a pas non plus du sucre de la première
espèce
, car, en faisant bouillir avec un acide et traita
ur en donnait assez. À ce point de vue, le foie ne serait plus qu’une
espèce
de source sucrée d’occasion pour suppléer à l’ins
un foie de cheval vu par sa face inférieure pour montrer une nouvelle
espèce
de communications vasculaires directes qui existe
du lactose dans le foie. D’où il faudrait admettre que cette dernière
espèce
de sucre se sécrète dans la mamelle, organe charg
Destruction du sucre dans l’organisme. — Destructibilité des diverses
espèces
de sucres. — Expériences comparatives à ce sujet.
i distinguer ce qui se passe suivant qu’on a affaire aux différentes,
espèces
de sucres. Les sucres de première espèce, les suc
a affaire aux différentes, espèces de sucres. Les sucres de première
espèce
, les sucres de canne et de betterave, ne sont jam
es sucres sont, en partie au moins, transformés en sucres de deuxième
espèce
. Ces derniers, au contraire, injectés dans le san
s conditions, à l’un, une certaine quantité d’un sucre de la première
espèce
, à l’autre la même quantité d’un sucre de deuxièm
la première espèce, à l’autre la même quantité d’un sucre de deuxième
espèce
. Nous découvrons ici la veine jugulaire droite en
nant en dissolution 0,5 gr. de sucre de canne ou sucre de la première
espèce
. On pousse l’injection très lentement, et c’est u
enant 0,5 gr. de sucre de fécule, c’est-à-dire du sucre de la seconde
espèce
. L’animal n’éprouve aucun inconvénient de cette i
dans l’organisme, ce qui vous prouvera que les sucres de la première
espèce
ne sont pas détruits, tandis que ceux de la deuxi
première espèce ne sont pas détruits, tandis que ceux de la deuxième
espèce
le sont. Maintenant, parmi ces derniers, il y en
e du foie. Les sucres de canne ou de betterave (sucres de la première
espèce
) ne se détruisent pas sensiblement dans le sang,
dans les mêmes conditions de digestion, aucun des sucres de deuxième
espèce
n’est apparu dans les urines, tandis que le sucre
ganisme, qu’il soit destructible, ce qui n’a pas lieu pour toutes les
espèces
de sucre, et en outre qu’il n’arrive pas dans le
uction du sucre par fermentation. — Preuves à l’appui. — Quelle est l’
espèce
de fermentation qui s’opère ainsi ? — Accidents q
on à établir au point de vue de la destructibilité entre les diverses
espèces
de sucre : ceux de la deuxième espèce (lactose, g
ructibilité entre les diverses espèces de sucre : ceux de la deuxième
espèce
(lactose, glucose, sucre de raisin, de diabète, d
ercer une certaine pression sur le foie, ou bien si l’on provoque des
espèces
de convulsions, et des contractions violentes des
nimal présente les phénomènes d’une maladie grave ; il en résulte une
espèce
de décomposition du sang qui devient noir, visque
s, à mesure qu’il s’en présente de nouveaux, vous comprendrez mieux l’
espèce
de rapport que nous avons voulu établir au commen
cellules qui, dans leur évolution ultérieure, produisent les diverses
espèces
d’organes et de tissus. Or, partout où se manifes
qui, en produisant de nouveaux à leur tour, finissent par former des
espèces
de chapelets, tantôt simples, tantôt plus ou moin
ans ce milieu composé de sérum et de sucre, il s’était développé deux
espèces
de cellules, les unes paraissant d’organisation a
oumons. À cette époque, le liquide de l’amnios subit probablement une
espèce
de fermentation visqueuse, car il devient visqueu
, par exemple, des propositions de ce genre : « Ces oscillations, ces
espèces
d’intermittences reconnues dans la fonction glyco
physiologie sait, d’ailleurs, que, si l’on prend deux animaux de même
espèce
, qu’on les mette à jeun tous les deux, et que l’o
seront pas montrés, parce que l’expérience qu’on aura tentée par une
espèce
de condescendance n’aura pas été faite comme elle
passent d’abord dans le foie et même dans tout l’organisme, et sur l’
espèce
d’action que le système nerveux exerce sur ces ph
e antérieure, en rapport avec les phénomènes de mouvement, n’a aucune
espèce
d’action sur le foie, mais sa lésion produit des
jet un grand nombre d’expériences, et nous avons trouvé qu’il y a une
espèce
d’élection dans l’excrétion des matières qui sort
sité. Ceci vous prouve qu’il existe, comme nous l’avons dit déjà, une
espèce
de relation entre ces actions des nerfs sympathiq
ires qu’il n’y a pas non plus dans le liquide du sucre de la première
espèce
; mais si on laisse l’autre partie du foie sur un
septième vertèbre cervicale. L’instrument que nous employons est une
espèce
de pointe en fer de lance assez solide, comme vou
rveuse, quel que soit sa source, nous obtenons une perversion et une,
espèce
d’arrêt dans le développement de la matière glyco
éduit abondamment le réactif bleu, tandis que l’autre ne donne aucune
espèce
de précipité. Il y a, ainsi que vous le voyez, un
e ; cependant il a toutes les autres propriétés de sucres de deuxième
espèce
, il fermente très facilement, brunit avec la pota
mnios fermente très vite, et sous ce rapport il diffère beaucoup de l’
espèce
de sucre signalée par ce chimiste. Le sucre de mu
consistance gluante et visqueuse. On dirait que ce sucre a subi cette
espèce
de fermentation qu’on appelle visqueuse, et qui p
sont exempts les animaux, et qui n’appartient spécialement qu’à notre
espèce
, sur laquelle nous sommes réduits, par conséquent
bonique et de l’alcool. On ne trouve jamais dans les urines une autre
espèce
de sucre, quand même ce principe y arriverait acc
rendent toujours du sucre de diabète, et jamais du sucre de première
espèce
en nature. Quand un homme bien portant ou un anim
nc par cela que les urines des diabétiques sont caractérisées par une
espèce
de sucre bien déterminé, tout à fait analogue au
ons directes du centre nerveux. C’est ainsi qu’on a fait une nouvelle
espèce
de diabète traumatique qui serait la conséquence
assique n’est donc pas infirmée ; seulement il faut, comme pour toute
espèce
de caractère, l’employer dans des conditions conv
riences incomplètes pour l’interprétation desquelles on n’aura aucune
espèce
de criterium. J’ai fait faire ici une figure sché
s raisons, je me serais abstenu, pour mon compte, de poursuivre cette
espèce
de procès qu’on a voulu intenter à la fonction gl
crite, après quoi on introduit dans la veine cave un tube qui est une
espèce
de sonde au bout de laquelle on peut souffler, au
employé, on est en droit de refuser aux expériences de l’auteur toute
espèce
de valeur. Après notre note du 12 mars, parurent
e son filet, et courbé vers le premier, s’entretenait avec lui. Sur l’
espèce
de chaussée rocailleuse que le pied du rocher for
e l’arrêtait pas. On avait pratiqué sur la rampe de ces montagnes une
espèce
de chemin assez large. Nous ordonnâmes à nos enfa
érobaient. Après une marche assez longue, nous nous trouvâmes sur une
espèce
de pont, une de ces fabriques de bois hardies et
s depuis ce pont les eaux du torrent arrêtées dans leur cours par des
espèces
de terrasses naturelles, je les vois tomber en au
à ressentir de la lassitude, lorsque je me trouvai sur la rive d’une
espèce
d’anse de mer. Cette anse était formée à gauche p
’y aurait-il pas à cette idée un côté vrai et moins affligeant pour l’
espèce
humaine ? Il est beau, il est doux de compatir au
joie dans la coulisse, mort d’un coup de poignard. Le bel éloge de l’
espèce
humaine que ce jugement impartial du cœur en fave
bonheur d’un autre. La morale se renferme donc dans l’enceinte d’une
espèce
… qu’est-ce qu’une espèce ?… une multitude d’indiv
orale se renferme donc dans l’enceinte d’une espèce… qu’est-ce qu’une
espèce
?… une multitude d’individus organisés de la même
ièvre ou un lapin ?… mais les rois, mais Dieu, qui est le seul de son
espèce
… le soleil qui touchait à son horizon disparut, l
revenais donc, et je pensais que s’il y avait une morale propre à une
espèce
d’animaux et une morale propre à une autre espèce
morale propre à une espèce d’animaux et une morale propre à une autre
espèce
; peut-être dans la même espèce y avait-il une mo
maux et une morale propre à une autre espèce ; peut-être dans la même
espèce
y avait-il une morale propre à différens individu
lles femmes dont la qualité qui les avait distingués du reste de leur
espèce
avait fait le malheur. Je fesais en moi-même l’él
s, sur le ceintre de ces arcades une plate-forme qui conduisait à une
espèce
de phare. Au-delà de ce phare, à une grande dista
mal faites, pour une qui l’est bien. La chose commune à tous est de l’
espèce
, la chose propre à chacun distingue l’individu. S
ut le contraire. La nature a distribué entre les individus de la même
espèce
assez de ressemblance, assez de diversité pour fa
ontenelle et La Motte à Bossuet et Fénelon. Quelle est à votre avis l’
espèce
de poésie qui exige le plus de verve ? L’ode, san
s rochers escarpés ; au pied de ces rochers, un massif de pierre, une
espèce
d’esplanade, d’où l’on descend de face et de côté
e ; sur ce brasier une marmite suspendue par des chaînes de fer à une
espèce
de trépied. Devant cette marmite un matelot accro
ages, situations déplorables, victimes et scènes pathétiques de toute
espèce
; jour, nuit, lumières naturelles, artificielles,
l’homme. Avant Buffon, on n’étudiait que l’individu, on négligeait l’
espèce
; il apprit à mieux étudier l’un, et il créa la s
ion en la posant. Il y a différentes races humaines ; il n’y a qu’une
espèce
: le nègre est un homme. Buffon parcourt du regar
il et plane sur toutes les vérités particulières, noble conquête de l’
espèce
humaine désormais réhabilitée dans toutes ses rac
cation plus décisive de la présence de l’homme sur la terre. Élever l’
espèce
humaine à ses propres yeux par l’idée que seule e
toire naturelle de l’homme, Buffon est inventeur. La dégénération des
espèces
, sous la triple influence du climat, de la nature
at, de la nature et de la domesticité ; la loi de la distribution des
espèces
sur le globe, sont deux grandes vérités que la sc
a restitué leurs ossements où s’était mépris Buffon, à des animaux d’
espèces
très différentes et aujourd’hui perdues. Elle com
ine aux administrateurs de Saint-Domingue, 1771. 95. Variétés dans l’
espèce
humaine. 96. Flourens, Étude sur Buffon. 97. Pr
se prend pour l’huile, come Bacchus pour le vin. On raporte à la même
espèce
de figure les façons de parler où le nom des dieu
tière pour la chose qui en est faite, nous parlerons bientot de cette
espèce
de figure, ensuite la coupe est prise pour le vin
lipes d’or : nous dirions deux cens louis d’or. Voilà les principales
espèces
de métonymie. Quelques uns y ajoutent la métonymi
edent, on en trouvera des exemples dans la métalepse qui n’est qu’une
espèce
de métonymie à laquelle on a doné un nom particul
quelle on a doné un nom particulier : au lieu qu’à l’égard des autres
espèces
de métonymie, dont nous venons de parler, on se c
u, métonymie du signe, etc. La metalepse La métalepse est une
espèce
de métonymie, par laquelle on exprime ce qui suit
propre ; je prens la partie pour le tout. La synecdoque est donc une
espèce
de métonymie, par laquelle on done une significat
doque du genre, parce qu’alors un mot générique ne s’entend que d’une
espèce
particulière : créature est un mot générique, pui
-à-dire, que sous le nom du genre, on ne conçoit, on n’exprime qu’une
espèce
particulière ; on restraint le mot générique à la
mot générique à la simple signification d’un mot qui ne marque qu’une
espèce
. nombre est un mot qui se dit de tout assemblage
latins se sont quelquefois servis de ce mot en le restraignant à une
espèce
particulière. Pour marquer l’harmonie, le chant
et de l’arangement des mots. Il y a au contraire la synecdoque de l’
espece
: c’est lorsqu’un mot, qui dans le sens propre ne
ece : c’est lorsqu’un mot, qui dans le sens propre ne signifie qu’une
espèce
particulière, se prend pour le genre ; c’est ains
la maison, tout le palais, tout le temple. C’est peut-être par cette
espèce
de synecdoque qu’on peut doner un sens raisonable
la possession et jouissance de tous ses biens : ce droit, qui est une
espèce
de droit de retour, etc. porte, par synecdoque et
nd pas pour le tout, et chaque nom générique ne se prend pas pour une
espèce
particulière, ni tout nom d’espèce pour le genre
générique ne se prend pas pour une espèce particulière, ni tout nom d’
espèce
pour le genre : c’est l’usage seul qui done à son
ant P. Sanadon, j’avoue que je ne saurois trouver une synecdoque de l’
espèce
dans (…). Le P. Sanadon croit que (…) comprend ic
de l’autre de ces figures. L’antonomase L’antonomase est une
espèce
de synecdoque, par laquelle on met un nom comun p
s péres donèrent autrefois à un recueil général de loix. La seconde
espèce
d’antonomase est lorsqu’on prend un nom propre po
a gloire sur sa seule persone. On peut regarder cette figure come une
espèce
particulière de synecdoque, puisqu’on dit le plus
e met en état de porter des jugemens sains. La métaphore est donc une
espèce
de trope, le mot dont on se sert dans la métaphor
nt apelées lieux comuns en rhétorique et en logique, (…). Le genre, l’
espèce
, la cause, les éfets, etc. Sont des lieux comuns,
ns un sens métaphorique : (…), dit Cicéron : le travail fait come une
espèce
de calus à la douleur, c’est-à-dire, que le trava
e. Théophile, dit M. de La Bruyère, etc. " on peut raporter à la même
espèce
les métaphores qui sont tirées de sujets peu conu
ous le mui. La syllepse oratoire La syllepse oratoire est une
espèce
de métaphore ou de comparaison, par laquelle un m
physique que d’imaginer un autre système. Les énigmes sont aussi une
espèce
d’allégorie : nous en avons de fort belles en ver
que l’énigme cache avec soin ce qui peut la dévoiler, mais les autres
espèces
d’allégories ne doivent point être des énigmes, e
l’auteur, sont ce qu’on apèle des paraphrases, la paraphrase est une
espèce
de comentaire : on reprend le discours de celui q
expressions. M. Boileau sur un sujet pareil a fait d’après Horace une
espèce
de périphrase qui tire tout son prix de la peintu
sufit de remarquer que l’expression est figurée, et la ranger sous l’
espèce
de trope auquel elle a le plus de raport. Subo
y a de diférentes classes de tropes, combien chaque classe renferme d’
espèces
particulières, et enfin quel est l’ordre qu’on do
et enfin quel est l’ordre qu’on doit garder entre ces classes et ces
espèces
. Vossius soutient qu’il n’y a que quatre tropes
onie, les autres, à ce qu’il prétend, se raportent à ceux-là come les
espèces
aux genres ; mais toutes ces discutions sont asse
rès aussi mince qu’une feuille d’arbre. La catachrèse est la première
espèce
de métaphore. On a recours à la catachrèse par né
ouve point de mot propre pour exprimer ce qu’on veut dire. Les autres
espèces
de métaphores se font par d’autres mouvemens de l
nymie et la synecdoque aussi-bien que les figures qui ne sont que des
espèces
de l’une ou de l’autre, sont fondées sur quelque
e sens figuré qu’on a voulu nous faire entendre. L’euphémisme est une
espèce
d’allusion, avec cette diférence qu’on cherche à
quelque idée triste, dure, ou contraire à la bienséance. Enfin chaque
espèce
de trope a son caractère propre qui le distingue
diviser. Les auteurs donent quelquefois des noms diférens à la même
espèce
d’expression figurée, je veux dire, que l’un apèl
le même : ce raport qui se trouve entre le son de deux mots, fait une
espèce
de jeu, dont les rhéteurs ont fait une figure qu’
it par la pensée. Souvent on considère un tout par parties, c’est une
espèce
d’abstraction, c’est ainsi qu’en anatomie on fait
métaphore et les autres noms des figures : par là ils réduisent à une
espèce
, à une classe particulière les expressions qui on
pour réduire à une classe à part les expressions figurées d’une même
espèce
, ce qui met de l’ordre et de la nèteté dans nos p
que viènent tous les noms apellatifs, qui marquent des genres ou des
espèces
particulières, ce sont autant de termes abstraits
x autres en certains points : delà les idées abstraites de genre et d’
espèce
. Remarquez qu’un individu est un être réel que vo
distincts. — Les deux groupes de sensations sont semblables. — Trois
espèces
de sensations pour tous les nerfs du toucher. — S
de température, sensation de plaisir et de douleur. — Chacune de ces
espèces
peut être conservée ou abolie isolément. — Observ
ément. — Observations sur les malades. — Conditions connues de chaque
espèce
. — Expériences et observations. — Opinion de Webe
musculaire, de chaleur, de froid, de douleur locale, et toutes leurs
espèces
. — Considérons d’abord l’odorat87. Un grand nombr
ion de saveur proprement dite, une quantité de sensations d’une autre
espèce
. — D’abord, en beaucoup de cas, comme l’arrière-b
étant fermés, faites déposer successivement sur votre langue diverses
espèces
de confitures par exemple, puis des crèmes aromat
n chimique s’opère lorsque la molécule, recevant un atome d’une autre
espèce
, passe à un autre état d’équilibre ; qu’en ce cas
élément ; mais, si on la met en rapport avec des éléments d’une autre
espèce
, elle est nulle, ou confuse, ou extrême, et impro
vait rien dire de l’objet, quelles étaient sa forme, sa grandeur, son
espèce
, s’il était froid ou chaud, piquant ou émoussé, n
de paralytiques, quoique la peau soit complètement insensible à toute
espèce
d’excitation, une pression, un choc, la piqûre d’
citant ; il n’y a dans la sensation musculaire proprement dite qu’une
espèce
de tiraillement semblable aux autres, et capable
er, pour les nerfs des muscles comme pour les nerfs de la peau, trois
espèces
, et seulement trois espèces de sensations, celles
es comme pour les nerfs de la peau, trois espèces, et seulement trois
espèces
de sensations, celles de contact, celles de froid
er qu’elles sont excitées en nous par des nerfs distincts et de trois
espèces
différentes ; c’est là une hypothèse gratuite que
uite traduit le fait lui-même ; puis le nom, sensation ou image d’une
espèce
particulière, qui, en vertu de propriétés acquise
ent plaisantes. Nous avons sous les yeux un ouvrage de cette dernière
espèce
, intitulé : la défaite du Solécisme par Despautèr
finité d’autres circonstances peuvent y donner lieu. Il y a une autre
espèce
de contresens, dont on a moins parlé, et qui est
Plutarque dans la vie de Lysandre.) J’observerai seulement que cette
espèce
de chiffre ne devait pas être fort difficile à de
s, mais cela ne se peut pas, il n’y a point, de mot en latin de cette
espèce
: donc on s’est trompé en prenant f, c, g, pour v
, puisque autrement toutes les définitions ne formeraient plus qu’une
espèce
de cercle vicieux, dans lequel un mot serait expl
nombre de mots qui, de l’aveu de tout le monde, se refusent à quelque
espèce
de définition que ce puisse être ; ce sont princi
, qui servent à former et non à expliquer les autres mots. Dans cette
espèce
de liste des mots originaux et primitifs, il y a
on la plus exacte de tous les mots d’une langue, on pourra former des
espèces
de tables de ceux qui ont entre eux quelque rappo
rer en mauvaise ; et on serait peut-être tenté d’abord d’en faire une
espèce
de règle. Cependant on dit également bien conjure
un dictionnaire de langue. Néanmoins, pour rendre un ouvrage de cette
espèce
le plus complet qu’il est possible, il est bon qu
ur cette raison on appelle communes. Nous en avons plusieurs de cette
espèce
, et on pourrait ou n’en point marquer la quantité
s que cette distinction serait encore très facile, par le moyen d’une
espèce
d’accent qu’on ferait porter à l’f dans ces sorte
conserver dans notre alphabet cette lettre qui n’est jamais ou qu’une
espèce
d’accent ou qu’une lettre qu’on conserve pour l’é
’on ne ferait pas mal de former, au commencement du dictionnaire, une
espèce
d’alphabet universel, composé de tous les véritab
par un caractère particulier. Ces mots radicaux peuvent être de deux
espèces
: il y en a qui n’ont de racines ni ailleurs, ni
la leur racines d’un grand nombre de dérives et de composés. Ces deux
espèces
de mots radicaux étant marqués et désignés, on re
vante ; et nous dirons de plus ce qui doit être observé dans ces deux
espèces
de dictionnaires de langues étrangères. En premie
ce qui appartient à l’élégie, et s’applique plus particulièrement à l’
espèce
de vers qui entraient dans l’élégie des anciens,
é des distiques, les repos qui se succèdent à intervalles égaux, et l’
espèce
de monotonie qui y règne rendaient cette forme pr
x autres qu’ils voient clairement ce qu’ils ne voient pas ; c’est une
espèce
de fantôme qu’on leur présente à la place de la r
tendre beaucoup sur les règles de l’élocution : leur langue était une
espèce
de musique susceptible d’une mélodie à laquelle l
orte raison n’en connaissait-il qu’un très petit nombre de la seconde
espèce
. Pourquoi donc cette disparate dans les deux pass
une autre. Nous sentons dans les vers latins, en les prononçant, une
espèce
de cadence et de mélodie ; cependant nous prononç
nie est peut-être ce qui distingue le plus réellement les différentes
espèces
de style. Mais quelque harmonie qui se fasse sent
nt d’un cœur pénétré de ce qu’il doit inspirer aux autres, mais à une
espèce
de représentation ennuyeuse et monotone, où l’act
es. Ceux qu’on prononce dans l’Académie Française sont de la première
espèce
. Cette compagnie a imposé à tout nouvel académici
lées avec eux, auront pour objet le caractère d’esprit de l’auteur, l’
espèce
et le degré de ses talents, de ses lumières et de
masques des comédiens de l’antiquité Je crois devoir faire ici une
espece
de digression sur les masques dont les comédiens
s. Il étoit rare qu’ils quittassent le masque, et même il y avoit une
espece
de comédiens qui ne le quittoit jamais. Nous souf
louée ni adoptée, si de son temps les masques n’eussent point été une
espece
d’échos. Boéce confirme encore ici notre sentimen
laçoit dans la bouche de ces masques une incrustation qui faisoit une
espece
de cornet. On voit par les figures des masques an
monumens, que l’ouverture de leur bouche étoit excessive. C’étoit une
espece
de gueule béante qui faisoit peur aux petits enfa
ruster les masques, y emploïerent ensuite des lames fort minces d’une
espece
de marbre. Pline, en parlant des pierres curieus
oître. Je ne parlerai que des personnages allegoriques de la premiere
espece
, c’est-à-dire des aînez ou des anciens. Leurs cad
rsonnages allegoriques. Il est vrai que Raphael en a produit de cette
espece
; mais ce peintre si sage ne les emploïe que dans
l ne parut aucune des divinitez de la mer à cette ceremonie, et cette
espece
de mensonge détruit une partie de l’effet que l’i
tinction du paganisme, et dans des tems où elles avoient déja perdu l’
espece
d’ être que l’opinion vulgaire leur avoit donné e
a vertu sur les passions. Les compositions allegoriques de la seconde
espece
sont celles où le peintre mêle des personnages hi
ur un fils amoureux de la gloire de son pere, de les supprimer dans l’
espece
de temple qu’il élevoit à la memoire de ce heros.
rent de grands secours de ces compositions allegoriques de la seconde
espece
, ou pour exprimer beaucoup de choses qu’ils ne po
héréditaires, modifier la nature et donner une nouvelle mentalité à l’
espèce
. Rien de plus douteux. A supposer qu’une habitude
de circonstances accidentellement réunies : aucune modification de l’
espèce
ne sortira de là. Mais alors, la structure de l’e
où elle a abouti ne sont pas les déformations, alors avantageuses à l’
espèce
, d’une vérité qui devait apparaître plus tard à c
ainsi que le dispositif observé sert l’intérêt de l’individu ou de l’
espèce
. Mais l’expression est vague, et nous dirions, po
ou plutôt dans ce tournoiement sur place qu’est la conservation d’une
espèce
, il y a quelque exigence d’un mouvement en avant,
s’en représenter l’évolution ? On peut soutenir que le passage d’une
espèce
à l’autre s’est fait par une série de petites var
s’accomplissant par sauts brusques, et la variation constitutive de l’
espèce
nouvelle comme faite de différences multiples, co
lleurs la transformation s’opère chez divers représentants d’une même
espèce
, elle peut ne pas obtenir chez tous le même succè
s obtenir chez tous le même succès. Rien ne dit que l’apparition de l’
espèce
humaine n’ait pas été due à plusieurs sauts de mê
à plusieurs sauts de même direction s’accomplissant çà et là dans une
espèce
antérieure et aboutissant ainsi à des spécimens d
qu’ils correspondent à une même intention de la vie. Que d’ailleurs l’
espèce
humaine soit sortie ou non d’une souche unique, q
a hantise de la forme sociale, qu’on trouve dans un si grand nombre d’
espèces
, se révèle donc jusque dans la structure des indi
ion qui se manifeste dans tout le domaine de la vie par la création d’
espèces
nouvelles a trouvé dans l’humanité seulement le m
sté tendu sur la fin extérieure à atteindre ; il eût travaillé pour l’
espèce
, automatiquement, somnambuliquement. Doté d’intel
d sur le sens des mots. Il n’y aurait pas d’humanité primitive si les
espèces
s’étaient formées par transitions insensibles à a
doscope ; il y a donc bien un type d’humanité primitive, encore que l’
espèce
humaine ait pu se constituer par plusieurs sauts
ligence, il était rationnel en tant qu’avantageux à la société et à l’
espèce
. C’est ainsi que les relations sexuelles, par exe
comme si le vrai mérite ne résidait pas dans l’effort ! comme si une
espèce
dont chaque individu doit se hausser au-dessus de
quitte envers un instinct si on ne le rattachait pas à un besoin de l’
espèce
; mais une fois arrivé à l’intelligence, adieu la
vie entière. La vérité est que la religion, étant coextensive à notre
espèce
, doit tenir à notre structure. Nous venons de la
it combiné dans la nature en vue de son bien et dans l’intérêt de son
espèce
. Telle est sa conviction vécue ; elle le soutient
ons de l’individu devinrent possibles, comme celles qui ont donné les
espèces
successives dans le monde organisé ; le progrès p
; mais reconnaître un animal est ordinairement se rendre compte de l’
espèce
à laquelle il appartient : tel est notre intérêt
est pas de la zoolâtrie, il implique néanmoins que l’homme traite une
espèce
animale, ou même végétale, parfois un simple obje
, en effet, qu’on veuille marquer que ces deux clans constituent deux
espèces
, au sens biologique du mot : comment s’y prendra-
s-nous, comme un genre. Pour exprimer que deux clans constituent deux
espèces
différentes, on donnera alors à l’un des deux le
sang ? Ils s’habitueront à dire qu’ils n’appartiennent pas à la même
espèce
. Lors donc qu’ils déclarent constituer deux espèc
nent pas à la même espèce. Lors donc qu’ils déclarent constituer deux
espèces
animales, ce n’est pas sur l’animalité, c’est sur
e était infra-intellectuelle. Ajoutons qu’elle était naturelle, car l’
espèce
humaine marque une certaine étape de l’évolution
un seul d’entre eux et réussit à faire accepter jusqu’à sa mort cette
espèce
de monothéisme. On sait d’ailleurs que les pharao
fonction fabulatrice se déduit ainsi des conditions d’existence de l’
espèce
humaine. Sans revenir sur ce que nous avons déjà
fin dans les mécanismes élémentaires de l’opération. De même, posez l’
espèce
humaine, c’est-à-dire le saut brusque par lequel
fabrication pour laquelle il était fait, créant ainsi un danger. Si l’
espèce
humaine existe, c’est que le même acte par lequel
ue, et contribuera par là à cet élargissement de la « conscience de l’
espèce
» qui est une des conditions du succès de l’égali
accroissement des « variétés individuelles » efface les limites des «
espèces
» en constituant des « genres » plus larges. Ains
tôt de faire régner dans la société l’idée qu’il y a des classes, des
espèces
différentes d’hommes, ne possédant pas les mêmes
qu’elle engendre nous empêche de penser les hommes par classes ou par
espèces
. En ce sens, ne dirait-on pas que si un peu de di
les disloque. La solidarité qu’elle y fait vivre est seulement d’une
espèce
nouvelle. Tandis que la solidarité « mécanique »
érieux obstacle à l’expansion de l’égalitarisme : l’idée de classe, d’
espèce
, de caste. Ce sont, nous l’avons vu, les distinct
t chose désormais acquise. L’assimilation des groupements sociaux aux
espèces
ethniques a pu servir certains intérêts ou certai
r résultat, en brisant la solidarité des groupements sociaux avec les
espèces
biologiques, de disséminer des « semblables », qu
lement transmissibles, et par suite n’arrivent pas à se constituer en
espèces
durablement distinctes. Par là s’explique ce fait
s mouvements qu’elles formulent convergent contre une même idée : les
espèces
, les classes, les castes s’effacent, tant par l’a
Qu’importe, en effet, l’exploitation de l’individu par le Génie de l’
Espèce
ou par le Génie de la Connaissance, si le moi ind
urné des objets chimériques pour lesquels il se consume : la vie de l’
Espèce
et la Connaissance. Si d’ailleurs, on s’enhardit
cycle des illusions qui aboutissent à favoriser le vœu du Génie de l’
Espèce
ont du même coup pour effet d’engendrer les êtres
e de soi-même. 18. Le Libre arbitre, l’Unité du moi, le Génie de l’
Espèce
, le Génie de la Connaissance.
n pour le faible. Enfin, comme la société naissante avait différentes
espèces
d’ennemis, qu’il fallait faire reculer les bêtes
aleur, une âme nourrie de toutes les grandes images de la nature, une
espèce
de grandeur sauvage, semblable à celle des forêts
s des pays où les peuples ignoraient l’usage du feu5, on a trouvé des
espèces
de poèmes destinés à célébrer des espèces de gran
ge du feu5, on a trouvé des espèces de poèmes destinés à célébrer des
espèces
de grands hommes. Ainsi partout l’intérêt public
la foule ne s’enrichirait jamais des pensées des hommes supérieurs. L’
espèce
humaine se renouvelant toujours, un individu ne p
fférence pour le talent et la philosophie, devient incapable de toute
espèce
de sentiment vif ; il lui reste une sorte d’espri
; ce qui nécessairement expose la liberté. La discipline bannit toute
espèce
d’opinion parmi les troupes. À cet égard, leur es
ique et de patrie ! Dans ce siècle où tant de malheurs ont pesé sur l’
espèce
humaine, puissions-nous posséder un écrivain qui
nt je ne détourne jamais mon attention ; c’est la perfectibilité de l’
espèce
humaine12. Je ne pense pas que ce grand œuvre de
des barbares se croyaient des législateurs suprêmes, en versant sur l’
espèce
humaine des infortunes sans nombre, dont ils se p
nce la plus religieuse qui soit sur la terre, les progrès futurs de l’
espèce
humaine ? J’adopte de toutes mes facultés cette c
, dans cet ouvrage, à tout ce qui peut prouver la perfectibilité de l’
espèce
humaine. Ce n’est point une vaine théorie, c’est
e édition de cet ouvrage, ce que j’entends par la perfectibilité de l’
espèce
humaine et de l’esprit humain.
fameux couplets ? Voilà ce qu’on ignore encore. C’est une énigme de l’
espèce
de tant d’autres qu’on ne devinera jamais, comme
e sa conversion. L’histoire, que Saurin lui-même en a donnée, est une
espèce
de roman. Il trouva des protections & des sec
il avoit, & qu’on croyoit usurpée, l’accueil qu’on lui faisoit, l’
espèce
d’empire qu’il s’étoit établi dans la littérature
injustes*. Rien n’est plus grave que cette accusation faite comme une
espèce
de testament de mort & de dénonciation à la p
ieuses. Lamotte se sera chargé de la rime. L’imagination de ces trois
espèces
de conjurés, échauffée par la vengeance, a du se
la science, à rechercher et à déterminer au juste en quoi consiste l’
espèce
, et quel en est le signe distinctif. M. Flourens
ertis. Ainsi, en même temps que Buffon insiste sur la distinction des
espèces
, il a des vues sur l’unité du plan général organi
oit de m’en vouloir. En relisant l’article du « Chien », à propos des
espèces
, soit animales, soit végétales, que l’homme s’est
il peut encore, avec le temps, changer, modifier et perfectionner les
espèces
; c’est même le plus beau droit qu’il ait sur la
ait sur la nature. Avoir transformé une herbe stérile en blé est une
espèce
de création dont cependant il ne doit pas s’enorg
le degré de développement de chaque organe sur la nature des diverses
espèces
, sont des idées de génie qui doivent faire la bas
limites que les climats, les montagnes et les mers assignent à chaque
espèce
, peuvent encore être considérées comme de véritab
ppe avec finesse et avec force le jeu de l’amour-propre de toutes les
espèces
d’animaux, c’est-à-dire de l’homme, dont l’espèce
opre de toutes les espèces d’animaux, c’est-à-dire de l’homme, dont l’
espèce
réunit tous les genres d’amour-propre. On ne fini
Apologue, excellent d’un bout à l’autre. Fable IX. V. 27. Fi !
Espèce
d’interjection qu’on n’emploie que proverbialemen
qui hors de là ne savait rien, et un physicien célèbre dénué de toute
espèce
d’érudition. Ces deux messieurs ne surent que se
ens seuls sont différents. On divise ordinairement la comédie en deux
espèces
, la comédie d’intrigue et la comédie de caractère
l’action : celui des Ménechmes est encore plus vicieux. Dans l’autre
espèce
d’intrigue, beaucoup plus commune, tous les incid
upart des ruses employées en pareil cas dans les comédies. La seconde
espèce
est la comédie de caractère : c’est celle qui est
ts, plus hauts et mieux garnis de feüilles, que les arbres de la même
espece
qui viennent en Grece, en Italie et même en plusi
epuis qu’ils ont connus les chevaux du nord de l’Angleterre, et que l’
espece
de ces animaux s’est embellie dans differens païs
bas reliefs antiques ne sont point à comparer aux animaux de la même
espece
que l’Angleterre éleve. On remarque dans ces dern
sans avoir communiqué entre elles, des fractions fort éloignées de l’
espèce
humaine arrivent en même temps à des idées et à d
ans distinction de frontière et de race. Le commerce des idées dans l’
espèce
humaine ne s’opère pas seulement par les livres o
sse grecque. Tout cela se faisait par des canaux secrets et par cette
espèce
de sympathie qui existe entre les diverses portio
ive offrait l’état intellectuel et moral le plus extraordinaire que l’
espèce
humaine ait jamais traversé. C’était vraiment une
que), mais en ce sens que Jésus est l’individu qui a fait faire à son
espèce
le plus grand pas vers le divin. L’humanité dans
constaté quelques rapports constants entre telle altération et telle
espèce
de folie ? Nullement, ou du moins on ne l’a fait
s cas de folie, ou des lésions spéciales corrélatives aux différentes
espèces
: je demanderai si cette lésion peut être considé
la différence de ces signes pour établir la division des différentes
espèces
de folies ? Ce n’est point ainsi qu’ils procèdent
s contestée sans doute, mais non remplacée. Esquirol reconnaît quatre
espèces
de folies : la monomanie ou délire partiel avec p
ient très-distincts. Et puis enfin, lors même que la folie serait une
espèce
d’erreur, quel mal voyez-vous à cela ? Il y a, je
sitions. Rien n’est si commun dans toutes les langues que le nom de l’
espece
donné au genre et le nom du genre attribué à l’es
que le nom de l’espece donné au genre et le nom du genre attribué à l’
espece
en stile ordinaire. Sans sortir de notre sujet, n
in plus d’une fois de supposer que les anciens se soient permis cette
espece
d’inexactitude. Quintilien rapporte qu’Aristoxen
labe. Peut-être les anciens ne mesuroient-ils pas les chants de cette
espece
là, et laissoient-ils à celui qui battoit la mesu
C’étoit la musique hypocritique ou la saltation, qui enseignoit cette
espece
d’écriture. Ainsi nous remettons à en parler, que
e Salammbô a prise pour base et pour canevas de son ouvrage, roman ou
espèce
de poème en prose. Polybe est ici notre guide pri
Espagnols, de Gaulois, de Liguriens, de Baléares, de Grecs de la pire
espèce
, et surtout d’Africains ; c’était bien là le cas
es, il fit si bien qu’il enferma les étrangers dans un lieu, dans une
espèce
de champ clos appelé La Hache, parce que le terra
ulu peindre dans tout le détail de ses atrocités, l’offrant comme une
espèce
de type de la guerre chez les Anciens ou du moins
es gradations de gaieté, d’ivresse, d’exaltation et de délire. Chaque
espèce
et chaque nation de soldats est dépeinte avec son
e la famille Barca, ayant des pierreries et des anneaux à la gueule ;
espèces
de dieux lares, de pénates aquatiques. Les Barbar
s de son fils. Je fus admis dans le petit cénacle ; nous formions une
espèce
de franc-maçonnerie qui avait même son langage et
désastre de Waterloo. Je regrettais enfin qu’il m’eût parlé avec une
espèce
de dédain de l’abbé Jouffroy, son parent, très mé
comme celui-ci d’une force herculéenne, était dans mes montagnes une
espèce
de Rob Roy, la terreur des gendarmes et la provid
Il y avait encore une petite niche avec des rideaux ; et c’était une
espèce
de chambre pour cacher aux spectateurs certains d
aussi dépravée ! On donnait aussi autrefois le nom de moralités à des
espèces
de ballets ou opéras. On en représenta un de cett
ités à des espèces de ballets ou opéras. On en représenta un de cette
espèce
au mariage du prince palatin du Rhin avec la prin
st-elle, comme la gravitation dans les corps et la sélection dans les
espèces
vivantes, qu’un cas particulier des lois qui règl
e par un emboîtement successif. Nous avons dit que les idées sont des
espèces
et que la lutte des idées est une lutte d’espèces
les idées sont des espèces et que la lutte des idées est une lutte d’
espèces
; en voilà une preuve nouvelle : l’humanité porte
omphe de celles qui réalisent le mieux les conditions vitales de leur
espèce
par l’élimination de tous les accidents défavorab
elle électrique et de foudre, introduisit dans le monde des idées une
espèce
nouvelle et viable. Le tort de Spencer est d’avoi
guère que la similitude, dont la contiguïté est pour elle une simple
espèce
et une ébauche. La contiguïté même devient toujou
si le principal rôle dans la sélection des idées comme dans celle des
espèces
. En troisième lieu, pour reconstruire un monde no
ant s’en faut, adéquat à leur valeur. De même que la définition d’une
espèce
ne donne que les caractères communs à tous les in
espèce ne donne que les caractères communs à tous les individus de l’
espèce
, et de même que ces caractères communs ne peuvent
ticulières, il ne fait que ce que fait le naturaliste, qui divise une
espèce
en variétés et en races : il y a toujours un poin
e du voyageur. Cet homme est sans morale, ou il est tourmenté par une
espèce
d’inquiétude naturelle qui le promène malgré lui.
ls en ont de trop pour quelques pièces d’argent qu’ils en reçoivent ;
espèce
de commerce fort extraordinaire. C’est qu’en Savo
ustrade un pot de fleurs. Attenant à cette fabrique, une ouverture ou
espèce
de porte dont la fermeture faite de poutrelles as
artie circulaire de l’esplanade, au niveau du terre-plein, il y a une
espèce
d’enfoncement ou de grotte. Du terre-plein on des
côté droit une forte fabrique de charpente à claire-voie ; c’est une
espèce
de fermeture commune à l’ écurie et à une partie
de celui du fond c’est la cheminée. Au côté droit de la cheminée, une
espèce
de banquette ou de coussin sert d’appui à deux en
ue la cuisine tire son jour. On a pratiqué au haut de cette porte une
espèce
de petite fenêtre vitrée. L’effet général de ce p
nt la cuisine. Au pan opposé, à gauche, vers le milieu de la hauteur,
espèce
de cellier où l’on voit des tonneaux, une échelle
rvent d’asyle à la partie la plus indigente, la plus malheureuse de l’
espèce
humaine, plus utiles en ruines qu’ils ne le furen
la composition, une grille, une herse de fer brisée, au ceintre d’une
espèce
de voûte, sous laquelle une taverne et des gens à
’après nature à Rome . on voit à gauche un mur nu ; contre ce mur une
espèce
d’auvent en ceintre ; sous cet auvent une fontain
n. Au-dessus de leur tête, sous la toiture, une fabrique en bois, une
espèce
de potence tournant sur son pivot, avec sa poulie
uls individus, les groupements mêmes qu’ils constituent. Mais quelles
espèces
de groupements doivent occuper la sociologie ? Il
la manière des organismes. Quant aux associations partielles de toute
espèce
, parfois éphémères et souvent volontaires, par le
arges, éphémères ou séculaires, volontaires ou spontanées, toutes les
espèces
d’associations réclament l’attention du sociologu
ans délimitation préalable. Or, malgré toutes les différences que ses
espèces
peuvent présenter, quels sont les caractères prin
droits de l’humanité parce qu’elles élargissent la « conscience de l’
espèce
», la complication de leurs associations y travai
rté individuelle peut rester debout. Ainsi s’explique, par exemple, l’
espèce
de jeu de bascule dont l’histoire de la compétenc
que l’une ou l’autre des sociétés entrecroisées soit hostile à toute
espèce
de hiérarchie ; il suffit que les hiérarchies qu’
désireux de se rehausser dans l’estime générale, recherchaient toute
espèce
de distinctions : un inférieur à qui sur certains
on aussi-bien que dans le chant proprement dit, et par conséquent une
espece
de melopée qui enseigne à bien faire la liaison d
ger sous les trois genres dont il vient d’être parlé, quoique chacune
espece
ait son ton propre. Ce n’est pas seulement à l’ég
nt un chant musical. Quant au chant des comedies, qui étoit une autre
espece
de mélodie tragique, nous prouverons invincibleme
n’y avoit peut-être pas dans le genre des melopées tragiques, aucune
espece
de melopée qui composât un chant musical. En seco
apprenoit à lire, il n’y avoit presque personne qui n’entendît cette
espece
de notes. Dans cette supposition, il n’y avoit ri
es acteurs qui joüoient la comedie n’avoient d’autre chaussure qu’une
espece
de sandale qu’ils appelloient socque, au lieu que
lieu que ceux qui déclamoient la tragedie montoient sur le cothurne,
espece
de brodequin dont la semele étoit de bois, ce qui
es caracteres des accens. L’art d’écrire en notes les chants de toute
espece
, étoit déja très-ancien à Rome dès le temps de Ci
rouveroit pas d’abord des personnes capables de lire couramment cette
espece
de musique et de bien entonner les notes. Mais de
Chapitre IV. Trois
espèces
de jugements. — Corollaire relatif au duel et aux
iodes dans l’histoire des mœurs et de la jurisprudence § I. Trois
espèces
de jugements Les premiers furent les jugemen
t l’autel et la victime. Ainsi toutes les nations eurent toujours une
espèce
d’excommunication. César nous a laissé beaucoup d
dence loco rerum. Les duels durent être chez les nations barbares une
espèce
de jugements divins, qui commencèrent sous les go
elle a des limites, et ces limites sont spécifiques : du moment que l’
espèce
homme a été constituée, ses possibilités intellec
l’homme a découvert le feu par hasard, c’est ne rien dire. Toutes les
espèces
animales se sont trouvées en présence du feu, mai
’obtenir mécaniquement l’étincelle productrice du feu. Les nombreuses
espèces
animales venues après l’homme n’ont jamais témoig
Linné, natura non facit saltus. On enseignait, depuis Darwin, que les
espèces
animales s’étaient transformées lentement, en acc
s de révolutions anatomiques. Ce n’est pas lentement que se forme une
espèce
nouvelle, quand vient à baisser la température te
tions contre le transformisme, celle de l’infécondité entre elles des
espèces
même anatomiquement très voisines, puisque l’espè
entre elles des espèces même anatomiquement très voisines, puisque l’
espèce
nouvelle peut naître directement et spontanément
aître directement et spontanément d’un couple homogène. Appliquée à l’
espèce
humaine, la mutation rend compte d’une façon très
s étaient déjà en stagnation. Cela a été le sort commun de toutes les
espèces
races ou variétés qui ont précédé l’homme blanc s
e individuelle. C’est une constance de principe et qui s’applique à l’
espèce
à la variété. A tout moment de l’existence du gro
llait s’en tenir, pour établir les enchaînements du monde animal, aux
espèces
que nous connaissons fossiles, que de trous ! L’o
Lapparent qui parle, « le monde organique, ne s’est enrichi d’aucune
espèce
nouvelle18 ». M. de Lapparent, il est vrai, fait
prospérité, puisqu’ils renfermaient à ce moment environ un millier d’
espèces
de plus que maintenant. La température du globe,
ir. Ayant trouvé cela, l’homme se haussait du même coup au niveau des
espèces
mammifères venues après lui sur le globe et capab
ndant ne permet de dire que l’intelligence n’aurait pu tomber sur une
espèce
plus récente, et rien ne permet de dire, comme je
n ne se reproduira pas un jour ou l’autre. L’hypothèse d’une nouvelle
espèce
animale douée d’intelligence n’est pas anti-philo
des moyens artificiels par lesquels il a prolongé l’existence de son
espèce
, l’homme peut se dire qu’il a créé un monde parmi
e, l’homme peut se dire qu’il a créé un monde parmi les mondes et une
espèce
surnaturelle parmi les cent mille espèces naturel
onde parmi les mondes et une espèce surnaturelle parmi les cent mille
espèces
naturelles qui vivent ou qui ont vécu sur la terr
, si elles étaient moins ignorantes. Sans la domestication, plusieurs
espèces
animales auraient disparu, surtout parmi les herb
pansion des herbivores, les graminées reculèrent et beaucoup de leurs
espèces
ont vraisemblablement disparu : le blé et le seig
u’en grande quantité, implique la culture. Il est probable, puisque l’
espèce
ne s’en est pas conservée à l’état libre, que c’é
’établir que, chez l’homme, comme cela arrive à l’occasion chez telle
espèce
d’oiseau, le chant a précédé la parole. Chant, ou
st pour eux une des formes les plus suivies de l’activité. Beaucoup d’
espèces
simiesques usent d’un gazouillis analogue et perp
permet de la concevoir que liée à l’idée de mort, de disparition de l’
espèce
, c’est-à-dire de révolution géologique telle que
lligence consciente. L’instinct est fixe dans l’individu comme dans l’
espèce
; le génie, fixe dans l’espèce humaine, est assez
est fixe dans l’individu comme dans l’espèce ; le génie, fixe dans l’
espèce
humaine, est assez flottant dans l’individu, soum
cêtres des hommes, il compte aussi dans sa généalogie toutes sortes d’
espèces
animales. Sa descendance du singe par l’intermédi
ent embryonnaire les phases par lesquelles a passé l’évolution de son
espèce
à travers les âges. » Cette découverte immense de
travers les âges. » Cette découverte immense de la transformation des
espèces
est, comme on le sait, due presque tout entière à
nterne représente la température moyenne du globe, au moment où notre
espèce
a pris naissance. Le milieu terrestre est instabl
grandir ou déchoir. Il en est des individus et des peuples comme des
espèces
animales : ceux qui acceptent les conditions que
que. Quant aux naturalistes et à ceux qui s’occupent de l’origine des
espèces
animales, s’il est parmi eux des chrétiens convai
l se bornait à dire que, la vie ayant apparu sur la terre, toutes les
espèces
animales étaient descendues les unes des autres,
er comme un animal très ancien, bien plus ancien que plusieurs autres
espèces
. Mais on n’osait rien dire. On continuait d’ensei
ois l’homme et les singes. M. Quinton y est arrivé en prouvant qu’une
espèce
animale est d’autant plus récente que sa températ
est triste. Création d’ailleurs féconde, car il y a plus de dix mille
espèces
d’oiseaux ; création très heureuse, aussi, car l’
it pour ne pas se rendre compte que la nature, même aux génies de son
espèce
, ne dit jamais le dernier mot, le mot de l’énigme
cts secondaires. Les premiers sont nécessaires à la reproduction de l’
espèce
; les seconds ne sont que des habitudes transmise
animaux. J’ai exposé plus haut les théories nouvelles qui donnent à l’
espèce
humaine une très haute ancienneté, une antériorit
; ces produits sont doués d’une vitesse surprenante ; dans plusieurs
espèces
de poissons, il n’y a que des femelles ; les moul
tombe le premier ; la femelle survit le temps de faire sa ponte et l’
espèce
disparaît jusqu’au printemps suivant. Ce qui nous
nd le moment est venu, la femelle avec laquelle ils perpétueront leur
espèce
. Il n’y a jamais en eux les intentions perverses
ue d’un bonheur futur, également chimérique pour l’individu et pour l’
espèce
. On peut cependant les considérer comme des frein
ature bourgeoise, en sa forme narrative, se présente à nous sous deux
espèces
: le Roman de Renart, et les Fabliaux. Il faut d’
lion, roi, comme il est juste, de la féodalité animale. Ainsi chaque
espèce
est fortement individualisée ; à l’abstraite et v
vidualisée ; à l’abstraite et vague idée qu’évoque le nom commun de l’
espèce
, le nom propre, personnel, substitue l’image préc
ent, redeviennent des types, et figurent la permanence indéfinie de l’
espèce
. De quels éléments s’est formé le roman de Renart
uand eut-on, et qui eut l’idée géniale, épique, d’ajouter au nom de l’
espèce
un nom propre qui fit surgir l’individu du type ?
propres aux bêtes. C’est ainsi qu’à la cour du roi Noble, toutes les
espèces
vivent en paix : je veux dire qu’entre les animau
ois. Plus fréquentes sont les farces de provinciaux goguenards, toute
espèce
de bons tours et d’aventures comiques, toute sort
▲